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EXAC 2023 > EXAMEN 1 - RÉVISION GÉNÉRALE > Flashcards

EXAMEN 1 - RÉVISION GÉNÉRALE Flashcards

1
Q

QU’EST-CE QU’UN PFT?

A

PROGRAMME FONCTIONNEL ET TECHNIQUE.
DOCUMENT ÉNUMÉRANT LES CRITÈRES ET LES DONNÉES SE RAPPORTANT À UN PROJET, Y COMPRIS LES OBJECTIFS CONCEPTUELS, LES
CONTRAINTES RELATIVES À L’EMPLACEMENT, LES ESPACES NÉCESSAIRES ET LEURS RELATIONS, LES SYSTÈMES ET L’ÉQUIPEMENT,
DE MÊME QUE LES BESOINS FUTURS
D’AGRANDISSEMENT.

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2
Q

QUELLE INFORMATION EST COMPRISE LE PFT (6)?

A
  1. LA PHILOSOPHIE, LES VALEURS ET LES BUTS DU CLIENT
  2. LES BESOINS CONCERNANT LE TERRAIN
  3. LES BESOINS SPATIAUX EXPLICITES DU PROJET.
  4. LES EXIGENCES FINANCIÈRES ET UN BUDGET PRÉLIMINAIRE.
  5. LE CALENDRIER PRÉLIMINAIRE DU PROJET. UNE RECOMMANDATION QUANT AU MODE DE RÉALISATION LE PLUS APPROPRIÉ.
  6. D’AUTRES EXIGENCES COMME LA RÉGLEMENTATION APPLICABLE
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3
Q

QUELLES SONT LES ÉTAPES DE L’ÉLABORATION D’UN PFT (5)?

A
  1. COMPRENDRE LE PROBLÈME.
  2. RECUEILLIR LES DONNÉES.
  3. DÉTERMINER LES BESOINS EN SURFACES.
  4. ÉMETTRE DES RECOMMANDATIONS.
  5. RÉDIGER UNE RAPPORT.
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4
Q

QUELLE INFORMATION LE CLIENT DOIT-IL FOURNIR POUR PERMETTRE L’ÉLABORATION DU PFT (6)?

A
  1. LES BESOINS.
  2. OBJECTIFS.
  3. CONTRAINTES.
  4. CALENDRIER.
  5. LE BUDGET DE CONSTRUCTION.
  6. L’INFORMATION RELATIVE AU TERRAIN.
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5
Q

QUEL OUTIL L’ARCHITECTE POSSÈDE-T-IL POUR ANALYSER UN PROGRAMME ARCHITECTURAL?

A

L’ÉTUDE DE FAISABILITÉ.
MCPA 2.3.4 P.2

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6
Q

QUELS ÉLÉMENTS SONT GÉNÉRALEMENT COMPRIS DANS UNE ÉTUDE DE FAISABILITÉ (10)?

A
  1. PFT.
  2. ÉTUDE RÉGLEMENTAIRE.
  3. RECHERCHE D’EMPLACEMENT.
  4. ÉTUDE D’IMPACT ENVIRONNEMENTAUX.
  5. ÉTUDE DE MARCHÉ.
  6. ÉTUDE DÉMOGRAPHIQUE.
  7. ÉTUDE FINANCIÈRE.
  8. ÉVALUATION DES CONSTRUCTIONS EXISTANTES.
  9. PROJECTION DU COÛT GLOBAL.
  10. ÉCHÉANCIERS.
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7
Q

QUELS ÉLÉMENTS SONT INCLUS DANS L’ANALYSE RÉGLEMENTAIRE D’UNE ÉTUDE DE FAISABILITÉ (9)?

A
  1. PLANS OFFICIELS ET DE PLANS COMMUNAUTAIRES;
  2. ZONAGE ET AUTRES MOYENS DE RÉGIR L’OCCUPATION DU SOL;
  3. QUARTIERS À ACTIVITÉS DÉSIGNÉES;
  4. QUESTIONS DE TRANSPORT;
  5. QUARTIERS HISTORIQUES;
  6. ORGANISATIONS ET DE PRÉOCCUPATIONS COMMUNAUTAIRES;
  7. COMITÉS MUNICIPAUX D’URBANISME ET D’ARCHITECTURE;
  8. RÉGLEMENTATION DU BÂTIMENT;
  9. QUESTIONS D’ENVIRONNEMENT.
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8
Q

ÉNUMÉRER LES ÉLÉMENTS NÉCESSAIRE À L’ANALYSE D’UN SITE (9)?

