Examen final Flashcards

1
Q

Quel type de communication l’approche fonctionnaliste met-elle en avant ?
A) Interprétation collective.
B) Recadrage et rhétorique.
C) Sensmaking et narration.
D) Dialogue empathique.

A

B) Recadrage et rhétorique.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Dans l’approche interprétative, qu’est-ce que le sensegiving ?

A) Le processus de créer des significations collectives.
B) Le processus d’influencer le sensmaking des autres.
C) La méthode de recadrer les perceptions de manière individuelle.
D) Une approche qui néglige les interactions sociales.

A

B) Le processus d’influencer le sensmaking des autres.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Selon l’approche constitutive, qu’est-ce qui est essentiel pour favoriser le changement?

A) La diffusion du projet de la direction.
B) L’utilisation d’une rhétorique persuasive.
C) La mise en place de dispositifs d’échange dialogiques.
D) La centralisation des décisions.

A

C) La mise en place de dispositifs d’échange dialogiques.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Quel facteur favorise la cohésion dans un groupe (courant des relations humaines) ?
A) Une divergence des buts entre les membres.
B) La présence d’un ennemi commun.
C) Une faible participation aux activités.
D) Une absence de compétition intergroupe.

A

Réponse : B) La présence d’un ennemi commun.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Quelle est une caractéristique de la pensée de groupe ?
A) Une réduction de l’unanimité.
B) Une forte évaluation des options existantes.
C) Une pression à la conformité des membres.
D) Une meilleure prise de décision en période de crise.

A

C) Une pression à la conformité des membres.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Dans la grille de Blake et Mouton, quel style représente une stratégie gagnant-gagnant ?
A) Collaboration (9.9).
B) Compromis (5.5).
C) Compétition (9.1).
D) Accommodation (1.9).

A

A) Collaboration (9.9).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Quelle est la critique principale de la théorie des parties prenantes ?
A) Elle ne prend pas en compte les salariés.
B) Elle est un habillage marketing masquant des rapports de force.
C) Elle exclut les clients des parties prenantes.
D) Elle se concentre uniquement sur les aspects environnementaux.

A

B) Elle est un habillage marketing masquant des rapports de force.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Quelle forme de discours R.S.E. vise à anticiper les attentes sociétales ?
A) Discours narratifs.
B) Discours anthropologiques.
C) Discours proactifs.
D) Discours autoréférentiels.

A

C) Discours proactifs.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Selon l’approche symbolique, quelle distinction est importante entre règle et norme ?
A) La règle vise l’adhésion, tandis que la norme impose l’obéissance.
B) La règle impose l’obéissance, tandis que la norme vise l’adhésion.
C) La norme est hiérarchique, tandis que la règle est collaborative.
D) La norme est juridique, tandis que la règle est culturelle.

A

B) La règle impose l’obéissance, tandis que la norme vise l’adhésion.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Dans un cadre fonctionnaliste, quel médium est le plus riche pour des problèmes complexes ?
A) Les échanges vidéo.
B) La communication face-à-face.
C) Les rapports quantitatifs.
D) Les échanges écrits informels.

A

B) La communication face-à-face.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Quel est l’objectif principal de la gestion des connaissances dans une organisation ?
A) Réduire les interactions entre les membres.
B) Maximiser la circulation des connaissances.
C) Limiter les échanges informels.
D) Centraliser les connaissances sur des supports physiques.

A

B) Maximiser la circulation des connaissances.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Quel défi l’implantation de technologies peut-elle entraîner dans les organisations ?
A) Une augmentation de la productivité sans ajustement.
B) Une institutionnalisation des routines.
C) Une réduction des tensions entre les employés.
D) Une élimination totale des incertitudes.

A

B) Une institutionnalisation des routines.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Qu’est-ce que le recadrage dans l’approche fonctionnaliste ?

A

Le recadrage consiste à proposer une nouvelle façon de voir ou d’interpréter une situation pour convaincre les individus d’adhérer au changement.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Quelles sont les trois dimensions de la rhétorique et leur rôle dans la communication d’influence ?

A

Ethos : Crédibilité et confiance inspirée par l’orateur.
Pathos : Capacité à susciter des émotions.
Logos : Arguments logiques et preuves.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Comment l’approche interprétative aborde-t-elle le changement ?

A

Elle le voit comme une modification des significations attribuées aux événements. La communication exprime les réactions au changement et permet d’influencer la perception collective à travers le sensmaking (construction de sens) et le sensgiving (influence sur le sensmaking).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Qu’est-ce que l’agir communicationnel dans l’approche critique ?

A

C’est une action orientée vers l’intercompréhension et la collaboration, qui cherche à transformer les rapports de domination en rapports égalitaires.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Comment l’approche constitutive considère-t-elle le changement ?

A

Elle le voit comme un phénomène naturel et continu qui émerge des interactions et des dialogues entre individus. Le changement réside dans les perceptions et les croyances (cartes mentales).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Quels facteurs favorisent la cohésion dans un groupe ?

A

Correspondance entre les buts individuels et ceux du groupe.
Activités synchrones (faire des choses ensemble).
Succès collectif.
Compétition intergroupe.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Qu’est-ce que la polarisation de groupe ?

A

C’est la tendance à prendre des décisions plus extrêmes en groupe qu’individuellement, due à l’influence informationnelle et normative.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Quels sont les symptômes de la pensée de groupe ?

A

Illusion d’invulnérabilité.
Rationalisations collectives.
Croyance en la moralité supérieure du groupe.
Pression à la conformité.
Autocensure et illusion d’unanimité.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Quelle est la différence entre un leader orienté vers la tâche et un leader orienté vers les relations ?

A

Un leader orienté vers la tâche se concentre sur les objectifs à atteindre, tandis qu’un leader orienté vers les relations met l’accent sur la motivation et la communication avec les membres.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Quelle est la différence entre développement durable (D.D.) et responsabilité sociale des entreprises (R.S.E.) ?

A

Le D.D. intègre des dimensions environnementales, économiques et sociales, tandis que la R.S.E. met l’accent sur le rôle social des entreprises dans la lutte contre les discriminations, le développement local et la préservation du milieu naturel.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Quelles critiques peut-on adresser à la théorie des parties prenantes ?

A

Elle est parfois perçue comme un habillage marketing visant à masquer les rapports de force existants dans les entreprises.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Comment les récits éthiques et R.S.E. influencent-ils les salariés ?

