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Psychologie Cognitive > Examen 2 > Flashcards

Examen 2 Flashcards

1
Q

À quoi sert la mémoire à court terme ?

A

Retenir éléments pour un court laps de temps (recette, numéro, tel. (Doris Némo)

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2
Q

Qu’elle est l’impact du Weed et l’alcool sur notre mémoire ?

A

Weed : Cause perte de mémoire MC

Alccol : interfère dans l’encodage MC à ML

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3
Q

Quelle est le rôle de la mémoire à court terme dans le traitement de l’info ?

A
  • Structure permet traitement info sélectionné via registre sensoriel
  • Interferface avec ML (récupération)
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4
Q

Qu’est-ce que la différence entre MC et le registre sensoriel ?

A
  • Registre sensoriel : milliseconde
  • MC: 20-30sec
    2) accès conscient
    3) code
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5
Q

Qu’est-ce qu’Atkinson & Shiffrin a découvert sur la MC ?

A

On peut retenir infiniment dans MC tant aussi longtemps qu’on fait l’autorépétition

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6
Q

Qu’est-ce que la MC ?

A
  • MAINTENIR active et de MANIPULER l’info nécessaire
  • Manipuler = mémoire travail ? (Se rapeler les chiffres dans l’ordre inverse par ex. ; manipule l’info base?)
  • Associé conscience
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7
Q

Quelles sont les 2 sources d’information dans la MCT ?

A

1) Info récupéré dans ML

2) Info entrant via registre sensoriel

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8
Q

Qu’est-ce que la tâche classique du rappel en sériel ?

A
  • Tâche de rappel dans laquelle le matériel à mémoriser est présenté en ordre, un item à la fois
  • Participant mémorise et récite dans le même ordre que la présentation initiale
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9
Q

Qu’est-ce que l’empan mnémonique ?

A
  • Nombre d’items pouvant être gardés actifs et/ou manipulés simultanément en mémoire
  • Empan = Plus longue série de rapele ayant un succès de 50% (une séquence sur 2 ayant 100% et l’autre une erreur)
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10
Q

Comment l’empan se mesure ?

A

tâche de rappel sériel

  • rappel est correct quand tous les items d’une listes sont rappelés dans le bon ordre
  • On présente des listes de longueurs différentes et on calcule le % de listes correct pour chaque longueur (Empan = celui à 50%)
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11
Q

Quelle est la majorité de résultats de l’empan ?

A

1) empan = 7 ± 2 items
2) selon unité:
- chiffre ; 8.0
- lettres ; 7.1
- mots courts ; 5.5

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12
Q

Par quoi l’empan est affecté ?

A
  • Groupement des items (TVA)
  • Longueur de mot
  • Similitude phonologique (bain/pain)
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13
Q

Qu’est-ce que le (effet) groupement permet ?

A
  • nb items à retenir est plus petit (UQTR = un élément, pas 4)
  • Signification : MLT joue rôle dans fonctionnement MCT
  • Groupe «chunk»
  • Regroupement de stimuli (1 item)
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14
Q

Qu’est-ce qu’un groupe «chunk» ?

A

Unité d’info qui dépend présence, en MLT, d’une configuration déjà présente (RDI, TVA, etc.)

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15
Q

Comment peut-on définir un item (regroupement de stimuli) ?

A

1) Rapprochés dans le temps : si les T,V et A, sont présentés dans un délais proche = 1 séquence/item)
2) Rapprochés dans l’espace : JNB PRW BCS
3) Ayant une signification : PFKTVALCN (moins significations = + diff. à retenir)

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16
Q

Qu’est-ce que l’effet de longueur du mot ?

A
  • Un ensemble connu ; + facile à mémoriser (bus, nez, cil que nor, buz, sup)
  • Plus mot est long ; + diff. mémoriser
  • Tache de rappel sériel
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17
Q

Est-ce dire que tous les mots sont égaux en MCT ?

A

Non pcq certains mots ont déjà une représentation dans l MLT

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18
Q

Qu’est-ce que la tâche de rappel sériel permet de définir dans la longueur du mot ?

A
  • On manipule le nb de syllabes compris dans les mots à rappeler (Plus le nb de syllabes augmentent, plus il y a d’échec à mémoriser les mots)
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19
Q

Qu’est-ce que Schweichert et Boruff ont déterminé par rapport à la vitesse de lecture ?

A
  • Lien entre la durée de prononciation et l’empan
  • rappel sériel avec listes chiffres et formes
    1) on mesure l’empan
    2) Mesure temps de prononciation des listes présentées lors du rappel sériel : participant doit lire items le plus rapidement possible
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20
Q

Quel est l’empan de vitesse de lecture pour les formes et les chiffres ?

A
  • L’empan correspond à ce que la participant peut prononcer en 2 sec (soit équivalent à 50% de listes de rappelées exactement, dans le graphique)
  • Chiffres : 8
  • formes ; 5
  • chiffre + rapide prononcer que les formes
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21
Q

Quel est le lien entre l’empan mnésique et la vitesse de prononciation ?

A
  • Corrélés :
    1) Développe avec l’âge
    2) diff. individuelles
    3) diff. langues (chinois débit + rapide qu’anlais ; dépendamment la langue, elle ne sera pas à 2sec/élément comme nous)
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22
Q

Qui sont ceux qui ont un meilleur empan dans la vitesse de lecture ?

A
  • ceux ayant des meilleurs temps de prononciation = empan élévés
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23
Q

Quel est l’impact dans l’articulation en mémoire dans la vitesse de lecture ?

A
  • articulation rôle important dans mémoire
  • effet de similitude phonologique
    • diff. si ils se ressemblent
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24
Q

Qu’est-ce que Baddeley a découvert dans le format de l’info en MCT ?

A
  • Séquences de lettres que le participant doit mémoriser dans l’ordre sont présentées à l’écran :
    a) dissimilaires phonologiquement : N-P-Q-H-S-J
    b) Similaires phonologiquement : B-D-T-C-P-G
  • effet similitude : capacité MCT est diminuée lorsque stimuli similaires phologiquement
    DONC : item maintenu sous forme phonologique en MCT
    (par rapport à la MLT, on organise selon signification)
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25
Q

Quelle est la différence entre l’attention blink et sériel ?

A

Le temps entre les informations montrées

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26
Q

La capacité de la mCT dépend de qu’elle info qu’on doit maintenir ?

