Examen final Flashcards

Sociologie de la déviance et de la marginalité

1
Q

3.1Les types de crimes et les facteurs explicatifs de la criminalité

Qu’est-ce qu’un crime ?

Définition

A

Une infraction au Code criminel et aux lois fédérales connexes (Canada)

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Q

3.1 Les types de crimes et les facteurs explicatifs de la criminalité

Qu’est-ce que la criminalité ?

Définition

A

Une notion sociologique qui fait référence aux taux de crimes commis sur un territoire et dans une année donnés en fonction de certaines variables

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3
Q

3.1 Les types de crimes et les facteurs explicatifs de la criminalité

Quelle est la différence entre les crimes et la criminalité?

A

Les crimes : infactions
La criminalité : notion sociologique

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4
Q

3.1 Les types de crimes et les facteurs explicatifs de la criminalité

On retrouve différents types de crimes regroupés en 3 volets :

A
  1. Crimes contre la personne
  2. Crimes contre la propriété
  3. Autres crimes
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Q

3.1 Les types de crimes et les facteurs explicatifs de la criminalité

Quelles lois connexes incluent certaines clauses au Code criminel ?

Indice : il y en a 2.

A
  • Code de la sécurité routière
  • Loi règlementant certaines drogues et autres substances
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6
Q

3.1 Les types de crimes et les facteurs explicatifs de la criminalité

La criminalité […], c’est-à-dire qu’elle s’explique par une combinaison de facteurs.

Compléter la phrase.

A

La criminalité s’inscrit dans une perspective multifactoriel, c’est-à-dire par une combinaison de facteurs.

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7
Q

3.1 Les types de crimes et les facteurs explicatifs de la criminalité

La criminalité s’explique par une combinaison de facteurs. Quels sont-ils?

A
  1. Des particularités démographiques
    - Pyramide des âges
    - Ratio sexuel
  2. Le statut socioéconomique
  3. La famille
  4. Le territoire
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8
Q

3.1 Les types de crimes et les facteurs explicatifs de la criminalité

TOUS les facteurs explicatifs de la criminalité sont intensifiés par quoi?

A

La consommation d’alcool et de drogues.

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9
Q

3.1 Les types de crimes et les facteurs explicatifs de la criminalité

Quels sont les particularités démographiques au niveau de la pyramide d’âge?

4 points.

A
  1. Les études scientifiques démontrent un lien très étroit entre la criminalité et l’âge
  2. Les taux de criminalité varient en fonction de la structure des âges sur un territoire
  3. Les actes criminels (tous types de crimes confondus) sont davantage posés par de jeunes population
  4. La période de l’adolescence favorise l’adaptation de comportements délinquants autant dans la fréquence, la gravité que la diversité des gestes posés
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10
Q

Pyramide des âges

Les actes criminels sont davantages posés par de jeunes populations. Quelle est la moyenne d’âge ?

A

En moyenne entre 12 et 30 ans.

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11
Q

Pyramide des âges

La période de l’adolescence favorise l’adaptation de comportements délinquants autant dans… ?

A
  • La fréquence
  • La gravité
  • La diversité des gestes posés
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12
Q

Ratio sexuel

Les taux de criminalité (pour tous types de crimes) varient proportionnellement avec quoi ?

A

Avec le nombre d’hommes sur un territoire donné.

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13
Q

Ratio sexuel

Vrai ou faux. On ne retrouve pas plus de comportements criminels chez les hommes que chez les femmes.

A

Faux.

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14
Q

Ratio sexuel

Comment s’explique la variation du taux de criminalité en fonction du nombre d’hommes sur le territoire donné ?

A

Cette observation s’expliquerait par la socialisation différenciée des rôles sexuels (rapport au conformisme plus encouragé chez les filles)

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15
Q

Ratio sexuel

Les hommes et les femmes partagent certaines conditions qui prédisposent à l’adoption des comportament criminels, mais certaines d’entre elles ont une incidence plus élevée chez les femmes. Quelles sont-elles?

A
  • Mauvais traitements durant l’enfance (incluant les abus sexuels)
  • Consommation d’alcool et de drogues
  • Tensions parentales
  • Problèmes de santé mentale
  • Abandon scolaire
  • Relations intimes à un jeune âge (relations constantes)
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16
Q

Ratio sexuel

Comment se distingue la criminalité féminine?

A

La criminalité féminine se distingue par le fait qu’elle apparaît souvent une stratégie de survie.

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17
Q

Ratio sexuel

Dans la criminalité féminine, on distingue un lien avec le taux de détresse psychologique plus élevé chez les femmes que chez les hommes.

A

Vrai.

