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Théories de la personnalité > Examen 2 > Flashcards

Examen 2 Flashcards

1
Q

Vrai ou faux : un trait de personnalité est une disposition à agir d’une manière particulière, exprimée dans le comportement de l’individu dans un grand éventail de situations.

A

vrai

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2
Q

Un trait de personnalité peut être utilisé pour décrire :

a. Un être humain
b. Un objet
c. Un animal
d. A et C sont bonnes

A

D

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3
Q

Quelles sont les deux caractéristiques que les traits de personnalité doivent présenter ?

A

Ils doivent être constants et distinctifs

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4
Q

Une taxonomie fondée sur les traits permet de classer les individus selon :
A) Leurs caractéristiques particulières
B) Leur façon d’appréhender le monde
C) Leur façon d’agir de façon générale ou habituelle dans certaines situations
D) Toutes les réponses précédentes sont bonnes

A

D

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5
Q

Vrai ou faux : On peut prédire que des individus qui possèdent un même trait de la personnalité, mais à des degrés divers, agiront tous de la même façon dans leur vie de tous les jours.

A

faux

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6
Q

Pourquoi les théoriciens des traits ne s’entendent pas tous sur la fonction explicative?

A

Parce qu’il n’y a pas qu’une seule théorie des traits de la personnalité, elles ont des points en communs, mais ne sont pas identiques et n’adoptent pas toutes la même perspective.

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7
Q

Quel aspect est considéré par les théoriciens comme étant un des facteurs principaux expliquant les différences de traits de caractère ?

a) L’environnement familial
b) L’aspect biologique des traits
c) Les mécanismes de défense
d) Toutes les réponses précédentes sont bonnes

A

B) L’aspect biologique de traits

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8
Q

vrai ou faux : Il y a une seule théorie des traits de personnalité

A

Faux. Bien que les théories des traits de la personnalité ont des points communs, elles ne sont pas identiques et n’adoptent pas toutes la même perspective.

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9
Q

Selon certains théoriciens de la personnalité, qu’estime-t-on explicable par les traits de personnalité ?

A

Les comportements d’une personne.

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10
Q

On peut définir l’approche des traits par un ensemble de postulats et d’hypothèses, partagés par les différents théoriciens des traits. Quels sont-ils?

a) Les individus possèdent des prédispositions, appelés traits de personnalité, qui les amènent à se comporter d’une certaine manière.
b) Les traits de personnalités sont des structures dynamiques faisant partie intégrante de la personnalité.
c) Il y a une correspondance directe entre le comportement d’une personne et les traits de personnalité qu’elle possède.
d) A et C sont bonnes

A

D

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11
Q

vrai ou faux : On tient pour acquis que la personnalité se caractérise par la probabilité instable que les individus agissent, pensent et éprouvent des sentiments d’une manière déterminée.

A

faux

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12
Q

Qui suis-je? Facteur d’ordre supérieur ou de deuxième niveau, représentant un niveau d’organisation des traits plus élevé que les facteurs issus de l’analyse factorielle.

A

superfacteur

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13
Q 
Quel est le concept élaboré par Allport désignant une disposition si marquée et si envahissante dans la vie d’un individu qu’elle imprègne presque tous ses actes?
A. Trait central
B. Trait secondaire
C. Trait cardinal
D. Aucune de ses réponses
A

C

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14
Q

vrai ou faux : Allport croit que les traits constituent les éléments fondamentaux de la personnalité. Ils représentent des dispositions générales qui rendent compte de la régularité du fonctionnement peut importe le moment ou le contexte

A

vrai

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15
Q

Selon Allport, quels sont les deux éléments dont il faut tenir compte pour comprendre le comportement d’un individu ?

A

Le trait et la situation

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16
Q

Selon Allport, les traits peuvent être définis par le biais de trois propriétés. Identifiez-en deux.

A

Fréquence, intensité et éventail des situations

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17
Q

vrai ou faux : selon Allport, les traits de personnalité diffèrent donc de l’état et des activités. L’état et l’activité décrivent des aspects de la personnalité qui sont transitoires et provoqués par des circonstances internes.

A

faux

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18
Q

vrai ou faux : Allport a grandement contribué à l’émergence de la psychologie de la personnalité sur le plan empirique. En effet, il a clarifié le concept de trait de personnalité pour pouvoir en établir l’utilité.

A

Faux - sa contribution sur le plan empirique était limitée et il a fait peu de recherches pour en établir l’utilité

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19
Q

Allport a reconnu que l’étude détaillée des individus peut aider à :

a) Dégager les principes généraux opérant à travers l’ensemble des cas individuels.
b) Dégager les principes généraux opérant à travers l’ensemble des cas culturels.
c) Dégager les principes spécifiques opérant à travers l’ensemble des cas individuels
d) A et c sont bonnes

A

A

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20
Q

Quel est le concept élaboré par Allport selon lequel la motivation peut se détacher de ses origines infantiles.

