Examen finale Flashcards

1
Q

observation naturalistes

A

recherche expérimentale sur le comportement
(faux faire preuve de la plus grande discrétion possible)

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2
Q

études de cas

A

analyse approfondie d’une circonstance ou d’une personne unique et tiré de riches données descriptives du comportement

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3
Q

enquêtes

A

ex. sondage

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4
Q

les 4 biais possible lors d’enquête

A

échantillonnage et volontariat
cadrage
acquiescement et désirabilité sociale
excès de confiance et de supériorité illusoire

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5
Q

échantillonnage et volontariat

A
  • sélection de sujets qui diffère de l’ensemble de la population de manière significative
  • mène à la surreprésentation
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6
Q

cadrage

A

la manière dont la question est posé, la formulations de la question

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7
Q

acquiescement et désirabilité sociale

A
  • résultats modifie par individue selon la norme sociétaire
  • répond selon les attentes
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8
Q

excès de confiance et supériorité illusoire

A
  • se croit meilleur que la moyenne
  • sur estime de ses capacités
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9
Q

vulnérabilité situationnelle

A
  • situations où la liberté de « choix » de participer à une recherche est compromise en raison d’une influence indue exercée par une autre source
  • des garanties supplémentaires pour encourager à participer (ex. sentiment d’obligations)
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10
Q

inaptitude décisionnelle

A

état découlant de situations qui diminuent la capacité d’une participante ou d’un participant potentiel à donner un consentement éclairé (ex. enfant avec déficience intellectuelle)

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11
Q

consentement éclairé

A

consentement d’un parent ou tuteur

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12
Q

assentiment

A

la permission, autorisation du participant

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13
Q

intensité de la corrélation

A

plus les points de données sont près de la droite de meilleur ajustement, plus la corrélation est forte
- plus la valeur est près de 1, plus elle est forte

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14
Q

corrélations trompeuses

A

corrélation (= PAS ) causalité
effet potentiel d’une variable = une variable qui peut influencer l’une ou les deux variables (influence le coefficient de corrélation)

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15
Q

variable indépendant

A

ce que l’expérimenter fait, manipule, modifie

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16
Q

variable dépendant

A

le comportement mesuré (symptôme, résultats)

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17
Q

variables externes

A

événement non-contrôlés ou confusionnels (ne fait pas partie de l’étude)

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18
Q

échantillon aléatoire simple

A

tous a une chance égale d’être sélectionné (pour un groupe très large)

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19
Q

échantillon aléatoire stratifié

A

diviser en sous-groupes et prélever des échantillons représentatifs (nombre égale de différents groupes)

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20
Q

échantillon non-aléatoire

A

créer un échantillon de commodité (choisi uniquement pour leurs donnés)

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21
Q

échantillon de convenance

A

traveller avec ce qui est disponible (bassin de sujet)

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22
Q

validité interne

A

mesure dans laquelle les résultats peuvent être attribuable à la variance indépendante

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23
Q

validité externe

A

la généralisation en fait partie
tout les résultats essayer est applicable à une population similaire

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24
Q

la variabilité (répartition des données)

A

étendue
écart-type
variance

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25
Q

étendue

A

soustraire la variable la plus faible de valeur élevée

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26
Q

écart-type

A

répartition des données autour de la moyenne

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27
Q

variance

A

moyenne des écarts à la moyenne mis au carré

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28
Q

SNC rôle

A
  • responsable de communication entre corp et environnement
  • à la base de nos comportements, émotions, fonctions
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29
Q

dendrites

A
  • extension du corps cellulaire
  • reçoivent messages de autres neurones
  • déclenche influx nerveux
  • possèdent récepteurs (pour les neurotransmetteurs)
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30
Q

potentiel d’action (déf)

A

énergie électrique généré par le mouvement des ions chargées (NA+)

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31
Q

ouverture des canaux

A

portes dans la membrane des cellules
s’ouvrent selon ions spécifiques (laisser entrer ou quitter)

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32
Q

neurones (déf)

A

cellules spécialisés dans la communication

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33
Q

corps cellulaire

A

contient noyau, utilise nutriments et oxygène pour produire énergie pour la neurone

