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Développement langage scolaire > Examen 2 > Flashcards

Examen 2 Flashcards

1
Q

5 composantes essentielles à la lecture

A

-Conscience phonémique
-Principe alphabétique
-Vocabulaire
-Compréhension
-Fluidité

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2
Q

V/F : Comme le langage oral, la lecture s’apprend de façon naturelle

A

Faux. Lecture requiert un enseignement explicite

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3
Q

Habiletés prédictives des compétences en langage écrit

A

*les performances en décodage jusqu’au milieu du primaire puis, en fin primaire, la capacité à utiliser le contexte pour déduire le sens
*accès lexical
*habiletés sémantiques
*le vocabulaire réceptif

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4
Q

Préalables à la lecture/écriture

A
  1. Intérêt envers l’écrit
  2. Conscience de l’écrit
  3. Connaissance alphabétiques
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5
Q

Définition traitement phonologique

A

-Opérations linguistiques réalisées pour que la structure phonologique d’un mot soit analysée, emmagasinée et récupérée dans une tâche verbale

-Opérations cognitives qui s’appuie sur la structure phonologique du langage, sont faites de façon automatique, précise et rapide et qui conduisent vers une prise de conscience des unités phonologiques

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6
Q

3 éléments du traitement phonologique

A

-Point de départ (mémoire sensorielle → perception de la parole)
-Centre de traitement (mémoire de travail)
-Point d’arrivée (mémoire à long terme)

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7
Q

Décrire le point de départ du traitement phonologique

A

-Discrimination auditive
-Catégorisation phonémique

Développement:
-Discrimination = ok à 6 ans
-Perception parole = jusqu’à 12 ans

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8
Q

Décrire le centre de traitement du traitement phonologique

A

Capacité de rétention temporaire → infos maintenues assez longtemps pour la mise en relation avec le lexique en MLT

Développement : Boucle phonologique vers 6-7 ans, augmente jusqu’à l’adolescence

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9
Q

Décrire le point d’arrivée du traitement phonologique

A

Capacité d’emmagasinage → repérage et accès aux représentations phonologiques

Mot connu : repérage et récupération de la forme phono en MLT

Mot inconnu : construction graduelle nouvelle représentation phono en MLT au fil des expositions

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10
Q

Facteurs influençant le traitement phonologique

A

*Nb de syllabes (longueur)
*Type de phonème (nature)
*Similarité phonémique
*Structure syllabique (complexité, nb et ordre des phonèmes)

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11
Q

Relation traitement phonologique et développement du lexique

A

-Restructuration progressive du lexique avec l’apprentissage de mots ayant des similarités phonologiques
-Augmentation de l’efficacité du système d’emmagasinage et de récupération lexicales
-Structure du lexique davantage segmentée avec l’âge

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12
Q

Relation traitement phonologique et développement de la conscience phonologique

A

-Rôle important de la restructuration du lexique (segmentation) dans le développement de la CP
-Émergence graduelle de l’habileté à manipuler l’information phonologique de façon volontaire
-Habiletés de CP les plus fortement corrélées à l’IdM et à l’orthographe (fusion et segmentation)

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13
Q

Acquisition du principe alphabétique

A
  1. Apprend le nom des lettres
  2. Assimile la forme des lettres et en vient à les reconnaître rapidement
  3. Associe la forme de la lettre avec son nom
  4. Avec le développement de la CP/conscience phonémique → associe la forme de la lettre avec le son auquel elle correspond
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14
Q

V/F: En français, il y a une relation asymétrique entre le code oral et le code écrit

A

Vrai → passage de l’écrit à l’oral (lecture) plus simple que oral à écrit (écriture)

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15
Q

3 choses que nécessite l’IdM et l’OLex

A

-Enseignement explicite
-Opportunités fréquentes de pratique
-Rétroaction formative des parents et enseignants

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16
Q

Décrire le processus d’assemblage

A

Utilisation
-du principe alphabétique
-des connaissances et des habiletés liées aux graphèmes (correspondance GP et PG, conversion GP et PG)
-des habiletés de CP
pour accéder à la représentation phonologique des mots

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17
Q

Pourquoi on utilise l’assemblage

A

-Quand mot est pas dans le lexique orthographique
-Pour lire mots réguliers non connus ou non-mots
-Dominant en début d’apprentissage de la lecture
-Plus lent que l’adressage
-Beaucoup de mots peuvent être lus de cette façon en raison d’une certain régularité de la langue

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18
Q

V/F : Certains mots (malgré un emmagasinage en MLT) sont toujours lu en assemblage

