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Délinquance > Examen 2 > Flashcards

Examen 2 Flashcards

1
Q

Dans quels contextes un psychoéducateur peut-ils être appelé à faire une évaluation en délinquance

A
  • LSJPA
  • Rapport pré décisionnel
  • Agent de probation
  • Rapport présentenciel
  • Plan correctionnel
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2
Q

L’agent de libération conditionnel en COMMUNAUTÉ (ALCC) effectue … incluant notamment une entrevue avec l’individu suite au prononcé de la sentence et une échelle de classement par niveau de sécurité provisoire

A

L’évaluation préliminaire

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3
Q

L’agent de libération conditionnelle en ÉTABLISSEMENT (ALCÉ) est responsable d’effectuer le … qui inclue l’échelle de classement par niveau de sécurité, le risque de récidive général, l’élaboration du “profil criminel”, du plan correctionnel et du placement pénitentiaire

A

Processus d’évaluation initiale

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4
Q

L’ALC en UNITÉ D’ADMISSION est également formé sur certains outils spécialisés spécifiques et peut faire …

A

L’évaluation du risque de violence familiale (ERVF)

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5
Q

On peut réviser les … lorsque des nouvelles informations significatives le justifie

A

Facteurs de risque statiques

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6
Q

L’ALC effectue le plus souvent la réévaluation des … en cours de sentence et durant la surveillance en communauté

A

Facteurs de risque dynamiques

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7
Q

Quelles décisions reposent sur l’évaluation du risque

A
  • La détermination de la peine
  • L’établissement de la cote de sécurité
  • Les décisions relatives à la libération conditionnelle
  • Les besoins en matière de traitement
  • Les conditions et l’intensité de surveillance
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8
Q

En LSJPA, le rapport prédécisionnelle et présentenciel aide le juge à prendre une … pour déterminer la peine la plus … tout en maximisant les … et en assurant la …

A
  • Décision éclairée
  • Adaptée
  • Opportunités de réadaptation/réinsertion
  • Protection du public
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9
Q

Aux adultes, le rapport prédécisionnelle et présentenciel permet au juge d’obtenir des informations qui lui serviront à rendre une décision, dans une perspective de .. et de … de la personne

A
  • Protection de la société
  • Réinsertion sociale
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10
Q

On travaille beaucoup avec … et certains actes réservés sont faits par ceux-ci, comme les…

A
  • D’autres types de professionnels
  • Psychologues
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11
Q

Concernant les évaluations du risque, nous sommes partie d’une approche beaucoup plus … pour se diriger vers une approche axé sur la…

A
  • Punitive
  • Réhabilitation
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12
Q

Selon le modèle RBR, la sanction pénale ne permet pas de réduire le…

A

Taux de récidive

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13
Q

Selon le modèle RBR, ce ne sont pas touts les programmes de réhabilitation qui permettent de réduire les …

A

Taux de récidive

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14
Q

Le modèle RBR n’est pas une … à proprement parler, ni une modalité de traitement spécifique

A

Approche d’intervention

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15
Q

Le modèle RBR, il s’agit d’une structure qui devait … pour s’assurer d’intervenir de façon efficace et cohérente

A

Guider les décisions

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16
Q

Le modèle RBR s’articule autour d’un ensemble de principes qui, lorsqu’ils sont respectés, augmentent … pour diminuer le risque de récidive des personnes contrevenantes

A

L’efficacité des interventions

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17
Q

Le modèle RBR nous indique … offrir des services, … travailler avec ces personnes et … le faire

A
  • À qui
  • Quoi
  • Comment
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18
Q

Le modèle RBR met l’emphase sur l’importance de …

A

L’intégrité des programmes

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19
Q

Le modèle RBR s’applique en contexte … et en …

A
  • Institution
  • Communauté
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20
Q

Modèle RBR : Premier R pour

A

Risque (qui traiter)

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21
Q

Modèle RBR : B pour

A

Besoins (quoi traiter)

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22
Q

Modèle RBR : Deuxième R pour

A

Réceptivité (comment traiter)

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23
Q

Qu’est-ce que le principe de risque

A

Adapter l’intensité des services au niveau de risque de récidive de l’individu

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24
Q

Quels sont les deux éléments du principes de risque du modèle RBR

A
  • Évaluation du niveau de risque
  • Appariement
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25
Q

