Examen 2 Flashcards

1
Q

quelles sont les différentes théories pour aider le psychologue scolaire qui agit comme consultant ?

A
  • théorie de la dissonance cognitive
  • théorie de la réactance
  • théorie des attributions
  • théorie de l’apprentissage social (modeling)
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Q

qu’est-ce que la théorie de la dissonance cognitive ?

A

Impression de tension ressentie lors de la prise de conscience de deux cognitions incompatibles : quand valeurs et comportement ne concordent pas

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3
Q

quels sont les facteurs qui augmentent la dissonance dans la version révisée de la dissonance cognitive ?

A
  • l’incohérence doit produire des conséquences négatives non désirées
  • sentiment de responsabilité personnelle pour les conséquences
  • excitation physiologique élevée
  • attribution de l’excitation physiologique au comportement incohérent
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4
Q

quels sont les facteurs de la dissonance ?

A
  • choix
  • justification
  • effort
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5
Q

que comprend le sentiment de responsabilité personnelle de la première version de la théorie de la dissonance cognitive ?

A
  • libre choix

- conséquences devaient être prévisibles lors du comportement

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6
Q

qu’est-ce que la théorie de la réactance ?

A

désir puissant de maintenir sa liberté d’action. Lorsque cette liberté est menacée, les gens vont tenter de maintenir ou de restaurer leur liberté. Donc refus de poser les gestes attendus, voire même adopter des comportements inverses à ceux espérés.

  • la résistance est une manifestation de la réactance
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7
Q

quelle est la solution à la théorie de la réactance ?

A

injonction paradoxale ou relation de collaboration (demander le comportement inverse de celui désiré)

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8
Q

quelles sont les dimensions de la théorie des attributions ?

A
  • Interne (vient de nous) / externe (la température)
  • Stable/instable (repos, état mental)
  • Global (moi en entier) / spécifique (un aspect de la personne) ou contrôlable (je peux faire quelque chose pour changer, améliorer) /incontrôlable (longueur de mes jambes)
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9
Q

quelle est l’erreur fondamentale de la théorie des attributions ?

A

expliquer avec une attribution à la personnalité (stable)

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10
Q

quels sont les types de pouvoir ?

A
  • Pouvoir de l’information : journaliste, médias. Dans la hiérarchie : personnes supérieures ont plus d’information, moins menaçant, mais se sent supérieur quand on l’a
  • Pourvoir légitime : armé, gouvernements (peut être retiré à tout moment) – enfant (loi sur la protection de la jeunesse), à certains endroits comme aux É-U les personnes âgées
  • Pouvoir de récompense/coercition : enseignant, parent, policier (moins accepté par ceux qui ne l’ont pas, qui en sont victime, peut facilement en abuser)
  • Pouvoir d’expert : psychologue scolaire a une expertise
  • Pouvoir de référence : cible d’identification, un référent, on suscite de l’admiration, idéalisation ex. psycho pas de prob.
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11
Q

quels sont les types de pouvoirs qui sont inversement reliés ?

A

quand pouvoir d’expert augmente, celui de référence diminue (ne crée pas le même type d’identification à moi) – le meilleur modèle est d’être les deux, bon équilibre

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12
Q

quels sont les éléments essentiels à un communication persuasive ?

A
  • la crédibilité

- la non intentionnalité

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13
Q

dans la théorie de l’apprentissage social, les modèles transmettent des informations sur quoi ?

A
  • Les comportements les plus adéquats
  • Les comportements susceptibles d’apporter des récompenses
  • Les conséquences de certaines actions
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14
Q

que sait-on des tendances à imiter un modèle ?

A

La tendance à imiter augmenterait après une expérience personnelle d’échec tandis que l’imitation peut diminuer après une expérience personnelle de succès.

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15
Q

comment l’observation d’un modèle peut augmenter le sentiment d’efficacité personnelle ?

A

en montrant de nouvelles façons d’agir

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16
Q

qu’est-ce que l’effet Pygmalion et à quel concept s’apparente-t-il ?

