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Adolescence > Intra > Flashcards

Intra Flashcards

1
Q

Définition adolescence

A

Ni enfant ni adulte, passage de transition, période d’exploration
Plan légal: 12 à 18 ans
Bio: début puberté et fin ou fin développement du cerveau

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2
Q

Définition adolescence

A

Ni enfant ni adulte, passage de transition, période d’exploration
Plan légal: 12 à 18 ans
Bio: début puberté et fin ou fin développement du cerveau

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3
Q

Théorie de Stanley Hall

A

Théorie biogénétique de la récapitulation (évolution de l’espèce est inscrite dans les gènes de l’individu)

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4
Q

4 stades de développement selon Stanley Hall

A

Petite enfance (0 à 4 ans) =début de l’humanité ne marchait pas et commence à parler

Enfance (5 à 7 ans) = temps chasseur cueilleur comme jouer à la cachette

Jeunesse (8 à 12 ans) = siècle des lumières où on apprend pleins de choses

Adolescence (13 à 24 ans) = période avant l’apparition de la civilisation/ tumultes et contradictions

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5
Q

De quoi Hall avait raison? (5)

A

Cerveau comporte toutes les neurones à la naissance ce sont les connexions qui se construit

Augmentation humeur dépressive entre 11 et 15 ans

Augmentation déviance chez les garçons au début de l’adolescence

Influencer des médias à l’époque les livres

Agression relationnelle des filles

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6
Q

Pourquoi on pense que les ados ont tous une crise?

A

Recherche sur les adolescents avec problèmes , donc donnait l’impression que tous les adolescents avaient une crise

Pour approche psycho-dynamique, il y a crise car phase de séparation mais pas péjoratif

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7
Q

Est ce que les ados ont réellement tous une crise?

A

1 ado sur 5 vivent une crise (violence , toxicomanie, décrochage) généralement déjà problème à l’enfance

Plupart des ados admirent leur parent, accepte les conseils, adoptent leurs valeurs et se sentent aimés

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8
Q

Qu’est ce que l’approche écologique? (3)

A

Intègre dimensions biologiques, psychologiques et sociales pour étudier les effets interactifs

Importance du contexte global

Comportement explicable par rencontre de l’individu à un moment précis (timing)

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9
Q

Caractéristiques de l’approche écologique (5)

A

Adolescence = résultat interaction entre individu et environnement

L’individu fait des choix

Les personnes qu’il côtoie ont des caractéristiques qui vont façonner leur relation et choix

Personnes sont influencés par le contexte (bidirectionnelle—> on influence le contexte qui nous influence aussi)

Notion de temps et timing

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10
Q

Comment sont les recherches présentement sur l’adolescence? (7)

A

Recherche plus poussée,
ne pas seulement étudier ado en difficulté,
tenir compte du contexte,
regarder individu dans la globalité,
élargie horizon culturel,
comprendre interactions entre génétique et environnement,
rôle central de l’adolescence dans le développement

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11
Q

Est ce que c’est inné ou acquis?

A

On a predisposition à comment on réagis aux stimulus et à l’environnement MAIS interaction bidirectionnelle gène et environnement

Ex: Si beaucoup de gens dans ma famille ont eu le cancer du poumon j’ai une prédisposition à l’avoir, même chose pour les problèmes de santé mentale (je peux atténuer ma probabilité en habitant où il y a peu de pollution ou je peux aggraver en fumant)

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12
Q

Est ce que les ados sont pire ou mieux qu’avant ?

A

Délinquance junévile, tabagisme, consommation d’alcool, canaris et autres drogues, cheminement scolaire = MEILLEUR

Comportement sexuel non protégé (ITSS augmente mais pas grossesse non désiré) et santé mentale = PIRE

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13
Q

Comment est la santé mentale des ados?

