Examen Final Flashcards

1
Q

Rogers selon Pervin

A
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2
Q

la conception de la personne selon Rogers c’est ?

A
  • nous sommes par nature foncièrement bons et fondamentalement orientés vers l’autoactualisation
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3
Q

ce qu’il pense de la théorie de Freud et les psychanalystes par rapport au fait que nous sommes des êtres irrationnels, tant à l’égard de nous que des autres ?

A
  • pense qu’on peut avoir par moment ce genre de comportement, mais que c’est des comportements névrotiques et donc qui s’explique par l’immaturité.
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4
Q

croit que si on agis sans contrainte, on est apte à vivre et nous épanouir conformément à notre nature d’animaux
Vrai ou faux

A

vrai puisqu’il pense qu’on est foncièrement bon et disposés à vivre en bonne intelligence avec les autres

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5
Q

Malgré qu’il ait apporté des changements à sa théorie et ses outils, il se considère comme étant …?

A

un phénoménologue

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6
Q

ces perceptions constituent le champ phénoménal de l’individu. ce champ comprend ?

A
  • perceptions conscientes et inconscientes
  • perception et expérience subjectives du monde
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7
Q

quels sont les déterminants les plus importants du comportement chez les individus sains ?

A
  • ceux qui sont conscients ou susceptibles de l’être
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8
Q

vrai ou faux
l’approche rogérienne ne distingue pas de l’apporche psychanalytique, axée sur l’inconscient

A

faux, elle se distingue

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9
Q

l’approche phénoménologique (théorie rogérienne) sur quoi ?

A
  • sur les perceptions, les sentiments, l’observation de soi, l’autoactualisation et le processus de changement
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10
Q

quel est le concept structural clé de la théorie rogérienne et ce qu’il représente ?

A
  • Le soi
  • la configuration organisé et cohérente des perceptions
  • connait les changements, mais conserve le caractère configuré, intégré et organisé
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11
Q

qu’est-ce qui constitue le concept de soi

A
  • les parties du camp phénoménal considérés par l’individu comme le soi, le moi ou le je (perceptions et valeurs associées au 3 éléments)
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12
Q

soi idéal

A

image de soi que l’individu aimerait posséder
- concept clé de la théorie

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13
Q

rogers met l’accent sur quoi ?

A

met l’accent sur l’autoactualisation de l’individu, c’est à dire la réalisation de tout son potentiel, s’actualiser puisqu’il pense que les individus aspirent à s’autoactualiser

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14
Q

le concept de l’autoactualisation comprend quoi et met quoi en évidence ?

A
  • comprend la tendance à la réduction des besoins ou de la tension k
  • met en évidence les plaisirs et les satisfactions découlant des activités qui enrichissent l’organisme
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15
Q

estime de soi c’est ?

A

évaluation du soi par l’individu ou jugement personnel qu’il porte sur son mérite

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16
Q

cohérence

A

concept rogérien exprimant l’absence de conflit dans les perceptions du soi

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17
Q

congruence

A

concept qui exprime l’absence de conflit entre le concept de soi et l’expérience, c’est également l’une des 3 conditions jugées essentielles pour la croissance et le progrès thérapeutique

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18
Q

quand sommes-nous en incongruence ?

A

quand il y a un désaccord entre le concept de soi et notre expérience, état de tension et de confusion
personne dit être bienveillant, mais éprouve de la haine

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19
Q

à quoi sert le processus de perception infraliminaire ?

A

permet de percevoir qu’une expérience contredit le concept de soi avant même d’en avoir une représentation consciente
c’est en réaction à la menace que représentent les expériences qui sont en conflit avec le soi, qu’on adopte un comportement défensif

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20
Q

déni

A

mécanisme de défense mis en évidence par freud et rogers, par lequel la prise de conscience des sentiments menaçants se trouve bloquée

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21
Q

déformation

A

mécanisme de défense qui consiste à modifier l’expérience pour la rendre conforme au soi

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22
Q

besoin de considération positive

A

concept qui désigne le besoin de chaleur, de respect, de sympathie et d’acceptation qui, chez le nourrisson, s’exprime par le besoin d’amour et d’affection
si l’enfant reçoit une considération positive inconditionnelle, s’il se sent apprécié, il n’aura pas a nier certaines expériences

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23
Q

qu’est-ce qui se passe si l’enfant reçoit une considération positive conditionnelle ? par exemple, si l’enfant sent que pour recevoir de l’amour, il doit être affectueux

A

il va rejeter tout sentiment de haine et s’efforcer de continuer d’être affectueux puisque le sentiment de haine est incompatible avec le soi

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24
Q

maslow selon pervin

A
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25
Q

est-ce que maslow partage la vision de Rogers par rapport à la nature fondamentale positive et constructive de l’être humain

A

oui

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26
Q

vrai ou faux
la gratification du besoin aura un effet stimulant

A

vrai parce que l’individu prend plaisir à désirer quelque chose ou à poursuivre ce nouveau but

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27
Q

quels sont les 2 types de besoins

A
  • besoin D
    . besoin fondamentaux communs que toute l’espèce humaine ressent et qui demandent à être satisfaits, comblés
    . faim, soif
  • besoin E
    . besoin qui recherche un niveau supérieur de bien-être, différent d’une personne à l’autre et indiquent que la personne a satisfait ses besoins D
    . appelé métomotivation
    . idéaux de soi : le goût du beau, la quête de vérité …
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28
Q

héritage de Maslow c’est ?

