Examen 2 Flashcards

1
Q

À partir de quand fait-on la distinction entre un problème et un trouble du comportement?

A
  • Durée
  • Intensité
  • Sévérité
  • Persistance
  • Fréquence
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2
Q

Quel concept cherche-t-on?
-Désigne une constellation de comportements socialement déviants qui inclut, à des fréquences variables, des actes de violence

A

Délinquance

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3
Q

Quel concept cherche-t-on?
-Comportement dont l’intention est de provoquer du mal ou blesser… Tendance à s’opposer à autrui ou à l’attaquer, de façon réelle ou fantasmée. C’est en rapport étroit avec la satisfaction des besoins vitaux, la maîtrise du milieu et l’affirmation de soi.

A

L’agressivité

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4
Q

Vrai ou faux?

-L’agressivité peut prendre bien des formes: attitudes, paroles, gestes ou fantasmes

A

Vrai

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5
Q

À quelle âge apparaissent les premières manifestations de transgressions intentionnelles ?

A

Autour de 18 mois

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6
Q

Vrai ou faux?

-C’est pendant l’adolescence que l’on retrouve le plus de “comportements agressifs” dans le développement normal?

A

Faux, c’est pendant l’enfance

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7
Q

Vrai ou faux?
-Selon les études, la présence d’une fréquence élevée de comportements violents pendant l’enfance est associée à la présence de comportements violents à l’âge adulte

A

Vrai

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8
Q

D’où provient l’agressivité et comment se contrôle-t-elle?

A
  • De notre tempérament, gènes, hormones
  • De l’environnement dans lequel on évalue
  • Intelligence (capacité de comprendre le monde qui nous entoure)
  • Pulsion, Moi
  • Certaines maladies
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9
Q

Nommez quelques indices du trouble de comportement sérieux

A
  • L’enfant s’isole constamment (ex : passivité, absence d’amis repli sur soi)
  • L’enfant manifeste de l’agressivité et de la violence de façon fréquente et incontrôlable
  • L’enfant consomme de façon abusive des drogues ou de l’alcool, il présente des problèmes de jeu compulsif
  • L’enfant a des problèmes d’automutilation
  • L’enfant a des comportements suicidaires
  • L’enfant adopte des comportements alimentaires problématiques (ex : anorexie, boulimie)
  • L’enfant présente des comportements sexuels non appropriés ou à risque
  • L’enfant fugue à répétition
  • L’enfant fait du taxage, de l’intimidation persistante
  • L’enfant fréquente des personnes qui l’influencent négativement et qui accentuent ses problèmes de comportements
  • Les parents présentent des limites personnelles (ex : trop grande permissivité, inconstance, rigidité)
  • Les parents nient ou banalisent la situation
  • Les parents ont démissionné face aux comportements de leur enfant
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10
Q

Vrai ou faux?

-Selon le DSM-5, le trouble des conduites peut maintenant être diagnostiqué chez un adulte

A

Vrai

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11
Q

Quels sont les symptômes du trouble des conduites ?

A
  • Schème répétitif et persistant de comportements dans lequel sont violés les droits fondamentaux d’autrui et les normes ou règles sociales en rapport avec l’âge du sujet
  • Agression envers des personnes et/ou animaux
  • Destruction de biens matériels
  • Duplicité ou vol
  • Violations graves de règles établies
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12
Q

Quel trouble cherche-t-on?

-Ensemble d’humeur colérique/irritable, de comportements opposants/provocateurs ou de rancune, durant au moins 6 mois.

A

Trouble oppositionnel avec provocation (TOP)

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13
Q

Quels sont les symptômes du trouble oppositionnel avec provocation?

A
  • Humeur colérique/irritable
  • Comportements opposants/provocateurs
  • Rancune
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14
Q

Quel trouble cherche-t-on?

-Explosions de colère récurrentes qui témoignent d’une incapacité à contenir l’agressivité

A

Trouble explosif intermittent

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15
Q

Par quoi est illustré le trouble explosif intermittent?

A
  • Agressions verbales ou physiques envers personnes, animaux, objets au moins deux fois par semaines (en moyenne), pour 3 mois. Les agressions physiques ne provoquent pas de “dommages” sérieux
  • Au moins trois explosions qui impliquent des dommages matériels, des blessures physiques (ou autres ) au cours des 12 derniers mois
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16
Q

Vrai ou faux ?

- L’explosion de colère dans le trouble explosif intermittent est plus importante que la cause ou le stress

A

Vrai

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17
Q

Vrai ou faux?

-Les explosions dans le trouble explosif intermittent visent directement à obtenir quelque chose

A

Faux, elles sont “aléatoire”

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18
Q

Vrai ou faux?

-L’enfant doit avoir au moins 6 ans pour être diagnostiqué d’un trouble explosif intermittent

A

Vrai

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19
Q

Vrai ou faux?

-Les troubles du comportement sont de type intériorisé ?

A

Faux, ils sont de type extériorisé

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20
Q

Vrai ou faux?

-Les troubles du comportement sont plus présent chez les garçons que chez les filles

A

Vrai

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21
Q

Vrai ou faux?
-Selon plusieurs études, c’est chez les enfants que l’environnement expliquerait la plus grande part de variabilité de la distribution des manifestations de l’agressivité

A

Vrai

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22
Q

Quelles observations faut-il faire pour que diagnostiquer les trouble de comportements ?

A
  • Distinguer les moments et les situations qui permettent de prédire l’apparition des comportements et établir les conséquences qui les font se maintenir
  • Formuler des hypothèses sur les fonctions du comportement
  • Déterminer quelles sont les variables qui peuvent être modifiées pour améliorer la situation
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23
Q

Quels sont les outils standardisés pour le diagnostique des troubles du comportement?

A
  • CONNERS (outil qui mesure le TDA/H, mais aussi le TOP et le trouble de conduites)
  • CBCL (inventaire des comportements de l’enfant)
  • Acchenbach
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24
Q

Quel est le traitement pour les troubles du comportement?

A

-Stratégies d’intervention adaptées à chaque enfant/famille
-Miser sur le renforcement des leviers de changement, sur les forces des personnes en difficulté, plutôt que sur les problèmes
développer une relation significative avec l’adulte, un lien d’attachement
-Développer l’autocontrôle

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25
Q

Qu’est-ce que le développement sexuel normal?

A
  • Est spontané et intermittent
  • Est mutuel et non coercitif lorsqu’il implique un autre enfant
  • Implique des enfanta d’un âge et d’un niveau développemental similaires
  • Ne cause pas de détresse émotionnelle, n’est pas accompagné de colère, de peur, de forte anxiété
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26
Q

Vrai ou faux?
-Chez les enfants victimes d’agression sexuelle, il y a 4% plus de symptômes dépressifs, 80% ont des symptômes de TSPT apparents, 40% ont des symptômes de troubles internalisés et/ou externalisés

A

Vrai

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27
Q

Vrai ou faux?

-Vivre dans une famille recomposée accroît du double le risque d’être victime d’agression sexuelle chez les filles

A

Vrai

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28
Q

Comment reconnait-on un enfant qui présente des comportements sexuels problématiques?

A

Enfant âgés de 12 ans et moins qui initie des comportements impliquant des parties sexuelles du corps qui sont inappropriés au plan développemental ou potentiellement néfastes pour lui-même ou les autres

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29
Q

Quel trouble sexuel cherche-t-on?

  • Trouble sexuel, également appelé “déviance sexuelle”, se caractérisant par des impulsions et des fantasmes sexuels incontrôlables qui exigent la présence ou l’utilisation d’objets, de partenaires non consentants ou inappropriés, ou de situations douloureuses ou humiliantes pour atteindre le plaisir et la jouissance
  • Détresse significative et/ou atteinte à l’intégrité d’autrui
A

Paraphilie

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30
Q

Quel est le traitement pour une paraphilie?

A
  • Éducation sexuelle
  • Édification de règles entourant les comportements sexuels
  • Habiletés interpersonnelles
  • Gestion des émotions
  • Contrôle de soi
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31
Q

Quel concept cherche-t-on?

  • L’activation des centres du plaisir du cerveau et la formation de souvenirs associés
  • Ensemble de symptômes cognitifs, comportementaux et physiologiques déclenchés par l’utilisation de la substance et qui empêchent ou nuisent au rétablissement
A

Troubles reliés aux substances et addictions

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32
Q

Quelles sont les substances ciblées dans les troubles reliés aux substances et addictions?

A
  • Alcool
  • Caféine
  • Cannabis
  • Hallucinogènes
  • Inhalants
  • Opioïdes
  • Sédatifs, hypnotiques ou anxiolytiques
  • Stimulants
  • Tabac
  • Autres substances ou substances inconnues
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33
Q

Quelles sont les trois catégories de substances psycho-actives?

A
  • Perturbateurs
  • Dépresseurs
  • Stimulants
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34
Q

Quel trouble cherche-t-on?
-Utilisation pathologique d’une substance qui conduit à une détresse significative ou altérations dans le fonctionnement

A

Trouble d’utilisation de substance

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35
Q

Quel type de dépendance cherche-t-on?

-Il s’agit des souvenirs associés, de la possibilité d’éviter ce qui fait mal…

A

Dépendance psychologique

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36
Q

Quel type de dépendance cherche-t-on?

-Réaction de l’organisme en l’absence du produit (ex: douleurs, tremblements, convulsions)

A

Dépendance physique

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37
Q

Quel concept cherche-t-on?

-Envie extrême de consommer et de ressentir les effets du produit

A

Craving

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38
Q

Quelles sont les causes biologiques des troubles d’utilisation d’une substance?

A
  • Récepteurs ciblés par la substance psychoactive sont défectueux
  • Système de neurotransmissions dysfonctionnelles
  • Structures cérébrales plus fragiles/sensibles
  • Génétique
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39
Q

Quelles sont les causes environnementales des troubles d’utilisation d’une substance?

A
  • Problèmes de consommation dans la famille d’origine et/ou environnement actuel
  • Pauvreté
  • Problème de troubles mentaux dans la famille d’origine
  • Violence, abus et/ou négligence pendant l’enfance
  • Accessibilité de la substance
  • Consommation de substances en bas âge
  • Environnement familial chaotique, sans limite
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40
Q

Quelles sont les causes psychologiques des troubles d’utilisation d’une substance?

A
  • Faible estime de soi, difficultés d’apprentissage
  • Recherche de sensation
  • Comorbidité psychiatrique
  • Troubles des conduites
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41
Q

Quel concept cherche-t-on?

-permet de gérer certains comportements considérés comme épuisants ou négatifs très actuels pendant l’adolescence

A

Modèle de l’autorégulation

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42
Q

Quel concept cherche-t-on?

-Le jeune consomme afin de diminuer les effets négatifs de symptômes de l’ordre des troubles mentaux

A

Modèle de l’automédication

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43
Q

Quel est le traitement des troubles d’utilisations des substance?

A
  • Désintoxication dans un centre spécialisé ou sous la supervision d’une personne qualifiée
  • Médication de substitution, mais aussi médication pour atténuer les symptômes du sevrage
  • Approche motivationnelle
  • Possibilité de suivi par un intervenant en santé mental e si présence d’une comorbidité
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44
Q

Qu’est-ce que l’approche motivationnelle?

A
  • Aider la personne à s’engager dans le changement. Adoption d’un discours concordant
  • Situer la personne dans le cycle du changement et adapter les interventions en fonction du stade où elle se trouve
  • Pas de confrontation
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45
Q

Quels concepts cherche-t-on?
-Représentent les effets physiologiques qui peuvent être reliés à l’utilisation de la substance. Différents symptômes possibles (hallucinations, douleurs, vomissements, etc).

A

Intoxication et sevrage

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46
Q

Quel concept cherche-t-on?
-Il faut pouvoir “prouver” que les manifestations sont induites par la sunstance, n’étaient donc pas présentes au départ et ne persistent pas plus d’un mois après l’arrêt de la consommation

A

Trouble mental induit par une substance

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47
Q

Comment décortique-t-on une vignette clinique?

A
  1. Déterminer les objectifs du traitement
  2. Créer une alliance avec l’enfant et avec les parents
  3. Suivre les étapes préétablies et réévaluer l’émotion en cours de route
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48
Q

Comment détermine-t-on les objectifs du traitement?

A

1, En accord avec les attentes du jeune et de la famille

  1. Réaliste
  2. Qui pourrai avoir des manifestations observables
  3. À court et moyen terme
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49
Q

Quelle est la définition de l’humeur?

A

Émotion globale et durable qui colore la perception du monde

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50
Q

Quels sont les cinq principaux types d’humeur?

A
  • Euthymie
  • Humeur dysphorique
  • Humeur élevée
  • Humeur expansive
  • Humeur irritable
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51
Q

Qu’est-ce que l’euthymie?

A

L’humeur normale

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52
Q

Qu’est-ce que l’humeur dysphorique?

A

De la tristesse

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53
Q

Qu’est-ce que l’humeur élevée?

A

Humeur qui tend plus vers le positif que le négatif

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54
Q

Qu’est-ce que l’humeur expansive?

A

Expressions inappropriées (être ultra joyeux ou ultra dépressif)

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55
Q

Qu’est-ce que l’humeur irritable?

A

Facilement agressé par des choses

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56
Q

Quelles sont les caractéristiques communes des troubles dépressifs?