Qu’est-ce que le principe de besoins

A

Les interventions doivent d’abord et en majorité cibler les besoins criminogènes

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26
Q

Quels sont les deux éléments du principes de besoins du modèle RBR

A
  • Évaluer les besoins criminogènes
  • Les cibler dans le plan d’intervention
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27
Q

Qu’est-ce que le principe de réceptivité

A

Utiliser des stratégies d’intervention efficaces et adaptées aux caractéristiques uniques de la personne

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28
Q

Quels sont les deux éléments du principes de réceptivité du modèle RBR

A
  • Réceptivité générale
  • Réceptivité spécifique
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29
Q

Quelles sont les limites/critiques du modèle RBR

A
  • Philosophie d’intervention négative axée sur la diminution des facteurs de risque plutôt que la promotion des facteurs de protection
  • Finalité est censée sur la prévention de la récidive
  • Peu d’importance aux besoins non-criminogènes
  • Difficultés d’implantation dans les milieux d’intervention
  • Défis liés au travail en partenariat
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30
Q

Lorsque les trois grands principes du modèle RBR sont appliqués, le risque de récidive …

A

Diminue

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31
Q

Les éléments de la première génération de l’évaluation du risque

A

Prédiction clinique : jugement subjectif basé sur l’expérience humaine de l’évaluateur

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32
Q

Les éléments de la deuxième génération de l’évaluation du risque

A
  • Émergence d’instruments pour l’évaluation du risque
  • Instrument de prédiction actuarielle (statistique)
  • Ne permet pas d’identifier des cibles d’intervention qui pourraient diminuer le risque
  • Approche déshumanisante
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33
Q

Les éléments de la troisième génération de l’évaluation du risque

A
  • Les échelles du risque et des besoins
  • L’inclusion des variables dynamiques qui peuvent changer dans le temps
  • Va au-delà de la question de la simple prédiction du risque: permet aussi d’orienter le travail des professionnel en matière de gestion du risque
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34
Q

Les éléments de la quatrième génération de l’évaluation du risque

A
  • Instrument d’évaluation systématique et globale
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35
Q

Quelles sont les limites des instruments de mesure standardisés

A

Certains groupes de personnes contrevenantes devraient faire l’objet d’évaluation plus spécialisée puisque plusieurs instruments s’avèrent moins justes dans la prédiction du risque de récidive

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36
Q

Aucun instrument de mesure ne permet de prédire … le risque de récidive et aucun d’entre eux … tous les facteurs de risque et de protection potentiellement importants

A
  • Parfaitement
  • N’inclut
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37
Q

La majorité des outils d’évaluation du risque sont … à la diversité de genre et de culture

A

Peu sensibles

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38
Q

Qu’elles sont les étapes de l’utilisation de l’outil LS/CMI

A
  • Entrevue
  • Remplir l’instrument
  • Cotation et détermination du niveau de risque
  • Rédaction du plan d’intervention correctionnel
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39
Q

Quels sont les avantages du LS/CMI

A
  • Bonne validité et fidélité
  • Combine l’évaluation du risque et la gestion de cas
  • Pas très compliqué à remplir
  • Peut être utilisé autant en milieu carcéral qu’en suivi correctionnel
  • Donne un portrait global de la situation de l’individu
  • Version française de l’instrument
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40
Q

Quelles sont les limites du LS/CMI

A
  • Il faut absolument avoir suivi la formation pour pouvoir l’utiliser
  • Requiert une cueillette de données efficace et complète pour être en mesure de remplir l’instrument
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41
Q

En LSJPA, le plan d’intervention doit être centré sur …

A
  • Les motifs pour lesquels l’adolescent a reçu une ordonnance
  • Les facteurs ayant une influence sur le risque de récidive, tel que déterminé au moment de l’évaluation
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42
Q

En LSJPA, le contenu du plan d’intervention tient compte…

A
  • Du niveau de risque
  • Des besoins criminogènes
  • De la réceptivité de l’adolescent
  • Des caractéristiques particulières de son milieu familial
43
Q

En LSJPA, le contenu du plan d’intervention s’articule autour ….