A

Autonomie fonctionnelle

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21
Q

L’approche idiographique, dans la recherche sur les traits de personnalité est associée à :

a) Cattell
b) Allport
c) Eysenck
d) Toutes les réponses précédentes sont bonnes

A

B

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22
Q

Quelle méthode statistique est utilisée pour élaborer les tests de personnalité et qui est employée dans la théorie des traits?

A

Analyse factorielle

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23
Q

vrai ou faux : L’analyse factorielle est une méthode statistique et elle n’a rien à voir avec la psychologie.

A

vrai

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24
Q

Quel est le but de l’analyse factorielle?

a) Synthétiser les informations de corrélation
b) Résumer les traits de la personnalité
c) Déterminer des facteurs corrélationnels
d) A et c sont bonnes

A

D

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25
Q

Il existe trois catégories des traits de source répertoriées par Cattell. Identifiez-en deux.

A
  • Les traits d’aptitude
  • Les traits de tempérament
  • Les traits dynamiques
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26
Q

vrai ou faux : Les traits de surface représentent des tendances comportementales qui se manifestent à un niveau superficiel

A

vrai

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27
Q

Selon la théorie de Cattell, qu’est-ce qu’un trait de source ?
A) Comportement qui forme une dimension indépendante de la personnalité et que l’analyse factorielle permet de découvrir.
B) Comportement qui semble aller de pair avec d’autres sans toutefois se trouver en corrélation avec eux.
C) Comportement qui prend sa source dans un trait de personnalité et qui varie de façon concomitante.
D) Aucune de ces réponses

A

A

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28
Q

Dans la théorie de Cattell, comment identifie-t-on le trait de source qui se rapporte aux types de motivation qui poussent les gens à agir ?

A

Traits dynamiques

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29
Q

Qui a conçu le 16 PF ?

A

Cattell

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30
Q

Dans la théorie de Cattell, données se rapportant au comportement dans la vie quotidienne ou à l’évaluation d’un tel comportement.

a) Données provenant de questionnaires
b) Données biographiques
c) Données fournies par les tests objectifs
d) Aucune de ces réponses

A

B

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31
Q

Nommez une des trois sources de données utilisées par Cattell

A
  • Donnée biographique
  • donnée provenant de questionnaire
  • donnée fournie par les tests objectifs
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32
Q

Vrai ou Faux : La composante héréditaire présente dans de nombreux traits est un des arguments pour affirmer l’existence des traits de source.

A

vrai

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33
Q

Selon la théorie de Cattell, je suis un changement émotionnel et d’humeur qui peut influencer sur le comportement d’un individu. De quel facteur d’influence s’agit-il ?

A

état

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34
Q

Selon Cattell, c’est l’une des variables qui réduisent l’influence exercée sur le comportement par les variables de la personnalité au bénéfice de l’influence des situations

a. L’état
b. Le rôle
c. Les caractéristiques personnelles
d. Aucune de ces réponses

A

B

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35
Q

Vrai ou faux : Le principal outil d’évaluation que Cattell a créé pour les données - Q, n’est plus utilité de nos jours.

A

faux

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36
Q

Vrai ou faux : Hans J. Eysenck accorde de l’importance aux fondements environnementaux des traits de la personnalité

A

Faux, il accorde une importance aux fondements biologiques

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37
Q

Lequel de ces auteurs s’est imposé comme l’un des psychologues les plus influents et les plus cités du vingtième siècle ?

a) Cattell
b) Eysenck
c) Allport
d) Aucune de ces réponses
A

B

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38
Q

Eysenck a cherché à combler quelle lacune de la psychanalyse?

A

L’incapacité à fournir des mesures précises et fiables des construits psychologiques.

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39
Q

vrai ou faux : Selon Eysenck, l’individu ne peux pas éviter de se trouver dans des situations potentiellement traumatisantes, il ne peut pas désapprendre les réactions de crainte et apprendre à se conduire en société, donc il ne peut pas développer une personnalité indépendante des dispositions initiales

A

faux

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40
Q 
Eysenck était un grand défenseur de quel type de thérapie ?
A)	Cognitive
B)	Comportementale
C)	Psychanalytique
D)	Aucune de ces réponses
A

B

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41
Q

Eysenck a également élaboré une théorie de la psychologie de la personnalité anormale et ….

A

de la modification du comportement.

