Examen intra Flashcards
Pourquoi il y a maintenant une nécessité d’étudier le crime et le contrôle social dans sa sphère globale ?
il existe 3 raisons à cela :
1) le crime est maintenant largement découplé d’un territoire national
2) de plus en plus interconnectés et dépendant des autres services de polices (régionaux, nationaux, mondiaux)
3) Complexification des rapports entre crime, contrôle social et leurs protagonistes.
Il existe 3 raisons expliquant pourquoi le monde s’est globalisé et pourquoi le crime s’est aussi globalisé
1) interdépendance et intégration économique et politique accrue entre les pays
2) arrivée massive des technologies de l’informaiton
3) moyens de transports peu chers et plus efficace
Donc, il y a eu une augmentation des opportunités légales et illégales aussi.
Quelle est la nouvelle philosophie ou mentalité en terme de globalisation de la menace ?
On dit maintenant que les menace prenant racine un peu partout dans le monde, les menaces dispersés sur la planète ont maintenant des conséquences touchant l’ensemble de la société.
Donnez des exemples de menaces globales
intrégration de la criminalité dans des réseaux d’envergures (drogues, espères animales, voitures)
immigration illégale
est-ce que la transnationalisation des activités policières sont liées à la transnationalisation des activités criminelles ?
Certes, il y a un lien entre les deux. Cependant, le terrorisme et la crminalité de réseau, le crime organisé existe depuis longtemps et n,est pas un phénomène nouveau. De ce fait, l’accroissement de la police transnationale ne peut pas uniquement être dû à la transnationalisation du crime mais bien
1) aux changements strucutraux dans la police
2) aux changements au niveau de ces rôles
3) des changements au niveau de ces pratiques
en fait, c’est beaucoup lié au fait que il y a maintenant interdépendance des systèmes politiques et écomiques, voire même pour des institutions comme la police. Volonté de coopérer pour être plus efficaces et économiques. Valoriser de bonnes relations entre les pays à travers la lutte au crime.
Donnez des exemples d’enquêtes transnationales.
cybercriminalité
traffic d’être humain
terrorisme
Autre rôle : reconstruction de société dans une situation de post-conflit
quel est l’objectif numéro 1 de la police transnationale dans ces enquêtes transnationales ?
Immobiliser le suspect.
donc identifier le ou les suspects recueillir de la preuve recherche et arrestation de L,individu saisir les biens du crime emprisonnement
Évidemment, ce qui complexifie la police transnationale comparativement à la police domestique, c’est que ces éléments sont souvent dispersés à travers le monde qui ont des lois pénales, des réglements différents. BRef, c’est un casse-tête pour ceux qui enquêtent sur des crimes transnationaux.
Quels sont les défis que doit relever la police transnationale ?
1) respect des souverainetés étatique (ne peut appliquer la loi que dans son pays d’origine. On ne peut pas appliquer une loi étrangère). C’est le principe même qui explique pourquoi on collabore (traités bilatéraux entre GRC et USA dans les grands lacs en est un excellent exemple)
2) Asymétrie dans la criminalisation des comportements
criminalisation non-uniformes des comportements. Réticencens à collaborer si comportement n’est pas criminalisé. Les criminels vont donc profiter de ces asymétries
3) différences entre les cultures sociales, économiques, politiques.
créer des opportunités criminelles exemple si le slois dans un système bancaires sont trop souples. Donc, on peut utiliser des techniques comme le realpolitik pour créer des cangements. Oh, vous voulez exportez à bas prix dans notre pays, changez les lois de votre système bancaires.
4) incompatibilité des procédures judiciaires
pas toujours des bons rapports procureurs; police
techniques d’enquête différentes.
Quels sont les moyens de compenser pour ces défis et d’amoindrir les frictions ?
1) applanir les différences entre les systèmes légaux
2) révision et modification des lois domestiques (groupe de travail du G20)
3) ententes légales; traités d’extradition entre les pays (ratitiés et officiels)
4) création de réseaux de collaborations techniques de mêmes horizon linguistiques ou culturels
5) déploiement d’agent de liason (connait bien le fonctionnement culturel polciier et le système légal)
Quels sont les 3 éléments nécessaire pour harmoniser la police transnationale ?
Régularisation (Coordonner les relations entre les différents systèmes de justice criminelle)
accomodation (ne pas briser la souveraineté nationale, mais collaborer)
harmonisation (langage et procédures communes
Bref, la collaboration transnationale dépend de deux éléments en particulier. Quels sont-ils ?
