intra Flashcards
catégories de tissus
conjonctif, épithélial, nerveux, musculaire
roles tissus conctif
soutien et union, transmission de force, previent pression friction choque
catégories tissus conjonctif
adipeux, osseux cartilagineux, dense régulier, dense irrégulier, réticuler, lâche
composantes tissus conjonctif
cellules, fibres, substance fondametale
sortes de cellules du tissus conjonctif et nommer fonctions
fibroblastes, cellules vasculaire, cellules adipeuses, leucocytes
types de fibres tissus conjonctif et nommer endroit
collagène, élastique, réticuler
composition fibres de collagène
fibrilles
maladie des os de verres affectent…
collagène type 1
syndrome de marfan affectent…
fibrilline
scorbut carence en…
vitamine c (important pour production de fibres de collagène)
maladie ehlers-dalhos…
type 1, 3, 5 et autres
substance fondamentale est constituée de
GAG et glycoprotéines
roles des gag
Maintient l’eau dans les tissus conjonctifs
- Propriétés mécaniques des tissus
- Rôle nutritif
roles glycoprotéines
Rôles spécifiques et variés (adhérence, signalisation
cellulaire, migration cellulaire, etc.)
principaux tissus conjonctif
Tendon
* Ligament
* Capsule
* Cartilage
* Os
role tendon
Rôle: Relie le muscle à l’os. Sert à
la transmission de la force
composantes du tendon
Fibres (collagène type I): 75-
80%
* Substances fondamentales
(protéoglycanes): 2-3%
* Cellules (fibroblastes): 15-20
%
roles du ligament
Rôles :
o Stabilité articulaire passive
o Guide du mouvement
capsule type de tissus
dense irrégulier
structure de la capsule
La capsule présente deux
épaisseurs : une fibreuse à l’extérieur et la membrane synoviale à l’intérieur ; et forme un manchon
fibreux réunissant les os.
role de la capsule
Stabilité (multidirectionnelle)
- lubrification
structure du cartillage
Fibres de collagène en réseau solide (90% type II)
* Substance fondamentale riche en eau
* Peu de cellules (chondroblastes, chondrocytes)
types de cartillages
Types de cartilage: hyalin (articulaire), élastique et
fibreux
roles cartillages
Stabilité articulaire passive
o Lubrification et nutrition articulaire
o Absorption des stress physiques
nommer toutes les zones cartillage en ordre
zone 1, zone 2, zone 3. tidemark. zone 4, os sous-chondrale
où retrouve-t-on type de cartillage
Le cartilage hyalin ou articulaire
o articulation
* Le cartilage élastique
o oreille, épiglotte
* Le cartilage fibreux:
o disques intervertébraux, ménisques
composition ménisque
Collagène: 90% type I, 10% type II, III, IV et V
* Cellules: fibroblastes et chondrocytes
* Substance fondamentale: protéoglycanes et glycoprotéines
fonctions ménisque
- Lubrification
- Absorption/répartition des chocs
- stabilisation
composition disque intervertébral
Annulus fibrosus collagène type I
* Nucleus pulposus: collagène type II et protéoglycanes
* Faible densité cellulaire (chondrocytes)
types de cellules et fonction de l’os
Structure semblable cartilage, mais calcifiée
* Cellules: Ostéoblastes (synthèse), ostéoclastes
(dégradation), ostéocytes (cellules matures)
roles de l.os
Soutien
* Protection (crâne, côtes, bassin)
* Mouvements (leviers)
* Formation de cellules sanguines
* Stockage de calcium (99% du calcium total)
unité de base de l’os
ostéon
composition périoste
Couche externe = tissu conjonctif dense irrégulier
* Couche interne = couche ostéogénique (ostéoblastes et
ostéoclastes)
* 10% remplacement (« turnover ») par année
os compacte role
support
os spongieux role
réserve graisseuse
Synthèse globules sanguins
classification des os et exemples
os court(os poignet), os long(fémur), os plats(crâne), os irréguliers(vertèbres)
type de déformation
élastique et plastique
fluage définition
contrainte reste constante avec le temps
relaxation des contraintes définition
diminution de contrainte avec le temps (orthèse)
effet chargement cyclique
tissus de déforme à chaque cycle (routine étirements)
Les propriétés mécaniques des tissus
conjonctifs varient d’un tissus à l’autre, en
fonction de:
- L’orientation des fibres
- Des propriétés de chaque type de fibres
* Fibres de collagène (résistance,
rigidité)
* Fibres élastiques (extensibilité) - La proportion des types de fibres
Codex chapitre 1, p. 28-29
iétés des fibres d
Nommer tous les plans
frontal, sagittal, horizontal
axe frontal surtout en…
flexion-extension
axe antéro-postérieur surtout en…
abduction-adduction
axe vertical surtout en….