A

La pyramide des besoins

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29
Q

la pyramide des besoins comporte ?

A

** les 4 échelons inférieur sont des besoins D et l’échelon supérieur est un besoin E **
- besoin physiologiques (nécessaire pour survivre)
- besoin de sécurité et de protection
- besoin d’amour et d’appartenance
- besoin d’estime et de compétence –> recherche personnelle de la confiance et de la maîtrise de soi
- besoin d’actualisation de soi (besoin idiosyncratique = propre à chacun) ==> potentiel inné et ce qu’il veut être
-

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30
Q

George Kelly selon Bouchard

A
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31
Q

le construit s’applique sur quoi ?

A

des perceptions

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32
Q

L’approche de Kelly est ?

A

Pragamatique (concret)

33
Q

a compris que d’utiliser des allégories permettaient quoi ?

A

à une personne en difficulté de trouver de nouvelles pistes face à la réalité
permet de faire tomber les résistances de la personne

34
Q

vrai ou faux
les êtres humains ne recherchent pas à comprendre leurs façons d’agir et ont recours à des spéculations et des hypothèses

A

faux ils cherchent à faire des prédictions pour mieux appréhender ce qui va se passer pour être en mesure de mieux se préparer

35
Q

le comportement adopté est ?

A

une façon de vérifier une hypothèse et d’ouvrir la voie à de nouvelles options

36
Q

postulat de base de la théorie de Kelly ?

A

l’être humain est guidé par sa façon d’anticiper les évènements

37
Q

système de construits

A

ensemble des construits personnels hiérarchiquement organisé qui constitue la personnalité (respect/non-respect)

38
Q

système de construits

A
  • ensemble des construits personnels hiérarchiquement organisé qui constitue la personnalité
    . grand construit (respect/non-respect)
    . sous construit (ouverture/rigidité - empathie/égoïsme)
  • dichotomie : se construit sur 2 pôles –> 2 pôles positif –> 1 pôle négatif
39
Q

les 11 corollaires qui décrivent certains principes de base selon lesquels notre système de construits s’élabore

A
  • la construction
    .personne anticipe les évènements et s’attend à une stabilité/régularité
    . recherche des liens, une cohérence qui permet d’anticiper les évènements
  • L’individualité
    . chacun interprète la réalité à sa façon et donc nos construits sont uniques
  • l’organisation
    . les construits sont organisés de manière hiérarchique (construits supérieurs et sous-construits)
  • la dichotomie
  • le choix
    . personne choisit l’alternative par laquelle il va anticiper la meilleure possibilité d’extension ou de définition de son construits
    . cherche à élaborer son système pour qu’il devienne plus complexe et étendu
    . peut développer de nouveaux construits ou valider les construits déjà en place
  • l’étendue
    . étendue d’application potentielle appelé champ de congruence (bon/mauvais a un champ de congruence plus vaste que uni/rayé
  • l’expérience
    . le système de construits change au fur et à mesure qu’on l’utilise pour anticiper des évènements
    . certaines personnes vont répéter les mêmes erreurs au fil du temps
  • la modulation
    . apporter des nuances aux construits déjà appris, les construits vont donc garder une stabilité, mais s’enrichissent d’une diversité plus étendue
  • la fragmentation
    . possible de trouver certaines contradictions au sein d’un système de construits personnels
  • les aspects communs
    . construits communs avec d’autres personnes et qui permettent la rencontre et la communication des perceptions individuelles
  • l’interaction sociale
    . découle des aspects communs
    . quand on comprend la construction de la réalité de l’autre personne on peut par la suite jouer un rôle dans un processus social
40
Q

alternativisme constructif

A

axiome selon lequel l’être humain révise constamment son interprétation de l’univers et est toujours susceptible de modifier un construit en faveur d’une alternative rendant mieux compte de nouveaux éléments

41
Q

construit

A

façon de percevoir ou interpréter les évènements

42
Q

constructivisme

A

position de kelly selon lauqelle il n’existe pas de réalité objective ou de vérité absolue à découvrir, mais seulement diverses manières d’interpréter les évènements
tout est question d’interprétation

43
Q

construit verbal

A

construit qui peut se traduire en mots

44
Q

construit préverbal

A

construit qu’on utilise sans pouvoir le traduire en mots parce qu’il s’est formé avant l’acquisition du langage

45
Q

construit submergé

A

mélange du verbal et préverbal
- construit qui a pu s’exprimer en mots, mais dont l’un des pôles ou les 2, ne peut se verbaliser

46
Q

champ d’application

A

évènements ou phénomènes auxquels s’appliquent un construit ou un système de construits
- respect au travail n’est pas le même qu’en amitié

