EXAMEN FINAL Flashcards
Quels sont les deux types de dégénérances maculaire
- la dégénérance maculaire sèche
- la dégénérance maculaire humide
c’est quoi la dégénérance maculaire sèche
- amas de dépots extracellulaires jaunatres appelés DRUSEN, dans l’éphithélium pigmentaire rétinien. cause atropohie et dégénérance des cellules maculaires. la personne aura de la difficulté à voir de près et une perte de vision lente indolore.
dégénérace maculaire humide
- développement de vaisseaux sanguins dans le tissus rétinien qui entraine la fuite de ces vaisseaux et la formation de tissu cicatriciel. cause perte de vision aigue.
- les symptomes apparaissenet plus tot.
que cause la dégénérance maculaire
- viellissement, exposition à ultra violet, tabagisme, couleur pale des yeux
enseignement à faire pour dégénérance maculaire
- prendre vitamine C et E (carottes, épinards), prendre zinc
- cesser de fumer
- légumes vers foncés
symptômes généraux de la dégénérance maculaire
- vision flou
- métamorphosie (distorsion)
- scotomes (taches aveugles)
comment diagnostiquer dégénérance maculaire
- angiographie intraveineuse du fond de l’oeil
- test de l’acuité visuelle
- on va remarquer (hyper ou dépigmentation ainsi qu’une vascularisation du fond de l’oeil
dégénérescence maculaire traitements
- pas vraiment de traitement
- injection de médicament dans l’humeur vitré pour diminuer vascularisation (avastin, macugen)
- traitements photodynamique (vertéporfine IV, détruit les vaisseaux sanguins anormaux sans causer de dommages à l’éphithélium pigmentaire) doit éviter soleil pendant 5 jours
cEst quoi la cataracte
opacité du cristallin qui cause une vision flou et meme une opacité
que cause la cataracte
- liés au viellissement, les personnes atteintes de diabète sont plus souvent atteints
manifestations cliniques de la cataracte
- vision réfuite
- déclin de la vision graduel
- mauvaise perception des couleurs
- éblouissement durant la nuit causé par pupille dilatée
comment diagnostiquer cataracte
- test de l’accuité visuelle
- otoscope pour voir présence d’opacité de l’oeil
traitement chirurgical de la cataracte
- retrait du cristallin par chirurgie et installation d’une lentille intraoculaire.
quel médicaments donner avant chirurgie de cataracte
- des mydriatique et cycloplégique comme le mydfrin qui va dilater la pupille et empêcher l’accomodation, contre-indiqué si glaucome
- peut causer irritation, photophobie, vision trouble, tachycardie, hausse pression artérielle
quels sont les médicaments cycloplégiques
- atropine
- cyclogyl
- mydriacyl
- homatropine
quel médicament donner après opération catarcte
- antibiotique pour éviter infection
- corticostéroides pour éviter inflammation
- éviter certaines acitvités comme se pencher tousser.
- éviter contamination des médicaments
c’Est quoi un glaucome
- dommages au nerf optique causé par une hausse de la pression intraocculaire et une diminution de la circulation sanguine.