rotation
régénération définition
Capacité du tissu de se renouveler
et revenir à un état normal pré-blessure.
réparation définition
Capacité d’un tissu à restaurer
partiellement son architecture et sa fonction.
partie du corps humain avec forte réparation
peau, foie, intestin
partie du corps avec moyenne réparation
os, muscles
partie du corps avec faible réaparation
tendon, ligaments, coeur, cerveau
principales étapes processus de réparation
Réponse inflammatoire aigüe (quelques jours)
2. Phase de prolifération (quelques semaines)
3. Phase de remodelage (quelques mois à années)
décrire la phase 1
Intensité maximale à 2-3 jours post-blessure,
mais peut perdurer quelques semaines
* Signes cliniques: chaleur locale, rougeur,
œdème, coloration, douleur
* Réduction des amplitudes articulaires
décrire le processus cellulaire de la phase 1
Activité cellulaire déclenchée par le saignement et le stress physique
2. Activation des cellules résidentes (ex: mastocytes)
3. Infiltration rapide de neutrophiles
4. Infiltration de monocytes qui deviennent des macrophages
inflammatoire (nettoyage du tissu)
5. Transition des macrophages vers le phénotype anti-inflammatoire
(programme la résolution de l’inflammation)
6. Surveillance immunitaire par les lymphocytes
Les études animales nous indiquent que lors
d’une blessure traumatique des tissus
conjonctifs:
– La suppression spécifique des neutrophiles
n’améliore pas les propriétés mécaniques du tissu
blessé
– La suppression spécifique des macrophages nuit à
l’initiation de la phase de prolifération
risque et bénéfices de la phase 1
Nettoie le tissu
* Active la phase
de prolifération
Dommage
secondaire au
tissu non blessé
* Risque de
chronicisation
conduite `tenir phase 1
Repos de la zone lésée
* Entretiens des articulations adjacentes
* Mobilité active et passive faible
* Intervention « contre » l’inflammation
– Froid, compression, décharge, inclinaison
(PEACE— protection. elevation, avoid anti-inflammatoires, compression, education)
Décrire phase de prolifération
Activation des cellules réparatrices (ex: fibroblastes,
chondrocytes, ostéoblastes)
* Fabrication d’une matrice extracellulaire temporaire
(collagène type III)
* Augmentation de la concentration de
glycoaminoglycanes (GAG) et du contenu en eau
Conduite à tenir phase 2
Regain de la mobilité (étirements)
* Mise en charge partielle à complète (selon
douleur)
* Exercices actifs
* Contractions contre résistance faible
* Modalités antalgiques au besoin
* Attention au retour de la douleur, chaleur,
rougeur
Décrire phase 3
Diminution de la densité cellulaire
* Diminution de la densité vasculaire
* Diminution du métabolisme cellulaire
* Diminution de la synthèse de collagène et
GAG
* Augmentation proportion collagène de type I
* Alignement des fibres selon la direction du
stress mécanique
Conduite à tenir phase 3
Exercices fonctionnels
* Renforcement progressif
* Proprioception
* Retour graduel aux activités sportives
Facteurs intrinsèques ou extrinsèques qui
conduiraient à l’apparition de tendinopathies
Mauvais alignement des structures osseuses
– Charge excessive et/ou répétitives dépassant la
capacité physiologique du tendon
– Vérifier les changements dans les habitudes de vie
Décrire ce qui arrive au tendon quand blessé
Augmentation du contenu cellulaire
* Désorganisation du collagène
* Augmentation de la substance fondamentale (augmentation GAG et eau)
* Augmentation désordonnée de la vascularisation
* Changement de type de collagène (I vers III)
Type d’entorse
Grade I: étirement
– Douleur transitoire, pas/peu gonflement, pas de laxité
* Grade II: déchirure partielle
– Douleur sévère, gonflement important, laxité légère à modérée
* Grade III: déchirure totale
– Douleur sévère initiale, gonflement important, instabilité articulaire
* Site de rupture peut varier: ligaments, insertion, arrachement osseux
Définition luxation(capsule)
traumatique
* Processus de guérison similaire à
celui des ligaments
Rétraction (capsulite) processus
Phase 1 (1-6 mois): douleur
