Examen final Flashcards

1
Q

C’est quoi l’importance du vocabulaire en L2?

A

Pour comprendre entièrement un texte écrit, il faut connaître au moins 95% des mots dans ce texte.

Un grand nombre de mots est requis afin de maîtriser une langue étrangère. D’où la nécessité de déterminer des techniques d’enseignement ou d’apprentissage systématiques pour accomplir cette tâche.

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2
Q

Qu’est-ce que le vocabulaire réceptif?

A

Reconnaissance vague du mot.

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3
Q

Qu’est-ce que le vocabulaire productif?

A

Capacité de définir et de produire (à l’oral et/ou à l’écrit) ce mot de façon appropriée dans un contexte grammatical et sémantique spécifique.

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4
Q

Quel est le premier principe clé de l’enseignement-apprentissage du vocabulaire?

A
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5
Q

Qu’est-ce que sont les congénères ou vrais amis?

A
  • S’écrivent sensiblement de la même façon;
  • Ont le même sens.
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6
Q

Pourquoi les enseignants devraient-ils apprendre à leurs élèves à repérer les congénères?

A

C’est une stratégie d’apprentissage.

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7
Q

Qu’est-ce qu’un emprunt?

A

C’est un mot puisé dans une autre langue sans avoir été traduit dans la langue cible. mais qui est adapté aux règles de la langue cible.

Exemple : yoga, download

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8
Q

Pourquoi un enseignant devrait parler des emprunts à ses élèves?

A
  • Font ressortir les apports des autres langues et cultures
  • Permettent de remettre en question l’idée de langue pure
  • Favorisent l’apprentissage du voc.
  • Favorisent le bagage linguistique des élèves bilingues et plurilingues
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9
Q

Qu’est-ce qu’une expression imagée?

A

Phrase ou segment de phrase qui vise à transmettre une idée en évoquant une image.

Il faut les interpréter selon leur sens figuré et non littéral.

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10
Q

Pourquoi un enseignant de L2 devrait apprendre à ses élèves à comprendre les expressions imagées?

A
  • Occasion de faciliter l’intégration
  • Suscite un grand intérêt chez l’apprenant
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11
Q

Quel est le deuxième principe clé de l’enseignement-apprentissage du vocabulaire?

A
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12
Q

Définissez le concepts de lexique mental.

Quelles sont les trois composantes du lexique mental?

A

Le lexique mental est le dictionnaire interne composé de tous les mots connus d’un individu. Les mots emmagasinés dans le lexique mental sont en priorité liés entre eux selon des critères sémantiques et constituent les réseaux lexicaux.

Forme, Emploi, Sens

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13
Q

Dans le principe #2, que signifie la forme?

A

Orthographe

Phonologie

Parties constituantes du mot

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14
Q

Dans le principe #2, que signifie l’emploi?

A
  • Règles d’utilisation des classes de mots sur le plan morphologique et syntaxique
  • Formation des expressions imagées et des québecismes
  • Registres de langue
  • Phénomènes de collocation
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15
Q

Comment s’organise le modèle de réseau hiérarchique du lexique?

A
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16
Q

Expliquer le modèle de diffusion de l’activation.

A
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17
Q

Comment s’organise le modèle de la diffusion de l’activation?

A
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18
Q

Quel est le troisième principe clé de l’enseignement-apprentissage du vocabulaire?

A
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19
Q

Quel est le quatrième principe clé de l’enseignement-apprentissage du vocabulaire?

A
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20
Q

Comment aider les élèves à passer de réceptif au productif?

A
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21
Q
A
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22
Q

Sachant qu’il est plus facile de mémoriser des mots lorsqu’ils sont regroupés par catégories, serait-il efficace d’enseigner des mots nouveaux en L2 regroupés par catégories?

A

Non.

  • Suceptible de porter à confusion dans le processus de rétention
  • L’É = difficulté à distinguer les propriétés sémantiques
  • L’É = incapable de les réutiliser lorsque le contexte change
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23
Q

Qu’est-ce que nous devrions faire au lieu d’enseigner les mots par catégories?

