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ÉTHIQUE ET PRATIQUE PROF > INTRA > Flashcards

INTRA Flashcards

1
Q

résumé the corporation

A

grande place des corporations dans nos vies

seul intérêts : profits, capitalisme

gens vulnérables donc vont travailler à 10c de lheure

expatriation

pétrochimique

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2
Q

pourquoi l’éthique est une préoccupation pour les dirigeants

A
  • perception du public = importante
  • investisseur doit être responsable
  • si scandale : entreprise petut fermer complètement donc pérennité de l’organisation en jeu
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3
Q

definition éthique

A

déterminer si action et bonne ou mauvaise et pour juger des motifs et des conséquences d’un acte

elle indique ce qu’est un comp innaproprié et la façon de se conduire pour éviter de nuire aux autres

«pincipes moraux qui vont auu-delà des exigences légales

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4
Q

éthique fondamentale

A

principe de base qu’on s’appuie pour déterminer ce qui est bon ou mauvais

(est-ce qu’on se base sur l’intention ou les actions)

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5
Q

éthique appliquée

A

on ajoute une donneé

c’est l’éthique fondamentale mais avec un contexte, dans l’analyse

l’application de la norme

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6
Q

éthique des affaires

A

pratiques de gestion des affaires et des hommes

Si l’éthique renvoie communément à un ensemble de règles, de normes nécessaires à la bonne conduite des actions, alors, au sein d’une organisation donnée, elle concerne à la fois ses pratiques de gestion des affaires et des hommes, ses modes managériaux, les comportements de ses salariés au travail ainsi que l’ensemble de ses relations avec les parties prenantes »

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7
Q

distinction éthique-morale

A

éthique : ensemble de règles et de conduites partagées et typiques dans une société donnée (disctinction entre bon ou mauvais)

morale : dimension universelle, normative, fondée sur la discrimination entre bien et mal (pas spécifique à un truc)

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8
Q

dilemme éthique

A

c’est un dilemme éthique lorsque le comportement fait l’objet de la décision de quelqu’un qui entraînera des conséquences négatives por lui ou pour d’autres que lui

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9
Q

conditions essentielles d’un dilemme éthique

A
  1. choix
    - situatioon qui necessite un choix entre plusieurs options
  2. pouvoir décisionnel
    - prise de décision doit être unilatéral
  3. impact
    - au moins un impact négatif sur une personne ou un groupe de personne
  4. considérations éthiques
    - considérations doivent être prises pour maintenir une relation harmonieuse entre les personnes concercnées
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10
Q

causes d’un écart de conduite dans l’entreprise

A

cause première : la prise de décision éthique
- faille dans le processus de décision éthique de l’acteur

cause sous-jacente : l’environnement

cause profonde : le leadership

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11
Q

dilemme 7 generation

A

WM = bcp de pression de distribution et + contrôler, perdrait les valeurs liés à la RSE

comités, enviro= important

avec les investissement ils achetent des nouveaux locaux et embauche,

avantages :
- forte croissance, bcp d’emplis, plus productifs ?

désavantages :
- perte de l’image, diminution des valeurs et de la marque

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12
Q

l’éthique comme outil d’aide à la réflexion (lecture)

A
  1. cerner le problème
  2. déterminer s’il s’agit d’un problème, dilemme ou d’un enjeu
  3. déterminer les valeurs
  4. considérer le contexte
  5. reconnaitre les conséquences sur autrui
  6. être sensible aux personnalités
  7. prendre une décision
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13
Q

éthique des affaires / appliqueé

A

quand on pratique l’éthique appliquée il y a :

  • code d’éthique
  • déontologie (ex : comptab;le)
  • fond d’investissements s’en vont aux bons endroits
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14
Q

quels ont les 3 objectifs du développement durable

A
  1. créer de la richesse
  2. préoccuper des intérêts de ses employés et des population locales
  3. protéger l’environnement
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15
Q

quels sont les 3 mécanismes encadrant le comportement des entreprise dans la gouvernance sociétale

A
  1. marché
  2. contrôle social
  3. conformité
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16
Q

qu’est-ce que ça prend pour avoir un bon code d’éthique

A
  • c’est une référence indispensable qui sert à guider les comportements
  • faut que la haute direction aigt instantanément quand il y a un manquement au code d’éthique
  • cohérent et issu d’une réflexion stratégique
17
Q

modèle de reindenbanch et robin (développement morale au sein des organisations)

