Intra Flashcards
Déf. Psychologie sociale
Comprendre et expliquer les émotions, le cognitif et les comportements influencés par la présence réelle, imaginaire ou implicite d’autrui
Étude systématique de la subjectivité en accordant un rôle des biais cognitifs
3 types d’influence des autres
Réelle, imaginaire et implicite
Influence réelle
Compagnie de d’autres personnes
Influence imaginaire
Les autres sont physiquement absents, mais nous influencent (ex: groupe d’appartenance)
Influence implicite
Éléments de notre environnement qui suggèrent les autres, notre culture et normes sociales (plus difficile à changer)
Pouvoir de la situation
Environnement social nous influence plus que nous le pensons
Pouvoir de la réflexion
Perception que nous avons de la réalité résulte d’une construction mentale (tentons de donner sens aux actions des autres pour nous orienter dans la réalité sociale)
Cherche à se faire de la réalité une représentation socialement efficace qu’intellectuellement injuste
Théories dominantes (6)
Des rôles
De l’apprentissage (punition/renforcement)
De l’échange social (donnant/gagnant)
De l’attribution (comment on apprend le monde social)
De la consistance cognitive (dissonance ou non)
Du traitement de l’information (schéma cognitif)
4 nouvelles approches
Psychologie interculturelle (évolue au sein d’une culture et époque)
Processus automatiques d’adaptation (obéir de façon automatique des routines intégrées)
Psychologie évolutive (cerveau a intégré modes de pensée qui nous ont permis de survivre)
Neurosciences sociales (comprendre support physiologique du comportement social)
Psychologie sociale vs sociologie
Psychologie sociale = s’appuie sur expérimentation et centrée sur l’individu
Sociologie = recours à l’observation et centrée sur les groupes
4 méthodes de recherche en psychologie sociale
Observation = note comportements en laboratoire ou en milieu naturel
Enquête = sondage
Corrélation = identifie liens entre 2 variables (pas nécessairement causaux)
Expérimentation = manipule variables en laboratoire pour trouver liens causaux
Déf. Croyance
Conviction relative à un objet psychologique (pas besoin de preuve seulement un raisonnement)
Déf. Objet psychologique
Tout ce qu’il est possible de se représenter, y compris les individus
Peut être concret ou abstrait et réel ou imaginaire
Ex: bien/mal, religion
Comment se fait l’acquisition de croyance? (3)
Expérience personnelle (avoir vécu l’expérience)
Interaction sociale (une amie lui a décrit)
Inférence (les piqures font mal donc les tatouages aussi)
Théorie des inférences correspondantes
Attribution d’une cause à ce que nous observons
Nous essayons de comprendre le comportement d’une personne en faisant un lien entre le comportement observé et ces traits de personnalité
Si une personne adopte un comportement particulier dans une situation donnée, les observateurs cherchent à déterminer si ce comportement correspond à un trait de personnalité stable chez cette personne.
3 questions qu’on se pose lors de l’inférence
-Est ce qu’elle avait le choix d’agir autrement?
Si pas le choix = pas trait de personnalité
- Est ce que le comportement correspond aux attentes?
Si oui = pas trait de personnalité - Quelles sont les conséquences de ce comportement?
Si une personne adopte un comportement qui semble aller à l’encontre de ses intérêts personnels ou qui produit des résultats surprenants, l’observateur tend à conclure que ce comportement est le reflet de traits de personnalité stables.
DOIT répondre aux qst en ordre!!
Théorie de la covariation de Kelley
Nous procédons à la manière d’un scientifique pour déceler la cause d’un comportement
Attribuent un événement à une cause en fonction de trois types d’informations qu’elles observent
3 critères pour faire l’attribution
Constance
Caractère distinctif
Consensus
Déf. Critère de constance
Est ce que la personne agit toujours de cette façon dans une situation similaire
Si oui=personnalité
Déf. Critère de caractère distinctif
Est ce que la personne se comporte uniquement de cette manière dans cette situation
Oui = pas trait de personnalité
Déf. Critère de consensus
Est ce que les autres personnes se comportent de la même manière
Non = trait de personnalité
Caractéristiques des critères si on attribue son comportement à sa personnalité
Si il agit toujours de la même manière pour la même situation (donc constance)
Si les autres personnes n’agissent pas de la même façon (pas de consensus)
Si son comportement ne dépend pas du stimulus (pas distinctif)
Déf. Erreur d’attribution fondamentale
Tendance à sous-estimer l’influence de la situation et à surestimer les facteurs internes en tant que cause des comportements
Pourquoi l’erreur d’attribution fondamentale (3)
Dans plusieurs cultures = apprend que chaque personne est responsable de ses actes
Si notre attention est dirigé vers quelque chose , on va attribuer la cause à cela (saillante perspective)
Attributions internes demandent - travail cognitif
Modèle tridimensionnel de Weiner
Nos attributions peuvent être catégorisées selon trois dimensions :
•les causes sont internes ou externes,
•les causes sont contrôlables ou non-contrôlables,
•les causes sont stables ou instables.