A
24
Q

Donne un exemple de différentiation des mots nouveaux pour l’encodage.

A
25
Q

Donne un exemple de différentiation des mots nouveaux pour le rappel.

A
26
Q

Explique les principes généraux de l’intercompréhension qui peuvent aider à amener vers le français des locuteurs ayant une autre LM.

A
  • Tenir compte de la langue d’origine et des langues connues
  • Dév. le sentiment de la continuité entre les langues
  • Faire diparaître l’appréhension d’une L inconnue
  • S’appuyer sur les ressemblances culturelles
  • Commencer par la compréhension de textes écrits
  • Viser la compréhension du sens global
  • Accepter l’approximation
  • Dév. stratégies de vérification
  • Tout ceci concourt à renforcer l’autonomie
27
Q

Quelle est la définition de l’approche inclusive?

A

Approche consensuelle qui relie les autres par le principe d’équité. On veut combattre l’exclusion par des mesures égalitaires.

28
Q

L’approche inclusive met l’emphase sur quels aspects?

Quels sont ses objectifs?

A
  • La compréhension des relations sociales (majoritaire/minoritaire) qui reproduisent les inégalités et l’exclusion
  • La compréhension de la construction sociale des différences, des processus et des mécanismes d’exclusion et d’inclusion
29
Q

Expliquer l’importance de l’oral.

A
  • Communiquer des messages authentiques, tant à l’oral qu’à l’écrit (lecture et écriture).
  • Permet à l’apprenant d’interagir ou d’entretenir des conversations avec des locuteurs natifs
  • Accéder à une autre culture
  • L’apprentissage de la lecture est étroitement dépendant, en quelque sorte, des compétences acquises tout d’abord à l’oral.
30
Q

Pourquoi les activités d’écriture et de lecture doivent être précédées par des activités orales?

A
  1. Ainsi, ce n’est pas parce qu’un apprenant peut comprendre et même utiliser dans des énoncés oraux des mots comme oiseau qu’il sera automatiquement en mesure de les reconnaître dans un texte qu’il est en train de lire.
  2. En début d’apprentissage de l’écriture en L2, les productions écrites d’un apprenant ne sont que le reflet de ses productions orales. Compte tenu de ce processus normal de transposition, il importe qu’avant d’écrire, l’apprenant ait eu l’occasion d’être corrigé par l’enseignant de ses formes erronées produites à l’oral.
31
Q

Quel est l’objectif de l’éducation multiculturelle et interculturelle?

A

Éducation multiculturelle et interculturelle : Construire des relations culturelles harmonieuses.

32
Q

Définir l’approche communicative.

A

Contenus d’enseignement choisis en fonction des besoins des apprenants. Enseignement organisé sous forme de tâches de communication (orales ou écrites).

Cela inclut la notion de tâche, d’activité fonctionnelle et d’interaction sociale.

33
Q

Expliquer ce qu’est la théorie des shémas.

À MODIFIER!!!

MAUVAISE RÉPONSE

A
34
Q

Définir schéma de forme et schéma de contenu.

A
35
Q

Expliquer les deux modes de traitement de l’info.

A

Descendant : Comprendre le texte globalement, lire de haut en bas. Dirigé par le lecteur

Ascendant : Comprendre paragraphe par paragraphe. Dirigé par le texte.

36
Q

Expliquer les stratégies cognitives.

A
37
Q

Expliquer les stratégies métacognitives.

A
38
Q

Quelles sont les stratégies utilisées par un lecteur expert.

A
39
Q

Quelles sont les stratégies utilisées par le lecteur faible?

A
40
Q

Expliquer la démarche en trois temps de l’enseignement de la lecture.

A
41
Q

Décrire les stratégies pédagogiques efficaces de l’enseignement de la lecture.

A
  1. Expliquer oralement le sens des mots
  2. repérer un paragraphe étant sans rapport
  3. prédire le contenu d’un texte à partir du titre
  4. fournir au lecteur une image en rapport avec le texte à lire
  5. lui demander d’imaginer la fin de l’article et en discuter ultérieurement en sous-groupes
  6. mettre en ordre les actions ou phrases d’un court texte de type descriptif ?
  7. Viser les intérêts
42
Q

En quoi consiste l’enseignement stratégique des stratégies de lecture?

