Examen 2 Flashcards
Qu’est-ce que le syndrome d’alcoolisation fœtale, comment ce fait-il et de quoi dépend-t-il?
Le SAF représente un regroupement de signes et symptômes rattachés aux anomalies dues aux effets de la consommation d’alcool par la mère durant la grossesse chez l’enfant.
Alcool traverse la barrière placentaire pour atteindre le fœtus. Alcool : facteur tératogènes = qui peut causer des malformations. Peut atteindre le cerveau, malformations qui se dév au moment de la consommation d’alcool - squelette, organes vitaux, traits physiques… Selon les études; - de 15ml par jour = niveau sécuritaire d’alcool et dépend du type d’alcool, cuillère à soupe
DÉPEND DE : quantité, moment de consommation, métabolisme de la mère. Pas besoin de la confirmation d’alcool de la mère
Quelles sont les anomalies caractérisant le SAF?
syndrome d’alcoolisation fœtale :
• anomalies faciales
o Exemples :
Aplatissement du sillon naso-labial (l’espace entre la lèvre supérieure et le nez – les 2 bosses)
Amincissement du vermillon (la partie rouge exposée à la vue de la lèvre supérieure, bec-de-lièvre)
le raccourcissement des fentes palpébrales : (ouverture des yeux)
• retards de croissance prénataux, postnataux ou les deux
o Exemples : Petit poids à la naissance, taille, Perte de poids après la naissance
• Troubles du système nerveux central et du comportement neurologique
o Exemples : Anomalies structurales (agénésie du corps calleux -absence = rien ne rejoint les 2 hémisphères, effacement des sillons/ circonvolutions – parties su cerveau sans pli et lisse, petite taille du cerveau)
o Troubles neurologiques : (motricité fine déficiente, surdité)
Quels sont les atteintes cognitives probables du SAF?
En général, ces enfants présentent
• Difficultés d’attention (70%) et d’apprentissage (17X + de chance de TDA & couleurs, chiffres, etc. + diff à apprendre & probablement bcp de SAS en mileiu carcéral)
• Fonctionnement intellectuel : à la baisse, mais pas nécessairement DI (‘inférieur à la norme, sans diagnostic’)
• Diminution des fonctions exécutives (- de flexibilité, contrôle de soi, auto-critique, compréhension de mon cpt sur l’autre… Donc plan social et adaptatif = très pénible)
• Anxiété lorsque la routine n’est pas respectée
• Personnalité : asociaux, perturbateurs, centrés sur eux-mêmes, cpts autistiques, problèmes de communication
Nomme quelques aide et ressources du SAF.
- Très peu de ressources existent pour répondre spécifiquement aux besoins des enfants SAF (donc très entrecoupé et peu concerté ensemble)
- Chaque professionnel évaluera et interviendra selon les besoins présentés (Médecin de famille, pédiatre, pédopsychiatre, psychologue, neuropsychologue, ergothérapeute, psychoéducateur, éducateur spécialisé, enseignante, etc)
- Familles de répit
Quels sont les interventions psychoéducatives possibles du SAF?
- Très peu d’études ont eu lieu (encore aux premiers balbutiements)
- Prévention primaire (facteurs de risque-protection, avant que le trouble apparaisse) auprès de tous, la société
- Prévention secondaire : dépister (détecter les signes) les enfants SAF et les référer aux ressources (médecin de famille, CIUSS)
- Préventions tertiaires : Utiliser des listes de choses à faire pour l’enfant, des pictogrammes, consignes claires et constances
- Former et informer les familles d’accueil aux besoins présentés par les enfants SAF
Nomme quelques stratégies à appliquer auprès de l’enfant avec un SAF et sa famille.
- Éviter les stimulations (éclairage fort, bruit ambiant, mouvements brusques en leur présence)
- Routine, encadrement et constance
- Lien d’attachement sécurisant avec un adulte stable (émotionnellement), 0-2 ans adulte qui répond à ses besoins
- Demandes simples et claires à l’enfant
- Demeurer vigilant aux comportements sexuels inadéquats à l’adolescence
- Informer et sensibiliser la famille (Risque d’irritabilité et d’agressivité envers l’enfant si les besoins sont interprétés difficilement)
Quels sont les aides et ressources et les interventions psychoéducatives possibles du SBS?