A
  1. Altération du fonctionnement quotidien
  2. Humeur triste, irritable et impression de vide
  3. Modifications somatiques et cognitives
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57
Q

Quelles sont les différences entre les troubles?

A

Elles portent sur la fréquence, la durée, l’étiologie et l’occurrence

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58
Q

Quel trouble cherche-t-on?
A. Explosion de colère sévère et récurrente qui se manifeste verbalement et/ou de manière comportementale et qui sont disproportionnées en intensité ou en durée compte tenu de la situation
B. Les explosions de colère sont incompatibles avec l’âge développemental
C. Les explosions se produisent en moyenne trois fois par semaine
D. L’humeur entre les explosions de colère est irritable et colérique presque toute la journée, et ce, de manière persistante, presqu’à tous les jours et est observable par les autres
E. Ces quatre premiers critères présents pendant au moins 12 mois
F. Les manifestations sont présentes dans au moins deux milieux et sont sévères dans au moins un des milieux
G. L’âge du début des critères doit être avant 10 ans

A

Trouble de la dérégulation des conduites et de l’humeur

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59
Q

Vrai ou faux?

-Le diagnostic du Trouble de la dérégulation des conduites et de l’humeur est possible seulement chez les 7-18 ans

A

Vrai

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60
Q

Quel diagnostic cherche-t-on?
A. Humeur dépressive pendant au moins deux ans
B. Présence d’au mois deux des symptômes suivants:
a. Modifications de l’appétit
b. Perturbation du sommeil
c. Fatigue, manque d’énergie
d. Estime de soi diminuée
e. Difficultés de concentration, difficulté à prendre des décisions
f, Perte d’espoir
C. Les symptômes sont présents la majorité du temps (absence de symptôme ne doit pas être supérieure à 2 mois)

A

Trouble dépressif persistant (dysthymie)

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61
Q

Vrai ou faux?

-Le trouble dépressif persistant (dysthymie) est plus présent chez les enfants

A

Faux, il est plus présent chez les adolescents

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62
Q

Quel diagnostic cherche-t-on?
A. Cinq (ou plus) des symptômes suivants sont présents pendant une période d’au moins 2 semaines et représentent un changement du fonctionnement habituel, les symptômes doivent inclure (1) et (2):
1. Humeur dépressive
2. Diminution ou perte d’intérêt/plaisir dans les activités habituelles
3. Modifications au niveau du poids ou changements de l’appétit
4. Insomnie ou hyposomnie/hypersomnie
5. Changements psychomoteurs (agitation ou ralentissement)
6. Fatigue ou manque d’énergie
7. Impression d’être sans-valeur, dépréciation et/ou culpabilité excessive
8. Difficultés de concentration ou dans la prise de décision
9. Idées ou tentatives de suicides récurrentes

A

Trouble dépressif majeur

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63
Q

Vrai ou faux?

-Selon l’OMS, en 2000, la dépression majeure représentait la principale cause d’incapacité au monde

A

Vrai

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64
Q

Vrai ou faux?
-Lorsque les symptômes dépressifs surviennent exclusivement pendant la phase active d’une autre psychopathologie ou maladie, on diagnostique un épisode dépressif

A

Vrai

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65
Q

Comment est exprimée la tristesse (dû à l’humeur dépressive) chez l’enfant?

A

Crises de larmes sans raison apparente, peu de sourires, baisse du niveau d’énergie.
Elle peut aussi s’exprimer sous forme d’irritabilité, de colères plus fréquentes

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66
Q

Quel est le symptôme principal que l’on retrouve chez l’enfant/adolescent comme raison de consultation?

A

La baisse de rendement scolaire

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67
Q

Vrai ou faux?

-L’hypersomnie est rare chez l’adolescent, mais fréquente chez l’enfant lors d’un trouble dépressif

A

Faux, c’est chez l’enfant que l’hypersomnie est rare, mais fréquente chez l’adolescent

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68
Q

Vrai ou faux?

-Le trouble caractérisé débute en moyenne vers l’âge de 11 ans

A

Vrai

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69
Q

Vrai ou faux?

-Le trouble dysthymiqe débute en moyenne vers 9 ans

A

Vrai

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70
Q

Vrai ou faux?

-Le trouble bipolaire débute rarement avant la 3e année du primaire

A

Faux, il débute rarement avant le début de l’adolescence

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71
Q

Vrai ou faux?

-Le trouble de l’humeur est combiné à un autre trouble dans 34% des cas

A

Faux, c’est dans 89% des cas

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72
Q

Selon l’approche psychanalytique, la dépression est une réaction à quoi?

A

À la perte de l’objet d’amour.

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73
Q

Selon l’approche psychanalytique, que fait une dépression “primitive” ?

A

Elle laissera place à une fixation et un point de régression à l’âge adulte

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74
Q

Selon l’approche psychanalytique, la “séparation” d’avec la mère fait que l’enfant ressent de la culpabilité (dépression). Que se passe-t-il ensuite?

A

La manière dont il se défend ouvrira la porte ou non au développement d’une dépression par la suite

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75
Q

Selon l’approche cognitivo-comportementales, qu’est-ce qui cause la dépression?

A
  • Conditionnement opérant : l’enfant ne reçoit pas suffisamment de renforcement positif, ce qui contribue à une diminution de la motivation, perte d’intérêt
  • Distorsion cognitive expliquant l’installation et la persistance de l’humeur dépressive
  • Présence d’anormalités neurobiologiques
  • Dépression chez la mère, alcoolisme, etc.
  • Négligence
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76
Q

Vrai ou faux?
-On remarque, particulièrement chez les enfants, la présence d’un événement déclencheur à la dépression, qui est en général assez facile À repérer à l’anamnèse.

A

Vrai

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77
Q

Quels sont les outils de diagnostic des troubles dépressifs?

A
  • Children Depression Inventory (inspiré de l’échelle de dépression de Beck)
  • Méthodes projectives
  • MMPI-A
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78
Q

Vrai ou faux?

-Il faut toujours évaluer le risque suicidaire chez un enfant ou adolescent qui présente un trouble dépressif

A

Vrai

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79
Q

Quel est le traitement pour des troubles dépressifs ?

A
  • Hygiène de vue, prescription d’activités agréables
  • Restructuration cognitive
  • Travail du deuil (ou autre) dans certains cas
  • Parfois une médication est nécessaire (+ psychoéducation)
  • Amélioration des compétences affectives, sociales, etc.
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80
Q

Vrai ou faux?

- Il n’est pas nécessaire de poursuivre le traitement quand les symptômes sont en rémission

A

Faux, les études indiquent que le risque de rechute est élevé, d’où la nécessité de poursuivre le traitement pour quelques semaines

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81
Q

Quel diagnostic cherche-t-on?

  • Variation de l’humeur
  • Caractérisés par des fluctuations importantes de l’humeur et un niveau augmenté d’activité ou d’énergie
  • Présence de symptômes de manie ou d’hypomanie
  • Présence d’épisodes dépressifs
  • Changements de l’humeur observable par les autres
  • Rupture par rapport au fonctionnement habituel
A

Troubles bipolaires

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82
Q

Que retrouve-t-on dans la catégorie des troubles bipolaires?

A

Trouble bipolaire de type I
Trouble bipolaire de type II
Cyclothymie

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83
Q

À quel épisode du trouble bipolaire cherche-t-on?
A. Période distinctive d’humeur expansive et/ou irritable avec augmentation marquée de l’énergie et de l’activité pendant au moins une semaine
B. 3 (ou 4 si irritable) des symptômes suivants:
-Estime de soi augmentée, grandiosité
-Besoin réduit de sommeil
-Fuite des idées
-Distractibilité
-Augmentation des activités dirigées vers un but
-Activité ayant un risque élevé de conséquences désastreuses
C. Le changement est marqué et sévère au point de nécessiter une hospitalisation ou de provoquer des difficultés importantes dans la sphère occupationnelle et/ou sociale, des caractéristiques psychotiques peuvent être présentes

A

La manie

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84
Q

Qu’est-ce que la tachypsychie?

A

Tout se déroule en accéléré

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85
Q

Quels sont les éléments distinctifs de l’épisode maniaque?

A
  • Tachypsychie
  • Hyperactivité dans le fonctionnement
  • Très peu d’insight
  • Jugement grandement affecté
  • Difficile à stabiliser
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86
Q

À quel épisode du trouble bipolaire cherche-t-on?
A. Période distinctive d’humeur expansive, irritable avec l’augmentation marquée de l’énergie et de l’activité pendant 4 jours
B. 3 (ou 4 si irritable) des symptômes suivants:
-Estime de soi augmentée, grandiosité
-Besoin réduit de sommeil
-Fuite des idées
-Distractibilité
-Augmentation des activités dirigées vers un but

Mais:
Changements observables par les autres
L’épisode n’est pas sévère au point de nécessiter une hospitalisation et il n’y a pas de caractéristiques psychotiques

A

L’hypomanie

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87
Q

Qu’est-ce qui caractérise le trouble bipolaire de type I ?

A

Épisode maniaque avec ou sans épisode hypomaniaque et/ou épisode de dépression majeure

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88
Q

Qu’est-ce qui caractérise le trouble bipolaire de type II?

A

Au moins un épisode hypomaniaque ET un épisode de dépression majeure. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque

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89
Q

Qu’est-ce que la cyclothymie?

A

Il s’agit d’une forme légère mais chronique de variations de l’humeur

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90
Q

Quel diagnostic cherche-t-on?

  • Pendant au moins deux ans, alternance des symptômes hypomaniaques et de symptômes dépressifs, sans jamais que la somme des symptômes soit suffisante pour poser un diagnostic d’épisode
  • Les critères d’épisode maniaque, hypomaniaque ou dépressif n’ont jamais été rencontrés
  • Les symptômes hypomaniaques et dépressifs surviennent en alternance et sont présentes au moins la moitié du temps. Il n’y a pas de période de plus de deux mois sans la présence de symptômes (euthymie)
A

La cyclothymie

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91
Q

Vrai ou faux?

-L’âge moyen de début de la manie va de 4 à 9 ans

A

Vrai

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92
Q

Vrai ou faux?

-La comorbidité du trouble bipolaire avec un TDAH est de 39-98%

A

Vrai

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93
Q

Vrai ou faux?

-La manie se présente de la même manière chez l’enfant

A

Faux, on retrouve :

  • Moins d’euphorie
  • Plus d’irritabilité, de colère, comportements violents envers les membres de la famille, amis, professeurs
  • Trop de familiarité en comparaison avec le style habituel de l’enfant
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94
Q

Vrai ou faux?

-La prémisse acceptée par tous est que la manie est associée à la dépression

A

Vrai

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95
Q

Vrai ou faux?

-Dans les théories psychanalytiques, la manie est un signe d’abandon

A

Faux, la manie est une défense contre la dépression, il s’agit d’une toute-puissance réparatrice, qu’on peut observer dans les jeux d’enfants.

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96
Q

Vrai ou faux?

-Le diagnostic de trouble bipolaire chez l’enfant est très difficile?

A

Vrai

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97
Q

Quelle triade, selon Swann, suggère une forte probabilité de trouble bipolaire ?

A

Trouble anxieux
Trouble de la conduite et/ou oppositionnel
Abus de substance

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98
Q

Quel est le traitement du trouble bipolaire?

A
Médication
Psychoéducation, reconnaissance des précurseurs de manie
Hygiène de vie
Gestion du stress
Restructuration cognitive
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99
Q

Quel concept cherche-t-on?

-Cette catégorie inclut la schizophrénie, les troubles psychotiques et le trouble de personnalité schizotypique

A

Spectre de la schizophrénie et autres troubles psychotiques

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100
Q

Comment sont définis le spectre de la schizophrénie et autres troubles psychotiques?

A

Par la présence d’un ou plusieurs des éléments suivants:

  • Délire
  • Hallucination
  • Désorganisation de la pensée
  • Comportement anormal ou désorganisé
  • Symptômes négatifs
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101
Q

Qu’est-ce qu’un délire ?

A

Il s’agit d’une croyance ancrée qui n’est pas ébranlable par la logique. Peut avoir un caractère bizarre ou non

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102
Q

Qu’est-ce qui permet de distinguer le délire?

A

C’est l’incapacité du jeune à remettre en question sa pensée, même si elle est confrontée à une preuve concrète qui la réfute

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103
Q

Quels sont les types de délire?

A
De persécution
Grandiose
De référence
Religieux
Somatique
Érotomaniaque
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104
Q

Quel type de délire cherche-t-on?

-Croire que des messages cachés lui sont désignés

A

De référence

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105
Q

Quel type de délire cherche-t-on?

-Coire être victime, qu’on lui veut du mal

A

De persécution

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106
Q

Quel type de délire cherche-t-on?

-être extraordinaire, avoir fait une chose exceptionnelle

A

Grandiose

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107
Q

Quel type de délire cherche-t-on?

-Sensations corporelles (et leurs explications) bizarres

A

Somatique

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108
Q

Quel type de délire cherche-t-on?

-Être amoureux ou aimé d’une personne spéciale

A

Érotomaniaque

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109
Q

Quel type de délire cherche-t-on?