A
43
Q

En quoi consiste l’enseignement explicite des stratégies de lecture?

A
44
Q

En quoi consiste l’enseignement réciproque des stratégies de lecture?

A

Interaction, réflexion, questionnement entre les É.

C l’É qui fait le modelage de ses pairs

45
Q

Expliquer les courants qui ont dominé l’enseignement de l’écriture en L2 (les 4 approches).

A

1re approche (1966-) : accent mis sur la

forme ;

2e approche (1976-) : accent mis sur le

processus ;

3e approche (1986-) : accent mis sur le

contenu ;

4e approche (1986-) : accent mis sur le

destinataire ou lecteur.

46
Q

Expliquer le courant actuel: Écriture collaborative et approche axé sur le processus

A
47
Q

Expliquer les différences entre l’écrit comme processus et comme produit

A
48
Q

Expliquer le modèle de Hayes et Flower (qui distingue les 3 grandes opérations intervenant dans le processus d’écriture).

A

Planification

Mise en texte

Révision du texte

49
Q

Expliquer comment le modèle de Hayes et Flower s’applique en classe de L2 (Démarche d’enseignement); Donner des exemples concrets de pratiques de classe.

A

Exemple:

Préparation : Prévoir une marche à suivre à l’aide d’un organisateur graphique par exemple

Réalisation : Fournir une grille d’éléments à cocher

ex : ma conclu résume t elle les IP?

50
Q

Expliquer les similitudes entre les processus d’écriture en L1 et en L2

A

PLANIFICATION:

Stratégies d’écriture semblables

RÉDACTION

Compétence en L1 a un rôle en L2

RÉVISION

Si peu porté à réviser en L1, same en L2

51
Q

Expliquer ce qui distingue un scripteur expert d’un scripteur novice.

A
52
Q

Expliquer comment la lecture influence l’écriture.

A
53
Q

Expliquer la façon dont les apprenants traitent les mots selon leur niveau. Kroll et Stewart (modèle hiérarchique)

A
  • Au début, les mots en L2 sont connectés à leur traduction (lexique en L1) par le lien lexical.
  • Après, le lien conceptuel entre le mot du lexique de la L2 et le concept se forme.
  • Les apprenants avancés peuvent traiter des mots nouveaux en L2 par l’intermédiaire du concept (médiation conceptuelle).
54
Q

Explique la structure hiérarchique des connexions entre les mots dans le lexique mental

A

Le concept « animal », situé au niveau le plus élevé, inclut les concepts « oiseau » et « poisson » en-dessous. Ces derniers contiennent respectivement les concepts « canari » et « autruche » pour l’oiseau et « requin » et « saumon » pour le poisson. Chaque concept est stocké par le biais d’un ou de plusieurs index qui le relient à un ou à plusieurs concepts. Par exemple, si on traite l’item « canari », deux index l’amènent à « peut chanter » et aussi à « est jaune », lesquels représentent des caractéristiques du canari et un autre index le conduit à « oiseau », qui est la catégorie du canari.

Suivant ce modèle, les chercheurs avancent que, quand une personne essaie de comprendre la phrase « Un canari peut chanter. », elle n’a qu’à accéder à une caractéristique partant du noeud « canari ». Mais quand il s’agit d’une autre phrase, « un canari peut voler », il faut plus de temps pour comprendre que cette phrase est vraie, car il est nécessaire de monter un niveau pour passer au noeud « oiseau », à partir duquel on accède à la caractéristique « peut voler ».

55
Q

Explique le modèle de la diffusion de l’activation.

A
  • Items lexicaux reliés par la relation sémantique. La force du lien entre les items lexicaux est déterminée par la distance qui existe entre eux. Plus cette distance est courte, plus ce lien est fort.

Lorsqu’un mot est traité, son concept est activé dans le lexique mental. Cette activation se diffuse à partir des mots sémantiquement proches de ce mot à ceux dont le lien sémantique est relativement faible.