A

Satisfaction de vie, TDAH, autisme, anxiété, humeur ont tous augmenté

Par contre consultation de professionnel de santé pour la santé mentale a augmenté surtout pour les filles

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14
Q

4 constats de l’environnement des adolescents d’aujourd’hui

A

La population viellit
Structure de la famille a changé (séparation)
Diversité ethnoculturelle en expansion (+ ouvert sur le monde, - discriminant)
Ados baignent dans technologie (accès info, cyberintimidation)

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15
Q

Systèmes impliquées dans puberté

A

Nerveux et endocriniens

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16
Q

Deux principaux processus interreliés dans la puberté

A

Gonadarche et Adrénarche

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17
Q

Qu’est ce que la gonadarche?

A

Processus menant à la maturation des caractères sexuels primaires tels que ovaires et testicules + seins

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18
Q

Glandes impliquées dans gonadarche

A

Hypothalamus, hypophyse et gonades (testicules et ovaires)

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19
Q

Quel âge s’enclenche gonadarche

A

8 -10 ans filles
10-11 garçons
On ne voit pas encore les changements

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20
Q

Premières caractéristiques qu’on voit apparaitre avec la gonadarche

A

Développement du bourgeon mammaire et scrotum

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21
Q

Processus de la gonadarche (tableau)

A

Hypothalamus
envoie message avec Gn-Rh
Hypophyse
envoie message LH et FSH
Testicules et ovaires
envoie soit testostérone ou oestrogène et progestérone

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22
Q

Qu’est ce que l’adrénarche ?

A

Processus qui mène à la maturation des caractères sexuels secondaires tels que la pilosité, changement d’odeur et voix

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23
Q

Glande impliquée dans adrénarche

A

Glandes surrénales

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24
Q

Quel âge débute adrénarche

A

6 - 8 ans (débute même moment filles et garçons)

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25
Q

Hormone sécrétée pour adrénarche

A

Androgènes surrénaliens

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26
Q

Hormones impliquées dans la croissance

A

Thyroide et androgène
(filles grandissent avant les garçons)

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27
Q

La poussée de croissance se termine quand

A

5 ans après les premiers signes pubertaires

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28
Q

Autres changements à la puberté (4)

A

Os plus denses et fragiles
Morphologie
Extrémités grandissent plus vites (tronc en dernier)
Garçons = + masse musculaire
Filles = + tissus adipeux

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29
Q

Qu’est ce qui détermine la maturité sexuelle

A

Lorsqu’on est apte à se reproduire (premières menstruations et éjaculations)

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30
Q

Quand arrive la maturité sexuelle

A

Menstruations au 4/5 changements

Éjaculation au 1/2 des changements

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31
Q

Qu’est ce qui influence le début de la puberté

A

Génétiques (contribution d’au moins 50%)

Environnementaux (nutrition, facteurs de stress familiaux = pour petits stress déclenchement + tôt, perturbateurs endocriniens)

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32
Q

Qu’est ce que la tendance séculaire

A

Maturation plus précoce, diminution âge des premières règles (tendance + observable chez les filles)

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33
Q

Causes tendance séculaire (4)

A

Alimentation meilleure qualité
Meilleure santé
Perturbateurs endocriniens
Augmentation du poids

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34
Q

Conséquences tendance séculaire (2)

A

Allongement de la période pubertaire
Décalage maturité sexuelle et psychologique

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35
Q

Âge puberté précoce ou tardive

A

Précoce
Filles = avant 7 - 8 ans
Garçons = avant 9 - 10 ans

Tardive
Filles = pas de menstruation à 16 ans
Garçons = pas dév. testiculaire à 14 ans

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36
Q

2 hypothèses pour rythme maturation pubertaire

A

Précocité = puberté précoce interrompt cours normal de développement

Déviance = déviance par rapport à la norme qui mènerait à des difficultés d’adaptation

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37
Q

Résultats des études sur la puberté précoce et tardive

A

Précoce
Filles = consommation, sexualité, troubles de conduite
Garçons = sexualité, consommation, dépressif MAIS + populaire, meilleur estime et leader

