Examen final Flashcards
Quel type de communication l’approche fonctionnaliste met-elle en avant ?
A) Interprétation collective.
B) Recadrage et rhétorique.
C) Sensmaking et narration.
D) Dialogue empathique.
B) Recadrage et rhétorique.
Dans l’approche interprétative, qu’est-ce que le sensegiving ?
A) Le processus de créer des significations collectives.
B) Le processus d’influencer le sensmaking des autres.
C) La méthode de recadrer les perceptions de manière individuelle.
D) Une approche qui néglige les interactions sociales.
B) Le processus d’influencer le sensmaking des autres.
Selon l’approche constitutive, qu’est-ce qui est essentiel pour favoriser le changement?
A) La diffusion du projet de la direction.
B) L’utilisation d’une rhétorique persuasive.
C) La mise en place de dispositifs d’échange dialogiques.
D) La centralisation des décisions.
C) La mise en place de dispositifs d’échange dialogiques.
Quel facteur favorise la cohésion dans un groupe (courant des relations humaines) ?
A) Une divergence des buts entre les membres.
B) La présence d’un ennemi commun.
C) Une faible participation aux activités.
D) Une absence de compétition intergroupe.
Réponse : B) La présence d’un ennemi commun.
Quelle est une caractéristique de la pensée de groupe ?
A) Une réduction de l’unanimité.
B) Une forte évaluation des options existantes.
C) Une pression à la conformité des membres.
D) Une meilleure prise de décision en période de crise.
C) Une pression à la conformité des membres.
Dans la grille de Blake et Mouton, quel style représente une stratégie gagnant-gagnant ?
A) Collaboration (9.9).
B) Compromis (5.5).
C) Compétition (9.1).
D) Accommodation (1.9).
A) Collaboration (9.9).
Quelle est la critique principale de la théorie des parties prenantes ?
A) Elle ne prend pas en compte les salariés.
B) Elle est un habillage marketing masquant des rapports de force.
C) Elle exclut les clients des parties prenantes.
D) Elle se concentre uniquement sur les aspects environnementaux.
B) Elle est un habillage marketing masquant des rapports de force.
Quelle forme de discours R.S.E. vise à anticiper les attentes sociétales ?
A) Discours narratifs.
B) Discours anthropologiques.
C) Discours proactifs.
D) Discours autoréférentiels.
C) Discours proactifs.
Selon l’approche symbolique, quelle distinction est importante entre règle et norme ?
A) La règle vise l’adhésion, tandis que la norme impose l’obéissance.
B) La règle impose l’obéissance, tandis que la norme vise l’adhésion.
C) La norme est hiérarchique, tandis que la règle est collaborative.
D) La norme est juridique, tandis que la règle est culturelle.
B) La règle impose l’obéissance, tandis que la norme vise l’adhésion.
Dans un cadre fonctionnaliste, quel médium est le plus riche pour des problèmes complexes ?
A) Les échanges vidéo.
B) La communication face-à-face.
C) Les rapports quantitatifs.
D) Les échanges écrits informels.
B) La communication face-à-face.
Quel est l’objectif principal de la gestion des connaissances dans une organisation ?
A) Réduire les interactions entre les membres.
B) Maximiser la circulation des connaissances.
C) Limiter les échanges informels.
D) Centraliser les connaissances sur des supports physiques.
B) Maximiser la circulation des connaissances.
Quel défi l’implantation de technologies peut-elle entraîner dans les organisations ?
A) Une augmentation de la productivité sans ajustement.
B) Une institutionnalisation des routines.
C) Une réduction des tensions entre les employés.
D) Une élimination totale des incertitudes.
B) Une institutionnalisation des routines.
Qu’est-ce que le recadrage dans l’approche fonctionnaliste ?
Le recadrage consiste à proposer une nouvelle façon de voir ou d’interpréter une situation pour convaincre les individus d’adhérer au changement.
Quelles sont les trois dimensions de la rhétorique et leur rôle dans la communication d’influence ?
Ethos : Crédibilité et confiance inspirée par l’orateur.
Pathos : Capacité à susciter des émotions.
Logos : Arguments logiques et preuves.
Comment l’approche interprétative aborde-t-elle le changement ?
Elle le voit comme une modification des significations attribuées aux événements. La communication exprime les réactions au changement et permet d’influencer la perception collective à travers le sensmaking (construction de sens) et le sensgiving (influence sur le sensmaking).
Qu’est-ce que l’agir communicationnel dans l’approche critique ?
C’est une action orientée vers l’intercompréhension et la collaboration, qui cherche à transformer les rapports de domination en rapports égalitaires.
Comment l’approche constitutive considère-t-elle le changement ?
Elle le voit comme un phénomène naturel et continu qui émerge des interactions et des dialogues entre individus. Le changement réside dans les perceptions et les croyances (cartes mentales).
Quels facteurs favorisent la cohésion dans un groupe ?
