Examen intra Flashcards

1
Q

Décrire l’objectif et les caractéristiques d’un modèle biopsychosocial à la base de l’évaluation neuropsychologique

A

Approche intégrative qui considère les facteurs biologiques, psychologiques et sociaux de l’individu dans le but d’évaluer les déficits neuropsychologiques chez une personne

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Q

Décrire 3 buts de l’évaluation psychologique

A

1) Déterminer les dysfonctions cérébrales d’un individu
2) Déterminer le fonctionnement mental d’une personne - ex. processus cognitifs, raisonnement, etc.
3) Déterminer le fonctionnement social d’une personne

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3
Q

Technologie(s) qui permet(tent) d’observer la structure du cerveau

A

1) Imagerie par résonance magnétique

2) Tomodensitométrie

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4
Q

Technologie(s) qui permet(tent) d’observer l’activité cérébrale du cerveau

A

1) Électroencéphalogramme (mesurer les ondes)
2) Imagerie par résonance magnétique fonctionnelle
3) Tomographie par émissions de positrons (séquence traitement information)

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5
Q

4 techniques d’IRM

A

1) CT: Tomodensitométrie
2) PET - cerveau en action
3) MRI - image structure
4) DTI tractography: voies neurologiques - tractographie par imagerie du tenseur de diffusion

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6
Q

1 avantage et désavantage de l’IRM

A

Avantage: permet d’observer la structure et donc de déterminer des lésions au cerveau
Désavantage: Ne permet pas d’évaluer le fonctionnement mental d’une personne car seulement au niveau de la structure/biologique et non mental

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7
Q

1 avantage et désavantage IRMf

A

Avantage: permet d’observer le fonctionnement du cerveau et donc de déterminer des dysfonctions au cerveau
Désavantage: Ne permet pas d’évaluer le fonctionnement mental d’une personne car seulement au niveau de la structure/biologique et non mental - nécessite tests neuropsychologues/psychométriques

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8
Q

Ce que permet de voir l’activité cérébrale et l’anatomie cérébrale au niveau des dommages?

A

Activité: dysfonctions

Anatomie/images: lésions

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9
Q

Méthodes statistique et psychométriques permettent de mesurer quoi?

A

Le fonctionnement mental / les processus cognitifs (aspect psychologique) mais pas de localisation ou déterminer s’il y a une lésion/dysfonction (aspect physiologique)

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10
Q

Quels sont deux objectifs des méthodes statistiques dans l’évaluation neuropsychologique?

A

1) Établir des modèles de fonctionnement du cerveau dans un état normal/anormal
2) Déterminer s’il y a un lien entre ces modèles et les processus mentaux/comportements humains - ex. créer modèles de développer du cerveau et raisonnement chez ados

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11
Q

Que sont les mesures psychométriques dans l’évaluation neurpsychologique?

A

Batterie de test administrés dans le but de déterminer les types de déficits d’une personne ayant subi un dommage cérébral

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12
Q

6 exemples de mesures psychométriques

A

1) Processus cognitifs
2) Émotions
3) Sens/Motricité
4) Traits de personnalité
5) Fonctionnement dans la vie quotidienne
6) Natures des interactions sociales

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13
Q

Quels sont les critères lorsqu’il faut choisir quels tests psychométriques administrer aux participants dans une évaluation neuropsychologique

A

1) Difficultés observées chez patients - ex. raisonnement
2) Type de dommage cérébral
3) Niveau de collaboration des patients aux tests (doivent comprendre ce qu’on leur demande/tenir compte de leurs plaintes, etc.) s’adapter à l’individu

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14
Q

Qu’est-ce que les critères de rendement dans les mesures psychométriques d’une évaluation neuropsychologique?

A

rendement de la personne comparée à elle-même et/ou aux autres

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15
Q

Quels facteurs favorisent une meilleure réadaptation après un dommage cérébral à accident semblable chez deux individus?

A

Personnes ayant une meilleure réserve cognitive élaborée auront 1) moins de dommages, 2) une récupération plus rapide et 3) récupération plus profonde qu’une personne avec moins d’entraînement cognitif

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16
Q

Définition du concept de l’organisation hiérarchique du système nerveux central - se référer à l’anatomie du système nerveux

A

Les neurones sont organisées en réseaux neuronaux et ceux-ci sont à leur tour organisés en diverses structures corticales de complexité croissante - ex. cortex sensoriel primaire et cortex sensoriel secondaire

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17
Q

Quels sont deux principes biologiques importants à la base du fonctionnement de la personne?