comment se manifeste la perte de la vue lors d’un glaucome
- vision tunnel causé par une perte de la vision périphérique
quel est la plus grande source de cécité au canada
- glaucome
que cause le glaucome
- facteurs génétiques
- diminution de l’évacuation de l’humeur aqueuse qui cause une hausse de la pression intraocculaire
quels sont les deux types de glaucome
- glaucome primaire à angle ouvert ou glaucome chronique
- glaucome primaire à angle fermé ou glaucome aigu
comment se fait l’évacuation de l’humeur aqueuse dans le GPAO
- l’écoullement de l’humeur aquesue à travers le trabéculum cornéoscléral est réduit ce qui bouche le trabéculum et cause la hausse de la PIO et atrophie du nerf optique
manifestattion de du glaucome primaire angle ouvert
- asymptomatique
- vision tunnel
comment est causé le GPAF
- diminution de l’écoulement de l’humeur aqueuse causé par une fermetture de l’angle par le bombement du cristallin (viellissement). peut aussi être un pupille dilatée chez une personne anatomiquement disposé à avoir un angle étroits qui cause le bombement de l’iris périphérique qui couvrira le trabéculum cornéoscléral
manifestations clinique gpaf, glaucome aigue
- douleur intense soudaine
- nausée
- vision d’un halo
- céphalée
- rougeur occulire
- vision flou
que cause l’apparence givrée de la cornée
- la haute pression intra occulaire
quelques traitements de la GPAO
- trabéculectomie
- agent cholinergique
- beta bloquants
quelques traitements pour GPAF
- cholinergique
- iridectomie
- agent hyperosmotique
PSTI lié à un patient atteint de Glaucome
- prévenir perte de vision
- fonctionner en sécurité (aviser qu’il luii très peu recommandé de conduire)
- administrer médicaments en cas de douleur
- respecter médication/traitement
étiologie de l’alzheimer
- niveau socio-économique inférieur
- bas niveau d’éducation
- mauvais accès à des services de santé
- age
physiopathologie de l’alzheimer
- présence de plaques amyloïdes
- dégénérances neurofibrillaires
- perte de connexions entre les cellules
- mort cellulaires
où se forme les plaques amyloides
- ces plaques de protéines insolubles forment dans les tissus cerebraux en particulier dans l’hippocampe (mémoire, souvenirs) et le cortex cérébral (language)
dégénérances neurofibrillaires
- agrégation anormales de filamtes de protéines à l’intérieur des cellules nerveuse (protéine Tau). il y’a donc dégénérance neurofibrillaires
que cause la perte de connexion entre les cellules
- dommages structuraux causés par la dégénérances neurofibrillaires et les plaques amyloïdes.
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diapo 17
lien entre alimentation et alzheimer
- puisque l’inflamamtion augmente la mort cellullaire
- les maladies cardiovasculaires pourraient avoir un lien avec l’alzheimer
- donc important de bien manger (faible gras et beaucoup de fruits et légumes), aussi important de faire de l’exercice
manifestations clinique de l’alzheimer leger
- perte de mémoire
- difficulté à retenir nouvelle connaissances
- perte d’initiative
- perte d’interet
- perte de la significance des nombres
manifestations cliniques modérées de l’alzheimer
- apraxie
- difficultés à reconaitre proches
- agitation
- hallucination
- oublie de faire tâche simple
- agitation
- errance
manifestations cliniques grave de l’alzheimer
- mémoire très défaillante
- dysphagie
- mots ou sons répétitifs
- incapacité à effectuer autosoins
- incontinence
- incapacité d’assimiler de nouvelles informations
quel est le meilleur traitement de l’alzheimer
- adaptation de l’environnement
- approche humaine
- participation dans les tâches
- rigeur et équité dans les tâches par tout les client (aucune mise à part des individus)
y’a t’il des examens paraclinique qui peuvent diagnostiquer l’alzheimer et quel est le rôle de l’équipe interdisciplinaire
- non
- maitrise du déclin et amélioration de l’état cognitif
- limiter et maitriser les comportemants indésirables
- soutien aux proches aidants
quelle classe de médicaments peut on donner pour réguler l’humeur d’un patient atteint d’alzheimer
- antipshychotique
- antidépresseurs
- anticonvulsivants
donner un exemple d’antipsychotique
- quétiapine:
- traitement: dépression majeur, diminue manifestations des troubles de dépression et psychose
- mode d’action: antagoniste dopaminergique et serotoninergique
- effets secondaire: convulsions, symptomes extrapyramidaux, dyspnée, palpitation. pancréatite, hypertriglycéridémie
- soins infirmiers: rester à l’affut des sauts d’humeur , tendances suicidaire en particulier début de traitement. Rester à l’affut des symptômes de dyskinésie tardive: mouvements involontaires de la bouche membres et visage
donner un exemple d’antidépresseur
- Paxil
- antidepresseur
- traitemnt des troubles dépressifs majeur,
- mode d’Action: inhibition selective du recaptage dela serotonine par les neurones présynaptique du SNC, ces neurotransmetteurs reste plus longtemps dans la fent synaptique
- effets secondaire: xerosotmie, anxiété, étroudissement, somnolence, céphalée, insomnie, faiblesse.