Impact des types d’attribution
impact sur la réaction affective et les attentes de la personne qui fait l’attribution (qui juge)
Différence stable/instable, interne/externe et contrôlable/incontrôlable?
Stable = toujours, jamais
Instable = change dans le temps
Interne = trait de personnalité, émotions
Formation d’impression définition
Organiser divers éléments d’informations sur une personne pour former un tout
Repose sur l’attribution et l’intégration de l’info
Croyance
Déf. Intégration de l’info
Combinaison des traits attribués qui permet une perception unifiée pour former perception globale
Différence intégration et attribution
L’attribution est l’explication des causes d’un événement ou comportement particulier,
tandis que l’intégration de l’information se réfère à un processus plus large de synthèse et d’évaluation des informations pour former un jugement global.
Discerner les traits de personnalité à partir de 3 sources
Informations fournies par le comportement
Caractéristiques de la situation
Apparence physique
Effet de primauté et effet de centralité (Asch)
Primauté = Accorder + d’importance aux premiers éléments
Centralité = les traits importants structurent l’impression
Différence théorie Asch et Anderson
Indépendance des traits entre eux pour Asch être chaleureux a plus d’influence
Asch = trait de personnalité ont une différente signification selon le contexte
Anderson = intégration des info. des caractéristiques qui ne changent pas
Explication «avare cognitif» pour l’erreur d’attribution fondamentale
Désir de réduire l’effort cognitif
La perception résulte de quoi
construction mentale
Nous passons une bonne partie de notre vie à faire quoi
Tenter de donner un sens aux actions des autres pour nous orienter dans la réalité sociale
L’individu cherche à faire de sa réalité une représentation…
socialement efficace qu’intellectuellement juste
2 systèmes de pensée pour juger environnement social
Système 1:
-Processus automatique, inconscient
-Traiter en peu de temps bcp infos
-Rapidement conclusion avec peu indices
Système 2 :
-Réflexion plus formelle et contrôlée
-Plus lente
-Demande effort cognitif
-Mobilise pensée consciente et fonctions exécutives assurant contrôle de soi
Exactitude de l’impression (3)
Première impression moins fiable quand on se fonde sur observations comportementales plutôt qu’auto-description
Première impression résistante au changement
Extraversion plus facile à percevoir
Schéma déf (4)
Structures cognitives qui permettent d’organiser info complexe
Oriente perception de l’environnement, l’organisation des info en mémoire et inférences
Préfère nombre limité de schéma mais les faire plus grand
Allons au-delà de l’info reçu
Schéma s’appuie sur quoi (3)
-Ensemble d’idées reçues, sur des stéréotypes et des catégorisations
-Scénarios acquis en fonction des normes culturelles
-Scénarios élaborés en fonction de nos expériences et attentes personnelles
Règles heuristiques déf (2)
Processus cognitif permet de faire rapidement des estimations
Chose qu’on a fait pour améliorer notre chance de succès sans le garantir
3 caractéristiques règles heuristiques
- Disponibilité: Juger de la fréquence ou probabilité d’un événement selon la facilité avec laquelle on peut s’en remémorer des exemples (entendre souvent parler d’accident d’avion)
Repose sur le rappel - Représentativité: Estimer probabilité d’appartenance d’un objet à une classe selon ressemblance avec un cas prototypique (correspond à une catégorie ou non)
- Ancrage et justement: Estimer grandeur selon quantité connue puis ajuster cette grandeur
Biais de la positivité
Tendance à exprimer des évaluations positives envers d’autres personnes
Négligence de la ligne de base
Sous-utilisation de l’information statistique (négliger vrais probabilités)
Penser qu’on est différent du reste du groupe, qu’on est pas inclus dans les statistique
Corrélation illusoire
Perception d’une corrélation entre deux variables alors qu’il n’y en a pas (racisme)
Persistance des croyances
Maintien de croyances en présence d’infos qui le remettent en question
Changer une croyance c’est recommencer à zéro, plus facile de les conserver
Soi déf.