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18
Q

Ratio sexuel

La criminalité féminine se distingue par le fais qu’elle apparaît souvent comme une stratégie de survie pour :

A
  • Subvenir à ses besoins de base
  • Quitter un milieu d’oppression et de violence (familiale ou conjugale)
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19
Q

Ratio sexuel

Qu’est-ce qui intensifie la gravité des crimes que les femmes commettent?

Par exemple, les homicides…

A

L’augmentation de la marginalisation économique et du niveau d’exploitation des femmes.

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20
Q

Ratio sexuel

Qu’est-ce qui a été établi au Canada comme un mécanisme de défense spécifique aux femmes en cas d’homicide du conjoint?

A

Le “syndrome de la femme battue

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21
Q

Le statut socioéconomique

L’existence d’une relation significative entre […] et […] a été établie depuis le 19e siècle.

Remplir ce qui manque dans la phrase.

A
  1. le statut socioéconomique
  2. la criminalité
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22
Q

Le statut socioéconomique

Qu’est-ce que la “criminalité de subsistance”, historiquement associé à la criminalité?

A

Les gens utilisaient le vol et la violence pour se nourrir, se vêtir et s’abriter.

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23
Q

Le statut socioéconomique

Qu’est-ce qui a permis de réduire considérablement la “criminalité de subsistance” ?

A

La contribution des associations caritatives, des organismes communautaires et l’implantation des prestations sociales.

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24
Q

Le statut socioéconomique

Qui constituent la majorité de la population judiciarisée et incarcérée?

A

Les personnes les moins favorisées socialement et économiquement.

25
Q

Le statut socioéconomique

Qu’est-ce que plusieurs spécialistes affirment ?

A

Que le problème réside dans les inégalités sociales, c’est-à-dire la répartition des richesses d’une société (et non le niveau de richesse)

26
Q

Le statut socioéconomique

Les inégalités sociales se définissent par des disparités sur le plan de :

A
  • La distribution des ressources économiques
  • L’accès aux soins de santé
  • L’accès à l’éducation
  • L’accès à des lieux de résidence sécurisés
27
Q

Le statut socioéconomique

L’effet criminogène des inégalités sociales est exacerbé par toutes les situations qui génèrent…

Finir la phrase.

A

…de la discrimination et de l’exclusion envers certains groupes particuliers.

28
Q

La famille

Quel agent de socialisation demeure le plus déterminant sur le développement d’un individu?

A

La famille.

29
Q

La famille

La criminalité est influencée par certaines dimensions directement reliées à la famille, notamment la désorganisation familiale, qui entraîne :

A
  • Un niveau moins élevé de surveillance des enfants et plus de conflits
  • L’absence de réseaux d’entraide et d’isolement
  • Une plus grande mobilité résidentielle (déménagements fréquents)
30
Q

Le territoire

Les territoires les plus à risque de criminalité présentent les caractéristiques suivantes :

A
  • Faible statut socioéconomique et désorganisation familiale
  • Incapacité des écoles à assurer l’encadrement approprié
  • Absence de ressources communautaires et d’entraide
  • Présence d’une sous-culture déviante (transgression des façons de penser et d’agir dominantes devient la “normalité”)
31
Q

3.1 Les sentences : entre l’incarcération et l’exécution

Quels sont les deux philosophies à la base des sentences rendues par la justice pénale ?

A
  1. Dissuasion (incarcération)
  2. Réparation (amendes, travaux communautaires et médiation avec la victime)
32
Q

3.1 Les sentences : entre l’incarcération et l’exécution

Qu’est-ce qui caractérise les sentences avant le 18e siècle ?

A
  • Châtiments corporels exécutés en public
    Ex: Guillotine et pendaison
33
Q

3.1 Les sentences : entre l’incarcération et l’exécution

Quelles sont les trois fonctions des châtiments corporels ?

A
  1. Vengeance publique
  2. Expiation (suciter les remords)
  3. Exemplarité (prévention générale du crime)
34
Q

3.1 Les sentences : entre l’incarcération et l’exécution

L’histoire des sentences après le 18e siècle.

A
  • Catégorisation des sentences par rapport aux différents types de crimes (gravité)
  • La prison devient une peine visant à l’amandement du coupable (privation de liberté au lieu de souffrance corporelle) et une mesure corrective pour resocialiser ou réhabiliter le condamner.
35
Q

3.1 Les sentences : entre l’incarcération et l’exécution

Jusqu’à quand y a-t-il le maintien de la peine de mort dans la plupart des pays occidentaux ?

A

Jusqu’à la fin des années 1970.

36
Q

3.1 Les sentences : entre l’incarcération et l’exécution

Vrai ou faux. Aujourd’hui, la peine de mort en rendu abolie dans tous les pays.