- soins inf.: rester à l’affut d’idée suicidaire. rester à l’affut d’un syndrome sérotoninergique se manifestant par un changement dans l’état mental, confusion hallucination et coma. surveiller signe d’hyponatrémie se manifestatnt par céphalée difficultée de concentration troubles de mémoires manque d’équilibre syncope et convulsionsé surveiller changement d’humeur. ne pas arreter le médicament avant sa fin.
donner exemple d’un anticonculsivants
- dilantin
- anticonvulsivant
- effets: diminution de l’activité convulsivante
- mode d’action: inhibe la propagation de la crise convulsive par midification dans le transport de sodium particulièrement dans le cortex cérébral
- E2: agitation, pensées suicidaires, somnolence, oedème cerébral, hypotension, tachycardie)
- soins infirmiers: (aggravation pensée suicidaires, convulsions évaluer siège, durée et caractéristique des crise de convulsions.
- eseignemnt : port d’une pièce d’identité qui avertit son traitement au anticonvulsivant, prévenir proches des risques d’idées suicidaires, mesurer glycémei si diabétique.
quel médicament donner pour améliorer capacité cognitive
- inhibiteur de la cholinésétérase (Reminyl, exelon)
- antagoniste des récépteurs NMDA (mémantine) qui inhibe l’Activité du glutamate qui participe dans la destruction cellulaire
- inhibiteurs du recaptage de la sérotonine (paxil). diminue dépression et améliore capacitées cognitives
Médiament pour trouble du sommeil
- antidépresseurs (paxil)
- benzodiazépine (ativan et serax)
médicaments pour comportements perturbateurs
- benzo (serax, ativan)
- anticonvulsivants (dilantin)
- antipshychotique (quétapine)
troubles de la mémoire alzheimer PSTI
- donner une consigne à la fois pour éviter frustration du client
- recourrir à la distraction plutôt que la confrontation quand client a des comportements perturbateurs
- limiter les choix que doit faire le client pour éviter anxiété du client
risques de blessures PSTI alzheimer
- repérer éléments suceptibles de constituer un danger dans les alentours du patient
- mettre en place dispotif d’alerte près du lit du patient pour savoir quand il se lève
- mettre lunettes à proximité du client et l’encourager à les mettre avant de se lever
Errance alzheimer PSTI
- offrir milieu sécuritaire pour se mouvoir et éviter que le client ne se blesse
- Limiter déplacement du client dans les zones sécuritaires pour évtier les fugue
- Doter le client d’un bracelet d’identité
Perte de capacité AVQ PSTI (alzheimer)
- Aider le client à accepter de l’aide pour éffectuer l’ensemble de ses soins.
- expliquer aux proches aidants de n’intevenir dans ses soins que lorsque le client en nécessite pour préserver l’autonomie du patient.
- Aider le client à s’essuyer après son passage à la toilette pour éviter atteinte à la peau
c’est quoi la méningite
- c’est une inflammation de la membrane enveloppant le cerveau et moelle épinière
- survient peandnt l’automne hiver printemps
- survient aussi beaucoup chez les personnes agées affaiblies et enfants
que cause la ménigite bactérienne
- augmentation du LCS et du LCR
- augmentation de la pression intra-cranienne
- sécretions purulentes se propagent rapidement dans d’autre parties du cerveau via le LCS
- oedème cérébral et hypertension cranienne
manifestations clinique de la méningite
- fièvre
- convulsion
- altréation de l’état de conscience
- nausées/vomissements
- raideur de la nuque
- céphalée intense
quel examen paraclinique pour dépister méningite bactérienne
- FSC
- analyse de LCS
- IRM
- tomodensitométrie
- ponction lombaire
- hémocultures
particuliarité du LCS entre méningite virale et bactérienne
- haut taux de glucides si virale et bas si bactérienne
- taux de protéines normaux (5 à 50g/dL) si virale, au dessus de la normal si virale
- apparence du LCS: claire à trouble si virale et trouble/turpide et purulente si bactérienne
- concentration en globules blancs si 25 à 500gl. Bcs/mm3 si virale et au dessus de 1000gl. bcs/mm3 si bactérinne.