Tardive
Filles = réussite scolaire, persévérance scolaire MAIS - populaire avec garçons
Garçons = dépression, image négative et alcool

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38
Q

Hypothèses conclusion avec réalité

A

Pour les filles, hypothèse de la précocité explique mieux

Pour les garçons, hypothèse déviance explique mieux

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39
Q

Qu’est ce qui explique différences individuelles dans la puberté

A

Amplification contextuelle (environnement/social) = peut amener effets + ou - selon contexte comme parents séparés ou rentrée scolaire

Accentuation des vulnérabilités (psychologique/individuelle) = déjà avoir une vulnérabilité aux changements comme anxiété

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40
Q

Qu’est ce que l’image corporelle

A

Perception d’une personne quant à son propre corps DONC subjectif et composante importante de l’estime de soi à l’adolescence

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41
Q

Qu’est ce qu’une bonne image corporelle ?

A

Pas avoir un grand écart entre ce qu’on est et ce qu’on veut être

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42
Q

Stats de satisfaction corporelle

A

50% choisit une silhouette différente de la sienne

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43
Q

Risques de l’insatisfaction de son image corporelle (5)

A

Trouble de la conduite alimentaire
Anxiété
Régimes à répétition
Exercices excessifs
Usage de stéroides

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44
Q

Est ce que l’adolescence est une tempête hormonale ?

A

Non, les changements cérébraux ont plus d’impacts

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45
Q

Lien entre l’estradiol et la testostérone et les comportements

A

Estradiol = symptômes dépressifs au début de la puberté

Testostérone = comportements agressifs

Plus le contexte qui influence

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46
Q

De quelle manière la pensée se complexifie à l’adolescence (4)

A

Nouvelles notions qui étaient trop complexes avant (algèbre)
Relations interpersonnelles (comprendre les autres et les émotions)
Notre image, justice sociale et moralité (création identité, empathie)
Argumentation et prise de décision

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47
Q

Théorie de Piaget

A

Même séquence pour tout le monde dans le même ordre, vitesse peut varier, chaque stade différent du précédent
Acquis dans chaque stade deviennent de plus en plus complexe

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48
Q

Dernier stage selon Piaget

A

Période opératoire formelle (12 ans et plus)

Pensée hypohético-déductive (hypothèse puis expérimentation)
Élaborer hypothèse
Utiliser + 2 catégories de variable à la fois
Envisager tous les cas
Sortir du concret (abstrait)
Planifier et élaborer stratégies

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49
Q

Vraie vie démontre quoi de la théorie de Piaget (4)

A

Utilisons rarement pensée formelle
Tendance à utiliser l’intuition
Dépend des domaines et individus
+ on connait seulement partiellement ces connaissances certains ne le sauront jamais

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50
Q

Et après la théorie de Piaget

A

Pensée formelle n’est pas la fin du développement, nouvelles connaissances acquises
Autre stade = pensée post formelle

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51
Q

Limites théorie de Piaget (5)

A

Sous-estime compétence des enfants
Ignore les facteurs qui influent les performances (différence ind.)
Plusieurs capacités dans le même stade même si elles ne sont pas acquises en même temps
Décrit mais n’explique pas
Ignore ce qui se passe après l’adolescence

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52
Q

Théorie de l’approche du traitement de l’information

A

Développement cognitif = reflet de l’amélioration progressive d’un ensemble d’habiletés cognitives

Grâce à l’étude des dissociations permettant déterminer processus indépendants les uns des autres

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53
Q

4 sous domaines de l’approche du traitement de l’information

A

Compréhension verbale (liée aux apprentissages, éducation, connaissances –> ce qu’on apprend toute notre vie)

Raisonnement perceptif (résolution problèmes, raisonnements logiques et visuospatiaux)

Mémoire de travail ( maintien et manipulation d’info à court terme)

Vitesse de traitement de l’info (rapidité à laquelle les opérations mentales s’effectuent)

