Examen juin 2017 Flashcards

1
Q

Q1. D’après l’expérience de Sperling (1960) avec la technique du report partiel sur la capacité de la mémoire sensorielle, les résultats montrent que les sujets sont capables

1) de rappeler toutes les informations présentées
2) de maintenir en mémoire environ 9 items
3) de maintenir en mémoire plus d’informations qu’ils ne sont capables d’en rappeler
4) les réponses 2 et 3 sont correctes

A

4) les réponses 2 et 3 sont correctes
* 2) de maintenir en mémoire environ 9 items
* 3) de maintenir en mémoire plus d’informations qu’ils ne sont capables d’en rappeler

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2
Q

Q2. Quel est le facteur qui n’influence pas la mesure de l’empan mnésique

1) la familiarité des items
2) la capacité à faire des regroupements
3) la durée de prononciation des items
4) les croyances

A

4) les croyances

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3
Q

Q3. La notion de mémoire à court terme a été remplacée par la notion de

1) registres sensoriels
2) mémoire de travail
3) mémoire phonologique
4) d’accès sériel

A

2) mémoire de travail

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4
Q

Q4. Selon le modèle de Braddeley, le sous-système dit boucle phonologique

1) serait mis en œuvre pour le traitement des informations verbales
2) comporterait un système de sub-vocalisation
3) permettrait la manipulation d’images mentales
4) les réponses 1 et 2 sont correctes

A

4) les réponses 1 et 2 sont correctes
* 1) serait mis en œuvre pour le traitement des informations verbales
* 2) comporterait un système de sub-vocalisation

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5
Q

Q5. Selon la conceptualisation classique de la mémoire à long terme, la mémoire procédurale s’oppose à

1) la mémoire sensorielle
2) la mémoire déclarative
3) la mémoire de travail
4) la mémoire à court terme

A

2) la mémoire déclarative

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6
Q

Q6. La mémoire sémantique est liée

1) à des connaissances ponctuelles
2) à des connaissances encyclopédiques
3) à des connaissances d’évènements personnels
4) à des connaissances sociales

A

2) à des connaissances encyclopédiques

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7
Q

Q7. La mémoire épisodique est liée

1) à des connaissances ponctuelles
2) à des connaissances encyclopédiques
3) à des connaissances d’évènements personnels
4) toutes les réponses sont correctes

A

3) à des connaissances d’évènements personnels

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8
Q

Q8. Quel est le facteur n’intervenant pas lors de la fixation des informations en mémoire à long terme (MLT) ?

1) la nature du matériel à apprendre
2) le rythme d’apprentissage
3) l’organisation du matériel
4) le niveau de traitement effectué sur le matériel

A

1) la nature du matériel à apprendre

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9
Q

Q9. Lors de l’étude des indices de récupération de la mémoire à long terme, certains auteurs (Godden & Baddeley, 1975) ont montré l’importance du contexte comme facilitateur lors d’un rappel des mots préalablement appris. Pour cela, ils ont effectué une expérience avec des plongeurs.

1) ils ont comparé des plongeurs experts avec des plongeurs novices
2) ils ont comparé les lieux d’apprentissage avec les lieux où se déroulait la restitution
3) ils ont comparé uniquement les deux lieux d’apprentissage
4) ils ont comparé uniquement les deux lieux de restitution

A

2) ils ont comparé les lieux d’apprentissage avec les lieux où se déroulait la restitution

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10
Q

Q10. La notion de double codage signifie que les mots sont codés

1) phonologiquement
2) orthographiquement
3) verbalement et visuellement
4) toutes les réponses sont correctes

A

3) verbalement et visuellement

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11
Q

Q11. Dans l’étude des représentations imagées, et selon l’expérience de Shepard et Metzler (1971), lors de jugement de deux images d’un objet en 3 dimensions, on demande aux sujets de dire si ces images correspondent au même objet. Les temps de réponse varient en fonction de l’angle de rotation. On peut dire que

1) les temps de réponse se situent, en moyenne, autour de 500 msec
2) quel que soit l’angle de rotation, il y a peu de variation dans les temps de réponse
3) plus l’angle de rotation est grand, plus le temps de réponse diminue
4) plus l’angle de rotation est grand, plus le temps de réponse augmente

A

4) plus l’angle de rotation est grand, plus le temps de réponse augmente

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12
Q

Q12. Les représentations imagées se distinguent des représentations verbales par le fait qu’elles sont

1) la représentation de nos actions
2) analogues à leur percept
3) récupérées partiellement
4) non manipulables

A

2) analogues à leur percept

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13
Q

Q13. Les représentations propositionnelles sont liées

1) à la spatialité
2) à la rotation mentale
3) au langage
4) toutes les réponses sont justes

A

3) au langage

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14
Q

Q14. Dans la structure prédicative suivante « Hélas, le pantalon est taché »

1) le prédicat est « TACHE »
2) le prédicat est « PANTALON »
3) l’argument est « Taché »

A

1) le prédicat est « TACHE »

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15
Q

Q15. Selon le modèle de Kintsch et Van Dijk (1978), la macrostructure d’un texte correspond

1) au rappel par le sujet de tous les détails du texte
2) au rappel dans l’ordre des différentes propositions
3) à l’élaboration par le sujet d’un résumé du texte
4) à l’élaboration par le sujet de l’objet principal du texte

A

3) à l’élaboration par le sujet d’un résumé du texte

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16
Q

Q16. Selon la tradition logique, la notion de concept se définit selon 2 formes

1) son intension et son expansion
2) son intension et son extension
3) sa catégorisation et son extension
4) sa catégorisation et son expansion

A

2) son intension et son extension

17
Q

Q17. Selon Collins et Quillans (1969), l’organisation des concepts sous forme de réseau sémantique montre que

1) les sujets mettent moins de temps à vérifier une propriété générale
2) les sujets mettent plus de temps à vérifier une propriété générale
3) les sujets mémorisent bien toutes les propriétés
4) les sujets ne mémorisent que les propriétés des niveaux super-ordonnés

A

2) les sujets mettent plus de temps à vérifier une propriété générale

18
Q

Q18. Selon l’approche de Rosch (1973)

1) tous les exemplaires d’une même catégorie sont considérés comme équivalents
2) tous les exemplaires d’une même catégorie ne sont pas considérés comme équivalents
3) c’est l’exemplaire le plus typique qui est cité en premier
4) les réponses 2 et 3 sont justes

A

4) les réponses 2 et 3 sont justes
* 2) tous les exemplaires d’une même catégorie ne sont pas considérés comme équivalents
* 3) c’est l’exemplaire le plus typique qui est cité en premier

19
Q

Q19. Selon Rosch et al. (1976), on peut considérer ces trois catégories suivantes : légumes, légumes verts, épinard. A quel catégorie correspond le niveau de base ?

1) légumes
2) légumes verts
3) épinard

A

2) légumes verts

20
Q

Q20. Les scripts (Schank et Abelson, 1977) sont une sorte de représentation

1) imagée
2) d’actions
3) de propositions
4) de concepts

A

2) d’actions