• Centre hospitalier CH, police, centre jeunesse, CPE (bleus nombreux)
Interventions :
• Éducation +++
• Offrir un encadrement et des stratégies éducatives adéquates
• Approfondir les ressources de la famille lorsque l’épuisement devient important, avant de déraper
• Offrir soutien pour les procédures judiciaires s’il y a lieu
Quels sont les lésions associés au SBS?
Syndrome du bébé secoué :
• Intracrâniennes (avec Scan ou IRM)
• Oculaires (blanc des yeux sera rouge)
• Fractures (Costales – côtes, Os longs – fémur, tibia, bras, pcq dépose sec, Crâne)
• Dommages à la colonne vertébrale (peut casser ou micro fracture à moelle épinière)
• Lésions viscérales (plus rares) -intestin, vessie, …
• Lésions intra-thoraciques
Quels sont les atteintes cognitives probables du SBS?
Fonctionnement intellectuel généralement plus faible, hyperactivité, trouble d’apprentissage, atteintes des fonctions exécutives et des fonctions visuelles
Qu’est-ce que le SBS?
Le SBS découle d’un acte de secouage d’une violence indue et démesurée de la part d’un adulte vis-à-vis un enfant. Il est le résultat d’une perte de contrôle face à un enfant, généralement âgé de moins de 12 mois (0-1 an). Il est souvent le dernier acte d’une série jusqu’alors sans conséquence apparente face aux comportements répétés et incessants (pleurs et cris) de l’enfant.
Par le mouvement de va-et-vient, le cerveau de l’enfant n’étant pas très myélinisé et étant plus gélatineux subit des lésions en se heurtant sur les parois du crâne. Parfois, il s’agira de la réaction secondaire qui entraînera le plus de conséquences, c’est-à-dire l’inflammation du cerveau aux lésions subies. (Veines ponts entre cerveau et méninges vont éclater et le sang sur le cerveau va ‘tué ou abimé’ le cerveau, l’enfant tombe inconscient ce qui explique pourquoi il cesse de pleurer = prob de mémoire, vision et fonctions exécutives)
Qu’est-ce que le Trouble déficitaire de l’attention (TDA)?
Il s’agit d’un trouble neuropsychiatrique (cerveau et psychique) dont les principales manifestations sont : (Prévalence : 3 à 5% qui ont le diagnostic complet. Avant l’enfant énervé = cesse l’école et travail donc – problématique, Ajd = principaux loisirs sont immobiles) (Facile de diagnostic, pcq l’attention est la 1ère chose qui débarque – avec fatigue, stress, faim…)
• L’inattention : Oublis, lunatique, inattention aux détails, non-écoute (absent psychologiquement/mentalement), évitement des tâches qui demandent un effort cognitif (ou physique, toutes tâches = semblent lâche/paresseuse), vulnérabilité aux distracteurs (qui nuit dans concentration, ex. si stimuli dans l’enviro, va être facile déconcentré)
• L’hyperactivité-impulsivité : Fébrilité (ex. tjr qqchose qui bouge!, ‘’montez sur des ressorts’’, près à réagir à n’importe quoi), impatience, irritabilité, bouge constamment, Parle beaucoup, difficulté à attendre son tour, coupe la parole,
Quels sont les 3 types de TDA?
(pas ‘exclusif’ donc exclus pas les symptômes de l’autre, même si prédominance)
• Type Prédominance inattention (lenteur, + dans lune, + d’oubli, voit pas ses fautes)
• Type Prédominance hyperactivité-impulsivité
• Type Mixte (autant de symptômes dans les 2)
Quel est l’étiologie du TDA?