traitement pour méningite
- repos
- bonne hydratation (IV)
- antibiotique IV
- codéine pour céphalée
quels médicaments donner lors de méningite pour (fièvre, inflammation, convulsion, hypertension intracranienne)
- acétaminophène pour la fièvre
- décardron (corticostéroide) pour l’inflammation)
- Dilantin IV pour convulsions
- osmitrol (diurétique osmotique)
quels antibiotique pour méningite
- ampiciline
- céfalospirine de deuxième et troisième génération
- pour les céfalospirine important de prendre une culture avant administration. avertir patient de potentiel phlébite et douleur au point d’injection et finalement éviter de prendre prélèvement sanguin pendant 2 heures après administration car taux de créatinine seront haut
c’est quoi l’épilepsie
- maladie cérébrale qui où est présent l’un de ces critères:
- 2 crise épileptique non provoquée avec 24heures ou plus d’intervalle
- une crise non provoquée
- un diagnostique de syndrome épileptique
quels sont les causes de l’epilepsie
- épilepsie idiopathique: sont de nature inconnu (épilpesie primaire)
- épilepie secondaire: causer par trouble de développement, lésion cérébrale ou structurelle ou métabolique
quel type d’épilepsie se l’âge
- épilepsie avant 2 ans alors épilepsie causé par trouble de développement
- épilepsie entre 2 et 4 ans: cause idiopathique
- adulte: si trauma alors lésion structurelle ou tumeur ou maladie vasculaire ou idiopathique
- personne agée: AVC tumeur
comment se fait une épilepsie
- c’est une décharge éléctrique paroxystique des neurones qui interrompt le fonctionnement normal cérébral et qui provoque des manifestations motrices sensitives et autonomique.
- les crises sont prévisible si présence de sons répétitifs, lumière clignotantes, contact avec eau chaude.
quels sont les phases de l’épilepsie
- phase prodormique : durant laquelle se produit des signes avants-coureurs
- aura/alerte sensorielle
- phase critique
- phase résolutive ou période de rétablissement qui succède la crise
examen paraclinique pour dépister épilepsie
- electroencéphalograme
- hémogramme et des analyses biochimique (ALT, AST, créatinine, éléctrolytes, calcium, glucose) afin d’écarter des troubles métaboliques
- tomodensitométrie et IRM pour dépister lésion structurelle
pharmacothérapie épilepsie tonico-cloniques ou focales
- neurontin (anticonvulsivant)
- phénobarbital (anticonvulsivant)
- Dilantin (anticonvulsivant)
- Lyrica (anticonvulsivant)
- mysoline (anticonvulsivant)
- depakene (anticonvulsivant)
Rivotril c’est quoi
- anticonvulivant, benzodiazépine
- traitement des crises convulsives
- effets secondaire: hypotonie, ataxie, modificaton du comportement, somnolence, fatigue
- soins infirmiers : noter l’instensité et la durée des convulsions, rester à l’affut des gestes maladroit et de la somnolence. s’assurer du respect de la posologie
pharmacothérapie pour abscences, crise akinétique et myoclonique
- rivotril anticonvulsivant
- lamictal anticonvulsivant
- depakene anticonvulsivant
- ativan IV
- versed IV
médication antiépileptique IV soins infirmiers
- action brève et doit toujours etre suivi par un anticonvulsivant à longue durée comme le phénobarbital
épilepsie et traitements autre que pharmaco
- chrirugie de resection du lobe temporal antérieur qui peut supprimer les crises chez 60% des clients
- stimulation vagale: électrode implantée dans le cou et transmet des impulsions au nerf vagale, le client l’active avec un aimant quand la sensation d’une crise est imminente. (toux, dyspnée, fourmillement dans le cou et enrouement
paralysie de Todd
- suite à crise focale, un déficit neurologique transitoire résiduel apparait, il laissera une faiblesse localisée qui disparaîtra après un certains temps
complication liées à l’état de mal épileptique
- lorse que la crise épileptique dure longtemps ou que plusieurs épisode se succède sans reprise de conscience.