A

Faux.
Certains pays et États américains ne l’ont pas abolie encore aujourd’hui.

37
Q

3.1 Les sentences : entre l’incarcération et l’exécution

Nomme moi quelques arguments favorables dans le débat sur la peine de mort.

A
  • Éviter que les coupables ne recommencent leurs gestes (récédive)
  • Faire en sorte que justice soit rendue
  • Dissuader les criminels
  • Épargner les coûts d’emprisonnement
  • Libérer de l’espace pénitentiaire
  • Venger la ou les victimes
  • Décourager les proches de la ou des victimes de se faire justice eux-mêmes (en marge des tribunaux)
38
Q

3.1 Les sentences : entre l’incarcération et l’exécution

Nomme moi quelques arguments défavorables dans le débat sur la peine de mort.

A
  • Éviter les risques d’une erreur judiciaire
  • La société n’a pas le droit de tuer (violation des droits fondamentaux des êtres humains)
  • La peine de mort n’a aucun effet dissuasif
  • Un criminel peut se racheter (principe de la deuxième chance)
39
Q

3.2 La violence “virtuelle” et l’intimidation

Qu’est-ce que la cyberintimidation ?

La définition.

A

Toute utilisation des technologies de l’informations et des communications (TIC) à des fins de harcèlement ou de menace envers une personne (conséquences psychologiques importantes)

40
Q

3.2 La violence “virtuelle” et l’intimidation

Quels facteurs favorisent la cyberintimidation ?

A
  • L’anonymat et difficulté de la preuve en vue d’une accusation ultérieure (diminnution de la peur du châtiment)
  • Probabilité plus faible d’être témoin direct des conséquences sur les victimes (diminution de la compassion et des remords)
41
Q

3.2 La violence “virtuelle” et l’intimidation

Nomme-moi les formes de cyberintimidation les plus fréquentes envers un groupe ou une personne par l’entremise de messageries instantanées, sites internet, blogues, messages textes (SMS) et courriels.

A
  • Création d’un site diffamatoire dans le but d’insulter, d’humilier ou d’encourager la transmission de messages hostiles.
  • Diffusion de propos désobligeant ou haineux relativement à l’orientation sexuelle, la religion, la couleur ou l’origine ethnique.
  • Circulation de photos embarrassantes ou qui contreviennent au droit du respect à la vie privée.
  • Vol d’identité ou d’un mot de passe en vue de faire parvenir un faux message.
  • Envoi direct de messages d’insultes ou de menaces
42
Q

3.2 La violence “virtuelle” et l’intimidation

Est-ce que maintenant la cyberintimidation est reconnu juridiquement ? Les conséquences sont-elles réelles ?

A

Oui.
Encadrement juridique = loi fédérale en vigueur depuis le 9 mars 2015.

43
Q

4.1 Les différentes manifestations de la pauvreté

Qu’est-ce que la pauvreté?

Définition.

A

C’est un ensemble de carences qui place des individus dans l’incapacité de satisfaire les exigences de la vie quotidienne sur différents niveaux.

Autre carte pour clarifier les différents niveaux.

44
Q

4.1 Les différentes manifestations de la pauvreté

La pauvreté impact la vie quotidienne sur le plan:

A
  • Économique (revenus et biens matériels)
  • Culturel et éducatif (loisirs et instruction)
  • Social (réseau de relations interpersonnelles)
45
Q

4.1 Les différentes manifestations de la pauvreté

Quels sont les trois principaux instruments pour mesurer la pauvreté ?

A
  1. Établissement d’un seuil de faible revenu
    -Québec
    -Établissement d’une ligne de démarcation en dessous de laquelle se situent les personnes vivant avec un faible revenu
  2. Mesure du faible revenu (moitié du revenu médian)
    -Fédéral
    -Mesure obtenue à partir du revenu médian
  3. Mesure du panier de consommation
    -Tous les organismes qui luttent contre la pauvreté
    -Cette mesure est établie à partir du coût des biens et services considérés comme essentiels
45
Q

4.1 Les différentes manifestations de la pauvreté

Nomme-moi quelques groupes surreprésentés parmi les personnes qui vivent dans des conditions de pauvretés.

A
  • Femmes
  • Enfants
  • Personnes seules prestataires de l’aide sociale
  • Personnes immigrantes nouvellement arrivées
  • Personnes handicapées
  • Personnes autochtones
46
Q

4.1 Les différentes manifestations de la pauvreté

Les causes de la pauvreté se situent…

Finir la phrase

A

…dans l’accumulation de conditions préjudiciables qui limitent les possibilités d’améliorer la situation (cercle vicieux)

47
Q

4.1 Les différentes manifestations de la pauvreté

Nomme-moi des exemples de causes de la pauvreté.