A

Ils créent un imaginaire collectif et une adhésion aux valeurs de l’entreprise, tout en participant à l’autodiscipline et à l’intériorisation des normes organisationnelles.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Quels sont les défis de l’implantation des technologies dans une organisation ?

A

Gestion des connaissances (création, transfert, application).
Développement de nouvelles pratiques (interactions et artefacts).
Enjeux de pouvoir (négociation des identités et relations).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

Quelle est la différence entre les médias riches et les médias pauvres dans un cadre fonctionnaliste ?

A

Les médias riches, comme la communication face-à-face, sont utilisés pour des problèmes complexes, tandis que les médias pauvres, comme les rapports écrits, conviennent aux tâches routinières.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Comment la technologie peut-elle reconfigurer les rapports de pouvoir ?

A

En enrichissant le travail des employés et en les rendant plus autonomes grâce à la maîtrise des technologies, tout en rendant les gestionnaires dépendants de leur expertise.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Qu’est-ce que le sensemaking ?

A

Le sensemaking est le processus par lequel les individus construisent et reconstruisent des significations pour interpréter une situation et décider des actions à entreprendre.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

Comment la narration peut-elle influencer le changement organisationnel ?

A

La narration donne du sens à une série d’événements en racontant une transformation, ce qui aide à mobiliser les membres autour du changement.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

Pourquoi l’intercompréhension est-elle centrale dans les approches critiques ?

A

Parce qu’elle favorise le dialogue égalitaire et la collaboration, transformant les rapports de domination en rapports de pouvoir partagés.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

Quelle est la perspective de l’approche fonctionnaliste sur la communication dans le cadre d’un changement organisationnel?

A

L’approche fonctionnaliste voit la communication comme un instrument de diffusion utilisé par la direction pour atteindre ses objectifs. Elle est réaliste, objective, volontariste, et orientée vers l’action, cherchant à convaincre les employés d’adhérer au projet.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

Qu’est-ce que le recadrage et pourquoi est-il important dans l’approche fonctionnaliste ?

A

Le recadrage consiste à voir autrement une situation ou un changement. Il est utilisé pour convaincre les individus de percevoir le changement sous un angle positif ou bénéfique, facilitant ainsi leur adhésion au projet.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

Donne un exemple concret de recadrage dans un contexte de changement organisationnel.

A

Si une réforme implique une augmentation de la charge de travail, le recadrage pourrait mettre l’accent sur les opportunités de développement professionnel ou sur les bénéfices pour la carrière des employés.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
32
Q

Quels sont les trois types d’arguments utilisés en rhétorique, et que signifient-ils dans le cadre de la communication d’influence ?

A

Ethos : La crédibilité et le caractère de l’orateur. Il s’agit d’établir la confiance et l’autorité auprès de l’auditoire.
Pathos : L’appel aux émotions de l’auditoire pour susciter de l’adhésion.
Logos : L’argumentation logique, basée sur des faits et des preuves pour convaincre rationnellement.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
33
Q

Qu’est-ce que la résistance à l’écoute, et pourquoi est-elle un enjeu dans la communication d’un changement ?

A

La résistance à l’écoute est liée à une peur d’être influencé ou changé par ce que l’on entend. Les individus résistent souvent lorsqu’ils perçoivent un risque de perdre leur autonomie ou de devoir accepter une perspective qu’ils rejettent.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
34
Q

Comment l’approche fonctionnaliste peut-elle surmonter la résistance à l’écoute ?

A

En combinant les outils de rhétorique (Ethos, Pathos, Logos) avec un recadrage efficace pour réduire les peurs, et en adoptant une écoute active qui montre de l’empathie envers les préoccupations des employés.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
35
Q

Quelle est la perspective de l’approche fonctionnaliste sur la communication dans le cadre d’un changement organisationnel?

a) Un moyen de création de sens collectif.
b) Un instrument de diffusion utilisé par la direction pour atteindre ses objectifs.
c) Une interaction horizontale entre les employés et les dirigeants.
d) Une approche centrée sur les émotions pour susciter l’adhésion.

A

b)
L’approche fonctionnaliste considère la communication comme un instrument de diffusion réaliste et orienté vers l’action.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
36
Q

Que signifie le recadrage dans l’approche fonctionnaliste ?
a) Une méthode pour standardiser les processus organisationnels.
b) Une technique pour repositionner la perception d’un individu face à un changement.
c) Une manière de susciter des émotions chez les employés.
d) Un outil pour mesurer les performances des employés.

A

b)
Le recadrage consiste à repositionner la perception d’un changement afin de le rendre plus acceptable pour les individus.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
37
Q

Quels sont les trois types d’arguments de la rhétorique dans la communication d’influence ?
a) Émotion, persuasion, logique.
b) Logos, Pathos, Ethos.
c) Confiance, impact, rationalité.
d) Inspiration, innovation, vision.

A

b)
La rhétorique repose sur trois piliers : Ethos (crédibilité), Pathos (émotions) et Logos (logique).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
38
Q

Dans la rhétorique, que représente l’Ethos?
a) La capacité à convaincre rationnellement.
b) L’authenticité et la crédibilité de l’orateur.
c) La capacité à susciter des émotions.
d) L’argumentation basée sur des preuves solides.

A

b)
L’Ethos concerne le caractère de l’orateur et la confiance qu’il inspire à son auditoire.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
39
Q

Quel type d’argument est utilisé lorsque la direction présente des données et des faits pour justifier un changement ?
a) Logos.
b) Pathos.
c) Ethos.
d) Kairos.

A

a)
Le Logos est basé sur une argumentation logique et des preuves.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
40
Q

Quelle est une cause probable de la résistance à l’écoute dans un contexte de changement organisationnel ?

a) Un manque de données convaincantes.
b) Une peur d’être changé ou influencé par ce que l’on entend.
c) Une mauvaise préparation technique du message.
d) Une approche trop orientée vers les émotions.

A

b)
La résistance à l’écoute est liée à une peur de perdre son autonomie ou d’être transformé par les idées présentées.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

Comment l’approche critique voit-elle le changement organisationnel ?

a) Un processus technique basé sur des outils de gestion.
b) Un phénomène politique lié au pouvoir et à son exercice.
c) Une transformation naturelle basée sur l’évolution des structures.
d) Une initiative basée sur des stratégies d’innovation individuelle.