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42
Q

vrai ou faux : Les Cinq Facteurs ont montré une fidélité et une validité considérable

A

vrai

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43
Q

Lequel de ces énoncés ne fait pas partie du modèle des Cinq Grands :

a) Agréabilité
b) Ouverture
c) Névrosisme
d) Aucune de ces réponses

A

D

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44
Q

Nommez deux caractéristiques d’une personne ayant un score peu élevé du trait de caractère névrosisme selon les Cinq Grands

A
  • Calme
  • Détendu
  • Flegmatique
  • Confiant
  • Tranquille
  • Content de soi
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45
Q

Dans la théorie d’Eysenck, personne qui a tendance à être sociable, amicale, impulsive et intrépide

A

extraversion

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46
Q 
Lequel des trois énoncés suivants, dans la théorie d’Eysenck, ne définit pas les deux pôles de la dimension de la personnalité au niveau du névrosisme?
A)	Stabilité et faible angoisse
B)	Instabilité et grande anxiété
C)	Stabilité et grande angoisse
D)	Aucune de ces réponses
A

C

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47
Q

vrai ou faux : Dans la théorie d’Eysenck, le psychotisme est la dimension de la personnalité qui se définit, à un pôle, par la propension à être solitaire et insensible et, à l’autre pôle, par l’inacceptation des normes sociales et à une attitude empathique.

A

faux

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48
Q

sur quoi est fondée la théorie de Carl Rogers ?

A

sur la nature du soi et la tension entre la volonté d’être soi-même et celle de vouloir être aimé

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49
Q

vrai ou faux : Carl Rogers a commencé sa carrière en tant que chercheur

A

faux : psychologue clinicien

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50
Q

comment nomme t-on l’approche de Rogers et à quoi s’intéresse t-elle ?

A

l’approche phénoménologique

s’intéresse à l’expérience individuelle subjective

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51
Q

quels sont les objectifs de Rogers en tant que thérapeute et en tant que théoricien ?

A

thérapeute : Rogers souhaitait comprendre l’expérience phénoménologique que son patient avait de soi et du monde pour l’accompagner dans sa croissance personnelle

théoricien : il souhaitait développer un cadre de travail où la nature et le développement du soi constituent le cœur de la personnalité

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52
Q

quel autre terme pouvons-nous donner à la théorie rogérienne et pourquoi ?

A

humaniste : la caractéristique principale est de mettre en lumière le potentiel de l’humain à se réaliser.

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53
Q

quel est le point commun entre Freud et Rogers ?

A

leur méthode de travail
- les deux ont commencé leur carrière comme thérapeute et fondé leur théorie principalement sur leurs expériences cliniques

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54
Q

quels sont les éléments auxquels Rogers s’opposait de la théorie de Freud ?

A
  • Sa description des personnes comme des êtres soumis à des forces inconscientes
  • Sa prétention voulant que la personnalité soit déterminée de façon irréversible par les premières expériences de vie
  • Sa conviction que l’expérience psychologique à l’âge adulte est une répétition des conflits refoulés de l’enfance.
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55
Q

dans la théorie rogérienne, qu’est-ce que le champ phénoménal ?

A

perception et expérience subjective du monde

56
Q

que reflète le champ phénoménal d’une personne ?

A
  • le monde extérieur de la réalité
  • monde intérieur des besoins
  • ses croyances
  • ses buts personnels
57
Q

pour Rogers, qu’est-ce que le sentiment de détachement ?

A

les gens sont sujets à une forme particulière de détresse psychologique : l’impression chez une personne que ses expériences et les activités qui remplissent son quotidien n’émanent pas de son soi authentique. La personne ne sent pas de lien entre sa décision et ses propres valeurs

58
Q

expliquez la différence de point de vue de Freud et Rogers quant aux aspects délibéré/réfléchi et instinctif/viscéral.

A

Freud : les réactions viscérales sont des pulsions primitives que le moi et le surmoi civilisés doivent réfréner. La déformation et le déni de ces pulsions sont des réactions saines qui relèvent du fonctionnement normal de la personnalité

Rogers : ces réactions instinctives sont une source de sagesse potentielle : les personnes qui vivent sans contrainte toute la gamme de leurs émotions, qui acceptent et assimilent tous les indices sensoriels que ressent leur organisme sont mieux adaptées sur le plan psychologique

59
Q

comment se nomme le concept clé de la théorie rogérienne et que signifie-t-il ?

A

le soi

- ensemble des perceptions et significations accordées au soi/moi/je

60
Q

vrai ou faux : le soi évolue mais conserve toujours son caractère configuré, intégré et organisé

A

vrai

61
Q

est-ce que le soi est conscient ou inconscient ?

A

conscient

62
Q

quels sont les différents types de soi ?

A
  • soi réel

- soi idéal

63
Q

quelles sont les 2 composantes de notre perception de nous-même ?

A
  • Le soi que nous croyons être actuellement

- Le soi que nous nous voyons devenir un jour

64
Q

qu’est-ce que l’actualisation de soi ?