A
  1. LES CONDITIONS EXISTANTES;
  2. LE CLIMAT;
  3. LA TOPOGRAPHIE;
  4. LES RAPPORTS GÉOTECHNIQUES;
  5. LES RISQUES ENVIRONNEMENTAUX;
  6. LES ENVIRONS IMMÉDIATS;
  7. LA DESCRIPTION DU TERRAIN;
  8. LES ACCÈS VÉHICULAIRE ET PIÉTON;
  9. LES SERVICES PUBLICS;
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9
Q

ÉNUMÉRER (7) ÉLÉMENTS DE ZONAGE À CONSIDÉRER DANS L’ÉTUDE DE FAISABILITÉ?

A
  1. LES USAGES PERMIS;
  2. LA SURFACE MINIMALE;
  3. LES LIMITES DE HAUTEUR;
  4. LES MARGES DE RECUL;
  5. OCCUPATION DU LOT :
    L’INDICE DE SUPERFICIE DE PLANCHER;
    LE POURCENTAGE D’OCCUPATION;
  6. LES EXIGENCES CONCERNANT LES ESPACES LIBRES;
  7. LES EXIGENCES QUANT AU STATIONNEMENT;
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10
Q

POUR FAIRE L’ANALYSE D’UN PFT DU POINT DE VUE FINANCIER, QUELS ÉLÉMENTS DOIVENT ÊTRE CONSIDÉRER (6)?

A
  1. COÛTS DE RÉALISATION DE BASE (COÛT DE CONSTRUCTION, COÛT DU TERRAIN);
  2. COÛTS PÉRIPHÉRIQUES (HONORAIRES DE L’ARCHITECTE ET DES INGÉNIEURS, RÉMUNÉRATION DU COURTIER EN IMMEUBLES);
  3. COÛT DU FINANCEMENT;
  4. ANALYSE DU REVENU;
  5. INDEXATION;
  6. RENDEMENT DE L’INVESTISSEMENT;
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11
Q

QUELS SONT LES PRINCIPES DE DÉVELOPPEMENT DURABLE QUI INFLUENCENT LE PFT (4)?

A
  1. IMPLANTATION, FORME ET/OU ORIENTATION DU BÂTIMENT;
  2. PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE;
  3. SYSTÈMES OPÉRATIONNELS;
  4. ESPACE ET PARAMÈTRES D’UTILISATION;
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12
Q

QUELS SONT LES (6) PRINCIPES DU DÉVELOPPEMENT DURABLE QU’IL FAUT
CONSIDÉRER DANS L’ÉLABORATION D’UN PROJET?

A
  1. RÉDUIRE LA CONSOMMATION DE RESSOURCES
  2. RÉUTILISER LES RESSOURCES
  3. RECYCLER LES RESSOURCES EN VUE DE LEUR RÉUTILISATION
  4. PROTÉGER LA NATURE
  5. APPLIQUER LA NOTION DE COÛT DU CYCLE DE VIE
  6. METTRE L’ACCENT SUR LA QUALITÉ
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13
Q

QUELLES SONT LES (5) CATÉGORIES LEED APPLICABLE EN ARCHITECTURE?

A
  1. AMÉNAGEMENT ÉCOLOGIQUE DES SITES
  2. GESTION EFFICACE DE L’EAU
  3. ÉNERGIE ET ATMOSPHÈRE
  4. MATÉRIAUX ET RESSOURCES
  5. QUALITÉ DES ENVIRONNEMENTS INTÉRIEURS
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14
Q

DÉCRIRE L’APPROCHE DE DESIGN INTÉGRÉE.