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34
Q

axone

A

(tige) transporte influx nerveux et libèrent des neurotransmetteurs chimiques

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35
Q

gaine myéline

A

liquide blanc, aide a accélérer l’influx nerveux

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36
Q

noeuds de Ranvier

A

ruptures dans la myéline
où les canaux sont exposés pour permettre aux ions d’entre et quitter l’axone

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37
Q

afflux VS efflux

A

afflux - ce qui s’ajoute
efflux - ce qui quitte

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38
Q

polarisation de la cellule

A

neutre, état de repos, satisfaite, aucune charge

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39
Q

dépolarisation de la cellule

A

a une charge (- ou +)

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40
Q

synapse

A

espace entre deux neurone (neurotransmission, influx nerveux)

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41
Q

neurotransmetteurs (déf)

A

les substances chimiques libérées par les terminaisons axonales qui se lient ensuite aux récepteurs d’un autre neurone

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42
Q

excitateurs (fonction et 4)

A

augmente la probabilité que le neurone devienne actif
1. acetylcholine (ACh)
2. glutamate
3. sérotonine
4. dopamine

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43
Q

inhibiteur (fonction et 3)

A

diminution de probabilité que la neurone devienne actif
1. GABA
2. glycine
3. dopamine

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44
Q

agoniste

A

composé qui imite l’action des récepteurs

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45
Q

antagoniste

A

composé qui bloque l’action des récepteurs

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46
Q

direct

A

composé qui se lie au même site (compétition)

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47
Q

indirect

A

composé qui se lie à un site différent

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48
Q

cellules gliales

A

soutient les neurones
- cuisinières (nutriments)
- éboueuses (déchets)
- embaumeuses (neurones morts)
- infirmières (système immunitaire)
- électriciennes (accélèrent les impulsions électriques)
buts principaux sont qu’elles soutiennent et accélère les impulsions électriques.

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49
Q

un nerf

A

construit d’axones regrouper dans un tube

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50
Q

SNC (2 constituantes)

A
  • cerveau
  • moelle épinière
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51
Q

deux types d’axones

A
  • efférents : transporte les influx loin du SNC pour déclencher la libération des neurotransmetteur
  • afférents : transporte les impulsion des organes et des muscles vers le SNC
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52
Q

couche externe (rôle)

A

information sensorielles, les souvenirs, penser, former des plans

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53
Q

neocortex (rôle)

A

pensé consciente et décision (couche externe de ton cerveau)

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54
Q

tronc cérébrale (rôle)

A

aide à contrôler fonctions vitales

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55
Q

médullaire (rôle)

A

fonction vitale de base

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56
Q

somatique

A

volontaire (conscient)
neurone qui contrôle les muscles, mouvement et transmet l’info sensorielle du corps au cerveau

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57
Q

autonome

A

automatique (inconscient)
2 sortes

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58
Q

système sympathique (fonction)

A

mobilisation de l’énergie en période de stresse
(ex. fuite ou lutte)

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59
Q

système parasympathique (fonction)

A

économie de l’énergie et maintien des activités à leur niveau de base
(ex. repos ou digestion)

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60
Q

TDAH

A

dysfonctionnement du système réticulé activateur

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61
Q

système réticulé activateur

A
  • régule notre niveau d’éveil (excitation et énergie)
  • concentration de notre attention sur des tâches
  • filtre les stimuli non pertinents de manière constante et quotidienne
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62
Q

système limbique (fonction)

A

(mémoire émotionnelle)
aide à mémoriser souvenirs émotionnels

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63
Q

amygdale (fonction)

A

augmente l’activité électrique de ses neurones lorsque nous sommes menacés, sécrétion de l’adrénaline
si on retire l’amygdale = aucune réaction de peur face aux menaces

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64
Q

thalamus (fonction)

A

c’est ce que le cortex utilise pour choisir la chose à laquelle nous prêtons attention
TOUT info passe par thalamus sauf odorat (lobes temporaux)

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65
Q

cortex (fonction)

A

un réseau complexe de réseaux
distribue les informations au bonne endroit

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66
Q

hypothalamus (fonction)