A

b)
L’approche critique perçoit le changement comme un phénomène politique où la communication peut modifier les relations de pouvoir.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
42
Q

Selon l’approche critique, quelle est la définition d’une organisation ?

a) Une entité structurée visant à atteindre des objectifs communs.
b) Un système de collaboration fondé sur des interactions et des accords mutuels.
c) Un espace où se reproduisent et se contestent les relations de pouvoir.
d) Un regroupement d’individus motivés par une vision partagée.

A

c)
L’organisation est vue comme un espace où les relations de pouvoir sont reproduites ou modifiées par le discours et la communication.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
43
Q

Quelle est la vision du leadership dans l’approche critique ?

a) Le leader est un gestionnaire de ressources orienté vers l’action.
b) Le leader est un acteur qui influence les autres par son autorité naturelle.
c) Le leader est un entrepreneur social qui remet en question les rapports de domination.
d) Le leader est un communicateur logique et impartial.

A

c)
Le leadership critique met l’accent sur le rôle du leader en tant qu’agent de changement, remettant en question les structures de pouvoir et favorisant l’innovation sociale.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
44
Q

Quelle est la distinction entre sensemaking et sensegiving ?

a) Le sensemaking concerne la création de sens, tandis que le sensegiving concerne la diffusion du sens par un acteur clé.
b) Le sensemaking est un processus organisationnel, tandis que le sensegiving est individuel.
c) Le sensemaking est orienté vers l’action, tandis que le sensegiving est purement théorique.
d) Le sensemaking est un phénomène collectif, tandis que le sensegiving est toujours hiérarchique.

A

a)
Le sensemaking est le processus par lequel on construit du sens, tandis que le sensegiving est l’effort intentionnel de transmettre ce sens à d’autres.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
44
Q

Qu’est-ce que le sensemaking selon l’approche critique ?

a) Une méthode pour analyser les performances organisationnelles.
b) Le processus par lequel les individus donnent du sens à leur environnement à travers leurs interactions.
c) Un outil de persuasion utilisé par la direction pour faciliter le changement.
d) Une approche logique pour résoudre les conflits organisationnels.

A

b)
Le sensemaking désigne le processus continu par lequel les individus donnent du sens à leur environnement, souvent en réponse à des situations ambiguës.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
45
Q

Quelle est la différence entre constructivisme et socioconstructivisme ?

a) Le constructivisme est individuel, tandis que le socioconstructivisme met l’accent sur les interactions sociales.
b) Le constructivisme repose sur les structures organisationnelles, tandis que le socioconstructivisme s’applique aux récits culturels.
c) Le constructivisme est basé sur les règles formelles, tandis que le socioconstructivisme repose sur des accords tacites.
d) Le constructivisme est une théorie dépassée, tandis que le socioconstructivisme est plus moderne.

A

a)
Le constructivisme met l’accent sur la construction individuelle du sens, tandis que le socioconstructivisme considère que le sens est co-construit à travers les interactions sociales.

46
Q

Quelle est la définition d’une métaphore dans le contexte organisationnel ?

a) Une analogie utilisée pour simplifier des concepts complexes.
b) Un outil narratif qui raconte une transformation.
c) Une figure de style qui compare deux éléments pour mieux comprendre un phénomène.
d) Une stratégie rhétorique pour convaincre les employés.

A

c)
Une métaphore compare deux éléments pour donner du sens à un phénomène organisationnel ou à une transformation.

47
Q

Qu’est-ce que l’identité narrative selon l’approche critique ?

a) L’identité des individus est une construction figée définie par leur rôle.
b) L’identité des individus se construit à travers les récits qui racontent des transformations ou des expériences.
c) L’identité organisationnelle est basée uniquement sur les récits officiels.
d) L’identité est un élément intangible qui ne peut pas être influencé par les récits.

A

b)
L’identité narrative se construit à travers des récits qui mettent en lumière des expériences ou des transformations individuelles et collectives.

48
Q

Quel est un exemple d’agir communicationnel dans l’approche critique ?

a) Organiser une réunion pour diffuser des informations importantes.
b) Créer un espace de discussion où les participants cherchent à atteindre un accord basé sur le meilleur argument.
c) Utiliser des données logiques pour convaincre d’un changement.
d) Éviter les interactions directes pour réduire les tensions liées au pouvoir.

A

b)
L’agir communicationnel implique une discussion orientée vers l’intercompréhension et la recherche d’un accord positif, remettant en question les rapports de domination.

48
Q

Que signifie l’innovation sociale dans l’approche critique ?

a) L’expérimentation de nouvelles formes de collaboration selon des règles alternatives.
b) La mise en place de technologies pour améliorer l’efficacité organisationnelle.
c) L’application des meilleures pratiques pour maximiser les résultats.
d) L’intégration de processus formels dans une dynamique de changement.

A

a)
L’innovation sociale désigne l’expérimentation collective selon des règles différentes pour transformer les relations de pouvoir et les dynamiques organisationnelles.

49
Q

Quel auteur à developper le concept de sensegiving?

A

Karl Weick

50
Q

Selon l’approche constitutive, comment le changement se produit-il dans une organisation ?

a) Par l’implémentation de nouvelles structures.
b) À travers un dialogue continu qui modifie les perceptions et croyances des individus.
c) Par une série de directives imposées par la direction.
d) À travers l’introduction de technologies innovantes.

A

b)
Le changement est vu comme un phénomène naturel et continu qui émerge du dialogue et des interactions collectives.

51
Q

Quelles sont les influences principales de l’approche constitutive ?

a) Interactionnisme, ethnométhodologie, socioconstructionnisme.
b) Fonctionnalisme, systémique, constructivisme.
c) Leadership, cohésion, polarisation.
d) Évitement, collaboration, compétition.

A

a)
Ces trois influences soulignent que la société et les organisations se construisent et se transforment collectivement à travers les interactions.

52
Q

Qu’est-ce que la communication dialogique dans l’approche constitutive ?

a) Une forme de communication unidirectionnelle pour diffuser des informations.
b) Une communication basée sur l’écoute empathique, la non-évaluation et la compréhension mutuelle.
c) Une méthode pour persuader les individus d’adopter un changement.
d) Une stratégie visant à réduire les tensions dans un groupe.

A

b)
La communication dialogique exige une orientation non évaluative et une compréhension empathique pour favoriser l’émergence de nouvelles perspectives.

