Examen final Flashcards

1
Q

Garde préventive

A

Permettant de garder contre son gré une personne pour maximale de 72 heures

Danger grave et immédiat pour elle-même ou pour les autres

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2
Q

Garde provisoire

A

Ordonnée par le tribunal dans le but de soumettre la personne
Deux examens psychiatriques par deux psychiatres différents
Ne peut pas durer plus de 7 jours

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3
Q

Garde en établissement

A

Dangerosité clairement envisageable dans le présent ou dans un avenir rapproché
Durée de 21 jours

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4
Q

Crise psychosociale

A

Une situation problématique liée à une période de transition (déménagement, l’annonce d’un diagnostic de maladie, une naissance, un décès, etc.)

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5
Q

Crise psychopathologique

A

Les évènements susceptibles de provoquer la crise peuvent être les mêmes que celle psychosociale
C’est l’état de fragilité de la personne qui diffère (antécédent de troubles mentales, problèmes de dépendances etc)

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6
Q

Crise psychotraumatique

A

Résulte d’un événement soudain et violent

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7
Q

Interventions infirmières en situation de crise

A

Permettre au client d’exprimer ses émotions
Environnement propice, sans crainte d’être jugé
Explorer la vision du patient
Permettre d’exprimer les deuils et les émotions qui en résultent
Explorer les stratégies d’adaptations employées
Faire nommer les stratégies utilisés antérieurement
Réduire l’isolement
Aider à trouver des ressources
Établir un plan de résolution de crise

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8
Q

Gardes - Intervention infirmière

A

accompagner, désamorcer et orienter

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9
Q

Chute: les conséquences

A

Hospitalisation
Perte d’autonomie
Précipite admission en centre d’hébergement
90% des cas de fracture de la hanche et 20 % en décède l’année suivante
Syndrome post chute
Anxiété
Retrait social
Dépendance
Dévalorisation
Augmente le risque de chute

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10
Q

Chutes: facteurs prédisposants

A

Changements physiologiques (détérioration de la vision,
vieillissement de l’appareil vestibulaire, altération de la
proprioception, diminution de la capacité musculaire,
modification de la démarche, altération du système nerveux,
affections aiguës ou chroniques)

Facteurs psychologiques (diminution du jugement et de la cognition augmentent les risques de chutes chez les
personnes avec un TNCM

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11
Q

Chutes: facteurs précipitants

A

Médicaments (poly pharmacologie; psychotropes,
benzodiazépines, antidépresseurs, diurétiques, opioïdes, hypoglycémiants)

Contention physique (augmente le risque de blessure et diminue la force musculaire)

Facteurs environnementaux (planchers glissants, tapis,
environnement sombre, neige, glace, etc.)

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12
Q

Chutes: préventions

A

Identifier les personnes à risque de chutes

Identifier les facteurs de risques (médication, environnement, problème de santé sous-jacent, etc.)

Mettre en place les interventions requises afin de limiter le risque de chute

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13
Q

Chutes: 5 interventions

A

programme d’exercices (équilibre)
révision de la médication
évaluation de l’environnement
Tx des tr. de santé (HTO, cardiaques, vision)
Chaussures adaptés

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14
Q

Contentions: les conséquences

A

Inefficace

Baisse d’estime de soi, une perte d’autonomie et l’apparition de signe de dépression

Augmente la rigidité musculaire, perte d’amplitude des mouvements,
contractures, déminéralisation osseuse

Entraîne la réduction du métabolisme et de circulation sanguine

Lésion de pression, constipation, fécalome et incontinence

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15
Q

Contentions: facteurs prédisposants et précipitants

A

Âge avancé, déficit cognitif, maladie grave ou maladie psychiatrique, risque important de chute et dépendance pour les AVQ
*
Les troubles de comportements
*
Réduction de l’autonomie et de la mobilité, altération de l’état cognitif et du jugement
*
Antécédent de chute
*
Faiblesse urinaire et incontinence urinaire et fécale
*
Aménagement des lieux physiques
*
Aspect psychosocial et culturel