1) les capacités des autorités (et des organisations policières)
2) la volonté politique (et des organisations policières
Bref, il faut réduire et gérer les tensions entre les différents systèmes de justice criminelle.
Au 19e siècle, Quel était la menace qui planait sur des États autocratiques comme la prusse, la france ou des régimes démocratiques comme le royaume-uni, la suisse et qui a amené un consensus politique et une désir de collaborer ?
Il s’agissait du mouvement anarchiste, soit une doctrine qui prônait le rejet de l’autorité et la libération des désirs humains des institutions ou de l’autorité.
Quel est le modèle sur lequel s’est inspiré la police transnationale à l’époque et pourquoi ?
Elle s’est inspirée du modèle français, c’est à dire un modèle 1) CENTRALISÉ et 2) qui se base sur le foncitonnement d’une HAUTE POLICE, soit la culture des ifnormateurs par exemple.
beaucoup d’état se sont inspirés de ce modèle parce qu’il répondait bien à leurs besoins, mais aussi parce que les invasions napoléoniennes l’Ont popularisés et c’était un modèle déjà répandu en europe.
Et qu’est-ce que Clemens von Mitternich est venu ajouter comme conception de la police transnationale ?
favoriser des réseaux d’informateurs, surveillance des dissidents et supression des mouvements révolutionnaires.
À partir de 1848, quelles ont été les évolutions (double évolution) de la police transnationale ?
1) développement de politiques conservatrices
(répression de toutes menace contre le régime;
renforcement et réorganisation des services de polices : harmonisation et standardisation des services de polices)
2) augmentation des activités politiques internationales de police
i) collecte de renseignement
ii) espionnage à l’étranger
iii) opérations policières secrètes
Pourquoi ces opérations policières restaient secrètes ?
Parce que sinon ça aurait été un bris de souveraineté. Et à l’époque bien qu’on a harmonisé et standardisé certaines lois concernant l’anarchisme (interdiction de publier, échanger, etc.), les différences idéologiques entre les régimes était encore trop forte pour ratifié et officialiser les collborations. Il fallait alors opérer en secret.
Quelle est la différence entre la poilice internationale et la police transnationale ?
La police Internationale se fait à partir de l’internveiton des états. Il s’agit de ratifier, d’officialiser des traités bi ou multilatéraux.
la police transnationale, c’est le fait de collaborer de police à police sans l’internveiton de l’état et d’établir es protocles de partage d’informations par exemple.
Il faut comprendre que ces deux types de polices sont complémentaires en ce sens ou il est nécessaire de collaborer de police à police oiur éviter les frictions, mais les traités sont fondamentaux sinon à quoi bon enquêter pour ne pas avoir la possiblité d’extrader après.
En quoi les frictions entre les États ont amené une autonomisation de la police ?
En fait, les frictions et les différents idéologiques entre les états ont fait en sorte qu’on a donné la responsablité aux services de polices eux-mêmes d’organiser leurs collaboration. On leur a en quelque sorte délégué ce pouvoir (autonomisation). Cela dit, les services de polices ont pu s’organiser entre eux. C’était une collaboration noiseless dans le sens ou on agissait un peu en secret, sans impliquer l’état d’une quelconque façon. C’était aussi FORMLESS dans le sens ou rien Nétait sanctionné, ratifié, officiel.
Quelles sont les deux différences majeure entre l’Europe et les États-Unis au niveau de l’organisation des services de sécurité et une différence de mentalité par rapport à la criminalité transnationale ?
Aux États-Unis, il y a eu un rejet de la forme basé sur al haute police. Il n’Y avait seulement que 4 agences fédérales de sécurité.
Ces services étaient décentralisés et donc très complexes dans leur organisation (il existait aussi la,armée, des milices, vigilantes, etc.)
De plus, les américains ne se soucient pas tellement de la criminalité de la collaboration transnationale. pour eux, l’individu n’est plus une menace imminente sur le territoire alors pourquoi s’y intéresser.
Quelles étaient les 4 agences fédérales de sécurité aux États-Unis
Douanes (custom services)
postal service inspection
US marshalls
US department of justice.
Quel était les problèmes avec le fait d’avoir 4 grandes agences de ce type
Problème de sous-financement, manque bcp de professionnalisme.
Est-ce que l’apparition d’unité d’enquête criminelle à chicago, New York, Boston témoigne d’une ouverture à la coopération transnationale de la part des américains.
Effectivement, les ÉTats-Unis commençait à bien comprendre l’importance de collaborer et de s’organiser comme le démontre la création de l’association des chefs de police en 1893 et les réorganisations dans les services de polices américains qui tentent aussi l’application de techniques plus européennes.
quel impact a eu l’agence Pinkerton sur la collaboration internationale américaine et la formation des agences américaines.