Englobe caractéristiques individuelles qui font qu’une personne est différente ou semblable aux autres
Conception multidimensionnelle du soi
Physique, social et spirituelle/croyance
Par William James
Qui introduit psycho en Amérique du Nord
William James
Trois dimensions du soi
Concept de soi (physique, social, croyance)
-Qui je suis
Estime de soi (appréciation de soi-même)
-Comment je m’évalue
-Relié santé mentale
Comportement et soi
-Comment j’agis
Déf. concept de soi
Ensemble des croyances qu’on a sur soi-même
Soi est construit à partir de quoi (4)
Introspection (qd j’y pense qd j’ai un moment)
Observation du comportement des autres à notre endroit (pour acceptation des autres)
Observation de notre propre comportement
Comparaison avec des personnes qui nous ressemblent dans l’environnement (espèce social et compétitif)
Conscience réflexive - introspection (5) + qui
Réfléchir sur soi-même et de s’interroger sur ses propres capacités de réflexion
Observation de nos pensées et sentiments
Andersen et Ross
Seulement chez l’humain
Se concevoir en tant qu’objet
Perception des réactions des autres à notre endroit + infos peuvent être… (3)
Intégrons à notre soi notre perception de ce que les autres pensent de nous
Infos peuvent être:
Sélectionné (effet direct)
Interprété (accepter avec explication)
Déformé (ajouter bloqué)
Théorie de la perception de soi: la perception de notre propre comportement (4)
Déduisons certains de nos traits de personnalité de l’observation de notre propre comportement
Se regarder de l’extérieur de la même façon qu’on regarde les autres
Bénévolat
Bem
Théorie de la comparaison sociale
Si pas de normes objectives définies, on évalue nos habiletés en nous comparons aux autres
Festinger
Postulats théorie comparaison sociale + ascendant et descendant (5)
-Individu a besoin d’évaluer adéquatement ses habiletés
-En l’absence de critère, s’évalue en se comparant aux autres
-Préfère se comparer à des personnes qui nous ressemblent
Ascendant = comparer à des gens qu’on juge supérieur à nous
Peut se produire un effet d’identification
Descendant = comparer à des gens qu’on juge inférieur à nous
Schéma de soi
Généralisation cognitive permet d’interpréter et intégrer messages de l’environnement qui sont reliés au soi
Besoin d’un concept de soi stable peut amener les gens avec une faible estime de soi à faire quoi
À chercher à confirmer leur impression négative d’eux-mêmes (s’accroche plus à l’influence de soi)
Comment arrivons nous à garder un concept de soi stable (2)
Besoin de cohérence interne
-Réinterpréter le passée en fonction de nos croyances et valeurs actuelles (présentisme)
-Réinterpréter les réactions des autres sur nous (vérification de soi)
Conscience de soi publique (2)
- Soi tel qu’il apparait aux yeux des autres
- Dérivé de notre comportement, de nos manières, de notre habillement
Conscience de soi privée (2)
- Soi en contact avec les éléments internes de la personne qui ne sont pas accessibles aux autres
- Constituée de nos attitudes, émotions, pensées, motivations
Importance de la conscience privée (2)
Guide notre comportement en accord avec nos attitudes et valeurs
Amplifie les émotions que l’on ressent par rapport à notre comportement
Estime de soi déf. (2)
Évaluation qu’une personne fait de ses propres caractéristiques
Énormément influencé par les autres
Augmentation de soi déf. (3)
Tendance à se voir plus positivement que ne le justifie la réalité
La plupart pense qu’ils sont au-dessus de la moyenne
Facteur de protection évolutionniste
Augmentation de soi selon McLelland
On fait généralement des tâches modérés pour augmenter notre confiance en soi
Comment se manifeste l’augmentation de soi (3)
- Évaluation positive de nos aptitudes générales
- Illusion de contrôle sur le cours des événements (gambler)
- Optimisme excessif face à notre propre avenir
Biais égocentrique
Exagérer sa part dans l’exécution d’activités collectives
Effet projecteur
Exagérer l’attention que les autres nous portent
Biais de fausse unicité (2)
Considérer comme exceptionnels ses attributs positifs (se considérer spécial)
Même notre nom!
