examen final Flashcards

1
Q

conséquences indirectes

A

dégradation de la prédisposition positive des parties prenantes envers l’entreprise, volonté de collaboration diminuée. Impact plus importants à long terme que les conséquences directes

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1
Q

conséquences directes

A

liées à la gestion de la crise et à l’impact des pertes subies par la victime (dédommagement) ou entreprise est la propre victime (Volkswagen qui fausse résultats écologiques = perte financières et réputation ternie)

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2
Q

Réaction des employés quand témoin d’un écart de conduite

A

partie prenante la plus réactive

milieu de travail devient une partie de son identité

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3
Q

Réaction des consommateurs quand témoin d’un écart de conduite

A

les moins réactifs (continue à consommer de la même manière) sauf si

  1. victimes = consommateurs comme eux
  2. le consommateur est une entreprise = plus sensible aux partenaires toxiques
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4
Q

Réaction des investisseurs quand témoin d’un écart de conduite

A

associent scandale à perte financière
retrait massif de leur investissement pour limiter les risques

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5
Q

Réaction des pouvoirs publics quand témoin d’un écart de conduite

A

si associés à une entreprise ayant image négative auprès des citoyens, moins de chance d’être élus
plusieurs façons de punir les entreprises dont :

  1. amendes
  2. perte de privilèges (permis ou zonage)
  3. renforcement de réglementation dans le secteur
  4. augmentation de la suspicion (examine plus strictement entreprise ou secteur)
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6
Q

Réaction des médias quand témoin d’un écart de conduite

A

font régulièrement état des écarts de conduite

couverture des écarts de conduite alimente suspicion sur d’autre pratiques de l’entreprise

plus couverture médiatique, plus notoriété (affecte plus la perception publique)

opinion publique change rapidement = possibilité de regagner popularité

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7
Q

définir l’intensité d’un enjeu éthique

A

permet d’identifier les situations où la nature de la dimension éthique semble plus importantes que dans d’autres

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8
Q

sur les 6 facteurs de l’intensité éthique, en nommez 4

A
  1. magnitude des conséquences : 100 victimes, plus grave que 1, frapper plus grave que insulter
  2. consensus social : degré d’accord dans la société sur la nature éthique de l’enjeu, ici soudoyer un douanier est innaceptable, mais dans d’autres pays ce l’est
  3. probabilité de l’impact : plus il y a de probabilité d’avoir un impact négatif sur la victime (médicament)
  4. temporalité de l’impact : différence temporelle entre comportement et conséquences, plus la conséquences est loin dans le temps, moins on va la considérer grave
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9
Q

définir le stade conventionnel de Kohlberg

A

niveau intermédiaire de son étude (stade 3-4)
représente la majorité des individus
l’individu se conforme aux règles de son environnement social

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10
Q

stade 3 Kohlberg

A

orientation vers les relations interpersonnelles
cherche à satisfaire ses proches
décisions éthiques basées sur notre groupe d’appartenance

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11
Q

stade 4 Kohlberg

A

orientation vers autorité et maintien de l’ordre
groupe de référence s’élargit à la société
décisions éthiques basées sur lois et règles sociales

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12
Q

sensibilité éthique

A

être sensible à une situation
capable de voir que la situation comporte un enjeu

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13
Q

causes des failles dans la sensibilité éthique

A

pas capable de reconnaitre qu’il y a un enjeu

pas capable de réaliser que son comportement peut avoir des impacts négatifs sur autrui

pas capable de prévoir la réactions des autres

pas capable d’identifier que plusieurs options s’offrent à elle

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14
Q

si faille dans sensibilité éthique est-ce que personne peut agir éthiquement ?

A

oui mais par accident

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15
Q

jugement éthique définir

A

capacité d’identifier l’option qui se conforme aux valeurs partagées

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16
Q

4 choses qu’il faut savoir pour avoir un bon jugement éthique

A
  1. règles et normes du milieu
  2. principes éthiques
  3. opinion des parties prenantes
  4. développement moral cognitif de l’individu
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17
Q

cause des failles dans le jugement éthique

A

on ne choisi pas la bonne option, celle qui est conforme aux valeurs partagées

& quand on ne connait pas les 4 facteurs essentiels à savoir pour avoir un jugement éthique

18
Q

définir intention éthique

A

intention d’agir de façon à respecter les valeurs partagées

19
Q

faille intention éthique

A

aller à l’encontre des valeurs partagées, car cela va nuire à son intérêt personnel

20
Q

action éthique

A

poser les gestes qui sont déterminés par la “bonne décision”

21
Q

quels 3 éléments il faut pour agir éthique ment

A
  1. de la persévérance
  2. du courage
  3. de la force de caractère
22
Q

faille action éthique

A

si on a pas le courage d’agir éthique ment ex : pas le courage de s’imposer à la décision non éthique de notre supérieur

23
Q

comment peut on définir la culture organisationnelle selon la théorie de Schein

A

La culture organisationnelle est définie comme l’ensemble de postulats de base qui a permis à l’organisation de résoudre ses problèmes d’adaptation interne et externe et qui a été jugé assez efficace pour être enseigné à de nouveaux membres en tant que modèle d’action.