A

1) La neuroplasticité

2) La hiérarchie de fonctionnement

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18
Q

Que sous-tend la hiérarchie croissante de l’anatomie du cerveau?

A

Une hiérarchie croissante au niveau du fonctionnement de celui-ci, c’est-à-dire au niveau cognitif et du fonctionnement

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19
Q

Définition du concept de la hiérarchie fonctionnelle et décrire un exemple

A

Hiérarchie qui débute avec les réflexes et fonctions vitales et qui augmente jusqu’au processus mentaux et sociaux-cognitifs de plus grande complexité

Hiérarchie fonctionnement entre les fonctions de survie de base et les fonctions mentales avancées

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20
Q

Expliquer un exemple qui permet de montrer comme la hiérarchie fonctionnelle est liée à l’organisation hiérarchique du cerveau

A

Ex. Les aires sensorielles multimodales permettent l’intégration de l’information sensorielles reçues par les aires primaire
Ex. Développement du cerveau chez un enfant lui permet d’acquérir des processus mentaux d’une complexité croissante

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21
Q

Qu’est-ce que la cartographie du cerveau et comment elle permet de visualiser une organisation hiérarchique du cortex?

A

Cartographie est une arme avancée d’imagerie cérébrale basée sur différents facteurs (développement myéline et structures cellules)
Permet de voir les différentes aires primaires, secondaires et tertiaires ainsi qu’associatives et comment elles se suivent dans la structure du cerveau - cytoarchitecture qui varie entre les différentes aires

22
Q

Quelles sont trois caractéristiques qui différencient les neurones épineux des non-épineux?

A

1) Se distingue par l’absence/présence d’épines dendritiques
2) Neurones épineux permettent une plus grande surface de contact et permettent soit inhibition ou activation cellule
3) Neurones épineux n’ont pas de boutons terminaux sur les épines

23
Q

Décrire trois principes de l’organisation fonctionnelle du cortex

A

1) Distribution du traitement de l’information par diverses structures corticales - traitement en parallèle
2) Chaque niveau de l’organisation comporte des boucles de rétroaction
3) Structure hiérarchique de complexité croissante - traitement séquentiel

24
Q

Définition de la neuroplasticité et donner un exemple

A

Neuroplasticité: Capacité du cerveau à se changer continuellement en fonction de l’expérience et à se réparer après un dommage cérébral

Exemple: Après un apprentissage, les connexions dans mon cerveau change afin de conserver cette nouvelle notion

25
Q

Changements dans le cerveau sous forme de neuroplasticitié sont de quelles natures? (2)

A

De nature biologique et fonctionnelle

26
Q

Quatre types de changements biologiques liés à la neurobiologie des neurones? (neuroplasticité biologique)

A

1) Neurogénèse - neurobiologie des cellules gliales et pyramidales
2) Synapse et plasticité synaptique
3) Densité des épines dendritiques
4) Croissance des axones et myélinisation des axones

27
Q

Deux types de changements biologiques au niveau des circuits du cerveau (neuroplasticité biologique)

A

1) Changements liés au circuit occipital-pariétal-préfrontal impliqué dans le raisonnement
2) Changements liées aux circuits impliqués dans l’apprentissage de concepts

28
Q

Deux types de changements fonctionnels liés aux processus mentaux de l’humain (neuroplasticité fonctionnelle)

A

1) Changement dans la capacité de raisonnement à la suite de modifications dans l’organisation du cerveau
2) Développement de la cognition par poussées de croissance qui suivent celles qui sont de nature biologiques

29
Q

Expliquer pourquoi la neurogénèse au niveau de l’hippocampe est importante au cours de la vie

A

La neurogénèse des celles pyramidales (cellule nerveuse mature) - donc la création de nouveau neurones se fait à partir d’une section du gyrus denté de l’hippocampe

30
Q

Décrire une fonction essentielle des cellules oligodendrocytes et pourquoi la plasticité de ces cellules gliales est essentielle pour le développement des fonctions cognitives supérieures?

A

Les cellules oligendendrocytes (des cellules gliales) sont essentielles dans la myélinisation des axones en eveloppant les axones d’une gaine de myéline pour faciliter la conduction saltatoire de l’influx nerveux

Essentielles pour le développement de fonctions cognitives supérieures - la myélinisation des axones du CPF, du cortex pariétal et du cortex temporal inférieur permet l’avènement des fonctionss cognitives avancées - ce qui permet aux différentes aires de communiquer rapidement

31
Q

Décrire deux effets de l’immersion dans un environnement multilinguistique sur le développement des neurones de l`aire de Wernicke du langage.

