Examen Intra Flashcards
Quels principaux facteurs influencent la décision des entreprises de s’opposer ou non à la syndicalisation de leur employés? #9 (p.48), chapitre 1, Boivin 2ème édition. (p.35)
- empêcher l’accroissement des coûts de travail qui en résulterait.
- obligerait les dirigeants de l’entreprise à remettre en cause leur systeme de gestion des ressources humaines.
- avoir déjà connu une expérience difficile avec un syndicat dans un établissement de l’entreprise.
- l’idéologie et les valeurs des dirigeants d’une entreprise sont aussi un facteur important de résistance à la syndicalisation.
Nommez les 4 principales stratégies adoptées par les entreprises dans leurs relations avec les syndicats? #10 (p.48), chapitre 1, Boivin 2ème édition. (p.36)
1) La stratégie d’acceptation: amène l’employeur à prendre acte du caractère inévitable de la syndicalisation et de la négociation collective.
2) La résistance au syndicat: on retrouve dans les entreprise partiellement syndiquées.
3) L’élimination du syndicat: résister par tous les moyens possible à la conclusion de la convention collective.
4) la substitution ou l’évitement: cherche à instaurer une forme de représentation des travailleurs en vue de convaincre ces derniers de l’inutilité de créer un véritable syndicat.
Comparez l’évolution de la taille des effectifs syndicaux dans le pays industrialisés au cours de 20 dernières années? #3 (p.82), chapitre 2, Boivin 2ème édition. (p.52…)
13 des 20 pays et de l’ensemble des membres de l’union européenne ont connu une progression entre ces deux dates (1970-2003)
La croissance des effectifs à même été de l’ordre de 50% au Canada
Mentionnez 3 critères, établis en jurisprudence, pour déterminer l’unité syndicale appropriée? #5 (p.49), chapitre 1, Bernatchez. (p.10)
- la volonté des employés visés et de l’employeur;
- la structure industrielle;
- la similitude des conditions de travail;
- les expériences en milieux semblables;
- la paix industrielle;
Les relations industrielles représentent un régime bilateral ou trilateral a potentiel conflictuel, expliquez cette affirmation? #6 (p.49), chapitre 1, Bernatchez. (p.11)
L’état législateur, l’Etat employeur et le syndicat (secteur public) = patronale et syndicale conseillées et guidées par des tiers (dont l’état) dans le secteur privé. Interviennent comme soutien aux parties contractantes ou négociantes dans un régime à deux parties, donc bilatéral.
En quoi consiste essentiellement la clause des droits de gestion ou des droits de la direction? #2, (p.166), chapitre 3, Bernatchez. (p.114)
La faculté formelle et égale des personnes qui dirigent l’entreprise de prendre les décisions propre au maintient et au développement de l’organisation dans le respect des engagement pris antérieurement. Ne crée pas de droit à l’employeur.
Quels sont les éléments fondamentaux d’une clause de droits syndicaux? #3, (p.166), chapitre 3, Bernatchez. (p.116)
- La reconnaissance;
- L’appartenance;
- La retenue syndicale;
- Les communications (l’affichage)
- Les libérations du travail qu’implique l’expression de la vie syndicale.
A quoi peut servir une clause d’ancienneté en gestion des ressources humaines? #5, (p.166), chapitre 3, Bernatchez. (p.135-136)
- S’acquiert logiquement une fois la période de probation terminée avec un effet rétroactif a compté de la date d’embauche.
- L’ancienneté se conserve et s’accumule pendant une partie ou toute la durée des absences au travail qui s est accumulé d’abord sur les horaires réguliers.
- perte d’ancienneté si maladie irréversible;
- sociaux (maternité…);
- accident de travail ou maladie en vertu de la loi;
- causées par un accident ou une maladie hors travail;
- mise à pied ou réduction de travail;
- toutes autres conditions prévues par les parties.
Nommez les principaux facteurs responsables du plafonnement de la densité syndicale au Canada et au Québec. #4 (p.82) Boivin (p.57)
1) Empêche l’accroissement des coûts de travail qui en résulterait.
2) Obligerait les dirigeants de l’entreprise a remettre en cause leur système de gestion des Ressources Humaines.
3) Avoir connu une expérience difficile avec un syndicat dans un établissement de l’entreprise.
4) L’idéologie et les valeurs des dirigeants d’une entreprise sont aussi un facteur important de la résistance a la syndicalisation.
Quelles sont les 5 fonctions d’un État moderne? #2 (p.108), chapitre 3, Boivin p.85-87
1) La stabilisation de l’économie: politique fiscale et moderne.
2) La redistribution des revenus: s’assurer que certaine justice distributive s’applique entre les citoyens les mieux nantis et les plus défavorisés.
3) La production des biens et des services: aide à la production des ponts, des routes, des écoles… Biens remis aux publiques.
4) La stimulation de la croissance: créer des conditions favorables à l’extension de l’économie privée.
5) La protection des personnes et de la propriété: La défense du territoire contre de potentiels ennemis externe (forces armées) ainsi que l’établissement d’une force policière et d’un appareil judiciaire pour contenir et punir les individus et les groupes délinquants.
Nommez les 4 étapes de l’histoire syndicale:
- Reconnaissance Progressive (loi collective) le syndicat s’installe tranquillement.
- Consolidation du syndicaliste: Prendre des bases 1886-1944
- Essor du syndicaliste: a partir de la 2e guerre Mondiale 50%+1
- Stagnation: Au niveau des effectifs. Les travailleurs grèves, les syndicats ont de la difficulté a stabiliser.
- Négociation collective devient plus courante due a la loi du syndicat 1967-1997
- Nombre d’employé soumis a une convention
Décrire les cheminement critique déposer par un grief?
- Comité de grief
- Demander verbalement a l’employeur ou syndicat
- Règlements a chaque étape, ex heure supplé. payé
- Peut se rendre a l’arbitrage.
Est-ce qu’un grief se retrouve a l’étape de l’arbitrage?
NON, il se retrouve a n’importe quel étape.
Est-ce que Le taux de syndicalisation au Canada est comparable au E-U?
FAUX
En 1944 l’entreprise Canadienne adopte la lois des relations ouvrières au Travail
Vrai
1) Obligé par l’employeur de négocier.
2) 50%+1
3) Négocier de bonne foi.