Correspondance entre les buts individuels et ceux du groupe.
Activités synchrones (faire des choses ensemble).
Succès collectif.
Compétition intergroupe.
Qu’est-ce que la polarisation de groupe ?
C’est la tendance à prendre des décisions plus extrêmes en groupe qu’individuellement, due à l’influence informationnelle et normative.
Quels sont les symptômes de la pensée de groupe ?
Illusion d’invulnérabilité.
Rationalisations collectives.
Croyance en la moralité supérieure du groupe.
Pression à la conformité.
Autocensure et illusion d’unanimité.
Quelle est la différence entre un leader orienté vers la tâche et un leader orienté vers les relations ?
Un leader orienté vers la tâche se concentre sur les objectifs à atteindre, tandis qu’un leader orienté vers les relations met l’accent sur la motivation et la communication avec les membres.
Quelle est la différence entre développement durable (D.D.) et responsabilité sociale des entreprises (R.S.E.) ?
Le D.D. intègre des dimensions environnementales, économiques et sociales, tandis que la R.S.E. met l’accent sur le rôle social des entreprises dans la lutte contre les discriminations, le développement local et la préservation du milieu naturel.
Quelles critiques peut-on adresser à la théorie des parties prenantes ?
Elle est parfois perçue comme un habillage marketing visant à masquer les rapports de force existants dans les entreprises.
Comment les récits éthiques et R.S.E. influencent-ils les salariés ?
Ils créent un imaginaire collectif et une adhésion aux valeurs de l’entreprise, tout en participant à l’autodiscipline et à l’intériorisation des normes organisationnelles.
Quels sont les défis de l’implantation des technologies dans une organisation ?
Gestion des connaissances (création, transfert, application).
Développement de nouvelles pratiques (interactions et artefacts).
Enjeux de pouvoir (négociation des identités et relations).
Quelle est la différence entre les médias riches et les médias pauvres dans un cadre fonctionnaliste ?
Les médias riches, comme la communication face-à-face, sont utilisés pour des problèmes complexes, tandis que les médias pauvres, comme les rapports écrits, conviennent aux tâches routinières.
Comment la technologie peut-elle reconfigurer les rapports de pouvoir ?
En enrichissant le travail des employés et en les rendant plus autonomes grâce à la maîtrise des technologies, tout en rendant les gestionnaires dépendants de leur expertise.
Qu’est-ce que le sensemaking ?
Le sensemaking est le processus par lequel les individus construisent et reconstruisent des significations pour interpréter une situation et décider des actions à entreprendre.
Comment la narration peut-elle influencer le changement organisationnel ?
La narration donne du sens à une série d’événements en racontant une transformation, ce qui aide à mobiliser les membres autour du changement.
Pourquoi l’intercompréhension est-elle centrale dans les approches critiques ?
Parce qu’elle favorise le dialogue égalitaire et la collaboration, transformant les rapports de domination en rapports de pouvoir partagés.
Quelle est la perspective de l’approche fonctionnaliste sur la communication dans le cadre d’un changement organisationnel?
L’approche fonctionnaliste voit la communication comme un instrument de diffusion utilisé par la direction pour atteindre ses objectifs. Elle est réaliste, objective, volontariste, et orientée vers l’action, cherchant à convaincre les employés d’adhérer au projet.
Qu’est-ce que le recadrage et pourquoi est-il important dans l’approche fonctionnaliste ?
Le recadrage consiste à voir autrement une situation ou un changement. Il est utilisé pour convaincre les individus de percevoir le changement sous un angle positif ou bénéfique, facilitant ainsi leur adhésion au projet.
Donne un exemple concret de recadrage dans un contexte de changement organisationnel.
Si une réforme implique une augmentation de la charge de travail, le recadrage pourrait mettre l’accent sur les opportunités de développement professionnel ou sur les bénéfices pour la carrière des employés.
Quels sont les trois types d’arguments utilisés en rhétorique, et que signifient-ils dans le cadre de la communication d’influence ?
Ethos : La crédibilité et le caractère de l’orateur. Il s’agit d’établir la confiance et l’autorité auprès de l’auditoire.
Pathos : L’appel aux émotions de l’auditoire pour susciter de l’adhésion.
Logos : L’argumentation logique, basée sur des faits et des preuves pour convaincre rationnellement.
Qu’est-ce que la résistance à l’écoute, et pourquoi est-elle un enjeu dans la communication d’un changement ?
La résistance à l’écoute est liée à une peur d’être influencé ou changé par ce que l’on entend. Les individus résistent souvent lorsqu’ils perçoivent un risque de perdre leur autonomie ou de devoir accepter une perspective qu’ils rejettent.
Comment l’approche fonctionnaliste peut-elle surmonter la résistance à l’écoute ?
