Examen final Flashcards

1
Q

Qu’es-ce que la validité?

A

La validité est le degré avec lequel un test mesure ce qu’il prétend mesurer, et cela seulement!

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2
Q

Pourquoi faut-il procéder au processus de validation?

A

Plusieurs instruments de mesure ne permettent pas d’observer directement le concept qu’on cherche étudier ; alors, il est nécessaire de procéder au processus de validation.

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3
Q

Vrai ou faux?

La validité concerne l’instrument de mesure lui-même.

A

Faux.
La validité ne concerne PAS l’instrument de mesure lui-même, mais plutôt l’interprétation des résultats ainsi qu’au contexte de son utilisation.

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4
Q

Vrai ou faux?
Le processus de validation est une façon de déterminer le niveau de confiance qu’on peut avoir par rapport aux inférences qu’on fait en s’appuyant sur les résultats obtenus à un test.

A

Vrai.

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5
Q

Vrai ou faux?

On ne peut pas dire si un test est universellement valide.

A

Vrai.

  • on peut seulement dire qu’on a démontré qu’il est valide avec telle clientèle et sous telles conditions.
  • De plus, la validité d’un test est un processus continu d’accumulation de « preuve »ou « d’évidences »et donc ne peut pas être acquise.
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6
Q

Vrai ou faux?
La validité d’un instrument est directement et uniquement lié au contexte dans lequel le processus de validation a été effectué.

A

Vrai.

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7
Q

Vrai ou faux?

La validité est acquise.

A

Faux.
la validité d’un test est un processus continu d’accumulation de « preuve »ou « d’évidences »(normalement quantitatives) et donc ne peut pas être acquise.

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8
Q

Vrai ou faux?

Le nom du test est à considérer car il est un indice précis de ce le test mesure.

A

Faux.

Il ne faut jamais se fier au nom du test pour savoir ce qu’il mesure.

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9
Q

Vrai ou Faux?

Un test peut être valide à 100%.

A

Faux.
la validité n’est pas une affaire de « tout ou rien » (valide ou pas valide), il n’est pas binaire. Il est plutôt sur un continuum de « degré » de validité.

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10
Q

Quel est le nom de l’ouvrage publié en 2015 qui regroupe les nom des multiples méthodes pour étudier les liens de validité des tests?

A

« Standards for Educational and Psychological Testing »

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11
Q

Les techniques destinées à recueillir des preuves de validité ont été regroupées en 3 grandes catégories dans le « Standards for Educational and Psychological Testing ». Quelles sont ces 3 catégories?

A
  1. Validation de contenu (contenu vs. apparente) ;
  2. Validation pragmatique (critérium, prédictive) ;
  3. Validation de construit (conceptuelle, théorique).
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12
Q

Qu’es-ce que la validation de contenu?

A

La validation de contenu désigne l’aptitude d’un instrument à appréhender les aspects de contenu pour lesquels il a été conçu, et ceux-là seulement.

Il faut s’assurer que les contenus des items utilisés contribuent tous à évaluer un aspect significatif (ou dimension) de ce domaine; forment un échantillons important de tous les items.

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13
Q

Qui suis-je?

Généralement, on examine ce type de validité lors de la construction de l’instrument de mesure (choix des items).

A

La validation de contenu

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14
Q

Qui suis-je?

Ce type de validité est généralement estimé par la méthode des « juges experts ».

A

La validation de contenue

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15
Q

Qui sont les experts et pour quoi sont-ils sollicité?

A

Les experts sont des personnes qui ont une bonne connaissance du concept à mesurer ou qui ont une expertise dans l’élaboration d’instrument de mesure.

Ces derniers sont invités à se prononcer sur le contenu des énoncés, soit sur leur clarté, leur représentativité, l’exhaustivité, dimensionnalité et la pertinence de l’outil dans son ensemble.

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16
Q

Qu’es-ce que la validation pragmatique?

A

La validation pragmatique désigne l’aptitude d’un instrument (conçu par exemple dans une perspective d’évaluation pronostique) à prédire (de manière aussi précise que possible) le niveau de réussite, d’adaptation, d’intégration, etc., d’un ensemble d’individus par rapport à des situations qu’ils rencontreront (ou pourraient rencontrer) ultérieurement.

