examen final Flashcards

1
Q

la théorie de watson se base sur

A

les travaux de pavlov

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Q

Watson
pour être une science, la psychologie doit se limiter à

A

l’étude des comportements : objectivement observables

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3
Q

watson
Il n’est pas nécessaire de connaître quoi pour expliquer les comportements

A

les caractéristiques biologiques ou le passé d’une personne

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4
Q

watson
il suffit de quoi pour expliquer les comportements

A

Il ne suffit que d’examiner le stimulus auquel la personne a été exposée et la réponse de la personne à ce dernier

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5
Q

watson
info sur la personne obéit à des lois scientifiques

A
  • elle n’a pas de libre arbitre
  • ne choisit pas, tout est déterminé par les stimuli présent dans l’environnement
  • lois générales de l’apprentissages
  • la connaissance des lois de l’apprentissage toutes les théories de la personnalité
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6
Q

watson
la névrose est

A

un comportement appris par conditionnement et est à éliminer

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7
Q

watson
exemple du conditionnement classique

A
  • certaines phobies
  • les aversions alimentaires
  • la salivation à la pensée de certains aliments
  • les émotions vécues à l’écoute d’une chanson
  • les souvenirs que font ressurgir des odeurs ou autres stimuli
  • l’évitement (réponse de retrait)
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8
Q

skinner
quel sorte d’apprentissage

A

par conditionnement opérant : Forme d’apprentissage selon laquelle on modifie la fréquence d’un comportement en en manipulant les conséquences

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9
Q

skinner
La première cause du comportement =

A

dans l’organisme, mais pas seulement réflexe pour plusieurs comportements ce sont leurs conséquences qui causent leur maintien ou leur disparition

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10
Q

skinner
pas de structure stable puisque

A

les comportements changent en fonction des situations (conséquences)

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11
Q

skinner
les comportements complexes résultent de

A

du processus de façonnement (Méthode qui permet d’acquérir un comportement absent de son répertoire actuel. Requiert le renforcement d’une succession d’approximations ou de réponses se rapprochant de plus en plus du comportement visé.)

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12
Q

skinner
qu’est-ce que la boîte noire

A

réfère à ce qui se passe à l’intérieur de l’organisme et qui est non observable (causes innées, besoins, émotions, conflits intérieurs, intentions)

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13
Q

skinner
tout comportement est déterminé par

A

l’environnement

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13
Q

skinner
effet du renforcement et punition

A
  • renforcement : effet : augmente ou maintien un comportement
  • punition : effet : diminue ou élimine le comportement
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14
Q

skinner
qu’est-ce qu’un stimulus discriminatif

A

indices environnementaux qui indiquent s’il y aura renforcement (ex : lumière allumée = nourriture)

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15
Q

skinner
types d’intermittent

A
  • continu : Une conséquence plaisante est donnée/vécue chaque fois que le comportement désiré se présente.
  • intermittent : Une conséquence plaisante est donnée/vécue de manière intermittente selon quatre types de programmes.
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16
Q

skinner
généralisation

A
  • généralisation : Lorsqu’un stimulus autre que le stimulus conditionné, mais SEMBLABLE, provoque une réponse chez le sujet.
    Par exemple, Albert s’est mis à avoir peur de tout ce qui était fait de poil blanc (lapin, barbe, etc.)
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17
Q

skinner
discrimination

A
  • discrimination : Lorsque le sujet apprend à différencier les stimuli de manière à ne répondre qu’à celui qui a servi au conditionnement (lumière verte VS lumière rouge ou rond VS ovale).
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18
Q

skinner
situations menant à la pathologie

A
  • Les comportements adaptés n’ont pas été renforcés
  • Les comportements qui seraient maintenant jugés adéquats ont été punis
  • Les comportements inadaptés ont été renforcés
  • Des comportements adaptés dans certaines circonstances, mais pas dans d’autres ont été renforcés
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19
Q

cognitivisme
importance des cognitions pour comprendre quoi

A

la personnalité

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20
Q

cognitivisme
s’intéresse à

A

Aux facteurs internes qui sont d’ordre cognitif qui est le contenu de la « boite noire »

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21
Q

cognitivisme
met en lumière quoi

A

d’autres façons d’apprendre que le conditionnement

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22
Q

dollar et Miller
amène quelle idée et cette forme est présente à quel moment

A

que pour apprendre, il faut le vouloir. Forme de motivation Présent lorsqu’il y a un besoin issu d’un stimulus interne (faim) ou externe (froid).Sans besoin, il n’y a pas d’apprentissage possible

