Joe Dassin Flashcards
Et si tu n’existais pas
https://www.youtube.com/watch?v=EJLDd-VOH1U
Et si tu n’existais pas
Dis-moi pourquoi j’existerais
Pour traîner dans un monde sans toi
Sans espoir et sans regrets
Et si tu n’existais pas
J’essaierais d’inventer l’amour
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour
Et qui n’en revient pas
Et si tu n’existais pas
Dis-moi pour qui j’existerais
Des passantes endormies dans mes bras
Que je n’aimerais jamais
Et si tu n’existais pas
Je ne serais qu’un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va
Je me sentirais perdu
J’aurais besoin de toi
[Instrumental]
Et si tu n’existais pas
Dis-moi comment j’existerais
Je pourrais faire semblant d’être moi
Mais je ne serais pas vrai
Et si tu n’existais pas
Je crois que je l’aurais trouvé
Le secret de la vie le pourquoi
Simplement pour te créer
Et pour te regarder
[Instrumental 2x plus court que le premier]
Et si tu n’existais pas
Dis-moi pourquoi j’existerais
Pour traîner dans un monde sans toi
Sans espoir et sans regrets
Et si tu n’existais pas
J’essaierais d’inventer l’amour
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour
À toi
https://www.youtube.com/watch?v=TxAAB58nNLs
À toi
À la façon que tu as d’être belle
À la façon que tu as d’être à moi
À tes mots tendres
Un peu artificiels quelquefois
À toi
À la petite fille que tu étais
À celle que tu es encore souvent
À ton passé à tes secrets
À tes anciens princes charmants
À la vie à l’amour
À nos nuits à nos jours
À l’éternel retour de la chance
À l’enfant qui viendra
Qui nous ressemblera
Qui sera
À la fois toi et moi
À moi
À la folie dont tu es la raison
À mes colères sans savoir pourquoi
À mes silences et à mes trahisons
Quelque fois
À moi
Au temps que j’ai passé à te chercher
Aux qualités dont tu te moques bien
Aux défauts que je t’ai cachés
À mes idées de baladin
À la vie à l’amour
À nos nuits à nos jours
À l’éternel retour de la chance
À l’enfant qui viendra
Qui nous ressemblera
Qui sera
À la fois toi et moi
À nous
Aux souvenirs que nous allons nous faire
À l’avenir et au présent surtout
À la santé de cette vieille Terre
Qui s’en fout
À nous
À nos espoirs et à nos illusions
À notre prochain premier rendez-vous
À la santé de ces millions d’amoureux
Qui sont comme nous
À toi
À la façon que tu as d’être belle
À la façon que tu as d’être à moi
À tes mots tendres
Un peu artificiels quelquefois
À toi
À la petite fille que tu étais
À celle que tu es encore souvent
À ton passé à tes secrets
À tes anciens princes charmants
L’été indien
https://www.youtube.com/watch?v=tQb4eWCAq8c
Tu sais
Je n’ai jamais été aussi heureux que ce matin-là
Nous marchions sur une plage un peu comme celle-ci
C’était l’automne
Un automne où il faisait beau
Une saison qui n’existe que dans le nord de l’Amérique
Là-bas on l’appelle l’été indien
Mais c’était tout simplement le nôtre
Avec ta robe longue
Tu ressemblais à une aquarelle de Marie Laurencin
Et je m’souviens
Je m’souviens très bien de c’que je t’ai dit ce matin-là
Y a un an y a un siècle y a une éternité
On ira
Où tu voudras quand tu voudras
Et l’on s’aimera encore
Lorsque l’amour sera mort
Toute la vie
Sera pareille à ce matin
Aux couleurs de l’été indien
Aujourd’hui
