EXAMEN DE FIN SESSION Flashcards
La définition de la vulvodynie?
Terme général désignant une douleur vulvaire chronique ou périodique et inexpliquée, avec des symptômes de brûlure, de démangeaisons, etc.
Quels sont les sous-catégories de vulvodynie?
- Vuvlodynie généralisée ;
- Vestibulodynie provoquée ;
- Dyspareunie profonde.
Comment peut-on décrire la vulvodynie?
- Spontanée, provoquée ou mixte
- Diffusée ou localiser ;
- De tout temps ou acquise ;
- Généralisée ou situationnelle ;
- Chronique.
Qu’est-ce qu’une vuvlodynie chronique ?
La douleur perdure depuis plusieurs mois, voire plusieurs années, de façon régulière, mais cyclique (hauts et bas).
Qu’est-ce que la vulvodynie provoquée?
Sensations de brulûre à l’entrée du vagin quand une pression (pénétration, examen gynécologique, …) est appliquée.
VRAI OU FAUX. Le diagnostic de vulvodynie provoquée est courant et normalisée.
FAUX.
Quels sont les propos/discours/questionnement souvent entendus chez les personnes ayant une vulvodynie provoquée?
’’ Vais-je un jour apprécier la sexualité ? ‘’
‘’ Il y a quelque chose qui cloche physiquement, psychologiquement, sexuellement chex moi ? ‘’
‘’ J’aime toujours mon.ma.mes partenaires ? ‘’
‘’ La douleur est dans ma tête ? ‘’
‘’ Suis-je toujours une femme si je n’ai pas de vie sexuelle ? ‘’
‘’ Ma relation peut survivre à cette douleur ? ‘’
‘’ Est ce que je pourrai avoir des enfants ? ‘’
Qu’est-ce que l’anodyspareunie? Chez quel population la prévalence est plus élevée?
Douleurs sévères et récurrentes pendant la pénétration anale (reçue), chez les HARASAH.
Qu’est-ce que serait le diangostic d’anodyspareunie?
Dysfonction sexuelle autre ou non spécifiée.
Pour la douleur sexuelle, qu’est-ce qui est observé chez la femme, qui revient chez l’homme?
Patrons de sensibilité, fonction des muscles pelviens, activation ou structure neuronale.
Quels sont les critères diagnostiques du DSM-5 pour le trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration?
A. Difficultés persistentes ou récurrentes avec UN OU PLUSIEURS des critères suivants :
1. Pénétration vaginale pendant la relation sexuelle ;
2. Douleur vulvo-vaginale ou pelvienne marquée pendant la RS ou lors de tentative de pénétration ;
3. Peur ou anxiété marquée d’une douleur vulvo-vaginale ou pelvienne par anticipation, pendant ou résultant de la pénétration vaginale ;
4. Tension ou crispation marquée de la musculature du plancher pelvien au cours des tentatives de pénétration vaginale.
B. Ces symptômes persistent depuis au moins 6 mois ;
C. Ces symptômes sont à l’origine d’une souffrance cliniquement significative ;
D. Pas mieux expliquée par un trouble de santé mentale non sexuel, n’est pas due aux effets associés à une substances ou une affection médicale
Qu’est-ce qui est important à aller interroger, au niveau BIOLOGIQUE, en évaluation concernant le trouble de douleur génito-pelvienne ?
- Histoire médicale et examen gynécologique ;
- Caractéristiques de la douleur (1ère apparition, durée, endroit, sensation, intensité, etc)
- Facteurs qui diminuent ou empirent la douleur ;
- Douleur durant les activités non-sexuelles.
Dans quel but on procède à l’évaluation gynécologique en présence de trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration?
Trouver la source de douleur ou une autre cause qui explique la douleur.
Qu’est-ce que le test de sensibilité vulvaire?
À l’aide d’un coton tige, pression sur différentes aires de la vulve et du vestibule + culture vaginale pour éliminer de possibles infections.
Quoi faire pour diminuer l’anxiété chez une personne qui va passer un test de sensibilité vulvaire?
- Préparée la personne face au RDV ;
- Participation active de la personne, affirmation de soi ;
- Stratégies de gestion du stress.
Qu’est-ce qui est important à aller interroger en évaluation, au niveau COGNITIF, lors de la suspicion d’un trouble de douleur génito-pelvienne ?
