examen_final

Question 1

Les recherches fondées sur une approche psychologique du travail et qui portent sur les pratiques professionnelles liées à l’utilisation des TIC montrent

• A. L’apparition de nouvelles contraintes (temporelles, relationnelles, etc.)
• B. Une intensification du travail
• C. Une augmentation de la fréquence du traitement des imprévus

Answer 1

A. L’apparition de nouvelles contraintes (temporelles, relationnelles, etc.)

B. Une intensification du travail

C. Une augmentation de la fréquence du traitement des imprévus

Question 2

Les NTIC et la santé physique

A. Un lien peut exister mais n’a pas fait l’objet de nombreuses études
B. Un lien sous-estimé
C. Les NTIC améliorent incontestablement la santé physique en rationalisant le travail

Answer 2

A. Un lien peut exister mais n’a pas fait l’objet de nombreuses études
B. Un lien sous-estimé
C. Les NTIC améliorent incontestablement la santé physique en rationalisant le travail

Question 3

L’impact des NTIC sur la santé physique et psychologique;

A. Est alarmant
B. Est mitigé
C. Est globalement positif
D. N’a pas été étudié

Answer 3

A. Est alarmant
B. Est mitigé
C. Est globalement positif
D. N’a pas été étudié

Question 4

La révolution numérique a des impacts multiples sur différentes sphères dont notamment;

A. La gouvernance
B. L’innovation et la productivité
C. Les valeurs individuelles

Answer 4

A. La gouvernance
B. L’innovation et la productivité
C. Les valeurs individuelles

Question 5

Les frontières du travail deviennent brouillées face à la révolution numérique. Ce brouillage des frontières
se fait entre;

A. Le travail rémunéré et celui qui ne l’est pas
B. Les emplois dont le sens a changé
C. Les compétences qui ne sont plus les mêmes

Answer 5

A. Le travail rémunéré et celui qui ne l’est pas
B. Les emplois dont le sens a changé
C. Les compétences qui ne sont plus les mêmes

Question 6

Face au développement technologique la perspective techno optimiste préconise certains impacts sur le travail et l’emploi dont;

A. La création d’emplois qualifiés
B. Une meilleure conciliation travail-famille
C. La prévention dans le champ de la SST

Answer 6

A. La création d’emplois qualifiés
B. Une meilleure conciliation travail-famille
C. La prévention dans le champ de la SST

Question 7

Le modèle d’articulation entre la vie personnelle et la vie professionnelle qui est nommé « Intégration »
repose sur le fait que;

A. La vie professionnelle interfère dans la vie personnelle
B. La vie personnelle interfère dans la vie professionnelle
C. Autant la vie professionnelle que la vie personnelle se mêlent et s’intègrent l’une à l’autre sans
prédominance.
D. Les nouvelles technologies de l’information et de la communication intègrent de manière
prédominante le mode de vie de manière générale

Answer 7

A. La vie professionnelle interfère dans la vie personnelle
B. La vie personnelle interfère dans la vie professionnelle
C. Autant la vie professionnelle que la vie personnelle se mêlent et s’intègrent l’une à l’autre sans
prédominance.
D. Les nouvelles technologies de l’information et de la communication intègrent de manière
prédominante le mode de vie de manière générale

Question 8

Le modèle d’articulation entre la vie personnelle et la vie professionnelle qui est nommé « débordement »
repose sur;

A. Une interpénétration incontrôlée du domaine personnel et professionnel
B. Une interférence plus élevée de la vie professionnelle dans la vie privée pour créer un
sentiment de débordement
C. Une perméabilité des frontières de la vie professionnelle

Answer 8

A. Une interpénétration incontrôlée du domaine personnel et professionnel
B. Une interférence plus élevée de la vie professionnelle dans la vie privée pour créer un
sentiment de débordement
C. Une perméabilité des frontières de la vie professionnelle

Question 9

Les enjeux de la révolution numérique portent sur;

A. Les emplois
B. La formation
C. Les institutions
D. Les compétences

Answer 9

A. Les emplois
B. La formation
C. Les institutions
D. Les compétences

Question 10

Les nouvelles technologies de l’information et de la communication;

A. Ont commencé leur apparition lors de la « 3èmerévolution industrielle »
B. Peuvent avoir pour objectif de mieux réagir face à la concurrence
C. Représentent un poste d’investissement important dans les organisations au Québec