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23
Q

dollar et miller
illustre quoi

A

la présence d’anticipation et d’imitation chez le rat

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24
Q

dollar et miller
considèrent quoi dans l’apprentissage

A

les facteurs sociaux dans l’apprentissage (L’attitude des parents et la façon d’enseigner des habiletés à l’enfant déterminent le développement de la personnalité)

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25
Q

kelly
auteur de quelle théorie

A

précurseur de l’approche cognitiviste

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26
Q

théorie des construits
la personnalité =

A

système de construits personnels qui se complexifie avec les expériences (Les construits se modifient tout au long de la vie)

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27
Q

théorie des construits
qu’est-ce qui guide l’humain

A

Sa façon d’anticipation des événements

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28
Q

théories des construits
Le comportement est une façon de vérifier quoi

A

une hypothèse émise en fonction des prédictions faites à partir des croyances

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29
Q

théories des construits
les construits sont des théories vérifiées à l’aide de quoi

A

des théories vérifiées à l’aide des mêmes étapes que la démarche scientifique

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30
Q

théories des construits
vise à élaborer des construits pour

A

mieux comprendre et prédire les événements

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31
Q

théorie des construits
l’humain est préoccupé par

A

Le futur et non le passé, c’est pour ça qu’ils font des prédictions

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32
Q

théorie des construits
la personne a la capacité de quoi de façon active

A

Interpréter et réinterpréter, construire et reconstruire de façon active son environnement (elle va tenter de le faire continuellement pour que ses prédictions soient de plus en plus juste

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33
Q

théorie des construits
définition concept de construit

A
  • Façon de percevoir ou d’interpréter les événements
  • Élément de connaissance
  • Permet d’appréhender le monde
  • De différents types
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34
Q

théorie des construits
construction

Se produit grâce à
Se présentent…
Catégorisation par comparaison qui nécessite…
Fait quoi avec l’expérience

A
  • Automatique
  • Se produit grâce à l’observation et à la répétition des événements et de la comparaison
  • Se présentent par pôle: similaire à ou différent de
  • Catégorisation par comparaison: Nécessite trois éléments, deux semblables, un différent
  • Se nuancent et raffinent avec l’expérience
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35
Q

théorie des construits
impacts sur les relations : problème de communication

A
  • Conflits entre les construits de deux personnes
  • Refuser de reconnaitre qu’un construit est partagé avec un autre
  • Ne pas savoir que des construits sont partagés
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36
Q

théorie des construits
facteurs qui favorisent la complexification

A
  • L’exposition à diverses cultures
  • Expériences diversifiées
  • Parents favorisant l’autonomie et de type démocratique
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37
Q

théorie des construits
type de personnalité selon la complexité en général

A

Peu complexe
- Rigidité
- Dogmatisme
- Peu de nuance
- Discours moins complexe et moins subtil

Complexe
- Plus souples
- Décèlent des différences plus subtiles
- Font des prédictions comportementales sur soi et les autres plus justes
- Plus conscientes des construits des autres, plus empathiques
- Peuvent faire un grand nombre de distinctions entre les gens et les événements

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38
Q

théorie des construits
l’anxiété

A
  • Lorsque les construits ne permettent pas d’interpréter les événements
  • Lorsque les construits sont mis en échec
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39
Q

théorie des construits
peur

A

Survient quand un nouveau construit est sur le point de s’intégrer au système

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40
Q

théorie des construits
menace

A
  • Survient lorsqu’un changement important dans le système vient l’ébranler
  • Changement d’un construit central
    Exemple: la mortalité quand on apprend qu’il nous reste 3 mois à vivre. Le construit mortalité est modifié.
  • En réaction, la personne peut tendre à régresser ou refuser un événement (vivre des nouvelles expériences)
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41
Q

théorie des construits
l’anxiété est la base de

A

des troubles psychologiques

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42
Q

théorie des construits
les construits sont de quels types

A

sont verbaux et d’autre pré-verbaux

43
Q

théories des construits
1. s’attribuer une responsabilité non fondée dans une situation ou un événement malheureux.
2. concentrer son attention sur les seuls aspects négatifs d’une situation
3. tendance à croire que si quelque chose est arrivé une fois, cela va forcément se répéter tout le temps
4. Consiste à minimiser les erreurs des autres, ainsi que nos propres succès, elle maximise les succès des autres et nos propres erreurs
5. manque de nuances, les choses sont vues en blanc et noir
6. Pensent que leurs émotions reflètent la vérité des choses
7. Utilisation d’étiquettes péjoratives pour se décrire soit même, au lieu de décrire les faits et les qualités de manière objective et exacte.
8. Consiste à attribuer à autrui des pensées, des opinions, des intentions ou des jugements dont on est convaincu de la véracité, mais sans raisons suffisantes
9. Se fixer arbitrairement des buts à atteindre (je dois, je devrais…).