importante diffuse
* Phase 2 (4-12 mois): diminution
majeure d’amplitude de
mouvement (patron capsulaire)
* Phase 3 (9-36 mois): retour de la
fonction et diminution de douleur
différence arthrose et arthrite
Arthrose: dégradation du cartilage allant jusqu’à l’usure complète
associée à un remaniement de l’os sous-chondral, une production
d’ostéophytes et des épisodes limités d’inflammation synoviale
* Arthrite: maladie auto-immune entrainant une inflammation
chronique attaquant l’articulation.
pour cartilage différence entre atteinte de la tide-mark ou pas
Une atteinte superficielle n’entrainera pas de
processus de guérison alors qu’une atteinte
profonde pourrait mener à un tissu cicatriciel
(provenant de la vascularisation de l’os)
Conduite `suivre pour guérion cartilage
Maintien de la mobilité
* Éviter les surcharges
* Exercices avec mise en charge modérée (nutrition du cartilage)
* Renforcement (éviter l’atrophie)
* Perte de poids
* Modalités analgésiques et/ou anti-inflammatoires
ménisque articulaire blessure
Peu vascularisé: tiers externe (artères géniculées formant un
plexus capillaire périméniscaux)
* Régénération dépend du site de lésion
* Dépend du type de lésion (Ex: transverse vs longitudinale)
* Déchirure entrainant ou non une souris articulaire
* Chirurgie vs traitement conventionnel
blessure disque intervertébral
Hernie discale: déchirure de l’annulus fibrosus
ayant pour conséquence de laisser passer le
nucleus pulposus
* Protrusion discale écrasant ou non le nerf
* Capacité de régénération faible car il s’agit d’un
tissu pratiquement avasculaire
* Efficacité de la thérapie physique similaire à celui
de la chirurgie
blessure os
Tissu bien vascularisé
* Potentiel de régénération plus élevé
* Lésions:
o Périostite
o Fractures (linéaire, transverse,
spirale, comminutive, de stress, …)
pertes de mobilités réponse des différents types de tissus conjonctif
Muscle :Adaptation relativement rapide et bonne
face à l’application de contraintes
* Tendon, ligament, capsule : Adaptation lente
aux contraintes
* Cartilage :Modifications faibles à l’application de
contraintes. Retour rapide à la situation de repos
* Os : Modification lente aux contraintes, mais
potentiel d’adaptation élevé aux contraintes
répétées
perte de mobilité au niveau du tendon
Déséquilibre synthèse et résorption de la matrice
extracellulaire
* Perte eau et glycosaminoglycanes
* Immobilisation: peu de changement au niveau du collagène à
court-moyen terme
* Formation de lien entre les fibres de collagène (adhérence)
* Désorganisation de l’orientation des fibres de collagène
* Diminution des espaces entre les fibres de collagène
* Dégénérescence cellulaire
(diminution rigidité, résistance et amplitude)
Adaptation à l’immobilisation de la jonction myotendineuse
Jonction myo-tendineuse: site de vulnérabilité au dommage
* Diminution de la surface de contact entre tendon et muscle
peut diminuer de 50% en 3 semaines d’immobilisation
* Changement de type de collagène (diminution type I et
augmentation type III)
* Perturbation du fonctionnement des mécanorécepteurs
perte de mobilité pour le ligament
Immobilisation et vieillissement
* Dégradation > synthèse du
collagène
* Altération des propriétés
biomécaniques
* Affaiblissement des insertions
osseuses
perte de mobilité effet chez la capsule
- Les changements similaires aux ligaments se produisent dans la
capsule articulaire - Attention ! l’immobilisation prolongée favorise le
développement de capsulite rétractile - Ex: taux de capsulite rétractile post-chirurgie de l’épaule
(Koorevaar RCT 2017)
o 15% chez les femmes
o 8% chez les hommes
effet immobilité pour cartilage
Diminution épaisseur
* Irrégularités de surface
* Diminution nutrition (pression gonflement)
* Dégénérescence chondrocytes
* Perte de protéoglycanes
* Adhérences intra-articulaires,
développement tissu graisseux intraarticulaire
effet vieillissement cartilage
Synthèse de moins bonne qualité des protéines non
collagéniques (ex: protéoglycanes, GAG) ce qui diminue le
contenu en eau.