A

Vrai, pas tous les mots sont toujours maintenu en MLT

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19
Q

Habiletés et connaissances mises en jeu dans l’assemblage en IdM

A

-Traitement visuel
-Segmentation graphémique
-Connaissances des CGP et habiletés de conversion GP
-Rétention de la séquence des ces unités en MdT-MCT (boucle phonologique)
-CP : habiletés fusion et segmentation

Doit pouvoir accéder à représentations:
-phonologiques justes
-sémantique du mot

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20
Q

Types d’erreurs en assemblage

A

-Substitution
-Inversion
-Etc

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21
Q

Décrire le processus d’adressage

A

-Utilisation directe des informations enregistrées en MLT (mot dans le LO)
-Permet d’identifier les mots réguliers er irréguliers connus
-S’installe dès début de l’apprentissage formel de la lecture
-Principale procédure utilisée par le lecteur compétent
-Procédure la plus rapide pour identifier les mots

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22
Q

V/F : L’adressage peut être utilisé de façon partielle

A

Vrai
-Adressage de morphèmes
-Reconnaissance d’un mot connu à l’intérieur d’un mot

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23
Q

Expliquer lien entre adressage et assemblage

A

Mot lu en assemblage avec justesse à quelques reprise → représentation orthographique juste en MLT (LO)

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24
Q

Habiletés et connaissances mises en jeu dans l’adressage

A

-Traitement visuel
-Accès à des représentation orthographiques justes (LO)
-Conscience morphologique

Doit pouvoir accéder à des représentations :
-phonologiques justes
-sémantique du mot

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25
Q

Types d’erreurs en adressage

A

-Régularisation
-Confusion de mots

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26
Q

Décrire l’hypothèse d’autodidaxie de Share

A

-Interaction constante entre procédure d’assemblage et d’adressage pendant l’aquisition
-Assemblage favorise l’auto-apprentissage des représentations orthographiques (développement de l’adressage)

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27
Q

V/F : Un jeune peut identifier partiellement un mot, le mettre en relation avec une forme sonore connue et s’auto-corriger à partir de celle-ci

A

Vrai

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27
Q

Les 3 stratégies linguistiques d’identification de mots

A

-Stratégie phonologique : analyse du mot à lire en effectuant la correspondance-conversion GP + fusion phonémique
-Stratégie morphologique : lecture par fusion des morphèmes
-Stratégie par analogie : lecture par comparaison avec un autre mot connu

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28
Q

Les 2 stratégies prédictives d’identification de mots

A

-Stratégie sémantique : image, anticipation par le sens
-Stratégie syntaxique

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29
Q

V/F : Les stratégies prédictives sont très utilisées par les lecteurs avancés. Utilisées seules, elles entrainent peu d’erreurs

A

Faux, elles sont utilisées par le lecteur débutant et utilisées seules, elles entraînent des erreurs (mais on peut les combiner)

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30
Q

Qu’est-ce que l’automaticité

A

Justesse + vitesse

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31
Q

Que permet l’automativité

A

-Minimum d’erreurs
-Maximum de vitesse
-Maximum de confiance
-Minimum d’efforts → grande disponibilité ressources cognitives → facilite compréhension écrite

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32
Q

Qu’est-ce que l’orthographe lexicale

A

Connaissance de l’écriture juste des mots du lexique

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33
Q

Qu’est-ce que l’orthographe grammaticale

A

Application des règles de grammaire lors de l’écriture de mots dans une phrase

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34
Q

Habiletés et connaissances mises en jeu dans l’assemblage orthographe

A

Doit pouvoir accéder aux représentations :
-sémantique des mots
-phonologiques justes

et solliciter connaissances et habiletés :
-CP : segmentation syllabique et phonémique
-Rétention de la séquence de ces unités phonémiques en MdT et MCT phonologique
-Connaissance des CPG et habiletés de conversion PG
-Motricité fine
-Traitement visuel

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35
Q

Qu’est-ce qu’il faut savoir quand on essaye de guesser comme s’écrit un mot qu’on connait pas

A

-Séquence «acceptable» de lettres dans la langue
-Sensibilité à des séquences «fréquences»
-Légalité de la position dans le mot
-Fréquence d’utilisation selon la position dans le mot

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36
Q

Type d’erreur dans l’assemblage orthographique

A

EPP

37
Q

Quelle est l’interrelation entre lecture et écriture

A

Le décodage des mots en lecture induit la mémorisation des formes orthographiques utilisées en production