A

1) Les cellules pyramidales sont beaucoup plus développées

2) Les cellules s’adaptent/s’accomodent mieux

32
Q

Décrire deux effets d’un manque de stimulation visuelle, au cours de la période critique du développement du système visuel sur l’organisation du système visuel.

A

1) Le système visuel n’apprend pas à détecter les stimuli auxquels il n’a pas été exposé
2) Modification de l’organisation fonctionnelle du système visuel

33
Q

Identifier trois lobes cérébraux impliqués dans le système visuel. Pour chacun de ces lobes, identifier deux aires qui participent à la vision.

A

1) Lobe occipital: Aire de Brodmann 17-18-19: Cortex visuel primaire, cortex visuel secondaire, cortex visuel associatif
2) Lobe pariétal: Aire 5 et 7: Cortex pariétal postérieur
3) Lobe temporal: Aire 37 et 20: Gyrus fusiforme et gyrus temporal inférieur

34
Q

Décrire une fonction de traitement de l’information visuelle pour chacun des courants suivants du système visuel : 1) une fonction pour le courant dorsal, 2) une fonction pour le courant ventral et 3) une fonction pour le courant du sillon temporal supérieur. Pour chacun de ces courants, déterminer un type de neurones qui effectue le traitement de l’information visuelle.

A

1) Courant dorsal: Joue un rôle dans le contrôle visuel d’une action vers un objet - traitement information liée à la localisation/mouvement
Type de neurones: Magnocellulaire

2) Courant ventral: Joue un rôle dans l’identification de la forme/couleur/reconnaissance d’un objet/identité objet et sémantique
Type de neurones: Parvocellulaire et magnocellulaire

3) Courant du sillon temporal supérieur:
Courant qui met en commun les stimuli visuels et auditifs ou visuels et somatosensoriels - fait partie du cortex multimodal
Type de neurones: polysensorielles

35
Q

Décrire le (ou les) déficit(s) visuel(s) d’un patient ayant subi un dommage aux aires visuelles V1 et V2.

A

Aveugle au niveau de la perception de l’objet mais pas au niveau de la perception de la couleur

36
Q

Différences entre un déficit aux aires V1 et V2 et V4

A

Dommage à l’aire V4 se traduit par une perte de la vison de la couleur alors que V1 et V2 peuvent tout de même l’apercevoir mais sans les formes ou définition

37
Q

Expliquer un effet d’un dommage à l’aire visuelle V5 sur la perception du mouvement.

A

Ne permet plus de percevoir le mouvement - par exemple, verser un liquide devient très difficile car il apparait gelé, ou ne voit pas les gens se déplacés, seulement lorsqu’ils sont stationnaires

38
Q

Décrire une différence entre le déficit d’une agnosie aperceptive visuelle et le déficit d’une agnosie visuelle associative.

A

Agnosie visuelle aperceptive: Déficit au niveau du groupement perceptif des propriétés de l’objet - ne peut intégrer les parties d’un objet

Agnosie visuelle associative: Perception normale des objets mais incapacité à l’identifier - peut copier des objets en dessins contrairement à l’agnosie visuelle aperceptive mais déficit au niveau de la mémoire de l’information

39
Q

Expliquer trois causes possibles d’une agnosie visuelle associative

A

1) Dommage de la voie ventrale au lobe temporal antérieur (sous-tend mémoire sémantique)
2) Déficit au niveau de la mémoire de l’information associée à l’objet, au rappel et acquisition de nouvelles informations
3) Déconnexions entre aires associatives du langage et visuelles

40
Q

Expliquer un effet significatif d’un dommage au gyrus fusiforme (aire de Brodmann 37) du lobe temporal sur la reconnaissance du visage humain

A

Effet: Prosopagnosie

Incapacité à identifier les visages incluant le notre malgré que l’on peut les percevoir

41
Q

Décrire deux caractéristiques de l’amnésie rétrograde associées à une lésion cérébrale traumatique.