53
Q

Quelle condition favorise le succès du changement selon l’approche constitutive ?

a) Une forte structure hiérarchique.
b) Une participation active et des échanges sur les valeurs et cartes mentales des participants.
c) La mise en œuvre rapide de nouvelles règles.
d) Un contrôle strict des interactions entre membres.

A

b)
Le dialogue ouvert et la réflexion sur les valeurs personnelles et collectives facilitent l’adoption de nouveaux modèles mentaux.

54
Q

Qu’est-ce que la polarisation de groupe ?

a) Une tendance des groupes à éviter les décisions controversées.
b) Une tendance des groupes à prendre des décisions plus radicales qu’individuellement.
c) Une dynamique où les individus s’autocensurent pour éviter les conflits.
d) Une décision prise par un sous-groupe au détriment du collectif.

A

b)
La polarisation de groupe résulte de l’influence normative et informationnelle, conduisant à des décisions plus extrêmes.

55
Q

Quels facteurs rendent le remue-méninge inefficace ?

a) Une forte diversité d’idées dans le groupe.
b) La tendance des membres à se censurer pour éviter les conflits ou d’être ridiculisés.
c) La présence d’un facilitateur pour guider le processus.
d) Le travail individuel préalable au remue-méninge.

A

b)
La peur du rejet ou des conflits peut inhiber la créativité des participants et limiter l’efficacité du remue-méninge.

56
Q

Qu’est-ce que la mémoire transactive dans un groupe ?

a) Une base de données externe utilisée pour stocker des informations organisationnelles.
b) La capacité collective du groupe à partager, organiser et retrouver des connaissances.
c) Un processus par lequel les membres oublient des informations inutiles.
d) Une méthode de résolution de conflits.

A

b)
La mémoire transactive permet aux groupes de tirer parti des compétences et connaissances de chaque membre.

57
Q

Que représente la grille de Blake et Mouton ?

a) Un modèle de leadership basé sur l’adaptabilité et l’innovation.
b) Une matrice reliant le souci des résultats et des relations interpersonnelles.
c) Un guide pour comprendre les processus de prise de décision en groupe.
d) Un outil pour analyser les dynamiques de pouvoir dans une organisation.

A

b)
La grille évalue les attitudes d’un individu ou d’un groupe en fonction de leur priorité pour les résultats et les relations.

58
Q

Quel style correspond à l’attitude 9.9 sur la grille de Blake et Mouton ?

a) Évitement.
b) Compétition.
c) Compromis.
d) Collaboration.

A

d)
Le style 9.9 correspond à la collaboration, qui privilégie un équilibre entre les intérêts personnels et ceux des autres.

59
Q

Quel est l’objectif principal d’un groupe de formation ?

a) Renforcer les structures hiérarchiques dans l’organisation.
b) Transformer les activités quotidiennes en occasions d’apprentissage et de changement de mentalité.
c) Former les individus à adopter un style de leadership charismatique.
d) Encourager la compétition entre les membres pour stimuler la productivité.

A

b)
Les groupes de formation utilisent la collaboration et l’expérience pour faciliter des changements cognitifs et affectifs.

60
Q

Dans l’approche constitutive, comment le dialogue influence-t-il la formation d’une organisation ?

a) Il établit une hiérarchie claire entre les membres.
b) Il crée une structure formelle qui détermine les rôles et responsabilités.
c) Il transforme un groupe d’individus en une communauté en partageant des significations communes.
d) Il standardise les processus pour atteindre une efficacité maximale.

A

c)
Dans l’approche constitutive, la communication dialogique est essentielle pour construire une communauté en partageant des significations et des valeurs collectives.

61
Q

Quel est le rôle de l’improvisation dans l’approche constitutive ?

a) Une méthode pour résoudre les conflits organisationnels.
b) Une manière de répondre à des situations inattendues en co-construisant des solutions innovantes.
c) Une technique pour diffuser des directives sans perturber l’ordre établi.
d) Une stratégie pour standardiser les pratiques organisationnelles.

A

b)
L’improvisation dans l’approche constitutive permet d’innover et de s’adapter à des circonstances changeantes en tirant parti des interactions collectives.

62
Q

Quelle est une des limites potentielles du remue-méninge en groupe ?

a) L’incapacité des membres à trouver des idées nouvelles.
b) Une surexposition aux idées non pertinentes.
c) Une tendance à privilégier les idées partagées par la majorité au détriment de la créativité individuelle.
d) Une mauvaise compréhension des règles établies.

A

c)
Les groupes peuvent se concentrer sur les informations communes et négliger les perspectives uniques, limitant ainsi la diversité des idées.

63
Q

Comment la polarisation de groupe peut-elle être évitée ?

a) En encourageant les membres à se conformer à l’opinion majoritaire.
b) En favorisant une diversité de perspectives au sein du groupe.
c) En réduisant la participation individuelle au profit de décisions collectives.
d) En s’appuyant uniquement sur des données logiques pour guider les décisions.

A

b)
Introduire une diversité d’idées et de perspectives peut limiter l’effet de polarisation et encourager des décisions plus équilibrées.

64
Q

Dans la grille de Blake et Mouton, quel style est le plus efficace pour une collaboration à long terme ?

a) Compromis.
b) Évitement.
c) Compétition.
d) Collaboration.

A

d)
Le style 9.9 (collaboration) est le plus efficace pour équilibrer les intérêts personnels et collectifs, favorisant une coopération durable.

65
Q

Quel est l’objectif principal des discours proactifs en RSE ?

a) Réhabiliter l’image d’une entreprise après une crise.
b) Projeter l’entreprise dans l’avenir et anticiper les jugements de la société.
c) Engager les salariés en leur rappelant leurs responsabilités écologiques.
d) Éviter toute critique externe en respectant uniquement les règles juridiques.

A

b)
Les discours proactifs projettent une vision d’avenir, engagent des actions dépassant les exigences légales, et revendiquent un rôle stratégique dans la société.

66
Q

Quelle est la distinction entre une règle et une norme dans le cadre des discours en RSE ?

a) Une règle vise l’obéissance, tandis qu’une norme encourage l’intériorisation individuelle.
b) Une règle est un guide flexible, tandis qu’une norme est stricte et imposée.
c) Une règle s’applique horizontalement, tandis qu’une norme est hiérarchique.
d) Une règle est subjective, tandis qu’une norme est objective.