A

mot, lettre, chiffre, etc.

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27
Q

Quelle est le code de la MCT ?

A
  • effet de longueur du mot
  • effet de vitesse de lecture
  • effet de similarité phonologique
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28
Q

Qu’est-ce que la tâche de Brown-Peterson, selon l’oublie MCT ?

A

présentation liste d’items mémoriser (trigramme ; ex. THV MGP…)
1) participants doivent après effectuer tâche distractrice, typiquement comptage à rebours par incréments à voix haute (empêche auto répétition ; on peut mesurer la durée de la trace en MCT sans autorépétition)

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29
Q

Quel est le résultat de la tâche de Brown-Peterson ?

A

la probabilité de rappel du trigramme diminuait plus le temps d’intervalle entre la tape et le trigramme de lettre était long (à partir de 12-15sec ; stagnation rappel)

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30
Q

Qu’est-ce que l’oubli par estompage ?

A
  • Seul passage de temps provoque l’oubli (20-30sec. sans auto répétition)
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31
Q

Qu’est-ce que l’oubli par interférence ?

A

1) rétroactive : nouveau matériel efface celui déjà en mémoire
2) proactive : matériel déjà mémoire diminue l’efficacité récupération du nouveau matériel
3) Plus il y a de matériel interférant, plus il y a oubli

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32
Q

Qu’est-ce que la tâche de chiffre sonde de Waugh et Norman, selon l’estompage et l’interférence ?

A

1) On voit apparaître série chiffre
2) Suivi signal sonore
3) dernier chiffre présenté avant signal devient la sonde
* On doit donc se souvenir du chiffre qui suivait la sonde dans la séquence 34564(signal) alors sonde = 5

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33
Q

Qu’est-ce que Waugh et Norman manipulait ?

A

1) Manipulation de l’interférence
- On manipule le nb d’items interférant entre la sonde et la réponse
ex. 7212345678 9 12345678(signal)nb item interférant ; 8
2) Manipulation du temps
- On manipule la vitesse de présentation pour un même nb items interférent, le délai entre la sonde et la réponse est plus élevé si les items sont présentés 1/sec que 4/sec

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34
Q

Quelle est le résultat de la tâche de chiffre-sonde de Waugh et Norman ?

A
  • nb items interférant affecte davantage le pourcentage de rappel correct que le temps
  • Oubli est dû à l’interférence rétroactive (nb items présentés après la réponse a un effet sur la performance; plus items = diminution rappel correct)
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35
Q

Quelle est l’expérience de Keppel et Underwood par rapport à l’interférence proactive et le relâchement ?

A
  • Interférence causée par les listes déjà emmagasinées en mémoire
  • Tâche de Brown-Peterson ; intervalles de temps variables (3, 9 ou 18sec.) entre présentation des items et rappel
    ex. WFR- comptage rebours (pendant 3-9-18sec) - rappel
  • Changement de catégories = + facile
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36
Q

Qu’est-ce que l’interférence proactive ?

A
  • Performance diminue en fct de l’essais (Plus le nb d’essais augmentait, plus d’info en mémoire, plus performance diminue)
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37
Q

Qu’est-ce que le relâchement de l’interférence selon Wickens, Dalezman et Eggmeier ?

A
  • Tâche de Brown-Peterson
  • Essais 1 à 3 de listes de fruits ; plus le nb d’essais augmentait, plus il y avait l’interférence entre les fruits déjà mémorisés et ceux à mémorisés.
  • Essai 4 : change la catégorie sémantique = relâchement interférence proactive (augmentation performance plus la catégorie est diff. de ceux précédemment)
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38
Q

Le degré d’interférence varie en fct de quoi ?

A

1) Selon la similarité entre info activée en mémoire et la nouvelle info
2) Utilisation catégorie sémantique diff. au 4e essai permet de fournir un meilleur indice de récupération

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39
Q

Quelle tâche permet de mesurer la mémoire à court terme ?

A

La tâche sériel

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40
Q

Votre amie est inquiète, elle ne se rappelle que de 9

items, que lui répondez-vous ?

A

Qu’en moyenne on se rappele de 7 +/- 2, alors elle est dans la «normal», voir meilleure

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41
Q

Est-ce que le temps dégrade l’information dans la

mémoire à court terme ?

A

oui

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42
Q

“Le seul code mnésique utilisé en mémoire à court terme

est le code acoustique.” Est-ce que cette phrase est vraie ?

A

Faux

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43
Q

Que signifie ‘affranchissement de l’inhibition proactive’ ?

A

Quand c’est plus difficile, il y a un meilleur affranchissement ?

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44
Q

Qu’est-ce que la mémoire de travail ?

A

Une unité de gestion centrale qui permet de gérer selon 2 modalités

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45
Q

Quels sont les 2 modalités ?

A
  • Tablette visuo-spatiale (traitement de l’info visuelle-spatiale)
  • Boucle phonologique (traitement de l’info verbale)
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46
Q

De quoi est composé la boucle phonologique ?

A
  • Registre phonologique

- Boucle articulatoire

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47
Q

Quel est le rôle du registre phonologique ?

A
  • Info est entreposée passivement (2 sec.) sous forme phonologique
  • Entrée de l’info auditive (Reçoit un message verbale, on entend)
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48
Q

Comment maintenir l’info dans le registre phonologique plus longtemps ?

A
  • Chaque fois que le mot est répété, il reprend sa «puissance»
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49
Q

Qu’est-ce que la boucle articulatoire permet ?

A
  • Maintient de l’info active dans registre phonologique en la recirculant (autorépétition)
  • Basé sur l’articulation
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50
Q

Quel est le rôle de la boucle articulatoire ?

A

1) Entrée de l’info visuelle

2) Encode info visuelle-verbale sous forme phonologique

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51
Q

Où survient l’effet de la longueur du mot ?

A

Dans la boucle articulatoire

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52
Q

Qu’est-ce que l’effet de la longueur du mot ?

A

Plus les mots sont longs, plus ils prennent de temps à articuler, moins il est possible de les répéter dans la boucle

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53
Q

Où survient l’effet de similitude ?

A

Dans le registre phonologique

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54
Q

Qu’est-ce que l’effet de similitude phonologique ?