A

aide à contrôler plusieurs fonctions des systèmes autonome et endocrinien (réactions de la faim, du comportement sexuel, de la température et de l’agressivité)

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67
Q

lobes frontaux (fonction)

A
  • prise de décision et mouvement
  • code la personnalité
    Interaction entre SNC et lobes frontaux = les fonctions exécutives
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68
Q

cortex préfrontale (fonction)

A

décider quand, pourquoi et comment effectuer les actions

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69
Q

impulsivité et manque de considération chez ado (raison)

A

le cortex préfrontal est l’une des dernières régions à subir le processus de myélinisation

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70
Q

lobes temporaux (fonction)

A

« associons » de souvenirs avec des odeurs (olfactif) et du goût

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71
Q

L’aire Wernicke

A

partie du cerveau est grande partie responsable de la compréhension de la parole (lobe temporal)

72
Q

Tomographie du cerveau par ordinateur

A

Utilise rayons X qui traversent le corps et peuvent générer des images des tranches du corps

73
Q

IRM (imagerie par résonance magnétique)

A

détecte changement dus à la maladie (trouver éventuelle maladie)
- utilise les champs magnétiques pour imaginer les alignements des ions hydrogène (les différents tissus on quantité d’eau différentes)

74
Q

IRMF (IRM fonctionnelle)

A

mesure activation pendant tâche (mesurer activité des noyaux gris)
- utilise les champs magnétiques pour imaginer les alignements des ions hydrogène (les différents tissus on quantité d’eau différentes)

75
Q

ITD (imagerie par tenseur de diffusion)

A

Suit et reflète le mouvement de l’eau le long des voies neurales, et peut mesurer la densité des voies neurales (faisceaux d’axones)

76
Q

TEP/TEMP (tomographie d’émission de positrons ou monophotonique)

A

Utilise composé radioactif ingéré pour suivre les changements moléculaires
Mesure activité de la dopamine dans l’aire tegmentale

77
Q

sensations

A

Des stimuli provenant de l’environnement (i.e., les récepteurs sensoriels les captent et les envoient vers le système nerveux central)

78
Q

perceptions

A

Combinaisons de sensations provenant du système sensoriel et de connaissances préalables

79
Q

Perception figure-fond

A

le cerveau utilise plusieurs autres « trucs » pour assembler et comprendre le monde

80
Q

Loi de la proximité

A

Les objets qui sont rapprochés les uns des autres seront regroupés

81
Q

Loi de la similitude

A

Stipule que les objets qui sont physiquement similaires les uns aux autres seront regroupés

82
Q

loi de fermeture

A

Stipule que les gens ont tendance à percevoir des objets entiers, même lorsqu’une partie de cette information est manquant

83
Q

loi de continuité

A

Stipule que si des lignes se croisent ou sont interrompues, nous avons tendance à voir des lignes continues

84
Q

loi du destin commun

A

en mesure d’organiser l’information de manière prévisible et signifiante

85
Q

cônes

A

réagissent à la lumière et aux détails fins (acuité visuelle)
sensibles à la longueur d’onde (= couleurs)

86
Q

bâtonnets

A

réagissent à la faible luminosité (= vision nocturne)
sensibles à la quantité de lumière, emplacement d’objets et mouvement.

87
Q

cône court (couleur)

A

bleu

88
Q

cône de longueur d’onde moyenne (couleur)

A

vert

89
Q

cône de longueur d’onde longues (couleur)

A

rouges

90
Q

occlusion

A

image bloque partiellement la vue sur un second objet

91
Q

hauteur relative

A

Les objets plus près de l’horizon apparaîtront plus éloignés.