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16
Q

Contentions: les évaluations

A

Évaluer et analyser la situation
Observer les manifestations cliniques et les comportements
Rechercher les causes du comportement: douleur, infection, effets indésirables de
la médication, déshydratation,
Identifier si admission récente, acclimatation à un nouvel environnement
Évaluer les risques de délirium
Évaluer si difficulté à exprimer ses besoins (dans le cas de TNCM, AVC etc.)
Se poser les questions suivantes : la personne a t-elle faim, froid, soif, envie d’aller aux toilettes
Évaluer la condition mentale (anxiété, dépression ou autres troubles de l’état mental)
Vérifier les signes vitaux, la glycémie, élimination urinaire et fécale (globe vésical, inconfort)
Effectuer un examen physique tête-pied: Vérifier si signes et symptômes autres (bruits
respiratoires anormaux, dyspnées, arythmie, tachycardie, bradycardie, bruits B3B4,
douleur rétrosternale, cyanose, plaie, etc.)
Signes aînés
Voir dans le dossier les événements récents pouvant être en cause de cette agitation

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17
Q

Parkinson: 4 manifestations motrices et 4 non-motrices

A

Manifestations motrices : akinésie, bradykinésie, rigidité, tremblement.

Manifestations non motrices : troubles du sommeil, troubles de l’humeur, troubles cognitifs, troubles du système nerveux autonome

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18
Q

Parkinson: phénomène de blocage

A

Se manifeste par l’incapacité momentanée de lever les pieds pour marcher. Souvent on remarque des petits pas sur place avant d’être en mesure d’amorcer la marche. Ce phénomène apparait souvent à la marche, lors des changements de direction et lorsque la personne se retrouve dans des endroits restreints ou vastes.

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19
Q

Les 4 éléments qui nécessitent des surveillances cliniques pour la clientèle atteinte de la maladie de Parkinson

A

Capacités cognitives touchées par la MP : mémoire, raisonnement, traitement de l’information, concentration et attention, orientation visuelle, la résolution de problèmes, organisation et gestion des tâches multiples (une évaluation cognitive régulière est suggérée)

Humeur et dépression : Présenter des troubles de socialisation, expression figée, lenteur à répondre. Anxiété accrue, tendance au retrait, une diminution de l’appétit, posture plus prostrée. Ceux qui vont souffrir de dépression présentent une baisse de l’intérêt (anhédonie)

Autonomie fonctionnelle : Envisager rapidement la mise en place d’interventions visant à suppléer le manque d’autonomie.

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20
Q

Parkinson: 3 interventions

A

Permet le maintien de l’autonomie fonctionnelle et la mobilisation (programme de marche, d’exercice et d’étirement spécifique visant à maintenir la force musculaire, atténuer certains symptômes et diminuer ou maîtriser la rigidité qui peut être très douloureuse)

Risque de chute augmenté en lien avec les troubles de l’équilibre, de la posture et de la démarche. Assurer port de chaussures adéquates, dégager les espaces de déplacements

Éviter les pneumonies d’aspiration. Changer texture de la nourriture, utilisation d’ustensiles appropriés, utilisation d’équipement. Assurer apport hydrique suffisant. Donner accès à un verre d’eau avec une paille flexible.

Signes cliniques de la dysphagie

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21
Q

Parkinson: phénomène on/off

A

fluctuations soudaines et imprévisibles des symptômes

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22
Q

Parkinson: gestion du phénomène on/off

A

Lévodopa agit dans les 20 à 30 minutes après son ingestion

À libération lente après 60 minutes

Ne doit jamais être croqué

À long terme, elle est associée à l’apparition de fluctuations motrices

Phénomène d’épuisement thérapeutique en fin de dose

Avec la progression de la maladie, la réponse à l’effet thérapeutique s’affaiblit

Dyskinésie de pic de dose qui affecte diverses parties du corps

Surdose de médicament qui entraîne un surplus de mouvement

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23
Q

Parkinson: les médicaments

A

Lévodopa/carbidopa,
Lévodopa/carbidopa/entacapone
Ropinirole
Sélégiline
benztropine