A
  1. ÉQUIPE MULTIDISCIPLINAIRE DE BASE : ING, ARCHI ET CLIENT DÈS LE DÉBUT + ENTREPRENEUR
  2. CHERCHE À DÉVELOPPER UNE PERCEPTION INTERDÉPENDANTE DES SYSTÈMES
  3. RESPECT MUTUELLE, COLLABORATION PLUTÔT QUE COMPÉTITION
  4. RECHERCHE D’UN CONSENSUS AU LIEU DE COMPROMIS
  5. RECHERCHE D’OPTIMISATION INTÉGRÉE AU LIEU DE PELLETER LES COÛTS DANS LA DISCIPLINE DE L’AUTRE
  6. PROCESSUS PAR CHARRETTE DE CONCEPTION INTÉGRÉ RÉGULIÈRE, ENTRECOUPÉ DE RECHERCHE PAR DISCIPLINE
  7. INCLURE DES EXPERTS ÉCOLOGIQUES ET DES RESPONSABLES DE L’OPÉRATION DU BÂTIMENT
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15
Q

QU’EST-CE QUE L’ANALYSE DU CYCLE DE VIE?

A

ÉVALUATION DE LA PERFORMANCE D’UN PRODUIT PENDANT SON CYCLE DE VIE ENTIER (ANALYSE INTÉGRALE).
MESURES QUI SONT DES INDICATEURS DU FARDEAU ENVIRONNEMENTAL DE LA FABRICATION, TRANSPORT, L’UTILISATION ET L’ÉLIMINATION D’UN PRODUIT.
N’ABORDENT PAS DIRECTEMENT LES EFFETS ULTIMES SUR LA SANTÉ HUMAINE ET LES ÉCOSYSTÈMES.

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16
Q

QUELS ÉLÉMENTS DOIVENT ÊTRE CONSIDÉRÉS POUR OPTIMISER LA CONCEPTION DU SITE (5)?

A
  1. ORIENTATION ADÉQUATE DU BÂTIMENT POUR FAVORISER UN ÉCLAIRAGE ADÉQUAT EN CONSIDÉRANT LA SURCHAUFFE PAR LE RAYONNEMENT SOLAIRE;
  2. IMPLANTER LE BÂTIMENT EN CONSIDÉRANT LES COURBES DE NIVEAUX NATURELLES DU SITE;
  3. NE PAS NUIRE AU DRAINAGE NATUREL DU SITE;
  4. PRÉSERVER LA VÉGÉTATION INDIGÈNE ET LES ARBRES EXISTANTS.
    RÉGIONS FROIDES = CONIFÈRES
  5. UTILISER DES SYSTÈMES D’OMBRAGE POUR LES OUVERTURES SOLLICITÉES.
  6. ÉVITER DE CONSTRUIRE SI PENTES = PLUS DE 5%
  7. FAVORISER DES PLANTATIONS À FORTE DENSITÉ RACINAIRE DANS LES PENTES;
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17
Q

QUELS SONT LES FACTEURS PHYSIQUES (6) LIÉS À LA PLANIFICATION DE L’EMPLACEMENT?

A
  1. CLIMAT
  2. TOPOGRAPHIE
  3. GÉOTECHNIQUE ET SOLS
  4. SERVICES PUBLICS
  5. ENVIRONNEMENT IMMÉDIAT
  6. SERVICES GÉNÉRAUX
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18
Q

QUELS SONT LES FACTEURS CULTURELS (3) LIÉS À LA PLANIFICATION DE L’EMPLACEMENT?

A
  1. HISTORIQUE DU TERRAIN
  2. OCCUPATION DU SOL ET PROPRIÉTÉ
  3. VALEUR ÉCONOMIQUE
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19
Q

QUELS SONT LES FACTEURS RÉGLEMENTAIRES (3) LIÉS À LA PLANIFICATION DE L’EMPLACEMENT?

A
  1. RÈGLEMENT DE ZONAGE
  2. LOTISSEMENT, EXAMEN DES PLANS D’ENSEMBLE ET AUTRES EXIGENCES
    LOCALES
  3. RÈGLEMENTS ENVIRONNEMENTAUX
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20
Q

ÉNUMÉRER LES CRITÈRES D’UNE APPROCHE ENVIRONNEMENTALE GLOBALE À CONSIDÉRER LORS DE L’ÉVALUATION D’UN SITE (9)?