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17
Q

Pour évaluer la validité pragmatique d’un instrument, quelle est la procédure la plus simple ?

A

Étudier la corrélation (ou comparaison de moyenne - moins robuste) entre les résultats obtenus par un même groupe d’individus à deux moments différents (Par exemple au début et à la fin d’un programme de formation ou d’un cycle d’études).

On peut avoir recours à une méthode issue de l’approche corrélationnelle (L’analyse de régression), dont un des objectifs est précisément de prédire la situation future d’un individu sur la base d’éléments qui caractérisent sa situation présente.

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18
Q

Que signifie précisément l’évaluation de la validation pragmatique?

A

Déterminer dans quelle mesure les prédicateurs retenus permettent de fournir une estimation valide des résultats qui seront obtenus ultérieurement (pourcentage de variance prédite ou « expliqué »).

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19
Q

Quels sont les 2 types de validité pragmatiques?

A
  1. La validité concomitante/concourante

2. La validité prédictive

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20
Q

Qu’es-ce que la validité concomitante / concourante?

A

On détermine le degré de corrélation entre les score obtenus au test et les scores obtenus à une mesure de référence (administration du test et de la mesure du critère pratiquement en MÊME TEMPS)

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21
Q

Qu’es-ce que la validité prédictive?

A

On évalue la qualité des prédictions faites sur la base des résultats obtenus au test et une réalité future (administration du test et du critère SÉPARÉE D’UN LAPS DE TEMPS IMPORTANT, LE TEST ÉTANT ADMINISTRÉ EN PREMIER)

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22
Q

Qu’es-ce que la validité de construit?

A

La validité de construit se défini comme étant la justesse avec la quelle un instrument de mesure permet d’obtenir des résultats conformes aux construits définis par son CONTEXTE THÉORIQUE ; elle indique dans quelle mesure les énoncés d’un instrument sont cohérents avec la théorie et les concepts, définis de façon opérationnelle.

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23
Q

Qui suis-je?

On utilise ce type de validation lorsqu’on cherche à étudier des entités hypothétiques.

A

La validation de construit

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24
Q

Vrai ou faux?

Les construits sont directement accessibles à l’observation et à la mesure.

A

Faux.

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25
Q

Vrai ou faux?
Les construits sont considérés comme des « mini-théories » qui expliquent la relation entre différents concepts, que ce soient des comportements, attitudes…

A

Vrai.

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26
Q

Vrai ou faux?
On appelle aussi les construits des « facteurs » (dimensions, composantes) et ils viennent en fait expliquer les corrélations qu’on observe entre différentes variables.

A

Vrai.

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27
Q

Quelle est la façon la plus usuelle de calculer la validité de construit ?

A

En ayant recours à un méthode issue de l’approche corrélationnelle :

  • L’Analyse multifait-multiméthode et
  • L’analyse factorielle,

dont une des objectifs est précisément de démontrer la pertinence (relation, association) d’un item par rapport à sa propre dimension théorique (AF).

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28
Q

Qu’est-ce que l’analyse multitrait-multiméthode?

A
  • Matrice de corrélation entre les résultats obtenus à différents tests : illustre à la fois la validité convergente et la validité discriminante.
  • On s’attend à ce que la plus forte corrélation soir trouvé pour même trait-même méthode ; et la plus petite corrélation pour traits différents-méthodes différentes.
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29
Q

La matrice de corrélation multitrait-multiméthode illustre 2 types de validités, quelles sont telles?

A

La validité convergente et la validité discriminante.

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30
Q

Quel est la limite de l’analyse multitrait-multiméthode?

A

Demande beaucoup de temps de la part des sujets (faire plusieurs tests…) + difficulté à trouver des tests qui évaluent les mêmes traits.

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31
Q

Vrai ou faux?
Il y a toujours 2 temps à la méthode multitraitement-multiméthode, qui sont représentés par les axes des abscisses (x) et des ordonnées (y).

A

Vrai.

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32
Q

Qu’est-ce que l’analyse factorielle?

A

Le rationnel de l’analyse factorielle est de projeter 3 (ou plus) variables qui sont fortement corrélées entre elles sur une nouvelle variable qui retient l’essentiel de la variance commune.