38
Q

Habiletés et connaissances mises en jeu en adressage orthographe

A

-Représentations orthographiques justes
-Conscience/connaissances morphologiques (doit avoir lexique développé)
-Consciences lexicale et sémantiques

39
Q

Stratégies pour orthographier les mots qui ne sont pas dans le LO

A

-Stratégie phonologique : segmentation phonémique du mot à écrire puis conversion PG et écriture
-Stratégie morphologique : segmentation morphémique orale puis écriture à partir des connaissances orthographiques des bases et affixes
-Stratégie par analogie : écriture par comparaison avec un autre mot connu

40
Q

V/F : L’automaticité en orthographe est acquise avec l’automaticité en IdM

A

Faux, acquise plus tardivement qu’en IdM

41
Q

Décrire le développement de l’orthographe

A

Développement plus complexe que lecture
-Nature différente de la tâche : rappel plutôt que reconnaissance
-Nature du système d’écriture en français beaucoup plus inconsistant en orthographe qu’en IdM

42
Q

Théorie des stades de Frith (1ère théorie)

A

-Série de «stades» développementaux/évolution «phonétique»
-Apport de la morphologie : vu comme arrivant tardivement dans le développement, dans les deux derniers stades
-Dans cette théorie, conscience morpho ne prend place qu’en 3e ou 4e année

43
Q

Repertoire theory (2e théorie de Frith)

A

-Influence de diverses sources d’informations linguistiques tôt dans le développement (csc phono, connaissances patrons orthographiques, csc/connaissances morpho)
-Exploitation de ces diverses sources pour orthographier un mot
-Développement des ces sources au fil du temps

44
Q

Acquisition des connaissances orthographique générales

A

Par l’exposition aux mots en lecture, le jeune apprenant peut dégager certains régularités orthographiques

45
Q

Acquisition des connaissances orthographique morphologiques et dérivationnelles

A

-Utilisation des connaissances morphologiques pour l’identification de la lettre muette d’un mot dérivable
-Acquisition de connaissances orthographiques des affixes dans le curriculum scolaire a un impact significatif sur l’orthographe lexicale

46
Q

V/F : La morphologie flexionnelle est plus difficile à acquérir à l’écrit qu’à l’oral

A

Vrai, requiert un enseignement explicite et progression sur plusieurs années

-Patterns développementaux selon les langues
-Présence de marques «silencieuses» à l’écrit - apprentissage plus complexe

47
Q

Connaissances linguistiques et habiletés langagières recquises pour la maîtrise de l’orthographe

A

-Conscience phonologique
-Maîtrise des correspondances phonographémiques
-Représentations orthographiques suffisamment spécifiées
-Conscience et connaissances morphologiques
- Conscience phonologiques et lexicale
-Connaissances sémantiques
-Connaissances et conscience orthographique

48
Q

Embûches en écriture pour un jeune francophone

A

-Système alphabétique très inconsistant en production
-LO relativement complexe
-Morpho flex et dérivationnelle qui n’a pas toujours de correspondance phonologique

49
Q

Qu’est-ce que l’ÉQOL

A

Échelle québécoise d’acquisition de l’orthographe lexicale

14 800 mots que les élèves du primaires auront à lire le plus souvent, permet aux enseignants de générer des listes de mots pour les jeunes

50
Q

4 habiletés nécessaires pour comprendre des textes et en écrire

A

-Connaissances et habiletés langagières
-Habiletés métalinguistiques
-Compétences de base
-Compétences et habiletés non langagières

51
Q

Comment est le vocabulaire à l’écrit

A

-Niveau complexité supérieur qu’à l’oral
-Plus riche, moins fréquent, lié à une discipline
-Compréhension et utilisation de mots morphologiquement complexes

52
Q

Comment est la syntaxe à l’oral vs à l’écrit

A

Oral : plus linéaire car doit enchaîner les idées avec fluidité au fur et à mesure

Écrit : formes syntaxiques dominantes sont différentes (phrases plus denses, proportion plus grande de phrases complexes), mais prend plus de temps à analyser en CÉ et à formuler en PÉ

53
Q

Comment est la pragmatique à l’oral et à l’écrit

A

Oral : Réparation immédiate des bris de communication

Écrit -lecture : détection des pertes de sens peut être limité si on lit seul

Écrit : pas de rétroaction du lecteurs sur d’éventuels bris de communication

53
Q

Comment est le discours à l’oral et à l’écrit

A

Oral : jeunes exposés + à la structure narrative

Écrit : variété de types de textes et complexification des grammaires textuelles, plus de planification requise. Degré de formalisme plus élevé