A
  1. POTENTIEL DE RÉDUCTION DES IMPACTS SUR L’ENVIRONNEMENT;
  2. CONTRIBUTION DU SITE À L’ACCROISSEMENT DE LA PROSPÉRITÉ ÉCONOMIQUE;
  3. INTÉGRATION DE STRATÉGIES D’USAGES COMMUNAUTAIRE DU TERRAIN;
  4. TRAITEMENT OU GESTION EFFICACE DES EAUX;
  5. PURETÉ DE L’AIR;
  6. GESTION DU SOL (ÉROSION/STABILITÉ, IMPACT NÉGATIFS D’UNE IMPLANTATION, SOL CONTAMINÉ);
  7. PROTECTION DES ZONES HUMIDES INONDABLES OU CÔTIÈRES;
  8. PROTECTION DE LA FAUNE ET DE LA FLORE;
  9. PROTECTION DES SITES ARCHÉOLOGIQUES;
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21
Q

ÉNUMÉRER LES AVANTAGES D’UTILISER LA VÉGÉTATION COMME STRATÉGIE D’AMÉNAGEMENT DU SITE (11).

A
  1. ESTHÉTIQUE
  2. CONSERVE L’ÉNERGIE
  3. ENCADRE OU CACHE LES VUES
  4. ÉTOUFFE LES BRUITS
  5. FREINE L’ÉROSION ET STABILISE LE SOL
  6. LIEN VISUEL ENTRE UN BÂTIMENT ET SON TERRAIN
  7. OMBRAGE
  8. BARRIÈRE AU VENT
  9. AMÉLIORATION DE LA QUALITÉ DE L’AIR
  10. RENDENT LE SOL PLUS PERMÉABLE À L’AIR ET L’EAU
  11. DIMINUTION TEMPÉRATURE ATMOSPHÉRIQUE EN ABSORBANT RAYONNEMENT SOLAIRE ET RAFRAICHISSANT L’AIR PAR ÉVAPOTRANSPIRATION
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22
Q

ÉNUMÉRER LES ÉLÉMENTS À CONSIDÉRER LORS DE LA CONCEPTION DU SITE RELATIFS À LA GESTION DE L’EAU DE PLUIE ET AU NIVELLEMENT (5).

A
  1. LES PRÉCIPITATIONS;
  2. LE DRAINAGE DU TERRAIN;
  3. LA TOPOGRAPHIE;
  4. LA PROTECTION DES PENTES;
  5. LES MURS DE SOUTÈNEMENT;
  6. LE PAVAGE;
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23
Q

POUR QUELLE RAISON EST-IL PRIMORDIAL D’ASSURER LE DRAINAGE D’UN TERRAIN?

A

POUR EMPÊCHER ÉROSION ET ACCUMULATION EXCESSIVE DES EAUX DE SURFACES OU DES EAUX SOUTERRAINES

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24
Q

QUELLES SONT LES (2) TYPES D’EAU À PRENDRE EN CONSIDÉRATION DANS
L’ÉLABORATION DU PLAN DE DRAINAGE D’UN TERRAIN?

A

7 1. LES EAUX DE SURFACES: SOIT LES RENVOYER AUX ÉGOUTS OU SOIT LES
RETOURNER À LA NAPPE PHRÉATIQUE.
2. LES EAUX SOUTERRAINES: SOIT LE RÉSEAU D’ÉGOUTS, NAPPE PHRÉATIQUE.
:
ATTENTION, SI TROP D’EAU SOUTERRAINE CELA AFFECTE LA CAPACITÉ PORTANTE DES SOLS.

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25
Q

ÉNUMÉRER (10) TYPES DE DRAINS UTILE À LA GESTION DE L’EAU.

A
  1. PENTES DE TERRAIN;
  2. RIGOLES DE DRAINAGE;
  3. SIPHON DE SOL;
  4. PUIT SEC;
  5. BASSIN COLLECTEUR;
  6. PONCEAU;
  7. BASSIN DE RETENUE;
  8. MARAIS ARTIFICIEL;
  9. DRAIN D’INTERCEPTION;
  10. DRAIN À PIERRE SÈCHE;
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26
Q

QUELS SONT LES DIFFÉRENTS MOYENS DE PROTÉGER LES PENTES (6)?