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24
Q

Parkinson: interventions infirmières

A

Interventions infirmières :
1- Évaluation régulière de la fonction cognitive : demander à l’aîné de nommer le plus d’animaux possible en 1 min (test de la fluence verbale ;
2- En cas de dysarthrie, ne pas hésiter à faire répéter les propos de l’aîné avec le sourire et un ton chaleureux, ce qui encouragera l’aîné à continuer à exprimer ses besoins lui évitant ainsi l’isolement et le risque de dépression ;
3- Réaménager les aires de circulation afin d’éviter les risques de chutes : enlever les carpettes et tout élément non indispensable pouvant gêner l’aîné dans ses déplacements ;
4- Stimulation de l’appétit en offrant des menus qui seront au goût de l’aîné et adaptation de la nourriture pour contrer le problème de dysphagie et de la perte de poids (ne pas hésiter à couper en petits morceaux) ;
5- Discuter avec le pharmacien et le médecin de la possibilité de changer de médication dont les effets indésirables perturbent le sommeil de l’aîné.

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25
Q

Parkinson: problèmes infirmiers

A

1-Désorientation dans le temps et l’espace ou difficulté à exprimer sa pensée, signe d’une altération cognitive : l’aîné ne sait plus où il se trouve ou ne reconnaît plus son infirmière ;
2-Isolement et dépression liés à une dysarthrie : l’aîné qui reste en retrait car il n’arrive pas à se faire comprendre par les autres aînés ou le personnel soignant ;
3-Risque de chutes à la suite d’un épisode de freezing entrainant une peur de se mobiliser et par conséquent une ↓de l’autonomie fonctionnelle de l’aîné telle que se déplacer pour aller à la salle de bain;
4- ↓de l’appétit avec risque ↑de perte de poids dues à la dysphagie causée par la maladie de Parkinson ;
5-Fatigue liée au trouble du sommeil : l’aîné peut souffrir durant son sommeil de crampes dystociques souvent douloureuses, d’insomnie ou de cauchemars, ce qui peut grandement perturber son sommeil.

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26
Q

Glaucome: manifestations cliniques

A

Vision flou

Perception de halos autour des sources lumineuses

Difficulté à obtenir une vision nette

Difficulté à s’adapter à un faible éclairage

Perte de la vision périphérique (vision en tunnel)

Douleurs ou malaises autour des yeux

Maux de tête

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27
Q

Cataracte: manifestations cliniques

A

Vision floue

Perception anormale des couleurs et de l’environnement (comme à travers des lunettes sales)

Perçoit moins bien les contrastes

Plus sensible aux éblouissements

Acuité visuelle réduite

Changement dans le degré de myopie et d’astigmatisme

Diplopie (vision double) dans un œil

Baisse de la transmission de la lumière

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28
Q

Délirium: 3 signes essentiels

A

Altération du niveau de conscience

L’inattention

L’installation rapide et la fluctuation de ces
symptômes

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29
Q

Délirium: 3 signes non-essentiels

A

Désorientation TEP

Problèmes de mémoires

Désorganisation de la pensée (propos incohérents)

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30
Q

Délirium: facteurs prédisposants

A

Le cerveau subit des modifications en vieillissant

L’artériosclérose

La génétique

Réduction des neurotransmetteurs

Diminution des synapses

Déséquilibre des
neurotransmetteurs

Le vieillissement normal fragilise l’équilibre des neurotransmetteurs

Les maladie

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31
Q

Délirium: 2 facteurs précipitants

A

médicaments
immobilisation

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32
Q

Déliriums: les interventions

A

Appliquer des principes de communication qui favorisent la compréhension
*
Utiliser des phrases simples, des mots précis
*
Obtenir un contact visuel
*
Se placer à la hauteur de la personne
*
S’assurer de la qualité de l’audition et de la vision de l’aîné
*
Lunette, appareil auditif etc.
*
Assurer un suivi adéquat des pathologies
*
Surveiller le risque de déshydratation
*
Faire une surveillance de la qualité du sommeil