A
  • Une confusion surviendrait au niveau des items pendant qu’ils sont entreposés dans le registre
  • phonologiquement similaires = confondus
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55
Q

Qu’est-ce que la suppression articulatoire ?

A

1) répéter voix haute une syllabe/mot pendant une tâche de mémoire (rappeler mots présentés en ce répétant le mot «mathématique» ex.)
2) on charge la boucle = rend inutilisable pour la tâche de mémoire (pendant qu’on prononce un mot dans la boucle, les autres «s’effacent»/diminuent

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56
Q

Pourquoi la suppression articulatoire affecte la performance à la tâche de mémoire ?

A
  • C’est parce que la suppression articulatoire sollicite la boucle articulatoire
  • SA empêche le maintient de l’info dans le registre (bloque l’auto répétition) (verbale)
  • SA empêche l’info verbale visuelle d’accéder au registre (mot livre)
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57
Q

La longueur du mot et la similitude phonologique sont 1 mécanisme. V/F

A

Faux
Mécanisme #1.
- Boucle articulatoire : effet de longueur du mot (articulation) : Suppression articulatoire
Mécanisme #1.
- Registre phonologique : Effet de similitude phonologique (confusion)

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58
Q

Quels sont les hypothèses à propos des 2 mécanismes ?

A 
#1.
- Si l'effet de similitude phonologique survient dans le registre phonologique, il ne sera pas affecté par la SA
#2.
- Si l'effet de longueur du mot survient au niveau de la boucle articulatoire, il sera aboli par la SA
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59
Q

Comment ces hypothèses pouvaient être réalisées ?

A

Avec la tâche de rappel sériel

  • Variables :
    1) Items similaires ou non phonologiquement
    2) Mots longs (4 syllabes) ou mots courts (2)
    3) avec ou sans suppression articulatoire
    4) Présentation auditive des items
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60
Q

Selon Longoni, Richardson et Aiello, quelles sont les résultats concernant la SA et la longueur du mot ?

A
  • La SA fait disparaître l’effet de longueur du mot (Pratiquement aucune différence dans le pourcentage de mots corrects entre les mots courts et longs quand suppression est là, par rapport à quand elle est pas là, il y a une bonne diff. entre les mots courts et longs (comme la normal))
  • Donc, l’effet de longueur du mot surviendrait au niveau de la boucle articulatoire
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61
Q

Selon Longoni, Richardson et Aiello, quelles sont les résultats concernant la similitude phonologique ?

A
  • La SA n’affecte pas l’effet de similitude phonologique (Peu importe si la SA est là ou non, il y a une écart de +/- 20 de bonne réponses entre les mots diff. et similaires)
  • Donc, La similitude phonologique surviendrait au niveau du registre phonologique
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62
Q

Qu’est-ce que la tablette visuo spatiale ?

A
  • Composante de la mémoire à court terme permettant de recirculer (scribe interne) l’info de nature visuelle et/ou spatiale (non verbale) entreposée dans le cache visuel (registre visuel)
  • Fonction similaire à la boucle phonologique, mais moins bien definis (diff. d’avoir un effet visuo-spatiale, mais sinon résultats similaire ; autorépétion, capacité ?)
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63
Q

Qu’est-ce que les blocs de corsi ?

A
  • Avec la Tâche d’empan (Smyth)
    1) Lors d’un essai, un nombre variable de blocs sont présentés successivement
    2) Après la séquence, le participant indique les blocs qui ont été présentés, dans leur ordre d’apparition.
    3) Empan comparable au matériel verbal: 5 à 6 items.
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64
Q

Quels sont les autres modules, autres que les blocs de corsi ?

A

1) Unité de gestion centrale
- coordination des modules
- Liée à l’attention (bassin général de ressources)
2) Registre d’input
- Entrée de l’info (mémoire sensorielle)
3) Tampon épisodique
- Intégration de l’info multisensorielle
- Transfert des représentations en MLT

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65
Q

Existe-t-il 2 modules distincts de mémoire ou est-ce plutôt un continuum (degré de durabilité de la trace de l’info) ?

A

C’est encore un débat, mais majoritairement c’est 2 distinctions

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66
Q

La distinction entre la MCT et la MLT s’appuie sur quoi ?

A

1) Les propriétés différentes

2) La démonstration de facteurs qui affectent sélectivement la MCT et la MLT

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67
Q

Qu’est-ce que les différentes propriétés ?

A
  • Codage : phonétique VS sémantique
  • Durée : 2 sec VS permanent
  • Capacité : 7 items VS illimité
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68
Q

Quels sont les facteurs qui affectent sélectivement la MCT et la MLT ?

A

Effet de primauté et de récence

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69
Q

Qu’est-ce que la courbe de position sérielle ?

A
  • Tâche de rappel libre
  • Série d’items est présentée, un item à la fois, et le participant les rappelle dans n’importe quel ordre
    a) Primauté (éléments début étaient bien rappelés)
    b) Asymptote (éléments milieu étaient moins bien rappelés)
    c) Récence (éléments fin étaient bien rappelés)
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70
Q

Dans la courbe de position sérielle, la primauté est associé à quoi ?

A

À la récupération dans la MLT

- Les premiers items ont plus de temps pour être transférés en MLT

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71
Q

Dans la courbe de position sérielle, l’effet de récence est associé à quoi ?

A

À la récupération dans la MCT

  • Les derniers items sont encore disponibles dans la MCT
  • Abolie lorsque le participant ne peut ni rappeler l’info immédiatement, ni la maintenir active en MCT
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72
Q

Quels sont les facteurs qui affectent indépendamment la récence et la primauté ?

A
  • l’autorépétition

- le délai

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73
Q

Selon Rundus, quelle est le lien entre l’auto répétition et l’effet de primauté ?

A

1) Rundus :
- Tâche de rappel libre
- Qté auto répétition est mesurée (participant doit autorépéter les mots à voix haute)
2) Primauté ; la performance augment avec le nb d’auto répétitions
DONC l’auto répétition permet le transfert des items en MLT (plus item est répété plus il sera facile à récupérer de la MLT)

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74
Q

Quelle est le lien entre l’auto répétition et l’effet de récence ?

A

Aucun.
L’effet de récence est indépendante du nombre d’auto répétitions
- Récence peut pas être attribué à une récupération de la MLT; les items n’ont pas été autorépétés
- Les derniers items de la séquence seraient récupérés directement de la MCT

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75
Q

Selon Glanzer et Cunitz, quelle est le lien entre l’effet de récence et le délai ?