A

MOYEN ARTIFICIEL: DÉVIATION DU RUISSELLEMENT ET AMÉNAGEMENT DE
TERRASSES.
MOYEN MÉCANIQUE: ENROCHEMENT, COUCHE DE PIERRE SUR GÉOTEXTILE CAISSON, STRUCTURE DE PIÈCES À ANGLE DROIT REMPLI DE TERRE.
MUR DE RETENU, EMPILAGE UNITAIRE EMBOÎTÉ.
GABION, PANIER DE TREILLIS GALVANISÉ REMPLI DE PIERRE.
MOYEN NATUREL:
COUVERTURE VÉGÉTALE DE PLANTES AVEC RACINES DENSES.

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27
Q
A

RÉGIONS FROIDES
MAXIMISER L’ABSORPTION DU SOLEIL
PROTECTION CONTRE LES VENTS
RÉDUIRE L’AIRE DU BÂTIMENT.

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28
Q
A

RÉGIONS CHAUDE ET ARIDES
DEVRAIT COMPRENDRE UNE COUR INTÉRIEUR,
DIMINUER L’APPORT DE CHALEUR PAR RAYONNEMENT
AJOUTER UNE FONTAINE POUR REFROIDIR PAR ÉVAPORATION, OMBRAGE.

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29
Q
A

RÉGIONS TEMPÉRÉES
RÉDUIRE LES SURFACES À L’EST ET À L’OUEST,
MAXIMISER LES SURFACES AU SUD.

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30
Q
A

RÉGIONS CHAUDES ET HUMIDES
ALLONGEMENT DU BÂTIMENT SUR L’AXE EST OUEST POUR RÉDUIRE L’EXPOSITION À L’EST ET À L’OUEST, COURANT D’AIR, OMBRAGE.

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31
Q
A

POUR MAXIMISER LE FLUX, LES SORTIES DOIVENT ÊTRE AUSSI GRANDE QUE LES ENTRÉES.
LES SORTIES DEVRAIENT ÊTRE SITUÉES PLUS HAUT QUE LES ENTRÉES.

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32
Q
A

L’AJOUT D’UN SURPLOMB AUGMENTE LE FLUX D’AIR ENTRANT TOUT EN LE DIRIGEANT VERS LE HAUT

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33
Q
A

LES PERSIENNES FACILITENT LA
RÉORIENTATION ET LA DIFFUSION DE L’AIR.

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34
Q
A
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35
Q
A

SURPLOMB HORIZONTAUX, EFFICACITÉ MAXIMALE LORSQU’ORIENTÉ AU SUD

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36
Q
A

BASE RIGIDE POUR PAVAGE. PAVÉS SUR LIT BITUMINEUX ET DALLE DE BÉTON

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37
Q
A

BASE SOUPLE POUR PAVAGE. PAVÉS SUR LIT DE SABLE ET AGRÉGATS
COMPACTÉS.

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38
Q
A

GABION
1. PANIER DE TREILLIS GALVANISÉ REMPLIS DE PIERRE
2. REPOSE SUR UN GÉOTEXTILE

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39
Q
A

MUR DE PIERRES SÈCHES
1. MIN 150MM SOUS LE NIVEAU DU SOL
2. INCLINAISON DES PIERRES POUR STABILITÉ
3. DRAINAGE À L’ARRIÈRE

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39
Q
A

MUR DE BOIS HORIZONTAL
1. LIEN HORIZONTAL
2. CORPS MORT POUR ANCRER LE MUR
3. DRAIN
4. BILLOTS DE BOIS TRAITÉ

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40
Q
A

MUR À PAREMENT DE BRIQUE
1. CHAPERON EN BRIQUE OU PIERRE
2. BLOCS DE BÉTONS SOUS LE NIV. DU SOL
3. CHANTEPLEURES
4. TUYAU DE DRAINAGE
5. SEMELLE DE BÉTON

41
Q
A

L’ENROCHEMENT
1. COUCHE DE ROCHE PLACÉ DANS LA PENTE POUR EMPÊCHER L’ÉROSION
2. ÉPAISSEUR DOIT ÊTRE SUPÉRIEUR À LA
TAILLE DES PIERRES
3. REPOSE SUR UN GÉOTEXTILE