-Croire que l’on est investi d’une mission donnée par un être supérieur

A

Religieux

110
Q

Quel concept cherche-t-on?
-La personne vit une expérience sensorielle, alors qu’l n’y a aucun stimulus repérable
Cette expérience est vécue avec autant d’intensité que ce que l’on retrouve dans la réalité

A

Les hallucinations

111
Q

Vrai ou faux?

Les hallucinations sont contrôlables

A

Faux, elles sont incontrôlables

112
Q

Vrai ou faux?

Les hallucinations sont seulement de modalité auditive

A

Faux, elles sont possibles dans toutes les modalités sensorielles, mais plus fréquentes dans la modalité auditive

113
Q

Que peut présenter une personne victime d’une désorganisation de la pensée ?

A
  • Difficulté à s’exprimer
  • Salade verbale

Altérations doivent nuire à la communication de manière significative

114
Q

Quel concept cherche-t-on?
-Représente un état dans lequel la personne ne parle plus, ne bouge plus. Peut adopter une posture bizarre pendant plusieurs heures

A

La catatonie

115
Q

Quels sont les symptômes négatifs ?

A

Expression émotionnelle réduite
Apathie
Alogie
Isolement, retrait social, indifférence

116
Q

Vrai ou faux?
-Les symptômes négatifs sont plus typiques de la schizophrénie. Ils sont très invalidant pour le fonctionnement quotidien

A

Vrai

117
Q

Quel symptôme négatif cherche-t-on?
-La personne atteinte ne trouve plus ses mots, donne des réponses brèves et évasives et ne réussit plus à communiquer ses idées ou ses émotions. Elle utilise des expressions ou des structures de phrases inhabituelles

A

Alogie

118
Q

Quel symptôme négatif cherche-t-on?

-Expression faciale quasi absente, absence de contact visuel, intonation de la voix…

A

Expression émotionnelle réduite

119
Q

Quel symptôme négatif cherche-t-on?
-La personne atteinte passe ses journées devant la télé sans vraiment être capable de suivre ce qui s’y passe, elle néglige son hygiène ou son apparence personnelle et manque de persistance ou d’intérêt pour commencer ou achever des tâches routinières. Cette attitude donne une impression d’insouciance, de négligence, de manque de volonté et de paresse

A

Apathie

120
Q

Quel trouble cherche-t-on?
-Déficients relationnels, malaise associé à la notion de proximité avec autrui, distorsions cognitives, perceptuelles et/ou comportements excentriques, présents dans plusieurs domaines de vie. On doit retrouver au moins 5 des manifestations suivantes (1 mois) :
-Idées de référence
-Expériences perceptuelles inhabituelles
- Idéation paranoïde, suspicion
- Apparence ou comportement bizarre
- Anxiété sociale qui ne diminue pas malgré
la familiarité
-Pensée magique, superstition, télépathie
-Pensée et discours altérés
- Émoussement des affects ou affect
inapproprié
- Isolement social, peu d’ami
- Plus parano que crainte du jugement

A

Trouble de personnalité schizotypique

121
Q

Quel trouble cherche-t-on?

  • Essentiellement axé autour du délire
  • Prévalence autour de 0,2%
  • Pas d’atteinte au fonctionnement quotidien
  • Ne rencontre pas les critères de la schizophrénie
  • Idées délirantes présentes pendant au moins un mois
A

Trouble délirant

122
Q

Quels sont les types possibles du trouble délirant?

A
  • Jaloux
  • Amoureux
  • Persécution
  • Somatique
  • Grandiose
123
Q

Quel trouble cherche-t-on?

  • La personne présente au moins une des difficultés suivantes: soit 1) désorganisation de la pensée; 2) hallucinations; 3) délire; 4) comportement bizarre anormal
  • Symptômes présents pendant au moins une journée et MAX un mois
  • Retour au fonctionnement prémorbide à la fin de l’épisode
  • Prévalence environ 9% (deux fois plus de femmes)
A

Épisode psychotique bref

124
Q

Quel trouble cherche-t-on?

  • La personne présente au moins DEUX des difficultés suivantes: soit 1) désorganisation de la pensée; 2) hallucinations; 3) délire; 4) comportement bizarre ou anormal; 5) symptômes négatifs
  • L’épisode dure au moins un mois et maximum 6 mois
  • Prévalence 0.3 à 0.7%
A

Trouble schizophréniforme

125
Q

Quel trouble cherche-t-on?
-Critère A : Présence d’au moins deux des symptômes suivants pendant la majorité du temps, et ce, pour au moins un mois. Au moins un des symptômes doit être (1), (2) ou (3):
1) Délire
2) Hallucinations
3) Désorganisation du discours
4) Comportement grossièrement désorganisé ou catatonique
5) Symptômes négatifs
-Critère B : Pour la majeure partie du temps depuis l’apparition de la maladie, on retrouve une diminution du niveau de fonctionnement dans au moins un domaine, comparativement au seuil atteint avant l’apparition des premiers symptômes.
-Critère C : Présence de symptômes résiduels pendant au moins 6 mois, où le critère A a été rempli pour au moins un mois ou plus
Prévalence : 1%

A

Schizophrénie

126
Q

Quel trouble cherche-t-on?

  • Période ininterrompue où l’on retrouve la combinaison d’un épisode dépressif majeur ou maniaque parallèlement aux symptômes du critère A de la schizophrénie.
  • Présence d’un délire ou d’hallucinations pendant au moins deux semaines en-dehors de l’épisode thymique
  • L’épisode thymique est tout de même présent la majorité du temps (distinction avec un épisode commorbide)
  • Prévalence d’environ 0,3%
A

Trouble schizoaffectif

127
Q

Vrai ou faux?

-Les jeunes atteints de schizophrénie démontrent des atteintes seulement dans une sphère de la cognition

A

Faux, ils sont atteints dans presque toutes les fonctions cognitives évaluées par la neuropsychologie

128
Q

Comment la mémoire est-elle atteinte chez un jeune schizophrène ?

A

Empan mnésique limité, mémoire de travail

129
Q

Comment l’attention est-elle atteinte chez un jeune schizophrène?

A

Tous les systèmes attentionnels sont touchés, grandes susceptibilité à la surcharge cognitive

130
Q

Comment les fonctions exécutives sont-elles atteintes chez un jeune schizophrène?

A

Incapacité d’exercer et de maintenir un contrôle volontaire de leur comportement, de formuler, d’initier et d’exécuter des plans d’action. Tendance à la persévération, diminution de la flexibilité mentale. Difficulté à se projeter dans l’avenir en anticipant à l’avance

131
Q

Quelle est la dimension biologique de la schizophrénie?

A

Hérédité; enfant d’un couple de parents schizophrènes = 50% de risque
Anomalies neurochimiques
Anomalies structurales
Hypothèse hormonale

132
Q

Quelle est la dimension environnementale de la schizophrénie?

A

Plusieurs facteurs obstétricaux (naissance prématuré, problème au niveau du placenta…)
Dysfonctionnement familial

133
Q

Quelle est la dimension psychologique, théories psychodynamiques de la schizophrénie?

A

Incapacité à surmonter l’étape de la distinction de ce qui est “soi” et ce qui ne l’est pas
Persistance d’une angoisse primitive de morcellement
Utilisation de mécanismes de défense primitifs pour éviter d’être en contact avec cette angoisse

134
Q

Vrai ou faux?

-La schizophrénie chez un enfant compromet tout son développement

A

Vrai

135
Q

Vrai ou faux?

-On diagnostique généralement la schizophrénie vers l’âge de 15 ans

A

Faux, il est rare qu’un tel diagnostic soit porté avant l’âge de 15 ans

136
Q

Quels sont les éléments sémiologiques importants permettant d’affirmer le délire chez l’enfant?

A

Envahissement de la vie entière de l’enfant de cet âge par des fantaisies ludiques, leur persistance ou seulement leur non-modification en présence de l’adulte, la disparition des repères d’espace et de temps, l’indistinction des limites corporelles ou psychiques, le retentissement négatif sur la vie scolaire et familiale.

137
Q

Comment les enfants non psychotiques (et non atteints d’une pathologie somatique invalidante) qui hallucinent diffèrent généralement des enfants souffrant de psychose?

A

Ils ne sont pas délirants
Ils ne présentent pas de troubles du langage
Ils ne présentent pas de diminution de leur activité motrice ou des changements d’humeur inad.quats
Ils ne présentent pas de comportements bizarres ou des comportements d’évitement social majeurs
Leur rapport à la réalité est préservé et on n’observe pas de confusion mentale entraînant des discordances dans leur rapport à l’autre

138
Q

Quels sont les signes de possibilité d’une schizophrénie chez un adolescent?

A

Changement drastique des habitudes de sommeil
Retrait social
Ces comportements mènent à une augmentation de l’irritabilité

139
Q

Quel trouble du comportement alimentaire cherche-t-on?

  • Pour une dur.e d’au moins un mois, ingestion de substance non-nutritive
  • Nombreux dangers pour la santé de l’enfant
  • Reliés dans certains cas à déficience intellectuelle ou TOC
  • Traitement : comportemental essentiellement (utilisation du renforcement positif pour arrêter ce comportement)
  • Survient habituellement autour de 1 ou 2 ans
A

Pica

140
Q

Quel trouble du comportement alimentaire cherche-t-on?

  • Régurgitations fréquentes pendant au moins un mois, de manière volontaire et sans présence de troubles gastro-intestinaux pouvant expliquer le phénomène. L’enfant peut remâcher, ré-avaler ou recracher
  • L’enfant semble “satisfait”, calmé suite à la régurgitation, peut être irritable entre les épisodes
  • Peut débuter à tout âge de la vie…
  • Fréquent chez les enfants en institution
  • Associé à la carence, la négligence, situations environnementales défavorables au développement sain de l’enfant
A

Rumination

141
Q

Quel trouble du comportement alimentaire cherche-t-on?
A. Restrictions alimentaires qui conduisent à une perte de poids significative
B. Peur intense de prendre du poids ou de devenir gros, comportements persistants qui interfèrent avec la prise de poids
C. Perceptions erronées sur l’image du corps ou absence de reconnaissance de la gravité de la “maigreur”

A

Anorexie mentale

142
Q

Quels sont les types d’anorexie mentale ?

A

Restrictif stricte
Purgatif
*le type peut changer avec le temps, il est même possible d’observer un glissement vers la boulimie

143
Q

Quel type d’anorexie mentale cherche-t-on?
-La personne ne démontre pas d’épisode de purge et n’utilise pas de laxatif ou autre moyen. Il s’agit d’un contrôle extrême à l’endroit de ce qui est ingurgité

A

Restrictif stricte

144
Q

Quel type d’anorexie mentale cherche-t-on?

-La personne présente des accès boulimique suivis de comportements de purge

A

Purgatif

145
Q

Parmi ses affirmations sur l’anorexie mentale, laquelle est fausse

1) Le trouble apparaît surtout vers la fin de l’adolescence
2) Généralement, un évènement particulièrement stressant est associé au début des symptômes
3) Aménorrhée (arrêt des règles)
4) Le patient typique: femme blanche avec un niveau d’éducation élevé et provenant d’un milieu aisé

A

3)

146
Q

Quel trouble du comportement alimentaire cherche-t-on?
A. Épisodes d’hyperphagie récurrents, tels qu’illustrés par:
A. Ingestion d’une quantité de nourriture significativement supérieure à la normale, pendant une courte période
B. Impression de perte de contrôle pendant l’épisode
B. Comportements compensatoires récurrents, dans le but de ne pas prendre de poids, tels que vomissements, utilisation de laxatifs, activité physique excessive
C. Les symptômes sont présents au moins une fois par semaine pendant trois mois et plus
D. La perception de soi est basée sur le corps et la forme athlétique
E. Les épisodes ne doivent pas faire partie d’un trouble anorexique

A

Boulimie

147
Q

Parmi ses affirmations sur la boulimie, laquelle est fausse?

1) Le poids est généralement situé sous la normale
2) Mécanisme compensatoire le plus fréquent est le fait de se faire vomir. Vient ensuite l’utilisation de laxatifs
3) Survient souvent suite à un régime important
4) Présence de période de surcharges pondérales souvent identifiables dans l’histoire de la personne

A

1)

148
Q

Quelle est la différence entre l’anorexie mentale de type purgatif et la boulimie?

A

Le poids, mais surtout l’image du corps
Boulimie = poids normal, ne veut plus en prendre
Anorexie mentale de type purgatif = faible poids, cherche à en prendre

149
Q

Comment traite-t-on les troubles du comportement alimentaire ?

A

Pharmacologie
Approches systémiques
Hospitalisations fréquentes

150
Q

Quel trouble du comportement alimentaire cherche-t-on?
A. Épisodes d’hyperphagies récurrents, tel qu’illustré par:
A. Ingestion d’une quantité de nourriture significativement supérieure à la normale, pendant une courte période
B. Impression de perte de contrôle pendant l’épisode
B. Les épisodes sont associés à:
A. Manger significativement plus que la normale
B. Manger jusqu’à se sentir inconfortable
C. Manger une grande quantité de nourriture même sans faim
D. Manger seul car honte de le faire devant d’autres personnes
E. Se sentir dégoûtant, coupable ou honteux suite à l’épisode
C. Détresse marquée
D. Au moins une fois par semaine pendant au moins trois mois et plus
E. Il n’y a pas de comportements restrictifs ou compensatoires comme dans la boulimie

A

Hyperphagie boulimique

151
Q

Parmi ces affirmations sur l’hyperphagie boulimique, laquelle est fausse?