Answer 10

A. Ont commencé leur apparition lors de la « 3^èmerévolution industrielle »
B. Peuvent avoir pour objectif de mieux réagir face à la concurrence
C. Représentent un poste d’investissement important dans les organisations au Québec

Question 11

En matière de conciliation travail-vie personnelle, les mesures qui sont le plus appréciées par les employés
sont:

A. Les horaires de travail flexibles
B. Le télétravail
C. Les assurances collectives

Answer 11

A. Les horaires de travail flexibles
B. Le télétravail
C. Les assurances collectives

Question 12

L’émergence du concept de la conciliation travail-famille a été influencé par:

A. L’affluence des femmes sur le marché du travail
B. La croissance de l’utilisation des technologies
C. L’augmentation du nombre de familles monoparentales

Answer 12

A. L’affluence des femmes sur le marché du travail
B. La croissance de l’utilisation des technologies
C. L’augmentation du nombre de familles monoparentales

Question 13

Parmi les éléments qui peuvent réduire le stress lié à la conciliation travail-vie personnelle:

A. Le soutien organisationnel
B. Le contrôle de son travail
C. Les dispositifs de conciliation en entreprise

Answer 13

A. Le soutien organisationnel
B. Le contrôle de son travail
C. Les dispositifs de conciliation en entreprise

Question 14

Parmi les répercussions du déséquilibre de la conciliation travail-vie personnelle on compte:

A. L’insatisfaction conjugale
B. Les tensions musculaires
C. Les troubles alimentaires

Answer 14

A. L’insatisfaction conjugale
B. Les tensions musculaires
C. Les troubles alimentaires

Question 15

Parmi les avantages d’une politique de conciliation travail-famille:

A. Augmenter le niveau de l’engagement des employés
B. Améliorer le climat de travail
C. Recruter plus de femmes dans l’entreprise

Answer 15

A. Augmenter le niveau de l’engagement des employés
B. Améliorer le climat de travail
C. Recruter plus de femmes dans l’entreprise

Question 16

Les caractéristiques qui contribuent à améliorer le sens du travail pour un employé sont:

A. L’autonomie
B. Les occasions d’apprentissage
C. L’utilité sociale du travail

Answer 16

A. L’autonomie
B. Les occasions d’apprentissage
C. L’utilité sociale du travail

Question 17

Les caractéristiques qui contribuent à donner du sens au travail sont:

A. Faire un travail qui respecte ses propres valeurs
B. L’utilité sociale du travail
C. La reconnaissance

Answer 17

A. Faire un travail qui respecte ses propres valeurs
B. L’utilité sociale du travail
C. La reconnaissance

Question 18

Le concept du sens du travail peut être défini de trois manière différentes:

A. Selon la signification du travail soit la valeur et les présentations que l’employé en a
B. Selon l’orientation de l’employé soit ce qu’il cherche dans le travail
C. Selon la cohérence que trouve l’employé entre le travail qu’il accomplit, ses attentes, ses
valeurs ainsi que les gestes qu’il pose dans son travail

Answer 18

A. Selon la signification du travail soit la valeur et les présentations que l’employé en a
B. Selon l’orientation de l’employé soit ce qu’il cherche dans le travail
C. Selon la cohérence que trouve l’employé entre le travail qu’il accomplit, ses attentes, ses
valeurs ainsi que les gestes qu’il pose dans son travail

Question 19

Le concept de conciliation travail-vie personnelle englobe la conciliation de nombreuses facettes de la
vie dont notamment:

A. Les relations sociales
B. Les tâches domestiques
C. La prise en charge des enfants et des parents malades

Answer 19

A. Les relations sociales
B. Les tâches domestiques
C. La prise en charge des enfants et des parents malades

Question 20

Il existe trois formes de conflits qui peuvent se développer et amener un déséquilibre entre le travail et la vie personnelle dont:

A. Le conflit personnel
B. Le conflit de temps
C. Le conflit de comportement

Answer 20

A. Le conflit personnel
B. Le conflit de temps
C. Le conflit de comportement

Question 21

Les études démontrent que la consommation de substances psychoactives est plus élevée ou plus
fréquente chez les personnes affectées à des postes à risque ou à fortes contraintes tels que:

A. Les métiers à fortes responsabilités
B. Les métiers pénibles
C. Les métiers en lien avec les nouvelles technologies

Answer 21

A. Les métiers à fortes responsabilités
B. Les métiers pénibles
C. Les métiers en lien avec les nouvelles technologies

Question 22

Le concept de pratique addictive:

A. Se confond avec le concept de la dépendance
B. Englobe l’ensemble des pratiques de consommation d’une substance psychoactive
C. Porte notamment sur la consommation occasionnelle qui n’entraîne pas de problèmes

Answer 22

A. Se confond avec le concept de la dépendance
B. Englobe l’ensemble des pratiques de consommation d’une substance psychoactive
C. Porte notamment sur la consommation occasionnelle qui n’entraîne pas de problèmes

Question 23

Le concept d’addiction:

A. Est un problème dont les causes sont individuelles mais dont l’organisation subit les
conséquences
B. Comprend des addictions comportementales
C. Peut-être lié à un produit ou non

Answer 23

A. Est un problème dont les causes sont individuelles mais dont l’organisation subit les
conséquences
B. Comprend des addictions comportementales
C. Peut-être lié à un produit ou non

Question 24

Les facteurs de risques des pratiques addictives sont:

A. Les facteurs de risques personnels
B. Les facteurs de risques liés au produit
C. Les facteurs de risques liés aux attentes professionnelles

Answer 24

A. Les facteurs de risques personnels
B. Les facteurs de risques liés au produit
C. Les facteurs de risques liés aux attentes professionnelles

Question 25

Les addictions comportementales en lien avec le travail sont:

A. L’addiction au travail
B. L’addiction aux jeux
C. L’addiction aux technologies

Answer 25

A. L’addiction au travail
B. L’addiction aux jeux
C. L’addiction aux technologies

Question 26

Selon l’OMS il existe un certain nombre de critères diagnostiques de l’addiction. Parmi ces critères on
compte:

A. Désir impératif ou sensation de compulsion
B. Difficulté à contrôler la prise ou le comportement
C. La tentative de discrétion quant à la prise du produit

Answer 26

A. Désir impératif ou sensation de compulsion
B. Difficulté à contrôler la prise ou le comportement
C. La tentative de discrétion quant à la prise du produit

Question 27

Le concept de workaholisme:

A. Est apparue depuis les années 1970
B. Porte sur la dépendance au travail
C. Porte sur la consommation d’alcool à cause d’une charge de travail élevée

Answer 27

A. Est apparue depuis les années 1970
B. Porte sur la dépendance au travail
C. Porte sur la consommation d’alcool à cause d’une charge de travail élevée

Question 28

Les conséquences du workaholisme:

A. Peuvent être d’ordre sociale
B. Peuvent être d’ordre psychologique
C. Peuvent être d’ordre physique

Answer 28

A. Peuvent être d’ordre sociale
B. Peuvent être d’ordre psychologique
C. Peuvent être d’ordre physique

Question 29

Dans la typologie de la dépendance au travail de Spence et Robbins (1992), les workaholiques
enthousiastes se distinguent par:

A. Une implication élevée au travail
B. Un sentiment de débordement élevé
C. Une satisfaction élevée à l’égard du travail

Answer 29

A. Une implication élevée au travail
B. Un sentiment de débordement élevé
C. Une satisfaction élevée à l’égard du travail

Question 30

Lorsqu’on évoque les facteurs environnementaux en tant que facteur de risque de workaholisme, il s’agit:

A. D’un climat organisationnel incitatif au surinvestissement au travail
B. De cycles de travail qui peuvent exiger des heures supplémentaires par moment
C. De conflits entre collègues

Answer 30

A. D’un climat organisationnel incitatif au surinvestissement au travail
B. De cycles de travail qui peuvent exiger des heures supplémentaires par moment
C. De conflits entre collègues

Question 31

L’un des éléments de base pour démarrer une démarche de prévention est:

A. L’engagement des acteurs d’entreprise
B. Le bilan de la situation
C. La compréhension des problèmes concrets

Answer 31

A. L’engagement des acteurs d’entreprise
B. Le bilan de la situation
C. La compréhension des problèmes concrets

Question 32

Le portrait du milieu de travail peut être fait au préalable notamment à l’aide de données telles que:

A. Le taux d’absentéisme
B. Le taux de roulement
C. La rémunération des différents niveaux hiérarchiques

Answer 32

A. Le taux d’absentéisme
B. Le taux de roulement
C. La rémunération des différents niveaux hiérarchiques

Question 33

Dans la vision de Douillet une démarche de prévention doit reposer sur certains principes dont:

A. L’enjeu de la mobilisation
B. La dimension subjective du travail
C. Le souci permanent de la santé mentale dans le milieu