A

tendance fondamentale de l’organisme à s’actualiser, à se maintenir et à s’améliorer, et à réaliser son potentiel

65
Q

vrai ou faux : Rogers a créé une échelle de 15 items pour mesurer l’acceptation de soi.

A

faux : Rogers n’a jamais conçu d’instrument pour mesurer la tendance à l’actualisation de soi. Au fil des ans, cependant, d’autre l’ont fait

66
Q

vrai ou faux : le concept de cohérence a été proposé par Rogers pour parler de l’organisme qui cherche à maintenir la structure du soi et non à obtenir plaisir/éviter douleur

A

faux : bonne explication, mais proposé d’Abord par Lecky

67
Q

quelle est la différence entre la cohérence et la congruence ?

A

Cohérence : désigne l’absence de conflit dans la perception de soi

Congruence : désigne l’absence de conflit entre le concept de soi et l’expérience

68
Q

qu’est-ce que l’anxiété selon Rogers ?

A

c’est le résultat d’une divergence entre l’expérience et la perception de soi

69
Q

quelle est la différence entre les mécanismes de défense de Freud et de Rogers ?

A

les mécanismes de défense de Rogers ne visent pas à éviter la prise de conscience de pulsions biologiques primaires provenant du ça. Ils visent à prévenir la perte d’une perception cohérente et intégrée du soi.

70
Q

quels sont les mécanismes de défense présentés par Rogers et expliquez les.

A
  • Subception : mécanisme rogérien par lequel la personne reçoit un stimulus sans en avoir une représentation consciente
  • Déformation : selon Rogers, mécanisme de défense qui consiste à modifier l’expérience pour la rendre conforme au concept de soi
  • Déni : mécanisme de défense posé par Freud et Rogers, qui bloque la prise de conscience des sentiments menaçants
  • rationalisation : l’individu déforme la perception d’un comportement pour le rendre congruent avec le soi
  • fantasme : il niera les expériences qui ne cadrent pas avec cette image de lui-même
  • projection : la personne exprimera un besoin mais le fera sous une forme qui lui interdit de prendre conscience de ce besoin, de sorte qu’elle pourra considérer que son comportement est congruent avec le soi
71
Q

de quoi parle-t-on : Les gens qui se trouvent aimables se conduisent de façon à ce que leur entourage les aime, alors que les gens qui se croient désagréables se comporteront de manière à ce que les autres les trouvent tels. Pour le meilleur ou pour le pire, votre concept de soi peut être maintenu par les comportements d’autrui à votre égard, lesquels peuvent avoir subi l’influence de votre propre concept de soi

A

prophétie autogérée

72
Q

Rogers parle d’un besoin psychologique, lequel ?

A

Besoin de considération positive : dans la théorie rogérienne, besoin fondamental de l’être humain d’obtenir l’acceptation et le respect d’autrui

73
Q

que se passe t-il quand un enfant reçoit du respect et de l’amour que lorsqu’il se conduit d’une certaine façon ?

A

donne lieu à des conditions de valorisation de soi ; l’enfant apprend que certains sentiments et pensées lui procurent de la valeur, mais d’autres non

74
Q

qu’est-ce qu’une condition de valorisation de soi ?

A

chacun des critères d’évaluation d’une personne qui ne reposent pas sur les sentiments, préférences et pendants véritables de cette personne, mais sur ce que les autres considèrent comme étant des formes d’action souhaitables.

75
Q

qui suis-je : chacun des critères d’évaluation d’une personne qui ne reposent pas sur les sentiments, préférences et pendants véritables de cette personne, mais sur ce que les autres considèrent comme étant des formes d’action souhaitables.

A

condition de valorisation de soi

76
Q

selon Rogers, quels sont les plans sur lesquels devons-nous considérer les facteurs de développement ?

A
  • interactions parents-enfants (environnement optimal - considération positive inconditionnelle)
  • structures psychologiques internes (congruence entre le soi et l’expérience)
77
Q

la recherche sur les relations parents-enfants dit quoi par rapport aux types de parent ?

A
  • Diverses études révèlent que les enfants se développent mieux lorsqu’ils se sentent acceptés par leurs parents et que ceux-ci font preuve d’une attitude démocratique. Les enfants de tels parents présentent un développement intellectuel plus rapide, ils font preuve d’originalité et ont un sentiment de sécurité affective et de maitrise de leur vie.
  • À l’inverse, les enfants qui se sentent rejetés de parents autoritaires sont instables, rebelles, agressifs et querelleurs
78
Q

quels sont les comportements et attitudes des parents qui semblent jouer un rôle important dans la formation de l’estime de soi ?