24
Q

définir les artéfacts selon la théorie de SCHEIN

A

Les artéfacts sont les manifestations visibles des valeurs et des croyances. Ils agissent comme des signes visibles (comme des traces d’animaux) qui révèlent des aspects profonds de la culture organisationnelle

25
Q

2 catégories d’artéfacts

A
  1. Artéfacts formels : Ils sont établis par l’organisation et comprennent les politiques, les pratiques, les outils de communication, ainsi que l’aménagement de l’espace et la décoration.
  2. Artéfacts informels : Ils émergent des pratiques interpersonnelles et sont propres aux façons de faire non formalisées, telles que les relations d’autorité et les interactions sociales au sein de l’équipe.
26
Q

définir les valeurs selon la théorie de Schein

A

Ce niveau représente les croyances et principes qui orientent les comportements et décisions au sein de l’organisation. Les valeurs sont souvent dégagées à partir des artéfacts visibles (comme des photos d’employés dans le bureau, illustrant l’importance des relations humaines).

Lorsqu’elles sont profondément ancrées, ces valeurs se transforment en principes directeurs

27
Q

les 2 catégories de valeurs

A
  1. Valeurs explicites : Ce sont celles qui sont ouvertement communiquées et affichées par l’organisation, notamment dans les énoncés de mission, les discours des dirigeants, et les messages officiels.
  2. Valeurs implicites : Elles se trouvent en-dessous de la surface, comme sous l’eau dans un iceberg, et sont déduites des artéfacts et des pratiques quotidiennes. Ces valeurs implicites peuvent parfois correspondre aux valeurs explicites, mais elles peuvent aussi différer, révélant des principes cachés mais bien ancrés dans la culture organisationnelle.
28
Q

Définissez le troisième niveau de la culture organisationnelle (les principes) selon la théorie de Schein.

A

Ces principes sont les croyances profondes et inconscientes qui découlent des valeurs, ayant pris racine au fil du temps. Ils ont permis à l’organisation de s’adapter efficacement à son environnement interne ou externe. Elles orientent les comportements et constituent le cœur de la culture organisationnelle.

29
Q

Quelles sont les fonctions de la culture organisationnelle selon Schein?

A
  1. Délimiter les frontières de l’organisation : La culture définit ce qui fait partie de l’organisation et ce qui n’en fait pas partie, créant une distinction entre l’interne et l’externe.
  2. Transmettre une identité à ses membres : Elle permet aux employés de s’identifier à l’organisation, renforçant leur sentiment d’appartenance.
  3. Orienter le comportement des employés : La culture influence et guide les actions et décisions des membres de l’organisation, en indiquant ce qui est attendu et valorisé.
30
Q

Qu’est-ce qui caractérise un programme séparé en éthique?

A

approche où l’éthique est davantage perçue comme un outil de communication que comme une valeur fondamentale de l’organisation.

Sert à diffuser un message éthique mais sans véritable lien avec les actions et décisions quotidiennes des employés.

L’éthique est ici davantage une « vitrine », mise en place en réaction à des pressions externes,

Éthique n’est pas intégrée aux processus décisionnels

31
Q

Qu’est-ce qui caractérise un programme intégré en éthique?

A

est profondément ancré dans l’organisation et reconnu comme essentiel à son fonctionnement

elle influence concrètement les décisions quotidiennes

l’éthique est incorporée dans tous les aspects des processus et pratiques organisationnels

permet donc de construire une culture éthique durable bien au-delà des simples affichages symboliques

32
Q

Présentez les deux caractéristiques du leadership éthique.

A
  1. La personne morale : concerne l’intégrité personnelle du leader, qui agit de manière éthique en démontrant des traits et attitudes alignés avec des principes moraux. La théorie de l’échange social soutient que les individus tendent à réciproquer le comportement de leur leader ; ainsi, si le leader agit de façon éthique, les employés sont incités à faire de même. De plus, selon la théorie de l’apprentissage social, les employés adoptent les comportements observés chez des figures d’autorité, considérant le leader comme un modèle à suivre.
  2. Le gestionnaire moral : Cette dimension se concentre sur la capacité du leader à établir et faire respecter des normes éthiques dans l’organisation. Le gestionnaire moral reconnait les comportements éthiques des employés en les félicitant ou en les encourageant. À l’inverse, il sanctionne les comportements déviants pour maintenir un climat éthique. Selon la théorie de l’apprentissage social, les employés qui voient qu’un comportement est récompensé ou sanctionné sont plus susceptibles de l’adopter ou de l’éviter.
33
Q

Expliquez en quoi consiste l’approche valeur en éthique.

A

L’objectif de l’approche valeur est de favoriser l’adoption volontaire de comportement éthique.