En effet, l’agence Pinkerton avait une excellente réputation à l’extérieur des États-Unis voire même dans le monde. Elle assurait bcp de services d’enquête et de gestion de foule puisque le public n’était simplement plus capable de répondre à la demande. Cela dit, elle était donc l’agence de choix pour être une agence de liaison, c’est-à-dire celle qu’on vient consulter pour l’aide dans une enquête ou pour collaborer. D’Ailleurs puisque c’était une firme privée, les autres organisations étaient plus enclines à collaborer vu qu’il n’y avait pas d’enjeu d’ingérence ou de virs de souveraineté. On ne considérait pas ça comme intrusif. Bref, elle a bien aidé à former les agences de sécurité et d’enquête américaine.
Quels sont les types de relations internationales existant en ce qui concerne la police transnationale ?
1- le premier type de relaiton est le modèle réaliste
Ce modèle vient nous expliquer que la police transnationale est utilisée comme un outil de domination sur la sphère internaitonale et la promotion d’un agenda particulier. On vise clairement ici à atteindre une sécurité hégémonique
2- le deuxième modèle qui provient des sciences politiques explique malgré que la police transnationale soit aussi utilisée comme un outil de diffusion de normes, on ne vis epas ici à dominer la sphère internationale. Elle reste toutefois utilisée en fonction des intérêts en relations internationales et elle vise à adiffuser des nromes communes pour assurer des espaces sécuritaires communs
3- la 3e perspective est la persecptive constructiviste, c,est-à-dire une persepctive qui ne s’Intéresse pas à la plice transfrontalière comme étant un outil de diffusion de normes, mais bien pouruqoi certaines activités transnationales sont légales à un mment et suscitent la mobilisation à un autre. La menance est construite, instrumentalisée
4- la perspective économique e tde marchée, nous dit que la police transnationale est influencée par l’expansion du marché et que cette expansion est aussi responsable de l’impact sur les technologies de sécurité
Ces 4 perspectives sur la police transfrontalière (réaliste, libérale, constructiviste, économique;de marché) passent à côté d’un élément fondamental pour bien comprendre la police transfrontalière. Quel est-il ?
Il s’agit de comprendre son fonctionnement qui reste assez unique, son organisation, sa bureaucratie qui sont complètement différente d’une police domestique.
il y a deux façons d’aborder la police transnationale. Quelle est la meilleure des deux ?
On peut l’aborder par ces conditions d’existences ou ces fonctions. Évidemment,l’aborder par ces fonctions est beaucoup plus pertinent pour la connaitre. Cependant, le cours 3 vise à aborder les conditions d’existences ou de création.
D’ailleurs il existe deux conditions d’existence à la police transfrontalière, quelles sont-elles ?
1) une condition structurelle, c’est-à-dire qu’il doit y avoir les infrastructures policières disponibles
2) les motivations opérationnelles, soit des objectifs partagés entre les différentes organisations policières.
expliquez plus en détail la condition structurelle (infrastructures policières)
En fait, comme on l’a vu précédemment, l’État a délégue à la police la responsabilité de s’associer dans une optique de lutte à la criminalité. Et de par ce fait, la police est passé par un processus de rationnalisation et de bureaucratisation de DEUX TYPES
1) il y a d’une part la bureaucratisation fonctionnelle c’est-à-dire qu’il devient connu et accepté de tous que la police est l’institution qui lutte aux crimes et contre les désordres. Sa mission est encadré au niveau législatif. Alors, la police devient effectivement l’actuer essentiel à ce niveau
2) il existe aussi une condition organisationnelle c’est-à-dire que l’institution policières va développer des procédures, des règles. Une profesionnalisation, spécialisation de acteurs va se produire et une développement de moyenx techniques aussi. Ces moyuens techniques seront effectivement plus efficaces (forces, secret)
BREF, ON DOIT ÊTRE ASSEZ INDÉPENDANT DE SON CENTRE POLITIQUE POUR COOPÉRER.
l’exemple de la brigade de la sûreté de Eugène François Vicoq.
Ex-criminel. devient infiltrateur. Suggère qu’on a pas les bons moyens pour combattre le crime. devient rectureur d’indicateurs et d’infiltrateurs. Baisse considérable du crime
ET LÀ, cette méthode s’exporte et les agents détectives se déplacent hors de leur juridiction de par leur notoriété.
qu’elle est la définition du bertillonnage ?