92
Q

taille relative

A

lorsque deux objets sont de taille égale, celui qui est le plus éloigné occupe une plus petite partie de la rétine

93
Q

convergences de la perspective

A

lignes parallèles s’éloignent de nous à l’horizon, elles semblent converger, ou se rapprocher

94
Q

taille familière

A

lorsque nous jugeons les distances en fonction de notre connaissance de la taille d’un objet

95
Q

Perspective atmosphérique

A

objets plus éloignés semblent voilés, souvent avec une teinte légèrement bleutée

96
Q

fréquence de son (le terme)

A

tone

97
Q

intensité de l’onde (terme)

A

sonie

98
Q

trois parties de l’oreille

A
  • externe
  • moyenne
  • interne
99
Q

trois osselets

A
  • marteau
  • enclume
  • étirer
100
Q

l’organisation somatotopique

A

deux points de contact adjacents sur la peau correspondent à deux points d’activités neurales adjacents sur le cortexe

101
Q

les deux grandes parties dans l’analyse de l’information

A
  • visage
  • mains
102
Q

sens kinesthésique

A

permet de comprendre de base l’endroit où se situe notre corps dans l’espace et de la manière de bouger notre corps pour accomplir des tâches spécifiques

103
Q

sens statique

A

sens de l’équilibre

104
Q

détections d’un stimulus

A

technique qui répond a la question :
« Quelle est la quantité minimale de stimuli nécessaire pour générer une sensation? »

105
Q

seuil absolu

A

Le stimulus le plus faible qu’une personne peut distinguer d’une absence totale de stimuli.

106
Q

seuil de différence (détection des signaux)

A

fausses alertes (en raison de leur biais, elles sont également susceptibles de dire qu’un stimulus leur a été présenté alors qu’il ne l’a pas été)

107
Q

cerveau dédoublé

A

Les deux hémisphères sont incapables de partager des informations à travers le cortex, et plusieurs régions associées à la perception sont isolées des parties du cerveau impliquées dans le langage

108
Q

callosotomie (chirurgie)

A

consiste à sectionner une large bande d’axones qui relie les deux hémisphères, connue sous le nom de corps calleux.
but de réduire la fréquence et la gravité des crises associées à l’épilepsie

109
Q

résultat de chirurgie du cerceau dédoublé

A

le côté gauche de leur corps semble commencer à agir seul (concentre sur détails)
Le côté droit, concentre sur action globale
Chez les patientes et les patients à cerveau dédoublé, le message n’arrive jamais à la partie « langage » du cerveau.
Voire la droite = fonctionne, voire gauche = fonctionne pas

110
Q

passive

A

Traitement ascendant de stimuli de l’environnement qui demandent une réponse (ex. Bruit fort - réaction, identifier le bruit, localisation)

111
Q

active

A

Traitement descendant selon les buts et les objectifs, recherche de signaux

112
Q

selective

A

Se concentre sur un stimulus en ignorant les autres
Capture attentionnelle - se produit lorsque l’attention est détournée en raison de l’importance d’un stimuli, prépondérance du stimuli, est un processus ascendant
cocktail party
tache diatomique

113
Q

(EEG) Électroencéphalogramme

A

mesure l’activité surface du cerveau, mesure pendant le sommeil

114
Q

stade 1

A

Transition des ondes alpha (éveillé mais détendu) vers l’activité thêta (profondément détendu)

115
Q

stade 2

A

Apparition de fuseaux du sommeil (brève poussé d’Énergie) et de complexes K (les activités)

116
Q

stade 3

A

Cerveau endormie - Le sommeil lent profond (inclut ondes delta, ondes irrégulière, désynchronisées)

117
Q

phase MOR

A

sommeil paradoxal - aussi actif que quand réveiller (rêves lucides), recommence 4-5 fois par nuit

118
Q

insomnie

A

incapacité à s’endormir ou à rester endormi (hyène du sommeil - recommandés de créer des routines)

119
Q

Insomnie conditionnée

A

résultats d’associations et de conditionnement , anxiété liée à l’insomnie (ex. Anxiété du sommeil)

120
Q

Insomnie idiopathique

A

causé par une anomalie neurophysiologique

121
Q

Hypersomnie

A

une somnolence excessive, mauvais qualité de sommeil

122
Q

Narcolepsie

A

maladie neurodégénérative marquée par accès de sommeil qu’on ne peut contenir; (jinx) 10- 15%, il y a aussi la cataplexie (peut être provoquer par des événements émotionnelle)

123
Q

Apnée du sommeil

A

arrêt temporels de la respiration pendant le sommeil et réveils fréquences (oublient à respirer, s’étouffent)