- Distorsions cognitives (catastrophisation, hypervigileance) ;
- Sentiment d’auto efficacité face à la douleur
Qu’est-ce qui est important à aller interroger en évaluation, au niveau AFFECTIF, lors de la suspicion d’un trouble de douleur génito-pelvienne ?
- Peur de la douleur ;
- Anxiété, dépression
Qu’est-ce qui est important à aller interroger en évaluation, au niveau RELATIONNEL, lors de la suspicion d’un trouble de douleur génito-pelvienne ?
- Réponse du.de.des partenaire.s ;
- Dévoilement et communication par rapport à la douleur ;
- Difficultés dans les sphères non sexuelles.
Qu’est-ce qui est important à aller interroger en évaluation, au niveau SEXUEL, lors de la suspicion d’un trouble de douleur génito-pelvienne ?
- Histoire sexuelle avec et sans partenaire ;
- Interférence de la douleur avec les activités sexuelles ;
- Impact de la réponse sexuelle, la fréquence des activités sexuelles et la satisfaction sexuelles.
Quels sont les conséquences au plan PSYCHOLOGIQUE, chez les FEMMES en présence de trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
+ anxiété et de dépression,
Honte, culpabilité et isolement
Quels sont les conséquences au plan PSYCHOLOGIQUES, chez les HOMMES en présence de trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
+ de détresse psychologique
Quels sont les conséquences au plan RELATIONELLE, chez les FEMMES en présence de trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
- Satisfactions relationnelle plus faible ;
- Sentiment d’être inadéquate, inutile ;
- Peur de perdre la relation.
Quels sont les conséquences au plan SEXUEL, chez les FEMMES en présence de trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
- Moins de relations sexuelles, de désir, d’orgasmes et de satisfactions.
Quels sont les conséquences au plan RELATIONNELLE, chez les HOMMES en présence de trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
- Impact négatif sur la relation (idéal relationnel non atteint).
Quels sont les conséquences au plan SEXUEL, chez les HOMMES en présence de trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
- Moins de satisfactions sexuelles ;
- Plus de dysfonction érectiles.
VRAI OU FAUX. Si l’anxiété et la dépression de la femme est diminué, la fonction sexuelle est adéquate.
VRAI.
VRAI OU FAUX. En présence de trouble/difficulté lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration, le partenaire doit être impliqué pour la thérapie.
VRAI.
Quels sont les trois types de réponses possibles chez le partenaire d’une personne avec un trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ? Les expliquers.
- Réponse facilitatrice (encourager des comportements permettant de s’adapter à la douleur) ;
- Réponse de sollicitude (démontrer de la sympathie) ;
- Réponse négative (colère).
Quelle réponse du partenaire est la plus adéquate chez une personne atteinte du trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ? Pourquoi?
Réponse facilitatrice. Elle est plus positive, n’encourage pas l’évitement.
VRAI OU FAUX. La douleur génico-pelvienne ou à la pénétration ne nécessite pas un traitement avec une approche multidimensionnelle.
FAUX.
Quel genre de traitements MÉDICAUX pourraient avoir une personne avec un trouble/difficulté lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
- Antifonfiques ;
- Gels anesthésiants ;
- Corticostéroïdes ;
- Hormonothérapie ;
- Injections d’interférons
- Antidépresseurs tricycliques ;
- Vestibulectomie.
Qu’est-ce qu’une vestibulectomie? Pourquoi le faire ?
Ablatation chirurgicale des muqueuses du vestibule pour enlever les récepteurs douloureux.
Quels sont les deux interventions recommandés pour intervenir auprès d’une personne avec un trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
- Interventions psychologiques ;
- Interventions de physiothérapie pelvienne.
Pourquoi faire des traitements de physiothérapie pelvienne avec un trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
Diminuer la tension musculaire et désensibilisation des capteurs de douleurs.
Énumérer les sortes de physiothérapie pelvienne.
- Massages intravaginaux et des muscles du plancher pelvien ;
- Étirements à l’aide de dilatateurs ;
- Biofeedback avec une sonde vaginale ;
- Stimulations électriques ;
- Exercices des muscles du plancher pelvien (Kegels).