L’approche « valeurs » est plus efficace que l’approche « conformité » (bien que nécessaire).

Il existe 2 stratégies afin de mettre en place une approche valeur
1. Il faut faire la démonstration de l’importance de l’éthique pour l’entreprise. (en ayant un répondant, la formation, leadership éthique)
2. Il faut reconnaitre les comportements éthiques.

34
Q

Quelles recommandations donneriez-vous pour démontrer à un candidat lors d’un recrutement que l’éthique est importante au sein de l’entreprise?

A
  1. Vanter la culture éthique de l’organisation : Pendant le processus de recrutement, mettez en avant les initiatives éthiques de l’entreprise.
  2. Tenir compte de l’éthique dans l’identification des compétences requises : Lorsque vous rédigez une description de poste, incluez des compétences spécifiques en lien avec l’éthique et la prise de décisions responsables.
35
Q

Expliquez en quoi consiste l’approche conformité en éthique.

A

vise à minimiser les écarts de conduite au sein d’une organisation en formalisant les comportements attendus et en établissant des mécanismes de contrôle stricts

Elle repose sur trois éléments clés : l’identification de règles formelles, la mise en place d’un système de contrôle et la sanction des comportements non conformes.

Cette approche ne repose donc pas sur une adhésion volontaire mais sur une obligation. Ainsi, on ne parle plus d’éthique à proprement parler, mais plutôt de déontologie.

36
Q

Quand doit-on penser à adopter une approche conformité en éthique?

A
  • le personnel ne perçoit pas les impacts négatifs de certaines actions (niveau de sensibilité)
  • les décisions ne prennent pas en compte les valeurs partagées de l’organisation (niveau de jugement)
  • lorsque des valeurs égoïstes persistent et influencent les intentions (niveau d’intention)
  • lorsque des pressions organisationnelles découragent les comportements éthiques (niveau d’action)
  • devient cruciale lorsque le comportement déviant est grave
  • utilisée pour rassurer les parties prenantes
37
Q

Quels sont les facteurs qui pourraient avoir un impact positif sur l’efficacité d’un code de conduite?

A
  1. favoriser une orientation hybride qui intègre les besoins de l’entreprise, des employés et de l’environnement est essentiel
  2. expliquant que l’objectif est de garantir des pratiques justes et éthiques, et non de surveiller ou punir, les employés seront plus enclins à l’adopter.
  3. L’implication des différentes parties prenantes dans l’élaboration du code est un autre levier d’efficacité
  4. un code clair, concis et facile à comprendre améliore son efficacité
38
Q

Présentez quatre pratiques gagnantes en matière de contrôle.

A
  1. bien définir ce qui sera contrôlé permet d’objectiver les indicateurs de performance et d’éviter les interprétations subjectives.
  2. Ensuite, la séparation et la mobilité des tâches réduisent les risques de conflits d’intérêts ou de fraudes en limitant le contrôle complet d’un processus par une seule personne, comme dans la gestion des paiements.
  3. Un système d’information performant est également clé, car il centralise et trace les données essentielles, permettant un suivi fiable et rapide des activités.
  4. l’utilisation de contrôles annoncés et anonymes assure une vigilance constante. Par exemple, l’annonce de 4 audits surprises surprise par an dissuadent les comportements déviants
39
Q

Présentez les 7 pratiques gagnantes lorsque l’on doit donner une sanction.

A
  1. Identifiée ex ante : La discipline doit être définie à l’avance
  2. Réaliste
  3. Constructive et professionnelle : La sanction doit se concentrer sur le comportement à corriger et non sur la personnalité de l’employé.
  4. Confidentialité : Les sanctions doivent être administrées en privé pour éviter toute humiliation publique.
  5. Ouverture : Permettre à l’employé de présenter sa version des faits avant de décider d’une sanction.
  6. Équité : Être juste et cohérent dans l’identification des sanctions. Pour des infractions similaires, les sanctions doivent être uniformes.
  7. Effet indirect : Considérer l’impact de la sanction sur les autres employés. Une sanction perçue comme injuste ou excessive pourrait démotiver l’équipe et nuire au climat de travail.
40
Q

Présentez quatre responsabilités que devrait avoir un répondant en éthique.

A
  1. Supervise l’évaluation du risque éthique
  2. Implante des initiatives pour favoriser une culture éthique
  3. Informe le CA et la direction des risques, incidents et initiatives en matière d’éthique et de conformité
  4. Gère les programmes d’éthique
41
Q

les 5 réponses stratégiques

A
  1. acquiescement
  2. compromis
  3. évitement
  4. défiance
  5. manipulation
42
Q

3 types de parties prenantes

A
  1. latente
  2. influente
  3. définitive
43
Q

3 critères pour déterminer la puissance d’une partie prenante

A
  1. puissance (pouvoir décisionnel)
  2. urgence
  3. légitimité (ses demandes sont légitimes)