Answer 33

A. L’enjeu de la mobilisation
B. La dimension subjective du travail
C. Le souci permanent de la santé mentale dans le milieu

Question 34

La méthode C2R de l’ANACT (qui fait partie du modèle Douillet 2013) identifie une tension permanente entre deux éléments à savoir:

A. Les exigences de l’organisation
B. Le contexte de l’entreprise
C. Les relations professionnelles
D. Les exigences des salariés

Answer 34

A. Les exigences de l’organisation
B. Le contexte de l’entreprise
C. Les relations professionnelles
D. Les exigences des salariés

Question 35

Dans la méthode C2R les exigences de l’organisation regroupent:

A. L’organisation du travail
B. La gestion des ressources humaines
C. L’environnement et les moyens de travail

Answer 35

A. L’organisation du travail
B. La gestion des ressources humaines
C. L’environnement et les moyens de travail

Question 36

L’analyse des « situations-problème »:

A. Permet de centrer l’analyse sur le travail concret
B. Se base sur le vécue des salariés
C. Consiste à approfondir l’analyse des problèmes identifiés par la direction

Answer 36

A. Permet de centrer l’analyse sur le travail concret
B. Se base sur le vécue des salariés
C. Consiste à approfondir l’analyse des problèmes identifiés par la direction

Question 37

Les principales limites identifiées des pratiques de prévention les plus répandues sont:

A. La non adéquation avec la réalité des salariés
B. L’individualisation des problèmes
C. L’orientation vers une prévention du type tertiaire et secondaire

Answer 37

A. La non adéquation avec la réalité des salariés
B. L’individualisation des problèmes
C. L’orientation vers une prévention du type tertiaire et secondaire

Question 38

La démarche de prévention de Douillet 2013 fait appel à certains éléments importants qui doivent-être
initié dès le début de la démarche et soutenu tout au long de celle-ci à savoir:

A. Le dialogue social
B. L’élaboration d’indicateurs quantitatif
C. La mobilisation des acteurs

Answer 38

A. Le dialogue social
B. L’élaboration d’indicateurs quantitatif
C. La mobilisation des acteurs

Question 39

Dans le plan d’action pour l’intervention sur les RPS tel que décrit dans le modèle de Douillet 7 thèmes
sont importants et nécessitent des actions concrètes (selon le contexte de chaque entreprise) dont
notamment:

A. La charge de travail
B. Le soutien et le développement des collectifs
C. L’autonomie dans le travail

Answer 39

A. La charge de travail
B. Le soutien et le développement des collectifs
C. L’autonomie dans le travail

Question 40

Garantir la pérennité de l’intervention sur les RPS dans le milieu de travail passe notamment par:

A. Un processus d’évaluation de la démarche
B. La validation de toutes les actions en premier lieu par la direction tout au long de la démarche
C. Le développement d’espaces d’expression pour les salariés

Answer 40

A. Un processus d’évaluation de la démarche
B. La validation de toutes les actions en premier lieu par la direction tout au long de la démarche
C. Le développement d’espaces d’expression pour les salariés

Question 41

Les pays de l’OCDE connaissent des avancées différentes dans la prise en compte et l’évaluation des RPS. On peut noter à cet effet que:

A. En Belgique Les employeurs doivent procéder à l’évaluation des RPS et élaborer un plan sur 5 ans
B. Qu‘au Canada et en Suisse les employeurs ont l’obligation de garantir des lieux sains et sécuritaires pour les employés sans plus de précisions sur le volet de la santé mentale ni les
moyens à mettre en oeuvre
C. Aux États-Unis les employeurs ont l’obligation légale de mener des enquêtes d’évaluation du
stress au travail et d’établir un plan d’intervention en conséquence

Answer 41

A. En Belgique Les employeurs doivent procéder à l’évaluation des RPS et élaborer un plan sur 5
ans
B. Qu‘au Canada et en Suisse les employeurs ont l’obligation de garantir des lieux sains et
sécuritaires pour les employés sans plus de précisions sur le volet de la santé mentale ni les
moyens à mettre en oeuvre
C. Aux États-Unis les employeurs ont l’obligation légale de mener des enquêtes d’évaluation du
stress au travail et d’établir un plan d’intervention en conséquence

Question 42

Au Québec:

A. Il n’y a pas de définition juridique du concept de RPS
B. Il n’y a pas de dispositions spécifiques pour la prévention des RPS
C. Le système de prévention repose sur la bonne foi de l’employeu

