examen_intra Flashcards
Les premières recherches qui se sont interessées à la santé psychologique et physique des employés ont été initiées par
A. Engels
B. Mayo
C. Marx
D. Maslow
E. Réponses A et C
F. Réponses B et D
A. Engels
B. Mayo
C. Marx
D. Maslow
E. Réponses A et C
F. Réponses B et D
La discipline de la psychologie de la santé au travail
A. S’est répandue au 21ème siècle
B. Est apparue au 19ème siècle
C. S’est développée au milieu du 20ème siècle
D. Est en perpétuel développement
E. Toutes ces réponses
F. Réponses B, C et D
A. S’est répandue au 21ème siècle
B. Est apparue au 19ème siècle
C. S’est développée au milieu du 20ème siècle
D. Est en perpétuel développement
E. Toutes ces réponses
F. Réponses B, C et D
La discipline de la psychologie de la santé au travail
A. Est apparue suite au développement du champ de la psychologie
B. S’est développée au croisement de disciplines telles que la médecine et la gestion
C. S’est développée principalement grâce à deux courants de recherche
D. A émergé en partie grâce à l’intérêt porté à la classe ouvrière dans le système capitaliste
E. Toutes ces réponses
F. Réponses B, C et D
A. Est apparue suite au développement du champ de la psychologie
B. S’est développée au croisement de disciplines telles que la médecine et la gestion
C. S’est développée principalement grâce à deux courants de recherche
D. A émergé en partie grâce à l’intérêt porté à la classe ouvrière dans le système capitaliste
E. Toutes ces réponses
F. Réponses B, C et D
Dans le champ des relations industrielles
A. L’introduction de la discipline de la santé psychologique au travail a eu lieu depuis les années 70
B. La dimension psychologique du travail était prise en compte dès l’apparition du champ des
relations industrielles
C. L’école des relations humaines a initié discipline de la psychologie au travail
D. La prise en compte de la santé psychologique a été développé à cause des conditions de
travail actuelles dans les organisations
A. L’introduction de la discipline de la santé psychologique au travail a eu lieu depuis les années 70
B. La dimension psychologique du travail était prise en compte dès l’apparition du champ des
relations industrielles
C. L’école des relations humaines a initié discipline de la psychologie au travail
D. La prise en compte de la santé psychologique a été développé à cause des conditions de
travail actuelles dans les organisations
La contribution de Taylor à la psychologie de la santé au travail comprend les idées suivantes:
A. Les gestionnaires doivent identifier la façon optimale d’effectuer une tâche
B. Une meilleure connaissance et une meilleure évaluation du personnel
C. La motivation des employés qui passe par les stimuli financiers
D. La mobilisation des employés qui passe par leur implication à l’optimisation de la planification
_A. Les gestionnaires doivent identifier la façon optimale d’effectuer une tâche
B. Une meilleure connaissance et une meilleure évaluation du personnel
C. La motivation des employés qui passe par les stimuli financiers_
D. La mobilisation des employés qui passe par leur implication à l’optimisation de la planification
Au Québec
A. La législation reconnaît explicitement les problèmes relatifs à la santé psychologique au travail
B. Les mêmes dispositions légales sont appliquées autant à la santé psychologique qu’à la santé
physique
C. Le harcèlement est explicitement reconnu
A. La législation reconnaît explicitement les problèmes relatifs à la santé psychologique au travail
B. Les mêmes dispositions légales sont appliquées autant à la santé psychologique qu’à la santé
physique
C. Le harcèlement est explicitement reconnu
La santé psychologique au travail est influencée par
A. Exclusivement par les conditions relatives au travail
B. Les caractéristiques individuelles
C. L’environnement familial
D. Des composantes internes et externes à l’organisation
A. Exclusivement par les conditions relatives au travail
B. Les caractéristiques individuelles
C. L’environnement familial
D. Des composantes internes et externes à l’organisation
L’EQCOTESST révèle que les employés qui ont des conditions de travail difficiles (emplois précaires, à
durée déterminée…) sont généralement
A. Les personnes non syndiquées
B. Les femmes
C. Les employés âgés
D. Les jeunes entre 15 et 24 ans
A. Les personnes non syndiquées
B. Les femmes
C. Les employés âgés
D. Les jeunes entre 15 et 24 ans
Les axes futurs de recherche pour la santé psychologique au travail sont orientés vers
A. L’environnement organisationnel
B. Les caractéristiques individuelles des employés
C. L’implication émotionnelle des employés
D. La prévention