A

1) Glanzer et Cunitz :
- Tâche de rappel libre
- Un délai pendant lequel le participant doit effectuer du calcul mental est inséré entre la présentation des items et le rappel) (0-10 ou 30 secondes)
2) effet de récence
- Comme le participant ne peut pas auto répéter pendant le délai, les derniers items de la liste en MCT ne peuvent être maintenus actifs et sont oubliés
3) primauté
- n’est pas affecté, pcq le participant peut autorépéter pendant la présentation de la liste, les premiers items peuvent être transférés en MLT

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76
Q

Qu’est-ce que la mémoire à long terme ?

A
  • Encode de la MCT à MLT
  • Maintien (garde seulement actif) et consolidation (Sommeil aide à la consolidation) en MLT
  • Récupération de MLT à MCT
77
Q

Quelle est le schéma d’un stimuli ?

A

1) registre sensoriel - mémoire sensorielle (250ms)
2) Mémoire court terme (autorépétition ou réponse) (2s)
3) Mémoire long terme (connaissances/souvenirs)(permanent)

78
Q

L’étude de la mémoire s’intéresse à quoi ?

A

À toutes les situations dans lesquelles une expérience antérieure affecte le comportement subséquent.

  • Différents types de mémorisations
  • Différents types de mémoires
  • Différents types de tests de mémoire
79
Q

Quels sont les types de mémorisation ?

A

(On demande de retenir une liste de mot par ex.)

1) Explicite/intentionnelle : effort conscient et dirigé dans le but de mémoriser une information.(Retenir la liste de mot)
2) Implicite/incident: mémorisation de l’information sans effort et sans expérience consciente de la mémorisation (Retenir la couleur de mot)

80
Q

Pourquoi pouvons nous retenir une information implicitement ?

A

Cela dépend du contexte, des informations secondaires, lien avec l’attention et les attentes lors de l’encodage.

81
Q

Quels sont les 2 types de mémoires ?

A

1) Déclarative

2) Procédurale

82
Q

Qu’est-ce que la mémoire déclarative ?

A
  • Ensemble de connaissance
    1) mémoire sémantique
    2) mémoire épisodique
    a) auto biographie
    b) générale
83
Q

Qu’est-ce que la mémoire procédurale ?

A
  • Ensemble des comportements moteurs appris (marche, gestes complexes, attacher soulier, conduire, etc.)
  • Dans les troubles de mémoire c’est souvent elle qui est épargner
84
Q

Qu’est-ce que la mémoire sémantique ?

A

langage et connaissances générales décontextualisées (nom de la première ministre du Canada)

85
Q

Qu’est-ce que la mémoire épisodique ?

A

1) autobiographie : relié aux événements de notre vie (première balade en forêt)
2) générale (le son des feuilles dans les arbres)

86
Q

Quels sont les différents tests de mémoire ?

A
  • Direct

- Indicect

87
Q

Qu’est-ce que les tests indirects ?

A

Le participant ne sait pas qu’on va le questionner sur sa mémoire et la question évalue son souvenir de façon détournée
- ex. on demande de retenir mot et on questionne sur la couleur des mots

88
Q

Qu’est-ce que les tests directs ?

A
  • Rappel

- Reconnaissance

89
Q

Qu’est-ce que les tests de rappel (direct) ?

A

1) rappel libre : sans indice (complètement rapport complet)

2) rappel indicé : avec indice (ex. catégorie sémantique)

90
Q

Qu’est-ce que les tests de reconnaissance (direct)?

A
  • On présente du matériel et on demande s’il était ou non présenté
    1) Explicite : lequel ou lesquels des items X ont été présentées
    2) Familiarité : jugement subjective
91
Q

Donne un exemple pour tout les tests directs.

A
  • rappel libre ; le plus grand nb de mot
  • rappel indicé ; rappelez tous les noms de fruits présents
  • Reconnaissance explicite : dites pour chaque mot s’il faisait partie de la liste (oui ou non)
  • Familiarité : Indiquez votre sentiment de familiarité pour chaque mot (de 1 à 10), par ex. liste original est une liste d’animaux et la je te présente une liste de fruits avec 2 mots d’animaux, je vais être plus familière avec les mots d’animaux (moins clairs que la reconnaissance explicite)
92
Q

Donne un exemple pour les tests indirects.

A

Retient une liste de mot et on te questionne sur la couleurs de ses mots

93
Q

Quels sont les étapes de l’info dans la mémoire à long terme ?

A

1) Encodage (transformer un événement ou un fait en une trace mnésique)
2) Consolidation/rétention (maintenir l’info active dans la mémoire à long terme)
3) Récupération (réactiver en MCT info emmagasinée en MLT)

94
Q

Quels sont les stratégies d’encodage ?

A

1) répétition
2) codage (élaboration/intégration/organisation): Mon Vieux Tu M’a Jeté Sur Une Nouvelle Planète
3) Création d’images mentales (mnémotechnique)

95
Q

Qu’est-ce que l’encodage ?

A
  • processus qui transforme un évenement/fait en trace mnésique (création trace mnésique:enregistrement)
  • Doit permettre une éventuelle récupération de l’info
  • Manipulation expérimentale : tâche d’orientation (Il faut que je puisse contrôler le traitement de l’info pour étudier son encodage subséquent)
96
Q

Qu’est-ce que la tâche d’orientation ?

A
  • Manipulation du type de traitement effectué sur un matériel donné
  • aucune consigne de mémorisation
  • apprentissage par incident
    2) Dans une tâche de mémoire, on fait le rappel ou reconnaissance du matériel traité lors de la tâche d’orientation
97
Q

Qu’est-ce que l’élaboration/organisation/intégration dans le codage ?

A
  • Selon Craik & Tulving, c’est le degré de complexité d’une phrase
  • Importance de la profondeur de traitement (+ riche et élaboré = + facile à encoder)
  • 2 phases
98
Q

Qu’est-ce que la premiere phrase de l’élaboration dans le codage chez Craik et Tulving ?

A

« Est-ce que le mot ‘pomme’ peut compléter la phrase suivante ? »

  • Condition 1 (Simple) : Il fait cuire la _____.
  • Condition 2 (Moyen) : La _____ mûre avait un goût délicieux.
  • Condition 3 (Élevé) : Le jeune homme a rapidement cueilli la grosse ____rouge.
99
Q

Qu’est-ce que la deuxième phrase de l’élaboration dans le codage chez Craik et Tulving ?

