Examen 2 Flashcards
De quel intervention est-il question lorsque je dit, mettre en présence deux versions ou deux perceptions d’un même fait, dans le but de les comparer et de retenir la plus valide.
Confrontation
La confrontation met d’habitude l’aidé en _________, parce qu’elle provient d’un aidant qui possède plus d’expérience et plus de distance critique par rapport à son problème,
déséquilibre
Donner la définition d’une confrontation.
Intervention qui amène l’aidé à remettre en question ses façons de voir ou de faire, en le mettant en déséquilibre d’une manière délicate et respectueuse.
Nommer les 3 éléments d’une confrontation.
- La nécessité de l’empathie
- La réappropriation de son pouvoir par l’aidé.
- L’art de surprendre
Il convient de recourir à la confrontation à un moment où l’on éprouve de l’_______ pour l’aidé. Si l’on se sent rebuté par ses attitudes ou ses comportements, on doit s’abstenir de le confronter, car cette intervention risquera d’être perçue comme un blâme.
empathie
Nommer 4 circonstances où il y a lieu d’utiliser une confrontation avec l’aidé.
- Des prises de consciences à favoriser.
- Des croyances discutables à débusquer.
- Des liens à faire ou des contradictions à dépasser.
- Des résistances à vaincre.
Il faut aussi varier nos interventions en faisant normalement prédominer les silences, les reflets et les focalisations, car l’usage de la ________ risque de bousculer inutilement l’aidé.
confrontation
(VRAI OU FAUX)
Lors d’une confrontation, il est préférable d’exercer une pression constante et non pas de faire des confrontations de manière ponctuelle.
FAUX, les deux façons de faire sont pertinentes selon la situation
Dans quel type de situation il est avantageux d’utiliser une confrontation en faisant une pression constante?
Pour que l’aidé se laisse atteindre par son émotion, par son problème ou par tout autre élément auquel il résiste.
Nommer les écueils de la confrontation.
- Le blâme et l’apparence de blâme.
2. Le rejet de la confrontation par l’aidé
(VRAI OU FAUX)
Pour éviter le blâme, la confrontation doit être fait sur plusieurs éléments en même temps ou sur un élément de la personnalité de l’aidé et non pas sur quelque chose de manière précise.
FAUX
Quels sont les 3 choix qui s’offrent à l’aidant lorsque l’aidé rejette la confrontation?
- Admettre son erreur
- Utiliser d’autres outils
- Relâcher temporairement la pression.
L’interprétation est une intervention qu’on favorise surtout à quel étape de la relation d’aide?
La compréhension
(VRAI OU FAUX)
L’interprétation demeure toujours une hypothèse, que nous pouvons raffiner à mesure que l’entretien se déroule.
VRAI
Donner la définition de l’interprétation.
Intervention par laquelle l’aidant propose une signification possible d’un sentiment, d’une motivation ou d’un comportement de l’aidé, dans le but d’aider celui-ci à comprendre son problème.
Nommer les 4 sources d’une interprétation.
- L’interprétation à partir d’une intuition.
- L’interprétation à l’aidé d’un recadrage.
- L’interprétation à l’aide de connaissances en psychologie.
- L’interprétation à partir d’une implication
Comme la confrontation, l’interprétation par recadrage invite l’aidé à porter un regard nouveau sur un élément de son vécu qu’il a du mal à comprendre. À la différence de la confrontation, toutefois, le recadrage ne vise pas nécessairement à mettre l’aidé en déséquilibre, il peut même avoir un effet de __________.
soulagement
En règle générale, pour diminuer les risques d’erreur, pour garder l’aidé actif et pour prévenir des résistances de sa part, il est préférable de ________ plutôt que de proposer des interprétations.
focaliser
L’interprétation, quant à elle, vise à permettre à l’aidé de comprendre un élément de son vécu. Dans notre tête d’aidant, toutefois, il arrive que l’interprétation de cet élément et la ________ __ __________ soient très proches
Formulation du problème
(VRAI OU FAUX)
L’aidé sera souvent soulagé par une bonne interprétation, comme s’il se comprenait enfin. il se sentira alors encouragé et stimulé à poursuivre son exploration.
VRAI
Nommer l’objectif du soutien.
Offrir un soutien direct a souvent pour effet de réduire une anxiété paralysante et de permettre à l’aidé de se laisser aller à sa vulnérabilité, de prendre le temps nécessaire pour exprimer ses sentiments et mettre de l’ordre dans ceux-ci, ainsi que pour examiner des solutions de rechange avant de passer à l’action.
Donner la définition du soutien.
Type d’intervention (brèves paroles ou gestes) qui vise à permettre à l’aidé de retrouver son équilibre dans des moments plus difficiles et à entretenir son espoir.
(VRAI OU FAUX)
Près d’un aidé sur deux ne poursuit ne poursuit pas sa thérapie, et une majorité de ceux ci qui décrochent le font après la première entrevue.
VRAI
Donner la définition de l’alliance thérapeutique.
Lien de confiance mutuelle qu’il revient à l’aidant de susciter et d’accroître par son accueil, son empathie et son écoute et auquel l’aidé collabore par son implication.
(VRAI OU FAUX)
La crédibilité de l’aidant est mise à l’épreuve dès les premières minutes de l’entretien.
VRAI
Une fois le test du premier contact passé, la crédibilité de l’aidant va reposer sur ses _____________.
interventions
Nommer 3 obstacles à l’alliance.
- L’aidé pas motivé
- L’aidé qui ne s’implique pas.
- L’aidé qui à des choses à reprocher à l’aidant ( arriver en retard, interventions malhabiles, difficulté à rester éveillé)
(VRAI OU FAUX)
Quand le bris d’alliance provient de l’aidant, des excuses brèves et sincères ne sont pas suffisantes pour rétablir l’alliance.
FAUX
Nommer 3 interventions pour procurer du soutien à l’aidé.
- Valider les ressources de l’aidé: “tu es capables d’exprimer tes émotions.”
- Laisser entrevoir des résultats positifs.
- L’aider à décomposer ses objectifs finaux en objectifs intermédiaires.
Nommer deux interventions qui peuvent démontrer un soutien implicite.
- La question
2. Le reflet-reformulation
Dans quel type de situation il est adapté d’utiliser un soutien de type systématique.
Où l’aidé prises avec une difficulté chronique, comme une dépendance ou un trouble de l’humeur
Nommer trois types de soutien qui deviennent problématique.
- Le soutien “court-circuit”
- Le soutien “Solution temporaire”
- Le soutien “scénario optimiste”
Donner la définition de l’implication
Réaction de l’aidant qui survient au moment où il répond de façon verbale à ce qui se passe durant l’entretien, ou fait référence à son vécu, dans le but de stimuler l’aidé dans son exploration ou de lui apporter du soutien.
(VRAI OU FAUX)
La façon de se vêtir de l’aidant, sa coiffure ou qu’il porte un signe religieux quelconque n’est pas une façon de se révéler.
FAUX