A

Le fait de créer chez les autres ce que l’on attend d’eux, il peut nous arriver parfois d’être biaisés par nos attentes à propos de quelque chose, de quelqu’un

– prophétie auto accomplissant

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17
Q

les attentes chez les enseignants influencent quels aspects ?

A
  1. Atmosphère : ils sont plus chaleureux dans leurs interactions avec les élèves plus brillants
  2. Input : ils ont tendance à présenter aux brillants du matériel plus nouveau et plus challengeant
  3. Output : tendance à interagir plus avec les brillants
  4. Feedback : les brillants sont louangés, les moins brillants sont critiqués
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18
Q

à quel aspect les attentes des enseignants influencent-t-ils : ils ont tendance à présenter aux brillants du matériel plus nouveau et plus challengeant

A

input

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19
Q

à quel aspect les attentes des enseignants influencent-t-ils : tendance à interagir plus avec les brillants

A

output

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20
Q

dans les problèmes à l’école, qu’est-ce que la perception de contrôle ?

A

Réfère aux attentes d’avoir la capacité de participer aux prises de décision dans le but d’obtenir une conséquence désirable ou d’éviter une conséquence indésirable

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21
Q

Qu’est-ce que la résignation acquise ?

A

Quand exposition à une non-contingence entre le comportement et ses résultats, ils en viennent à apprendre que les réponses n’influenceront pas les résultats futurs – peu importe ce que je fais, ça ne change rien

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22
Q

quels sont les types de déficits dans la résignation acquise ?

A
  • Motivationnel : passivité, peu de persistance, peu d’intérêt
  • Cognitif : diminution de l’apprentissage dans une nouvelle tâche
  • Émotif : dépression, frustration, bouleversement, génère des émotions négatives
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23
Q

quels sont les résultats de l’étude de De Charms (1972) : Personal Causation
Théorie qui utilisait le groupe origine (maitre de leur sort) vs pion (subir son environnement) ?

A
  • Fin de l’année : groupe expérimental > témoin sur sentiment de contrôle et sur notes académiques
  • 4 ans plus tard : encore différence significative (expérimental plus susceptible de se retrouver aux études supérieures)
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24
Q

quels est le facteur cognitif le plus important dans l’attribution et la réussite scolaire ?

A

l’interprétation de l’échec

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25
Q

y a-t-il une différence entre les sexes quant aux attributions scolaires ?

A

oui - n’interprètent pas l’échec de la même façon

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26
Q

lequel entre le gars et la fille a le plus tendance à… : - Tendance à être plus résignées car attribution au manque d’habileté (échec = pas bon)

A

fille

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27
Q

lequel entre le gars et la fille a le plus tendance à… : - Moins de persistance, persévérance

A

fille

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28
Q

lequel entre le gars et la fille a le plus tendance à… : - Attentes de succès plus faibles après un échec

A

fille

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29
Q

lequel entre le gars et la fille a le plus tendance à… : - Se prédisent des notes scolaires moins élevées, même si souvent meilleurs

A

fille

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30
Q

lequel entre le gars et la fille a le plus tendance à… : Voient l’échec comme un facteur contrôlable ou variable (ex. faible motivation ou malchance)

A

gars

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31
Q

qu’est-ce que le programme de reconversion attributionnelle (RA)?

A

recourir à des explications instables et contrôlables en cas d’échec (ex. manque d’efforts ou stratégies de travail peu efficaces)

permet de renforcer le sentiment de contrôle et d’efficacité personnelle, augmenter la motivation à l’accomplissement, conduire à de meilleurs résultats scolaires

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32
Q

pourquoi les observateurs disent de la première année universitaire qu’elle est importante dans le curcus académique ?

A

1) plus grands groupes, donc encadrement de l’enseignant difficile
2) beaucoup plus d’autonomie, demande plus de discipline, moins de prise en charge
3) exigences plus élevées
4) quitter le nid familial, stress de la nouvelle réalité, Institution à l’extérieur

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33
Q

quels sont les résultats de l’étude de Wilson et Linville portant sur des vidéos d’étudiants encourageant les étudiants que la première année est la pire pour le groupe expérimental contre le groupe contrôle ?