A
  1. personnalisation
  2. l’abstraction sélective
  3. généralisation
  4. minimisation et maximisation
  5. pensée dichotomique
  6. le raisonnement émotionnel
  7. l’étiquetage
  8. lectures des pensées d’autrui
  9. les fausses obligations
44
Q

weiner
éléments de la définition de l’attribution causale

A
  • L’attribution causale est un processus cognitif par lequel les individus expliquent leurs comportements et ceux des autres.
  • Inférence ayant pour but d’expliquer pourquoi (la cause).
  • Représente une cause perçue, donc elle peut être erronée
45
Q

weiner (les dimensions)
1.
 La cause du comportement, de l’émotion ou de l’événement est perçue comme provenant de soi (interne) ou de l’extérieur, des autres (externe)
 Détermine les réactions émotionnelles liées à l’estime de soi (compétence, honte, fierté)
2.
 La cause du comportement ou de l’événement peut être vue comme isolée, rare (variable) ou encore comme régulière, habituelle (stable).
 Détermine les attentes de la personne
3.
 La cause du comportement ou de l’événement est perçu comme hors de son contrôle, ne pouvant être modifiée (incontrôlable) ou contrôlable, soit qu’il y a possibilité de faire des changements, d’avoir de l’influence (contrôlable).
 Détermine les attentes de la personne

A
  1. lieu de contrôle (interne/externe)
  2. stabilité (stable/variable)
  3. contrôlabilité (contrôlable/incontrôlable)
46
Q

rotter
ce qui détermine la personnalité

A

Déterminé par un ensemble de facteurs situés, à la fois, à l’intérieur (les processus cognitifs: attentes, buts) et à l’extérieur de la personne (circonstances, renforcements)

47
Q

rotter
rôle des attentes

A

responsables de la divergence des comportements d’une personne à l’autre pour une même situation.

48
Q

rotter
rôle des conséquences

A

Le comportement est influencé par la valeur qu’accorde la personne aux conséquences positives (renforcements)qu’elle peut en tirer et aux chances qu’elle a de les obtenir.

49
Q

rotter
ce qui détermine qu’un comportement se répète

A

par le but visé ou le résultat désiré, mais aussi par l’anticipation y étant reliée Capacité à prévoir que son comportement entrainera le renforcement attendu.

50
Q

rotter
l’expérience sociale amène

A

à avoir des attentes généralisées sur les situations et sur les comportements procurant des renforcements

51
Q

rotter
le locus de contrôle est

A

un élément de la personnalité

52
Q

rotter
qu’est-ce qu’un locus de contrôle

A
  • Sentiment que ce qui arrive dépend de soi ou de ses actes.
  • Tend à résister aux influences externes, se fait confiance
  • Accepte moins de se conformer aux pressions du milieu.
  • Peut accentuer un facteur variable (effort fourni, temps mis à l’étude, etc.)
  • Stabilité émotionnelle
  • Tendance à l’abstraction, à la réflexion théorique et à la synthèse de considérations.
53
Q

rotter (locus de contrôle)
1.
- Sentiment que ce qui arrive dépend de soi ou de ses actes.
-Tend à résister aux influences externes, se fait confiance
- Accepte moins de se conformer aux pressions du milieu.
- Peut accentuer un facteur variable (effort fourni, temps mis à l’étude, etc.)
- Stabilité émotionnelle
- Tendance à l’abstraction, à la réflexion théorique et à la synthèse de considérations.
2.
- Tend à considérer ce qui leur arrive comme résultant du destin, du hasard, des autres.
- Impression de ne rien pouvoir y changer
- Aucun lien n’est établi entre les actes et le renforcement
- Moins grand sentiment de satisfaction
- Se perçoit comme une victime et se dévalorise
- Portée à l’angoisse, car le monde est vu comme imprévisible voir incohérent.
- Plus souvent soumise à des problèmes psychologiques et psychosomatiques.
- Plus caractérisée par l’anxiété et la dépression
- Plus sujette au stress et à la frustration, au développement de la névrose.
- Lié à une instabilité émotionnelle et à une pensée pratique

A
  1. locus interne
  2. locus externe
54
Q

rotter
dans le locus de contrôle externe quels sont les 2 types

A

 Défensif : compétitif, prêt à jeter le blâme sur les autres, rejette les causes à l’extérieur d’eux, les autres sont responsables de leurs échecs.
 Authentique : croit sincèrement que la vie leur échappe.