3 derniers = intelligence fluide

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54
Q

Changement à l’Adolescence et approche traitement de l’info

A

Intelligence cristallisées se développe durant toute la vie

L’intelligence fluide connait un
pic de développement à la fin de l’adolescence et début âge adulte

55
Q

Caractéristiques du cerveau (4)

A

Atteint poids adulte au début de l’adolescence
Plupart des neurones présentes à la naissance
Augmentation matière blanche (entre les 2 sphères pour mieux communiquer)
Diminution matière grise

56
Q

Trois fonctions neuropsychologiques

A

Attention
Mémoire
Fonctions exécutives

57
Q

Sous catégorie de l’attention (2)

A

Soutenue = amélioration à l’ado
Sélective (se concentrer sur un chose et laisser tomber le reste) = s’améliore pas vraiment

58
Q

Sous catégorie mémoire (4)

A

De travail (retenir num. tel.) = s’améliore pas
Procédurale (faire du vélo, le corps se souvient) = s’améliore pas
Sémantique (capacité de se souvenir) = s’améliore pas
Épisodique (souvenir éléments de notre vie) = s’améliore

59
Q

Sous catégorie fonctions exécutives (3)

A

Inhibition (contraire c’est l’impulsivité) = s’améliore
Flexibilité cognitive (moins rigide, lire couleur plutôt que le mot) = s’améliore
Planification = s’améliore

60
Q

Résumé de ce qui s’améliore dans les fonctions neuropsychologiques (5)

A

Attention soutenue
Mémoire épisodique
Fonctions exécutives –> inhibition, flexibilité cognitive et planification

61
Q

Qu’est ce qui différencie les profils cérébraux

A

Facteurs biologiques
- génétique
- sexe
- sommeil

Facteurs environnementaux
- niveau d’éducation
- activité physique
- période sensible (cerveau = éponge à l’Ado)

62
Q

Définition métacognition

A

une cognition sur une cognition (connaissance et conscience de son activité cérébrale)

Ex: mots mémo techniques, mémoire, communication, attention, compréhension des autres, conscience de soi, autorégulation mentale

63
Q

Métacognition et adolescence

A

Métacognition est favorisée par introspection de l’adolescent et favorise l’introspection (poser des qst sur soi-même)

64
Q

La métacognition entraine quoi

A

l’égocentrisme

65
Q

4 façons d’augmenter l’égocentrisme

A

Auditoire imaginaire (s’imaginer que les autres parlent de nous, nous regardent)

Fabulation personnelle (percevoir que ces propres idées et sentiments sont uniques et importants)

Pensée magique (idée qu’on est invincible, à l’abris des dangers)

Conscience de soi excessive (très très conscient de nous-mêmes)

66
Q

Ce qu’englobe notre soi (3)

A

Description (comment on se décrit extérieur et intérieur pas péjoratif)

Évaluation (estime de soi)

Intégration avec souci de cohérence personnelle (identité)

67
Q

Changement dans le concept de soi à l’adolescence (4)

A

Devient plus abstrait
Moins centré sur l’apparence
Raffinement provient des pressions extérieures
Traits sociaux deviennent plus importants

Plus je vais être en contact avec des gens différents, plus je vais en apprendre sur moi

68
Q

Définition estime de soi

A

Perception que l’on a de notre propre valeur, jugement global de soi

69
Q

Qu’est ce qu’une bonne estime de soi

A

Se voir de façon réaliste

70
Q

Estime de soi influence quoi (3)

A

Affirmation de soi = capable de mettre ses limites
Sentiment d’efficacité personnelle = pouvoir sur sa vie
Anxiété de performance

71
Q

Ce qui constitue l’estime de soi à l’enfance (5)

A

Apparence physique
Acceptation sociale
Compétences sportives
Compétences scolaires
Moralité/conduite

72
Q

Changements dans l’estime de soi à l’adolescence (4)