A
  • D’activités de réadaptation
  • D’activités d’encadrement et de soutien pour le jeune et sa famille
44
Q

Dans la priorisation des besoins criminogènes, quels sont les 4 catégories

A
  • Facteurs internes
  • Relations
  • Choix de vie
  • Occupationnel
45
Q

Les objectifs généraux doivent …

A
  • Indiquer le nom du jeune au début
  • Être formulés à la positive
  • Indiquer le comportement attendu ou la compétence à développer
46
Q

L’objectif spécifique se distingue de l’objectif général en faisant appel à des … et à un contenu plus …

A
  • Verbes comportementaux
  • Spécifique
47
Q

Une condition n’est pas un …

A

Choix

48
Q

Une condition ne devrait pas se retrouver dans le plan d’intervention en termes …

A

D’objectifs

49
Q

Quels sont les étapes de l’élaboration du plan d’intervention en LSJPA

A
  • L’élaboration
  • L’actualisation
  • La révision
50
Q

Quelles sont les 4 étapes d’une peine longue durée

A
  • Adaptation
  • Intégration au milieu carcéral
  • Préparation à la mise en liberté
  • Reinsertion sociale
51
Q

Selon l’approche motivationnelle, c’est l’ensemble des forces qui détermine…

A
  • La décision de modifier un comportement
  • La mise en place de stratégies de changement
  • Le maintien du nouveau comportement
52
Q

Quelles sont les trois composantes de la motivation

A
  • Importance (vouloir changer)
  • Auto-efficacité (se croire capable)
  • Priorité (être prêt maintenant)
53
Q

La motivation est importante, mais elle n’est pas…

A
  • Un trait de personnalité
  • Une caractéristique stable
54
Q

L’approche motivationnelle permet de créer un contexte favorisant l’accroissement de …

A

L’intérêt au changement

55
Q

Selon le modèle de la motivation, quelles sont les 5 étapes de la motivation

A
  • Pré-contemplation
  • Contemplation
  • Préparation
  • Action
  • Maintien
56
Q

Quels sont les éléments en lien avec la pré-contemplation

A
  • Ne reconnait pas son problème
  • Ne désire pas changer ses habitudes problématiques
  • Est pessimiste par rapport à sa capacité de changer
  • Argumente, s’oppose
  • Évite activement ce qu’il faut faire pour changer
  • Blâme les autres pour son problème
  • Est hostile face à l’intervention
57
Q

Quels sont les éléments en lien avec la contemplation

A
  • Étape d’ambivalence
  • Période de débat intérieur
  • Pas de geste de changement
  • Désir de plus en plus changer
  • Réfléchi à des solutions
58
Q

Quels sont les éléments en lien avec la préparation

A
  • Manifeste d’une volonté de changement
  • L’intention de prendre des mesures dans une avenir proche
  • Survient suite à l’accumulation d’incidents mineurs ou d’un événement marquant
59
Q

Quels sont les éléments en lien avec l’action

A
  • Application de moyens concrets en vue de modifier non seulement le comportement, mais aussi une partie du style de vie
  • Modifications des conduites
  • Pose des gestes, est engagé dans l’action
  • A confiance, a de l’espoir
60
Q

Quels sont les éléments en lien avec le maintien

A
  • Travaille à maintenir les rechutes et consolider les gains obtenus au stade de l’action
  • Stabilise le changement de son comportement
61
Q

Quels sont les éléments en lien avec la rechute

A
  • Le retour du comportement qui avait été changé
  • Souvent causée par la détresse émotionnelle
  • L’individu peut retourner à l’une ou l’autre des étapes, et ce, à quelques reprises
62
Q

Quels sont les 4 critères de l’intégration

A
  • Une nouvelle image de soi
  • La confiance en soi
  • Un style de vie plus sain
  • La vrai solution: une bonne forme mentale
63
Q

Quels sont les principes directeurs de l’entretien motivationnel

A
  • La motivation au changement doit émaner du client
  • Il revient à la personne aidée de nommer et de résoudre son ambivalence
  • La persuasion directe n’est pas une méthode efficace
  • Le style de counseling de l’entretien motivationnel invite à l’exploration
  • La relation thérapeutique en est une de partenariat
64
Q