A
  1. Rappelez le plus de mots parmi ceux qui vous ont été
    présentés dans les questions de la première phase de
    l’expérience.
  2. Est-ce que le mot « pomme » vous a été présenté dans
    la première phase de l’expérience ?

Condition 3 > Condition 2 > Condition 1
Élevé > Moyen > Simple

100
Q

Quels sont les types de traitement ?

A

1) hiérarchie des profondeurs de traitement

2) vitesse de dégradation spécifique

101
Q

Quelle est l’hiérarchie des profondeurs de traitement ?

A
  • Physique » phonétique » sémantique
  • traitement superficiel va se dégrader plus facilement que si le traitement est plus en profondeur
  • sémantique = plus profondeur
102
Q

Quelles sont les vitesses de dégradation spécifique ?

A
  • Rapide
  • intermédiaire
  • lente
103
Q

Qu’est-ce que la tâche orientée ?

A

Le participants à adoter un type de traitement

104
Q

Explique l’expérience d’Hyde et Jenkins concernant les types de traitements.

A

a) 24 mots. 4 groupes :
1. Mémorisation intentionnelle
2. Déterminer si mot comprend lettre E
3. Compter nombre de lettres
4. Juger caractère agréable-désagréable

105
Q

Quelle a été les résultats de l’expérience d’Hyde et Jenkins concernant les types de traitements ?

A

1) ceux qui faisait un traitement plus superficiel (lettre E ou compter les lettres), ont moins bons résultats.
2) Ceux qui mémorisent volontairement, traite plus en profondeur l’info, puisque tu l’apprends
3) Plaisant (caractère agréable ou non) ; sémantique
Donc, lien entre plaisant (caractère agréable ou non) et mémorisation

106
Q

Qu’est-ce que l’expérience d’Hyde et Jenkins a permis d’apporter à propos des tâche d’orientation ?

A
  • La performance change en fct de la tâche d’orientation utilisée
  • Selon Craik & Lockhart, ces tâches demandent des niveaux des traitements différents : Plus la profondeur est, plus on va retenir avec le temps
  • structural à sémantique (plus profond et la trace mnésique est plus riche)
107
Q

Qu’est-ce que l’expérience d’Hyde et Jenkins a permis de conclure ?

A
  • L’intention d’apprendre est importante,mais n’est pas suffisante pour l’apprentissage
  • profondeur traitement de l’info est meilleur prédictive de la performance (élaboration)
  • Si on pas de consignes outre d’apprendre, on emploie la bonne stratégie approprié
108
Q

Quel est le lien entre les acteurs de cinéma et la profondeur des textes ?

A
  • Leur texte à apprendre :
    a) acteurs font plus d’élaboration que les acteurs novice dans leur apprentissage
    b) Pas/peu apprentissage par cœur
    c) Étudient les idées et motivation du personnage
    d) Paraphrases (sens) d’abord et ensuite les mots exacts
109
Q

Comment faisons-nous pour stocké des items dans notre MLT ?

A

Par élaboration :

  • Nous stockons par signification et non par apparence ou son
  • Nous créons des associations quand nous stockons pour nous aider à rapeler
110
Q

Pourquoi il est important de donner une signification quand on stocke ?

A

L’exemple du lavage; si nous avions une longue definition, sans savoir qu’on parle du mot «lavage» cela rend la tâche plus difficile de stocker tout les éléments du texte, que si on peut faire des liens quand on connaît initialement le mot «lavage» ; Effet des connaissances antérieurs

111
Q

Qu’est-ce que l’effet des connaissances antérieurs ?

A

+ difficile de mémoriser une info si on en comprend pas le contexte / sens

  • L’effet demeure pareil même si on nous l’explique après le fait.
  • Il faut que l’on nous explique/nomme avant la mémorisation
112
Q

Qu’est-ce que Stein & Bransford ont déterminé par rapport à la pertinence de l’élaboration ?

A
  • Conditions
    1) Contrôle : “ … [point final]. ”
    2) Élaboration pertinente :“ … l’avertissant: ‘danger, glace fragile’. ”
    3) Élaboration non-pertinente : “ … de 60 cm de haut de haut ”
  • Test ; complétez la phrase
    “le ____ monsieur lit la pancarte.”
  • Résultat :
    1) 80% réussite : élabo pertinente
    2) 40% réussite : contrôle (rien)
    3) 20% réussite : élabo non pertinente
113
Q

Qu’est-ce que la compatibilité de l’élaboration?

A
  • Condition compatible

- Condition incompatible

114
Q

Qu’est-ce que la condition compatible ?

A
  • La (pomme) rouge est tombée de l’arbre.
  • Contexte compatible avec l’item traité et encodé
    simultanément
  • Permet l’élaboration facilement
115
Q

Qu’est-ce que la condition incompatible ?

A
  • La (pomme) bleue est partie à la chasse.
  • Contexte non compatible, non encodé avec l’item.
  • Pas ou peu d’élaboration possible
116
Q

Dans quelle situation qu’il y a une amélioration du rappel ?

A
  • Plus il y a une complexité du contexte autour de l’item, meilleure sera le rappel
  • La complexité seul n’amène pas une meilleure profondeur, il faut que la complexité fasse du sens
  • l’amélioration apparaît que lorsqu’il y a possibilité d’élaboration (condition compatible)
117
Q

Qu’est-ce qui peut affecter l’encodage ?

A
  • Facteurs top down (connaissance, souvenirs, etc.) peuvent facilité ou pas l’encodage d’un nouveau item
118
Q

Quelles sont les stratégies d’encodage efficaces?

A
  • Celles qui mènent à une élaboration

- Création de différentes routes de récupération.

119
Q

L’élaboration est donc influencé par quels facteurs ?

A
  • effet de signification (groupement sémantique)
  • effet de complexité (contexte complexe)
  • effet de compatibilité (traitement sémantique = pas juste ça, mot-cible ne cadre pas dans le contexte, l’élaboration est plus pauvre)
120
Q

Quels sont les 2 tâches d’orientation ?

A
  1. Le mot s’insère-t-il dans la phrase suivante… (Tx sémantique)
  2. Le mot rime-t-il avec… (Tx phonologique)
121
Q

Quels sont les 2 tâches de reconnaissance ?