A. L’environnement organisationnel
B. Les caractéristiques individuelles des employés
C. L’implication émotionnelle des employés
D. La prévention
Dans leur récente étude qui porte sur les défis futurs des recherches sur la santé organisationnelle Dubreuil
et al.Identifient plusieurs sous thèmes et défis dont
A. L’évolution de l’environnement technologique
B. La gestion du changement
C. Le développement de la carrière et des compétences des employés
D. La diversité culturelle dans la société et dans les organisations
A. L’évolution de l’environnement technologique
B. La gestion du changement
C. Le développement de la carrière et des compétences des employés
D. La diversité culturelle dans la société et dans les organisations
Un rique psychosocial
A. Est considéré comme tel de par son origine
B. Est un risque pour la santé mentale, physique et social
C. Est engendré principalement par les conditions de travail
A. Est considéré comme tel de par son origine
B. Est un risque pour la santé mentale, physique et social
C. Est engendré principalement par les conditions de travail
La construction d’une démarche de prévention
A. S’amorce par la définition commune des concepts entre les différentes parties
B. Passe par une structure préétablie que les acteurs doivent suivre
C. Est propre à chaque milieu
A. S’amorce par la définition commune des concepts entre les différentes parties
B. Passe par une structure préétablie que les acteurs doivent suivre
C. Est propre à chaque milieu
De manière générale l’autonomie au travail
A. S’est développée dans les dernières années
B. Est illusoire pour les travailleurs autonomes
C. Ne s’est pas développée et de nouvelles formes de contrôles sont apparues
A. S’est développée dans les dernières années
B. Est illusoire pour les travailleurs autonomes
C. Ne s’est pas développée et de nouvelles formes de contrôles sont apparues
Le modèle de Karasek et Theorell
A. Se base sur le niveau de la latitude décisionnel et de la demande psychologique au travail
B. Identifie 4 situations à risque pour les travailleurs
C. Prend en compte les caractéristiques individuelles dans son analyse
A. Se base sur le niveau de la latitude décisionnel et de la demande psychologique au travail
B. Identifie 4 situations à risque pour les travailleurs
C. Prend en compte les caractéristiques individuelles dans son analyse
Le modèle de Karasek et Theorell ainsi que le modèle de Siegrist
A. Ont marqué les recherches pour l’identification des facteurs de risques psychosociaux
B. Sont complémentaires
C. Permettent d’avoir une vision complète des facteurs de risques psychosociaux
A. Ont marqué les recherches pour l’identification des facteurs de risques psychosociaux
B. Sont complémentaires
C. Permettent d’avoir une vision complète des facteurs de risques psychosociaux
Les conséquences des risques psychosociaux pour la santé
A. Commencent par des pathologies minimes et réversibles
B. Se développent en deux phases
C. Portent autant sur la santé psychologique que sur la santé physique
A. Commencent par des pathologies minimes et réversibles
B. Se développent en deux phases
C. Portent autant sur la santé psychologique que sur la santé physique
Le modèle Siegrist
A. Arrive à des conclusions opposées à celles du modèle de Karasek et Theorell
B. Se base sur la notion d’équilibre entre deux concepts
C. Permet d’identifier de nouveaux facteurs de risques par rapport au modèle de Karasek et
Theorell
A. Arrive à des conclusions opposées à celles du modèle de Karasek et Theorell
B. Se base sur la notion d’équilibre entre deux concepts
C. Permet d’identifier de nouveaux facteurs de risques par rapport au modèle de Karasek et
Theorell
La prévention primaire
A. Est un niveau de prévention proactif
B. Peut représenter le seul niveau de prévention dans le cas où elle est bien déployée dans le
milieu de travail
C. Vise les causes et les conséquences des RPS et représente un niveau de prévention complet
A. Est un niveau de prévention proactif
B. Peut représenter le seul niveau de prévention dans le cas où elle est bien déployée dans le
milieu de travail
C. Vise les causes et les conséquences des RPS et représente un niveau de prévention complet
Peuvent représenter des exemples de prévention tertiaire
A. Les programmes de gestion du stress
B. Les programmes de retour au travail
C. La redéfinition des responsabilités dans l’organisation
A. Les programmes de gestion du stress
B. Les programmes de retour au travail
C. La redéfinition des responsabilités dans l’organisation
Cochez la réponse qui correspond le mieux à la définition des RPS
A. Une situation de déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes que lui