A
  • Nouvelles dimensions (vie amoureuse et compétence au travail)
  • Changement physique et cognitif donc s’analyse de manière plus complexe
  • Estime de soi diminue au début de l’adolescence (+ chez les filles) et augmente ensuite
  • Augmente à l’enfance, maintient à l’adolescence et augmente jusqu’à 30 ans
73
Q

Qu’est ce qui arrive au développement identitaire à l’adolescence

A

Processus qui accélère à l’adolescence en lien avec tous les changements (contexte de vie où on peut expérimenter)

74
Q

Définition identité (3)

A
  • Sentiment d’être un tout unifié et de vivre en continuité avec soi-même dans le temps (permet de se reconnaitre + reconnu par les autres)
  • Implique un ensemble cohérent de caractéristiques individuelles distinctes
  • Frontière entre ce qui est moi et ce qui n’est pas moi (ouverture d’essayer de nouvelles choses + se laisser influencer un peu)
75
Q

Différents types d’identité

A

Professionnelle, sexuelle, religieuse, quant au style de vie, sur le plan amical, récréative, amoureuse, politique

76
Q

2 catégories dans la théorie d’Erikson

A

12 à 18 ans :
Force adaptative (équilibre entre les 2) = Fidélité à soi-même
Qualité du moi développement (conflit interne) = Identité / diffusion du rôle
Champs d’action des relations = groupe de pairs

18 à 30 ans:
Force adaptative = Amour
Qualité du moi développement = Intimité / isolement
Champs d’action des relations = Partenaire sexuel

** Avoir l’un avant l’autre **

77
Q

Qu’est ce qui arrive si un individu se rattache trop à son identité

A

Comportements discrimants

78
Q

Que se passe-t-il au niveau de la crise à l’adolescence selon la théorie d’Erickson

A

Définition frontières personnelles, exploration des rôles possibles et adoption de ceux qui conviennent le mieux
DONC, importance du monde social

79
Q

Comment se déroule le processus d’identification crucial selon Erickson

A

Imitation et intériorisation des comportements et attitudes (te sentir comme le personnage après être sorti du cinéma)

80
Q

3 composantes dont dépend le développement identitaire (Erickson)

A

Intégrité (tout cohérent)
Continuité
Interactivité (personnes vont nous influencer)

81
Q

Selon Marcia l’identité est le résultat (2)

A

Exploration = expérimentation consciente de différents rôles, buts, valeurs
PÉRIODE DE CRISE + PRISE DE DÉCISION

Engagement = retenir comme siennes certaines avenues spécifiques
RÉSULTAT DE L’EXPLORATION

82
Q

Facettes de l’identité (3)

A

Subjective : personne unifiée malgré les différents rôles, rester soi-même

Comportementale: prévisibilité dans les choix

Structurale: Style d’adaptation que l’individu a développé pour interagir avec son environnement

83
Q

4 types d’états identitaires de Marcia

A

Diffuse = exploration faible et engagement faible
(- avancé, - adaptatif, beaucoup de changements sans retenir qlqch, explorations faite par hasard, délinquants)

Forclose = exploration faible et engagement élevé
(2e - adapté, s’engager sans explorer, rigide, conformiste, perfectionniste, loyauté aux règles)

Moratoire = exploration élevée et engagement faible
(pas un type de personnalité mais un passage, exploration consciente)

Achevée = exploration élevée et engagement élevé
(+ adaptatif, résoudre de façon autonome, se laisser influencer sans imiter)

84
Q

Appuis empiriques théorie de Marcia

A

Plus probable de progresser que régresser

Statuts identitaires stables dans l’adolescence, car influence de la personnalité et environnement pas prise en compte

85
Q

Modèle des styles identitaires modernes (3)

A

Diffus-évitant =individu procrastine et retarde recherche identitaire

Normatif = individu adopte identité “collective” (pose pas de qst)

Informationnel = Individu se remet en qst et recherche des infos

** Moins péjoratif, pas un - adapté **

86
Q

Qu’ajoute - on dans modèle dimensionnel à 3 facteurs ?