Assurer un gestion adéquate de la douleur
*
Assurer une surveillance des effets secondaires et indésirables de la médication
*
Faire preuve de jugement clinique dans l’usage des contentions physiques
*
Mettre en place un programme d’élimination vésicale adapté au lieu d’avoir recours au cathétérisme
(sonde urinaire augmente le risque de délirium)
*
Agir sur les facteurs environnement humain (stabilité du personnel, éviter le changement de chambre,
faire attention au bruit etc)

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33
Q

Manifestations cliniques de la déshydratation

A

étourdissements, céphalées, fatigue, perte d’appétit, crampes

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34
Q

Conséquences de la déshydratation

A

DÉLIRIUM

CHUTES ET FRACTURES

AFFECTIONS CARDIAQUES ET RÉNALES

INFECTIONS

CONSTIPATION

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35
Q

Dysphagie: manifestations cliniques

A

Lenteur générale à s’alimenter
La stagnation du bol alimentaires dans la bouche
Reflux nasal
Écoulement de la salive ou de nourriture à l’extérieur de la bouche
Mastication ou déglutition difficile ou répétée

Voix «mouillée»
Dysphonie (altération du son de la voix)

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36
Q

Qu’est-ce que la sclérose en plaques

A

Trouble chronique, dégénératif et évolutif du SNC, qui se caractérise par la démyélinisation disséminée des neurones du cerveau et de la moelle épinière.

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37
Q

Les manifestations cliniques de la sclérose en plaques

A

faiblesse, paralysie
engourdissement, fourmillement
ataxie (tr. de la coordination, faiblesse musc., équilibre)
dysarthrie
labilité émotionnel
dlr neuropathique chronique

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38
Q

Éléments pouvant déclencher ou accentuer la sclérose en plaque

A

Traumatismes émotionnels ou physiques
Fatigue
Infection
Vaccin
Accouchement
Stress
Changements climatiques

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39
Q

Effets secondaires de l’interféron

A

fatigue, anorexie, leucopénie, céphalée, nausée

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39
Q

Effets secondaires des immunosuppresseurs

A

Nausée, alopécie, aménorrhée, infection urinaire

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40
Q

Médication r/a sclérose en plaque

A

Corticostéroïdes (prednisone, solu-medrol)
*
Immunomodulateurs (interféron bêta et acétate de glatiramère)
*
Immunosuppresseurs (mitoxantrone, furamatede diméthyle, fingolimod)
*
Anticorps monoclonal (Natalizumab)
*
Cholinergiques (béthanéchol, néostigmine)
*
Anticholinergiques (propanthéline, oxybutynine)
*
Myorelaxant (diazépam, baclofène, dantrolène, tizanidine)
*
Inhibiteur de l’acétylcholinestérase (donépézil)
*
Stimulateur de la conduction nerveuse (dalfampridine)

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41
Q

6 repères

A

physiologiques
neurocognitifs
perceptifs
ordre mental
émotif
relationnel

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42
Q

Repère physiologique

A

SV, sommeil, apparence, posture, hygiène

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43
Q

Repère neurocognitif

A

attention, état de conscience, mémoire, agitation, SEP

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44
Q

SEP

A

Causé par antipsychotique
dystonie
akathisie
parkinsonisme
dyskinésie tardive

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45
Q

repère ordre mental

A

contenu, processus, forme de la pensée
autocritique
jugement
idée suicidaire (COQ

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46
Q

Processus de la crise suicidaire

A

Une tentative de suicide résulte d’une situation stressante;
*
La personne n’a pas pu trouver de stratégies et de soutien social nécessaires pour s’adapter;
*
Incapable de trouver d’autres solutions, elle prend la décision de passer à l’acte;
*
Si la personne ne trouve pas de solution le suicide peut devenir une solution envisageable pour elle;
*
Le processus de la crise suicidaire est décrit comme ayant des étapes progressives, mais une personne peut passer au travers rapidement, d’où l’importance d’être aux aguets comme professionnel de la santé.

