INC 1 Flashcards
Les trois côtés du triangle du feu figurent :
A — le comburant, le combustible, l’oxygène de l’air
B — le combustible, le matériau qui brûle,
l’énergie d’activation
C — le combustible, le comburant, l’énergie d’activation
C — le combustible, le comburant, l’énergie d’activation
Les feux de classe C sont les feux de :
A — liquides ou solides liquéfiables
B — gaz
C — métaux
D — solides
B — gaz
La norme européenne EN 2 range les feux en :
A — quatre catégories définies par les lettres A, B, C et D
B — quatre types définis par les chiffres 1, 2, 3 et 4
C — quatre classes définies par les lettres A, B, C et D
D — quatre classes définies par les chiffres 1, 2, 3, 4
C — quatre classes définies par les lettres A, B, C et D
Les feux d’hydrocarbures (essence, fioul, pétrole) sont des feux de :
A — classe A
B — classe B
C — classe C
D — classe D
B — classe B
Les feux de graisses, huiles, pétrole sont des feux de :
A — classe A
B — classe B
C — classe C
D — classe D
B — classe B
Les feux de métaux sont des feux de :
A — classe A
B — classe B
C — classe C
D — classe D
D — classe D
Les feux de classe A sont des feux de :
A — métaux
B — hydrocarbures
C — graisse, huiles, pétrole
D — matériaux solides
D — matériaux solides
Le mode de transmission de la chaleur dans la masse du matériau, de proche en proche, sans aucun transfert de matière s’appelle :
A — propagation par rayonnement
B — propagation par conduction
C — propagation par convection
B — propagation par conduction
La propagation d’un incendie par projection
de brandons ou escarbilles est une propagation :
A — par conduction
B — par déplacement de gaz en combustion
C — par déplacement de solides en combustion
D — par rayonnement
C — par déplacement de solides en combustion
On considère qu’un incendie provoqué par l’échauffement de conducteurs électriques est dû à une cause :
A — humaine
B — naturel le
C — énergétique
C — énergétique
Pour être utilisable, un point d’eau naturel doit posséder, entre autres, les caractéristiques suivantes :
A — avoir une hauteur d’aspiration qui ne soit pas supérieure à 4 m
B — être à une distance maximale de 500 m des risques à défendre
C — être répertorié, et le cas échéant aménagé
C — être répertorié, et le cas échéant aménagé
Parmi les ressources en eau, les bouches d’incendie font partie des :
A — points d’eau naturels
B — réserves artificielles
C — hydrants alimentés par un réseau de distribution
C — hydrants alimentés par un réseau de distribution
La circulaire n°465 du 10 décembre 1951 fixe la quantité minimale d’eau que les sapeurs-pompiers doivent trouver sur les lieux d’un sinistre. Cette quantité est de :
A – 60 m3 pendant une heure
B – 60 m3 pendant deux heures
C – 120 m3 pendant une heure
D – 120 m3 pendant deux heures
D – 120 m3 pendant deux heures
Un poteau d’incendie doit être implanté à une certaine distance d’une chaussée accessible aux engins d’incendie. Cette distance est de :
A – plus de 1 m et moins de 5 m
B – moins de 2 m
C – plus de 2 nn
D– plus de 2 m et moins de 5 m
A – plus de 1 m et moins de 5 m
La bouche d'incendie modèle 1901 est une bouche de : A – 100 mm B – 2 x 100 mm C – 150 mm D – 65 mm
A – 100 mm
Pour éviter tout risque de gel, une soupape est placée au-dessous du niveau du sol sur la colonne montante d’une Bl. Cette soupape est à une profondeur de :
A – 0,50 m
B – 1 m
C – 1,50 m
D – 1,80 m
B – 1 m
Pour ouvrir une BI, il faut tourner dans le sens de dévisser :
A – 7 tours
B – 9 tours
C – 11 tours
D – 13 tours
D – 13 tours
Lors de l’ouverture d’une BI, 85 % du débit
est obtenu lors :
A – du premier tours
B – des 2 premiers tours
C – des 3 premiers tours
D – des 4 premiers tours
B – des 2 premiers tours
L’ouverture et la fermeture d’un PI de 2 x 100 mm s’effectuent en :
A – 11 tours
B – 13 tours
C – 15 tours
D– 17 tours
D– 17 tours
Si un PI est doté d’un coffre de protection, l’ouverture de celui-ci se fait au moyen :
A – d’une tricoise
B – d’une clé à poteau
C – d’une clé de barrage
D – d’un crochet d’amarre
B – d’une clé à poteau
Pour raccorder entre eux des raccords de type identique qui n’ont pas le même diamètre, on utilise :
A – un raccord de réduction
B – un raccord intermédiaire
C – un coude d’alimentation
D – une division
A – un raccord de réduction
La pièce de jonction qui se monte sur une BI et qui possède deux tubulures de refoulement de 65 mm s’appelle :
A – une division
B – une retenue
C – un coude d’alimentation
D – une crépine
B – une retenue
Pour alimenter, par un ou deux établissements de 70, un engin en relais ou une colonne sèche, il faut utiliser :
A – un coude d’alimentation
B – une division
C – un collecteur d’alimentation
D – une retenue
C – un collecteur d’alimentation
La division dite « mixte » est une division :
A – de 65 x 2 fois 40
B– de 65 x 3 fois 40
C – de 65 x 65 x 2 fois 40
D– de 65 x 2 fois 65
C – de 65 x 65 x 2 fois 40
Des demi-raccords de types différents et de même diamètre peuvent être réunis au moyen :