Il existe différentes hypothèses dont :
• Au plan neurobiologique : Lacunes structurales (quand cerveau a dév. les réseaux neuronaux, connexions = communique mal) et interactionnelles des régions préfrontales (prob d’influx nerveux qui communiquent)
• Au plan neurochimique : Déficience en dopamine et noradrénaline (d’où l’efficacité des psychostimulants) (neurotransmetteurs souvent utiliser dans lobe préfrontal)
• Au plan génétique : Ensemble de gènes impliqués (ce qui pourrait expliquer la vulnérabilité des profils) (24X + de chance d’être TDA si les 2 parents le sont)
Quels sont les facteurs de risque du TDA?
- Durant la grossesse : Exposition à l’alcool/drogue/cigarette, carence nutritionnelle.
- Environnement psychosocial difficile, bébé prématuré ou à petit poids.
Quels sont les atteintes cognitives probables au TDA?
- Inattention : sélection et maintien
- Inhibition : un mauvais contrôle des impulsions
- Mémoire de travail affaiblie
- Planification et organisation faibles
Quel est l’aide et les ressources du TDA?
- Dépistage : Parents, CPE, École, Médecin MD,
- Diagnostic : Évaluation neuropsychologique (et psychologique), médicale, pédiatrique ou pédopsychiatrique
- Interventions : médication, adaptation de l’environnement, rééducation cognitive (sensibilise aux particularités qu’il présente, lui-même identifie les symptômes, en individuel, travaille les différents symptômes)
Quels sont les interventions psychoéducatives possibles du TDA?
- Expliquer et refléter que le TDAH ne constitue pas une déficience intellectuelle, ni un trait de caractère (sont perçus comme lâches)
- Introduire routine dans le fonctionnement (diminue les erreurs)
- Organisation de l’horaire et des tâches (école et maison, tâches tampon)
- Utiliser dès le début un agenda et des listes de tâches pour que l’enfant soit plus autonome et pense à s’y référer (prépare au passage du primaire au secondaire et à l’âge adulte)
- Approche comportementale : déterminer le type prédominant et intervenir en ce sens : Sensibiliser, Conscientiser, Offrir des alternatives, Compenser.
- Approche pharmacologique : efficace au plan de la mémoire de travail, mais certaines études stipulent qu’elle entraîne à long terme une vulnérabilité à la toxicomanie (diminue dopamine donc à cause du TDA ou médication ? – Hyperactif préfère alcool, inattention préfère stimulants)
- Approche systémique : Travailler sur les relations familiales
Qu’est-ce que le trouble spécifique des apprentissages?
Regroupent l’ensemble des troubles associés aux exigences scolaires en regard des habiletés de lecture, d’écriture et de calcul.
Qu’est ce que le trouble spécifique des apprentissage de type dyslexie-dysorthographie?
Trouble de l’apprentissage de la lecture et de l’écriture
Se définit par des compétences en lecture et en écriture qui se trouvent en deçà des compétences attendues pour l’âge de l’enfant en dépit d’une intelligence normale. (Prévalence 5 à 15% de la population, variabilité selon la langue – Consistance (selon variabilité entre la façon d’écrire et dire une langue, son vs écrit) : langue transparente (espagnol ; son =écrit, pas de variabilité), intermédiaire (français ; varie – ex. f ou ph, son ‘O’), opaque (Danois, bcp de variabilité), Donc consistance ajoute de la complexité dans l’apprentissage de l’écriture et la lecture)
(Doit voir que la performance différente de 18 mois = diagnostic vers fin 1ère année, début 2ème)
Qu’est ce que le trouble spécifique des apprentissage de type dyscalculie?
Trouble de l’apprentissage des mathématiques
3 symptômes :
• Difficultés de transcodage :
Difficulté de reconnaissance des chiffres, passer de l’oral à l’écrit, chiffres romains vs arabes vs lettres = vrm difficile
• Stratégies de dénombrement déficientes :
Mémoire des tables mathématiques, calcul mental, (résolution de problème, gestion monétaire)
• Pauvre estimation des quantités :
Pas de lien entre le nombre et ce qu’il représente, (ex. ‘2X + de fille que de garçons’ avec 3 graphiques et dire lequel, fractions, comparé + petit, + grand, égal),
Quels sont les atteintes cognitives probables du trouble spécifique des apprentissage et l’étiologie?