47
Q

7 éléments à évaluer le niveau de dangerosité

A

Évaluer l’urgence suicidaire avec le COQ (comment, où, quand)
*
Investiguer les idées et tentatives antérieurs
*
Évaluer la condition mentale avec les 6 repères

Évaluer la consommation de drogues et d’alcool ou de médicaments
*
Évaluer le degré d’impulsivité
*
Évaluer son degré d’ambivalence à passer à l’acte (cela peut nous donner l’opportunité d’aider la personne à envisager un avenir meilleur)
*
Évaluer la qualité du réseau de la personne

48
Q

Interventions en cas de risque suicidaire

A

Établir un lien de confiance (si on estime un risque nous demandons directement à la personne en respectant son choix de ne pas répondre ou lui laisser du temps pour réfléchir)
*
Déterminer le degré d’urgence à partir de la grille d’évaluation du risque suicidaire de votre établissement
*
Évaluer et promouvoir les facteurs de protection
*
Faire de l’enseignement au client et à ses proches sur les signes précurseurs qui pourraient faire l’objet de discussion avec la personne
*
Changements de comportements et d’humeur
*
Présence de signes d’abus de substance

– Irritabilité, diminution de l’attention, trouble de l’élocution etc.
* Agitation psychomotrice
* Cicatrice

49
Q

5 classes de substances qui provoque une dépendance

A

Les dépresseurs du SNC (alcool, benzo, GHB, opioïdes)
Les stimulants du SNC (cocaïne, amphétamine)
Les perturbateurs du SNC (cannabis)
Les médicaments psychotropes (anxiolytique, somnifère)
Les stéroïdes (testostérone)

50
Q

Manifestations cliniques d’une intoxications à l’alcool à court terme

A

Désinhibition (comportements sexuels inappropriés, violence)
Tr. d’élocution et de coordination
Démarche chancelante
Nystagmus
Haleine éthylique
Tr. cognitifs (déficit d’attention, perte de mémoire)
État de stupeur
Coma possible

51
Q

Manifestations cliniques d’une intoxications à l’alcool à long terme

A

Lésions organiques au cerveau dues à une carence vitaminique (thiamine, B12)

Neuropathies périphériques : engourdissement bilatéral des membres, paresthésie

Système Gastro-intestinal: lésions hépatiques, hépatomégalie, fièvre, frissons, dlrs abdominales, ictère, cirrhose, ascite, encéphalopathie hépatique, ulcères duodénales, varices oesophagiennes, pancréatite, hypoglycémie

Système cardiovasculaire: HTA, triglycérides, arythmie, insuffisance cardiaque, cardiomyopathie

52
Q

Manifestations cliniques d’une intoxications aux benzo et aux opioïdes

A

Suite à une tolérance aux effets thérapeutiques et toxiques…
ainsi qu’au phénomène de la tolérance croisée avec autres dépresseurs du SNC …
Somnolence, fatigue, léthargie, faiblesse, altération du jugement, labilité de l’humeur, dépression, diminution de la vigilance
Tr. de l’attention concentration/mémoire
Désorientation, tr. psychomoteurs, tr. d’élocution
Perte d’équilibre, incoordination, céphalées
Vertiges, étourdissements, xérostomie, tachycardie, palpitation

53
Q

Délire alcoolique (délirium tremens)

A

Induite par un sevrage abrupt de l’alcool…
Apparait 24 à 48 hres après l’arrêt de consommation
Survient chez les grands buveurs
État psychotique aigu
Confusion et désorientation temps/espace
Hallucinations auditives/visuelles menaçantes
Agitation extrême
Tachycardie, diaphorèse, tachypnée, HTA
Urgence médicale: risque de mort !!!