54
Q

Rôle de l’environnement familial et scolaire dans l’écriture

A

Familial : littératie présente dans la famille → enfants exposés à diverses situations de lecture et d’écriture

Scolaire : rôle important des enseignants et des parents → enseignement explicite, questions, explications,…

55
Q

Qu’est-ce que la compréhension écrite

A

Processus intentionnel et complexe requérant de nombreuses connaissances et habiletés et combinant l’extraction et la construction du sens à travers l’interaction entre le texte et le lecteur

56
Q

Éléments permettant de réaliser la compréhension écrite

A

-IdM
-Divers traitements langagiers réceptifs et métalangagiers
-Compétences et habiletés non langagières (attention et mémoire, fonctions exécutives, métacognition, connaissances antérieures, traitement visuel)

57
Q

Quel est l’avantage de la compréhension écrite par rapport à la compréhension orale

A

À l’écrit, on peut relire, retourner au texte pour valider la compréhension, on dispose de plus de temps qu’à l’oral

58
Q

Les 3 niveaux de compréhension (en ordre chronologique)

A
  1. Factuelle : ce qui est écrit dans le texte
  2. Inférentielle : lire entre les lignes
  3. Thématique : lire au-delà des lignes, réfléchir sur le texte
59
Q

Pour quoi la compréhension écrite est importante

A

-Réussite scolaire
-Participation sociale
-Vie professionnelle
-Plaisir de lire

60
Q

Facteurs influençant la compréhension écrite

A

-Sociaux-cognitifs (motivation, intérêt pour le sujet, etc)
-Liés au contexte dans lequel la lecture est faite (pour le plaisir vs pour un examen, etc)
-Rôle de l’enseignant et des parents (+++)

61
Q

Décrire le modèle conceptuel ascendant (bottom-up)

A

Compréhension écrite = IdM + compréhension orale

Importance prépondérante de l’identification de mot (besoin d’une base solide pour apprendre)

62
Q

Décrire le modèle conceptuel descendant (top-down)

A

Compréhension écrite ⇔ connaissances antérieures du lecteur

Importance prépondérante de l’extraction du sens des mots/du texte par le lecteur selon sa connaissance du monde (plus l’accent sur inférences, lecteur a un rôle plus actif)

63
Q

Qu’est-ce que le modèle hybride

A

Compréhension écrite repose sur-
-IdM
-Habiletés langagières et métalangagières
-Connaissances antérieures

64
Q

Habiletés langagières et métalangagières en jeu dans la CÉ

A

Lexico-sémantique, pragmatique, morphosyntaxique, discursives-inférentielles

65
Q

V/F : Plus un jeune est familier avec un sujet, plus il lui sera facile de comprendre un texte portant sur ce sujet

A

Vrai

66
Q

Décrire le développement de la CÉ

A

Développement progressif, sur une longue période: dégagement de l’IdM → allocation des ressources cognitives à la CÉ ; passage d’une CÉ factuelle → inférentielle → thématique; apprentissage des grammaires textuelles; complexification de l’analyse (thèmes peu familiers, lexique abstrait, etc.); jeune devient de + en + stratégique

67
Q

Qu’est-ce que la production écrite

A

Processus intentionnel et complexe requérant de nombreuses connaissances et habiletés menant à la production d’un texte cohérent et cohésif

68
Q

V/F : CÉ est + exigeante cognitivement et prend + de temps que la PÉ

A

Faux, PÉ est + exigeante cognitivement et prend + de temps que la CÉ → haut niveau d’engagement requis

69
Q

Pour quoi la capacité à produire des textes est importante

A

-Réussite scolaire
-Participation sociale
-Vie professionnelle

70
Q

Par quels facteurs est influencée la PÉ

A

-Sociaux-cognitifs
-Liés au contexte dans laquelle l’écriture est faite
-Liés à ses expériences et culture personnelle
-Guidance donnée en classe
-Opportunités d’écriture
-Rétroactions constructives

71
Q

Tous les modèles conceptuels reconnaissent 3 processus cognitifs sollicités

A

-Planification
-Transcription
-Révision

72
Q

Décrire le modèle de Signer et Bashir

A

Orienté sur la démarche de production

  • Planifier : sélection des idées à communiquer
  • Générer : transposition des idées en représentations linguistiques, encodage et écriture.
  • Organiser : structuration des idées de façon à atteindre les buts du texte et à produire l’effet désiré sur le lecteur.
  • Réviser: vérification afin que le texte traduise l’intention du scripteur et respecte les conventions linguistiques (pendant et après l’écriture). → rôle majeur
73
Q