Je suis très loin de ce matin d’automne
Mais c’est comme si j’y étais
Je pense à toi
Où es-tu que fais-tu
Est-ce que j’existe encore pour toi
Je regarde cette vague qui n’atteindra jamais la dune
Tu vois
Comme elle je reviens en arrière
Comme elle je me couche sur le sable et je me souviens
Je me souviens des marées hautes
Du soleil et du bonheur qui passaient sur la mer
Il y a une éternité un siècle il y a un an
On ira
Où tu voudras quand tu voudras
Et l’on s’aimera encore
Lorsque l’amour sera mort
Toute la vie
Sera pareille à ce matin
Aux couleurs de l’été indien
[Instrumental]
On ira
Où tu voudras quand tu voudras
Et l’on s’aimera encore
Lorsque l’amour sera mort
Toute la vie
Sera pareille à ce matin…
Dans les yeux d’Émilie
https://youtu.be/ptx4wPTeqo0?si=VdypZYIaBcDIOmbe
Dans son quartier du vieux Québec
Les rues ont l’air d’avoir l’accent
Et l’an deux mille voisine avec
Les maisons grises du vieux temps
Mais l’hiver vient d’éclater
Le Saint-Laurent est prisonnier
D’un décembre qui va bien durer six mois
Quand les jours ressemblent aux nuits
Sans éclaircie à espérer
Qui peut croire que l’été nous reviendra
Moi j’avais le soleil
Jour et nuit
Dans les yeux d’Émilie
Je réchauffais ma vie
À son sourire
Moi j’avais le soleil
Nuit et jour
Dans les yeux de l’amour
Et la mélancolie
Au soleil d’Émilie
Devenait joie de vivre
Dans son quartier du vieux Québec
Quand les toits redeviennent verts
Quand les enfants ont les pieds secs
On tourne le dos à l’hiver
C’est la fête du printemps
Le grand retour du Saint-Laurent
On dirait que les gens sortent de la Terre
Mais Émilie n’est plus à moi
J’ai froid pour la première fois
Je n’ai plus ni sa chaleur ni sa lumière
Moi j’avais le soleil
Jour et nuit
Dans les yeux d’Émilie
Je réchauffais ma vie
À son sourire
Moi j’avais le soleil
Nuit et jour
Dans les yeux de l’amour
Et la mélancolie
Au soleil d’Émilie
Devenait joie de vivre
En ce temps-là
J’avais le soleil
Jour et nuit
Dans les yeux d’Émilie
Je réchauffais ma vie
À son sourire
Moi j’avais le soleil
Nuit et jour
Dans les yeux de l’amour
Et la mélancolie
Au soleil d’Émilie
Devenait joie de vivre
Le petit pain au chocolat
https://www.youtube.com/watch?v=FaswDILZU8c
https://youtu.be/7LdQE_tigwo
Tous les matins il achetait son p’tit pain au chocolat ya ya ya yaïe
La boulangère lui souriait, il ne la regardait pas ya ya ya yaïe
Et pourtant elle était belle
Les clients ne voyaient qu’elle
Il faut dire qu’elle était vraiment très croustillante
Autant que ses croissants
Et elle rêvait mélancolique
Le soir dans sa boutique
À ce jeune homme distant
Il était myope voilà tout mais elle ne le savait pas (ya ya ya yaïe)
Il vivait dans un monde flou où les nuages volaient bas (ya ya ya yaïe)
Il ne voyait pas qu’elle était belle
Ne savait pas qu’elle était celle
Que le destin lui envoyait à l’aveuglette
Pour faire son bonheur
Et la fille qui n’était pas bête
Acheta des lunettes
À l’élu de son cœur
Dans l’odeur chaude des galettes des baguettes et des babas (ya ya ya yaïe)
Dans la boulangerie en fête un soir on les maria (ya ya ya yaïe)
Tout en blanc qu’elle était belle
Les clients ne voyaient qu’elle
Et de leur union sont nés des tas de petits gosses
Myopes comme papa