* Diminution du nombre de chondrocytes
* Perte de compressibilité et dégénérescence du cartilage
* Différence en vieillissement normal et arthrose (mécanisme
pathologique)
perte de mobilité disque intervertébral
- Modification collagène type II vers type I
(nucleus pulposus) - Diminution des GAG
- Diminution de la densité cellulaire
- Perte du contenu en eau du nucleus
pulposus et augmentation du stress
mécanique sur l’annulus fibrosus
hernie disqual majoritairement personne agée de…
35-50 ans, apr`s risque diminue a cause de fibrose
pourcentage population souffrir de maux de dos
80%
conséquences immobilisation et vieillissement chez l’os
Déséquilibre synthèse/résorption
(Ostéoblastes/ostéoclastes)
* Diminution tissu organique et
minéral (++ hormones)
* Diminution résistance et élasticité
(risque fracture)
* Ostéoporose (carence vitamine D
et hormone)
pourcentage de diminution de la densité osseuse par année des femmes avec ostéoporose post ménopause
1-2%
pourcentage de diminution de la densité osseuse par mois pour allitement
1 à 1,5%
Principes des exercices thérapeutiques pour remobilisation
Utiliser la capacité d’adaptation des tissus
* Les contraintes adéquates et répétées provoquent
l’adaptation des caractéristiques des tissus
* Mais dans certaines conditions les contraintes peuvent
provoquer des lésions
* Une partie du travail de physio est de trouver le juste
milieu sans augmenter de façon significative et durable
la douleur
effets de la remobilisation pour tissus conjonctifs
- Synthèse de collagène supérieure à la résorption
(selon les contraintes mécaniques). - Ré-orientation des fibres de collagène
- Augmente la quantité de glycosaminoglycanes
et donc l’hydratation - Effet supérieur avec tensions modérées et répétées
effets de la remobilisation pour tendons et ligaments
Récupération des propriétés biomécaniques relativement rapide au
début, mais peut être long avant le retour à la normale
* Temps de récupération généralement plus long que le temps
d’immobilisation
* Retour favorisée par mobilisation passive précoce (sauf si sursollicitation)
* Récupération moléculaire et cellulaire plus lente voire incomplète
effet de remobilisation pour capsule
Important de maintenir une certaine mobilité lorsque possible
o Physiothérapie post-chirurgie de l’épaule diminue
grandement le risque de capsulite rétractile (koorevaar RCT
2017)
o Programme de physio peut être efficace si pris en charge
précocement. Après les 2 premiers mois, l’efficacité pour
diminuer le temps de guérison est mitigée.