A

La reconsidération de l’engagement

87
Q

Types d’états identitaires avec conception moderne

A

Achevée = exploration élevé, engagement élevé, reconsidère peu

Forclose précoce = exploration faible, engagement fort, reconsidère peu

Moratoire classique = exploration élevé, engagement faible, reconsidère beaucoup (+ stressant, tjrs entrain de refaire casse-tête)

Moratoire en mode recherche = élevé dans les trois (morceaux casse-tête qui reste)

Identité diffuse = faible dans les trois

88
Q

Utilité de l’identité (4)

A
  • Créer des relations intimes
  • Bien être personnel élevé, mais dépend de l’âge (moins haut début adolescence)
  • Bonne estime de soi
  • Moins irritabilité, anxiété et dépression (choix cohérents avec nos valeurs)
89
Q

Différence entre filles et garçons avec l’identité (2)

A
  • Attentes différentes
  • Identité se construit avec relations interpersonnelles chez les filles et recherche d’autonomie, indépendance et réussite scolaire chez les garçons
90
Q

Risque masculin avec l’identité (2)

A

Hommes plus à risque de présenter problèmes d’adaptation extériorisés (itinérance, suicide, drogues, prison)

Difficulté adaptation dans société actuelle = identité et socialisation pas adaptées aux changements sociétaux

91
Q

Réseaux sociaux et l’identité (3)

A

Contexte d’exploration identitaire
Permet de joindre des communautés
Facilite développement identité pour ados plus timides

92
Q

Différence entre identité en ligne et hors ligne

A

Non

93
Q

Que se passe-t-il lors de l’appartenance à une minorité culturelle

A

Peut compliquer développement identité (2 ensemble de valeurs, comportements)

94
Q

C’est quoi l’acculturation

A

Processus d’adaptation à une nouvelle culture

95
Q

Que peut-il arriver en ayant deux cultures (2)

A

Si maintient ma culture = risque de se sentir en décalage avec le reste des ados (discrimination, isolement)

Si adopte valeurs de nouvelle culture = tension avec famille (discrimination)

96
Q

Facteurs de protection en ayant 2 cultures

A

Si adopte davantage sa culture + développe sentiment d’appartenance grâce à sa communauté

97
Q

4 stratégies possibles avec acculturation

A

Intégration = intégrer les 2 cultures dans l’identité avec exploration et ce qui nous correspond le plus

Assimilation = adopter principalement éléments de la culture majoritaire

Séparation = Adopter principalement éléments de la culture d’origine

Marginalisation = Prendre aucun des deux (identité diffuse)
PIRE STRATÉGIE

98
Q

Qu’est ce que l’autonomie

A

Capacité et pouvoir de prendre soi-même des décisions qui nous concernent et en assumer la responsabilité

Violation-réaménagement (violation de règles)

99
Q

3 types d’autonomie

A

Comportementale, émotionnelle et cognitive

100
Q

Autonomie comportementale (3)

A

Maitrise des actions et des conséquences

Décider et assumer sans supervision et en dépit des pressions externes

2 dimensions : habiletés décisionnelles et sensibilité aux pressions externes

101
Q

Sensibilité aux pressions des autres (6)

A

Disposition mentale à se laisser influencer dans sa prise de décision (vêtements)

Capacité d’affirmer ses choix

Lien avec l’autonomie émotionnelle

Importance du regard des autres

Parents vs pairs

Différences individuelles

102
Q

Autonomie émotionnelle

A

Maitrise des affects, pulsions, sentiments, frontières personnelles

Liens de dépendance affective de l’enfance doivent évaluer pour laisser place à la différenciation personnelle sur le plan émotionnel (avant on se fiait sur nos parents)

103
Q

Autonomie émotionnelle dépend de… (4)

A

désidéalisation des parents

Parents sont des être multidimensionnels (pas juste parents)