Gambadant parmi les brioches
Se remplissant les poches de p’tits pains au chocolat
(Aïe ya ya ya yaïe)
(Aïe ya ya ya yaïe)
Et pourtant elle était belle
Les clients ne voyaient qu’elle
Et quand on y pense la vie est très bien faite
Il suffit de si peu
D’une simple paire de lunettes
Pour rapprocher deux êtres
Et pour qu’ils soient heureux
(Aïe ya ya ya yaïe)
Les champs Elysees
https://youtu.be/6oBcO1dJ0GI?si=-8Gsth1Z-FhW8E_o
Je m’baladais sur l’avenue
Le cœur ouvert à l’inconnu
J’avais envie de dire bonjour à n’importe qui
N’importe qui et ce fut toi
Je t’ai dit n’importe quoi
Il suffisait de te parler pour t’apprivoiser
Aux Champs-Élysées (x 2)
Au soleil sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a tout c’que vous voulez
Aux Champs-Élysées
Tu m’as dit j’ai rendez-vous
Dans un sous-sol avec des fous
Qui vivent la guitare à la main
Du soir au matin
Alors je t’ai accompagnée
On a chanté, on a dansé
Et l’on n’a même pas pensé
À s’embrasser
Aux Champs-Élysées (x 2)
Au soleil sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a tout c’que vous voulez
Aux Champs-Élysées
[Instrumental]
Hier soir deux inconnus
Et ce matin sur l’avenue
Deux amoureux tout étourdis
Par la longue nuit
Et de l’Étoile à la Concorde
Un orchestre à mille cordes
Tous les oiseaux du point du jour
Chantent l’amour
(x 2)
Aux Champs-Élysées (x 2)
Au soleil sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a tout c’que vous voulez
Aux Champs-Élysées
L’Amérique
https://www.youtube.com/watch?v=a-5mwFdaVPU
https://www.youtube.com/watch?v=5wVbhiu4WFQ
Les amis je dois m’en aller
Je n’ai plus qu’à jeter mes clés
Car elle m’attend depuis que je suis né
L’Amérique
J’abandonne sur mon chemin
Tant de choses que j’aimais bien
Cela commence par un peu de chagrin
L’Amérique
Mais
L’Amérique (x 2)
Je veux l’avoir et je l’aurai
L’Amérique (x 2)
Si c’est un rêve je le saurai
Tous les sifflets de train
Toutes les sirènes de bateau
M’ont chanté cent fois la chanson de l’Eldorado
De l’Amérique
Les amis je vous dis adieu
Je devrais vous pleurer un peu
Pardonnez-moi si je n’ai dans les yeux
Que l’Amérique
Je reviendrai je ne sais pas quand
Cousu d’or et brodé d’argent
Ou sans un sou mais plus riche qu’avant
De l’Amérique
L’Amérique (x 2)
Je veux l’avoir et je l’aurai
L’Amérique (x 2)
Si c’est un rêve je le saurai
Tous les sifflets de train
Toutes les sirènes de bateau
M’ont chanté cent fois la chanson de l’Eldorado
De l’Amérique
L’Amérique (x 2)
Je veux l’avoir et je l’aurai
L’Amérique (x 2)
Si c’est un rêve je le saurai
L’Amérique (x 2)
Si c’est un rêve je rêverai
L’Amérique (x 2)
Si c’est un rêve je rêverai
Siffler sur la colline
https://www.youtube.com/watch?v=_IY1fNs0Tps
Wo-o (x 4)
Je l’ai vue près d’un laurier elle gardait ses blanches brebis
Quand j’ai demandé d’où venait sa peau fraîche elle m’a dit
C’est d’rouler dans la rosée qui rend les bergères jolies
Mais quand j’ai dit qu’avec elle je voudrais y rouler aussi
Elle m’a dit
Elle m’a dit d’aller siffler là-haut sur la colline
De l’attendre avec un petit bouquet d’églantines
J’ai cueilli des fleurs et j’ai sifflé tant que j’ai pu
J’ai attendu attendu elle n’est jamais venue
(Zaï zaï zaï zaï) (x 4)
À la foire du village un jour je lui ai soupiré