impose son environnement et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire
face
B. Des aspects psychologiques de la vie sociale au travail
C. Des risques pour la santé mentale, physique et sociale engendrés par les conditions d’emploi
et les facteurs organisationnels susceptibles d’interagir avec le fonctionnement mental
A. Une situation de déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes que lui
impose son environnement et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire
face
B. Des aspects psychologiques de la vie sociale au travail
C. Des risques pour la santé mentale, physique et sociale engendrés par les conditions d’emploi
et les facteurs organisationnels susceptibles d’interagir avec le fonctionnement mental
Une charge de travail élevée peut avoir pour conséquences
A. L’anxiété
B. Des problèmes de surpoids
C. L’épuisement professionnel
A. L’anxiété
B. Des problèmes de surpoids
C. L’épuisement professionnel
Les conséquences organisationnelles de la surcharge de travail peuvent inclure
A. Un taux élevé d’absentéisme et de présentéisme
B. Une démotivation des employés
C. Une diminution de la créativité des employés
A. Un taux élevé d’absentéisme et de présentéisme
B. Une démotivation des employés
C. Une diminution de la créativité des employés
La charge prescrite
A. Représente simplement la description des tâches pour un poste
B. Évolue avec la dynamique quotidienne du travail
C. Comprend les moyens mis à la disposition de l’employé
A. Représente simplement la description des tâches pour un poste
B. Évolue avec la dynamique quotidienne du travail
C. Comprend les moyens mis à la disposition de l’employé
Dans le modèle de la charge de travail, les ressources réfèrent à
A. L’ensemble des moyens dont dispose un travailleur pour accomplir son travail
B. L’état physique et psychologique du travailleur
C. Notamment aux acquis d’un travailleur
A. L’ensemble des moyens dont dispose un travailleur pour accomplir son travail
B. L’état physique et psychologique du travailleur
C. Notamment aux acquis d’un travailleur
La charge vécue fait référence
A. À la perception d’un travailleur de sa propre charge de travail
B. Aux tâches attendues quotidiennement du travailleur
C. Aux conséquences psychologiques négatives du travail
A. À la perception d’un travailleur de sa propre charge de travail
B. Aux tâches attendues quotidiennement du travailleur
C. Aux conséquences psychologiques négatives du travail
Les sources de tension pour un travail émotionnel
A. Touchent exclusivement les employés des métiers de service en contact avec la clientèle
B. Proviennent de différentes exigences du travail (sa nature, les risques qui y sont liés, etc.)
C. Représentent un facteur de risque psychosocial
A. Touchent exclusivement les employés des métiers de service en contact avec la clientèle
B. Proviennent de différentes exigences du travail (sa nature, les risques qui y sont liés, etc.)
C. Représentent un facteur de risque psychosocial
Parmi les grands facteurs qui influencent la charge de travail nous pouvons citer
A. Les ressources mises è la disposition du travailleur
B. La soutien offert par le supérieur hiérarchique et/ou par les collègues
C. Les capacités du travailleur
A. Les ressources mises è la disposition du travailleur
B. La soutien offert par le supérieur hiérarchique et/ou par les collègues
C. Les capacités du travailleur
Une démarche d’intervention sur la charge de travail
A. Part de l’analyse des trois dimensions de la charge de travail
B. Permet d’enrichir les parcours professionnels
C. Aboutit notamment à une meilleure prévision des ressources
A. Part de l’analyse des trois dimensions de la charge de travail
B. Permet d’enrichir les parcours professionnels
C. Aboutit notamment à une meilleure prévision des ressources
Les situations qui représentent des sources de tension dans le cadre du concept du travail émotionnel
A. La peur de l’accident
B. Le contact avec des patients en souffrance
C. la censure mentale d’un danger lié à l’emploi
A. La peur de l’accident
B. Le contact avec des patients en souffrance
C. la censure mentale d’un danger lié à l’emploi
La définition actuelle du travail émotionnel
A. Porte essentiellement sur les émotions des travailleurs
B. Inclut l’interaction avec les bénéficiaires du travail
C. Porte sur les émotions des travailleurs et leur influence sur celles des bénéficiaires du travail
A. Porte essentiellement sur les émotions des travailleurs
B. Inclut l’interaction avec les bénéficiaires du travail
C. Porte sur les émotions des travailleurs et leur influence sur celles des bénéficiaires du travail