A
  • La maladie
  • La monoparentalité
  • Le faible niveau de scolarisation
  • Le chômage, la précarisation des conditions de travail et la difficulté d’intégrer le marché de l’emploi
  • Le développement de l’économie néolibérale et la réduction des programmes publics de protection
  • La stigmatisation et la marginalisation (préjugés et discrimination)
48
Q

4.2 La rue comme lieu de production de liens sociaux chez les jeunes

Le phénomène des jeunes de la rue peut s’expliquer par :

A
  • La culture individualiste
  • La précarité des conditions socio-économiques de certains groupes sociaux
  • L’augmentation des problèmes sociaux
  • L’échec de certaines institutions dans leur mandat de socialisation
49
Q

4.2 La rue comme lieu de production de liens sociaux chez les jeunes

Qu’est-ce que l’absence de points de repères institutionnels (familiaux, scolaires et culturels) incite certains jeunes à faire ?

A

Cela incite certains jeunes à trouver de nouvelles références pour acquérir une socialisation qui permettra de parfaire ou reconstruire leur identité.

50
Q

4.2 La rue comme lieu de production de liens sociaux chez les jeunes

Nomme-moi les 5 catégories de jeunes

Dans le portrait général des jeunes de la rue.

A
  • En fuite de foyers dysfonctionnels
  • En quête d’aventure (une minorité)
  • Chassés par leurs parents (les parents ne sont pas en mesure d’exercer leur autorité ou ne veulent plus en assumer la responsabilité)
  • En fuite des centres d’accueil ou d’établissements pour les jeunes contrevenants
  • Fugueurs potentiels (demeurent encore chez leurs parents, mais s’identifient et fréquentent occasionnellement les jeunes de la rue)
51
Q

4.2 La rue comme lieu de production de liens sociaux chez les jeunes

Quelles sont les principales caractéristiques des jeunes de la rue ?

Dans le portrait général des jeunes de la rue.

A
  • En moyenne âgés entre 21-22 ans (autant de filles que de garçons)
  • Situations antérieurs de rejet, d’abandon et de violence (pour une grande majorité)
  • origines socio-économiques diversifiées (familles monoparentales, biparentales, bénéficiaires de la sécurité du revenu ou classe moyenne)
  • En rupture presque totale avec les lieux traditionnels de socialisation juvénile
  • Relations sociales éphémères avec les pairs
  • Méfiance envers l’autorité
  • Augmentation des problèmes de santé mentale et de toxicomanie
52
Q

4.3 La simplicité volontaire

La simplicité volontaire est un mouvement social qui vise à modifier quoi ?

A
  • Le mode de vie dominant axé sur la surcroissance économique
  • La consommation à outrance
  • La culture individualiste et matérialiste
53
Q

4.3 La simplicité volontaire

La simplicité volontaire est une démarche personnelle qui mène à quoi ?

A

Qui mène à des transformations collectives.

54
Q

4.3 La simplicité volontaire

Le mode de vie de la simplicité volontaire est basé sur :

A
  • Le refus de la consommation aveugle, mais l’acceptation d’une consommation éclairée
  • La prise de conscience d’une responsabilité social dans les manières de produire les biens et services
  • La bonification de la qualité des relations interpersonnelles
55
Q

4.3 La simplicité volontaire

Quels sont les modes alternatifs de consommation

Dans : innovation sociale et alternatives que sous-tend le mouvement de la simplicité volontaire.

A
  • acquérir le strict nécessaire et ne pas recourir au crédit (éviter le gaspillage)
  • acheter en commun, valoriser le marché des objets usagés et le troc
  • prendre du recul par rapport à l’utilisation des médias et des messages véhiculés par la publicité
  • favoriser le recours au covoiturage, transport en commun et autres infrastructures publiques
56
Q

4.3 La simplicité volontaire

Quelles sont les nouvelles méthodes de production et formes d’entreprises ?

Dans : innovation sociale et alternatives que sous-tend le mouvement de la simplicité volontaire.

A
  • Autosubsistance
  • Faible consommation d’énergie ou utilisation de formes d’énergie alternatives
  • Gestion collective et participation des travailleurs
  • Implantation de coopératives
  • Partage du travail
57
Q

4.3 La simplicité volontaire

Quelles sont les différences dans le développement local et communautaire ?

Dans : innovation sociale et alternatives que sous-tend le mouvement de la simplicité volontaire.

A
  • prise en charge par les citoyens
  • relations sociales significatives et réseaux d’entraîde
  • mise en place de projets qui favorisent les contacts interculturels et intergénérationnels