A – d’un raccord intermédiaire
B – d’un raccord de réduction
C – d’un raccord de transformation
A – d’un raccord intermédiaire
La pièce de jonction qui permet l'évacuation de l'eau dans un établissement, en particulier au pied d'un établissement sur une échelle aérienne,, s'appelle : A – collecteur d'alimentation B – vanne à purge C – crépine D – hydro-éjecteur
B – vanne à purge
Un tuyau souple de 70 mm est rangé dans la catégorie :
A – des petits tuyaux
B – des tuyaux d’aspiration dits « aspiraux »
C – des tuyaux de la lance du dévidoir tournant
D – des gros tuyaux
D – des gros tuyaux
Les tuyaux d’alimentation servent à :
A – acheminer l’eau de la pompe aux lances
B – alimenter la pompe par aspiration
C – transporter l’eau d’un hydrant à l’engin pompe
C – transporter l’eau d’un hydrant à l’engin pompe
Les tuyaux semi-rigides sont des tuyaux :
A – d’alimentation
B – de refoulement
C – d’aspiration et de la lance du dévidoir tournant
C – d’aspiration et de la lance du dévidoir tournant
Les tuyaux qui permettent d’acheminer l’eau de la pompe aux lances s’appellent :
A – tuyaux d’alimentation
B – tuyaux de refoulement
C – tuyaux d’aspiration
B – tuyaux de refoulement
Les tuyaux semi-rigides qui équipent la LDT ont une longueur de : A – 5 m B – 10 m C – 20 m D – 40 m
C – 20 m
On appelle petite lance, une lance de :
A – 20/7
B – 40/14
C – 65/18
D – 100/25
B – 40/14
Une lance à débit variable :
A – est composée d’un fût, d’un robinet et d’un ajutage
B – fait partie des lances spéciales
C – possède un ajutage interchangeable à volonté par le porte lance
C – possède un ajutage interchangeable à volonté par le porte lance
Une grosse lance a un débit de :
A – 58 I/min
B – 250 1/min
C – 500 1/min
D – 1 000 I/min
D – 1 000 I/min
Pour former un « écran de protection », le porte-lance doit utiliser :
A – le jet plein
B – le jet diffusé
C – le jet « bâton »
B – le jet diffusé
Les lances qui s’emploient fichées dans une masse en ignition pour noyer un feu de charbon ou de fourrage sont :
A – des lances auto-régulées
B – des lances-canon
C – des lances Bourgeois
D – des lances pivotantes
C – des lances Bourgeois
Une lance à grande puissance est une lance de
A – 20 – 7
B – 40 – 14
C – 65 – 18
D – 100 – 25
D – 100 – 25
Une petite lance (40-14) a un débit de :
A – 58 l/min
B – 250 l/min
C – 500 I/min
D – 1 000 l/min
B – 250 l/min
Pour réaliser un très long établissement de tuyaux de 110 mm, il faut utiliser :
A – le dévidoir tournant
B – le dévidoir mobile dit « à bobine »
C – le dévidoir automobile
C – le dévidoir automobile
Le véhicule équipé de tuyaux disposés en écheveau qui se déroulent pendant qu'il avance s'appelle : A – dévidoir tournant B – dévidoir mobile C – dévidoir à bobine D – dévidoir automobile
D – dévidoir automobile
En général, les dévidoirs à bobine fixés à l’arrière des FPT sont équipés de :
A – 3 tuyaux de 70x40
B – 4 tuyaux de 70 x 40
C – 5 tuyaux de 70x40
D – 6 tuyaux de 70 x 40
C – 5 tuyaux de 70x40
Le dévidoir tournant est :
A – un véhicule automobile qui déroule les tuyaux en roulant B – équipé de 5 tuyaux souples de 70 mm C – équipé de 80 m de tuyaux à spires de 20 mm D – équipé d'un support
C – équipé de 80 m de tuyaux à spires de 20 mm
Pour soulever une plaque d'égout, il faut utiliser : A – une tricoise B – une clé de barrage C – une clé de poteau D – un crochet d'amarre
B – une clé de barrage
Pour arrêter la circulation de l’eau dans un tuyau sans fermer la sortie de refoulement d’une pompe, on utilise :
A – un obturateur
B – un étrangleur
C – une clé de barrage
B – un étrangleur
Une crépine sert à :
A – maintenir la ligne d’aspiration à une
certaine profondeur
B – arrêter la circulation de l’eau dans
un établissement sans fermer de tubulure
C – éviter l’introduction de boues ou corps solides dans un tuyau d’aspiration
D – manoeuvrer l’ouverture des dispositifs
de protection des poteaux-relais
C – éviter l’introduction de boues ou corps solides dans un tuyau d’aspiration
Pour procéder à l’extinction d’un foyer peu important ou de foyers secondaires difficiles d’accès, on utilise :
A – une pompe électrique
B – un seau-pompe
C – un hydro-éjecteur
D – un DFT
B – un seau-pompe
Pour ouvrir ou fermer une BI, on utilise :
A – une clé de poteau
B – une clé de barrage
C – un étrangleur
D – une tricoise
B – une clé de barrage
Le serrage des demi-raccords des tuyaux s’effectue au moyen :
A – d’une clé de barrage
B – d’une clé à poteau
C – d’une clé de fontainier
D – d’une tricoise ou polycoise
D – d’une tricoise ou polycoise
La commande prioritaire d'un ascenseur dans un bâtiment d'habitation de la 4' famille peut se manoeuvrer au moyen : A – d'une clé de barrage B – d'une clé à poteau C – d'une clé à gaz D – d'une tricoise
D – d’une tricoise
Constitué de l'assemblage fixe d'un seau et d'une pompe à main, le seau-pompe a une contenance de : A – 5 l B – 10 l C – 15 l D – 20 l
C – 15 l