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33
Q

Qu’est-ce que l’analyse factorielle nous permet d’illustrer?

A
  • Combien de facteurs l’analyse nous propose
  • Quel est le pourcentage d’explication de la variance
  • Est-ce que tous les items sont valides par le biais de la validation de construit ou y a-t-il des items nécessitant une reformulation
34
Q

Vrai ou faux?
Le résultat du processus de validation de construit n’amène pas à un indice statistique unique mais bien à plusieurs résultats qui doivent être interprétés en lien avec les éléments théoriques sur lesquels le test se base.

A

Vrai.

35
Q

Vrai ou faux?
La validité de construit d’un instrument sera plus facilement mesurable si la théorie utilisée est explicite et bien définie.

A

Vrai.

36
Q

Quels sont les 2 types de validité de construit?

A
  • La validité convergente

- La validité discriminante

37
Q

Qu’es-ce que la validité convergente?

A

Vérifier à quel point est-ce que l’échelle est reliée à des variables et des mesures du même construit. En ce sens, l’outil devrait corréler avec les autres outils qui évaluent des construits identiques ou très similaire.

38
Q

Qu’es-ce que la validité discriminante?

A

Vérifier à quel point l’échelle s’écarte de variables et de mesures de construits différents. En ce sens, l’outil ne devrait pas corréler avec des construits indépendants de celui qui évalue.

39
Q

Est-ce qu’on peut dire que le BDI est un test valide?

A

Non, car il n’y a pas de degré de validité avec la population.

40
Q

Le processus de construction d’un instrument de mesure se fait en combien d’étape et comment se nomment-elles?

A

Le processus de constructions d’un instrument de mesure se fait en 5 étapes:

  1. La détermination des utilisations prévues du test;
  2. La définition de ce que l’on souhaite mesurer ;
  3. La création des items ;
  4. L’évaluation des items ;
  5. La détermination des propriétés métriques du test définitif
41
Q

En quoi consiste l’étape de la détermination des utilisations prévues?

A
  • Établir un point de départ : un objectif plus général, un sujet
  • Pour ensuite définir, avec plus de précision, les caractéristiques psychologiques (ou dimensions) que le test devra mesurer (la validation du contenu de test repose précisément sur ce travail préalable de définition de ce que l’on veut mesurer).
42
Q

Quels sont les étapes qui définissent l’étape de la définition de ce que l’on souhaite mesurer?

A
  1. La définition des objectifs pédagogiques
  2. L’analyse de contenu des interviews
  3. L’observation directe des comportements
  4. La méthode des incidents critiques
  5. La référence à un modèle théorique
43
Q

Qu’est-ce que la méthode des incidents critiques?

A

Par exemple, on demande aux supérieurs de décrire des situations de travail où les employés ont agi de manière particulièrement efficace (ou inefficace). Ces comportements « critiques » sont mis en évidence pour construire des items.

44
Q

Vrai ou faux?

La construction d’un instrument de mesure se faire à partir de l’expérience.

A

Faux.

Il se fait à partir d’un modèle de référence théorique, construit au cours de recherches antérieures.

45
Q

Vrai ou faux?

Trop d’attention a été accordée à la constitution des échantillons et trop peu à la création des questions.

A

Vrai.
Des différences dans la construction des questions conduisent souvent à des résultats qui présentent de plus grandes variations que celles habituellement observés en fonction des différentes techniques d’échantillonnage.
- Gallup, 1947

46
Q

Quels sont les 3 dimensions à clarifier dans l’étape de la création des items?

A
  1. Le format des items
  2. Le niveau de difficulté des items
  3. La quantité d’items qu’il faut créer
47
Q

Vrai ou faux?

Il n’y a pas de meilleur format pour la création d’un instrument de mesure.

A

Vrai.

Un format est bon s’il est adéquat au but et à la situation d’évaluation.

48
Q

Vrai ou faux?
Le niveau de difficulté d’un test dépend de la nature des informations que l’on souhaite recueillir ainsi que si il s’adresse à une population générale ou spécifique.

A

Vrai.

49
Q

La quantité d’items d’un test dépend de quoi?