Il est possible de relever un comportement de harcèlement psychologique à travers un ensemble
d’élements tels que
A. Le fait de contester en permanence les décisions d’un même employé
B. L’isolement d’une personne
C. Le fait d’affecter de nouvelles tâches à un employé sans lui demander son avis
A. Le fait de contester en permanence les décisions d’un même employé
B. L’isolement d’une personne
C. Le fait d’affecter de nouvelles tâches à un employé sans lui demander son avis
La violence au travail
A. Peut émaner d’acteurs internes et/ou externes à l’organisation
B. Représente une des premières causes de suicide
C. Porte principalement sur la violence subie de la part du supérieur hiérarchique
A. Peut émaner d’acteurs internes et/ou externes à l’organisation
B. Représente une des premières causes de suicide
C. Porte principalement sur la violence subie de la part du supérieur hiérarchique
En vertu de l’article 5 de la Loi sur les normes du travail, la CNESST (anciennement Commission des
normes du travail) :
A. Gère les plaintes des salariés non syndiqués, les cadres et les cadres supérieurs en matière de
harcèlement psychologique
B. Gère les plaintes de tous les salariés et de tous les cadres
C. Ne gère pas les plaintes des salariés syndiqués en matière de harcèlement psychologique car
cela tient de la responsabilité de leur syndicat par voie de grief
A. Gère les plaintes des salariés non syndiqués, les cadres et les cadres supérieurs en matière de
harcèlement psychologique
B. Gère les plaintes de tous les salariés et de tous les cadres
C. Ne gère pas les plaintes des salariés syndiqués en matière de harcèlement psychologique car
cela tient de la responsabilité de leur syndicat par voie de grief
Le harcèlement psychologique au travail
A. Représente une forme de violence
B. A été intégré à la Loi sur les normes du travail au Québec
C. Englobe explicitement la notion de harcèlement sexuel au Québec
A. Représente une forme de violence
B. A été intégré à la Loi sur les normes du travail au Québec
C. Englobe explicitement la notion de harcèlement sexuel au Québec
Face au harcèlement psychologique l’employeur doit
A. Encourager les employés à résoudre les situations d’eux-mêmes
B. Ne pas se mêler de la situation pendant 30 jours à compter de la date de la rencontre avec
l’employé qui vit une situation de harcèlement afin d’observer les comportements qui font
objet de plainte
C. Agir rapidement afin de remédier à la situation en étant à l’écoute et en prenant les
dispositions nécessaires selon la situation
A. Encourager les employés à résoudre les situations d’eux-mêmes
B. Ne pas se mêler de la situation pendant 30 jours à compter de la date de la rencontre avec
l’employé qui vit une situation de harcèlement afin d’observer les comportements qui font
objet de plainte
C. Agir rapidement afin de remédier à la situation en étant à l’écoute et en prenant les
dispositions nécessaires selon la situation
La prévention du harcèlement psychologique par l’employeur comprend
A. Le licenciement des éventuels harceler en cas de doute
B. L’écoute des employés
C. La sensibilisation des employés
A. Le licenciement des éventuels harceler en cas de doute
B. L’écoute des employés
C. La sensibilisation des employés
La médiation comme voie d’intervention face au harcèlement psychologique
A. Doit constituer le premier recours externe du/de la plaignante
B. Ne peut avoir lieu après une tentative de résolution interne à l’organisation
C. Doit être confidentielle et être assurée par une personne indépendante
A. Doit constituer le premier recours externe du/de la plaignante
B. Ne peut avoir lieu après une tentative de résolution interne à l’organisation
C. Doit être confidentielle et être assurée par une personne indépendante
La médiation offre certains avantages dont
A. Le fait de laisser les personnes décider des solutions à privilégier
B. Le fait de faire appel à une personne impartiale et à l’écoute
C. Le fait d’offrir l’appui psychologique nécessaire au plaignant(e)
A. Le fait de laisser les personnes décider des solutions à privilégier
B. Le fait de faire appel à une personne impartiale et à l’écoute
C. Le fait d’offrir l’appui psychologique nécessaire au plaignant(e)
La harcèlement psychologique au travail
A. Touche plus d’hommes que de femmes
B. Émane le plus souvent du supérieur hiérarchique
C. Est la forme de violence la moins répandue dans les milieux de travail au Québec depuis qu’il
est reconnu dans la loi
A. Touche plus d’hommes que de femmes
B. Émane le plus souvent du supérieur hiérarchique
C. Est la forme de violence la moins répandue dans les milieux de travail au Québec depuis qu’il
est reconnu dans la loi.
