Famille Flashcards
La famille chez moi
La famille chez moi c’est un peu embrouillé, car j’ai de la famille dans trois pays et j’ai trois frères et trois sœurs mais en réalité, ce sont tous des demi-frères et demi-belle-sœurs. J’ai un arbre de famille très compliqué ! Mes grands-parents, ils vivent en Ukraine, ce qui rend la possibilité de les voir très difficile – bien sûr, ça me donne le sentiment d’être assez éloignée d’eux, il est presque impossible de tenir une relation très proche quand on n’entend qu’une voix sur Skype. Bien qu’on ait eu un lien très étroit quand j’étais petite, car c’était ma grand-mère qui s’occupait de moi, c’est devenu difficile de l’entretenir après que ma mère et moi ayons déménagé en Australie. S’ils n’étaient pas si technophobe, on pourrait aussi se voir par appel vidéo, mais l’idée même d’allumer l’ordinateur leur fait dresser les cheveux sur la tête.
Freres soers en Nouvelle Zelande
Quand il s’agit de parler de relation c’est presque pareil avec les cinq de mes frères et sœurs, car ils habitent en Nouvelle Zélande avec mon père, et je ne les ai vu que deux fois. Ici en Australie j’habite avec ma mère, son mari et leur fils, c’est-à-dire mon demi-frère, qui a deux ans et demi. Je suis beaucoup plus proche de lui que je ne le suis avec mes autres frères et sœurs, puisque j’ai vu comment il a grandi et bien entendu je le vois tous les jours et je joue avec lui, donc… Ça rend les choses plus faciles. Mais j’aimerais bien avoir plus de contacts avec mes autres frères et sœurs. Peut-être quand j’aurai fini la terminale, j’irai les voir.
Petit frere
Je pense que j’ai eu de la chance d’avoir une famille si large, même s’il y a des parts d’ombre dans ma situation familiale. J’adore voir comment grandit mon petit frère, ça me donne beaucoup de plaisir de lui apprendre des choses, des langues, de jouer avec lui aussi. Il est comme une petite lueur de joie dans mes jours habituellement assombris par la galère de l’école et du VCE ! En fait, je suis très fière de lui, il est très intelligent, il parle très bien l’anglais et l’ukrainien et il peut même chanter quelques chansons en français et compter jusqu’à trente en français et en italien. Ce n’est pas sans dire que ce ne soit pas difficile de temps en temps, je ne peux pas faire mes devoirs chez moi car il m’appelle toujours pour jouer avec lui, il faut que j’avoue que j’en ai un peu ras-le-bol. Mais en fin de compte, je pense qu’il m’a fait plus mûrir, car j’ai été obligée d’entreprendre des responsabilités familiales après sa naissance à cause du fait que ma mère ait été très mal, donc je sais maintenant que je peux me débrouiller par moi-même.
fille unique, aimerais avoir frere
J’aurais aimé grandir avec un frère ou une sœur, quelqu’un du même âge que moi parce que je crois que si j’avais quelqu’un comme ça avec moi à mon arrivée en Australie je ne me serais pas sentie aussi seule. A mon avis c’est un facteur assez important dans la formation du caractère de gens, donc peut-être j’aurais été plus sociable et capable de me sentir bien en groupe si j’avais eu un frère ou une sœur. Mais je suis très contente de pouvoir avoir un petit frère maintenant !
entendons
Nous nous entendons assez bien ensemble, ma famille et moi, bien qu’on ait des petits accrochages quelquefois, surtout cette année, car je suis plus stressée et je m’enflamme pour un rien. Mais en général je me sens très proche de ma mère, peut-être grâce au fait que nous sommes venues en Australie juste nous deux ensemble sans avoir personne ici et donc on a eu beaucoup d’expériences ensembles ce qui a rendu notre relation plus étroite.