1) Peut être présente chez des personnes de poids normal ou obèse
2) Il y a plus de femmes atteintes, mais non significatif comme dans l’anorexie et la boulimie
3) Le taux de rémission spontané est inférieur à celui retrouvé dans les autres troubles du comportement alimentaire
4) Problématiques physiques multiples avec le temps

A

3)

152
Q

Quels sont les causes de l’hyperphagie boulimique?

A

Difficultés dans la gestion des émotions
Faibles estime de soi
Environnement instable, relations conflictuelles avec l’entourage

153
Q

Quel est le traitement de l’hyperphagie boulimique?

A

TCC (cognitions erronées)
Travail sur la régulation émotionnelle, d’apprentissage à tolérer la détresse
Psychoéducation

154
Q

Quels sont les troubles de l’élimination ?

A

Énurésie

Encoprésie

155
Q

Quel trouble de l’élimination cherche-t-on?
-Au moins 2 fois par semaine et pendant 3 mois ou provoque une détresse importante. Âge chronologique 5 ans (ou équivalent développemental)
Fuite urinaire

A

Énurésie

156
Q

Quelle est la différence entre l’énurésie primaire et celle secondaire?

A

Primaire: dû au développement; survient en bas âge
Secondaire: associer à quelque chose, régression de la personne

157
Q

Quel trouble de l’élimination cherche-t-on?
-Au moins une fois par mois pendant au moins 3 mois. Âge chronologique 4 ans (ou équivalent développemental).
Fuite des selles

A

Encoprésie

158
Q

Quel trouble du sommeil/d’éveil cherche-t-on?

  • De manière répétée, l’enfant traverse des périodes d’éveil incomplet, généralement dans le premier tiers de la nuit (terreur nocturne, somnambulisme)
  • Aucun souvenir de l’épisode, pas de cauchemar rapporté
A

Les troubles d’éveil pendant le sommeil non paradoxal

159
Q

Quel trouble du sommeil/d’éveil cherche-t-on?

  • Réveils récurrents en raison de rêves qui provoquent de la peur, de l’anxiété et/ou des émotions dysphoriques chez l’enfant
  • Le contenu est facilement rappelé à la conscience
  • Nuit au bon développement de l’enfant
  • Souvent présents lorsque stresseurs psychosociaux importants dans la vie de l’enfant
A

Trouble cauchemar

160
Q

Quel trouble du sommeil/d’éveil cherche-t-on?

  • Plaintes relatives à la pauvreté du sommeil, soit causée par des difficultés à s’endormir, des réveils fréquents et/ou des réveils très tôt
  • Au moins 3 nuits par semaine et ce pendant au moins 3 mois
A

Insomnie

161
Q

Quel trouble somatique cherche-t-on?

-Présence de plaintes somatiques récurrentes avec ou sans maladie, cognitions, émotions et comportements inhabituels

A

Trouble de symptômes somatiques

162
Q

Quel trouble somatique cherche-t-on?

-Crainte d’avoir une maladie, sans symptômes majeurs, habitudes de vie autour de la crainte d’être malade

A

Trouble d’anxiété relié à la maladie

163
Q

Quel trouble somatique cherche-t-on?

-Altération des fonctions motrices ou sensorielles sans condition médicale associée

A

Trouble de conversion

164
Q

Quel trouble somatique cherche-t-on?

-Invention de symptômes pour soi ou autre personne, même en l’absence de bénéfices secondaires

A

Trouble factice

165
Q

Quels sont les causes d’un trouble somatique?

A
Seuil de sensibilité à la douleur bas
Traumas
Tempérament à tendances négatives
Indigestion émotionnelle
Apprentissage
166
Q

Quels sont les traitements pour les troubles somatiques?

A

Rassurer et expliquer l’importance des difficultés
Favoriser l’expression émotionnelle
Travail des distorsions cognitives de l’enfant

167
Q

Quel trouble factice cherche-t-on?
Réfère à une forme rare et bizarre de maltraitance qui peut être mortelle, caractérisée par la falsification ou la production d’une maladie par un parent, ce qui entraîne des investigations et des traitements médicaux inutiles

A

Trouble factice imposé à un autre - Le syndrome de Mundchausen par procuration

168
Q

Quels sont les trois types du syndrome de Mundchausen par procuration (trouble factice imposé à un autre)?

A

Invention d’une histoire fausse
Falsification de résultats médicaux
Production des symptômes

169
Q

Quel concept cherche-t-on?

  • Manière habituelle de se sentir, de se comporter et de penser.
  • Mode privilégié de comportements et d’adaptation au monde qui est repérable par les traits de personnalité
  • La personnalité s’organise au cours du développement et peut se fixer ou régresser (personnalité pathologique). La personnalité normale est caractérisée par sa flexibilité et des capacités d’adaptation variées
A

Conception actuelle de la personnalité

170
Q

Vrai ou faux?
-Différentes variables mènent au développement de la personnalité (ex: le tempérament, les interactions parent-enfant, etc)

A

Vrai

171
Q

Vrai ou faux ?
-La personnalité est en construction pendant ;’enfance et l’adolescence. Chez certains auteurs, la personnalité est “définitive” au début de l’âge adulte, alors que d’autres encore proposent un âge plus avancé (autour de 25 ans). Pour certains, la personnalité évolue toute la vie.

A

Vrai

172
Q

Comment sont définis les traits de personnalité dans le DSM?

A

Schémas persistants concernant la manière de percevoir, de penser et de se relier à l’environnement et à soi-même, qui sont perceptibles dans une multitude de contextes.

173
Q

Pour Allport, les traits de personnalité sont des prédispositions à réagir d’une certaine manière aux événements. Pour lui, comment sont ces traits ?

A
  • Clairement définis
  • Pas purement logiques
  • Observables
  • Mesurables
  • Interagissent entre eux
174
Q

Quel concept cherche-t-on?

  • Représente un schéma persistant d’expériences internes et de comportements qui dévie de façon marquée par rapport aux atteintes culturelles du milieu. Ce schéma se manifeste dans au moins deux des domaines suivants:
  • Cognition
  • Affectivité
  • Relations interpersonnelles
  • Contrôle des impulsions
  • Le schéma est durable (depuis l’adolescence) et inflexible. Il se manifeste dans une variété de situations et crée une détresse importante ou nuit au fonctionnement social, occupationnel OU familial
A

Le trouble de personnalité

175
Q

Que représente le cluster A des troubles de la personnalité ?

A

Les personnalités excentriques, bizarres…

176
Q

Quel concept cherche-t-on?

  • Mode général de détachement par rapport aux relations sociales et de restriction de la variété des expressions émotionnelles dans les rapports avec autrui, qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins 4 des manifestations suivantes:
    1. La personne ne recherche, ni n’apprécie les relations proches y compris les relations intrafamiliales
    2. La personne choisit presque toujours des activités solitaires
    3. La personne n’a que peu ou pas d’intérêt pour les relations sexuelles avec d’autres personnes
    4. La personne n’éprouve du plaisir que dans de rares activités, sinon dans aucune
    5. La personne n’a pas d’amis proches ou de confidents, en dehors de ses parents du premier degré
    6. La personne semble indifférente aux éloges et à la critique d’autrui
    7. La personne fait preuve de froideur, de détachement ou d’émoussement de l’affectivité
A

Trouble de personnalité schizoïde

177
Q

Parmi ces affirmations sur le TP schizoïde, laquelle est fausse ?

  1. Beaucoup de connaissances sur ce TP
  2. Prévalence inconnue (certaines études avancent 3.1% de la population)
  3. Aucune connaissance concernant les causes. Hypothèse d’une transmission héréditaire proche de celle de la schizophrénie
  4. Traitement : apprentissage d’habiletés sociales, psychothérapie pour explorer le monde fantasmatique, développement de l’empathie
A
  1. Très peu de connaissances sur ce TP. On les voit peu en clinique et difficile à recruter en recherche
178
Q

Quel trouble de la personnalité cherche-t-on?

  • Déficits relationnels, malaise associé à la notion de proximité avec autrui, distorsions cognitives, perceptuelles et/ou comportements excentriques, présents dans plusieurs domaines de vie. On doit retrouver au moins 5 des manifestations suivantes:
    • Expériences perceptuelles inhabituelles
  • Idéation paranoïde, suspicion
  • Apparence ou comportement bizarre
  • Anxiété sociale qui ne diminue pas malgré la familiarité, plus parano que crainte du jugement
  • Pensée et discours altérés
  • Émoussement des affects ou affect inapproprié
  • Isolement social, peu d’ami
A

Trouble de la personnalité schizotypique

179
Q

Parmi ces affirmations sur le TP schizotypique, laquelle est fausse ?

  1. Consultent surtout lorsqu’ils sont déprimés.
  2. Caractéristiques communes avec transmission héréditaire de la schizophrénie et trouble bipolaire
  3. Aucun traitement possible
A
  1. Traitement : surtout un travail au niveau des habiletés sociales, parce que peuvent souffrir de l’isolement. Parfois, lorsque les symptômes sont trop dérangeants, médication antipsychotique
180
Q

Quel trouble de la personnalité cherche-t-on?

  • Méfiance soupçonneuse envahissante envers les autres dont les intentions sont interprétées comme malveillantes, qui apparaît au début de l’âge adulte et est présente dans divers contextes, comme en témoignent au moins 4 des manifestations suivantes:
    1. Le sujet s’attend sans raison suffisante à ce que les autres l’exploitent, lui nuisent ou le trompent
    2. Est préoccupé par des doutes injustifiés concernant la loyauté ou la fidélité de ses amis ou associés
    3. Est réticent à se confier à autrui en raison d’une crainte injustifiée que l’information soit utilisée de manière perfide contre lui
    4. Discerne des significations cachées, humiliantes ou menaçantes dans des commentaires ou des événements anodins
    5. Garde rancune, c’est-à-dire ne pardonne pas d’être blessé, insulté ou dédaigné
    6. Perçoit des attaques contre sa personne ou sa réputation, alors que ce n’est pas apparent pour les autres, et est prompt à la contre-attaque ou réagit avec colère
    7. Met en doute de manière répétée et sans justification la fidélité de son conjoint ou de son partenaire sexuel
A

Trouble de la personnalité paranoïaque

181
Q

Parmi ces affirmations sur le TP paranoïaque, laquelle est fausse?

  1. Plusieurs personnalités connues dans l’histoire.
  2. Prévalence d’environ 2.3%
  3. Aucun rapprochement héréditaire
  4. Traitement : seulement 11% des psychothérapeutes croient que ces patients poursuivent suffisamment longtemps en thérapie pour qu’il y ait un changement. Surtout, travail de la relation de confiance, clarification du mandat, utilisation d’authenticité +++. Travail des distorsions graduel
A
  1. Semble y avoir un rapprochement héréditaire avec le trouble délirant
182
Q

Que représente le cluster B des troubles de la personnalité?

A

Les personnalités émotives, imprévisibles

183
Q

Quel trouble de la personnalité cherche-t-on?
A. Il s’agit d’un mode général de mépris et de transgression des droits d’autrui qui survient depuis l’âge de 15 ans, comme en témoignent au moins 3 des manifestations suivantes:
1.Incapacité de se conformer aux normes sociales qui déterminent les comportements légaux, comme l’indique la répétition de comportements passibles d’arrestation
2. Tendance à tromper par profit ou par plaisir, indiquée par des mensonges répétés, l’utilisation de pseudonymes ou des escroqueries
3. Impulsivité ou incapacité à planifier à l’avance
4. Irritabilité ou agressivité, indiquées par la répétition de bagarres ou d’agressions
5. Mépris inconsidéré pour sa sécurité ou celle d’autrui
6. Irresponsabilité persistante, indiquée par l’incapacité répétée d’assumer un emploi stable ou d’honorer des obligations financières
7. Absence de remords, indiquée par le fait d’être indifférent ou de se justifier après avoir blessé, maltraité ou volé autrui
B. Âge au moins égal à 18 ans
C. Manifestations d’un trouble des conduites débutant avant l’âge de 15 ans

A

Trouble de personnalité antisociale

184
Q

Parmi ces affirmations sur le TP antisociale, laquelle est fausse?

  1. Tendance à être charmeurs, séducteurs
  2. Manque flagrant d’empathie
  3. Plus d’hommes que de femmes. Prévalence d’environ 3%. Plus élevée dans les milieux socio-économiques difficiles
  4. Beaucoup de gambling
  5. Deux hypothèses principales (1. seuil d’excitabilité très élevé 2. Absence de peur (circuit des structures limbiques s’activent peu comparativement à la population normale))
  6. En psychothérapie : attention!!! Ils recherchent parfois une autre victime
A
  1. Beaucoup de toxicomanie. Diagnostic très prévalent dans les centres de détention. Par contre, les études indiquent que l’intelligence joue un rôle important
185
Q

Quel trouble de la personnalité cherche-t-on?