54
Q

Sevrage alcoolique

A

Survient de 12 à 48/72 hres de l’arrêt de consommation et s’estompe 4 à 5 jours après
Hyperactivité du SNA: Tachycardie, diaphorèse
Tremblements des mains
Céphalées, insomnie, anxiété, nausées, vomissements
Désorientation X 3 sphères, convulsions,
Agitation psychomotrice, délire

55
Q

Sevrage aux benzo

A

Anxiété, irritabilité, agitation, insomnie
Cauchemars, tremblements, étourdissements
Hypersensibilité (lumière, sons, odeurs, goûts)
Hallucinations transitoires
Diaphorèse, crampes musculaires, anorexie
Nausée, vomissements
Légère HTA
Convulsions (rares)

56
Q

Sevrage aux opioides

A

État de manque (craving), irritabilité
Larmoiement, rhinorrhée, diaphorèse
Malaises GI, agitation
Baillements, sommeil agité, mouvements involontaires des MI
HTA, tachycardie, fluctuation de la Temp
Mydriase, anorexie, frissons, tremblements
Douleurs musculaires importantes
Insomnie, symptômes grippaux

57
Q

2 trouble cognitifs induits par une substance

A

Syndrome de Korsakoff
Syndrome de Wernicke

58
Q

Syndrome de Korsakoff

A

Trouble de la mémoire
Carence vitamine B1
Désorientation dans le temps/espace
Neuropathie périphérique grave (fourmillements, faiblesse musculaire, muscles douloureux, paresthésie, forte douleur lors des mouvements)

59
Q

Encéphalopathie de Wernicke

A

… causé par forte carence en vitamine B1 du à l’alimentation inadéquate
Ataxie
Ophtalmoplégie
Nystagmus (mvt rythmique des yeux)
Confusion

60
Q

Risque suicidaire: processus de crise

A

résulte d’une situation stressante
pt n’a pas trouver de soutien social ou de stratégie pour s’adapter
état progressif pouvant varier (rester aux aguets)

61
Q

Suicide: Évaluer le risque de dangerosité

A

COQ
investiguer les idées antérieurs
évaluer les 6 repères
évaluer les dépendances / consommation
le degré d’impulsivité
le degré d’ambivalence
la ql du réseau
présences de situation pouvant accentuer

62
Q

Suicide: interventions infirmières

A

établir un lien de confiance
déterminer le degré de dangerosité
promouvoir les facteurs de protection

63
Q

2 classes de médicaments pouvant être à l’origine du parkinson

A

antiémétique
antipsychotique

64
Q

Signe de parkinson au stade léger

A

tremblement unilatéral avec dystonie

65
Q

Conséquences de la malnutrition

A

perte de masse musculaire, ralentissement de la cicatrisation
chute, fx, plaie de lit

66
Q

Signes de dysphagie

A

lenteur, stagnation du bol, toux, voix mouillé

67
Q

Complications de la dysphagie

A

dénutrition, aspiration, pneumonie, asphyxie, étouffement

68
Q

Sclérose en plaques: les interventions

A
69
Q

Effets secondaires du Lévodopa

A

urine ambre
nausée
hypotension

70
Q

Effets secondaires du Sélégiline

A

hallucinations, pr. cardiaques

71
Q

Effets secondaires du Ropinirole

A

nausées
hypotension
hallucinations

72
Q

Trouble à symptomatologie somatique

A

Problème de santé qui fait en sorte que la personne ressent de la douleur et des symptômes physiques qui sont liés à des facteurs psychologiques.

73
Q

Trouble de conversion

A

état mental pathologique, dans lequel les manifestations cliniques, permanentes ou transitoires (paralysies, anesthésie, rétrécissement du champ visuel, crises convulsives ou de tétanie…), ne sont pas systématisées et ne correspondent à aucune lésion nerveuse organique.

74
Q

Crainte excessive d’avoir une maladie

A

anciennement appelé hypocondrie
peur irrationnelle ou idée d’avoir une maladie grave

75
Q

5 troubles apparentés

A

trouble factice (Munchausan)
trouble dissociatif
trouble dissociatif de la personnalité
amnésie dissociative
trouble de la dépersonnalisation/déréalisation

76
Q

Syndrome sérotoninergique

A

Activité motrice accrue, agitation, ataxie, augmentation de la TA, hyperthermie, hypomanie, myoclonie (contraction musculaire brusque, tachycardie, tachycardie et tachypnée, choc cardiogénique, convulsion, décès.

77
Q

Syndrome de retrait

A

24 à 72 heures après l’arrêt de la médication, peut persister une ou deux semaines et il est particulièrement susceptibles de se produire avec les ISRS à courte demi-vie.