A

** les organisations peuvent avancer ou reculer dans leur stade de dev morale

  1. organisation amorale
    « c’est éthique tant qu’on ne se fait pas prendre »
    - culture hors la loi –> vivre en prenant des risques, jouer avec le feu
  2. organisation légaliste
    « jour sur le terrain de la légalité, réagir aux problème »
    - tant que c’est légal tout va bien (profitent quand manque de lois
  3. organisation réactive
    - forte pression sociale
    - recherche d’équilibre entre bénéfices et éthique «éthique paie »
    - préoccupation pour les parties prenantes, citoyen responsable, orientation sociétale
    * * sont réactives, font semblant d’avoir de l’éthique
  4. organisation éthique émergente
    - ** premier stade de faire preuve d’un véritable intérêt pour les questions éthiques
    - bonne perception de l’éthique mais manque d’organisation et de planification à long terme
    - nombreux outils éthiques : comité, médiateur,
    - + proactive
  5. organisation éthique
    - intérêt partagé entre les résulats éthiques et économiques
    - éthique = partie intégrante du developpement des missions et des stratégies
    - analuse FFOM
    - la culture d’entreprise est planifiée et gérer de façon à être morale
18
Q

définition RSE

A

RSE = ensemble des obligations, légales ou voontaire qu’une entreprise doit assumer afin de passer sur un modèle de bonne citoyenneté dans un milieu donné

  • interprétée comme la façon dont les entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales et économiques à leur valeur, culture et la prise de leur décision
  • RSE et profitabilité
  • RSE est rentable : + une entreprise se lance activement dans les efforts envi. + les employés sont engagés
  • RSE et la réputation
19
Q

pyramide de la RSE selon Carrol

A
  1. philantrophique
    - être un bon citoyen, faire du bien à la communauté « désiré par la société»
    aimer son prochain
    - selon caroll, moins imporante mais elle est désirée par la société « on s’intéresse au bien de l’humanité sans attendre en retour »
  2. responsabilité éthique
    « attendu par la société »
    - Juste, honnête, bon
    - pas tenu par des lois, tu fais ce qui est bon profondément
  3. responsabilité légale
    « respecter les lois exigé par la société »
    - règle du jeu
  4. resposabilité économique
    « être profitable : éxigé par la société »
    - profit à la demande des consommateurs
20
Q

quelles sont les limites de la pyramide de la RSE

A
  1. ne donne aucune indication sur ce qui se passe lorsque les 2 ou plusieurs responsabilité entre en conflit
  2. classement reflète une hiérarchisation et ait naître une confusion dans la priorité que nous octroyons aux quatre domaines (philantrophie selon lui moins importante)
  3. ne permet pas de voir les interactions entre les différentes dimensions du modèle
21
Q

modèle de donaldson et preston

A

plein de parties prenante qui ont une contribution directe sur l’entreprise. L’entreprise est performante quand elle considère les intérêts d’un grand groupe

syndicat
fournisseur
employé
clients
investisseur
gouvernement
22
Q

partie prenante (définition ISO 2600)

A

l’ISO définit les parties prenantes comme : tout individu ou groupe ayant un intérêt dans les activités ou décisions d’une organisation

23
Q

critères pour déterminer les parties prenantes

A
  1. relationnelle
  2. contractuelle
  3. légitimité
  4. droits
  5. contributions
  6. attributions (pp se définissent à partir d’un ensemble d’attributions spécifiques : pouvoirs, légitimité, urgence)
24
Q

la norme ISO 26000

A
  • 500 experts
  • 90 pays et 40 organisation internationales représenant les consommateurs, gouvernement, industrie etc
  • concerne tous types d’organisation (publiques, privées, but non lucratif etc)
  • norme internationale qui n’est pas destinée à une certification
25
Q

quels sont les 7 principes de base en RSE

A
  1. redevabilité
  2. transparence
  3. comportement éthique
  4. reconnaissance des intérêts des parties prenantes
  5. respect du principe de légalité
  6. prise en compte des normes internationales de comportement
  7. respect des droits de l’hommme
26
Q

quelles sont les principales théorie en éthique des affaires

A
  1. courant conséquencialiste
    - égoisme
    - utilitarisme
  2. le contractualisme
    (direct/ indirect = truc non codifiés)
  3. formalisme
    - droits moraux
    - justice (distributive, procédurale, punitive, compensatoire)
  4. théorie des vertus morales (sollicitude)
27
Q

courant conséquencialiste

A

différence avec éthique fondamentale qui se base sur l’intention

égoïsme :