A
  • degré d’acceptation, d’intérêt, d’affection et de chaleur
  • la discipline (récompenser les bons coups)
  • le style d’éducation (autocratique vs démocratique)
79
Q

quelles sont les conditions de l’estime de soi établies par Coopersmith ?

A

1- L’acceptation totale ou presque totale de l’enfant par ses parents
2- La mise en place et l’application de limites claires
3- Le respect et la tolérance des actions individuelles lorsque celles-ci n’excèdent pas les limites établies

80
Q

pour Rogers, comme se distinguent les individus sains et névrosés ?

A

l’individu sain : capable d’incorporer ses expériences à la structure du soi. La personne saine est ouverte à l’expérience au lieu de simplement interpréter les événements de manière défensive. Chez ces personnes, il y a congruence entre le soi et l’expérience

l’individu névrosé : l’image de soi s’organise d’une manière qui ne cadre pas avec l’expérience. L’individu ne permet pas aux expériences sensorielles et émotionnelles significatives d’accéder à la conscience. Les expériences qui ne sont pas en adéquation avec la structure du soi sont perçues inconsciemment comme menaçantes et elles sont par conséquent niées ou déformées.

81
Q

vrai ou faux : quand des perceptions sont écartées, c’est parce qu’elles sont peu flatteuses

A

faux : parce qu’elles s’opposent à l’image du soi

82
Q

quelle est la technique thérapeutique privilégiée par Rogers ?

A

le reflet : réagir aux propos dont le client vient de lui faire part en les résumant ou en les commentant

83
Q

comment se donne la thérapie proposée par Rogers ?

A

la thérapie centrée sur le client

84
Q

comment se nomme le facteur décisif en thérapie selon Rogers ?

A

le climat thérapeutique

85
Q

quelles sont les conditions proposées par Rogers qui assurent un climat thérapeutique idéal et permet le changement en thérapie ?

A
  • l’authenticité
  • la considération inconditionnelle
  • l’empathie
86
Q

pourquoi dit-on que la théorie centrée sur le client possède un élément conditionnel ?

A

si certaines conditions thérapeutiques sont présentes, alors le processus menant au changement de personnalité se produira de lui-même

87
Q

expliquez la technique du Q-sort

A

1- Ils demandent aux participants de remplir un Q-Sort dans lequel ils notent leur soi réel (les participants classent les items selon la conception qu’ils ont d’eux-mêmes à ce moment précis), puis d’en remplir un autre dans lequel ils notent leur soi idéal (les participants classent les items selon leur idéal de posséder ou non les attributs décrits)

2- Avec ces deux mesures en main, on peut calculer une corrélation, pour tout individu, entre les Q-Sort du soi réel et celles du soi idéal. Cette corrélation est un indice numérique qui exprime le degré de congruence entre le soi réel et le soi idéal ; une corrélation positive élevée indique une grande congruence entre le soi réel et le soi idéal

3- Une fois calculé l’indice de congruence, Butler et Haigh examinent les effets de la thérapie rogérienne. Ils examinent un groupe de clients avant et après une thérapie rogérienne d’une durée moyenne de 31 séances.

88
Q

comment se nomme la technique pour évaluer l’efficacité de la thérapie centrée sur le client ?

A

le Q-sort

89
Q

quels sont les changements thérapeutiques observés avec les conditions de Rogers pour le climat thérapeutique ?

A
  • Les clients sont moins défensifs et plus ouverts
  • Leur soi est plus positif et plus congruent
  • Ils sont mieux disposés envers les autres
  • Ils se fient davantage à leur évaluation personnelle au lieu de faire appel aux valeurs des autres
90
Q

quels sont les résultats du Q-Sort par rapport à la thérapie de Rogers ?

A
  • efficace car amélioration de la corrélation de congruence avant/après
  • changement durable (corrélation similaire 6 mois après)
  • MAIS groupe qui ne cherchait pas à consulter présente une corrélation plus élevé que le groupe thérapie
91
Q

comment se nomme la notion qui a été ajoutée aux conditions de climat thérapeutique ?

A

la présence : puissante sensation de connexion avec l’autre qui est créée par la conscience et l’ouverture émotionnelle exceptionnelles de leur chef spirituel

92
Q

quelle est la figure importante qui s’ajoute à Rogers dans le courant humaniste ?

A

Maslow
- D’abord, il a proposé une conception de la motivation humaine qui différencie les besoins biologiques, tels que la faim, le sommeil et la soif, des besoins psychologiques, tels que l’estime de soi, l’affection et l’appartenance.