En cause de la propagation du harcèlement psychologique
A. L’intensification du travail
B. Les changements organisationnels tels que les restructurations
C. La concurrence entre les employés
A. L’intensification du travail
B. Les changements organisationnels tels que les restructurations
C. La concurrence entre les employés
Les troubles musculo-squelettiques
A. Sont les symptômes qui apparaissent suite à un accident de travail
B. Sont les symptômes qui touchent l’appareil locomoteur, au cou, au dos et aux membres
supérieurs et inférieurs
C. Peuvent avoir pour origine autant les facteurs physiques que les facteurs organisationnels et
psychologiques
A. Sont les symptômes qui apparaissent suite à un accident de travail
B. Sont les symptômes qui touchent l’appareil locomoteur, au cou, au dos et aux membres
supérieurs et inférieurs
C. Peuvent avoir pour origine autant les facteurs physiques que les facteurs organisationnels et
psychologiques
Les premières réflexions de modélisation théoriques des TMS
A. Avaient ignoré les RPS en tant que facteurs de risques influençant les TMS
B. Avaient relativisé le rôle des RPS
C. Avaient orienté les recherches principalement vers les facteurs biomécaniques
A. Avaient ignoré les RPS en tant que facteurs de risques influençant les TMS
B. Avaient relativisé le rôle des RPS
C. Avaient orienté les recherches principalement vers les facteurs biomécaniques
Pour un individu les TMS peuvent avoir pour conséquences
A. La détérioration de sa qualité de vie
B. L’usure prématurée de son organisme
C. Le licenciement
A. La détérioration de sa qualité de vie
B. L’usure prématurée de son organisme
C. Le licenciement
Le premier modèle des facteurs des TMS
A. Avait identifié des facteurs directs et des facteurs indirects
B. A initié l’intérêt des chercheurs vers une catégorie de facteurs au détriment d’autres catégories
C. Avait dès le départ identifié les RPS en tant que facteurs de risques des TMS
A. Avait identifié des facteurs directs et des facteurs indirects
B. A initié l’intérêt des chercheurs vers une catégorie de facteurs au détriment d’autres catégories
C. Avait dès le départ identifié les RPS en tant que facteurs de risques des TMS
Le rapport entre les facteurs de risques psychosociaux et les TMS
A. A été bien établi dans le modèle de Siegrist
B. A fait l’objet de nombreuses études qui se sont basées sur différents modèles de RPS
C. Reste un objet de recherche en évolution
A. A été bien établi dans le modèle de Siegrist
B. A fait l’objet de nombreuses études qui se sont basées sur différents modèles de RPS
C. Reste un objet de recherche en évolution
Selon le modèle des TMS de Bellemare et collègues de 2002, les déterminants des facteurs de risques
sont d’ordre
A. Technique
B. Humain
C. Organisationnel
_A. Technique
B. Humain
C. Organisationnel_
Dans le modèle des TMS proposé par Stock et collègues en 2013.
A. Un certain nombre de déterminants tels que la culture de l’entreprise et l’organisation du
travail influencent les contraintes du travail
B. L’âge et le genre rentrent en ligne de compte dans l’apparition des TMS
C. La charge physique du travail est au coeur du processus de développement des TMS
A. Un certain nombre de déterminants tels que la culture de l’entreprise et l’organisation du
travail influencent les contraintes du travail
B. L’âge et le genre rentrent en ligne de compte dans l’apparition des TMS
C. La charge physique du travail est au coeur du processus de développement des TMS
Les déterminants des contraintes reliées au travail dans le modèle de Stock et collègues (2013) incluent
A. Les exigences du travail
B. Les facteurs personnel
C. L’environnement social du travail
A. Les exigences du travail
B. Les facteurs personnel
C. L’environnement social du travail
En ce qui a trait au lien entre les TMS et les RPS
A. Le soutien social favorise le rétablissement physique dans le cadre de certains TMS
B. Le stress contribue à accroitre certains troubles physiques notamment les inflammations
C. Il n’y a pas de lien entre le stress et la charge physique de travail
A. Le soutien social favorise le rétablissement physique dans le cadre de certains TMS
B. Le stress contribue à accroitre certains troubles physiques notamment les inflammations
C. Il n’y a pas de lien entre le stress et la charge physique de travail
L’organisation du travail
A. Agit sur les facteurs de RPS qui contribuent notamment à l’apparition des TMS
B. Favorise ou prévient l’exposition directe des travailleurs aux TMS
C. Fait partie des déterminants des contraintes qui influencent l’apparition des TMS
A. Agit sur les facteurs de RPS qui contribuent notamment à l’apparition des TMS
B. Favorise ou prévient l’exposition directe des travailleurs aux TMS
C. Fait partie des déterminants des contraintes qui influencent l’apparition des TMS