Que je voudrais être une pomme suspendue à un pommier
Et qu’à chaque fois qu’elle passe elle vienne me mordre dedans
Mais elle est passée et tout en me montrant ses jolies dents
Elle m’a dit
(x 2)
Elle m’a dit d’aller siffler là-haut sur la colline
De l’attendre avec un petit bouquet d’églantines
J’ai cueilli des fleurs et j’ai sifflé tant que j’ai pu
J’ai attendu attendu elle n’est jamais venue
(Zaï zaï zaï zaï) (x 4)
(Wo-o) (x 6)
Salut les amoureux
https://m.youtube.com/watch?v=m1NducmpB_Q&feature=youtu.be
Les matins se suivent et se ressemblent
Quand l’amour fait place au quotidien
On n’était pas faits pour vivre ensemble
Ça n’suffit pas toujours de s’aimer bien
C’est drôle hier on s’ennuyait
Et c’est à peine si l’on trouvait
Des mots pour se parler du mauvais temps
Et maintenant qu’il faut partir
On a cent mille choses à dire
Qui tiennent trop à cœur pour si peu de temps
On s’est aimés comme on se quitte
Tout simplement sans penser à demain
À demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelquefois se passent un peu trop bien
On fait c’qu’il faut, on tient nos rôles
On se regarde on rit on crâne un peu
On a toujours oublié quelque chose
C’est pas facile de se dire adieu
Et l’on sait trop bien que tôt ou tard
Demain peut-être ou même ce soir
On va se dire que tout n’est pas perdu
De ce roman inachevé, on va se faire un conte de fées
Mais on a passé l’âge on n’y croirait plus
On s’est aimés comme on se quitte
Tout simplement sans penser à demain
À demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelquefois se passent un peu trop bien
Roméo Juliette et tous les autres
Au fond de vos bouquins dormez en paix
Une simple histoire comme la nôtre
Est de celles qu’on n’écrira jamais
Allons petite il faut partir
Laisser ici nos souvenirs
On va descendre ensemble si tu veux
Et quand elle va nous voir passer
La patronne du café
Va encore nous dire, salut les amoureux
On s’est aimés comme on se quitte
Tout simplement sans penser à demain
À demain qui vient toujours un peu trop vite
Aux adieux qui quelquefois se passent un peu trop bien
Il était une fois nous deux
https://www.youtube.com/watch?v=o5DOBfDDYQs
https://youtu.be/6WIWGvjmy1o
Souviens-toi c’était un jeudi
Souviens-toi on avait suivi
Le chemin des amoureux
C’était il était une fois nous deux
Souviens-toi c’était le grand jour
Le grand pas vers le grand amour
C’était encore mieux que ça
C’était nous deux il était une fois
Un motel sur la route du port
Un soir banal
Deux clients un veilleur qui s’endort
Sur son journal
Il nous tend à chacun une clé
Nous dit bonsoir
Le matin on avait réservé
Des chambres à part
On n’ose pas montrer qu’on s’aime
À 18 ans à peine
Souviens-toi c’était un jeudi
Souviens-toi on avait suivi
Le chemin des amoureux
C’était il était une fois nous deux
Souviens-toi c’était le grand jour
Le grand pas vers le grand amour
C’était encore mieux que ça
C’était nous deux il était une fois
On a pris le quatorze au hasard
Un peu gênés
Puis ta robe a glissé dans le noir
On s’est aimés
Quand plus tard le garçon est venu
Nous apporter
Deux cafés d’un sourire entendu
Tu t’es cachée
Il n’a pas vu que tu pleurais
L’enfance qui s’en allait
Souviens-toi c’était un jeudi