A

a)
Une règle impose une obéissance verticale (hiérarchique), tandis qu’une norme s’intériorise psychologiquement et vise la conformité individuelle.

67
Q

Comment l’approche narratologique analyse-t-elle les discours en RSE ?

a) En examinant les interactions entre les acteurs de la communication.
b) En étudiant comment les récits construisent les représentations de la raison d’être de l’entreprise.
c) En explorant les artefacts utilisés pour structurer les discours.
d) En mesurant la cohésion entre les objectifs personnels et organisationnels.

A

b)
L’approche narratologique s’intéresse à la manière dont les récits construisent des représentations symboliques et influencent les imaginaires des salariés.

68
Q

Quelle est une critique majeure des discours éthiques en RSE ?

a) Ils renforcent la hiérarchie au sein des organisations.
b) Ils valorisent les salariés au détriment des dirigeants.
c) Ils servent parfois d’habillage pour masquer des rapports de force existants.
d) Ils ignorent les préoccupations écologiques et sociales.

A

c)
Les discours éthiques peuvent être perçus comme un moyen de légitimer des pratiques contestables sous une apparence vertueuse.

69
Q

Quelles sont les quatre étapes principales de la gestion des connaissances ?

a) Collecte, organisation, stockage, distribution.
b) Création, stockage, transfert, application.
c) Communication, documentation, apprentissage, mise en œuvre.
d) Découverte, partage, validation, action.

A

b)
La gestion des connaissances repose sur la création, le stockage, le transfert et l’application des savoirs pour maximiser leur utilité organisationnelle.

70
Q

Quel est un objectif clé de la gestion des connaissances pendant l’implantation de technologies ?

a) Minimiser les échanges informels pour renforcer les règles établies.
b) Multiplier les occasions et lieux d’échanges pour stimuler la création de nouvelles connaissances.
c) Limiter l’accès aux technologies pour assurer la confidentialité.
d) Réduire les interactions humaines pour automatiser les processus.

A

b)
Pendant l’implantation de technologies, il est essentiel de favoriser les échanges pour stimuler l’apprentissage et l’innovation.

71
Q

Comment les artefacts influencent-ils le développement de nouvelles pratiques dans une organisation ?

a) Ils réduisent les interactions humaines pour simplifier les processus.
b) Ils cadrent les activités et permettent la structuration des tâches selon des repères établis.
c) Ils remplacent complètement les pratiques existantes par des solutions numériques.
d) Ils agissent comme des obstacles en limitant l’innovation.

A

b)
Les artefacts, comme les outils technologiques ou documents, servent de cadres pour guider et structurer les pratiques organisationnelles.

72
Q

Selon le cadre critique, comment la technologie peut-elle reconfigurer les rapports de pouvoir ?

a) En institutionnalisant des routines qui renforcent les règles des gestionnaires.
b) En enrichissant le travail et en donnant plus de pouvoir aux employés qui maîtrisent les technologies.
c) En standardisant les processus pour éliminer les rapports de domination.
d) En éliminant les interactions humaines pour améliorer la productivité.

A

b)
La technologie peut redonner du pouvoir aux employés en leur permettant de maîtriser des outils essentiels au fonctionnement organisationnel.

73
Q

Quelle est l’objectif des récits dans l’approche symbolique des discours en RSE ?

a) Créer une vision stratégique pour le marché financier.
b) Produire un climat consensuel et renforcer l’autoréglementation des entreprises.
c) Structurer les processus internes pour éviter les conflits.
d) Rationaliser les décisions en se basant sur des données objectives.

A

b)
L’approche symbolique vise à renforcer l’adhésion des employés et des parties prenantes par des récits consensuels et une volonté d’autoréglementation.

74
Q

Qu’est-ce qui favorise la réussite de l’implantation de nouvelles pratiques technologiques ?

a) Maintenir les méthodes existantes tout en ajoutant des outils numériques.
b) Former les employés pour maîtriser les technologies et multiplier les interactions sociales.
c) Réduire les interactions humaines pour éviter les tensions organisationnelles.
d) Limiter les adaptations technologiques pour éviter les pertes de contrôle.

A

b)
La formation et les interactions sociales sont essentielles pour intégrer les technologies et développer des pratiques adaptées.

75
Q

Quel rôle joue la communication dans la transition du développement durable à l’éthique en entreprise ?

a) Elle permet de mieux structurer les processus internes de l’entreprise.
b) Elle est essentielle pour aligner les valeurs organisationnelles avec les attentes sociétales.
c) Elle limite les critiques externes en se concentrant sur des discours autoréférentiels.
d) Elle garantit une mise en conformité rapide avec les lois environnementales.

A

b)
La communication soutient l’intégration des valeurs éthiques en établissant un dialogue entre l’entreprise et ses parties prenantes, renforçant ainsi sa légitimité.

76
Q

Pourquoi le discours proactif est-il stratégique pour les entreprises en matière de RSE ?

a) Il anticipe les attentes sociétales et positionne l’entreprise comme un acteur innovant et responsable.
b) Il évite toute critique en respectant uniquement les réglementations légales.
c) Il vise principalement à réhabiliter l’image des entreprises après des crises.
d) Il permet de maintenir des relations hiérarchiques strictes.

A

a)
Les discours proactifs permettent aux entreprises d’aller au-delà des exigences légales pour anticiper les attentes de la société et se projeter dans l’avenir.

77
Q

Quel est un exemple concret d’éthique comme dispositif de réhabilitation ?

a) Une entreprise qui implémente une politique d’autoréglementation après une controverse environnementale.
b) Une entreprise qui adopte des normes internationales pour améliorer sa compétitivité.
c) Une entreprise qui investit dans des technologies pour réduire ses coûts opérationnels.
d) Une entreprise qui améliore ses systèmes de communication interne.

A

a)
L’éthique comme réhabilitation se concentre sur l’amélioration de l’image et de la légitimité de l’entreprise après une atteinte à sa réputation.

78
Q

Comment l’approche symbolique critique-t-elle le discours en RSE ?

a) En montrant que les récits cherchent à produire un climat consensuel et à éviter les réglementations contraignantes.
b) En soulignant que les discours ne reflètent pas les vraies valeurs des entreprises.
c) En critiquant l’utilisation de normes internationales dans les pratiques de RSE.
d) En insistant sur la faible participation des salariés à la création des discours.