effets de remobilisation cartilage
Pas ou très peu de récupération
* Retour partiel des protéoglycanes
dans certaines zones
* Pas de retour au niveau cellulaire
(même après courte
immobilisation)
* Pas de retour des lésions
effet remobilisation os
Mise en charge et
contractions musculaires
importantes
* Membres inférieurs et
tronc plus sensibles
(nécessiterait des
contraintes supérieures
pour revenir à l’état
normal)
* Retour à la normale plus
long que l’immobilisation
def exercices analytiques du physio
Vise à améliorer une qualité biomécanique
spécifique (force, souplesse, etc)
o N’est pas relié à un geste fonctionnel
def exercices fonctionnels du physio
Gestes significatifs pour activités de la vie
quotidienne (marcher, monter escalier, etc)
o Moins spécifique et risque de compensation
* Le rôle du physio est d’utiliser ces 2 types
d’exercices thérapeutiques adéquatement en
fonction du stade de guérison.
définition stabilité
Absence plus ou moins complète de
mouvements dans un ou plusieurs degrés de
liberté
définition mobilité
possibilité de mouvements dans un ou
plusieurs degrés de liberté
Facteurs de stabilité
Configura1on des surfaces ar1culaires (concordance,
congruence)
2. Intégrité des structures péri-ar1culaires
(stabilisateurs passifs)
3. Forces de compression
- Mise en charge et tension passive
- Tension musculaire
4. Pression intra-ar1culaire
différence congordance et congruance
Concordance/discordance (forme)
- Congruence (recouvrement): assurée par
les structures périarticulaires au repos
aspect du loose-pack (position de repos)
Congruence articulaire minimale
* Tension peri-articulaire minimale
* Position confortable
aspect du closed-pack
Congruence articulaire maximale
* Tension peri-articulaire maximale
* Extrême de mouvement
définition mobilité physiologique
Rotation autour d’un axe, avec degrés
de liberté
Mouvements volontaires
définition mobilité accessoire
Roulements et glissements
ar1culaires
Nécessaires pour la mobilité
physiologique
nommer les 5 positions de départ
Décubitus
o à genoux
o Assis
o Debout
o Suspendu
différence position dérivées et position annexes
Posi9ons dérivées : modificaFon des appuis
* Posi9ons annexes : modificaFon de la posiFon des
membres
facteurs limitants l’amplitude maximale
Contact osseux
* Résistance passive des muscles. Souvent les
muscles mul;-ar;culaires
* Tension structures péri-ar;culaires
* Apposi;on des masses musculaires
* É;rement de la peau
Une diminution de la mobilité passive peut -etre de cause
anatomique ou non anatomique
exemple de cause non anatomique
peur, douleur, age, inflammation
une cause anatomique peut-être liées à une structure
articulaire ou extra-articulaire
exemple de dérangement articulaire
Désinsertion d’un ménisque
* Souris articulaire
* Tumeur
* Ostéophytes
* Ossification hétérotopique
* Mauvaise position des os
cause de diminution de mobilité à cause d’une raison extra-articulaires
Le muscle:
o Spasme musculaire
o Maladie neuro-musculaire (Dystrophie musculaire)
o Myosite ossifiante
Autres causes extra-articulaires
* Maladie collagène (ex: maladie
Dupuytren)
* Peau (ex: brûlure, cicatrice,
ulcère de Buruli)
définition contracture
- Pas de défini,on consensuelle
- Inhabilité à bouger passivement dans l’amplitude
normale
*Nommée selon la posi,on où se retrouve le membre (flexus pour flexion)
Patron musculaire définition
- Patron de limitation particulier à chaque
articulation associé à une atteinte de la capsule
entière - Proportion de limitation des mouvements
relativement aux autres
Classifica9on de Cyriax: 5 types de sensa9on anormales
Spasme musculaire
* Capsulaire (combiné à amplitude réduite)
* SensaFon de vide
* Os à os (dans une arFculaFon où ce n’est pas la sensaFon de
fin de course normale ou encore relié à amplitude réduite)
* À ressort
Classifica9on modifiée de Kaltenborn
Normales
* Molle
* Ferme
* Dure
* Les mêmes sensaFons sont anormales si:
* Surviennent trop tôt dans l’amplitude
* Surviennent dans une arFculaFon où elles ne sont
pas normales
* SensaFon de vide
information général sur un bilan articulaire
Nom du sujet
– Âge du sujet
– sexe du sujet
– Nom de l’évaluateur
– Date et heure
nformation sur la mesure dans un bilan articulaire
Articulation et côté*
– Mouvement évalué et type*
– Amplitude (idéalement 0-180)*
– Information subjective (venant du patient)*
– Sensation de fin de mouvement lors du passif*
– Instrument et déviation standardisation
contre-indication du bilan articulaire
Interdic2on de bouger
Exemples:
* Fracture ou luxa9on récente
* Post-op (selon le protocole opératoire)
* Myosite ossifiante (amplitude passive)
précautions pour bilan articulaires
Surtout pour l’évalua1on passive:
* Douleur aiguë
* Infec1on ou inflamma1on (stade aigu)
* Prise d’analgésique/relaxants musculaires
* Immédiatement suite à immobilisa1on prolongée
* Présence de fragilité osseuse (ostéoporose, fx en
voie de guérison)
* Hypermobilité, subluxa1on ou antécédent de
luxa1on
que doit-on standardiser pour faire un bon bilan articulaire
Posi1on de départ
* Repères osseux
* Force u1lisée (en passif)
* Effort du pa1ent (encouragement)
* Instrument u1lisé
nommer modalités pour augmenter l’amplitude articulaire
! Prévention
! Mobilisations passives continues
! Étirements
! Mobilisations et manipulations articulaires
! Autres
méthodes globales
Définitions mouvements passifs
dans toute l’amplitude permise, sans
garder la position finale, à l’aide
d’une force extérieure
- Utile lorsque les mouvements actifs
peuvent être dommageables ou
lorsque le patient est trop faible.
quand utiliser mobilisations passives continues
- Suite à un remplacement articulaire (ex: prothèse de genou)
- Vérifier l’alignement et les frottements
paramètres de la mobilisations passive continue
Amplitude (toute l’amplitude vs les capacités du patients)
* Durée (généralement en heures)
* Vitesse (lent, ex: 1 cycle par min)
avantages de la mobilisations passive continue
- Études portent surtout suite à un
remplacement articulaire au genou (PTG) - Résultats conflictuels
- Principaux avantages (lorsque min
2h/jour et débuté tôt): - Amélioration de la flexion:
- Diminution temps d’hospitalisation
- Diminution temps en requis en
physiothérapie - Diminution des doses d’antidouleur
- Diminution des autres chirurgies
- Peu d’avantages pour l’extension
CPM contre indications
Fusion articulaire
– Infection
– Fracture non-consolidée
CPM précautions
Ostéoporose
– Compression nerveuse périphérique
– lymphoedème
Les étirements passifs statiques
améliorent la performance sportive ?
faux
Les étirements diminuent le risque de
blessure
faux
Les étirements diminuent la douleur
post-exercice
faux
Nommer Principes des étirements
Alignement
Stabilisation
Spécificité
nommer paramètres étirements
Intensité
Vitesse
Durée
Fréquence
# de répétitions
définition alignement pour étirement
*Confort du patient
*Efficacité de l’étirement
* Affecte la quantité de tension dans les tissus (et amplitude)
* Alignement de l’articulation à étirer
* Alignement des articulations adjacentes
*Stabilisation des articulations adjacentes pour limiter les
compensations (encore plus important pour les muscles multiarticulaires)
type de stabilisation pour étirements
Manuelle
* Poids du corps
* Surface ferme
* Ceintures ou autres outils de contention
que veut-on dire quand on parle de spécificité pour les étirements
Étirer la structure choisie (articulaire ou musculaire)
type de structure à étirer
Articulaire: le muscle ne doit pas être allongé
*Musculaire: il faut placer toutes les articulations
dans les positions contraires à l’action du muscle
Paramètres des étirements: Intensité contraintes
Moins bien caractérisé que pour le
renforcement musculaire
* Zone élastique
* Faible à modérée
* Confortable (minimiser l’irritabilité)
* Minimiser spasme
* Progression
Paramètres des étirements: Vitesse contraintes
Lente
o Éviter contraction réflexe
o Précaution près de
l’amplitude maximale
o Diminue le risque de
blessure
Paramètres des étirements: Durée
Min. 6 sec
Généralement 15 à
30 secondes
Muscle > structures
articulaires
Paramètres des étirements: fréquence contraintes
- Exercices intermittents aussi
efficaces que les continus - Durée totale vs fréquence (ex: 1 x 1
min ou 4 x 15 sec) - Nombre de répétition par séries (2 à
5)…ou jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de
gain - Nombre de séries par jour (1 à 3)
- Nombre de séances par semaine
(entre 2-3 et 7 jours semaine)
JUGEMENT CLINIQUE POUR ADAPTER FRÉQUENCE
types d’étirements
statiques, dynamique, précontractions
Types d’exercices statique
Étirements intermittents (passifs ou actifs)
Étirements continus (passifs) (orthèse, platre etc)
Qu’est ce qui est le meilleur entre exercices intermittents et exercices continues
L’efficacité des étirements intermittents est autant sinon
meilleure que celle des étirements continus
* Les étirements continus sont beaucoup plus difficile à
supporter
* Les étirements continus sont gardés pour certaines
pathologies spécifiques.