Majoritairement : Perception (traitement visuel), mémoire (apprentissage), langage (1ers mots, faire phrase simple ou complexe)
Étiologie possible : dysorthographie-dyslexie = zone du cerveau qui n’est pas asymétrique – côté gauche, le planum temporal est censé être + grand/volumineux, mais pas nécessaire, pcq certain lecteurs normaux l’ont aussi, Si en + ectopies (regroupement de neurones dans le cortex qui n’ont pas à faire là, devrait être ailleurs ou inexistant) et dysplasies (neurones déformés, car mal développé) présents dans le cortex, lien encore inconnu, mais la présence des 3 = ++ chances
Quel est l’Aide et les ressources du trouble spécifique des apprentissage?
Services en orthopédagogie (attention à l’acharnement)
Diagnostic : Neuropsychologie (dyslexie et dyscalculie) et orthophonie (dyslexie)
Adaptation de l’enseignement et de l’évaluation (éviter de le faire redoubler, plus lui donner accès à des outils/services)
Quels sont les interventions psychoéducatives possibles du trouble spécifique des apprentissage?
Favoriser la consultation de livres (même imagés) (ne pas dévalorisé si lit juste revues ou BD)
Cibler l’estime de soi, la confiance en soi, les attentes personnelles de l’enfant, viser de petits succès, développer d’autres domaines de compétences
Quel est le modèle de Stanké sur la dyslexie-dysorthographie?
Lecture + Habiletés de base : Identification de mots (conscience phonologique), Traitement visuel (mvt oculaire p/r à l’attention)
Lecture + Habiletés de haut niveau : Compréhension de textes
Écriture + Habiletés de base : Orthographe de mots, Calligraphie
Écriture + Habiletés de haut niveau : Production de textes (planifier, rédiger et réviser le texte)
Quels sont les 2 types de DD (dyslexie, dysorthographie)?
(peut voir les 2 en même temps)
DD phonologique : (souvent vitesse de lecture approprié)
Voie de décodage :
– Décode trop (ex. va prendre le 1er mot venu en tête à partir des 1ères lettres = modifie les mots, si décode 3 à 8 fois correctement, sera bon pour la vie)
– Omission de lettres,
– Confusion dans les lettres miroirs (d/b, p/q) ou à sonorité semblable (d/t),
– Saute les mots de liaison
DD lexicale : (bcp de diff de vitesse de lecture)
Voie d’adressage : (retrouver rapidement le mot dans notre tête; l’adresse)
– Lecture très lente, syllabe par syllabe
– Écrit au son (donc langues opaques et intermédiaire très difficile)
– Pas de reconnaissance rapide des mots
Toutefois, une nouvelle classification proposée par Stanké (2016) pourrait remplacer la classification antérieure : DD phonologique, DD par trouble de l’empan visuo-attentionnel et DD mnésique.
Qu’est-ce que le trouble primaire du langage?
• Aussi appelée «Trouble du développement du langage, Dysphasie, Audimutité, Aphasie congénitale»
• Altération du développement des fonctions langagières entraînant l’échec d’une acquisition normale du langage expressif et/ou réceptif
- Trouble inné
(dév pas les fonctions langagières normales. Ex. Normale : 10/11 mois dév le langage, puis jumèle des mots VS. 1ers mots apparaissent + tard ou traine longtemps, diff de compréhension du langage de l’autre, Évaluation à partir de 2 ans, mais diagnostic + vers 5 ans, ORAL ET ÉCRIT affecté)
Pour faire le diagnostic du trouble primaire de langage, les difficultés a/n du langage expressif/réceptif ne doivent pas résulter de :
- Malformation oromotrice
- Négligence ou Hypostimulation
- Di, TSA qui expliquerais (donc, doit consulter si a les 2, pcq langage a amené DI ou l’inverse ?)