Non dépendance de nos parents

Besoin de préserver son intimité

104
Q

Ce qui favorise l’atteinte de l’autonomie émotionnelle (2)

A

Bonne relation avec parents
Lien d’attachement sécurisant (parent va nous aider si on se plante)

105
Q

En quoi la famille est un milieu social (3)

A

Rôle majeur dans la socialisation (enfance = plus grand agent socialisation
adolescence = pas juste les parents)

Plus grand facteur social de protection de la santé mentale

Rapports dans la famille sont un prototype des rapports dans le futur

106
Q

Deux dimensions dans les styles parentaux

A

Sensibilité : chaleur, affection, support

Contrôle : prescription règles et conventions sociales

107
Q

Influence de la culture sur les styles parentaux

A

Sensibilité est universelle
Contrôle dépend des cultures

108
Q

Contrôle psychologique vs comportemental

A

Psychologique: culpabilité, retrait d’amour, attaques personnelles = difficultés (milieux plus favorisés)

Comportemental : stratégie disciplinaire, supervision = adaptation

109
Q

Styles parentaux (4)

A

Autocratique (- sensible et + contrôle) = exigeant, obéissance, punitions, favorise pas responsabilisation, ++ connait règles mais baisse estime de soi

Désengagé (- sensible et - contrôle) = débordé par ses problèmes, sans supervision, limites pas claires, communique pas avec parents

Démocratique (+ sensible et + contrôle) = flexibilité, parent est le guide, acquisition de l’autonomie, beaucoup soutien sur plan émotionnel, pas de poids égal dans les décisions, limites claires ET expliquées

Permissif (+ sensible et - contrôle) = importance besoins, veut pas utiliser autorité parentale, non punitif, s’attend à recevoir ce qu’il veut

109
Q

Intention contrôle psychologique et comportemental

A

Contrôler ou modifier le comportement de l’enfant

110
Q

Avantages style démocratique

A

Meilleures performances scolaires, plus grand sens autonomie, meilleure compétence sociale (empathie), meilleur estime de soi, facteur protecteur santé mentale

111
Q

Qu’est ce qui permet d’identifier le style parental

A

Pas les comportements en soi, mais l’intention, climat et contexte

112
Q

Limites styles parentaux (4)

A

Existe pas de parents purs
Style différent selon enjeux
Style du père et mère peut être différent
Jeune exerce influence (différent selon l’enfant)

113
Q

Trois types de corrélations génotype-environnement

A

Passives = Ado va hérité bagage génétique + parent donne environnement où ça peut se développer ex: né athlétique et sport avec famille

Actives = Jeune choisit lui-même l’environnement qui correspond à son bagage

Réactives = environnement réagit à l’environnement
ex: enfant impulsif avec prof

114
Q

Rôle parental et niveau socioéconomique

A

Sociaux économiques élevés = contrôle psychologique, autorégulation, + de soutien

Faibles = Punitions physiques, obéissance, - de soutien

** c’est pas qu’ils ne veulent pas, ils ne peuvent pas, car facteurs de risque comme pauvreté, criminalité et stress **

115
Q

Quand la stratégie autoritaire peut être bénéfique

A

Ajustement des stratégies éducatives selon les enfants et les contextes

116
Q

Comment la relation parent-enfant se modifie (3)

A

Moins asymétrique (hiérarchique), plus de coopération

Figure parentale - idéalisée

Compréhension réciproque parents-ado (des fois parents oublient que l’enfant est désormais un ado)

117
Q

Conflits parent-enfant à l’adolescence (4)

A
  • Conflits plus nombreux
  • Pas de conflits majeurs, plusieurs petits conflits
  • Cause du stress pour les 2, mais permet d’apprendre résolution conflit
  • Disputes cachent souvent éléments plus profonds (pour ado cause mineure, mais parents veulent donner des valeurs)
118
Q

Que se passe-t-il dans la vie des parents (4)

A

Propre midlife crise

Perte parents (CHSLD) et enfants (résidence)