Comment peut-on agir en intervention, au niveau SEXOLOGIQUE, pour le trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
- Reconceptualiser la douleur comme étant un problème multidimensionnel ;
- Favoriser les stratégies adaptatives de résolutions de problèmes ;
- Augmenter la qualité du fonctionnement sexuel en général ;
- Consolider les habiletés ;
- Éducation au sujet de la sexualité et la communication.
Comment peut-on agir, au niveau COMPORTEMENTALE, pour le trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
- Auto-exploration ;
- Respiration ;
- PA ;
- Désensibilisation systémique ;
- Journal de bord sur la douleur ;
- Élargire son répertoire sexuel ;
- Affirmation de soi ;
- Communication.
Comment peut-on agir en intervention, au niveau COGNITIF, pour le trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
- Éducation sur la vision multidimensionnel/multifactoriel de la douleur ;
- Éducation sur le problème spécifique ;
- Restructuration cognitive ;
- Affirmation de cooping ;
- Focaliser sur les sensations agréables.
Comment utilisé l’approche multimodale par rapport au trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
- Démontrer que la douleur est réelle ;
- Démontrer que nous avons des connaissances sur le sujet ;
- Démontrer nos compétences pour réduire cette douleur ;
- Donner espoir ;
- Informer sur le rôle des autres professionnel.les ;
- Ne pas juger, ne pas blâmer.
Quels pourraient être les obstacles potentiels en intervention avec une personne avec trouble lié à des douleurs génito-pelvienne ou à la pénétration ?
- Ambivalence, honte trop élevée ;
- Détresse conjugale et violence élevée ;
- Agendas cachés (secrets, séparation).
Qu’est-ce qu’un orgasme?
Chez la femme, ce sont des contractions rythmiques de l’utérus et des muscles du plancher pelvien, rétraction du clitoris sous le capuchon et évasement des 2/3 internes du vagin. Le système sympathique s’active (PA, FC et respiration augmentée) + plaisir sensorielle.
Nommez quelques mythes sur la représentation de l’orgasme dans notre culture, et quels conclusions peut-il susciter?
- L’orgasme masculin est facile à atteindre et va de soi, tandis que l’orgasme féminin est difficile à atteindre et dépend des prouesses de l’autre ;
- L’orgasme masculin est un besoin naturel (finalité de l’acte), tandis que l’orgasme féminin est un bonus qui n’est pas essentiel ;
- Le plaisir sexuel masculin est normalisé , tandis que le plaisir sexuel féminin est stigmatisée ;
- L’orgasme masculin éclipse l’orgasme féminin ;
- L’orgasme simultanée est idéal ;
- La femme a besoin de se sentir aimée pour avoir un orgasme, l’acte sexuel servirait pour un besoin d’amour et non d’un besoin sexuel.
Ceux-ci peut véhiculée la croyance que les femmes sont compliqués et que si la femme n’a pas d’orgasme, c’est la faute du partenaire.
Qu’est-ce que l’orgasme selon Freud?
L’orgasme vaginal serait plus mature (vraie femme) que l’orgasme clitoridien.
Qu’est-ce que l’orgasme selon Masters & Johnson ?
Pas de différence entre les orgasmes vaginaux et clitoridien.
Nommée les 4 types d’orgasmes chez la femme et les décrire.
- Orgasme cervical : Stimulation profonde du col de l’utérus (point C) ;
- Orgasme anal : Stimulation/pénétration de l’anus ;
- Orgasme par stimulation des seins ou des mamelons : orgasme en soi OU contributif ;
- Orgasme mentale : orgasme en soi OU contributif (imagerie mental, fantasme, rêves érotiques).
Quel est le bon terme pour parler du ‘’ Point G ‘’ ? Pourquoi cet nouvel appellation ?
Complexe clitorido-urétro-vaginal. Le “ point G ‘’ n’est pas vraiment un point précis, mais plutôt la réunion de plusieurs paroi (clitoris, urètre, vagin), qui lorsque l’excitation est au maximal, la vasocongestion rapproche ces 3 parois.
Qu’est-ce que l’éjaculation féminine? De quoi est-elle composée ? D’où sort-elle ?
Expulsion d’une quantité significative de fluide (pas d’urée) par les glandes para et péri urétrales.
Quel est la différence entre le squirt et l’éjaculation féminine?