124
Q

horloges biologiques

A
  • Rythme circadien : nos horloges quotidiennes (environ 25 heures, température corporelle, faim, etc., remise à 0 tous les matins par synchroniseurs)
  • Le principe de la luminosité (lumière) affect énormément le sommeil.
125
Q

abus

A

N’est pas un signe de dépendance
Consommation s’accompagnant d’un état d’intoxication
(boire a un party)

126
Q

dépendance

A

Une forme plus sévère d’abus reliée à l’utilisation excessive de substances en raison d’un besoin physique ou psychologique
Maintien de la consommation malgré les conséquences

127
Q

tolérance

A

Diminution graduelle de la réponse à une substance = augmentation de la quantité à consommer pour avoir l’effet escompté

128
Q

sevrage

A

withdraw

129
Q

dépresseurs (fonction et 2 exemples)

A

ralenti SNC
alcool
Barbituriques et benzodiazépine
GABA - relaxation, effet excitateur

130
Q

simulants (fonction et 3 exemples)

A

acceleration SNC
caféine - Bloque potentiellement l’adénosine (neurotransmetteur qui crée un effet inhibiteur)
nicotine - Libère acétylcholine (excitateur) et dopamine
Cocaïne et amphétamine - Renforcent les effets de la dopamine

131
Q

apprentissage

A

Changement de comportement conséquent à l’expérience

132
Q

conditionnement pavlovien ou classique

A

un stimulus auparavant neutre provoquera une réponse

133
Q

Conditionnement opérant ou instrumental

A

une réponse devient plus ou moins probable en fonction de ses conséquences.

134
Q

Conditionnement social ou observationnel

A

un observateur imite le comportement d’une autre personne

135
Q

extinction du conditionnement pavlovien

A

Sans renforçateur ou punition, le comportement peut disparaître (p.ex., i on ignore intentionnellement)

136
Q

Récupération spontanée

A

quand extinction mais quand signale réapparaît, le comportement conditionnel retourne (après période de latence)

137
Q

généralisation

A

Des stimuli physiquement similaire au stimulus conditionnel provoquent la même réponse conditionnelle (petit Albert)

138
Q

renforcement négatif (2 catégories)

A
  • Échappement ( le stimulus nocif est présent): On veut éliminer la conséquence (prend action)
  • Évitement (le stimulus nocif n’est pas encore présent): faire dans son pouvoir pour éviter un résultat avant qu’il prend place
139
Q

néobéhaviorisme médiatique, ou béhaviorisme opérationnel

A
  • réintroduit les événements mentaux sous la forme de cartes cognitives
  • Avoir une motivation pour se rappeler d’une solution
140
Q

attention, rétention, production, motivation

A
  • (observation d’un comportement modèle)
  • (être capable d’imiter ce comportement plus tard )
  • (fait l’action dont il a observé)
  • (même réaction, résultat dont il a observer)
141
Q

Préparation biologique

A

Certaines réponses s’accompagnent de renforçateurs et de punitions spécifiques.
(phobies, allergie)

142
Q

Impuissance acquise

A

Parfois, la réaction de l’opérant ne change pas la conséquence.
On reste misérable.

143
Q

reconstitution

A

réagir selon connaissances stocké

144
Q

mémoire iconique

A

Composante visuelle de la mémoire sensorielle.
Création et stockage de l’information visuelle sensorielle sous forme d’icônes.

145
Q

Mémoire échoïque

A

Composante auditive de la mémoire sensorielle.
Création et stockage de l’information auditive sensorielle sous forme d’échos.