A
  1. De mots (avez-vous traité ce mot?)

2. De rimes (avez-vous traité un mot qui rimait avec…?)

122
Q

Selon Morris, Bransford, & Franks, Y a-t-il une interaction entre le type de test et le traitement effectué à l’encodage ?

A

1) Interaction entre tâche sémantique et test de reconnaissance de mots : sémantique
2) Interaction entre tâche phonologique et test de reconnaissance de rimes : phonologique
* Les 2 ont de meilleurs performances que s’ils étaient inversés

123
Q

Pourquoi peut-on dire qu’il y a une interaction entre certain type de test avec certains traitements effectués ?

A

Le traitement et la reconnaissance est basé sur les mêmes connaissances/attributs, la performance sera donc meilleure

124
Q

Pourquoi le traitement doit être approprié pour le type de test ?

A
  • Un traitement distinctif permet de créer une trace facile à reconnaître lors d’un test de reconnaissance standard.
  • Un traitement des rimes facilite la reconnaissance de la
    phonologie des mots.
  • Si on l’encode sémantique, ça va être difficile d’aller le récupérer sous phonétique
125
Q

Que veut-on dire par traitement approprié ?

A
  • Traitement doit pas nécessairement être pareil aux types de tests
  • Il peut référer au contexte interne et externe
126
Q

Dans une classe de poésie, comment allons nous faire pour effectué un «transfert efficace» pour le prochain examen ?

A

Nous allons traiter l’information de manière phonétique

127
Q

Qu’est-ce que Godden & Baddeley a fait concernant le contexte environnemental (externe) ?

A
  • Tâche de rappel libre
    2 conditions d’études (encodage): sur l’eau et sur la terre
    2 conditions de test (récupération):sur l’eau et sur la terre
128
Q

Qu’est-ce que Godden & Baddeley a conclut concernant le contexte environnemental ?

A
  • Que la performance est meilleure quand le contexte d’étude et le test sont similaires
  • Donc concordance entre le milieu d’encodage et le milieu de rappel
129
Q

Qu’est-ce que Goodwin et al. a fait concernant le contexte interne ?

A
  • 2 conditions d’études (encodage): sobre et intoxiqué
  • 2 conditions rappel (récupération): sobre et intoxiqué
  • On peut remplacé intoxiqué par anxieux, apeuré, stressé, etc.
130
Q

Qu’est-ce que Goodwin et al. a conclut concernant le contexte interne ?

A
  • Le rappel est meilleur lorsque le contexte interne est le même à l’encodage et à la récupération.
  • Donc concordance entre l’état de l’encodage et rappel
131
Q

Qu’est-ce qui est critique pour le rappel?

A
  • Spécificité de l’encodage
  • traitement approprié au transfert
  • effet de contexte
  • bref interaction entre encodage et récupération
132
Q

Quelle type d’information peuvent influencer lors du rappel ?

A
  • Info épisodique (événements de notre vie)
  • Info sémantique reliée (Tout ce qui est associé à l’eau si on va dans l’eau ; contexte relié avec mot)
  • L’humeur et l’état interne
  • La situation environnemental
  • Plus ces infos sont reliés au contenu à mémoriser, plus leur rôle sera important lors du rappel (lors de la tâche si j’utilise un ipad, il faut utiliser un ipad dans le rappel)
133
Q

Explique la courbe de l’oubli après l’apprentissage ?

A

Il y a une grande perte importante au début, suivi d’une perte qui diminue lentement
- après 1h ; 50% d’oublié

134
Q

Est-ce que vous avez plus de chances d’oublier quelque chose au début ou à la fin, selon la courbe de l’oubli après l’apprentissage ? (*)

A

Au début, après 1h, on perd 50% de ce qu’on a appris

135
Q

Qu’est-ce que l’amnésie infantile ?

A
  • Très peu de souvenirs sous l’âge de 7 ans
  • Encore moins en bas de 5 ans
  • Aucun avant 24 mois
136
Q

Pourquoi n’avons nous aucun souvenir avant 24 mois ?

A
  • période pré verbale
  • Si on encode sans utiliser de mots, et qu’on essait de récupérer avec des mots ; très difficile/impossible
  • Développement du langage permet encodage sous forme récupérable à l’âge adulte
137
Q

Qu’est-ce que Morrison & Conway a conclut concernant l’amnésie infantile et les souvenirs ?

A
  • Lien entre âge d’acquisition des mots et premiers
    souvenirs reliés à ces mots
  • Différence de 12 mois entre acquisition mot / premier
    souvenir (très forte corrélation entre le moment de l’acquisition et le moment où il l’on dit la première fois avec délais de 12 mois)
  • Représentation sémantique plutôt qu’épisodique (sensorielle ;sentiment, odeur,etc.) (Il faut donc qu’on ait le mot, donc le concept pour pouvoir se rapeler et créer un souvenir (représentation sémantique lors de l’encodage est nécessaire)
138
Q

Qu’est-ce qui précède la formation de la mémoire ?

A

Le langage (cela prend langage pour créer souvenir)

139
Q

Qu’est-ce que le pic de réminiscence ?

A
  • C’est le premier «pic», où est-ce qu’il y a le plus de souvenirs en mémoire en fonction de l’âge de l’encodage.
  • Dans la vingtaine
140
Q

Pourquoi avons nous un pic de réminiscence ?

A

1) Période de changements intense (nouveautés)
précédée et suivie par période plus stable (se passe autour de la vingtaine, en général l’université c’est «huge» pcq on coupe la maison avec parents et tout et après plus stable avec notre maison, enfants, etc.)
2) Développement du sens d’identité (plus motivation,
organisation de l’information) (de ce que nous voulons, notre concept de nous, ce qu’on a «besoin»)
3) Capacités cognitives à leur optimum (pic de
performance cognitive) (jusqu’à 25 ans, après lent déclin en ce qui concerne, à raisonner, intelligente fluide, etc., mais intelligence cristaline va rester (on peut continuer d’apprendre à propos politique, culture, etc.))

141
Q

Qu’est-ce que la récupération ?

A

Ensemble des processus qui permettent de transférer
l’information de la MLT à la MCT afin de pouvoir
l’utiliser

142
Q

Pourquoi pouvons-nous oublié quand l’info a été stocké en MLT ?