A

a)
L’approche symbolique analyse comment les récits en RSE servent à renforcer l’autoréglementation et à limiter les réglementations contraignantes.

79
Q

Dans l’approche anthropologique, pourquoi l’écrit est-il central dans les communications en RSE ?

a) Il reflète directement les croyances personnelles des acteurs sociaux.
b) Il matérialise les rapports sociaux et agit comme un support de réflexivité pour les acteurs.
c) Il est utilisé pour standardiser les processus de communication entre les parties prenantes.
d) Il garantit la conformité aux règles internationales.

A

b)
L’écrit est une matérialisation des rapports sociaux et un produit hiérarchisé qui soutient la réflexion collective et la prise de décision.

80
Q

En quoi consiste le défi de la convivialité dans l’implantation de technologies ?

a) Adapter la technologie à tous les membres de l’organisation pour maximiser son adoption.
b) Minimiser les interactions humaines pour réduire les tensions organisationnelles.
c) Assurer une conformité stricte aux règles établies pour les processus technologiques.
d) Standardiser les processus pour limiter les pertes d’efficacité.

A

a)
La convivialité consiste à s’assurer que la technologie est accessible et utilisable par tous les membres, favorisant ainsi une adoption réussie.

81
Q

Comment un cadre critique analyse-t-il la gestion des connaissances dans une organisation ?

a) Comme un moyen de renforcer les rapports de domination entre gestionnaires et employés.
b) Comme une méthode pour structurer l’information en quatre étapes clés.
c) Comme une stratégie pour améliorer les interactions sociales dans l’organisation.
d) Comme un processus permettant de standardiser les pratiques organisationnelles.

A

a)
Le cadre critique analyse comment les gestionnaires peuvent utiliser la technologie et les connaissances pour centraliser le pouvoir et renforcer leur contrôle.

82
Q

Pourquoi est-il important de multiplier les lieux d’échanges pendant l’implantation de nouvelles technologies ?

a) Pour s’assurer que toutes les directives soient strictement suivies.
b) Pour permettre une révision continue des processus organisationnels.
c) Pour stimuler la création de connaissances et maximiser les chances de succès de l’implantation.
d) Pour éviter les tensions entre gestionnaires et employés.

A

c)
Les lieux d’échanges favorisent la circulation des connaissances, essentielle pour créer de nouvelles pratiques adaptées aux technologies implantées.

83
Q

Qu’est-ce qu’un artefact dans le développement de nouvelles pratiques ?

a) Une règle imposée par la direction pour structurer les activités.
b) Un objet ou outil matériel qui cadre et soutient les interactions dans le travail.
c) Une donnée technologique utilisée pour standardiser les processus.
d) Une technologie utilisée uniquement pour la gestion des connaissances.

A

b)
Les artefacts sont des outils ou supports matériels qui aident à structurer les activités et les pratiques organisationnelles.

84
Q

Comment la technologie influence-t-elle les rapports de pouvoir dans une organisation?
a) En éliminant les tensions grâce à l’automatisation des processus.
b) En permettant aux gestionnaires de centraliser le contrôle sur les employés.
c) En créant des incertitudes qui poussent à renégocier les identités et relations de pouvoir.
d) En rendant les employés totalement dépendants des gestionnaires.

A

c)
L’introduction de nouvelles technologies peut redéfinir les dynamiques de pouvoir en modifiant les pratiques et en créant des tensions.

85
Q

Pourquoi est-il important de tenir compte des trois définitions du changement dans une stratégie de communication organisationnelle ?

A

Chaque définition offre une perspective unique qui enrichit la compréhension du changement et son intégration dans une stratégie de communication :
Différence (synchronique) : Permet de capter les écarts actuels dans les pratiques, comportements ou valeurs, facilitant l’identification des points précis à adresser.
Processus (diachronique) : Met l’accent sur le caractère évolutif et continu du changement, ce qui est essentiel pour planifier des communications adaptées aux différentes étapes de la transition.
Propriété naturelle : Reconnaît que le changement est inhérent à toute organisation et aide à normaliser les résistances ou incertitudes, en les intégrant dans une dynamique positive.
En combinant ces trois perspectives, on peut concevoir une stratégie plus holistique et adaptée aux besoins variés des parties prenantes.

86
Q

Comment les approches fonctionnaliste et constitutive diffèrent-elles dans leur interprétation du changement comme phénomène synchronique ou diachronique ?

A

Approche fonctionnaliste : Le changement est vu comme un projet concret à planifier et exécuter (perspective synchronique), avec des objectifs précis orientés vers l’action. La communication sert principalement à convaincre les parties prenantes d’adhérer au projet grâce à des outils comme le recadrage ou la rhétorique.
Approche constitutive : Le changement est perçu comme un phénomène émergeant et continu (perspective diachronique), produit par les interactions et le dialogue. La communication est un moteur du changement, créant des significations partagées et transformant les perceptions à travers un processus collectif.

87
Q

Pourquoi le changement est-il décrit comme une propriété naturelle du monde, et comment cette définition impacte-t-elle la manière de gérer les résistances ?

A

Le changement est une propriété naturelle car il reflète la constante évolution des individus, des organisations et de leur environnement. Cette perspective aide à :
Normaliser les résistances : Les résistances sont perçues comme une réaction naturelle au changement, et non comme un obstacle à éradiquer.
Favoriser l’adhésion : En acceptant le changement comme un état naturel, les stratégies de communication peuvent être axées sur l’accompagnement et le soutien, plutôt que sur la coercition ou la persuasion.
Encourager la participation : En intégrant les individus dans un dialogue ouvert, on transforme leur résistance en une ressource pour co-construire des solutions.

88
Q

En quoi le constructivisme et le socioconstructivisme influencent-ils la manière d’aborder le changement en communication organisationnelle ?

A

Constructivisme : Chaque individu construit son interprétation du changement à partir de ses interactions avec son environnement. Cela souligne l’importance de personnaliser la communication en fonction des perceptions individuelles.
Socioconstructivisme : Le changement est une négociation collective, où les significations sont co-construites dans un processus social. Cela implique de créer des espaces d’échange et de dialogue pour aligner les visions des différentes parties prenantes.

89
Q

Comment la narration et la métaphore peuvent-elles soutenir une communication efficace du changement ?