146
Q

calepin visuospatial

A
  • la représentation de l’œil intérieur dans le modèle
  • Il représente un lieu où l’information visuelle et spatiale est stockée et manipulée.
147
Q

tâche de l’administrateur central

A

consiste à diriger le flot d’information, non seulement vers et depuis la boucle phonologique et le calepin visuospatial, mais aussi vers et depuis la mémoire à long terme

148
Q

Répétition élaborée

A

Processus consistant à manipuler activement l’information dans la mémoire de travail pour l’associer de manière significative à d’autres informations déjà stockées

149
Q

Traitement en profondeur

A

Encodage d’une nouvelle information par des associations significatives à des connaissances existantes

150
Q

Traitement superficiel

A

Encodage d’une nouvelle information en fonction de ses caractéristiques de surface uniquement

151
Q

L’effet d’espacement

A

organiser temp d’étude

152
Q

Mémoire adaptative

A

On se souvient plus facilement des êtres vivants et de choses humoristiques ou dégoûtantes que des choses inanimées ou banales.

153
Q

Utilisation efficace de la mnémotechnique

A

Méthode de la table de rappel (Ex: Un est noir, deux pue, trois est vert, etc.)
Méthode des loci ou palais de la mémoire,

154
Q

Principe de la spécifié de l’encodage

A
  • un indice de récupération n’est utile que s’il correspond à la manière dont l’information a été encodée à l’origine
  • la meilleure façon d’illustrer le principe de spécificité de l’encodage est d’utiliser des mots qui ont plusieurs significations
155
Q

mémoire implicite

A

Se souvenir sans réalisation ni intention consciente.
P. ex., un mot qui commence par ÉLÉ _______.

156
Q

Caractère éphémère

A

le souvenir d’un événement particulier a tendance à se dégrader avec le temps.

157
Q

Distraction

A

les souvenirs sont tout simplement inaccessibles parce qu’ils n’ont pas été bien encodées à l’origine

158
Q

blocage

A

il n’y pas assez d’indices particuliers pour récupérer un souvenir spécifique

159
Q

erreurs d’omission (3)

A

caractère éphémère
distraction
blocage

160
Q

erreurs commission (5)

A
  • erreur de mémoire qui rappelle à l’esprit une information erronée ou non désirée
  • erreur d’attribution
  • suggestibilité
  • biais
  • persistance
161
Q

erreur d’attribution

A

ex. Souvenir flash) et déjà vu (impression d’avoir déjà vécu une séquence d’événements)

162
Q

suggestibilité

A

une information modifie un souvenir ultérieur (p.ex., un témoignage oculaire) ou un témoignage oculaire) ou on induit une information trompeuse

163
Q

biais

A

schémas ou stéréotypes qui peuvent influencer la rappel d’une information pertinente

164
Q

persistance

A

souvenir non-désiré ou traumatisante

165
Q

émotions (déf)

A

états éphémères qui correspondent à une
situation précise
- se produisent en réponse à des sources de renforçateurs et de punitions

166
Q

humeur (déf)

A

état plus durable et moins intense et qui n’est pas directement lié à une situation

167
Q

contagion émotionnelle (déf)

A

(empathique), ressent les émotions de l’autre

168
Q

Comment les animaux réagissent au stress (2)

A
  • Vocalisation de détresse
  • Réconfort
169
Q

kétamine (fonction)

A

bloque l’absorption du glutamate (un acide aminé qui est lié à l’éveil d’émotions négatives), ce qui suggère que des drogues comme la kétamine pourraient aider les personnes qui souffrent de dépression ou d’anxiété à être moins angoissées.

170
Q

Créateurs d’occasion (déf)

A

un événement qui indique à l’organisme que quelque chose est sur le point de se produire (avoir mal au ventre après trop manger)

171
Q

effet Coolidge

A

produit lorsqu’une réponse sexuelle habituelle augmente avec un nouvel animal

172
Q

braconnage de partenaire

A

tente de copuler avec un individu qui est déjà dans une relation

173
Q

Hypothèse de la sensibilité à la rivalité

A

Les femmes accordent plus d’attention aux autres femmes autour de leur partenaire et aux signes d’infidélité. Les hommes, en revanche, sont plus attentifs à leur propre partenaire et à ses intentions.
Incertitude paternelle.

174
Q

opérations d’établissement

A

augmentent l’efficacité des renforçateurs et suscitent des comportements liés à leur obtention (augmente pour être satisfait)

175
Q

saturation a l’effet inverse

A

elle diminue l’efficacité des renforçateurs et diminue le comportement orienté à leur obtention
(avoir trop, devine négatif)