Mesures anthropométriques des criminels comportnat des mensurations et des observations de la couleur de l’iris, de la peau ou des cheveux.
en fait, en quoi le développement du bertillonnnage, de la dactyloscopie, dactylotechnie est une condion structuelle (organisationnelle) importante pour la collabortaion transfrontalière.
et bien, c’est de cette façon qu’on a développé des savoirs techniques spécifique à la police, des connaissances uniques à ce domaine, ce qui a effectivement permis le développement d’une expertise.
Expliquez l’importance des forums et des conférences dans la conditions des motivations opérationnelles.
En fait, les forums et les conférences étaient des edroits ou on pouvait échanger de nos techinques, réalités. Cela dit, cela a amené une sorte de culture commune qu’on appelle al culture policière avec un langage commun, une compréhension de la réalité opraétionnelle d’autrui et donc une expertise commune qui se développe autour de ces forums.
BREF, ON A UNE HARMONISATION ET UNE STANDARDISATION DES PROCÉDURES POLICIÈRES ET DES ACTIONS DE POLICE (MOYENS ET TECHNIQUES POUR ENQUÊTER, PAR EXEMPLE)
IL FAUT AUSSI PRÉCISER QUE C’EST SURTOUT UNE AUTONOMIE D’ACTION PLUS QU’UN AUTONOMIE DE FORME
Vrai ou faux, ce genre de professionnalisation va influencer le désir de collaboration internationale que transnationale.
vrai
Quelle est la dérive possible du fait qu’une police soit autant indépendant ?
Les polices deviennent tellement coupé des centres politiques et guidées par l’efficacité, qu’il va y avoir un déficit démocraitque, un manque de contrôle populaire qui est normalement nécessaire en fonction des pouvoirs qui lui sont conférés.
BREF, TENSION ENTRE EFFICACITÉ ET RESPECT DES PROCÉDURES.
Nommez un autre problème relié à cette autonomisation et d’indépendance et qui est en fait un autre aspect du déficit démocratique
L’autre aspect du déficit démocratique est le fait que les dimensions législatives, exécutives, judiciaires vonte devneir brouillées puisque de par leur autonomisaiton, les policiers vont en quelque sorte pouvoir naviguer entre différents systèmes légaux, c’est-à-dire que les pratiques policières précèdent les sanctions légales soit qu’il vont pouvoir déterminer à quel moment il serait intéressant d’arr^ter un suspect, par exemple, pour maximiser sa peine. Bref, on agit parfois bcp en secret ou discrètement pour maximiser l’efficacité
AU FINAL, on peut dire que le régimr global de lutte à la criminalité transnationale est beaucoup influencé par la police transnationale étant donné son autonomisaton, son expertise qui leur permet d’e^tre maitre de leur agenda et des priorités.
Qu’est-ce que permet la typologie de champ de la police transnationale de Shepticky sur la compréhension de la distribution de la sécurité ?
Cette typologie nous permet de comprendre que la police publique n’est pas seule dans la distribution de la sécurité et qu’il faut donc comprendre ces relations avec les autres producteurs distributeurs de sécurité comme étant dynamiques.
Qu’est-ce que Shepticky veut dire lorsqu’il emploie le terme glocalisation ?
Il veut dire que certaines pratiques policières utilisées au niveau local, certaines manières de faire plus locales (pensons à Compstat, théorie de la vitre brisée) deviennent utilisées par des services à travers le monde.
Lorsque Bigo amène la notion de champ professionnel de la sécurité ou champ professionnel de la gestion des inquiétudes, que veut-il dire ?
Il veut dire que c’est un espace social transnational composés d’expert en matière policière, de risque et de solutions à déployer pour assurer la protection de nos sociétés.
C’est-à-dire que ces experts dominent par la connaissance et sont en mesure de dicter ce qui est un risque et ce qu’il faut faire pour lutter contre ce risque.
Bref, qu’est-ce que nous apprend la typologie de shepticky et le champ professionnel de la sécurité de Bigo ?
Nous permet de comprendre que le fait de faire de la police n’est pas uniquemnet relié à la police publique et elle nous permet ainsi d’avoir une appréhension plus globale de la collabroation policière et qu’il y a donc bcp d’autres acteurs impliqués dans l’action de police et dans la collaboration internationale. Enfin, faire dela police est beaucoup lié au contrôle frontalier, à l’immigration, lutte contre le terrorisme et il y a une panoplie d’acteurs impliqués à ce niveau et qui vont se réclamer d’être des experts au niveau de la sécurité.