- le cerveau est surchargée et utulise plus d’énergie que les ressources disponible
- les neurones arrêtent alors de fonctionner et il y’a apparition de lésion cérébrale permanente
- l’état de mal tonico-clonique peut provoquer une insuff ventilatoire, hypoxéie, acidose métabolique, hyperthérmie, arhytmies cardiaque
quels personnes sont le plus à risque à l’état de mal épileptique
- les personnes qui s’évanouissent
3 éléments du PSTI pour problème de respiration (épilepsie)
- positionner en décubitus latéral
- ne rien insérer dans la bouche pendant la crise épuleptique
- procéder à l’aspiration trachéat et nasotrachéale
3 éléments du PSTI pour les risques de blessures (épilepsie)
- évaluer risques pour le patient d’effectuer certaines acitivtés
- démeurer avec le client durant la crise pour éviter qu’il ne se blesse
- ne pas bouger le clien durant la crise
3 éléments du PSTI pour l’adaptation de la pris en charge de la santé (épilepsie)
- favoriser l’autonomie du patient en fournissant de l’information juste
- décrire les complication chronique potentielles
- évaluer niveau de connaissance du client à propos de sa maladie
comment arrive un AVC
quand des cellules nerveuse sont privés d’oxygènne à cause d’une hémorragie ou entrave à la circulation sanguine.
comment se fait la circulation cérébrale
- artères carotides droite et gauche pour la circulation antérieur
- artères vertébrales droit et gauche pour la circulation postérieur et ensemble forme l’artère basilaire
quel facteur affecte le débit sanguin dans le cerveau
- PA systémique
- débit carrdiaque
- viscosité du sang
- PIC
comment se fait l’athérosclérose
- durcissement des artères causé par des plaques de lipides qui se forment dans les régions à forte turbulences
physiopathologie de l’avc
- athérosclérose
- thrombose
- AVC ischémique
- Zone de pénombre
c’Est quoi la zone de pénombre
- zone où la circulation sanguine est grandement affecté et réduite.
- peut être réversible si le débit redeviens adéquat
facteurs irréversibles de l’avc
- age
- sexe
- facteurs génétique (antcd familiaux et ethnicité et hérédité)
facteurs réversibles
- hypertension
- maladies cardiaque (infarctus, FA, insuff cardiaque)
- tabagisme
- consommation excessive d’alcool
- obésité abdominale
- sédentarité
- apnée du sommeil
- stress
- toxicomanie
- mauvaise alimentation
- syndrome métabolique
quel sont les deux types d’avc
- ischémique
- hémorragique
gravité de l’avc ischémique dépend de quoi
- étendue de la lésion
- partie du cerveau affecté
- présence de circulation sanguine collatérale
3 sortes d’AVC ischémique
- thrombotique
- lacunaire
- embolique
quand apparaissent les symtpômes d’un AVC
- asymptomatique durant les 24 premières heures sauf si problème sous-jacent
- symtpomes évoluent dans les 72h qui suivent
c’Est quoi avc ischémique thrombotique
- plus courante cause d’AVC
- formation d’un caillot à cause d’un thrombose ou rétrécissement du vaisseau sanguin
- associé au diabète, hta
C’est quoi un AVC lacunaire
- provoqué par une oculusion dans une petite artère perforante qui à pour origine une plus grosse artère
- elle survient au niveau des noyaux gris centrau, thalamus, capsule interne et pont
- laisse cavité dans le tissu
manifestation clinique AVC ischémique lacunaire
- asymptomatique souvent
- mais peut hémiparésie, hémiplégie, faiblesse, ataxie
comment se déroule un AVC ischémique embolique
- survient quant il y’à une embolie dans une artère cérébrale
- entraine infarctus ou oedème dans la région irrigué
- majorité des embolie proviennent de plaques présente dans l’endocarde
- les symptomes arrivent rapidement: céphalée, déficit neurologique qui peut être transitoire si caillot se désagrège
c’est quoi un AIT
- accident ischémique transitoire
- souvent précursseur d’un AVC ischémique
- épisode de dysfonctionnement neurologique qui dure majoritairement moins de 24 heures, causé par perturbation dans irriguation sanguine d’une partie du cerveau (arhytmies, embolie, baisse d’iriguation)
manifestation cliniques de l’AIT
- Dure moins de 24 heures
- dépend de la partie du cerveau atteinte
- cécité monoculaire transitoire
- hémiparésie
- engourdissement
- incapacité à parler
- acouphène
- diplopie, ptosis