A
  • La durée du test
  • Le niveau de fidélité désiré (plus long, plus fidèle)
  • Si le test final doit contenir autour de 10 items, initialement il faut construire 30 items, ou même plus…
50
Q

Quelles sont les 2 démarches qui sont habituellement suivi lors de l’étape de l’évaluation dans la construction d’un instrument de mesure, et en quoi elles consistent?

A
  1. L’évaluation des items par des juges :
    conformité des items (clarté, pertinence, dimentionnalité, etc.)
  2. Réalisation d’une mise à l’essai des items :
    - faire passer tous les items à un échantillon de la population (la taille de cet échantillon dépend de l’hétérogénéité de la population visée par le test ; un échantillon trop homogène risque de masquer certains items problématique);
    - Les résultats de cette mise à l’essai doit être analysés d’un point de vue qualitatif et quantitatif.
51
Q

En quoi consiste l’étape de la détermination des propriétés métrique lors de la construction d’un instrument de mesure?

A

Une fois les meilleurs items sélectionnés et la version définitive du test constituée, il reste à déterminer les propriétés métriques de ce test :

  • Évaluation des indices de validité
  • Évaluation des indices de fidélité
  • Établissement des normes
52
Q

Quels sont les autres aspects importants à considérer lors de la construction d’un test?

A
  • Les fonctions pour lesquelles il a été crée
  • Les bases théoriques du test
  • Les qualifications requises pour l’appliquer et l’interpréter
  • Les données métriques (pour assurer son utilisation)
53
Q

Vrai ou faux?

Le constructeur d’un test doit assumer une responsabilité éthique.

A

Vrai.
Ne doit pas discriminé un population, ni un genre…
Les informations du manuel doivent garantir un usage correct du test, dans le respect des principes éthiques.

54
Q

Dans des circonstances où la culture et la langue diffèrent, quels sont les 2 option qui se présentent aux psychométristes afin de bien procéder?

A
  1. Élaborer plusieurs tests en considérant les différentes langues et cultures
  2. Traduire un seul et même test pour qu’on puisse l’utiliser en plusieurs langues et cultures,
55
Q

Quels sont les points positifs et négatifs à élaborer/créer plusieurs tests pour évaluer des comportements ou des dimensions de la personnalité?

A

+ On respecte les caractéristiques de la culture cible ;

  • Mais, on n’a pas de points de comparaison.
56
Q

Quels sont les points positifs et négatifs à traduire un seul et même test pour qu’on puisse l’utiliser en plusieurs langues et cultures?

A

+ Beaucoup moins de travail au niveau méthodologique, notamment en ce qui concerne l’échantillonnage (toutes les caractéristiques de l’échantillon des items ont déjà été pensé) ;

  • Une diminution au niveau de la précision de la mesure, les normes et même d’autres qualités méthodologiques (comportement encore à comprendre/expliquer) (ex. le regard dans les yeux : occient vs japonais)
57
Q

Quel est la possible solution qui se situe entre les deux extrêmes (soit l’élaboration, d’une part, et la simple traduction. d’autres part)?

A

L’adaptation des tests se situe entre ces deux processus, puisqu’il permet :

  • un plus grand respect des idiosyncrasies de la culture cible
  • qu’on garde une bonne précision de la mesure, entre autres indices métrologiques pertinents.
58
Q

Quels sont les avantages de l’adaptation d’un test dans une autre langue et/ou culture?

A
  • Permet de s’assurer que le contenu et la structure factorielle du test soient relativement les mêmes.
  • Permet d’utiliser la même structure (style de rédaction, la révision théorique, la méthodologie générale utilisée, etc.) proposée à la présentation de l’instrument original.
  • Permet de démontrer l’équivalence d’épreuves administrées dans des langues et des cultures différentes.
59
Q

Quels sont les désavantages et les limites de l’adaptation d’un test dans une autre langue et/ou culture?

A

Les différences linguistiques et culturelles ;

  • Équivalence des concepts (posséder la même signification)
  • Format du test (degré de familiarité avec certain type d’item)
  • Limite de temps (textes traduits peuvent être plus long)

Les difficultés méthodologiques :

  • Le choix et la formation des traducteurs
  • Le procédé de traduction
60
Q

Quels sont les 8 étapes à suivre pour adapter un test?