  • Mode général d’instabilité des relations interpersonnelles, de l’image de soi et des affects avec une impulsivité marquée, qui apparaît au plus tard au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins 5 des manifestations suivantes:
    1. Efforts effrénés pour éviter les abandons réels ou imaginés
    2. Mode de relations interpersonnelles intenses et instables caractérisées par l’alternance entre des positions extrêmes d’idéalisation excessive et de dévalorisation
    3. Perturbation de l’identité : instabilité persistante et marquée de l’image ou la notion de soi
    4. Impulsivité dans au moins deux des domaines potentiellement dommageables pour le sujet
    5. Répétition de comportements, de gestes ou de menaces suicidaires ou d’automutilations
    6. Instabilité affective due à une réactivité marquée de l’humeur
    7. Sentiments chroniques de vide
    8. Colères intenses et inappropriées ou difficulté à contrôler sa colère
    9. Survenue transitoire dans des situations de stress d’une idéation persécutrice ou de symptômes dissociatifs sévères.
A

Trouble de personnalité limite

186
Q

Parmi ces affirmations sur le TP limite, laquelle est fausse?

  1. Prévalence varie de 1.6 À 5.9%
  2. Souffrance très importantes chez l’entourage de ses personnes
  3. Peur de l’abandon ou du rejet tellement importante qu’ils vont poser des actions ou adopter des attitudes qui les conduit directement vers cela
  4. Dans la relation, beaucoup d’inversion de rôles (ex: agresseur/victime)
A
  1. Souffrance très importante chez ces personnes, qui sont en crises perpétuelles… et fatigue des intervenants
187
Q

Parmi ces affirmations sur les causes biologiques des TP, laquelle est fausse?

  1. Dysfonctionnement au niveau des lobes frontaux (impulsivité), et connexions entre structures limbiques et lobes frontaux
  2. Souvent TCC dans l’histoire développementale, mais on considère tout de même qu’il s’agit d’anomalies neurodéveloppementales
  3. Performances plus difficiles au plan des fonctions exécutives
  4. Non héréditaire
A
  1. Risque 5 fois plus grand lorsque parent de premier degré ont un diagnostic
188
Q

Parmi ces affirmations sur les causes environnementales des TP, laquelle est fausse?

  1. Selon plusieurs études, environ 75% des personnes avec un TPL auraient vécu des abus physiques et/ou sexuels pendant l’enfance
  2. Dysfonctionnement dans la famille (modèle de Linehan)
  3. Aucun lien avec la toxicomanie lors de la grossesse
A
  1. Certaines études soulignent une contribution probable de la consommation de toxique pendant la grossesse, mais demeure hypothétique
189
Q

Qu’est-ce que le modèle de Linehan?

A

Les difficultés vécues proviennent de la combinaison de la vulnérabilité biologique et d’un environnement invalidant (pendant le développement)

190
Q

Que fait l’environnement invalidant?

A
  • Rejette le vécu subjectif de la personne (éronné, invalide ou injustifiable)
  • Puni l’expression spontanée des émotions parce que jugées exagérées
  • Minimise ou nie l’importance des difficultés vécues
191
Q

Quelles sont les conséquences de l’environnement invalidant ?

A
  • La personne n’apprend pas à identifier et moduler ses expériences émotionnelles
  • N’apprend pas à tolérer la détresse, ni à se fixer des attentes et objectifs réalistes
  • Doit souvent étaler ses émotions de manière extrême pour être entendue
  • N’apprend pas à faire confiance à son expérience pour interpréter les événements et se tente plutôt à s’adapter à l’environnement immédiat
192
Q

Parmi ces affirmations sur les causes psychologiques des TPL, laquelle est fausse ?

  1. Attachement insécure. La balance entre les expériences positives et négatives dans l’enfance n’est pas égale et l’enfant ne peut donc pas intégrer correctement ces deux pôles
  2. Identité non-consolidée
  3. Utilisation de mécanisme de défense de 2e ordre
  4. Relations objectales dominées par l’angoisse d’abandon
A
  1. Utilisation de mécanismes de défense primitifs (dont majoritairement le clivage et la projection)
193
Q

Parmi ces affirmations sur les traitements des TPL, laquelle est fausse ?

  1. Psychoéducation sur le trouble, sur la possibilité de s’en sortir
  2. Psychothérapie (psychodynamique (centrée sur le transfert ou basée sur la mentalisation), dialectique-comportementale (TCD))
  3. Méditation
A
  1. Médication pour dépression ou gestion de l’impulsivité
194
Q

Quelles sont les 4 étapes à suivre dans l’établissement des objectifs de traitement TCD ?

A
  1. Réduction des comportements qui menacent la vie
  2. Réduction des comportements qui interfèrent avec la thérapie
  3. Réduire les comportements qui interfèrent avec la qualité de vie (consommation, problème alimentaire, problème interpersonnels, etc)
  4. Augmenter les compétences psychosociales
195
Q

Quel traitement cherche-t-on?

  • Combinaison d’un suivi individuel et d’un suivi de groupe (axé sur la psychoéducation)
  • Participation des parents…
  • 5 modules de groupes:
    1. Habiletés de centration
      2. Habiletés de régulation émotionnelle
      3. Habiletés d’efficacité interpersonnelle
      4. Habiletés de tolérance à la détresse
      5. Marcher dans la voie du milieu
A

Traitement TCD

196
Q

Quel trouble de la personnalité cherche-t-on?

  • Mode général de réponses émotionnelles excessives et de quête d’attention, qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins 5 des manifestations suivantes:
    1. Le sujet est mal à l’aise dans les situations où il n’est pas au centre de l’attention d’autrui.
    2. L’interaction avec autrui est souvent caractérisée par un comportement de séduction sexuelle inadaptée ou une attitude provocante
    3. Expression émotionnelle superficielle et rapidement changeante
    4. Utilise régulièrement son aspect physique pour attirer l’attention sur soi
    5. Manière de parler trop subjective mais pauvre en détails
    6. Dramatisation, théâtralisme et exagération de l’expression émotionnelle
    7. Suggestibilité, est facilement influencé par autrui ou par les circonstances
    8. Considère que ses relations sont plus intimes qu’elles ne le sont en réalité
A

Trouble de la personnalité histrionique

197
Q

Parmi ces affirmations sur le TP histrionique, laquelle est fausse?

  1. Plus de femmes que d’hommes
  2. Prévalence environ 1.8%
  3. Estime de soi élevé
  4. Tout semble superficiel
  5. Causes peu connues. Hypothèse relative à l’impossibilité du contact avec la mère pendant la petite enfance
A
  1. Estime de soi fragile
198
Q

Parmi ces affirmations sur le traitement des TP histrionique, laquelle est fausse?
1.Psychothérapie : objectifs, renforcement de l’estime de soi, apprentissage d’habiletés sociales, régulation émotionnelle, mentalisation, etc
2, Pharmacologie

A
  1. Très peu au niveau de la pharmacologie, sauf si dépression
199
Q

Quel trouble de la personnalité cherche-t-on?

  • Mode général de fantaisies ou de comportements grandioses, de besoin d’être admiré et de manque d’empathie qui apparaissent au début de l’âge adulte et sont présents dans des contextes divers, comme en témoignent au moins 5 des manifestations suivantes:
    1. Le sujet a un sens grandiose de sa propre importance
    2. Est absorbé par des fantaisies de succès illimité, de pouvoir, de splendeur, de beauté ou d’amour idéal
    3. Pense être “spécial” et unique et ne pouvoir être admis ou compris que par des institutions ou des gens spéciaux et de haut niveau
    4. Besoin excessif d’être admiré
    5. Pense que tout lui est dû : s’attend sans raison à bénéficier d’un traitement particulièrement favorable et à ce que ses désirs soient automatiquement satisfaits
    6. Exploite l’autre dans les relations interpersonnelles : utilise autrui pour parvenir à ses propres fins
    7. Manque d’empathie: n’est pas disposé à reconnaître ou à partager les sentiments et les besoins d’autrui
    8. Envie souvent les autres, et croit que les autres l’envient
    9. Fait preuve d’attitudes et de comportements arrogants et hautains
A

Trouble de la personnalité narcissique

200
Q

Parmi ces affirmations sur le TP narcissime, laquelle est fausse?

  1. Prévalence environ 1%
  2. Semblent avoir de la difficulté dans la reconnaissance des émotions d’autrui
  3. La souffrance est plus souvent (lorsque non-déprimés) vécue par les membres de l’entourage que la personne elle-même
  4. Ratio légèrement plus élevé chez les femmes
  5. Occupent parfois des rôles sociaux très reconnus et valorisés, le niveau de fonctionnement est élevé
A
  1. Ratio légèrement plus élevé chez les hommes
201
Q

Parmi ces affirmations sur les causes du TP narcissique, laquelle est fausse ?

  1. Biologique : une seule étude jusqu’à présent qui indique un volume diminué de la matière grise, relié aux capacités d’empathie
  2. Environnementale: aucune étude à ce jour
  3. Psychologique ; Faux self grandiose. Les parents reconnaissent peu l’enfant. Celui-ci développe une idéalisation des figures parentales et de soi et rejette le négatif à l’extérier
A

Aucune de ces réponses

202
Q

Parmi ces affirmations sur le traitement des TP narcissique, laquelle est fausse?

  1. Attention, il faut préserver l’intégrité psychologique
  2. Prendre garde à la manipulation
  3. Développement des capacités d’empathie, travail des cognitions erronées et “revaloriser le vrai-self”
  4. Il faut redonner ce qui appartient à la personne
  5. Confrontation
  6. Avoir de l’espace pour ventiler avec des collègues ou en supervision
A
  1. Éviter la confrontation
203
Q

Que retrouve-t-on dans le cluster C des troubles de la personnalité ?

A

Les personnalités craintives, anxieuses

204
Q

Quel trouble de la personnalité cherche-t-on?

  • Mode général d’inhibition sociale, de sentiments de ne pas être à la hauteur et d’hypersensibilité au jugement négatif d’autrui qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins 4 des manifestations suivantes:
    1. Le sujet évite les activités sociales professionnelles qui impliquent des contacts importants avec autrui par crainte d’être critiqué, désapprouvé ou rejeté
    2. Réticence à s’impliquer avec autrui à moins d’être certain d’être aimé
    3. Est réservé dans les relations intimes par crainte d’être exposé à la honte et au ridicule
    4. Craint d’être critiqué ou rejeté dans les situations sociales
    5. Est inhibé dans les situations interpersonnelles nouvelles à cause d’un sentiment de ne pas être à la hauteur
    6. Se perçoit comme socialement incompétent, sans attrait ou inférieur aux autres
    7. Est particulièrement réticent à prendre des risques personnels ou à s’engager dans de nouvelles activités par crainte d’éprouver de l’embarras
A

Trouble de la personnalité évitante

205
Q

Parmi ces affirmations sur les TP évitantes, laquelle est fausse ?

  1. Le désir d’être en relation est bien présent, Mais la crainte de ne pas Être à la hauteur est trop importante
  2. Prévalence 2.4%
  3. Ressemble à la phobie sociale, questionnement soulevé à l’intérieur même du DSM
  4. Mécanisme sous-jacent : LE DÉNI
  5. Le niveau de fonctionnement peut être adéquat ou personne complètement retirée
  6. Cause inconnue
A
  1. Mécanisme sous-jacent : L’ÉVITEMENT
206
Q

Parmi ces affirmations sur le traitement des TP évitantes, laquelle est fausse?

  1. Exposition direct pour contrer le processus d’évitement.
  2. Pour que le traitement soit efficace, la personne doit s’y présenter!
  3. Techniques motivationnelles pour l’aider à se mobiliser
A
  1. Exposition progressive pour contrer le processus d’évitement. L’objectif est d’amener graduellement la personne à “se mouiller” et à pouvoir entretenir des relations interpersonnelles plus saines
207
Q

Quel trouble de la personnalité cherche-t-on?

  • Il s’agit d’un mode général de préoccupation par l’ordre, le perfectionnisme et le contrôle mental et interpersonnel, aux dépens d’une souplesse, d’une ouverture et de l’efficacité qui apparaît au début de l’âge adulte et est présent dans des contextes divers, comme en témoignent au moins quatre des manifestations suivantes :
    1. Préoccupations par les détails, les règles, les inventaires, l’organisation ou les plans au point que le but principal de l’activité est perdu de vue.
    2. Perfectionnisme qui entrave l’achèvement des tâches
    3. Dévotion excessive pour le travail et la productivité à l’exclusion des loisirs et des amitiés
    4. Est trop consciencieux, scrupuleux et rigide sur des questions de morale, d’éthique ou de valeurs (sans que cela soit expliqué par une appartenance religieuse ou culturelle)
    5. Incapacité de jeter des objets usés ou sans utilité même si ceux-ci n’ont pas de valeur sentimentale
    6. Réticence à déléguer des tâches ou à travailler avec autrui à moins que les autres se soumettent exactement à sa manière de faire les choses
    7. Se montre avare avec l’argent pour soi-même et les autres; l’argent est perçu comme quelque chose qui doit être thésaurisé en vue de catastrophes futures
    8. Se montre rigide et têtu
A

Trouble de la personnalité obsessonnelle-compulsive

208
Q

Parmi ces affirmations sur le TP obsessionnelle-compulsive, laquelle est fausse?

  1. Distinction avec le trouble obsessionnel-compulsif
  2. Rigidité inexistante
  3. Prévalence de 2 à environ 7%, dépendamment des études
  4. Cause: hypothèse psychodynamique (aucune étude sur le sujet). Semble y avoir un lien au niveau de la transmission héréditaire avec le TOC
A
  1. Rigidité +++++ et plus encore, s’apparente au perfectionnisme
209
Q

Parmi ces afffirmation sur le traitement des TP obsessionnelle-compulsive, laquelle est fausse?