- Déficience auditive (entend – bien ou pas du tout)
- Désordre affectif (ex. enfant vivant dans un enviro très traumatisant, stressant. Ex. parents qui se tappent dessus)
Quels sont les 2 types de trouble primaire du langage?
Expressif : Absence ou limitation importante du langage expressif reliée à une incapacité à organiser et à produire les mouvements oro-moteurs et les mots. (Enfant a de la diff à prononcer et conserve des diff, diff à composer ses phrases S-V-C)
Réceptif-expressif : Absence ou limitation importante du langage expressif accompagnée de difficultés de compréhension. Discours intelligible mais accès lexical limité. Bonne compréhension des mots, mais compréhension des phrases plus difficiles. Difficultés avec les situations nouvelles. (S’exprime assez bien, mais répond mal aux questions ouvertes, pcq comprend mal le sens de la question)
Quels sont les atteintes cognitives probables du Trouble primaire de langage?
• Langage expressif et réceptif : Les sons et leur organisation à l’intérieur des mots, Le vocabulaire, marques grammaticales modifiant les mots (cheval-chevaux), l’organisation de mots dans la phrase, la signification des mots, l’utilisation du langage comme moyen de communication (donc, elle peut avoir développer un système de pensée propre à lui – ex. sous-sur, fds prochaine (2 semaines, pas 1)…)
• Généralisation (ce qu’il apprend dans X contexte, le reproduit pas nécessairement dans un autre contexte - ex. si change d’école va oublier sa routine)
• L’abstraction (proverbes, expressions diff pour lui)
• La notion du temps (ex. ce matin, cet pm, hier, en fds – peut confondre…)
• L’organisation
• La planification
• Se repérer dans l’espace
(Relations interpersonnelles très diff., comprend pas ce que l’autre lui dit et diff à se mettre à la place de l’Autre, empathie… - ex. ado : doit porter attention à cpts sexuels, pcq peut - être accusé ou victime de cpts)
Quels sont l’aide et les ressources pour le Trouble primaire de langage?
- Association des personnes dysphasiques
- Orthophonie : école(évalue, mais intervient +), CRDP, CRDI (si DI aussi), privé (donc si peu de $, + diff au quotidien)
Quels sont les interventions psychoéducatives possibles pour le Trouble primaire du langage?
Accompagnement personnalisé en fonction des besoins et des capacités
Adapter le suivi (ex : tableau de communication – faire dessin/schéma pour mieux comprendre & pour soutenir les interventions)
Théorie du petit pas : se fixer de petits objectifs, peu de contenu est abordé par rencontre (répéter plein de choses, phrases courtes et mots simples)
Expliquer et sensibiliser (personne concernée, les proches et éventuellement l’employeur) (en vieillissant, doit savoir que l’enfant est comme sa)
Cibler le développement d’un réseau social et l’intégration sociale (le + diff, pcq souvent isoler socialement enfant et encore + quand adulte)
Qu’est-ce que le traumatisme craniocérébral (TCC)?
«Le TCC représente une atteinte cérébrale, excluant toute étiologie dégénérative ou congénitale (cause qui dégrade ou inné), causée par une force physique extérieure susceptible de déclencher une diminution ou une altération de l’état de conscience avec la perturbation des fonctions cognitives (symptômes) associées ou non (microlésions sont presque imperceptibles, donc pense qu’il n’y en a pas) à une dysfonction physique ainsi que des modifications du comportement et de l’état émotionnel. Les incapacités qui résultent du traumatisme sont soit temporaires (surtout 0-6 mois), soit permanentes.» (Peut survenir à tous les âges, acquis)
Comment se produit le TCC?
Deux composantes mécaniques de production du TCC :
• Force du mouvement (ex. cogner sur un bureau vs. face à face en auto. Détermine si lésions imp ou minimes, l’ampleur)
• Direction du mouvement (détermine le lieu des lésions, ex. qqun qui fait des tonneaux en auto=lésions partout. Plusieurs TCC légers peut mener à TCC grave)
Quels sont les niveaux de sévérité en fonction de 4 critères dans la TCC?
voir notes (p.9-10)