  • La deuxième contribution notable de Maslow vient de ce qu’il s’est livré à une étude approfondie de personnes en bonne santé, qui réalisent leur potentiel et s’épanouissent. Son raisonnement était le suivant : si l’on veut en savoir davantage sur la personnalité, nul besoin de limiter l’exploration (1) au fonctionnement normal et quotidien de la personnalité ou (2) aux altérations de la personnalité qui causent la psychopathologie. Selon lui, les psychologues doivent aussi s’intéresser à l’autre extrémité du continuum, c’est-à-dire aux individus anormalement positifs qui fonctionnent exceptionnellement bien et qui se réalisent.
93
Q

quelles sont les caractéristiques observées par Maslow chez les individus anormalement positifs ?

A
  • S’accepter tel qu’on est et accepter les autres tels qu’ils sont
  • Se préoccuper de soi mais se sentir libre de reconnaître les besoins et les désirs des autres
  • Être capable de réagir selon le caractère unique des personnes et des situations au lieu de réagir de manière machinale et stéréotypée
  • Être capable de nouer des liens intimes avec au moins quelques personnes importantes pour soi
  • Être spontané et créatif
  • Être capable de résister à la pression de conformité et de s’affirmer tout en répondant aux exigences de la réalité
94
Q

Maslow a ouvert la voie a un mouvement contemporain, lequel ? ce mouvement a inspiré qui et quelle est sa théorie ?

A
  • psychologie positive
  • Barbara Frederickson
  • théorie des émotions positives : s’épanouir et se développer
95
Q

la théorie de Rogers est-elle scientifique ?

A

oui

  • utilisé des techniques d’évaluation de la personnalité qui étaient objectives (Q-Sort)
  • employé des méthodes expérimentales pour savoir si la thérapie centrée sur le client était efficace
  • il a autorisé la publication des transcriptions et des enregistrements de séances (permet de vérifier de l’extérieur)

non

  • informations issus d’introspections + contexte non anonyme (faibles corrélations avec mesures implicites plus tard)
  • diversité culturelle relativement faible
96
Q

la théorie de Rogers est-elle systématique ?

A

non (peu)

  • écrit dans un style impressionniste dépourvu de rigueur logique
  • peu d’efforts dans des explications
  • écrit une oeuvre théoriquement moins formelle que d’autres
97
Q

la théorie de Rogers est-elle vérifiable ?

A

oui

  • exposé des construits avec beaucoup de clarté et suggéré des méthodes d’évaluation (Q-Sort)
  • travail sur les conditions fondamentales sont encore valables aujourd’hui

non
- hypothèse de la tendance innée à l’autoactualisation est moins vérifiable

98
Q

la théorie de Rogers est-elle exhaustive ?

A

non (peu)

  • plus d’énergie au développement de thérapies individuelles et de groupes qu’à la recherche sur la personnalité
  • pas bien intégré les aspects biologiques et sociaux de la nature humaine
99
Q

la théorie de Rogers a-t-elle des applications ?

A

oui

  • profonde influence sur la psychologie appliquée (3 aspects principaux)
    1. importance de la relation interpersonnelle
    2. élaboration méthodes objectives
    3. voit ses clients comme des personnes et non des patients
  • soi : virage important dans l’histoire de la psychologie
100
Q

comment se nomme la théorie de George Kelly ?

A

la théorie des construits personnels

101
Q

qu’est-ce qu’un construit ?

A

processus cognitifs par lesquels les individus catégorisent les gens et les objets et donnent un sens aux événements de leur vie
- façon d’imaginer, de catégoriser et d’interpréter les événements de la vie

102
Q

dans quelle approche a été classé la théorie de George Kelly ?

A

théorie cognitive

103
Q

à quoi sert un construit ?

A
  • à catégoriser les personnes et les choses
  • à donner un sens aux événements et à les prévoir
  • servent à l’acquisition de nouvelles connaissances
104
Q

pourquoi le livre de Kelly n’a d’abord pas eu d’impact ?

A
  • en avance sur son temps : l’accent sur les processus cognitifs est contre le béhaviorisme (courant dominant)
  • utilise une terminologie scientifique nouvelle et complexe
105
Q

vrai ou faux : la théorie de Kelly porte d’abord sur la psychologie clinique

A

faux : s’intéresse d’abord aux questions d’ordre scientifique

106
Q

pourquoi dit-on que Kelly s’est d’abord intéressé aux questions d’ordre scientifique ?

A

1) Plus que les autres théoriciens, Kelly a fondé sa théorie sur une conception explicite de la science et de la nature du questionnement scientifique
2) Contrairement aux autres théoriciens, Kelly s’est servi de la notion contemporaine du questionnement scientifique comme d’une métaphore pour expliquer les activités psychologiques de l’individu

107
Q

quel est le concept apporté par Kelly qui décrit sa vision de la science

A

constructivisme : il n’existe pas de réalité objective ou de vérité absolue à découvrir, mais seulement plusieurs manières d’interpréter les événements (chaque théorie a son utilité)

108
Q

quelle est la différence entre le champ d’application et le domaine d’application ?