A

1) Perte d’une partie des souvenirs avant la lésion - périodes plus longues d’amnésie liées à des lésions plus sévères
2) Certains événement peuvent être retenus comme des ilots de mémoire à l’intérieur d’une amnésie rétrograde

42
Q

Décrire une caractéristique d’une amnésie antérograde associées à une lésion cérébrale traumatique. Ensuite, en utilisant l’étude de cas de Henry Molaison (H. M.), décrire un type de mémoire explicite affecté par son amnésie antérograde.

A

Caractéristique amnésie antérograde: Incapacité à consolider la plupart des nouvelles mémoires/souvenirs

Type de mémoire explicite affectée: Mémoire épisodique et non sémantique

43
Q

Décrire la (ou les) différence(s) entre les amnésies (antérograde et rétrograde) associées à une lésion cérébrale traumatique

A

Rétrograde: Perte de mémoire de souvenirs avant l’accident / incapacité d’accéder à une période de sa vie souvent plus récente - peut aussi causer déficit à la mémoire de destination
Antérograde: Incapacité à créer de nouveaux souvenirs / emmagasiner de nouvelles mémoires - peut aussi causé déficit à la mémoire prospective

44
Q

Définir la mémoire épisodique et la mémoire sémantique. Ensuite, donner un exemple basé sur la fête de l’Halloween

A

Mémoire épisodique: Mémoire autobiographique des événements tels que les individus les ont vécus
Mémoire sémantique: Mémoire pour les faits et les informations qui n’ont pas de relation avec la mémoire autobiographique

Exemple: Je me rappelle quel costume j’ai porté (sémantique), je me rappelle être passé dans quelles rues et avec qui j’étais à cet Halloween (autobiographique)

45
Q

Définir la conscience autonoétique. Ensuite, identifier trois substrats neurologiques impliquées pour la conscience autonoétique.

A

Conscience autonoétique: conscience qu’il y a une continuité entre notre passé, présent et futur - permet de voyager mentalement dans le temps

Susbtrats neurologiques: a. L’hippocampe, lobes frontaux et lobes temporaux connectés par la voie du faisceau unciné

46
Q

Identifier trois lobes de l’hémisphère gauche impliqués dans de la mémoire sémantique (voir la méta-analyse de Binder et ses collègues (2009)). Ensuite, donner un exemple de spécialisation d’un de ces lobes pour l’enregistrement de certains types de mémoires sémantiques.

A

1) Lobe pariétal: connaissances spatiales
2) Lobe frontal: représentation des plans plus abstrait et exécution plus précise de celui-ci
3) Lobe temporal: Enregistrements des propriétés visuelles et lexicales

47
Q

Identifier le lobe où se trouve l’hippocampe dans le cerveau et décrire le rôle de l’hippocampe dans la mémoire explicite (épisodique et sémantique).

A

L’hippocampe se retrouve dans le cortex temporal - hippocampe essentiel dans la mémoire spatiale et donc épisodique et impliquée dans sémantique mais moins - hippocampe emmagasine les mémoires lorsqu’elles sont formées

48
Q

Déterminer s’il existe des structure neurologiques communes pour la mémoire sémantique et la mémoire épisodique (voir le modèle de Petri et Mishkin (1994)). Si oui, identifier trois de ces structures en précisant si elles sont de niveau cortical ou de niveau sous-cortical.

A

Les structures qu’ont en commun la mémoire sémantique et épisodique sont: l’hippocampe, le cortex rhinal, le cortex préfrontal et les noyaux du thalamus
L’hippocampe, le cortex rhinal et les noyaux du thalamus sont des structures sous-corticales, alors que le CPF est une structure corticale

49
Q

Expliquer les effets des lésions à l’hippocampe sur

a. la mémoire antérograde relativement à la mémoire rétrograde et
b. la mémoire épisodique relativement à la mémoire sémantique

A

a. Lésion hippocampes sur mémoire antérograde: plus de déficits importants sur la mémoire antérograde car incapacité à consolider de nouveaux souvenirs que la mémoire rétrograde
b. Davantage de déficit à la mémoire épisodique car hippocampe important dans la mémoire spatiale comparée à la mémoire sémantique

50
Q

Décrire un lien entre la neurogenèse dans l’hippocampe et la maladie d’Alzheimer.

A

Neurogénèse contribue à la plasticité de l’hippocampe et donc à la mémoire. Dans la maladie d’Alzheimer: la différenciation neurone est dysfonctionnelle et donc la neurogénèse est affectée ce qui contribue à des trouble de mémoire - cellules ne peuvent pas se régénérer et donc ne peuvent pas retenir de nouvelles informations donc trouble de mémoire épisodique