A

Narration : Permet de donner du sens au changement en racontant une transformation, ce qui aide les individus à intégrer ce changement dans leur propre identité narrative.
Métaphore : Offre un pont entre une expérience familière et un univers de signification nouveau, rendant le changement plus accessible et compréhensible. Par exemple, parler d’un « voyage » pour décrire une transformation organisationnelle peut réduire les peurs associées à l’incertitude.

90
Q

Pourquoi l’approche critique insiste-t-elle sur le rôle politique du changement ?

A

L’approche critique voit le changement comme un levier pour modifier les rapports de pouvoir dans une organisation. Plutôt que de reproduire des structures hiérarchiques, elle :
Expose les inégalités : Révèle les dynamiques de domination et les structures d’exploitation existantes.
Favorise l’innovation sociale : Propose des actions collectives qui remettent en question les règles établies.
Encourage la collaboration : Met en place des espaces de dialogue pour transformer les rapports de domination en relations égalitaires.

91
Q

Quels sont les défis liés à l’adoption d’une perspective diachronique du changement dans une stratégie organisationnelle ?

A

Temps et patience : Les processus diachroniques demandent du temps, ce qui peut frustrer les parties prenantes cherchant des résultats immédiats.
Complexité : Les dynamiques à long terme peuvent être difficiles à prévoir et à gérer, exigeant une grande flexibilité.
Communication continue : Nécessite un effort constant pour maintenir un dialogue et adapter les messages au fur et à mesure que le changement évolue.

92
Q

Comment une organisation peut-elle favoriser une communication dialogique pour accompagner un changement ?

A

Créer des dispositifs d’échange : Organiser des ateliers, forums ou groupes de discussion pour recueillir les perspectives et préoccupations des parties prenantes.
Former à l’écoute active : Encourager une écoute empathique et non évaluative pour établir un climat de confiance.
Valoriser les contributions : Montrer que les idées et suggestions des individus sont prises en compte et intégrées dans les décisions.

93
Q

Pourquoi la confiance est-elle devenue un élément central dans l’efficacité des équipes modernes, au-delà de la cohésion ?

A

La confiance permet aux membres d’une équipe de partager librement leurs idées, de prendre des risques et de travailler de manière autonome, sans peur de jugement. Cela favorise l’innovation et l’adaptabilité.
Contrairement à la cohésion, qui peut parfois prioriser l’harmonie au détriment de l’efficacité, la confiance encourage un dialogue constructif, même en cas de désaccords.
Dans les environnements de travail actuels, souvent marqués par la diversité et des dynamiques à distance, la confiance devient un facteur essentiel pour coordonner les efforts et maintenir des performances élevées.

94
Q

En quoi la cohésion peut-elle devenir un frein à l’efficacité d’une équipe ?

A

Une cohésion excessive peut entraîner une recherche de consensus à tout prix, limitant ainsi la critique constructive et la créativité (symptôme de la pensée de groupe).
Les membres peuvent prioriser les relations personnelles au détriment des objectifs organisationnels, ce qui peut ralentir la prise de décision.
Une trop grande dépendance à l’harmonie peut également décourager l’expression d’idées divergentes ou les remises en question nécessaires à l’amélioration continue.

95
Q

Comment la confiance influence-t-elle la dynamique d’une équipe en termes de prise de décision ?

A

La confiance permet aux membres de l’équipe de partager ouvertement des informations et des idées, ce qui améliore la qualité des décisions prises collectivement.
Elle réduit la tendance à l’auto-censure ou à la peur du ridicule, favorisant un climat d’innovation et de collaboration.
Contrairement à la cohésion, qui peut renforcer une polarisation ou un conformisme, la confiance encourage une évaluation plus réaliste et diversifiée des options.

96
Q

Quels sont les principaux facteurs qui favorisent la construction de la confiance dans une équipe ?

A

Transparence dans la communication : Partager clairement les attentes, les objectifs et les retours.
Fiabilité : Les membres doivent pouvoir compter sur leurs collègues pour respecter leurs engagements.
Respect mutuel : Valoriser les contributions de chacun, quelle que soit leur position.
Équité : Assurer une répartition juste des tâches et des opportunités.

97
Q

Pourquoi la facilitation sociale dépend-elle davantage de la confiance que de la cohésion ?

A

La facilitation sociale repose sur l’influence positive des interactions entre les membres de l’équipe. Lorsque la confiance est élevée, les individus se sentent soutenus et performants, même sous pression.
À l’inverse, la cohésion excessive peut créer une pression sociale non productive, augmentant le stress ou l’anxiété de performance.

98
Q

Quels sont les risques de privilégier uniquement la cohésion dans un groupe au détriment de la confiance ?

A

Cela peut renforcer des dynamiques d’exclusion ou des cliques au sein de l’équipe, nuisant à l’intégration de nouveaux membres.
Le maintien de relations harmonieuses peut primer sur la résolution des conflits, ce qui limite les opportunités d’amélioration ou d’innovation.
Les membres peuvent éviter d’exprimer des préoccupations ou des idées par crainte de perturber l’équilibre du groupe.

99
Q

En quoi la confiance peut-elle être un levier pour dépasser les symptômes de la pensée de groupe ?

A

La confiance encourage une diversité d’opinions et la remise en question des idées majoritaires, ce qui réduit les risques d’un accord unanime basé sur une illusion d’invulnérabilité ou de moralité supérieure.
Elle permet aux membres de se sentir à l’aise pour exprimer leurs doutes ou leurs objections, favorisant ainsi une évaluation réaliste des options.

100
Q

Comment la grille de Blake et Mouton illustre-t-elle l’importance de la confiance dans une équipe ?

A

Le style 9.9 (collaboration) met en avant une approche gagnant-gagnant, où les objectifs individuels et collectifs sont alignés grâce à un climat de confiance.
Les autres styles, comme 1.9 (accommodation) ou 9.1 (compétition), peuvent créer des déséquilibres dans les relations, réduisant la confiance et limitant la performance à long terme.

101
Q

Quelle est la différence fondamentale entre la morale et l’éthique ?

A

Morale : Ensemble de principes ou de règles universelles qui définissent le bien et le mal. Elle est souvent considérée comme absolue et intemporelle, dictée par des traditions ou des institutions (religieuses, sociales).
Éthique : Processus de réflexion critique qui évalue les actions en fonction de leur utilité ou de leur impact dans un contexte donné. L’éthique est plus pragmatique et s’adapte aux situations.