42
Q
A

CAISSON
1. STRUCTURE CELLULAIRE FAITE DE PIÈCES CARRÉES DE BOIS, BÉTON OU D’ACIER
2. ASSEMBLAGE À ANGLE DROIT
3. REMPLI DE TERRE OU DE PIERRE

43
Q
A

MUR POID
1. GRANDE INERTIE
2. RÉSISTE AU GLISSEMENT ET AU RENVERSEMENT
3. HAUTEUR MAX = 3M

44
Q
A

MUR DE RETENUE
1. EMPILAGE D’UNITÉS MODULAIRE DE BÉTON PRÉFAB
2. LES ESPACES VIDES SONT COMBLÉS DE GRAVIER OU DE PIERRE

45
Q
A

MUR À CONTREFORTS
1. RENFORCEMENT DU MUR PAR L’AJOUT DE POIDS
2. AGIT UN PEU À TITRE DE CONTREVENTEMENT?

46
Q
A

MUR EN PORTE-À-FAUX DE TYPE L
1. UTILE SUR LES LIMITES DE PROPRIÉTÉS

47
Q
A

BASSIN DE RETENUE
1. COMME UN ÉTANG OU UN MARAIS
2. CONÇUS POUR REPRODUIRE LE PROCESSUS NATUREL DE TRAITEMENT DES EAUX.

48
Q
A

MUR EN PORTE-À-FAUX DE TYPE T
1. HAUTEUR MAX 6M

49
Q
A

SIPHON ET BASSIN COLLECTEUR
1. LE SIPHON RECUEILLE LES EAUX DE SURFACE DANS UNE ZONE IMPERMÉABLE
2. LE BASSIN REÇOIT LES EAUX DE SURFACE
3. RETIENT LES SÉDIMENTS LOURDS

50
Q
A

DRAIN D’INTERCEPTION
1. À PLACER ENTRE UNE SOURCE D’EAU SOUTERRAINE ET UNE ZONE À PROTÉGER

51
Q
A

PONCEAU
1. DRAIN OU CANAL SOUS UNE ROUTE OU UN TROTTOIR

52
Q
A

APPORT DIRECTE
1. CAPTER LA CHALEUR DIRECTEMENT DANS L’ESPACE
2. LA MASSE DE STOCKAGE DOIT ÊTRE DE 50-50% DE L’AIRE TOTALE

53
Q
A

APPORT INDIRECT
1. RÉGULARISE L’APPORT DE CHALEUR
2. RAYONNEMENT SOLAIRE SUR MASSE THERMIQUE
3. L’ÉNERGIE CAPTÉE SE RÉPAND DANS LA PIÈCE PAR RAYONNEMENT ET CONVECTION

54
Q
A

SOLARIUM
1. APPORT DE CHALEUR INDIRECT
2. PLANCHER À MASSE THERMIQUE
3. SÉPARÉ DES ESPACES DE VIE PAR UN MUR/ MASSE THERMIQUE
4. BESOIN D’UN ÉVENT POUR LE REFROIDISSEMENT

55
Q
A

APPORT ISOLÉ
1. CAPTENT ET STOCKENT LE RAYONNEMENT
SOLAIRE À L’ÉCART DE LA PIÈCE
2. EAU OU AIR CHAUFFÉ PAR LE SOLEIL
3. BOUCLE DE CONVECTION NATURELLE

56
Q
A

TOIT CAPTEUR
1. MASSE LIQUIDE QUI ABSORBE ET STOCKE L’ÉNERGIE SOLAIRE
2. PANNEAU ISOLANT LA NUIT POUR FAIRE RAYONNER LA CHALEUR ACCUMULÉE
3. INVERSER LE PROCESSUS L’ÉTÉ POUR REJETER LA CHALEUR À L’EXTÉRIEUR

57
Q

ÉNUMÉRER LES ÉLÉMENTS DE CORRÉLATION ENTRE L’AMÉNAGEMENT DU SITE ET LA CONSOMMATION ÉNERGÉTIQUE (7) ?

A
  1. TOPOGRAPHIE
  2. VENT DOMINANT
  3. LATITUDE
  4. CLIMAT
  5. ORIENTATION
  6. VÉGÉTATION
  7. TYPE DE SOL
58
Q

QU’EST CE QUE L’OMBRAGE SOLAIRE?