En combinant les outils de rhétorique (Ethos, Pathos, Logos) avec un recadrage efficace pour réduire les peurs, et en adoptant une écoute active qui montre de l’empathie envers les préoccupations des employés.
Quelle est la perspective de l’approche fonctionnaliste sur la communication dans le cadre d’un changement organisationnel?
a) Un moyen de création de sens collectif.
b) Un instrument de diffusion utilisé par la direction pour atteindre ses objectifs.
c) Une interaction horizontale entre les employés et les dirigeants.
d) Une approche centrée sur les émotions pour susciter l’adhésion.
b)
L’approche fonctionnaliste considère la communication comme un instrument de diffusion réaliste et orienté vers l’action.
Que signifie le recadrage dans l’approche fonctionnaliste ?
a) Une méthode pour standardiser les processus organisationnels.
b) Une technique pour repositionner la perception d’un individu face à un changement.
c) Une manière de susciter des émotions chez les employés.
d) Un outil pour mesurer les performances des employés.
b)
Le recadrage consiste à repositionner la perception d’un changement afin de le rendre plus acceptable pour les individus.
Quels sont les trois types d’arguments de la rhétorique dans la communication d’influence ?
a) Émotion, persuasion, logique.
b) Logos, Pathos, Ethos.
c) Confiance, impact, rationalité.
d) Inspiration, innovation, vision.
b)
La rhétorique repose sur trois piliers : Ethos (crédibilité), Pathos (émotions) et Logos (logique).
Dans la rhétorique, que représente l’Ethos?
a) La capacité à convaincre rationnellement.
b) L’authenticité et la crédibilité de l’orateur.
c) La capacité à susciter des émotions.
d) L’argumentation basée sur des preuves solides.
b)
L’Ethos concerne le caractère de l’orateur et la confiance qu’il inspire à son auditoire.
Quel type d’argument est utilisé lorsque la direction présente des données et des faits pour justifier un changement ?
a) Logos.
b) Pathos.
c) Ethos.
d) Kairos.
a)
Le Logos est basé sur une argumentation logique et des preuves.
Quelle est une cause probable de la résistance à l’écoute dans un contexte de changement organisationnel ?
a) Un manque de données convaincantes.
b) Une peur d’être changé ou influencé par ce que l’on entend.
c) Une mauvaise préparation technique du message.
d) Une approche trop orientée vers les émotions.
b)
La résistance à l’écoute est liée à une peur de perdre son autonomie ou d’être transformé par les idées présentées.
Comment l’approche critique voit-elle le changement organisationnel ?
a) Un processus technique basé sur des outils de gestion.
b) Un phénomène politique lié au pouvoir et à son exercice.
c) Une transformation naturelle basée sur l’évolution des structures.
d) Une initiative basée sur des stratégies d’innovation individuelle.
b)
L’approche critique perçoit le changement comme un phénomène politique où la communication peut modifier les relations de pouvoir.
Selon l’approche critique, quelle est la définition d’une organisation ?
a) Une entité structurée visant à atteindre des objectifs communs.
b) Un système de collaboration fondé sur des interactions et des accords mutuels.
c) Un espace où se reproduisent et se contestent les relations de pouvoir.
d) Un regroupement d’individus motivés par une vision partagée.
c)
L’organisation est vue comme un espace où les relations de pouvoir sont reproduites ou modifiées par le discours et la communication.
Quelle est la vision du leadership dans l’approche critique ?
a) Le leader est un gestionnaire de ressources orienté vers l’action.
b) Le leader est un acteur qui influence les autres par son autorité naturelle.
c) Le leader est un entrepreneur social qui remet en question les rapports de domination.
d) Le leader est un communicateur logique et impartial.
c)
Le leadership critique met l’accent sur le rôle du leader en tant qu’agent de changement, remettant en question les structures de pouvoir et favorisant l’innovation sociale.
Quelle est la distinction entre sensemaking et sensegiving ?
a) Le sensemaking concerne la création de sens, tandis que le sensegiving concerne la diffusion du sens par un acteur clé.
b) Le sensemaking est un processus organisationnel, tandis que le sensegiving est individuel.
c) Le sensemaking est orienté vers l’action, tandis que le sensegiving est purement théorique.
d) Le sensemaking est un phénomène collectif, tandis que le sensegiving est toujours hiérarchique.
a)
Le sensemaking est le processus par lequel on construit du sens, tandis que le sensegiving est l’effort intentionnel de transmettre ce sens à d’autres.
Qu’est-ce que le sensemaking selon l’approche critique ?
a) Une méthode pour analyser les performances organisationnelles.
b) Le processus par lequel les individus donnent du sens à leur environnement à travers leurs interactions.
c) Un outil de persuasion utilisé par la direction pour faciliter le changement.
d) Une approche logique pour résoudre les conflits organisationnels.
b)
Le sensemaking désigne le processus continu par lequel les individus donnent du sens à leur environnement, souvent en réponse à des situations ambiguës.