A

1 - S’assurer de la pertinence du contenu du test pour la population visée.
2 - Déterminer si une traduction est souhaitable.
3 - Choisir les traducteurs.
4 - Traduire et adapter le test.
5 - Réviser (en comité) la version adapté du test.
6 - Conduire une mise à l’essai de la version adaptée.
7 - Conduire un étude métrologique exhaustive de la version adaptée (des aspects à comparer, des aspects relatifs au développement théorique/technique).
8 - Documenter chacune des étapes de développement de la version adaptée.

61
Q

Quels sont les 4 indicateurs généraux de la qualité de l’adaptation?

A
  1. L’analyse d’item :
    les items de chaque version devraient être équivalents en termes de difficulté (moyenne et TRI)et de discrimination (variables de contrôle)
  2. La fidélité :
    Les résultats calculées à partir des versions adaptées devraient présenter des indices comparables de cohérence interne.
  3. L’équivalence au niveau du construit :
    Les items de chaque version devraient être équivalents en termes de saturation factorielle.
  4. La validité pragmatique :
    Conconmitante/concourante (corrélation d’un mesure donnée avec une autre servant de critère et qui évalue sensiblement le même aspect).
    Prédictive (lorsqu’une mesure prédit correctement un comportement ultérieur).
62
Q

Vrai ou faux?

Il est possible de faire une traduction maison.

A

Vrai, mais il faut expliquer au client que la validité n’est pas sur le test mais sur les interférence de la traduction. Le test nous donne un indicateur mais le test ne nous donne pas un score irréfutable.

63
Q

Qu’es-ce que le processus d’évaluation permet?

A

Il permet de faire une appréciation des forces, des faiblesses, des particularités et des comportemtents des individus (tout en tenant compte du fait que cet outil est complexe et imparfait).

64
Q

Vrai ou faux?
Le processus d’évaluation est un processus partiellement subjectif, où nous prenons des mesures d’après nos connaissances, nos sentiments, nos observations, notre système de valeurs et notre expérience.

A

Vrai.

65
Q

Pourquoi l’accès aux tests psychologique est contrôlé?

A

Pour garantir que le matériel sera utilisé par une personne qualifié.

66
Q

Quels sont les 5 caractéristiques des examinateurs bien formés?

A
  1. Ils choisissent les test qui conviennent à la fois au but visé et aux personnes qui sont évaluées.
  2. Ils connaissent la documentation portant sur le test choisi et les derniers développements qui le concernent.
  3. Ils sont capable d’évaluer les qualités techniques des tests.
  4. Ils sont sensibles aux conditions de passation (peuvent influencer le rendement au test)
  5. Ils font des conclusions ou des recommandations seulement après avoir considéré les résultats en relation avec les caractéristiques de la personne évaluée.
67
Q

Vrai ou faux?
L’achat de tests est limité aux personnes possédant la qualification requise pour assurer la sécurité du matériel et empêcher une mauvaise utilisation de celui-ci.

A

Vrai.

68
Q

Vrai ou faux?

Les éditeurs de tests on la responsabilité de clairement présenter les caractéristiques techniques d’un test.

A

Vrai.

69
Q

Vrai ou faux?
Il est de la responsabilité des éditeurs de tests que les test ne soient pas offerts prématurément pour un usage générale.

A

Vrai.

70
Q

Vrai ou faux?

La passation de tests psychologiques par la poste est à proscrire.

A

Vrai, parce qu’on ne peut pas contrôler les conditions de passation et qu’on a aucune connaissance de la personne évaluée.

71
Q

Vrai ou faux?

Un usage adéquat des tests concerne autant le constructeur du test, que l’utilisateur et le client.

A

Vrai.

72
Q

Vrai ou faux?

Si les test sont perçus comme causant du tort aux gens, ils pourront occasionner des poursuites judiciaires.

A

Vrai.
Ainsi, Les constructeurs de tests ne peuvent se laver les mains une fois que le test est publié et ignorer les buts du test.

73
Q

Vrai ou faux?
Les précautions à prendre face à la protection de la vie privée sont liées aux devoirs et aux obligations envers le client.

A

Vrai.
D’où l’importance de bien spécifier le but dans lequel on fait passer un test et de préciser que l’anonymat est préservé lorsque les test sont employés en recherche.