102
Q

Pourquoi ne devrait-on pas confondre la morale et l’éthique dans une perspective organisationnelle ?

A

La morale est prescriptive et impose des règles générales sans prendre en compte les spécificités des situations.
L’éthique, en revanche, est un outil de délibération et de justification. Elle permet aux organisations de répondre aux défis complexes en considérant les parties prenantes et les contextes spécifiques, plutôt que d’appliquer des normes universelles.
Dans le cadre de la R.S.E., cela signifie que les entreprises ne cherchent pas à moraliser, mais à adopter une réflexion stratégique et pragmatique pour répondre aux attentes sociétales.

103
Q

Comment la R.S.E. illustre-t-elle cette distinction dans la pratique des entreprises ?

A

La R.S.E. n’est pas une simple application de principes moraux universels. Elle exige une évaluation continue des impacts économiques, sociaux et environnementaux des décisions de l’entreprise.
Par exemple, au lieu de suivre aveuglément des normes préétablies, une entreprise éthique réfléchira aux conséquences spécifiques de ses actions sur ses parties prenantes, et ajustera ses pratiques pour maximiser les bénéfices collectifs.

104
Q

En quoi la logique utilitariste de l’éthique se distingue-t-elle d’une logique morale ?

A

Logique utilitariste (éthique) : Valorise les actions en fonction de leur utilité et de leur impact, cherchant à maximiser les bénéfices pour le plus grand nombre.
Logique morale : Se concentre sur des principes ou des lois universels, sans nécessairement évaluer les résultats ou les conséquences spécifiques d’une action.

105
Q

Pourquoi l’éthique est-elle particulièrement pertinente dans le contexte des entreprises modernes ?

A

Les entreprises opèrent dans des environnements complexes où elles interagissent avec une multitude de parties prenantes ayant des intérêts parfois conflictuels.
L’éthique permet une approche adaptative et contextuelle, permettant aux entreprises de naviguer dans ces tensions tout en justifiant leurs actions de manière transparente et crédible.

106
Q

Pourquoi parle-t-on d’éthique comme d’un processus plutôt que d’un idéal ?

A

L’éthique est un processus continu de réflexion, de critique et de justification. Elle n’est pas figée dans des idéaux absolus, mais évolue avec les contextes, les besoins et les défis rencontrés.
Cette flexibilité est essentielle pour les organisations qui doivent s’adapter à des environnements en constante évolution, tout en restant responsables et légitimes.

107
Q

Quelle est la portée stratégique de l’éthique dans la communication organisationnelle ?

A

L’éthique guide non seulement les décisions internes, mais aussi la manière dont les entreprises se présentent à leurs parties prenantes.
Elle aide à construire une image de légitimité et de responsabilité, en montrant que les actions de l’entreprise sont fondées sur une réflexion approfondie et non sur des obligations imposées.

108
Q

Quelle est la différence entre les activités formelles et informelles de formation dans une organisation ?

A

Activités formelles : Structurées, planifiées, souvent organisées sous forme de cours, ateliers, ou formations en ligne. Elles suivent des objectifs pédagogiques précis et sont généralement encadrées par des formateurs ou des experts.
Activités informelles : Non planifiées, elles émergent des interactions quotidiennes entre les employés (entraide, discussions spontanées, observations). Elles sont souvent liées à la socialisation et au partage d’expériences.

109
Q

Pourquoi est-il crucial de combiner formation formelle et informelle lors de l’implantation d’une nouvelle technologie ?

A

Les formations formelles garantissent une base de connaissances standardisée pour tous les employés, ce qui favorise une compréhension commune des nouvelles pratiques.
Les formations informelles, en revanche, permettent de contextualiser l’apprentissage en répondant à des questions spécifiques ou en résolvant des problèmes pratiques. Elles stimulent aussi l’échange de connaissances tacites entre collègues, souvent essentielles pour une adoption efficace de la technologie.

110
Q

Quelles sont les principales limites des formations formelles dans ce contexte ?

A

Manque de flexibilité : elles ne prennent pas toujours en compte les besoins spécifiques de chaque employé.
Peu d’adaptabilité : les programmes standardisés peuvent être déconnectés des réalités quotidiennes du travail.
Absence de contextualisation : elles n’exploitent pas toujours les connaissances pratiques déjà présentes dans l’organisation.

111
Q

Pourquoi la formation informelle est-elle souvent plus efficace pour la gestion des connaissances ?

A

Elle repose sur des interactions sociales, ce qui favorise l’entraide et l’apprentissage collaboratif.
Elle encourage la création de nouvelles connaissances en combinant l’expérience des employés avec l’utilisation pratique de la technologie.
Elle est plus adaptée aux besoins immédiats, permettant aux employés de résoudre des problèmes spécifiques dans un contexte réel.

112
Q

Comment les artefacts influencent-ils les formations informelles dans le cadre de l’implantation technologique ?

A

Les artefacts (outils, logiciels, documents) structurent les interactions des employés en facilitant ou en limitant certaines pratiques.
Ils servent de repères pour organiser le travail et standardiser certaines routines, mais leur conception peut parfois créer des résistances si elles sont perçues comme trop complexes ou inadaptées.

113
Q

Comment les enjeux de pouvoir influencent-ils les activités formelles et informelles de formation ?

A

Les activités formelles peuvent être perçues comme des outils de contrôle par les gestionnaires, renforçant les rapports de domination.
Les formations informelles, en revanche, offrent une opportunité aux employés de reconfigurer les rapports de pouvoir en partageant des connaissances qui leur donnent une autonomie accrue.

114
Q

Quels indicateurs permettent d’évaluer le succès d’une formation informelle dans ce contexte ?

A

Le degré d’interaction entre les employés (collaboration).
La rapidité avec laquelle les employés maîtrisent les nouvelles technologies.
L’amélioration visible des performances dans les tâches complexes.

115
Q

Pourquoi les activités informelles sont-elles plus adaptées à la période d’implantation d’une technologie, selon le cadre critique ?

A

Elles permettent aux employés de s’approprier les technologies à leur rythme et de redéfinir leurs pratiques de travail en fonction des outils disponibles.
Elles peuvent transformer les dynamiques de pouvoir, en donnant aux employés le contrôle sur leur apprentissage et en renforçant leur sentiment de compétence et d’autonomie.