* Ex: Orthèse de correction de la scoliose
types d’étirements dynamique
Étirements actifs: Amplitude complète
Étirements balistiques: Haute vélocité, rythmique, fin de
mouvement
Nommer méthode des étirements avec contraction
-PNF(contracter-relacher et tenir relacher)
CRAC
expliquer methode de contracter relacher
Position extrême de l’articulation
2. Contraction du muscle rétracté (pousse contre thérapeute): avec ou
sans mouvement (contracter-relâcher vs tenir-relâcher), intensité forte
(75-100% CMV, mais plus faible (20-60%) serait aussi efficace),
maintien (5-10 sec)
3. Relâchement
4. Étirement passif
La contraction du muscle provoquerait une inhibition lui permettant de
relâcher
Expliquer méthode du crac
Position extrême de l’articulation
2. Contraction du muscle rétracté (pousse contre thérapeute): sans
mouvement, intensité forte (75-100% CMV, mais plus faible (20-
60%) serait aussi efficace), maintien (5-10 sec)
3. Relâchement
4. Contraction des muscles antagonistes aux muscles rétractés
que montre les études animales sur l’efficacité des étirements
Études animales:
*adaptation tissu conjonctif
* Meilleur alignement des fibres de collagène
* Augmentation de la masse
* Augmentation de la zone plastique
*Dans le muscle: nombre de sarcomères
*Étirement de longue durée et faible intensité plus efficace
*30 min par jour d’étirement en cours d’immobilisation prévient en
partie la perte d’amplitude (surtout tissu conjonctif)
que montre les études sur l’efficaité des étirements sur les humains
* 8 a 22% amplitude
*Gain surtout à court terme
*Pas de méthode reconnue comme supérieure de façon
absolue
*Orthèses: effet positif, mais paramètres variables
*Tolérance à l’étirement vs augmentation de
« l’extensibilité » des tissus.
endothénon c’est quoi
entoure fascicule primaire, secondaire et tertiaire
epithénon c’est quoi
entoure les fibres et le tendon
parathénon cest qioi
entoure tendon complet
fibroblastes roles
responsables de la production et du maintien du contenu de la matrice. Ils sont
également responsables du remodelage du tissu.
fibrocytes c’est quoi
mature de fibroblastes moins actifs
dans quel type de tissus conjonctif sont présentes les fibres de collagène
tous les tissus conjonctif
propriété des gag
hydrophiles, attirent l’eau
point faible du tendon
jonction myotendineuse
vari ou faux le cartilage contient peu de cellules et est avasculaire
vrai
le matériau ostéoide est constitué de quoi
protéoglycanes, des glycoprotéines et
des fibres de collagène
le matériau ostéoide est constitué de quoi
protéoglycanes, des glycoprotéines et
des fibres de collagène
À quoi sert un arthromètre
Mesure force vs angle souplesse
Différence nce entre luxation et subluxation
luxation complet des structures articulaires et subluxation cest partielle
qu’est ce que la pression de gonflement
les protéglycanes sous formes conprimés font rentrer de l’eau