Quelles sont les trois phases de l’entretien motivationnel

A
  • Développer la motivation au changement, faire ressortir le portrait global de la situation (pré-contemplation et contemplation)
  • Fortifier l’engagement envers le changement (préparation et action)
  • Réaliser le plan de changement et le maintenir (maintien)
65
Q

Quelles sont les critiques associées au modèle de motivationnel

A
  • Terme « stade »
  • Difficile de classifier quelqu’un dans un de ces stades
  • Exigeant pour l’intervenant
  • Peut amener une relation complexe
66
Q

Quels sont les points positifs associées au modèle de motivationnel

A
  • Clientèle non-motivée
  • Réaliste
  • Respectueux du client
  • Responsabilisation et implication du client
  • Client demeure chef de ses décisions et de son cheminement
  • La rechute fait partie du cycle
  • Non confrontant
  • Permet de faire vivre des réussites
  • Compatible avec d’autres approches
67
Q

L’approche cognitive-comportementale est efficace parce que …

A
  • Permet une intervention structurée
  • Est axée sur la résolution de problèmes et orientée vers un but
  • Enseigne des stratégies et permet de développer des habiletés qui ont fait leurs preuves
68
Q

L’approche cognitive-comportementale se concentre sur la façon dont les … influencent les émotions et les comportements

A

Processus cognitifs et les croyances

69
Q

Quels sont les principes fondamentaux de l’approche cognitive-comportementale

A
  • Les pensées affectent les comportements
  • Les pensées antisociales et irrationnelles ainsi que les distorsions cognitives sont la source de comportements antisociaux non productifs
  • La pensées peut être influencée et modifiée
  • Il est possible de changer ce qu’on ressent et comment on agit en modifiant sa pensée
70
Q

L’intervention de l’approche cognitive-comportementale vise à …

A
  • Identifier et modifier les pensées erronées
  • Déterminer le lien entre la pensées, les sentiments et le comportement
  • Enseigner de nouvelles compétences sur le plan de la régulation émotionnelle et des comportements
71
Q

Quelles sont les composantes des programmes dans l’approche cognitive-comportementale

A
  • La restructuration cognitive
  • La gestion de la colère (ou régulation émotionnelle)
  • La résolution de problèmes
  • Le raisonnement moral
  • L’entrainement aux habiletés sociales
  • La prévention de la rechute
72
Q

Le … permet à la personne d’apprendre et de comprendre le bon comportement ou la bonne stratégie en observant un modèle compétent

A

Modelage

73
Q

Quelles sont les 2 étapes de la régulation émotionnelle

A
  • L’identification des émotions
  • La modulation des émotions
74
Q

La combinaison de l’approche motivationnelle et l’approche cognitive-comportementale permet de …

A
  • Diminuer les résistances
  • Augmenter la motivation et l’engagement au changement
  • Favoriser la réceptivité à l’intervention
75
Q

Qu’est-ce que les interventions sensibles aux traumas

A
  • Prennent en compte les expériences potentiellement traumatiques vécues
  • Cible d’intervention n’est pas de traiter le trauma spécifiquement
76
Q

Qu’est-ce que les interventions thérapeutiques en réponse à un trauma

A

Visent le traitement spécifique du trauma

77
Q

Les adolescents auteurs de délits rapportent des taux particulièrement élevés d’… pouvant nuire à leur développement

A

Exposition à des événements potentiellement traumatiques

78
Q

La … et la … des impacts des expériences traumatiques sur le développement augmenteraient en fonction du nombre vécu

A
  • Sévérité
  • Complexité
79
Q

La …, la … et la … vécues durant l’enfance sont des facteurs de risque importants quant à la commission de crimes violents à l’adolescence

A
  • Maltraitance
  • Violence
  • Négligence
80
Q

L’impact du trauma dépend de la qualité des … du jeune avec son donneur de soins

A

Relations interpersonnelles

81
Q

Qu’est-ce que le trauma complexe

A

Ensemble de séquelles développementales liées à des expériences traumatisantes

82
Q

Quelle est l’utilité des comportements perturbateurs

A
  • Réaction automatique face à un déclencheur
  • Se maitriser ou contrôler intolérables
  • Éviter des niveaux émotionnels intolérables
  • Établir une connexion relationnelle
  • Diminuer la détresse ou la tension interne
83
Q