  1. D’abord, attention pour que la personne n’agisse pas en “patient parfait”
  2. Travail au niveau de la gestion de l’obsession
  3. Travail des cognitions (restructuration)
  4. Lien de confiance important
A
  1. Travail au niveau de la gestion émotionnelle (particulièrement la colère)
210
Q

Quel trouble de la personnalité cherche-t-on?

  • Besoin général et excessif d’être pris en charge qui conduit à un comportement soumis et “collant” et à une peur de la séparation, qui est présent au début de l’âge adulte et dans des contextes divers, comme en témoignent au moins cinq des manifestations suivantes:
    1. Le sujet a du mal à prendre des décisions dans la vie courante sans être rassuré ou conseillé de manière excessive par autrui
    2. A besoin que d’autres assument les responsabilités dans la plupart des domaines importants de sa vie
    3. A du mal à exprimer un désaccord avec autrui de peur de perdre son soutien ou son approbation (ne pas tenir compte d’une crainte réaliste de sanctions)
    4. A du mal à initier des projets ou à faire des choses seul (par manque de confiance en son propre jugement ou en ses propres capacités plutôt que par manque de motivation ou d’énergie)
    5. Cherche à outrance à obtenir le soutien et l’appui, au point de faire volontairement des choses désagréables
    6. Se sent mal à l’aise ou impuissant quand il est seul par crainte exagérée d’être incapable de se débrouiller
    7. Lorsqu’une relation proche se termine, cherche de manière urgente une autre relation qui puisse assurer les soins et le soutien dont il a besoin
    8. Est préoccupé de manière irréaliste par la crainte d’être laissé à se débrouiller seul
A

Trouble de la personnalité dépendante

211
Q

Parmi ces affirmations sur le TP dépendante, laquelle est fausse?

  1. Prévalence environ 1.5%, plus de femmes que d’hommes
  2. Certaines études rapportent une comorbidité dans 50% des cas avec le TPL
  3. Causes: aucune étude pour la dimension biologique. Au niveau environnemental, familles qui renforcent la dépendance et punissent l’indépendance
  4. Associé au trouble schizophrène
A
  1. Associé au trouble d’anxiété de séparation
212
Q

Parmi ces affirmations sur le traitement des TP dépendantes, laquelle est fausse ?

  1. Attention à la dépendance au thérapeute!
  2. Comme c’est un TP très peu étudié, nous en savons peu sur les traitements
  3. Restructuration cognitive ou travail du soi (corriger la perception d’un soi faible)
  4. Certains auteurs se montrent prudents, la psychothérapie ne doit pas devenir un lieu où la personne se “dépose” et attend les interventions
A

Aucune de ses réponses

213
Q

Qu’est-ce que le stress?

A

Réponse de l’organisme aux facteurs d’agression physiologiques et psychologiques ainsi qu’aux émotions qui nécessitent une adaptation

214
Q

Quel concept cherche-t-on?

  • Phénomène psychologique à caractère affectif marqué, qui accompagne la prise de conscience d’un danger réel ou imaginé, d’une menace
  • Ce phénomène est provoqué par l’interprétation que la personne fait de la situation et s’accompagne d’une activation du SNC
A

La peur

215
Q

Quelles sont les réactions face à la peur ?

A
  1. Figer
  2. Attaquer
  3. Fuir
216
Q

Quel concept cherche-t-on?

  • Sentiment d’appréhension, de malaise, d’incertitude et de peur lié à l’anticipation d’une menace intrapsychique. Son objet n’est pas nécessairement précis ou identifiable.
  • Elle a la même fonction que la peur et le stress, qu’elle oriente l’attention vers le danger ou la menace et prépare l’organisme à agir afin d’opérer un changement
  • C’est une émotion naturelle et nécessaire
A

L’anxiété

217
Q

Quelles sont les 5 dimensions dans lesquelles les réactions d’alarme provoquées par l’anxiété sont perceptibles?

A
  1. Physiologiques
  2. Sociales
  3. Comportementales
  4. Affectives
  5. Cognitives
218
Q

Quand l’anxiété devient anormale ?

A
  1. Lorsqu’elle est disproportionnée par rapport à l’élément anxiogène
  2. Qu’elle provoque une détresse
  3. Que le fonctionnement de la personne en est altéré
219
Q

Vrai ou faux ?
-Les causes de l’anxiété anormale sont nombreuses et non spécifiques. Par contre, le processus sous-jacent, le mécanisme d’entretien des manifestations anxieuses est le même dans tous les troubles anxieux: l’évitement. L’enfant évite ce qu’il appréhende, cesse de jouer avec ses amis, tente d’éviter l’école, etc

A

Vrai

220
Q

Quel trouble de l’anxiété cherche-t-on?

  • Peur ou anxiété excessive ou inappropriée au niveau de développement de se séparer des figures d’attachement, tel que démontré par au moins trois des symptômes suivants:
    1. Détresse excessive et récurrente lors de l’anticipation ou l’expérience d’être séparé de son chez-soi ou des figures d’attachement
    2. Inquiétude excessive et persistante de perdre les figures d’attachement ou de la possibilité qu’il leur arrive du mal tel que la maladie, une blessure, un désastre ou la mort
    3. Inquiétude excessive et persistante de vivre un événement fâcheux qui causerait la séparation avec les figures d’attachement
    4. Hésitation persistante ou refus de quitter son domicile pour aller à l’école, au travail ou ailleurs, par peur de la séparation
    5. Peur excessive et persistante d’être seul ou d’être sans les figures d’attachement à la maison ou dans d’autres environnements
    6. Hésitation persistante ou refus de dormir ailleurs que chez-soi ou de s’endormir sans la présence d’une figure d’attachement
    7. Cauchemars récurrents ayant comme thème la séparation
    8. Plaintes récurrentes de symptômes physiques lorsque la séparation d’une figure d’attachement significative est anticipée ou vécue
  • La peur, l’anxiété et l’évitement sont persistants et durent depuis au moins 4 semaines chez les enfants et les adolescents
  • Les symptômes ne sont pas mieux expliqués par d’autres diagnostics
A

Trouble de l’anxiété de séparation

221
Q

Vrai ou faux ?

-L’angoisse de séparation n’est pas une étape universelle

A

Faux, c’est une étape universelle qui serait présente dans toutes les cultures et mêmes chez certains animaux

222
Q

Quelles sont les 3 phases du “détachement” selon Bowlby ?

A

1- Phase de protestation (cris, colère, pleurs…)
2- Phase de désespoir avec désarroi intense et état de retrait (l’enfant devient inactif)
3 - Phase de détachement (l’enfant redevient sociable)

223
Q

Quelles sont les causes de l’anxiété de séparation ?

A
  • Vulnérabilité biologique (hyperactivation du SNA)
  • Vulnérabilité environnementale (perte significative ou changement important)
  • Vulnérabilité psychologique (observation des comportements anxieux des parents)
224
Q

Parmi ces affirmations sur le traitement du trouble d’anxiété de séparation, laquelle est fausse ?

  1. Interventions systémiques (psychoéducations avec les parents, guidance parentale, référence au besoin)
  2. Utilisation de la TCC avec l’enfant
  3. Permettre le développement d’un lien positif avec un autre adulte
  4. Prescription d’anxiolytique fréquant
A
  1. Parfois, prescription d’un anxiolytique
225
Q

Quel trouble anxieux cherche-t-on ?

  • Peur ou anxiété persistante et intense à caractère irraisonné ou bien excessif reliée à une situation ou à un objet spécifique
  • L’exposition au stimulus phobogène provoque de façon quasi systématique une réaction anxieuse
  • Le stimulus phobogène est évité ou encore associé à une souffrance significative lorsque la personne doit y faire face
  • La peur ou l’anxiété sont disproportionnées en comparaison avec le risque réel que représente le stimulus et non-conformes avec la dimension socioculturelle
  • La peur ou l’anxiété sont persistantes et présentes depuis au moins 6 mois
A

Phobie spécifique

226
Q

Il existe 5 sous-types de phobies dans le DSM-5 pour distinguer les phobies spécifiques. Ces catégories se distinguent non seulement par l’objet spécifique associé, mais également en lien avec les taux de prévalence, les distinctions de genre, etc. Quels sont ces sous-types ?

A
  1. Animal
  2. Environnement naturel
  3. Sang, injection, accident (voir un accident)
  4. Situationnel
  5. Autre type
227
Q

Parmi ces affirmations sur les causes des phobies, laquelle est fausse?

  1. Biologique : il semble y avoir une part d’héritabilité dans la phobie spécifique
  2. Biologique : les études plus récentes indiquent davantage les effets des influences environnementales
  3. Environnementale : évènement stressant
  4. Environnementale : personnes de la famille qui ont une phobie
  5. Environnementale : transmission de la peur c’est-à-dire que l’enfant apprend que certains objets sont très dangereux
  6. Psychologique: modèle des théories de l’apprentissage (conditionnement + renforcement négatif)
  7. Psychologique : l’approche psychodynamique (aucune raison )
A
  1. Approche psychodynamique. C’est un désir inconscient qui est à l’origine de la phobie. Ce désir est “inacceptable” pour la conscience, donc, le psychisme met en oeuvre trois mécanismes de défense pour l’annuler (déplacement, projection, évitement)
228
Q

Parmi ces affirmations sur les traitements des phobies, laquelle est fausse?

  1. Pharmaco: aucune possible
  2. Psychologique : Thérapie psychanalytique/dynamique, exploration des désirs inconscients à la source de la phobie
  3. Exposition graduelle en imaginaire et in vivo pour briser le conditionnement
  4. Psychoéducation (la courbe de l’anxiété)
  5. Apprentissage de techniques de relaxation pour “survivre” à l’exposition
  6. Hiérarchie des cibles du traitement (mot, dessin, image…)
  7. Travail des cognitions erronées reliées à la phobie
  8. Thérapie virtuelle :casque avec un écran intégré qui permet l’exposition graduelle à partir d’une situation générée par un ordinateur
A
  1. Pharmaco: parfois ISRS, parfois des benzodiazépines
229
Q

Quel trouble anxieux cherche-t-on?

  • Peur ou anxiété marquée dans une ou plusieurs situations sociales dans lesquelles la personne est exposée au regard d’autrui.
  • La personne croit que sa performance sera jugée négativement, qu’il agira d’une manière inadéquate ou que ses symptômes anxieux seront perceptibles par les autres
  • Les situations sociales provoquent pratiquement toujours les manifestations anxieuses
  • Les situations sociales sont évitées ou tolérées avec grande difficulté
  • La peur ou l’anxiété sont disproportionnées en rapport avec la nature de la situation
  • Les symptômes persistent depuis au moins 6 mois
A

Trouble d’anxiété sociale

230
Q

Parmi ces affirmations sur le trouble d’anxiété sociale, laquelle est fausse?

  1. Davantage présent chez les adolescents que chez les enfants
  2. La situation sociale la plus redoutée: crainte de parler en public
  3. Préoccupation centrale: la peur de l’évaluation négative
  4. “Conscience du soi public” (centration sur les aspects de soi qui risquent d’être jugés)
  5. Le sujet n’a pas de solution pour diminuer l’anxiété
A
  1. Consommation de toxique fréquente pour diminuer l’anxiété
231
Q

Parmi ces affirmations sur les causes du trouble d’anxiété sociale, laquelle est fausse ?

  1. Biologique: parents de premier degré ont de 2 à 6 fois plus de risques d’être atteints
  2. Biologique : tendance biologique à être socialement extrêmement inhibé
  3. Biologique : dysfonctionnements de certaines régions du cortex préfrontal et de l’Amygdale
  4. Environnementale : stress environnementaux chroniques pendant l’enfance
  5. Environnementale : figures d’attachement critiques à l’égard de l’enfant
  6. Environnementale: L’observation des réactions anxieux des figures de l’environnement n’a aucune influence
  7. Psychologique : traumatisme social
  8. Psychologique : conditionnement classique et opérant
  9. Psychologique : distorsions cognitives
  10. Psychologique : modèle de la présentation de soi
A
  1. Faux, l’observation des réactions anxieuses des figures de l’environnement
232
Q

Vrai ou faux ?

Selon le modèle de la présentation de soi, c’est que la personne fait une évaluation négative d’elle-même

A

Faux, ce n’est pas réellement que la personne fait une évaluation négative d’elle-même mais bien que la personne croit que sa performance n’est pas suffisamment élevée pour atteindre ses objectifs… donc les risques sont de perdre un statut, valeur personnelle et d’être rejeté par les autres

233
Q

Quel est le traitement pour les troubles d’anxiété sociale ?

A

Combinaison de jeux de rôles, d’apprentissage d’habiletés sociales
+
-Thérapie par exposition
-Restructuration cognitive
-Modalité de thérapie de groupe
-Ajout, parfois, d’une médication anxiolytique ou ISRS

234
Q

Quel trouble anxieux cherche-t-on?