Souviens-toi on avait suivi
Le chemin des amoureux
C’était il était une fois nous deux
Souviens-toi c’était le grand jour
Le grand pas vers le grand amour
C’était encore mieux que ça
C’était nous deux il était une fois
Souviens-toi (souviens-toi)
Souviens-toi (souviens-toi)
Le chemin des amoureux
C’était il était une fois nous deux
Souviens-toi (souviens-toi)
Souviens-toi (souviens-toi)
C’était encore mieux que ça
C’était nous deux il était une fois
Souviens-toi (souviens-toi)
Souviens-toi (souviens-toi)
Souviens-toi (ouuh)
Il était une fois nous deux (souviens-toi)
Ca va pas changer le monde
https://www.youtube.com/watch?v=90rChVMqdn8
https://www.youtube.com/watch?v=8cVDpo7ECSE
C’est drôle tu es partie
Et pourtant tu es encore ici
Puisque tout me parle de toi
Un parfum de femme
L’écho de ta voix
Ton adieu je n’y crois pas du tout
C’est un au revoir
Presque un rendez-vous
Ça va pas changer le monde
Il a trop tourné sans nous
Il pleuvra toujours sur Londres
Ça va rien changer du tout
Qu’est-ce que ça peut bien lui faire
Une porte qui s’est refermée
On s’est aimés, n’en parlons plus
Et la vie continue
Ça va pas changer le monde
Que tu changes de maison
Il va continuer le monde
Et il aura bien raison
Les poussières d’une étoile
C’est ça qui fait briller la Voie Lactée
On s’est aimé, n’en parlons plus
Et la vie continue
Ça va pas changer le monde
Ça va pas le déranger
Il est comme avant le monde
C’est toi seule qui as changé
Moi je suis resté le même
Celui qui croyait que tu l’aimais
C’était pas vrai, n’en parlons plus
Et la vie continue
L’équipe à Jojo
https://youtu.be/f6zjjZwwHAo?si=8M01AVK7O1gtl571
Lulu vendait ses toiles
Jacquot plongeait dans un bistrot
Dédé goûtait les vins
Moi j’étais fort aux halles
Et Gégé lavait les carreaux
Pierrot ne faisait rien
On s’était fait les poches
Pour se payer un vieux tacot
Fleuri sur le capot
Qui rêvait de Provence
Et qui mourut à Fontainebleau
On allumait une cigarette
Et tout s’allumait
Et c’était la fête le quatorze juillet
Il n’y avait jamais un copain de trop
Dans l’équipe à Jojo
Y avait moins de nuits sans guitare
Que de jours sans pain
On partageait tout et on n’avait rien
Qu’est-ce qu’on était fous
Qu’est-ce qu’on s’en foutait
Qu’est-ce qu’on était bien
On louait pour des prunes
Les quatre murs d’un vieux grenier
Tout prêt à s’écrouler
Mais pour toute une fortune
On n’aurait pas déménagé
On allumait une cigarette
Et tout s’allumait
Et c’était la fête le quatorze juillet
Il n’y avait jamais un copain de trop
Dans l’équipe à Jojo
Y avait moins de nuits sans guitare
Que de jours sans pain
On partageait tout et on n’avait rien
Qu’est-ce qu’on était fous
Qu’est-ce qu’on s’en foutait
Qu’est-ce qu’on était bien
Lucienne a mis les voiles
Et Jacques s’est payé un bistrot
Où André boit de l’eau
Je n’suis plus fort aux halles
Roger inspecte les impôts
Pierre cherche du boulot
J’ai changé de guitare
Mais j’ai gardé comme un cadeau
Cet air qui me tient chaud
Du fond de la mémoire
Celui de l’équipe à Jojo
On allumait une cigarette
Et tout s’allumait
Et c’était la fête le quatorze juillet
Il n’y avait jamais un copain de trop
Dans l’équipe à Jojo
Y avait moins de nuits sans guitare
Que de jours sans pain