A

champ d’application : événements ou phénomènes auxquels s’appliquent un construit ou un système de construits

domaine d’application : évènement ou phénomène auquel la théorie s’applique avec le plus de pertinence

109
Q

pour Kelly, quand est-ce qu’une théorie sera modifiée ou abandonnée ?

A

quand elle ne suggère plus de nouvelles prévisions ou mène à des prévisions erronées

110
Q

pour Kelly, qu’est-ce qu’une bonne théorie ?

A

quand elle nous aide à résoudre les problèmes des gens et de la société

111
Q

Kelly dit que les individus normaux et les scientifiques poursuivent la même quête, laquelle ?

A

élaborer des construits afin de prédire les événements

112
Q

nommez la métaphore qui est au coeur de la vision de Kelly

A

tout être humain raisonne comme un scientifique

113
Q

quelles sont les conséquences de la conception de Kelly qui voit tout individu comme un scientifique ?

A
  1. Premièrement, elle met en lumière le fait que tout être humain est essentiellement préoccupé par le futur. C’est l’avenir qui tourmente l’homme, et non le passé. L’homme regarde toujours vers l’avenir par la fenêtre du présent. La plupart des pensées de l’être humain, en effet, concernent les événements futurs. De toutes les théories de la personnalité que nous avons vues jusqu’à maintenant, celle de Kelly est celle qui touche le plus directement à cette réalité de base de l’esprit humain.
  2. Deuxièmement, si les scientifiques peuvent se servir de diverses théories pour prédire divers événements, alors chacun de nous peut faire de même. Le constructivisme que nous avons décrit plus tôt (c’est-à-dire développer des construits alternatifs) peut s’appliquer autant aux constructions personnelles de chaque individu qu’au construit scientifique. Les êtres humains ont la capacité d’interpréter et réinterpréter, de construire et reconstruire de façon active leur environnement. L’individu peut ainsi élaborer des formulations théoriques diverses, vérifier la justesse des diverses constructions et, ce faisant, élaborer de nouvelles stratégies afin de relever les défis et régler les problèmes de la vie.
114
Q

pourquoi dit-on que le système de construits personnels donne de la liberté et met des limites ?

A
  • liberté parce que l’homme peut négocier la signification des événements plutôt que de les subir dans l’impuissance
  • limites parce que ses choix sont toujours restreints au monde des possibles qu’il s’est construit
115
Q

selon Kelly, il faut au moins 3 éléments pour former un construit, lesquels ?

A
  • 2 de ces éléments doivent être perçus comme semblables

- Le troisième comme différent

116
Q

qu’est-ce que Kelly veut dire quand il affirme qu’un construit se compose d’une comparaison similarité-différence ?

A

il est impossible de comprendre la nature d’un construit en utilisant seulement son pôle de similarité ou seulement son pôle de différence

117
Q

vrai ou faux : les construits évoluent au fil de notre développement

A

faux : Les construits ne sont pas dimensionnels, au sens où ils ne comportent pas de progression ou de niveaux entre les pôles de similarité et de différence. On ajoute davantage de subtilité ou de complexité à l’interprétation des événements en recourant à d’autres construits, par exemple à des construits de quantité et de qualité

118
Q

qu’est-ce qui différencie un construit verbal et non verbal ?

A

le verbal peut se traduire en mots, contrairement au non verbal qui s’est formé avant l’acquisition du langage

119
Q

de quel type de construit s’agit-il : construit qui se situe plus bas dans la hiérarchie du système de construits et qui est donc compris dans un construit plus large

A

subordonné

120
Q

de quel type de construit s’agit-il : construit qui n’est pas fondamental dans le système des construits d’un individu et dont la modification n’a pas de répercussions importantes sur le reste du système

A

périphérique

121
Q

de quel type de construit s’agit-il : construit qui se situe plus haut la hiérarchie du système de construits et qui comprend donc des construits plus restreints et plus précis

A

supérieur

122
Q

de quel type de construit s’agit-il : construit qui est fondamental dans le système de construits d’un individu et dont la modification entraine nécessairement des répercussions majeures sur le reste du système

A

central

123
Q

de quel type de construit s’agit-il : construit qui a pu s’exprimer en mots, mais dont l’un des pôles, ou l’un des deux, ne peut se verbaliser

A

submergé

124
Q

vrai ou faux : Les gens diffèrent les uns des autres tant par le contenu de leurs construits que par l’organisation globale de leurs systèmes de construits respectifs

A

vrai

125
Q

quels sont les éléments de critique de Kelly à l’endroit de la psychanalyse ?

A

1- conception freudienne de la personne
2- atmosphère de dogmatisme
3- faiblesse en tant que théorie scientifique

126
Q

quelle est la différence dans la conception de la personne entre Kelly et Freud ?