A

Groupe 1 > groupe 2 sur la progression académique (effet plus fort chez les hommes que les femmes)
Groupe 1 < groupe 2 à décrocher au terme de l’année

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34
Q

pour savoir qui bénéficie le plus du programme RA, on vient à la conclusion qu’il y a des facteurs modérateurs, lesquels ?

A
  • Stratégie d’apprentissage des étudiants
  • Théorie implicite de l’intelligence
  • Qualité de l’enseignement
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35
Q

qu’est-ce que la stratégie d’apprentissage en profondeur ?

A

tenter d’intégrer activement les nouvelles informations, par l’intermédiaire de paraphrases, de reformulation personnelle, d’exemples parlants, etc. = prédicteur de succès scolaire (intégration active, pas de façon passive)

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36
Q

quel est le résultat de l’efficacité de l’interaction entre les stratégies d’apprentissage et le type de programme RA ?

A
  • Gens qui ont des stratégies d’apprentissage en profondeur : meilleur résultat avec le RA cognitif
  • Si gens n’ont pas de stratégie d’apprentissage : meilleur résultat avec le RA affective
37
Q

quels sont les résultats de l’étude sur la théorie implicite de l’intelligence fait avec des étudiantes compétentes en mathématiques ?

A
  • RA avec contenue malléable/condition malléable n’a pas d’effet sur les participantes (peu importe leurs convictions initiales)
  • Condition figée a augmenté les performances des participantes avec une théorie de l’entité (tu es bon ou tu n’es pas bon) et réduit ceux de celles avec une théorie incrémentielle (compétences peuvent s’améliorer)
38
Q

quels sont les résultats de l’étude sur la théorie implicite de l’intelligence fait avec des étudiants de tout niveau en mathématiques ?

A
  • Pas d’effet sur la performance (pas de meilleurs résultats dans un groupe plus que l’autre)
  • Gens avec théorie incrémentielle : plus de tentatives si condition malléable plutôt que figée (mais pas plus performant pour autant)
  • Gens avec théorie de l’entité : même nombre d’exercices dans les deux conditions
39
Q

que sait-on sur le lien entre la qualité de l’enseignement et la RA ?

A

la RA est efficace que si elle est relayée par un enseignement motivant et de qualité et que le style d’enseignement semble influencer les apprentissages, mais les différentes étudiantes n’ont pas les mêmes conclusions, peu concluant

40
Q

selon la psychologie expérimentale, que disent les études sur l’entrainement et la motivation ?

A

entrainement négatif pas utile à long terme (insister sur les émotions déplaisantes ce n’est pas ce qui donne de bons résultats) peut le mentionner, mais ne pas rester sur les points négatifs

41
Q

que disent les études sur la lien entre la pratique d’un sport et la personnalité / l’augmentation de la coopération et du leadership ?

A

pas de lien probant

42
Q

que sait-on de la catharsis à l’agressivité ?

A

on pensait autrefois que ça permettait d’exprimer son agressivité dans un environnement contrôlé, mais au contraire, les études montrent que ça ne donne pas de bons résultats

43
Q

qu’est-ce qu’un mâle alpha ?

A

individu qui est performant au niveau des capacités, mais insupportable au niveau des relations interpersonnelles, dilemme énorme car insupportable mais talentueux

44
Q

dans l’étude sur la pratique mentale, quelles sont les méthodes de pratique les plus concluantes ?

A

pratique physique et mentale > pratique physique > pratique mentale > pas de pratique

45
Q

est-ce que la pratique mentale est efficace dans toutes les sphères d’activités ?

A
  • Particulièrement efficace pour les activités où il y a une composante cognitive (planification, pratique interne, prise de décision) plutôt qu’une tâche automatique
  • Efficace pour les débutants et les avancés dans le sport, mais les avancés en profitent davantage
46
Q

lequel entre l’entraineur autocratique et humaniste semble le plus efficace ?

A

La recherche dit, les deux selon les caractéristiques des athlètes

  • Les athlètes les plus expérimentés préfèrent un entraineur autocratique
  • Les enfants et les compétiteurs avec peu d’habilités préfèrent un entraineur humain
47
Q

quelles sont les conclusions des études examinant le type de personnalité et le type d’athlète ?