On partageait tout et on n’avait rien
Qu’est-ce qu’on était fous
Qu’est-ce qu’on s’en foutait
Qu’est-ce qu’on était bien
Le chemin de papa
https://www.youtube.com/watch?v=Z_DYO9rVlc0
Il était un peu poète et un peu vagabond
Il n’avait jamais connu ni patrie ni patron
Il venait de n’importe où allait aux quatre vents
Mais dedans sa roulotte, nous étions dix enfants
Et le soir autour d’un feu de camp
On rêvait d’une maison blanche en chantant
Qu’il est long qu’il est loin ton chemin papa
C’est vraiment fatiguant d’aller où tu vas
Qu’il est long qu’il est loin ton chemin papa
Tu devrais t’arrêter dans ce coin
Mais il ne nous écoutait pas et dès le petit jour
La famille reprenait son voyage au long cours
À peine le temps pour notre mère de laver sa chemise
Et le voilà reparti pour une nouvelle Terre promise
Et le soir autour d’un feu de camp
Elle rêvait d’une maison blanche en chantant
Qu’il est long qu’il est loin ton chemin papa
C’est vraiment fatiguant d’aller où tu vas
Qu’il est long qu’il est loin ton chemin papa
Tu devrais t’arrêter dans ce coin
Et c’est ainsi que cahotant à travers les saisons
C’est ainsi que regardant par-dessus l’horizon
Sans même s’en apercevoir, notre père nous a semés
Aux quatre coins du monde comme des grains de blé
Et quelque part au bout de l’Univers
Roule encore la vieille roulotte de mon père
Qu’il est long qu’il est loin ton chemin papa
C’est vraiment fatiguant d’aller où tu vas
Qu’il est long qu’il est loin ton chemin papa
Tu devrais t’arrêter dans ce coin
Les Daltons
https://www.youtube.com/watch?v=FCDeatCY-aU
À la place des crayons, ils avaient des limes
En guise de cravates des cordes de lin
Ne vous étonnez pas si leur tout premier crime
Fut d’avoir fait mourir leur maman de chagrin
Tagada tagada voilà les Dalton (x 2)
C’étaient les Dalton
Tagada tagada y a plus personne
Ils s’étaient débrouillés pour attraper la rage
Et ficeler le docteur qui faisait les vaccins
Et puis contaminèrent les gens du voisinage
S’amusant à les mordre puis accusaient les chiens
Tagada tagada voilà les Dalton (x 2)
C’étaient les Dalton
Tagada tagada y a plus personne
Un conseil mon ami avant de les croiser
Embrasse ta femme serre-moi la main
Vite sur la vie va te faire assurer
Tranche-toi la gorge et jette-toi sous l’train
Tagada tagada voilà les Dalton (x 2)
C’étaient les Dalton
Tagada tagada y a plus personne
Comme tous les jours leurs têtes augmentaient d’vingt centimes
Ils étaient vaniteux et avides d’argent
Ils se livrèrent eux-mêmes pour toucher la prime
Car ils étaient encore plus bêtes que méchants
Tagada tagada voilà les Dalton (x 2)
C’étaient les Dalton
Tagada tagada mais y a plus personne
La complainte de l’heure de pointe
https://www.youtube.com/watch?v=27RX3bkCXAQ
(x2) Dans Paris à vélo
On dépasse les autos
À vélo dans Paris
On dépasse les taxis
Place des fêtes on roule au pas
Place Clichy on roule pas
La Bastille est assiégée
Et la République est en danger
(x2)
Dans Paris à vélo
On dépasse les autos
À vélo dans Paris
On dépasse les taxis
L’agent voudrait se mettre au vert
L’Opéra rêve de grand air
À Cambronne on a des mots
Et à Austerlitz c’est Waterloo
(x4)
Dans Paris à vélo
On dépasse les autos
À vélo dans Paris
On dépasse les taxis