  • Attaque de panique inattendues et récurrentes, tel qu’identifié par la présence d’au moins quatre des manifestations suivantes :
    1. Palpitations ou rythme cardiaque rapide
    2. Étourdissements, vertiges ou impression d’être en train de s’évanouir
    3. Impression de s’étouffer ou de manquer d’air
    4. Nausées ou dérangements d’estomac
    5. Picotements ou engourdissements
    6. Frissons ou bouffées de chaleur
    7. Peur de devenir fou ou de perdre le contrôle de soi
    8. Transpiration
    9. Tremblements ou secousses musculaires
    10. Douleur ou gêne au niveau du thorax
    11. Sensation d’étranglement
    12. Se sentir détaché de soi ou avoir une impression d’irréalité
  • Au moins une des attaques de panique est accompagnée, pendant au moins 1 mois, d’un (ou plus) des symptômes suivants:
    1. Crainte persistante d’avoir d’autres attaques de panique et inquiétudes au sujet des conséquences de ces attaques
    2. Changement significatif dans les habitudes relié à l’attaque de panique
A

Trouble panique

235
Q

Parmi ces affirmations sur le trouble panique, laquelle est fausse ?

  1. L’attaque de panique prend du temps
  2. Elle est fréquemment associée à la sensation qu’une catastrophe va survenir, et la personne ressent souvent un besoin urgent de fuir
  3. Elle peut se produire n’importe où et à n’importe quel moment
A
  1. L’attaque de panique atteint rapidement son intensité maximale, habituellement en moins de 10 minutes, et elle est délimitée dans le temps
236
Q

Parmi ces affirmations sur les causes du trouble panique, laquelle est fausse ?

  1. Biologique : Tendance neurobiologique à réagir au stress avec excès
  2. Environnementale : environnement familial demandant et critique dans l’enfance ou entourage rejetant
  3. Environnementale : Perte d’une figure d’attachement significative en bas âge
  4. Environnementale : stresseurs environnementaux au long cours
  5. Environnementale : la réponse au stress inadaptée chez les parents n’est pas apprise par l’enfant
  6. Psychologique : traits de personnalité évitante, tendance à la dépendance et à la passivité
  7. Psychologique : conditionnement aux stimuli intéroceptifs
  8. Psychologique : distorsions cognitives
A
  1. Faux, elle est apprise par l’enfant
237
Q

Parmi ces affirmations sur le traitement du trouble panique, laquelle est fausse ?

  1. Pharmaco : aucune
  2. TCC du trouble panique (psychoéducation sur la panique et ses conséquences, modification du discours interne, apprendre à faire face à la panique, exposition, autres stratégies)
  3. Psychoéducation
  4. Discours intérieur
  5. Faire face à la panique
  6. Traitement : exposition aux stimuli intéroceptif
A
  1. Pharmaco: ISRS , tricyclique + benzo ou bezo seuls
238
Q

Quel trouble anxieux cherche-t-on?

  • Peur ou anxiété marquée dans au moins 2 des 5 situations suivantes :
    1. Utiliser les transports publics
    2. être dans un espace vaste et ouvert
    3. être dans un espace fermé
    4. être dans une file d’attente ou dans une foule
    5. être seul à l’extérieur de la maison-
  • La personne évite ces situations car elle croit qu’elle ne pourrait s’en échapper ou ne pourrait recevoir de l’aide dans le cas où une attaque de panique surviendrait
  • Les situations agoraphobes provoquent des symptômes anxieux marqués et ce, la plupart du temps
  • Les situations agoraphobes sont évitées ou subies avec un inconfort important
  • La peur ou l’anxiété est hors de proportion concernant la situation
  • Les symptômes sont persistants depuis au mois 6 mois
A

Agoraphobie

239
Q

Parmi ces affirmations sur les causes de l’agoraphobie, laquelle est fausse ?

  1. Biologiques: Tempérament inhibé, tendance à réagir fortement au stress. Héritabilité =61%
  2. Environnementales : Familles peu chaleureuses, traumatismes antérieurs
  3. Psychologiques : Traits de personnalité colérique
A
  1. Psychologique : traits de personnalité évitante. Distorsions cognitives concernant les conséquences de l’attaque de panique
240
Q

Parmi ces affirmations sur le traitement de l’agoraphobie, laquelle est fausse ?

  1. D’abord, difficile de les voir en clinique puisqu’ils évitent de sortir de la maison
  2. Attention aux bénéfices secondaires
  3. Psychoéducation et restructuration cognitive pour les pensées concernant les AP
  4. Exposition direct
A
  1. Exposition progressive
241
Q

Quel trouble anxieux cherche-t-on ?

  • Anxiété et inquiétudes irréalistes à propos de situations diverses, qui perdurent la majorité du temps, depuis au moins 6 mois
  • La personne a de la difficulté à maîtriser les inquiétudes
  • L’anxiété et les inquiétudes sont associées à au moins 3 des 6 symptômes suivants:
    1. Agitation, impression d’être survolté ou à bout
    2. Fatigabilité importante au travail
    3. Difficultés de concentration
    4. Perturbation du sommeil
    5. Irritabilité
    6. Tensions musculaires
A

Trouble d’anxiété généralisé

242
Q

Parmi ces affirmations sur le trouble d’anxiété généralisé, laquelle est fausse ?

  1. Prévalence à vie est de 9%
  2. Deux fois plus de femmes
  3. Le diagnostic est plus présent dans les pays sous-développé
  4. La comorbidité avec un autre trouble mental varie de 67 à 91% c’est beaucoup. Les TAG purs sont rares!
  5. Tentatives de suicide chez 11 à 13%
  6. Consultations plus fréquentes en médecine générale
  7. Âge moyen au moment de la première consultation autour de 35 ans
  8. L’apparition se fait graduellement, de manière insidieuse
  9. Le TAG serait associé au troubles cardiaques, syndrome de fatigue chronique, syndrome du colon irritable, hypertension
  10. L’absentéisme au travail est similaire à celui retrouvé dans la dépression
  11. On retrouve une certaine rigidité au niveau du fonctionnement, qui est associée à (désir d’éviter les imprévus, désir d’éviter la nouveauté et l’incertitude)
  12. Le TAG est basé sur l’intolérance à l’incertitude.
  13. La vie de tous les jours est pleine de situations ambigües et incertaines!
  14. Cette intolérance à l’incertitude conduit à l’inquiétude excessive
  15. Inquiétude: ensemble de pensées, de doutes et d’images qui s’enchaînent et qui portent sur des événements négatifs futurs et qui sont accompagnés d’anxiété.
A
  1. Le diagnostic est plus présent dans les pays industrialisés
243
Q

Parmi ces affirmations sur les causes du trouble d’anxiété généralisé, laquelle est fausse ?

  1. Biologique : dysfonctionnement des neurotransmetteurs
  2. Biologique : héritabilité dans 15 à 30% des cas, mais non-exclusif
  3. Environnementale: Être âgé de 25 ans et plus
  4. Environnementale : être un homme
  5. Environnementale: être sans travail
  6. Environnementale : Séparé, divorcé ou veuf
  7. Environnementale : Faible revenu
  8. Environnementale : famille dysfonctionnelle, “inquiéteuse”, non-chaleurese
  9. Psychologique: Traits de personnalité évitante
  10. Psychologique : attachement insécure dans l’enfance
  11. Psychologique : enfant “parentifié”
  12. Psychologique : faible sentiment d’auto-efficacité et d’estime de soi
  13. Psychologique : Intolérance à l’incertitude
A
  1. Environnementale : être une femme
244
Q

Vrai ou faux?
Comme dans tous les autres troubles anxieux, le mécanisme central du TAG est l’évitement. Dans ce cas-ci, on parle d’évitement cognitif, un évitement qui permet de ne pas s’exposer à l’incertitude. Tout cela empêche l’habituation (donc renforcement négatif)

A

Vrai

245
Q

Quel concept cherche-t-on?

  • La substitution de pensées
  • La distraction
  • La suppression de pensées
  • L’évitement de stimuli déclenchant les pensées désagréables
  • La transformation d’images en pensées
A

L’évitement cognitif

246
Q

Quelles sont les 6 cibles du TAG en psychothérapie en TCC ?

A
  • Psychoéducation sur les symptômes du TAG
  • L’intolérance à l’incertitude
  • Les croyances face aux inquiétudes
  • La résolution de problème
  • L’exposition cognitive
  • La consolidation
247
Q

Quel trouble cherche-t-on?
-Existence soit d’obsessions, soit de compulsions
1. Obsessions définies par l’un (ou plus) de ces éléments : A. Pensées, impulsions ou représentations récurrentes et persistantes, qui sont perçues comme intrusives et non-désirées par la personne et qui entraînent une détresse importante
B. Les pensées, impulsions ou représentations ne sont pas seulement des préoccupations excessives concernant des problèmes de la vie quotidienne
C. La personne fait des efforts pour ignorer ou réprimer ces pensées ou pour les neutraliser par d’autres pensées ou actions
D. La personne reconnaît que les pensées proviennent de sa propre activité mentale
2. Compulsions définies par :
A. Comportements répétitifs ou actes mentaux que la personne se sent poussée à réaliser en réponse à une obsession ou selon certaines règles qui doivent être appliquées de manière inflexibles
B. Les comportements ou les actes mentaux sont destinés à neutraliser ou à diminuer le sentiment de détresse ou à empêcher une situation redoutée, cependant, ces pensées ou ces actes mentaux sont soit sans relation réaliste avec ce qu’ils proposent de neutraliser ou de parvenir, soit manifestement excessif
-Les obsessions ou compulsions sont à l’origine d’une détresse, d’une perte de temps considérable ou interfèrent de manière significative avec les activités habituelles de la personne

A

Trouble obsessionnel-compulsif

248
Q

Quels concepts cherche-t-on ?

  1. Fluctue en fonction des situations. Passagère, provoque des émotions diverses et comportements volontaires et réfléchis
  2. Reste dans la tête involontairement, ne change pas en fonction de l’activité en cours, provoque de l’anxiété ou des émotions fortes comme la peur ou le dégoût, engendre un besoin d’agir immédiat, entraîne l’exécution de rituels
A
  1. Pensée ordinaire

2. Obsession

249
Q

Quels sont les différents types d’obsessions ?

A
  • Contaminations (germes)
  • Doutes constants
  • Ordre
  • Obsessions religieuses
  • Agressivité (crainte de faire du mal)
  • Obsessions sexuelles
250
Q

Vrai ou Faux?

Les affections comorbides sont toujours liées.

A

Faux

Elles le sont parfois, mais pas toujours.

251
Q

Quel concept cherche-t-on?

  • Essayer d’inhiber la pensée
  • Modifier la pensée
  • Remplacer la pensée par d’autres mots ou images
  • Modifier l’ordre de certains mots
  • Compter dans sa tête
  • Se distraire
  • Se raconter une histoire
  • Se donner des ordres ou directives pour s’adapter à la pensée
  • Effectuer des rituels magiques pour chasser les pensées
  • Effectuer des rituels mentaux
A

Compulsions mentales

252
Q

Quel concept cherche-t-on?

  • L’établissement d’un ____ – c’est-à-dire l’élaboration d’une liste des problèmes possibles pouvant être à l’origine des signes et symptômes chez un patient – constitue une partie importante du raisonnement clinique.
  • Cette étape permet de procéder à des investigations appropriées visant à écarter des possibilités et à confirmer un diagnostic définitif.
A
  • Diagnostic différentiel
253
Q

Quels sont les deux phénomènes observables chez les TOC ?

A
  • Les accès de colère, voir de rage

- L’accommodation familiale, embûche au rétablissement

254
Q

Parmi ces affirmations sur les causes du TOC, laquelle est fausse ?

  1. Biologique: Parents de premier degré 5 fois plus à risque (avec ou sans diagnostic de Gilles de la Tourette)
  2. Biologique: Dysfonctionnement de la sérotonine
  3. Biologique: Hyperfonctionnement du noyau caudé, des régions orbitofrontales et temporales
  4. Biologique: Les pediatric autoimmune neuropsychiatric disorder associated with streptococcal infection
  5. Environnementale : perte ou séparation d’une figure significative en bas âge
  6. Environnementale : Milieu d’origine plutôt rigide
  7. Environnementale: Enfant roi
  8. Environnementale: familles dysfonctionnelles
  9. Psychologique: Modèle comportemental (conditionnement-renforcement négatif)
  10. Psychologique : Modèle cognitif
  11. Psychologique : modèle cognitif basé sur le doute pathologique
A
  1. Environnementale: Enfant parentifié
255
Q

Parmi ces affirmations sur les traitements du TOC, laquelle est fausse ?

  1. Malgré toutes les connaissances actuelles, 30% des gens demeurent sévèrement symptomatiques
  2. Au niveau pharmacologique, ISRS est le premier choix. Parfois ajout d’un antipsychotique atypique
  3. Le meilleur traitement est la médication
A
  1. Le meilleur traitement: combinaison d.une TCC avec médication
256
Q

Quels sont les deux phénomènes observables chez les TOC ?

A
  • Les accès de colère, voir de rage

- L’accommodation familiale, embûche au rétablissement

257
Q

Parmi ces affirmations sur les causes du TOC, laquelle est fausse ?