Answer 42

A. Il n’y a pas de définition juridique du concept de RPS
B. Il n’y a pas de dispositions spécifiques pour la prévention des RPS
C. Le système de prévention repose sur la bonne foi de l’employeu

Question 43

La norme Entreprise en santé du bureau de la normalisation du Québec:

A. Représente une norme obligatoire pour les entreprises de plus de 5 employés
B. Est une démarche libre et volontaire que chaque organisation peut initier
C. Est essentiellement axée sur l’environnement de travail

Answer 43

A. Représente une norme obligatoire pour les entreprises de plus de 5 employés
B. Est une démarche libre et volontaire que chaque organisation peut initier
C. Est essentiellement axée sur l’environnement de travail

Question 44

En matière de santé psychologique au Québec:

A. Il n’existe pas une définition des RPS dans les instruments juridiques
B. Les dispositions juridiques sont communes à la santé physique et à la santé psychologique
C. Les normes du bureau de normalisation du Québec permettent d’ancrer l’engagement d’une
organisation envers la santé globale des employés bien que la démarche de certification reste
libre et volontaire

Answer 44

A. Il n’existe pas une définition des RPS dans les instruments juridiques
B. Les dispositions juridiques sont communes à la santé physique et à la santé psychologique
C. Les normes du bureau de normalisation du Québec permettent d’ancrer l’engagement d’une
organisation envers la santé globale des employés bien que la démarche de certification reste
libre et volontaire

Question 45

Le programme d’aide aux employés:

A. A été développé depuis les années 80 dans les organisations québécoises
B. Avait débuté en aidant les employés sur les problèmes de dépendance à l’alcool
C. Offre en général des ressources d’aide qui portent actuellement sur différentes sphères :
avocats, psychologue, etc.

Answer 45

A. A été développé depuis les années 80 dans les organisations québécoises
B. Avait débuté en aidant les employés sur les problèmes de dépendance à l’alcool
C. Offre en général des ressources d’aide qui portent actuellement sur différentes sphères :
avocats, psychologue, etc.

Question 46

Le programme d’aide aux employés déployé par certains employeurs présente des limites dont:

A. Le fait que cette initiative amène à une individualisation des problèmes
B. Le fait qu’il n’implique pas une action en amont pour englober les causes des problèmes
C. Le fait que l’intervention soit externe et peut engendrer un délai d’attente

Answer 46

A. Le fait que cette initiative amène à une individualisation des problèmes
B. Le fait qu’il n’implique pas une action en amont pour englober les causes des problèmes
C. Le fait que l’intervention soit externe et peut engendrer un délai d’attente

Question 47

La position des syndicats par rapport aux risques psychosociaux:

A. Les RPS relèvent de la sphère personnelle et ne représentent pas un champ d’intervention
syndicale
B. Les syndicats tentent de s’imposer depuis quelques décennies dans le dialogue qui porte sur
les RPS à travers différentes initiatives qui sont en perpétuelle évolution

Answer 47

A. Les RPS relèvent de la sphère personnelle et ne représentent pas un champ d’intervention
syndicale
B. Les syndicats tentent de s’imposer depuis quelques décennies dans le dialogue qui porte sur
les RPS à travers différentes initiatives qui sont en perpétuelle évolution

Question 48

Au Québec les syndicats tentent de combiner plusieurs axes d’intervention afin d’agir sur la santé
psychologique des employés, parmi ces axes d’intervention on compte:

A. L’influence de la législation
B. La négociation de clauses spécifiques dans la convention collective
C. Les réseaux d’entraide

Answer 48

A. L’influence de la législation
B. La négociation de clauses spécifiques dans la convention collective
C. Les réseaux d’entraide

Question 49

Un réseau d’entraide syndicale:

A. Représente des aidants naturels en milieu de travail
B. Est une initiative développée par les syndicats dans différents pays
C. Est une initiative développée par la FTQ et par la CSN

Answer 49

A. Représente des aidants naturels en milieu de travail
B. Est une initiative développée par les syndicats dans différents pays
C. Est une initiative développée par la FTQ et par la CSN

Question 50

La FTQ déploie ses efforts d’intervention en santé psychologique principalement grâce à certains réseaux dont:

A. Les délégués syndicaux
B. Les délégués sociaux
C. Le réseau de la condition féminine

Answer 50

A. Les délégués syndicaux
B. Les délégués sociaux
C. Le réseau de la condition féminine