Le squirt proviendrais de la vessie et l’éjaculation féminine proviendrais des vestige de la prostate, soit les glandes péri et para urétrales.
Qu’est-ce que l’orgasme multiple ?
Capacité à avoir plus d’orgasme dans un court laps de temps.
Est-ce que l’orgasme multiple est présent chez l’homme? Qu’est-ce qui l’influence ?
Non. Il existe la période réfractaire, qui parfois peut laisser croire qu’elle est inexistante, car elle est très courte. Cette période s’allonge en temps selon l’âge.
Quels sont les critères diagnostiques, selon le DSM-5, du trouble de l’orgasme chez la femme ?
A. L’un (ou les deux) critères suivants sont éprouvés lors d’au moins 75% des activités sexuelles :
1. Retard marqué pour parvenir à l’obtention de l’orgasme ou diminution marquée de la fréquence ou absence d’orgasme ;
2. Diminution marquée dans l’intensité des sensations orgasmiques.
B. Ces symptômes persistent depuis 6 mois.
C. Ces symptômes sont à l’origine d’une détresse cliniquement significative.
D. Pas mieux expliquée par un trouble de santé mentale non sexuelle, les effets associés à une substances ou une affection médicale.
Quels sont les spécificités possible dans le diagnostique du trouble de l’orgasme chez la femme ?
- De tout temps / acquis ;
- Généralisée / situationnel ;
- Détresse faible, modérée, sévère.
Pourquoi certaines femmes ont recours à la simulation d’orgasme?
- Plaisir au partenaire ;
- Valoriser la performance de l’autre ;
- Atteindre l’idéal de l’orgasme simultanée.
Quels sont les facteurs étiologiques biogène du trouble de l’orgasme chez la femme?
- Maladies chroniques ;
- Post-Partum ;
- Mutilations génitales ;
- Prise d’antidéprésseur.
Est-ce qu’il y une augmentation des troubles/difficultés de l’orgasmes chez les personnes ayant recours au traitement affirmatif du genre? Pourquoi?
Non. La capacité orgasmique des personnes trans est maintenue, mais il y a des particularités individuelles importantes.
Quels sont les traitements PHARMACOLOGIQUES possible chez une personne ayant un trouble de l’orgasme?
- Testostérone ;
- Crème à base de Tadalafil ;
- Thérapie d’oestrogène pour les personnes ménopausées.
Quel est le rôle de la crème à base de Tadalafil ?
Améliore le flux sanguin clitoridien de manière significative.
Quel est le traitement CHIRUGICAL possible chez une personne ayant un trouble de l’orgasme?
- Chirurgies plastiques génitales (vaginoplastie, labiaplastie, hymnéoplastie, périnéoplastie, augmentation du point G).
Pourquoi une personne avec un trouble de l’orgasme aurait recours à un traitement chirurgical ? Quels sont les effets positifs et négatifs?
À cause d’une image de soi altérée, une perte de confiance en soi, les chirurgies plastiques génitales donneraient un accès plus facile au clitoris, et donc augmenterait les orgasmes.
Positif : améliore le plaisir génitale, augmente les orgasmes, améliore l’image corporelle et la confiance en soi.
Négatif : complications chirurgicales (hématomes, inconfort, blessures à la vessie, cicatrices, douleurs, infections)
Quels sont les traitements NON-PHARMACOLOGIQUES possible chez une personne ayant un trouble de l’orgasme ? Leurs objectifs?
- Physiothérapie (renforcer le plancher pelvien pour augmenter l’intensité des contractions musculaires) ;
- Psychothérapie (éducation, PA, thérapie de couple, TCC) ;
- Méthodes comportementales (sensate focus, masturbation dirigée) ;
- Autres (hypnoses, méditation, réduction de l’anxiété).
Avec une personne ayant un trouble de l’orgasme, quels seront les interventions SEXOLOGIQUES et leurs objectifs ?
Interventions :
- Explorer diverses approches d’auto-stimulation ;
- Pratique de l’imagerie mentale positive ;
- Redéfinir le plaisir sexuel ;
- Percevoir l’orgasme comme étant une possibilité et non une finalité ;
- Réduire l’anxiété de performance ;
- Renforcir les expériences sexuelles positives ;
- Planifier un moment pour le plaisir
- Prioriser l’exploration des pratiques sexuelles.