Symptômes gastro-intestinaux

Une détresse générale (symptômes pseudo-grippaux, léthargie, sueurs)

Perturbation du sommeil

Symptômes émotionnelles (anxiété, irritabilité, crise de larme, agitation, confusion)

Des problèmes d’équilibres (sensations ébrieuses, étourdissements, vertiges, ataxie)

Des anomalies sensorielles (paresthésie, engourdissements, tremblements)

78
Q

Antipsychotiques: mécanisme d’action 1ere et 2-3 générations

A

Première génération: Bloque les récepteurs dopaminergiques D du cerveau, atténue les symptôme positifs

Deuxième et troisième génération: Bloque également les récepteurs sérotoninergique 5-HT ce qui réduit l’incidence des effets extrapyramidaux

79
Q

Antipsychotiques: les indications

A

Généralement utilisés pour le tx de la schizophrénie

Peuvent être aussi prescrit pour diminuer l’impulsivité chez les troubles de la personnalité

Contrôler des comportements inappropriés chez les TNCM, autiste etc.

Traitement de l’anxiété en petite dose (surtout les deuxième génération ex: séroquel)

80
Q

Antipsychotiques: les effets secondaires

A

Effets extrapyramidaux

Syndrome malin des neuroleptiques (diaphorèse, dystonie, hyperpyrexie, hypertension labile, sialorrhée, tachycardie)

Agranulocytose (diminution des globule blanc et des neutrophile)

Effets cardiovasculaire (arythmie, tachycardie, hypotension orthostatique et hypertension

Prise de poids

Effets anticholinergiques

Photosensibilité

Galactorrhée et gynécomastie

81
Q

Syndrome malin des neuroleptiques

A

Confusion, agitation ou coma.
Rigidité musculaire
Température élevée, souvent supérieure à 40 °C.
tachycardie
tachypnée
HTA labile

82
Q

3 inhibiteur du recaptage de la sérotonine et de la norépinephrine IRSN

A

Effexor (Venlafaxine)
Cymbalta (Duloxetine)
Pristiq (Desvenlafaxine)

83
Q

Antidépresseur atypique mécanisme d’action

A

Wellbutrin (Bupropion) a des effets inhibiteurs du recaptage de la noradrénaline et de la dopamine

84
Q

IMAO

A

IMAO
◦ Parnate, Nardil, Marplan
Attention interaction alimentaire

Toujours manger de la nourriture fraiche

Éviter aliment contenant de la tyramine

Vieux fromage, aliment fermenté, poisson séché, charcuterie, avocat trop mur, sauce soya, bière

Risque de crise hypertensive

85
Q

Antidépresseurs: les surveillances

A

◦Délai d’action entre 4 et 8 semaines
Grande vigilance en début de traitement

Enseignement sur la médication pour aider la personne à adhérer à son traitement

Dosage par palier jusqu’au dosage optimal

Nécessite une surveillance en début de traitement

86
Q

Clozaril: indication et surveillance

A

tx schizophrénie
agranulocytose

87
Q

Effets extrapyramidaux des antipsychotiques

A

dystonie (contr. msc dlr et prolongé)
akathisie
parkinsonisme (ralentissement, rigidité, trembl.)
dyskinésie tardive (contr. msc involontaire)

88
Q

Médicaments qui traitent les effets extrapyramidaux

A

Benztropine (cogentin) pour la dystonie et le parkinsonisme
procycline (kemadrin) pour parkinsonisme
Benadryl pour la dystonie
ativan pour akathisie

89
Q

Antipsychotiques: surveillances

A

Préalable au traitement Interventions infirmières > Mesurer le poids (mesure du périmètre abdominal souhaitable) > Mesurer la TA couchée – debout + les pulsations > Mesurer la glycémie + un bilan lipidique plasmatique à jeun selon une ordonnance individuelle ou la démarche clinique ou protocole en vigueur dans l’établissement

Pendant le tx: Évaluer l’observance thérapeutique* > Surveiller la somnolence et les chutes* > Vérifier les effets secondaires anticholinergiques* > Vérifier les effets extrapyramidaux (EEP)