A

Rien de probant comme résultats de recherche
Recherches utilisant des mesures connues d’inventaire de personnalité, mais aucune n’est construite et validée pour les sportifs. Donc résultats peu valides

48
Q

quelle est la raison principale donnée par les enfants pourquoi ils abandonnent dans le sport ?

A
  • pas le fun
    trop d’importance sur le fait de gagner, le volet compétition
    Tendance à expliquer leur faible performance par un manque d’habiletés
49
Q

dans l’étude de Waukel et Kreiser (1985) sur les motivations à participer à un sport, quelles sont les raisons fortes, les raisons faibles et les raisons pour quitter ?

A

Raisons fortes

  • Avoir du plaisir
  • Amélioration des habiletés
  • Accomplissement personnel

Raisons faibles

  • Recevoir une récompense
  • Faire plaisir à autrui

Raisons pour quitter

  • Manque de succès
  • Manque de plaisir
  • Intérêts pour autres choses
50
Q

que sait-on quant à la capacité de gérer le stress dans les sports de compétition ?

A

dans les sports de compétition, le stress est difficile pour les adultes, insupportable pour les enfants, pire lorsqu’ils réalisent qu’il n’y a qu’une première position

51
Q

qu’est-ce que la théorie de la drive ? dans quels sports elle semble plus efficace ?

A

relation linéaire entre l’éveil et la performance

- pertinente pour les sports de rapidité, de force, d’effort

52
Q

qu’est-ce que la théorie du niveau optimal ? dans quels sports elle semble plus efficace ?

A

relation en U inversé entre l’éveil et la performance, doit aussi tenir compte du niveau d’habiletés
- pertinente pour les sports complexes, demandant flexibilité et contrôle de soi

53
Q

selon la théorie des attributions, comment réagissent les jeunes lors d’activités sportives ?

A

9 ans : heureux de terminer la course (participation)
12 ans : échec s’il n’a pas gagné la course (être premier), définit une piètre performance comme un échec
11-12 ans : attribution de l’échec à un manque d’habileté, approbation sociale devient plus importante, manque d’approbation suite à un échec vu comme une faible performance de sa part

54
Q

à quel moment les jeunes sont plus susceptibles de cesser les activités sportives ?

A

11-12 ans

55
Q

selon la théorie des attributions, quelles sont les solutions pour aider les jeunes à mieux réagir face aux échecs ?

A
  • Trouver des explications moins dramatiques à la performance
  • Faire une attribution à l’effort plutôt qu’à l’échec augmentera le sentiment de compétence, le sentiment de contrôle et la motivation intrinsèque (attributions instables, externes)
56
Q

qu’est-ce que l’effet de coaction ?

A

effet activant résultant de la présence d’autres personnes en compétition dans la même tâche. Effet existe chez les humains, mais aussi chez d’autres espèces. Poulet consomme jusqu’à 60% plus de grains s’il est élevé avec d’autres plutôt que seul (plusieurs à faire le sport)

57
Q

qu’est-ce que l’effet d’auditoire ?

A

une seule personne en action tandis que les autres sont des spectateurs (je suis seule, mais effet des spectateurs)
Augmente la réponse dominante si je suis observé
Réponse dominante : performance meilleure quand je suis observé si je suis douée, mais diminue ma performance quand je ne suis pas super à l’aise avec la tâche

58
Q

comment réduire la paresse sociale ?

A
  • Rendre les contributions individuelles identifiables
  • Les gens doivent être convaincus que les efforts personnels sont nécessaires pour le succès du groupe, que la tâche est personnellement pertinente, qu’elle procure un défi ou qu’elle est très attirante
  • Récompenser pour une excellente performance de groupe
59
Q

quelles sont les caractéristiques dont dépend l’influence d’une personne sur les autres ?

A

1- Leur nombre : plus le nombre augmente, plus leur impact augmente
2- Leur force : plus la force est grande (statut, âge, prestige, type de relation avec l’individu), plus l’impact est grand. Ex. présentation publique devant des profs plus énervants que devant des amis
3- Leur immédiateté : plus grande est l’immédiateté de l’auditoire (rapprochement, en temps ou en espace, avec l’individu), plus grand sera l’impact. Ex. présentation en direct vs en différé

60
Q

quels sont les liens entre la facilitation sociale et l’impact social et entre la paresse sociale et l’impact social ?