A

DISPOSITIFS PROTÈGENT LES FENÊTRES ET AIRES VITRÉES CONTRE LA LUMIÈRE SOLAIRE DIRECTE ET DIMINUENT L’ÉBLOUISSEMENT ET L’APPORT EXCESSIF DE CHALEUR SOLAIRE PAR TEMPS CHAUD.

EFFICACITÉ DÉPEND DE LEUR FORME ET LEUR ORIENTATION P/R À LA HAUTEUR ET À L’AZIMUT DU SOLEIL, SELON LE MOMENT DE LA JOURNÉE ET LA SAISON.

59
Q

DÉCRIRE L’IMPACT DE L’ACCESSIBILITÉ TELLE QU’ELLE S’APPLIQUE À LA CONCEPTION DU SITE.

A
  1. PENTE MAXIMALE SANS MAIN-COURANTE : 1 :20
  2. REVÊTEMENT DE SOL FERME, STABLE ET ANTIDÉRAPENT
  3. LARGEUR LIBRE; PASSAGE MINIMUM 36’’ (915 MM) OU 60’’ (1 500 MM) POUR 2 FAUTEUILS
  4. DIAMÈTRE DE ROTATION DE 1500 MM MINIMUM
  5. ÉVITER LES IRRÉGULARITÉS DE SURFACE
  6. BANDES TEXTURÉS DE COULEURS CONTRASTANTES
60
Q

QUELS ÉLÉMENTS SONT COMPRIS DANS UN RAPPORT DE SOL (5)?

A
  1. LA CLASSE DE SOLS
  2. HORIZONS (SUCCESSIONS DE STRATES GÉOLOGIQUES)
  3. FACTEURS DE STABILITÉ
  4. RÉSISTANCE À LA CHARGE
  5. ANALYSE DE SOL POUR DÉTERMINER LE TASSEMENT TOTAL ET DIFFÉRENTIEL
61
Q

QU’EST CE QUE LA CAPACITÉ PORTANTE ADMISSIBLE?

A

PRESSION UNITAIRE MAXIMALE QUE LES FONDATIONS PEUVENT EXERCER VERTICALEMENT OU LATÉRALEMENT SUR LE SOL.

IMPORTANT POUR LE CHOIX DE FONDATIONS AINSI QU’UNE RÉPARTITION QUI POURRAIT ÊTRE TRÈS SPÉCIFIQUE DES CHARGES ET PARFOIS DÉTERMINE FORME DU BÂTIMENT

62
Q

QU’EST-CE QUE LA NAPPE PHRÉATIQUE?

A

NIVEAU AU-DESSOUS DUQUEL LE SOL EST SATURÉ D’EAU SOUTERRAINE, VARIE SELON LES SAISONS.

DOIT ÊTRE MAINTENUE À L’ÉCART DES FONDATIONS POUR CONSERVER CAPACITÉ PORTANTE DU SOL ET DIMINUER LES RISQUES
D’INFILTRATION.

SOLS GROSSIERS PLUS PERMÉABLES QUE LES SOLS FINS, CAR SE DRAINENT MIEUX ET MOINS SUSCEPTIBLES DE GELER.

63
Q

QU’EST CE QUE LA RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT DU SOL ET QUEL TYPE DE SOL Y RÉSISTE LE MIEUX?

A

CAPACITÉ À RÉSISTER AU DÉPLACEMENT SOUS L’ACTION D’UNE FORCE EXTERNE RÉSULTANT DES EFFETS COMBINÉS DE SA COHÉSION ET DU FROTTEMENT INTERNE.

SOL COHÉSIFS NON CONFINÉS OU SOLS
GRANULEUX SI FORCE DE CONFINEMENT ET
ANGLE D’ÉQUILIBRE FAIBLE.

64
Q

QUELS DOCUMENTS SONT GÉNÉRALEMENT PRÉPARÉS POUR OBTENIR L’APPROBATION DE LA CONCEPTION PRÉLIMINAIRE PAR LE CLIENT (4)?