Biais de faux consensus (3)
Considérer ses attributs négatifs comme plus répandus qu’ils ne le sont en réalité
+ pense que tout le monde aime célérité ou politicien comme nous
Réseaux sociaux +++
Biais de complaisance
Attribuer ses succès à des dispositions interne et ses échecs à des circonstances extérieures
Handicap intentionnel (2)
Expliquer à l’avance un échec possible en faisant appel à des circonstances exceptionnelles plutôt qu’à des caractéristiques personnelles
OU fixer barre trop haute
Les biais servent à quoi
Sauver l’estime de soi
Sentiment d’efficacité personnelle déf.
Niveau de confiance dans sa capacité de réussir qu’une personne ressent avant d’entreprendre une tâche
Ceux qui aide c’est parce qu’il pense qu’ils en ont sont capables
Déf. attitude
Évaluation générale positive ou négative d’une personne à l’égard d’un objet psychologique
Un sondage c’est mesurer nos attitudes
Généralement permanent
Qu’est ce qui fait partie de notre concept de soi mais pas de nos attitudes
Croyance
Deux caractéristiques de l’attitude
Direction:
Désigne le caractère positif ou négatif d’une attitude à l’égard d’un objet
Intensité:
Permet de mesurer à quel point une attitude est extrême
4 types d’attitude
Attitude positive (positif élevé, négatif faible)
Deux attitudes/ambivalence (négatif et positif élevé)
Indifférence (négative et positif faible)
Attitude négative (positif faible, négatif élevé)
Déf. force
Degré d’enracinement d’une attitude
Pas la même chose que l’intensité
Forte= durable et résistante au changement
La force est liée à quoi (2)
Certitude subjective:
Conviction relative qu’a un individu d’être dans le vrai (+ enraciné = + certitude)
Centralité:
Position occupé par une attitude dans la hiérarchie de l’ensemble de nos attitudes (si central = impact sur leur vie, ceux qui manifestent le plus souvent)
Deux types d’attitudes
Explicite:
- Accessible à la conscience
- Contrôlable
- Facilement exprimable
Implicite:
- Association inconsciente entre l’objet d’attitude et l’évaluation qu’on en fait
Formation des attitudes (4)
- Conditionnement évaluatif:
Association entre stimulus neutre et un autre stimulus positif ou négatif - Simple exposition:
Répétition d’un stimulus rends son traitement automatique et plaisant - Apprentissage social:
Observation attitudes et comportements des autres - Conditionnement opérant: (Yale)
Expression d’une attitude renforcée ou punie
Deux objectifs des études sur le changement d’attitude
Comprendre ce qui se passe lorsque le changement se produit
Mettre en lumière les stratégies susceptibles de le provoquer
Les théories de changement de l’attitude (4)
Conditionnement évaluatif
Conditionnement opérant (Yale)
Théorie consistance cognitive
Modèle de la vraisemblance d’élaboration cognitive
Conditionnement évaluatif (3)
Peut modifier les associations positives ou négatives qui existent à l’égard d’un objet d’attitude
Associer une célébrité à un produit
Basé sur conditionnement classique
Conditionnement opérant (Yale)
Carl Hovland
Rôle du renforcement est d’inciter l’individu adhérer au message
Trois étapes dans le conditionnement opérant
- Attention:
La première étape consiste à capturer l’attention de l’individu. Pour qu’un message ou un stimulus soit efficace, il doit d’abord être perçu et focaliser l’attention de la personne. - Compréhension:
L’individu doit comprendre le message ou le lien entre le comportement et la conséquence. Cette étape implique une interprétation cognitive du stimulus. - Acceptation:
Même si l’individu comprend le lien entre le comportement et la conséquence, il doit accepter que cette conséquence est valable ou méritée pour que cela influence son comportement futur.
Rétention + action?!
Donc nécessite un traitement cognitif!
4 variables étudiées par Hovland
La source = qui
Le message = quoi
Le public = qui
Le canal = comment
Caractéristiques de la source (3)
QUI dit quoi à qui et comment?
- Crédibilité:
Intention de persuader et compétence
Comme un docteur - L’attrait:
Beauté physique, personnalité - La similarité:
Voir des gens comme nous qui ont un produit
Caractéristiques du message (4)
Qui dit QUOI à qui et comment?