55
Q

rotter
potentiel de comportement

A

Probabilité qu’un comportement se manifeste dans telle ou telle circonstance
En fonction de deux autres facteurs :
- la valeur et l’attente du renforcement

56
Q

rotter
valeur du renforcement

A

Importance du renforcement pour la personne
Différences individuelles

57
Q

rotter
l’attente du renforcement

A

Évaluation que fait la personne de ses chances d’être «récompensée», d’obtenir quelque chose

58
Q

rotter
potentiel d’un besoin

A

Probabilité que les comportements puissent conduire à la satisfaction du besoin.

59
Q

rotter
inadaptation quand

A

les besoins à valeur élevée se confrontent à de faibles attentes (mène à des conduites névrotiques)

60
Q

bandura
la personnalité s’étudie dans

A

sa variabilité et non dans sa constance

61
Q

bandura
la personnalité =

A

manière dont chacun perçoit les situations, conçoit des attentes et adopte des modèles de comportement différents

62
Q

bandura
les comportements sont expliqués par des facteurs personnels, lesquels

A

Les attentes, les prédictions et les jugements agissent en tant que renforçateurs des conduites

63
Q

bandura
qu’est-ce que le déterminisme réciproque et ses variables

A

Les variables d’une situation et celles de la personne qui la vit sont indissociables
-Principe causal fondamental
-Les variables de la situation définissent le cadre
-Les variables individuelles déterminent l’analyse que fera la personne de la situation et le choix de sa conduite

64
Q

bandura (les 4 structures du système cognitif)
croyance et attente

A

Mode d’appréhension du monde composé des pensées sur ce que le monde «est» et sur l’avenir

Les attentes (croyances sur le futur)

Anticipations et prédictions quant aux résultats attendus dans diverses situations
Comportement des autres, récompenses, punitions

Prédictions sur ses capacités à composer avec la situation
Les plus importantes pour la personnalité
Ingrédient clé de la réalisation et du bien-être

Principal déterminant des actions et des émotions

Varie d’une situation à une autre et d’un domaine à l’autre
La capacité de varier ses attentes et comportements est essentielle à l’adaptation et la survie (discrimination)

Expliquent les différences entre les personnes devant un même environnement
Anticipation des récompenses et des punitions

65
Q

bandura (les 4 structures du système cognitif)
normes

A

Mode d’appréhension du monde composé des pensées sur ce qui devrait être

Critères pour évaluer la qualité ou la valeur d’une personne, d’une chose, d’une action ou d’un événement

Système interne (critères de la personne)

Régulent le comportement

Déclenchent souvent des réactions émotives (réactions d’autoévaluation)
Fierté si notre rendement est conforme à nos normes
Servent de renforcements

Importantes pour la motivation et le rendement

Certaines visent l’éthique et la moralité de notre comportement envers les autres

66
Q

bandura (les 4 structures du système cognitif)
compétence et habiletés

A

Mode d’appréhension du monde composé des pensées sur ce qui est souhaité en termes de réalisation

Représentations mentales du but d’une action ou d’une conduite

Motivent la personne et permet de transcender les influences du moment

Orientent le comportement

Guident dans l’établissement de priorités et à faire des choix
Structure hiérarchique

Influencés par le sentiment d’efficacité personnelle
Liés aux attentes (influence réciproque)

67
Q

bandura (les 4 structures du système cognitif)
compétence et habiletés peuvent varier en fonction de ?

A

Degré de difficulté
Proximité (court ou long terme)
Ceux à court termes ont plus d’influences sur le comportement
Signification subjective attribuée à l’activité

68
Q

Bandura
qu’est-ce que l’agentivité

A

La personne a le pouvoir d’agir, d’influencer ses comportements et ses expériences grâce à ses processus mentaux

69
Q

bandura
qu’est-ce que l’efficacité personnelle

A

Désigne les attentes des individus quant à leur capacité à réaliser des performances particulières
Perception subjective

70
Q

bandura
le sentiment d’efficacité personnelle varie selon ?