Objectifs :
- Lâcher prise ;
- Restructurer les pensées négatives ;
- Éducation sexuelle ;
- Diminuer la rigidité.
Quel est le but de la masturbation dirigée ?
Améliorer la conscience du corps et des sensations, explorer les zones érogènes à l’aide du toucher, seul.e et avec partenaire.
Expliquer les 9 à 12 étapes de la mastrubation dirigée.
- Engagement ;
- La connaissance / Exploration sexuelle ;
- Explorer ses organes génitaux par le toucher ;
- La découverte du plaisir par le toucher ;
- La concentration sur son plaisir par le toucher ;
- Se rapprocher du but : l’orgasme (30 à 45 min max) ;
- L’utilisation du vibrateur ;
AVEC PARTENAIRE.S
8. Partager ses découvertes avec son.sa.ses partenaire.s et lui montrer ;
9. Partenaire.s lui donne du plaisir (impliquer l’autre) ;
10. Inclure le coït avec les connaissances acquises ;
11. La valorisation ;
12. Que faire mainteant ?
De quel approche s’inspire la masturbation dirigée ?
Sensate focus de Masters et Johnson.
Pourquoi inclure la PA dans le trouble de l’orgasme ?
Permet de se détacher d’un objectif de performance (orgasme) et se centrer sur l’expérience positive du moment sexuel.
Est-ce que le trouble de l’orgasme primaire (de tout temps) est plus complexe à traiter que le trouble de l’orgasme secondaire (acquis) ?
Non. Le trouble de l’orgasme secondaire (acquis) est plus complexe.
Qu’arriverait t’il si il n’avait pas de consensus quant aux critères diagnostiques?
Ce serait difficile de faire un portrait de la prévalence des troubles et donc de connaître ce qui est fréquent. Cela nuirait au développement des services.
Combien de temps s’agit t’il d’une ‘‘courte latence’’ dans le trouble de l’orgasme chez l’homme ?
moins de 1 min.
Existe-t-il une différence concernant l’éjaculation précoce entre les HARSAH et les hommes hétérosexuels?
Oui. La lentence d’éjaculation semble plus longue chez les HARSAH que les hommes hétérosexuelles.
Quels sont les hypothèses qui expliqueraient la différence de période de latence entre les HARSAH et les hommes hétérosexuels?
La période de latence pourrait être influencée par le type de relation sexuelle ou le type de stimulation.
Quels sont les critères diagnostiques de l’éjaculation précoce selon le DSM-5 ?
(A) Trouble de l’éjaculation persistant ou répété survenant pendant le rapport sexuel avec une(un) partenaire, approximativement dans la minute suivant la pénétration vaginale, et avant que la personne souhaite éjaculer.
(B) Ces symptômes persistent depuis au moins 6 mois.
(C) Ces symptômes sont à l’origine d’une détresse cliniquement significative.
(D) Pas mieux expliquée par un trouble de santé mentale non sexuelle, les effets associés à une substance ou une affection médicale.
Quels sont les spécificités possibles en quant de diagnostique d’éjaculation précoce?
- De tout temps / acquise ;
- Généralisée / Situationnel ;
- Niveau de détresse faible, modérée ou sévère.
Spécifiquement au trouble d’éjaculation précoce, que veux-t’on dire par le spécificateur “généralisée / situationnel” ?
Pas spécifique à un type de situation
Pas spécifique a un type de partenaire
OU
Survient seulement avec un type de partenaire ou situation.
Pourquoi existe-t’il un écart considérable entre la prévalence du trouble d’éjaculation quand il est auto-rapportée et quand il est diagnostiquer?
Les critères DSM-5 sont très limitatifs, rigoureux et stricte qui ne représente pas vraiment la réalité et la notion du temps peux être difficile à juger dans l’action.
Quels sont les facteurs les plus communs de l’étiologie biogène du trouble d’éjaculation précoce?
- Hyperthyroïdie ;
- Débalancement de sérotonine ou d’ocytocine ;
- Prostatite ;
- Hypersensibilité du pénis ;
- Prédisposition génétique.
Qu’est-ce que le réflexe bulbocaverneux?
S’opère avec un pincement du gland qui occasionne des contractions anales.