A

– plus le nombre de personne augmente, plus l’impact augmente
– la pression ressentie par chacun diminue à mesure que le groupe augmente

61
Q

quels sont les stades du modèle transthéorique (MTT) ?

A
  1. préréflexion
  2. réflexion
  3. préparation
  4. action
  5. maintien
62
Q

à quel stade du MTT l’énoncé suivant correspond-t-il ? : Commence l’activité, mais pas sur une base régulière. N’atteint pas les minima recommandés par l’OMS (20-30 min par séance, 5 fois/semaine). Veut s’y mettre régulièrement dans les 30 jours

A

préparation

63
Q

à quel stade du MTT l’énoncé suivant correspond-t-il ? : Plus de 6 mois (car taux de rechute très grand plus tôt). La sortie du cycle correspond aux gens actifs depuis plus de cinq ans, présentant un très haut niveau d’efficacité personnelle et un très bas niveau de tentation. Selon certains : stage d’accomplissement

A

maintien

64
Q

à quel stade du MTT l’énoncé suivant correspond-t-il ? : Inaction, pas l’intention de faire de l’exercice dans les 6 prochains mois, pour eux, pas de problème, pas l’intention de changer
Inconsciente des problèmes que pose son inactivité

A

préréflexion

65
Q

à quel stade du MTT l’énoncé suivant correspond-t-il ? : Inaction, mais veut changer dans les 6 prochains mois. Prend conscience des problèmes de son inactivité, étudie les opportunités.

A

réflexion

66
Q

à quel stade du MTT l’énoncé suivant correspond-t-il ? : Base régulière, mais depuis moins de 6 mois. Pour ne pas retomber, fait des efforts constants pour surmonter les obstacles. Je ne ressens pas encore les bienfaits de l’activité physique.

A

action

67
Q

quels sont les différents processus expérientiels en lien avec le processus de changement ?

A
  • prise de conscience des processus qui les maintiennent dans la sédentarité
  • réaction émotionnelle
  • réévaluation de l’environnement
  • réévaluation personnelle
68
Q

quels sont les différents processus comportementaux en lien avec le processus de changement ?

A
  • prise de décision
  • récompense
  • contre-conditionnement
  • relation d’aide
  • contrôle des stimuli
69
Q

quelles sont les nouvelles composantes qui ont été ajoutées au MTT ?

A
  • sentiment d’efficacité personnelle

- balance décisionnelle

70
Q

quelle est la relation entre le sentiment d’efficacité personnelle et les stades de changement du MTT ?

A

Relation positive entre le sentiment d’efficacité personnelle et les stades de changement : le sentiment d’efficacité augmente à travers chaque stade de changement

71
Q

comment se présente la balance décisionnelle des individus sportifs et sédentaires ?

A

Les individus qui font de l’exercice ont une balance décisionnelle positive, contrairement aux individus sédentaires qui ont une balance décisionnelle négative

72
Q

comment se présente la balance décisionnelle selon le stade du MTT auquel l’individu est rendu ?

A

Les inconvénients sont plus importants que les avantages aux stades de préréflexion et réflexion, tandis que l’inverse est constaté aux stades d’action et de maintien, de telle manière que le stade de préparation correspond au croisement de ces deux composantes

73
Q

que disent les études sur l’intervention à l’aide de manuels pour inciter les femmes à faire de l’activité physique ?

A

efficace, mais pas certain que c’est efficace à long terme (sur plus d’un an)

74
Q

qu’est-ce que l’erreur fondamentale ?

A

Surestimer les causes dispositionnelles et sous-estimer les causes environnementales

75
Q

de quelle façon évolue l’erreur fondamentale ?

A

elle augmente avec l’expérience

76
Q

de quelle façon le concept de dissonance cognitive permet d’assurer l’efficacité de la thérapie ?