A

la situation, par le niveau de compétence

71
Q

bandura
un fort sentiment d’efficacité personnelle apporte quoi sur la personnalité

A

-Se met à la tâche, même si elle est difficile
-Persévère
-Reste calme
-Organise ses idées

72
Q

bandura
un faible sentiment d’efficacité personnelle apporte quoi sur la personnalité

A

N’essaie pas d’entreprendre des activités importantes
Renonce quand devient difficile
Éprouve de l’anxiété
Cède à la panique et n’arrive pas à réfléchir

73
Q

bandura (4 sources)
1.
Consiste à vivre des succès
Rôle important à jouer quant à la construction d’un sentiment d’efficacité personnelle si la personne s’attribue les succès
Effet d’augmenter la motivation
2.
Possibilité d’apprendre par observation et par des échanges
3.
Il s’agit du fait que d’autres croient à la présence de ressources permettant la réussite et l’apprentissage chez soi et qu’ils les verbalisent
Contribue aux efforts et à la persévérance de la personne qui les reçoit
4.
Ils correspondent à un climat positif, sans stress

A
  1. l’expérience de maîtrise
  2. l’apprentissage vicariant
  3. la persuasion verbale
  4. les états physiologiques et émotionnels
74
Q

bandura
apprentissage vicariant

A

Processus qui se manifeste après l’observation du comportement d’une autre personne, des circonstances et des conséquences

75
Q

bandura
l’apprentissage vicariant est plus complexe que quoi

A

l’apprentissage par imitation puisque la personne décide d’imiter ou non les modèles qui sont importants pour elle ou qui ont été récompensés

76
Q

bandura
quelles sont les 2 fonctions psychologiques de l’apprentissage vicariant

A

Acquisition de connaissances et d’habiletés
Maîtrise de ses actions et de ses expériences affectives

77
Q

bandura
qu’est-ce que le conditionnement vicariant

A

Apprentissage de réactions émotives par l’observation d’autrui

78
Q

bandura
qu’est-ce que le renforcement extrinsèque

A

Provient d’une source externe

79
Q

qu’est-ce que le renforcement intrinsèque

A

Provient de la personne qui s’évalue, s’encourage, apprécie ce qu’elle fait et en tire une satisfaction
L’autorenforcement joue un rôle important dans l’autorégulation

80
Q

deci et ryan (types de motivations)
1.
absence complète de motivation
2.
Correspond à la définition initiale de la motivation extrinsèque.
Le comportement est régulé par des sources de contrôle extérieures.
3.
La personne commence à intérioriser les contraintes externes en se culpabilisant.
L’action n’est pas encore librement choisie puisque l’individu agit pour éviter une conséquence désagréable qu’il s’impose en se culpabilisant.
4.
L’activité est réalisée à des fins externes, mais elle devient valorisée et importante pour l’individu qui s’identifie alors à cette activité.
5.
L’activité est cohérente avec le concept de soi de la personne, qui peut alors s’approprier l’action et trouver des sources d’auto-motivation complémentaires à la source externe à l’origine de l’action.
6.
Correspond à la définition initiale de la motivation intrinsèque.
L’engagement dans la tâche vient de l’individu.
L’action est conduite uniquement par l’intérêt et le plaisir que l’individu trouve à l’action, sans attente de récompense externe.

A
  1. amotivation
  2. régulation externe
  3. régulation introjectée
  4. régulation identifiée
  5. régulation intégrée
  6. régulation auto-déterminée
81
Q

approche psycho-biologique
cause immédiates vs originelles

A

immédiates :
Processus biologiques se produisant dans l’organisme pendant qu’un comportement se produit
Gènes
Hormones
Neurotransmetteurs
Système nerveux

originelles :
Processus d’évolution où une sélection naturelle des mécanismes biologiques permettant l’adaptation et la survie de l’espèce assurent la transmission des comportements et caractéristiques associés
Préférence pour le gras
Aversion pour l’amertume
Émotions telle la jalousie
Différence entre les sexes/parentage

Les mécanismes psychologiques fondamentaux résultent de l’évolution et sont une réponse aux problèmes rencontrés par l’humain

82
Q

approche psycho-bio
les différences entre les personnes s’expliquent…

A

à la fois par les gènes et par les environnements non partagés

83
Q

approche socio-bio
une même expérience environnementale n’aura pas le même effet sur la personne selon….