47
Q

construits périphérique

A

construits qui n’est pas fondamental dans le système de construits d’un individu et dont la modification n’a pas de répercussion importante sur le reste du système

48
Q

construit englobant

A

construit respect/non-respect
- construit qui se situe plus dans haut dans la hiérarchie et qui comprend des construits plus restreints

49
Q

construit englobé

A

construit qui est situe plus bas dans la hiérarchie du système de construits et compris dans un construit plus large

50
Q

complexité /simplicité cognitive

A

dimension du fonctionnement cognitif d’une personne, qui se définit à un extrême par l’utilisation d’un très grand nombre de construits ayant entre eux de multiples relations ou à l’autre extrême, par l’utilisation d’un nombre très restreint de construits ayant peu de relations entre eux

51
Q

anxiété

A

émotion suscitée par la perception de l’imminence d’une menace ou d’un danger. Pour kelly, elle surgit lorsque l’individu prend conscience que les évènements qu’il perçoit se situent hors du champ d’application de son système de construits

52
Q

peur

A

émotion qui survient lorsque l’individu prend conscience qu’un nouveau construit est sur le point d’être intégré à son système de construits

53
Q

menace

A

perception de l’individu qui prend conscience de l’imminence d’un changement majeur qui ébranlera son système de construits

54
Q

Bandura et MIschell

A
55
Q

théorie de Bandura et Mischell
la théorie sociocognitive

A
56
Q

la théorie sociocognitive insiste sur ?

A

les origines sociales du comportement et sur l’importance des processus cognitifs dans tous les aspects du fonctionnement humain : la motivation, l’émotion et l’action

57
Q

le comportement est déterminé par ?

A

la situation et le contexte va avoir une influence sur comment on va réagir
exemple : environnement de classe vs famille

58
Q

il est important de savoir quels types de situations la personne se montre extravertie ou intravertie que de connaître son degré habituel d’extraversion-introversion par rapport à d’autres individus
vrai ou faux

A

vrai

59
Q

caractéristiques de la théorie sociocognitive insiste sur :

A
  1. le fait que la personne représente un agent actif
  2. les origines sociales du comportement
  3. les processus cognitifs (les processus de pensée)
  4. la spécificité situationnelle du comportement
  5. la recherche systématique
  6. l’apprentissage de modes de comportement complexes en l’absence de récompenses
60
Q

les gens subissent l’influence des forces environnementales, mais …

A

choisissent la façon dont ils se comporteront et s’interinfluencent

61
Q

déterminisme réciproque

A

influence réciproques entre 2 ou plusieurs variables
exemple : j’influence mon environnement et mon environnement m’influence

62
Q

les structures de la personnalité auxquelles s’intéressent à la théorie sociocognitive sont ?

A

principalement traits aux processus cognitifs
- trois concepts structuraux
. les attentes-croyances
. les compétences habiletés
. les objectifs

63
Q

les attentes-croyances c’est ?

A

attentes : ce que les gens manifeste par rapport aux évènements
croyances : ce qu’ils entretiennent sur eux-mêmes, leur capacité d’accomplir les tâches

64
Q

l’essence de la personnalité réside dans ?

A

les différentes manières qu’ont différents individus de percevoir la situation et les modes de comportement qu’ils apportent en fonction de ces perceptions différentes

65
Q

qu’est-ce qui nous guident lorsque nous établissons nos priorités et que nous choisissons entre diverses situations ?

A

les objectifs

66
Q

les objectifs : concept est lié à ?

A

la capacité des gens de prévoir l’avenir (les conséquences) et de se motiver eux-mêmes

67
Q

les objectifs sont-ils organisés ?

A

oui, ils sont organisés en système, donc certains sont plus important que d’autres, mais ne sont habituellement pas rigide et donc dépend de ce qui est important sur le moment

68
Q

compétences-habiletés

A

capacité de résoudre des problèmes et de composer avec les difficultés de la vie

69
Q

les compétences sont souvent liés à ?

A

des contextes précis

70
Q

le comportement se maintient à cause de ?

A

pas seulement des conséquences immédiates, mais à causes des attentes ou conséquences prévues

71
Q

normes internes

A

normes apprises pour renforcer le comportement afin de le réguler et de le maintenir, et qui font à présent partie de l’individu

72
Q

autorenforcement

A

processus par lequel l’individu se récompense ou se punit lui-même
il suppose des réponses autoévaluatives
important pour l’autorégulation du comportement sur de longues périodes

73
Q

autorégulation

A

processus par lequel l’individu régule lui-même son comportement

74
Q

modelage

A

processus par lequel les gens reproduisent des comportements appris en observant autrui

75
Q

acquisition

A

apprentissage de nouveaux comportements, l’acquisition ne dépend pas de la récompense

76
Q

manifestation

A

production de comportements appris (acquis), dépend de la récompense

77
Q

conséquences externes directes

A

événements externes qui font suite à un comportement et qui influent sur le rendement futur

78
Q

conséquences observées chez autrui

A

conséquences faisant suite au comportement d’autrui observée par l’individu et influant sur le rendement futur