A

1) Avec le temps ou l’interférence, l’info se détruit

2) «Tellement d’info» que c’est difficile à récupérer (trouver)

143
Q

Quels sont les 2 possibilités qu’on oublie ?

A

1) Disponibilité

2) Accessibilité

144
Q

Qu’est-ce que la disponibilité ?

A
  • Trace mnésique de l’item est inexistante
  • Effacement du à l’estompage (temps)
  • Effacement du à l’interférence (nouvelle info dégrade les connexions de la trace mnésique précédente encodée (désapprentissage)
145
Q

Qu’est-ce que l’accessibilité?

A

l’information est présente en MLT mais les indices de récupération ne sont pas assez efficaces pour la récupérer

146
Q

Qu’est-ce que Tulvin & Psotka a fait à propos de l’oubli ?

A
  • 6 listes de 24 mots
  • 6 catégories (4 mots chaque; couleurs, outils, etc.) par liste
  • Rappel après chaque liste
  • Test mémoire à la fin
  • Rappel libre
  • Rappel indicé (catégories)
  • Groupe contrôle (une seule liste présentée) = rappel libre
    immédiat.
  • 5 groupes expérimentaux: 1 à 5 listes après la première.
  • Plus il y a de listes suivant la liste cible, plus le rappel
    devrait être compromis…
147
Q

Qu’est-ce que Tulvin & Psotka a conclut à propos de l’oubli ?

A

1) Après l’apprentissage de chaque liste, le participant fait
un rappel libre immédiat. (Donc, l’info est encore disponible, donc problème d’accessibilité, avec indice on peut trouver)
2) Suite à l’apprentissage de toutes les listes le participant fait un rappel libre de toutes les listes. (Plus il y avait de listes après la première, plus le taux de rappel après la première liste diminuait : Le temps et le nouveau contenu. Lent déclin de l’efficacité des indices de récupération)
3) Rappel indicé de toutes les listes où l’on fournit les
étiquettes de catégories (avec indice ; performance meilleure)

148
Q

Qu’est-ce que les souvenirs de faits complexes ?

A
  • récupérer de l’information plus complexe quotidiennement, mais la ce sont des souvenirs de faits complexes (se rappeler de tout ce qui il y avait autour de notre accident, mais peut être pas de l’accident en soit)
  • notre mémoire est «limité» ; on peut pas tout savoir
149
Q

L’oubli de faits complexes serait due à quoi ?

A
  • Un problème d’interférence

- Trace mnésique serait tjrs modifié par l’arrivé de nouvelles infos (par ex. se marier 7 fois)

150
Q

Selon Loftus et al, quelle est l’expérience sur l’effet du désinformation ?

A
  1. Présentation d’un diaporama: Une voiture rouge brûle un cédez/arrêt.
  2. De quelle couleur était la voiture qui a passé le cédez/arrêt ? (On induisait un faux souvenirs, par ex. il avait été présenter un cédez, on questionnait a propos arrêt)
151
Q

Selon Loftus et al, comment s’est conclut l’expérience sur l’effet du désinformation ?

A
  • Groupe compatible : 75 % bonne réponse
  • Groupe incompatible : 41% des gens qui avaient une bonne réponse, choisissaient mauvaise scène par rapport au début (59% se trompaient)
  • Intégrais l’info biaisée
  • Amener une mauvaise info, amène les gens à donner une mauvaise réponse mauvais rappel (confond les sources
152
Q

En quoi le désinformation pour s’avérer «pratique» ?

A
  • En donnant des éléments pour qui puissent se construire un souvenir
  • Avec soldat en Afganistan (glisse info à propos d’un événement qui n’ont jamais été présent). 7 mois après, 25% des soldats disent avoir vécu l’événement
153
Q

Selon Lindsay, pourquoi ne peut-on pas se fier à certaines sources ?

A

1) Dans cette expérience, il y avait un vidéo d’un concierge qui vole argent et calculatrice.
2) Qql leur donnait une description de l’événement (plein de détails qui n’étaient pas dans le vidéo)
3) Au moment rappel, ignorer infos précédantes
4) 25% des éléments faussés étaient rappelés

154
Q

Qu’est-ce que le cas de Donald Thompson ?

A
  • Accusé de viol, parce que, précédent son viol, la mme a vu le visage de Donald Thompson à la TV et l’a associé
155
Q

Combien de témoins oculaires sur 4, se trompent dans leur souvenir ?

A

3 sur 4 : 75%

156
Q

Qu’est-ce que le DRM paradigm?

A
  • faux souvenirs
    on invente un mot qui n’est pas sur la liste, le mot est relié à la liste. Le contexte sémantique donne l’impression qu’on la déjà vue.
    (ex. thème sur le crime, on a dit voleur, mais il n’y était pas)
157
Q

Quel est le lien entre la confiance et l’exactitude de la mémoire ?

A

Aucun lien !
Voir que certains deviennent encore plus certains de ce qu’ils disent a cause de certaine sources non fiables qui confirment ce qu’ils disent, mais si c’est erroné

158
Q

Qu’est-ce que les thérapeutes ont incorporés comme faux souvenirs ?

A
  • Interprétation des rêves
  • les thérapeutes signifiaient que les clients avaient été abusés.
  • Ces personnes ont relaté ses souvenirs plus tard, quand c’est le thérapeute qui a incorporer ça et que ça n’avait jamais été vrai
159
Q

Qu’est-ce que Loftus & Palmer a fait comme expérience concernent le pouvoir des mots ?

A

1) vidéo accident voiture
2) Quelle couleur était la lumière lors de l’IMPACT ou CONTACT
* Suggestion dans la question
3) Estimer quelle vitesse la voiture roulait avant l’IMPACT

160
Q

Quels sont les résultats de l’expérience de Loftus & Palmer sur le pouvoir des mots ?

A
  • Ceux qui avaient eux dans la question le mots «impacts» disaient que l’auto roulait plus vite que ceux qui avaient eux le mot contact
  • 2 semaines après ; avez-vous vue des vitres cassés ? (réalité aucune). Ceux Impact,32 % oui. Ceux contact, 14% oui.
  • Post memory vient influencé notre mémoire
161
Q

Est-ce que l’efficacité d’indice de récupération pour faire une tâche de rappel diminue ou augmente lors d’un oubli ?