A

la génétique

84
Q

approche socio-bio
qu’est-ce qui fait que chaque personne va susciter des réactions différentes dans un même environnement

A

son bagage génétique

85
Q

approche socio-bio
les personnes vont choisir quoi selon leur génétique

A

des environnements différents

86
Q

approche socio-bio
définition du tempérament

A

Ensemble des caractéristiques individuelles qui déterminent les tendances sur le plan affectif et motivationnel.
Détermine la réaction dans diverses situations et ces réactions influencent l’environnement (adulte et pair)

87
Q

approche socio-bio
quel est la base de la personnalité

A

base biologique

88
Q

approche socio-bio
qu’est-ce que l’adéquation

A

Concordance entre le tempérament de l’enfant et les caractéristiques de son environnement
Importance de connaître le tempérament et y adapter ses demandes et attentes

Favorise l’adaptation et le développement sain de l’enfant

89
Q

approche socio-bio
pourquoi un enfant va être du type inhibé plus tard

A

puisque c’est un enfant réactif

90
Q

approche socio-bio
les structures du système nerveux jouent un rôle sur quoi

A

dans l’inhibition (amygdale) et le contrôle émotionnel (cortex frontal), types d’affects (réactivité hémisphère gauche)

91
Q

approche socio-bio
la réponse à la peur est associée à quoi

A

à un élément biologique

92
Q

approche socio-bio
qu’est-ce qui est responsable d’émotions au tempérament

A

La quantité de certains neurotransmetteurs

93
Q

théorie évolutionniste
qu’est-ce qui résulte de l’évolution

A

sélection naturelle des mécanismes biologiques permettant l’adaptation et les mécanismes psychologiques fondamentaux

94
Q

théorie évolutionniste
qu’est-ce qui peut aussi contrôler les comportements

A

les conséquences
Peuvent affecter l’évolution des espèces ou, à l’échelle individuelle, le comportement d’un seul individu

95
Q

théorie de l’attachement
quel est le facteur le plus puissant pour l’établissement de l’attachement

A

ce n’est pas la nourriture, mais le réconfort

96
Q

théorie de l’attachement
quels sont les besoins indépendants et nécessaires à la survie

A

les besoins de contacts et celui d’être nourri

97
Q

théorie de l’attachement
l’être humain est prédisposé à avoir quoi

A

à avoir des contacts sociaux, car ceux-ci permettent sa survie en bas âge.

98
Q

théorie de l’attachement
les précurseurs sociaux et se déclenchent quand

A

Comportements, chez l’humain, résultant de l’évolution
pleurs, sourire, succion, cramponnage, poursuite, cris

-Se déclenchent
Lorsqu’il y a une certaine distance entre le bébé et sa mère

-Lors de différents états internes de l’enfant

-Si certaines conditions environnementales sont présentes (bruit, froid, noirceur)

Ont pour fonction de provoquer un rapprochement physique avec la figure d’attachement

99
Q

théorie de l’attachement
qu’est-ce que le modèle interne

A

Modèle de représentations intériorisées de l’environnement, de la figure d’attachement principale et de soi
Construit à partir des expériences quotidiennes de présence ou d’absence de soins maternels d’exploration et de recherche de proximité.

Modèle constitué de représentations internes de ce que sont les relations sociales en générale et de ce qu’il peut s’attendre d’un lien affectif particulier.

100
Q

théorie de l’attachement (modèle opérationnel interne)
que se passe-t-il vers 8 mois

A

l’enfant connaît les conditions lui procurant un sentiment de sécurité et oriente ses comportements en ce sens.

101
Q

théorie de l’attachement (modèle opérationnel interne)
que se passe-t-il si un jeune enfant vit du rejet de sa principale figure d’attachement

A

il risque d’intérioriser un modèle de lui-même comme n’étant pas digne d’être aimé ou désiré.
L’enfant développera des comportements allant dans le sens de ses croyances
Pourrait éventuellement transposer ses comportements dans ses autres relations

102
Q

théorie de l’attachement
L’organisation biologique de l’enfant est

A

sociale, mais l’environnement (les interactions avec les autres humains) est nécessaire à son interprétation et à son maintien.

103
Q

théorie de l’attachement
l’attachement présente des différences

A

des différences qualitatives selon les comportements de la figure maternelle

104
Q

théorie de l’attachement
qu’est-ce qui informe le type d’attachement chez un enfant

A

Ce sont les réactions de l’enfant au départ et retour de sa figure d’attachement qui informe du type d’attachement.

105
Q

théorie de l’attachement
vrai ou faux
la figure maternelle peut seulement être la femme

A

faux, elle peut être l’homme