- Appel à la raison ou aux émotions :
Chiffres
Faire attention avec la peur peut les paralyser - Bilatéral ou unilatéral:
Parle des avantages et désavantages ou juste les avantages - Répétition:
- Message direct ou indirect :
Direct = leur dire quoi faire
Caractéristiques du public (2)
Qui dit quoi à QUI et comment?
- Niveau intellectuel ou d’instruction
Message simple si auditoire peu instruit sinon message plus complexe - Niveau d’attention
Distraction peut être néfaste devant un auditoire favorable mais utile devant un auditoire sceptique (pour qu’il continue d’avoir peu d’attention)
Moins d’attention = traitement plus superficiel
Caractéristiques du canal (3)
Qui dit quoi à qui et COMMENT?
- Interaction directe plus efficace (offre flexibilité et percevoir signaux non verbaux)
- Messages complexes sont plus persuasifs dans médias écrits que médias électroniques
- Médias (surtout électronique) ont une influence indirecte, mais réelle
Agenda-setting ce qui est important à discuter
Enrobage
Théorie de la constance cognitive
Besoin présumé de garder une cohérence interne
Deux théories de la constance cognitive qui expliquent le changement d’attitude
Théorie de l’équilibre (Heider)
Théorie de la dissonance cognitive (Festinger)
Théorie de l’équilibre (Heider) (3)
Intègre les attitudes
2 personnes qui s’aiment sont en désaccord
2 personnes qui s’aiment pas mais en accord
= relation en déséquilibre
Lorsque nos relations sont en déséquilibre, nous sommes motivé à rétablir l’équilibre
Recherche de la consistance cognitive comment ça fonctionne
Obéit à la loi du moindre effort
(Moyen le moins coûteux pour rétablir l’équilibre sera choisi)
Théorie de la dissonance cognitive de Festinger (4)
Dissonance cognitive se produit lorsqu’il y a incohérence:
-2 éléments cognitifs liés au même objet d’attitude
-Entre son attitude et comportement
Résulte un état de tension désagréable
Plus les cognitions sont importantes, plus l’état de tension est désagréable et plus la personne voudra réduire dissonance
Ex: Les personnes payés 5$ ont gardé la croyance que l’étude est nulle car ils ont une explication
Pour réduire dissonance lorsque exposé à de nouvelles info. la personne peut… (2)
Changer son comportement, attitudes ou croyances
Rationaliser
-Réinterpréter la réalité pour ne plus voir dissonance
-Se convaincre que les cognitions en cause ne sont pas importantes
Dissonance en raison d’une justification insuffisante (2)
Agir de façon contraire à son attitude = ressent état de dissonance
DONC change son attitude pour le faire correspondre à ce qu’il a fait
Plus les facteurs externes sont forts, plus faible sera le changement d’attitude
Dissonance en raison d’une prise de décision
Une fois leur décision prise, les gens ont tendance à valoriser l’objet choisi et à dévaloriser l’objet rejeté
Modèle de la vraisemblance de l’élaboration cognitive
Clé du changement d’attitude n’est pas dans l’environnement mais dans la tête des gens
Traite pas de la même façon info si elle passe dans voie centrale ou périphérique
Voie centrale vs périphérique
Centrale:
Fait réfléchir la personne
Arguments sont importants
Changement durable
Périphérique:
Enrobage qui détermine la persuasion
Changement superficiel
Selon motivation et capacité
Déf. stéréotype
Croyance partagée portant sur les caractéristiques de personnes appartenant à un groupe
Autostéréotype vs métastéréotype
Autostéréotype:
Se rapportant à notre propre groupe
Métastéréotype:
Croyance d’une personne sur les stéréotypes que les membres des autres groupes ont à propose de son groupe
Déf. préjugé
Attitude, habituellement négative, à l’égard des membres d’un groupe
Déf. discrimination
Comportement différent à l’égard d’un membre d’un groupe
Racisme déf.