A
  • Thérapie doit sembler dure : le thérapeute ne doit pas diminuer le côté déplaisant de la thérapie – ne pas laisser croire que ce sera facile
  • Thérapie ne doit pas être gratuite (responsabilité, engagement, pas seulement quand ça me tente, faire payer quand ne se présente pas)
  • Le client doit se sentir libre de choisir d’aller en thérapie
77
Q

de quelle façon peut-on intégrer la théorie des attributions face à la thérapie ?

A

Réattribuer les crises à des causes externes et instables, car la crise dure moins longtemps et les gens s’en sortent plus vite
Modifier plus large le mode attributionnel : expliquer ses comportements en arrêtant de se déprécier et en rehaussant notre propre estime personnelle
Changer une attribution d’auto-dépréciation pour une attribution d’auto-appréciation
Thérapie pour augmenter l’estime de soi

78
Q

quels sont les types de contrôle ?

A
  • comportemental
  • cognitif
  • décisionnel
  • informationnel
  • rétrospectif
  • secondaire
79
Q

que disent les études par rapport au type de contrôle comportemental ?

A

les études montrent que ce contrôle augmente la tolérance des gens et réduit l’anxiété

80
Q

que disent les études par rapport au type de contrôle cognitif ?

A

résultats montrent que ça augmente l’ajustement que les gens vont avoir face à des événements difficile, capacité de voir certains bénéfices, avantages, permet aux gens de mieux s’ajuster aux événements difficiles

81
Q

que disent les études par rapport au type de contrôle décisionnel ?

A

bénéfique quand les conséquences de la décision sont positives, si cependant j’ai fait le mauvais choix, les bénéfiques sont moindres (ça aurait été mieux que quelqu’un prenne une décision à ma place finalement) plus d’ambivalence

82
Q

que disent les études par rapport au type de contrôle informationnel ?

A

les études montrent que les informations sur les causes de l’évènement a de l’effet ambivalent/équivoque (pas si bénéfique que ça d’avoir accès à ce type d’information ex. quand j’apprends que j’ai une maladie grave) avoir de l’information sur les sensations/réactions qu’on peut avoir et les procédures qui sont disponibles, ça c’est positif sur le stress (évite de se faire plein de scénarios, on se sent plus renseigné)

83
Q

que disent les études par rapport au type de contrôle rétrospectif ?

A

pas de résultats positifs là-dessus, pas d’étude qui montre que c’est efficace

84
Q

que disent les études par rapport au type de contrôle secondaire ?

A

effet positif pour les aider à s’ajuster face à un évènement positif

85
Q

quelles ont été les améliorations qui ont été apportées dans les dernières années dans le milieu hospitalier ?

A
  • Accès à l’information sur sa maladie
  • Routine des traitements
  • On soigne des numéros de chambre plutôt que des clients
  • Peu d’information sur son état de santé
86
Q

quels sont les deux types de patients ? qu’est-ce qui est particulier avec cette vision ?

A

a. Le bon patient : se soumet volontiers aux traitements, ne se plaint pas, ne pose pas de question, une personne passive
b. Le mauvais patient : celui qui recherche l’attention, qui veut de l’information sur sa maladie, qui se plaint quand il a mal, qui manifeste des signes de réactance ex. ne pas vouloir prendre les médicaments si il ne sait pas à quoi ça sert, celui qui peut sur-réagir s’il ne sait pas ce qui s’en vient, n’est pas au courant de son état. Il pense que si on ne lui dit rien c’est parce que c’est grave

  • dans notre lecture à nous, le bon patient est plus perçu comme étant résigné
87
Q

quels sont les résultats de l’étude fait dans une résidence de personnes âgées portant sur le sentiment de contrôle et de responsabilité ?

A

A > B heureux, actifs, alertes, amélioration de la santé, temps aux activités sociales
Mesures longitudinales, 18 mois plus tard
Résultats A > B se sont maintenus
Taux de mortalité : A = 15% B = 30% (même si santé équivalente)

88
Q

selon la comparaison entre les personnes âgées à domicile et en HLM, comment se distinguent les gens à domicile ?

A
  • Sont moins résignés
  • Ont plus de désir de contrôle
  • Ont une estime de soi supérieure
  • Ont moins de stéréotypes négatifs