A

Diminue

162
Q

Qu’est-ce que l’expérience de se souvenir ? (le phénomène)

A
  • réactivation de la trace mnésique
  • reconstruction des éléments (on peut mélanger nos sources aussi, on peut facilement se laisser contaminer par des éléments qui arrivent après un événement)
163
Q

Qu’est-ce qu’un souvenir frappant ?

A

Souvenir des CIRCONSTANCES dans lesquelles on a
appris pour la première fois un événement très
surprenant aux conséquences importantes.

164
Q

Qu’est-ce que l’expérience de Neisser & Harsch concernant les souvenirs frappants ?

A

Questions : Décrire éléments après événements (habillement, qui est leur source, etc.)
Mesure 1 ; le lendemain
Mesure 2 : 2ans et demi après

165
Q

Quelle a été le résultat concernant l’expérience de Neisser & Harsch sur les souvenirs frappants ?

A
  • 11 personnes n’étaient pas capable de nommer un élément concordant avec les vrais faits
  • 7 personnes ont été capable de nommer 3 éléments valides.
  • Plus les gens avaient de réponses erronées, plus ils étaient confiants
166
Q

Est-ce que les gens sont meilleurs pour se rappeler des événements marquants ?

A

NON, mais ils sont plus confiants !!

167
Q

Quelle est le résultat sur la confiance et l’hypnose ?

A

Les gens qui étaient hypnotisés avaient moins confiances en eux que ceux non hypnotisés, pourtant ils avaient plus de bonnes réponses que l’inverse

168
Q

Qu’est-ce que le «flashbulb» ?

A

C’est lorsqu’on se construit un vidéo dans notre tête à partir de plusieurs images ou faits racontés

169
Q

Qu’est-ce que la mémoire explicite ?

A
  • Rappel/reconnaissance

- tests directs

170
Q

Qu’est-ce que la mémoire implicite ?

A
  • Performance affecté par information antérieur

- Tests indirects

171
Q

Qu’est-ce que les tests de mémoire implicite (tests indirects)?

A
  • complétion des mots, mots fragmentée

- Plus on répond rapidement, plus on l’a encodé ; accessible

172
Q

Les personnes amnésiques performent mieux dans quoi ?

A

Tests indirects

173
Q

Qu’est-ce que l’effet d’amorçage/ «priming» ?

A
  • Facilitation d’accès à des infos qui ont déjà été présentés précédemment
  • Ce qui rend accessible
174
Q

Est-ce que la mémoire n’est que verbale ?

A

Non, les expériences antérieurs peuvent laisser une trace mnésique qui n’est pas visible lorsque la mémoire est testé de façon indirect

175
Q

Quels sont les déficits de la mémoire ?

A
  • amnésie
  • syndrome de Korsakoff
  • Alzheimer
176
Q

Quels sont les types d’amnésie?

A
  • rétrograde : on peut pas accéder (récupérer) souvenirs (info) précédents
  • antérograde: on peut pas encoder nouveaux souvenirs
177
Q

Quels sont les causes possible de l’amnésie ?

A
  • Médicaments qui bloquent encodage
  • lésions au cerveau
  • ACV
  • Tumeurs cérébrales
  • Démences (amnésie progressive)
178
Q

Qu’est-ce que le syndrome de Korsakoff ?

A
  • Désorientation temporo-spatiale (où/quand); aucun nouveau souvenirs)
  • radotage
  • fabulation
  • émoussement émotionnel
  • amnésie antérograde (aucun nouveau souvenir)
179
Q

Quels sont les cause du syndrome de Korsakoff ?

A
  • Déficit en vitamine B1 (malnutrition, alcool+)

- Dommage au thalamus et à l’hypothalamus

180
Q

Quelqu’un qui souffre du syndrome de Korsakoff a un problème d’encodage ou de récupération ?

A
  • encodage (MCT à MLT)

- rappel entre MLT et MCT est très bon

181
Q

Qu’est-ce que Cohen & Squire ont fait comme expérience concernant l’apprentissage implicite sur les gens atteints du syndrome de Korsakoff ?

A

1) lecture de triades de mots en miroir (lire mot bonjour à l’envers dans le miroir)
2) Entrainement sur 3 jours
3) test ; 3 mois plus tard
* On test la vitesse de lecture d’un mot

182
Q

Qu’est-ce que l’expérience de Cohen & Squire a résulté concernant l’apprentissage implicite sur les gens atteints du syndrome de Korsakoff ?

A
  • Que le groupe contrôle et ceux atteint du syndrome étaient plus rapide après la 3e fois
  • après 3 mois, même ceux qui atteints du syndrome avaient fait une apprentissage et étaient déjà plus rapide après la première fois
  • DONC Même s’ils ne se rappelaient pas d’avoir pratiquer, leur performance était la quand même, malgré leur incapacité de formé de nouveau truc épisodique
  • Il ne passe pas par le meme chemin pour «encoder» ; indirect
183
Q

Quels sont les déficits des personnes amnésiques ?

A
  • au niveau de la mémoire explicite, mais peuvent démontrer des apprentissage implicite
  • personne de la punaise qui prouve ça
184
Q

Qu’est-ce que l’apprentissage implicite ?

A
  • encodage de la MCT à MLT, mais par un autre chemin, de façon indirect
  • récupération de mlt à mct et réponse dans mct pareil
185
Q

Qu’est-ce que Henry Molaison a permis de découvrir ?

A
  • Permis de différencier les types de mémoire
  • enlever 2 hippocampes (épilepsie); amnésie antérograde + rétrograde (2 dernières années)
  • mémoire implicite (motrice;dessein miroir)
186
Q

Qu’est-ce que Claparède a démontré avec l’aiguille ?

A
  • apprentissage implicite

- aiguille main une fois, hésitation et crainte pour reste sa vie a serrer sa main sans savoir pourquoi

187
Q

Qu’est-ce que la maladie d’Alzheimer ?

A
  • accumulation protéine «Tau» et «B»
  • Dégénérescence neurofibrillaire
  • sporadique (environn.)
  • génétique
188
Q

Qu’est-ce que les symptomes de la maladie d’Alzheimer ?

A
  • mémoire épisodique : événement plus récent affecté qu’ancien
  • mémoire sémantique&procédurale préservée lors premiers stades
  • problème langage
  • problème fonctions exécutives (organisation/planification)
  • problème exécution mouvements

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