A

Kelly : la personne comme un scientifique

Freud : organisme biologique - insistance sur les instincts et motivations inconscientes

127
Q

pourquoi Kelly perçoit une atmosphère de dogmatisme chez Freud, et que fait-il pour ne pas se représenté comme tel ?

A

Freud : examine ce que les gens disent pour comprendre ce qu’ils ne disent pas = étroitesse d’esprit néfaste + stérile opposition au changement

Kelly : interprétation des événements fournis par l’individu + caractère provisoire des théories = ouverture d’esprit

128
Q

pourquoi Kelly dit-il que la théorie de Freud a une faiblesse scientifique et comment qualifie-t-il cette critique ?

A

observations de Freud concernant l’inconscient difficile à explorer scientifiquement

  • le talon d’Achille de la psychanalyse
129
Q

quels sont les points communs entre Kelly et Freud ?

A
  • se penchent sur des phénomènes communs : rapport entre les contraires
  • l’opinion que les gens entretiennent à propos des autres sont souvent révélatrices des opinions qu’ils ont d’eux-mêmes
  • les gens se sentent menacés que par ce qu’ils croient plausible
  • les gens protestent trop quand ils ne veulent pas admettre la véracité d’une assertion
  • tous deux croyaient que le fonctionnement psychologique est parfois déterminé par des principes dont les gens n’ont pas conscience (Freud = inconscient, Kelly = construits préverbaux)
  • tous deux attribuaient une grande importance au concept de transfert en thérapie
  • tous deux notaient que les patients résistaient au changement
130
Q

quels sont les points communs entre Kelly et Rogers ?

A
  • ils considèrent tous deux la personne comme plus active que réactive
  • tous deux ont élaboré des théories qui s’inscrivent dans une perspective phénoménologique (pour Kelly, construit pas seulement phénoménologique)
  • tous deux insistent sur la cohérence
  • tous deux insistent sur le fonctionnement de l’organisme comme un tout
  • ils ont tous deux rejeté le modèle motivationnel du fonctionnement humain
131
Q

quelles sont les différences entre Kelly et Rogers ?

A
  • Kelly s’intéressait beaucoup moins au soi que Rogers
  • Kelly est d’accord que le présent comptait beaucoup, mais refuse d’adopter une approche totalement anhistorique du comportement
  • Kelly n’était pas d’accord avec le principe de croissance et y opposait sa théorie des construits personnels
  • Rogers disait important d’être et de devenir VS Kelly disait important d’inventer et d’agir
  • Rogers : important que le thérapeute soit une vraie personne VS Kelly : importance des qualités de comédien du thérapeute
132
Q

quelles étaient les critiques de Rogers à l’endroit de Kelly ?

A
  • il critiquait le fait que Kelly semblait envisager la thérapie comme un processus intellectuel et désapprouvait la thérapie d’assignation de rôle à cause de la trop grande activité qu’elle exige, de l’emprise qu’elle suppose de la part du thérapeute.
  • pour Rogers, la thérapie est beaucoup plus une affaire de sentiment que de pensée et la congruence du thérapeute est plus importante que son habileté à manipuler la situation
133
Q

quelles sont les différences entre Kelly et la théorie des traits ?

A
  • Kelly s’intéresse aux processus cognitifs - inexistant dans la théorie des traits
  • (la plus importante) conception du fonctionnement de l’organisme : trait se concentre sur ce qui est fixe, stable et permanent - Kelly individu comme agent actif dans un processus de changement
  • Kelly théorie dynamique VS trait théorie statique
  • champ d’application : trait structure de la personnalité, ne s’applique pas au processus de changement VS Kelly s’intéresse à la psychothérapie
  • traits s’intéresse aux différences entre individus pour inscrire individus dans dimensions communes VS Kelly s’intéresse aux principes généraux qui s’appliquent à tous pour mieux se concentrer sur les aspects personnels
134
Q

____ ont été en bonne partie supplantées par _____ a permis de réaliser en psychologie. On peut considérer que _____ fait partie intégrante de cette révolution

A
  • les théories de l’apprentissage
  • les avancées que la révolution cognitive
  • la théorie de Kelly
135
Q

quels sont les construits proposés par l’auteur des théories de la personnalité, comprenant un pôle de similarité et de différence ?

A
  • holistique / axé sur un ou plusieurs éléments
  • dynamique / statique
  • personnalité relativement fixe / personnalité relativement changeante
  • s’intéresse à l’inconscient / ne s’intéresse pas à l’inconscient
  • insiste sur le soi / n’insiste pas sur le soi
  • constructivisme / réalité
  • personne active / personne passive ou réactive

Théories de la personnalité (2 decks)

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