Décrire le modèle Simple View of writing

A

Orienté sur les habiletés sollicités

  • Production du texte: habiletés langagières (lexique, sémantique, syntaxe, etc.)
  • « Transcription »: calligraphie (ou clavigraphie), orthographe
  • Fonctions exécutives: attention, planification, révision, auto-régulation (stratégies d’…)
    …en interaction avec la MdT
74
Q

Comment se réalise l’orthographe

A

Se réalise via l’othographe, les connaissances et habiletés langagières et métalangagières et les habiletés non langagières.

75
Q

Habiletés langagières expressives et leurs conscience en jeu dans la PÉ

A

Lexico-sémantiques, morphosyntaxiques, pragmatiques, discursives

76
Q

Développement de la PÉ

A

Développement lent et progressif, sur une longue période: dégagement de l’orthographe → allocation des ressources cognitives à la production textuelle; utilisation d’un lexique de + en + abstrait, d’une syntaxe de + en + complexe; maîtrise de diverses grammaires textuelles; progression des habiletés de planification, organisation, révision; variabilité ++ du développement

77
Q

Pourquoi les habiletés cognitives sont importantes en CÉ

A

Pour intégrer les idées/le sens d’un texte, le lecteur doit être conscient du but de sa lecture et gérer sa compréhension pour atteindre ce but → via sa métacognition (autogestion), mais dépend aussi de ses Fex, de son contrôle attentionnel et de sa mémoire de travail

78
Q

Pourquoi les habiletés cognitives sont importantes en PÉ

A

Pour planifier le contenu/les idées de sa production, réaliser sa transposition à l’écrit (mots, phrases, …) et réviser, l’auteur doit faire appel à ces mêmes habiletés et fonctions pour atteindre son but et s’assurer de produire un texte cohérent et cohésif

79
Q

À quoi sert la métacognition en CÉ

A
  • Coordination requise pour gérer les nombreux processus de tx de l’information
  • Plus le registre langagier d’un texte est élevé, plus la métacognition sera sollicitée pour se faire une représentation mentale cohérente
80
Q

À quoi sert la métacognition en PÉ

A
  • Métacognition requise à toutes les étapes de la production pour planifier, sélectionner, organiser, formuler les idées; s’ajuster en fonction du lecteur, du contexte; réviser et corriger
81
Q

Qu’est-ce que les fonctions exécutives

A

*Fonctions«supérieures»(ensemblede processus cognitifs) qui permettent de:
*réguler intentionnellement ses actions et sa pensée…pour atteindre un but précis
*gérer des situations nouvelles, non routinières ou des tâches complexes

  • Comprennent des processus complexes comme:
    -l’inhibition(incluant l’auto-régulation)
    -la flexibilité
    -la planification
    -la mémoire de travail
  • Rôle central dans le développement des:
    -habiletés sociales
    -habiletés cognitives
    -apprentissages scolaires
82
Q

Décrire le système dynamique des Fex

A
  1. Établissement d’un but
  2. Planification
  3. Sélection
  4. Vérification
  5. Autocorrection
83
Q

Comment est le développement des fonctions exécutives

A
  • Se développent tout au long de l’enfance, jusqu’au début de l’âge adulte
  • Lié au aux processus de maturation du cortex préfontal → long et tardif
  • Impact du développement du langage → effets bénéfiques des verbalisations
  • Variables socio-économiques en modulent le développement: lien avec l’impact sur le dév. langagier….puis exécutif?
84
Q

Comment est le développement de la mémoire de travail

A

S’amorce tôt; graduel et linéaire, progression lente et s’étalant sur de nombreuses années

85
Q

V/F : Les habiletés de haut niveau sont les plus liées à la motivation

A

Vrai

86
Q

Facteurs intrinsèques à l’enfant en écriture

A

-Caractéristiques personnelles
-Disponibilités affective lors de la tâche
-Intérêt et motivation envers l’écrit

87
Q

Facteurs extrinsèques à l’enfant en écriture

A

-Caractéristiques du milieu familial (valorisation, soutient)
-Caractéristiques du milieu scolaire
-Contexte environnemental

88
Q

Quelles sont les habiletés préiphériques

A

-Traitement visuel
-Traitement auditif
-Geste moteur associé à la production de la calligraphie ou la clavigraphie

Développement langage scolaire (3 decks)

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