  • elle a pour objet l’intérêt de l’acteur
  • plus légitimes éthiquement

utilitariste

  • elle produit plus davantage pour le plus grand nombre de personnes
    1. bien voir les parties prenantes
    2. établir avantage /inconvénent pour chaque
    3. voir ensuite le plus grand nombre d’inconvénients
28
Q

courant contractualiste

A
  • fondé sur le principe de la négociation et sur le critère du consentement mutuel

2 classes d’obligations :

  1. directe = principes universels et de normes locales
  2. indirectes : implicite et non condifié

faire référence au mirage d’el dorado

29
Q

théorie formalisme

A
  1. droits moraux
    (une décision éthique est celle qui permet le mieux de maintenir et de protéger les droits et privilèges fondamentaux

gestion : comparer des plans d’actions en fonction de leur effets sur les droits des parties prenantes et choisir le plan qui protège le mieux ces droits

  1. justice
    * *perception, on se compare
  2. justice distributive (il se compare)
  3. justice procédurale (mirage)
  4. justice interactionnelle (dignité)
  5. punitive (punition doit être cohérente et proportionnelle au tort causé par l’écart de conduite
  6. justice compensatoire (dédomagement)
30
Q

théorie des vertus morales

A

**ON SE BASE SUR L’INTENTION pour juger si l’action est bonne ou non **

ex : 
honnêteté
intégrité
fiabilité
équité
altruisme
respect
31
Q

les odeles de prise de décision

A
  1. cavanagh et coll
  2. collins denis
  3. processus de la décision éthique : dilemme à l’internationale
32
Q

modele de de Cavanagh et coll

A

modèle intégrer

  1. rassemble les faits entourant la décision éthique
  2. voir si elle est acceptable selon les critères suivant :
    - utilité
    - droits et devoirs
    - justice
    - sollicitude/vertus
33
Q

modele de denis collins

A

7 questions :

  1. quelles sont les parties prenantes affectées
  2. action bénéfique pour moi (égoisme)
  3. action supportée par mon groupe social (relativisme)
  4. action supportées par lois nationales
  5. action favorise le plus grand bien d’un grand nombre de personnes touchées (utilitarisme)
  6. Est-ce que l’action traite chaque partie prenante avec respect et dignité (justice interationnelle)
  7. . est-ce qu’une personne vertueuse agirait ainsi ?

limites :

  • vertues pas clair
  • incorpore pas toutes les théories
  • très subjectif
34
Q

définition universalisme

A

éthique universelle : s’applique à tous les individus dans une même situation peu importe la culture le sexe, religion etc

35
Q

relativisme éthique vs relativisme culturel

A

éthique : relative à une société donnée

culturel : impossible de déterminer une morale absolue ou universelle et que les valeurs morales ne valent qu’à l’intérieur des frontières culturelles

36
Q

processus de dilemme à l’international

A

le modele accorde la première place à l’universalisme

losanges = 2 filtres

1e test : hypernormes donc en lien avec universalisme

2e test en lien avec les autres cultures donc relativisme
–> si non = libre espace moral (normes pas cohérentes avec d’autres normes mais au moins respecte les hypernormes

si oui = normes cohérentes (avec la culture ainsi que

cest intéractif : on peut faire des aller retour

défi : mettre en oeuvre une démarche globale toute en tenant compte des sensibilités culturelles locales

37
Q

qu’est-ce que la consultation

A

Une personne, ou une équipe, supposée compétente est consultée par une autre personne, un groupe ou une organisation pour émettre un avis sur un problème et indiquer ce qu’il convient de faire

38
Q

consultant interne vs externe

A

interne = sollicité par son expertise

  • il a excellente connaissance du milieu
  • expérience est limitée

externe :

  • peut être appeler pour l’intégralité d’une mission
  • pour aider au lancement d’une démarche et faire accompagner l’action des consultants internes

limites de la consultation externe
- doit investir du temps pour bien connaître le mentalité, système, valeurs et le fonctionnement

les deux n’ont pas d’autorité formelle

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