  1. Biologique: Parents de premier degré 5 fois plus à risque (avec ou sans diagnostic de Gilles de la Tourette)
  2. Biologique: Dysfonctionnement de la sérotonine
  3. Biologique: Hyperfonctionnement du noyau caudé, des régions orbitofrontales et temporales
  4. Biologique: Les pediatric autoimmune neuropsychiatric disorder associated with streptococcal infection
  5. Environnementale : perte ou séparation d’une figure significative en bas âge
  6. Environnementale : Milieu d’origine plutôt rigide
  7. Environnementale: Enfant roi
  8. Environnementale: familles dysfonctionnelles
  9. Psychologique: Modèle comportemental (conditionnement-renforcement négatif)
  10. Psychologique : Modèle cognitif
  11. Psychologique : modèle cognitif basé sur le doute pathologique
A
  1. Environnementale: Enfant parentifié
258
Q

Parmi ces affirmations sur les traitements du TOC, laquelle est fausse ?

  1. Malgré toutes les connaissances actuelles, 30% des gens demeurent sévèrement symptomatiques
  2. Au niveau pharmacologique, ISRS est le premier choix. Parfois ajout d’un antipsychotique atypique
  3. Le meilleur traitement est la médication
A
  1. Le meilleur traitement: combinaison d.une TCC avec médication
259
Q

Qu’inclut la catégorie des traumas et troubles associées ?

A
  • Trouble réactionnel de l’attachement
  • Trouble de l’engagement social désinhibé
  • Trouble de stress post-traumatique
  • Trouble de stress aigu
  • Trouble d’adaptation
260
Q

Quel trouble cherche-t-on?

  • L’enfant ne recherche presque jamais ou recherche minimalement du réconfort lorsqu’il est en détresse
  • L’enfant ne répond pratiquement pas ou répond minimalement au réconfort prodigué lorsqu’il est en détresse
  • Au moins deux des trois critères suivants:
    1. Réactivités sociale et émotionnelle aux autres minimales
    2. Peu d’affects positifs
    3. Épisodes de peurs, d’irritabilité ou de tristesse inexplicables observés lors d’interactions non menaçantes avec des adultes significatifs pour l’enfant
  • L’enfant doit avoir subi des expériences extrêmes de soins insuffisants possédant l’un des critères suivants :
    1. Négligence sociale prenant la forme d’un manque persistant de soins provenant d’un adulte sain de satisfaire les besoins de base d’un enfant pour ses besoins émotionnels de réconfort, de stimulation et d’affectation
    2. Changements répétés de la personne prodiguant principalement les soins à l’enfant, l’empêchant de former un attachement stable
    3. L’enfant grandit dans un milieu inhabituel qui limite sévèrement ses possibilités de former une relation d’attachement privilégiée avec un soignant
  • L’enfant ne doit pas répondre aux critères pour un trouble du spectre autistique. Les perturbations doivent être présentes avant l’âge de 5 ans. L’enfant doit avoir un niveau d’âge développemental d’au moins 9 mois et le trouble doit être présent depuis au moins 9 mois
A

Trouble réactionnel de l’attachement

261
Q

Parmi ces affirmations sur le trouble réactionnel de l’attachement, laquelle est fausse?

  1. Il s’agit d’un trouble dont on ne connaît pas la prévalence. Extrêmement rare!
  2. Ne pas confondre avec les difficultés d’attachement
  3. L’important est de cerner des difficultés généralisées chez cet enfant, en contexte social
  4. Attention aux diagnostiques trop rapides dans les cas d’abus et de maltraitance
A

Aucune de ses réponses

262
Q

Quel trouble cherche-t-on?

  • Pattern de comportements où l’enfant approche et interagit activement avec des adultes “inconnus” et démontre au moins 2 de ces comportements :
    1. Réticence absente ou limitée à approcher et/ou interagir avec des adultes non-familiers
    2. Comportement physique et verbal excessivement familiers (qui ne correspondent pas avec ce qui est attendu culturellement)
    3. Vérification absente ou limitée auprès de l’adulte significatif avant de s’aventurer plus loin, même dans des endroits inconnus
    4. Accepte de quitter avec un adulte non-familier avec peu ou pas d’hésitation
  • Les comportements du critère 1 ne sont pas limités à l’impulsivité (TDAH) mais incluent des comportements socialement désinhibés
  • L’enfant a subit un parcours d’extrême négligence tel qu’illustré par:
    1. Négligence persistante des besoins émotionnels élémentaires de l’enfant concernant le confort, la stimulation ou l’affection de la part des adultes donneurs de soin
    2. Changements répétés des personnes prenant soin de l’enfant empêchant l’établissement de liens d’attachement stables
    3. Avoir été éduqué dans un environnement limitant grandement les opportunités de créer un attachement sélectif
  • L’enfant ne doit pas répondre aux critères pour un trouble du spectre autistique. Les perturbations doivent être présentes avant l’âge de 5 ans. L’enfant doit avoir un niveau d’âge développemental d’au moins 9 mois et le trouble doit être présent depuis au moins 9 mois
A

Trouble de l’engagement social désinhibé

263
Q

Quel trouble cherche-t-on?

  • Exposition à l’un ou plusieurs des événements suivants: mort ou menace de mort, blessure grave ou menace de blessure grave, délit sexuel ou menace de délit sexuel. De l’une ou plusieurs des façons suivantes:
    1. Vivre l’événement soi-même
    2. être témoin d’un tel événement
    3. Apprendre que l’événement s’est produit pour un ami proche ou parent
    4. Vivre une exposition répétée ou extrême aux détails aversifs de l’événement
  • Réexpérience du traumatisme, tel qu’illustré par au moins 1 des 5 manifestations suivantes:
    1. Souvenirs récurrents et non-désirés de l’événement traumatique
    2. Cauchemars récurrents avec le trauma comme objet
    3. Réactions dissociatives dans lesquelles la personne se sent agit comme si elle était toujours dans la situation traumatique
    4. Détresse psychologique intense ou prolongée lors de l’exposition à des détails associés au trauma
    5. Réactions physiologiques marquées lors de l’exposition à des détails associés au trauma
  • Évitement persistant des stimuli associés au trauma, tel qu’illustré par l’une ou l’autre des manifestations suivantes:
    1. Évitement ou efforts marqués pour éviter les souvenirs associés, les pensées et/ou émotions associées au trauma
    2. Évitement ou efforts marqués pour éviter des détails externes associés au trauma
  • Altérations cognitives et émotionnelles telles qu’illustrées par au moins 2 des manifestations suivantes:
    1. Incapacité à se rappeler d’aspects importants de la situation traumatique
    2. Croyances négatives persistantes et exagérées à propos de soi, des autres ou du monde en général
    3. Distorsions cognitives persistantes concernant les causes ou les conséquences de l’événement traumatique qui amènent la personne à se blâmer ou à blâmer autrui
    4. État émotif négatif persistant
    5. Intérêt et/ou participation réduit aux activités significatives
    6. Sentiment de détachement par rapport aux autres
    7. Incapacité à ressentir des émotions positives
  • Symptômes persistants d’activation neurovégétative, tels qu’illustrés par au moins 2 des symptômes suivants:
    1. Irritabilité ou accès de colère ou de rage
    2. Témérité ou comportements autodestructeurs
    3. Hypervigilance
    4. Sursauts fréquents
    5. Difficultés de concentration
    6. Problèmes de sommeil
A

Trouble de stress post traumatique TSPT

264
Q

Qu’inclut la catégorie des traumas et troubles associées ?

A
  • Trouble réactionnel de l’attachement
  • Trouble de l’engagement social désinhibé
  • Trouble de stress post-traumatique
  • Trouble de stress aigu
  • Trouble d’adaptation
265
Q

Quel trouble cherche-t-on?

  • L’enfant ne recherche presque jamais ou recherche minimalement du réconfort lorsqu’il est en détresse
  • L’enfant ne répond pratiquement pas ou répond minimalement au réconfort prodigué lorsqu’il est en détresse
  • Au moins deux des trois critères suivants:
    1. Réactivités sociale et émotionnelle aux autres minimales
    2. Peu d’affects positifs
    3. Épisodes de peurs, d’irritabilité ou de tristesse inexplicables observés lors d’interactions non menaçantes avec des adultes significatifs pour l’enfant
  • L’enfant doit avoir subi des expériences extrêmes de soins insuffisants possédant l’un des critères suivants :
    1. Négligence sociale prenant la forme d’un manque persistant de soins provenant d’un adulte sain de satisfaire les besoins de base d’un enfant pour ses besoins émotionnels de réconfort, de stimulation et d’affectation
    2. Changements répétés de la personne prodiguant principalement les soins à l’enfant, l’empêchant de former un attachement stable
    3. L’enfant grandit dans un milieu inhabituel qui limite sévèrement ses possibilités de former une relation d’attachement privilégiée avec un soignant
  • L’enfant ne doit pas répondre aux critères pour un trouble du spectre autistique. Les perturbations doivent être présentes avant l’âge de 5 ans. L’enfant doit avoir un niveau d’âge développemental d’au moins 9 mois et le trouble doit être présent depuis au moins 9 mois
A

Trouble réactionnel de l’attachement

266
Q

Parmi ces affirmations sur les causes du trouble du stress post-traumatique, laquelle est fausse?

  1. Biologique: il aurait un volume de l’hypoccampe significativement plus petit chez les personnes qui développent un TSPT avec un axe corticotrope hypersensible
  2. Environnementale : traumatismes antérieurs
  3. Environnementale : être une femme
  4. Environnementale: célibataire, divorcé ou veuf
  5. Environnementale: Pauvreté, retrait social
  6. Environnementale: dysfonctionnement familial
  7. Environnementale: fait d’être vieux
  8. Environnementale : vivre des stress importants
  9. Psychologique: style d’attribution d’événements négatifs (interne) et positifs (externe)
  10. Psychologique: certains traits de personnalité
  11. Psychologique : modèle de Mowrer
  12. Psychologique: modèle de Foa
A
  1. Environnementale : fait d’être jeune au moment de la survenue du trauma
267
Q

Parmi ces affirmations sur les traitements du trouble du stress post-traumatique, laquelle est fausse ?

  1. Psychoéducation
  2. Travail des affects reliés
  3. Restructuration cognitive
  4. Techniques de relaxation
  5. Exposition
  6. Consolidation
A

Aucune de ses réponses

268
Q

Quel trouble cherche-t-on?

  • Exposition à l’un ou plusieurs des événements suivants: mort ou menace de mort, blessure grave ou menace de blessure grave, délit sexuel ou menace de délit sexuel. De l’une ou plusieurs des façons suivantes:
    1. Vivre l’événement soi-même
    2. être témoin d’un tel événement
    3. Apprendre que l’événement s’est produit pour un ami proche ou parent
    4. Vivre une exposition répétée ou extrême aux détails aversifs de l’événement
  • Réexpérience du traumatisme, tel qu’illustré par au moins 1 des 5 manifestations suivantes:
    1. Souvenirs récurrents et non-désirés de l’événement traumatique
    2. Cauchemars récurrents avec le trauma comme objet
    3. Réactions dissociatives dans lesquelles la personne se sent agit comme si elle était toujours dans la situation traumatique
    4. Détresse psychologique intense ou prolongée lors de l’exposition à des détails associés au trauma
    5. Réactions physiologiques marquées lors de l’exposition à des détails associés au trauma
  • Évitement persistant des stimuli associés au trauma, tel qu’illustré par l’une ou l’autre des manifestations suivantes:
    1. Évitement ou efforts marqués pour éviter les souvenirs associés, les pensées et/ou émotions associées au trauma
    2. Évitement ou efforts marqués pour éviter des détails externes associés au trauma
  • Altérations cognitives et émotionnelles telles qu’illustrées par au moins 2 des manifestations suivantes:
    1. Incapacité à se rappeler d’aspects importants de la situation traumatique
    2. Croyances négatives persistantes et exagérées à propos de soi, des autres ou du monde en général
    3. Distorsions cognitives persistantes concernant les causes ou les conséquences de l’événement traumatique qui amènent la personne à se blâmer ou à blâmer autrui
    4. État émotif négatif persistant
    5. Intérêt et/ou participation réduit aux activités significatives
    6. Sentiment de détachement par rapport aux autres
    7. Incapacité à ressentir des émotions positives
  • Symptômes persistants d’activation neurovégétative, tels qu’illustrés par au moins 2 des symptômes suivants:
    1. Irritabilité ou accès de colère ou de rage
    2. Témérité ou comportements autodestructeurs
    3. Hypervigilance
    4. Sursauts fréquents
    5. Difficultés de concentration
    6. Problèmes de sommeil
A

Trouble de stress post traumatique TSPT

269
Q

Quelles sont les deux choses à faire dans le trauma pour la victime ?

A
  • D’abord y survivre

- Ensuite, trouver le moyen pour que sa vie ne devienne pas calquée et dirigée par l’événement

270
Q

Quel est l’objectif visé par les divers symptômes qui sont présents chez la personne ?

A

S’adapter à un événement qui n’aurait pas dû arriver

271
Q

Parmi ces affirmations sur les traitements du trouble du stress post-traumatique, laquelle est fausse ?

  1. Psychoéducation
  2. Travail des affects reliés
  3. Restructuration cognitive
  4. Techniques de relaxation
  5. Exposition
  6. Consolidation
A

Aucune de ses réponses

272
Q

Qu’est-ce qu’un trauma complexe ?

A

Chez l’enfant, la situation “traumatisante” est parfois difficile à circonscrire (avant/après)
Parfois, il vit dans un contexte de vie traumatisant depuis bien longtemps