74
Q

Dans quels circonstances la valeur des tests peut être fortement contestée?

A

Lorsqu’il conduisent à des interprétations qui sont hostiles à certains groupes, lorsqu’ils constituent la seule base de décision ou lorsque les conséquences reliées au fait d’obtenir de faibles résultats sont importantes.

75
Q

Pourquoi est-il important de respecter les directives pour la passation d’un test?

A

Parce que c’est à partir de l’échantillon d’un comportement évaluer par le test qu’on généralise le comportement qui se manifestera dans des situations autres que clef du test. Ainsi, toutes les influences spécifiques à la situation du lestage (pas de contrôle) entrent dans la variance d’erreur et diminuent la validité du test.

76
Q

Vrai ou faux?
D’après la section 5 du code de déontologie des psychologues, Le psychologue doit interpréter le matériel psychologique avec prudence.

A

Vrai.

77
Q

Vrai ou faux?
D’après la section 5 du code de déontologie des psychologues, Le psychologue ne peut remettre à autrui, sauf à un autre psychologue, les données brutes et non interprétées inhérentes à une consultation psychologique.

A

Vrai.

78
Q

Vrai ou faux?
D’après la section 5 du code de déontologie des psychologues, Le psychologue doit éviter toute possibilité de fausse interprétation ou d’emploi erroné des informations qu’il fourni à autrui.

A

Vrai.

79
Q

Vrai ou faux?
D’après la section 5 du code de déontologie des psychologues, dans l’exercice de la profession, le professionnel doit tenir compte des principes scientifiques généralement reconnus en psychologie .

A

Vrai.

80
Q

Vrai ou faux?
D’après la section 5 du code de déontologie des psychologues, dans tous rapport psychologique, écrit ou verbal, le psychologue doit s’en tenir à son interprétation du matériel psychologique relié à la consultation, à ses conclusions et à ses recommandations.

A

Vrai.

81
Q

Quels sont les 6 (8) principes qui faut tenir compte en ce qui concerne l’interprétation des tests?

A

1 - Les test peuvent faciliter et améliorer la prise de décisions en fournissant une information objective, mais en aucun cas, ils ne peuvent prédire l’avenir.

2 - Les test favorisent la culture au sein de laquelle ils ont été mis au point. Les différences et les désavantages d’ordre culturel peuvent influencer grandement les résultats et doivent être pris en considération lors de l’interprétation.

3 - Plus le client ressemble à tous égards à l’échantillon normatif, plus les comparaisons sont valables. Moins le client ressemble à tous égards, moins les comparaisons sont valables.

4 - Dans un test, lorsque le client diffère du groupe normatif sur le plan de la culture, il est inacceptable d’interpréter de telles comparaisons comme des indications de sa capacité.

5 - Compte tenu du grand nombre de variables pouvant influencer négativement les résultats, il est essentiel de considérer et d’expliquer les scores comme un classement dans un intervalle et non comme des points précis.

6 - Les scores aux tests ne sont pas une mesure directe du degré de réussite qu’un individu peut atteindre; ils sont une mesure de réponse d’un individu à un ensemble de stimuli, à un moment donné et dans une situation particulière.

82
Q

Nommez quelques conclusion sur l’utilisation compétente des tests.

A
  • Accepter la responsabilité reliée à une utilisation compétente des tests
  • Avoir une connaissance satisfaisante du code de déontologie
  • Ne pas photocopier des documents protégés par les droits d’auteur
  • Connaître les standards légaux
  • Connaître les tests et ses limites
  • Empêcher les personne qui passent les tests de consulter ceux-ci avant la passation
  • Être cosciente de la nécessité d’avoir plusieurs sources de données convergentes
  • Considérer les erreurs de mesure dans les résultats d’un test
  • Comprendre les normes et leurs limites
  • Reconnaître que le contenu du test est limité
  • Reconnaître les répercussions de la validité d’un test
  • Appliquer les principes de la théorie des tests et les principes d’interprétation des épreuves
  • Considérer l’erreur type de mesure
  • Suivre les instructions concernant l’évaluation
  • Veiller à ce que chaque sujet suive les indications pour que les résultats au test soient le plus exacts possible.