Composer transformation relation (enfant prend distance)

Composer avec désidéalisation

119
Q

Mère vs père

A

Mère: parent principal, plus de partage, plus d’influence, sphère scolaire, plus satisfaits, plus démocratique MAIS plus de conflits

Père: Satisfaisante, plus autoritaire, plus de variations, dépend de la structure familiale

120
Q

Intimité des dyades

A

Mère - fille = Plus intime (même genre)

Mère - fils = figure numéro 1

Père - fils = genre commun

Père - fille = dyade moins intime MAIS moins de conflit, car moins proche

121
Q

L’attachement dépend de quoi (2)

A

1- Disponibilité pour répondre aux besoins
- disponibilité émotionnelle
- Réactions appropriées (compréhension)

2- Prévisibilité et constance

122
Q

Comment se développe les modèles d’attachement (4) tableau

A

Représentations cognitives d’un individu sur la valeur qu’il s’accorde et ses attentes quant à la capacité aux personnes de répondre à ses besoins

Lunette d’analyse des relations futures
- Prédictions (est ce que l’autre va être là pour moi)¸
- Interprétations (Continuité de ce qui s’est déjà passé)

Réponses aux questions
- Suis-je digne d’amour
-Puis-je compter sur les autres

Mécanisme d’adaptation

123
Q

Styles d’attachement

A

Sécure : digne d’amour et je peux compter sur les autres
Évitant : digne d’amour et je peux pas compter sur les autres
Anxieux : pas digne d’amour et peut compter sur les autres
Désorganisé : pas digne d’amour et peut pas compter sur les autres

124
Q

Styles d’attachement qui s’attire

A

Anxieux et évitant

125
Q

Style d’attachement à l’adolescence

A

Changement majeur, car devient désormais figure d’attachement pour certaines personnes

Peut varier au cours de la vie

126
Q

Style d’attachement influence quoi (2)

A

Façon de tomber amoureux et le choix des partenaires

Sécure attire des personnes sécures et vice-versa

127
Q

Dilemme d’Attachement de l’Adolescent (4)

A

L’adolescent besoin de ces parents pour réconfort et soutien

Parents veulent aider, mais irrités qu’il soit irrité

Parents : “il nous perçoit comme envahissant”

Adolescent ne veut plus être perçu comme un enfant

128
Q

Comment se créent les styles d’attachement (3)

A

Désorganisé : abus/maltraitance, famille avec traumas. L’autre représente à la fois sécurité et insécurité

Anxieux : compréhension et réconfort, mais non constant, mères anxieuses

Évitant : mauvaise compréhension des besoins, peu de réconfort, mère exigeante ou qui refuse contact

129
Q

Caractéristiques de l’enfant qui crée style d’Attachement (3)

A

Enfants avec besoins particuliers
Tempérament
Bon “fit” parent/enfant
(1/3 des frères et soeurs pas le même style d’attachement)

130
Q

Bénéfices attachement sécure

A

Confiance en l’autre, meilleure compétence sociale, plus grande capacité d’adaptation, meilleur estime de soi, plus d’amis, meilleur santé physique et mentale

131
Q

Changement à l’adolescence fratrie (4)

A
  • proche
  • conflit
  • rivalité (crée notre identité)
    intimité peut augmenter
132
Q

Impacts positifs relation fraternelle positive (3)

A

Favorise estime de soi
Meilleure qualité des liens avec amis
Meilleure adaptation globale

133
Q

Facteurs influence relation fraternelle (5)

A

Position dans la fratrie (cadets bénéficie plus que les aînées)

Sexe (plus de conflits dyades mixtes)

Différence d’âge
- Grosse différence d’âge = protection
- Petite différence = comparaison

Qualité des liens avec les parents
- comment les parents vont aider la relation

Traitement différentiel parental
-parent qui ne traite pas également ses enfants qu’elle soit réelle ou perçue

Adolescence (2 decks)

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