Ce n’est pas parce qu’un jeune a vécu des traumas qu’il …

A

Commet un délit

84
Q

Ce n’est pas parce qu’un jeune a commis des délits qu’il a …

A

Vécu des traumas

85
Q

L’approche sensible au trauma (AST) vise…

A
  • À éviter qu’un service non adapté au trauma retraumatise
  • À adresser la difficulté à établir une relation de confiance
  • À adresser le préjudice de l’étiquetage
86
Q

L’approche sensible au trauma est influencés par 4 grand critères

A
  • Prendre conscience de l’impact des traumas
  • Reconnait les signes et les symptômes des traumas
  • Répond aux besoins des jeunes
  • Résiste activement à reproduire des expériences potentiellement traumatisantes
87
Q

Quels sont les traumatismes potentiels chez les intervenants

A
  • Traumatisme vicariant
  • Fatigue de compassion
  • Trouble de stress post-traumatique
88
Q

Quels sont les 3 piliers d’intervention du modèle ARC

A
  • Attachement
  • Régulation des affects
  • Compétences
89
Q

Quelles sont les 3 cibles d’intervention de l’attachement

A
  • Gestion des affects des donneurs de soin
  • L’ajustement empathique
  • Réponses efficaces
90
Q

Quelles sont les 2 cibles d’intervention de la régulation des affects

A
  • L’identification des émotions
  • La modulation des émotions
91
Q

Quelles sont les 3 cibles d’intervention des compétences

A
  • Les liens relationnels
  • Le renforcement des fonctions exécutives
  • Le développement de soi et de l’identité
92
Q

Qu’est-ce que l’intégration des expériences traumatiques

A

La capacité des jeunes à agir dans le présent sans être influencés par les expériences du passé

93
Q

Qu’est-ce qu’une victime

A

Quelqu’un qui vit des événements qui porte atteinte à son intégrité et qui a des conséquences

94
Q

Qu’est-ce que la victimologie

A

Étude sur les victimes + entourage et témoins (quoi les manifestions/conséquences…)

95
Q

Qu’est-ce que la polyvictimisation

A

Être victime plusieurs fois de crimes et d’agresseurs différents

96
Q

Qu’est-ce que la victimisation chronique

A

Être victime d’un crime récurrent généralement commis par un seul agresseur

97
Q

Quelles sont les conséquences possible d’un acte criminel sur la victime

A
  • Physiques
  • Psychologiques
  • Sociales
  • Financières
  • Spirituelles
98
Q

Quelles sont les deux effets paradoxes des répercussions sur la parentalité

A
  • Stratégies disciplinaires peu adaptées
  • Stratégies disciplinaires adaptées
99
Q

Quels sont les éléments en lien avec l’approche global des services auprès des victimes

A
  • Comprendre et valider le traumatisme et la violence subie
  • Créer un environnement sûr
  • Favoriser la possibilité de choix (si possible)
  • Approche basée sur les forces et capacités de la victime
100
Q

À quoi fait-on référence:l’approche de la justice qui vise à réparer les torts causés en donnant aux personnes lésées et à celles qui assument la responsabilité des torts infligés l’occasion de communiquer leurs besoins respectifs et d’y répondre à la suite de la perpétration d’un crime

A

Justice réparatrice

101
Q

Que veut dire CAVAC

A

Centre d’aide aux victimes d’actes criminels

102
Q

Que veut dire IVAC

A

Service d’indemnisation de victimes d’actes criminels

103
Q

Quels sont les critères pour l’IVAC

A
  • Répondre à la définition d’une victime d’une infraction criminelle
  • Infraction contre la personne
  • Ne nécessite pas une plainte (peut-être indemnisée même si l’agresseur n’est pas identifié)
  • Demande présentée dans les 3 ans suivant l’infraction
  • Aucun délai pour la violence conjugale
104
Q

Que veut dire CALACS

A

Centre d’aide et de lutter contre les agressions à caractère sexuel

Délinquance (2 decks)

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