Préjugé défavorable et discrimination à l’égard de personne en raison de la couleur de leur peau ou de leur appartenance ethnique
C’est quoi l’échelle de distance de Bogardus
Niveau d’intimité qu’ils seraient prêt à accepter avec des personnes différentes de soi
Racisme traditionnel
Racisme flagrant qui s’exprime par la ségrégation fondée sur la couleur de la peau (s’affiche raciste)
Racisme moderne
Racisme subtil qui s’exprime indirectement et se fonde sur des raisons socialement acceptables
Racisme d’aversion
Racisme qui s’exprime pas un appui aux mesures d’égalité pour les Noirs, mais qui s’accompagne de sentiments négatifs à leur égard
Quota
Causes des préjugés (6)
Histoire
Contexte socioculturel
Pression sociale
Personnalité
Perception
Stimulus
Contexte historique (4)
Groupe dominant s’attribue des qualités intrinsèques qui expliquent à ses yeux sa domination
Groupe dominant attribue des qualités intrinsèques au groupe dominé pour expliquer sa position d’infériorité
Groupe dominant oublie que les contraintes environnementales fixent les positions sociales et croit que ce sont les prédispositions internes qui font cela
Souvent utilisé pour justifier conflits
Contexte socioculturelle
Histoire actuelle
Selon la théorie du conflit de groupe réaliste (Darwin), la lutte entre les groupes pour occuper un territoire et obtenir de la nourriture et des ressources matérielles seraient à l’origine des préjugés
Contexte psychosocial (2)
Socialisation:
Préjugés sont acquis dès un jeune âge, notamment par le biais des modèles
Influence sociale:
Pression sociale peut expliquer l’adhésion (réelle ou publique) à des préjugés
Différent contexte psychologique (2)
Personnalité autoritaire
Orientation à la domination sociale
Personnalité autoritaire (4)
Personnalité caractérisée par la rigidité, la soumission à l’autorité et des préjugés à l’égard de ceux qui sont différents
Pas dû à la socialisation
Souvent associé au racisme, préjugé veut revenir à l’ordre passé
Autoritarisme (meilleur mot)
Veut qu’il y ait de l’ordre, sans l’être nécessairement, est content d’obéir
Croyances personnes autoritaires (7)
Mauvaises manières
Obéissance est ce que devrait apprendre les enfants
Crimes sexuels sur les jeunes devraient être extra puni
Quand une personne a des problèmes = ne doit pas y penser
Astrologie est réelle
Pays a besoin de moins de loi
Conflit et guerre = naturel
Doit se protéger des maladies
Orientation à la domination sociale
Variable de la personnalité qui fait qu’une personne veut que son endogroupe domine les exogroupes ou leur soit supérieur
Deux sous groupes:
Hiérarchie de dominance
Opposition égalité
Échelle orientation dominance sociale (8)
Certains groupes inférieurs
Correct que certains aient plus d’opportunités
Groupes doivent être maintenu en place
Parfois utiliser force contre groupe
Grouper inférieur reste à leur place
Nécessaire dépasser certains groupes
Si groupe reste à leur place = moins de problème
Bonne chose d’avoir bon et mauvais groupe
Catégorisation déf.
Processus par lequel on perçoit les personnes comme membres d’un groupe ou d’une catégorie plutôt que comme des individus
Endogroupe vs exogroupe
Endogroupe:
Groupe social qu’on pense appartenir
Exogroupe:
Groupe qu’on appartient pas
Biaise de l’endogroupe
Tendance à avoir une meilleure opinion à l’égard de son endogroupe que les exogroupes
Perception
+ fréquent
Biais de l’homogénéité de l’exogroupe
La variabilité entre les membres d’un exogroupe est moins grande qu’entre les membres de l’endogroupe
Perception
Corrélation illusoire (2)
Association apparente, mais dénuée de fondement, entre 2 phénomènes
Peut être à l’origine de stéréotype
Déplacement de normes déf.
Évaluation d’individus appartenant à des catégories sociales différentes selon des échelles n’ayant pas la même signification tout en employant les mêmes termes
Théorie de l’entativité (4)
Frontières entre groupes sont claires et rigides
Groupes constituent des entités statiques dont les membres sont similaires, entretiennent des interactions importantes et sont très interdépendants pour atteindre des buts communs
Stratégie d’évitement ou surcompensation
L’évitement réponse crainte de ne pas être accepté dans un groupe perçu comme très homogène et cohésif.
La surcompensation où l’individu essaie d’adopter des comportements ou des attitudes qui le rendent plus conforme aux attentes du groupe, pour éviter l’exclusion.