90
Q

Trouble dépressif caractérisé

A

sur une période d’au moins 2 semaines

91
Q

trouble dépressif persistant (dysthimie)

A

pendant au moins 2 ans

92
Q

trouble bipolaire de type 1

A

présence d’au moins un épisode maniaque complet et dépisodes dépressifs

93
Q

trouble bipolaire de type 2

A

cycles récurrents d’épisodes dépressifs majeurs et de phase hypomaniaque

94
Q

Évaluation physique et mentale de la dépression

A

SADIFACES
Sommeil
Appétit
Dépression
Intérêt
Fatigue
Agitation
Concentration
Estime de soi
Suicide

95
Q

Trouble dépressif: interventions

A

évaluer risque suicidaire
assurer surv. requise
suggérer act. qui augmente l’estime
encourager à verbaliser
stimuler AVQ
routine sommeil / alimentation

96
Q

Trouble bipolaire: interventions

A

stimulus environnement
horaire structuré
enseigner signes de rechute
enseigner pharmacothérapie

97
Q

Pourquoi antihistaminiques

A

aide les sympt. extrapyramidaux

98
Q

pourquoi antidépresseurs tricycliques

A

douleurs chroniques

99
Q

Attention à quoi avec les antidep tricyclique

A

peuvent augmenter les symptômes paranoïdes

100
Q

3 antidépresseurs tricycliques

A

Elavil,

101
Q

Trouble de personnalité de groupe A

A

Bizarre
trouble de la personnalité paranoïaque
trouble de la personnalité schizoïde
trouble de la personnalité schizotypique
Ces troubles se caractérisent par un sentiment de paranoïa, de méfiance et de suspicion

102
Q

Trouble de personnalité de groupe B

A

Dramatique
Il s’agit de troubles de la personnalité associés à l’impulsivité, comme
trouble de la personnalité limite
trouble de la personnalité narcissique
trouble de la personnalité histrionique
trouble de la personnalité antisociale

103
Q

Trouble de personnalité de groupe C

A

Craintive
trouble de la personnalité obsessionnelle-compulsive
trouble de la personnalité dépendante
trouble de la personnalité évitante.
Ces troubles se caractérisent par les compulsions et l’anxiété.

104
Q

4 domaines d’évaluation des troubles de la personnalité

A

Cognition
Affectivité
Fonctionnement interpersonnel
Contrôle des impulsion
Déviation dans 2 / 4 pour dx

105
Q

Interventions tr. pers. groupe A

A

évaluer risque de suicide
assurer un env. physique et émotionnel sécuritaire
encourager à adopter des comp. adéquats pour résoudre sa crise

106
Q

Interventions tr. pers. groupe B

A

évaluer risque de danger
aviser clairement la présence de limites
surveiller si consommation au retour des sorties

107
Q

Interventions tr. pers. groupe C

A

Surveiller signes de dépression
Utiliser des mots simples et précis
Renforcement positif

108
Q

Schizophrénie: interventions

A

créer un lien de confiance
favoriser l’autonomie
prévenir les rechutes

109
Q

4 antipsychotique 1ere génération

A

Haldol
Loxapac
Fluenxal
Modecate

110
Q

IRSN

A

inhibiteur du recaptage de la sérotonine et de la norépinephrine

111
Q

5 Antipsychotique 2e et 3e génération

A

Abilify
Zyprexa
Seroquel
Risperdal
Geodon

112
Q

4 A de Bleuler

A

Autiste
Ambivalence
Affect
Associations

113
Q

Différences entre antipsychotiques 1 et 2-3 générations

A

Première génération
Augmente le risque d’apparition des effets extrapyramidaux

Deuxième génération
Moins d’effets extrapyramidaux mais peuvent toujours être présents
Présence d’effets anticholinergique comme la constipation,
sécheresse de la bouche, rétention urinaire etc.
Risque d’agranulocytose ( principalement le clozaril)

Troisième génération

Ressemble aux deuxième génération

114
Q

Test pour gynécomastie et galactorrhée

A

taux de prolactine dans le sang