Théorie incrémentielle
Frontières entre les groupes sont dynamiques et changeantes
Stratégie d’apprentissage
Qu’est ce qui précède la cognition ou l’émotion
L’émotion
Théorie implicite de la personnalité
Inférer les traits de personnalité qui vont ensemble généralement
Corrélation illusoire résulte de quoi
Règles heuristiques de la disponibilité et représentativité
Raisonnement contrefactuel (4)
Reconstruire mentalement la réalité en essayant d’imaginer des actions différentes menant à des conséquences différentes
Permet d’envisager des des options que la confirmation des croyances lui empêcherait
Sortir de rumination mentale
Plus descendant qu’ascendant
Concept de soi se construit de quelle façon
Se construit progressivement par le biais d’interaction
Modèle à 5 facteurs (Big Five)
Ouverture
Consciencieux
Extraversion
Agréabilité
Névrosisme
Comparaison sociale répond à 2 fonctions principales du soi
Permet de nous distinguer des autres
Permet de nous situer dans une collectivité
Caractère dominant peut résulter de quoi
Lié à la situation
Dispositions personnelles
Situation et dispositions personnelles
Qu’est ce qui différencie le concept de soi du schéma de soi
Schéma de soi est plus dynamique
Effet d’autoréférence avec les schémas de soi
Nous remarquons et retenons plus facilement l’information qui se rapporte à des dimensions importantes de notre définition de soi
Quels biais existe pour augmenter estime de soi (6)
-biais égocentrique
-effet projecteur
-biais de fausse unicité et faux consensus
-biais de complaisance
-handicap intentionnel
Pourquoi l’estime de soi
Leary:
Sociomètre pour nous indiquer si on se rapproche de l’exclusion sociale
Théorie gestion de la terreur:
Répond à la peur de la mort
Fonction exécutive du soi (2)
Utiliser notre soi pour guider nos comportements
Englobe régulation du soi et présentation du soi
Régulation du soi (3)
Chercher à contrôler ou modifier nos pensées, nos émotions, nos comportements et nos besoins pour atteindre ses objectifs
Demande bcp d’énergie
Éviter tentations
Soi idéal vs obligé
Idéal:
Ce qu’on veut idéalement
Obligé:
Attentes des autres envers nous
Présentation de soi
Contrôler les impressions que les autres ont de nous
Présentation authentique vs stratégique
Authentique:
Veut être perçu par autrui la façon qu’on se perçoit
Stratégique:
Présenter une image qui correspond à la situation
Théorie de l’esprit
Capacité d’imaginer ce qui a dans la tête des autres
Pourquoi on veut se présenter sous un jour favorable (2)
Besoin de plaire aux autres
Nous convaincre que nous sommes vraiment ce que nous voulons être
Effet caméléon
Ajuster notre comportement à des demandes sociales
Cultures individualiste vs collectiviste
Individualiste:
Soi indépendant
Collectiviste:
Soi interdépendant
Inverse du biais de complaisance
Facteurs qui renforcent le lien entre l’attitude et le comportement (3)
Force
Accessibilité
Spécificité
2 types de raison que les personnes expriment leurs préjugés
Internes:
Homosexualité immoral
Externe:
Éviter réactions négatives avec eux
Qu’est ce qui passe lorsque quelqu’un ne manifeste pas le comportement attendu par les stéréotypes
Stéréotype attribué à cette catégorie change graduellement
Stéréotype change de façon radical
Crée sous-catégorie pour tenir compte de la nouvelle info
Trois conséquences des préjugés
-Prophéties autoréalisatrices:
Stéréotype - comportement - comportement - confirme stéréotype pour percevant - accepte stéréotype à son égard
-Menace du stéréotype:
Pression psychologique qui se rajoute
-Bien-être psychologique:
Meilleur solution pour vaincre préjugés
Interculturalisme
4 interventions pour réduire préjugés en agissant sur les processus cognitifs
-Recatégorisation:
Faire appartenir au même groupe (but commun)
-Individuation:
Met accent sur différence entre individus
-Catégorisation croisée:
Appartient à 2 catégories sociales
-Catégorisation multiple:
Plus de 2 catégories
Multiculturalisme vs interculturalisme
Le multiculturalisme:
Concentre sur reconnaissance et protection des différences culturelles, souvent en permettant aux groupes de coexister de manière distincte.
L’interculturalisme:
Met l’accent sur les interactions, le dialogue et l’intégration des cultures pour construire une société inclusive et unie.