A

DESSINS
1. UN PLAN D’ENSEMBLE ET DES ÉTAGES DÉTAILLÉS
2. COUPES ET ÉLÉVATIONS
3. QUELQUES DÉTAILS
4. DISPOSITION PRÉLIMINAIRES DES ÉQUIPEMENTS
5. DESSINS DE PRÉSENTATION
DEVIS SOMMAIRE
6. DOIT COMPRENDRE TOUS LES ÉLÉMENTS POUR EN FAIRE L’ANALYSE MÉMOIRE EXPLICATIF
7. POUR ÉTAYER LES DÉCISIONS

65
Q

QUELS ÉLÉMENTS SE RETROUVENT DANS UN PLAN D’ARPENTAGE (5)?

A
  1. NIVEAU DU SOL ET LIMITES DE PROPRIÉTÉ;
  2. ÉLÉMENTS DE SURFACE À L’INTÉRIEUR DES LIMITES DE PROPRIÉTÉ;
  3. SERVICES SOUTERRAINS, TUNNELS, CANALISATIONS ET FOSSÉS;
  4. RUES ET TROTTOIRS;
  5. PROPRIÉTÉS VOISINES
66
Q

QUELS ÉLÉMENTS COMPOSENT UN SYSTÈME DE CHAUFFAGE À AIR PULSÉ (6)?

A
  1. UNITÉ DE CHAUFFAGE (FOURNAISE)
  2. FILTREUR ET HUMIDIFICATEUR
  3. GROUPE COMPRESSEUR-CONDENSEUR POUR REFROIDIR
  4. BONNET OU PLÉNUM
  5. CONDUIT PRINCIPAUX
  6. MONTÉ OU COLONNES, AVEC DES BRANCHEMENTS, RÉDUIT ET COLLECTEURS
67
Q

QUELS SONT LES TYPES DE CHAUFFAGES ÉLECTRIQUES (3) ET QUEL EST LEURS FONCTIONNEMENT?

A

CHAUFFAGE PAR RÉSISTANCE ÉLECTRIQUE.
1. EXPOSER À L’AIR DANS UNE UNITÉ DE CHAUFFAGE
2. FOURNIT LA CHALEUR À UNE CHAUDIÈRE
3. DIRECTEMENT DANS DES APPAREILS DE CHAUFFAGE DANS CHAQUE PIÈCE (CONVECTEUR)
CONVECTEURS
4. NE PERMETTENT PAS DE FAIRE VARIER L’HUMIDITÉ ET LA QUALITÉ DE L’AIR
5. PLINTHE, VENTILATEUR, ENCASTRÉ, INDUSTRIEL, RADIATEUR À QUARTZ
RAYONNANT
6. CÂBLES DE CHAUFFAGE, EAU CHAUDE, RÉACTION
LENTE, PAS DE CONTRÔLE DE LA VENTILATION OU
HUMIDITÉ

68
Q

QUELS SONT LES TYPES DE CHAUFFAGE À L’EAU
CHAUDE OU LES ÉLÉMENTS COMPRIS DANS LE
SYSTÈME (5)?

A
  1. CHAUDIÈRE CHAUFFE L’EAU ET L’ENVOIE AVEC DES POMPES DANS LES CONDUITS
  2. SYSTÈME À UN CONDUIT, BOUCLE AVEC VENTURIS
  3. SYSTÈME À 2 CONDUITS, UN CONDUIT AMÈNE L’EAU CHAUDE ET L’AUTRE RAMÈNE L’EAU REFROIDIE À LA CHAUDIÈRE
  4. SYSTÈME À LA VAPEUR
  5. RADIATEUR OU CONVECTEUR À TUYAU ET AILETTE
69
Q

QUELS ÉLÉMENTS SONT CONTRÔLÉS PAR LES SYSTÈMES DE CVCA (5)?

A
  1. CHAUDIÈRE CHAUFFE L’EAU ET L’ENVOIE AVEC DES POMPES DANS LES CONDUITS
  2. SYSTÈME À UN CONDUIT, BOUCLE AVEC VENTURIS
  3. SYSTÈME À 2 CONDUITS, UN CONDUIT AMÈNE L’EAU CHAUDE ET L’AUTRE RAMÈNE L’EAU REFROIDIE À LA CHAUDIÈRE
  4. SYSTÈME À LA VAPEUR
  5. RADIATEUR OU CONVECTEUR À TUYAU ET AILETTE
70
Q

QUELS SONT LES CRITÈRES À CONSIDÉRER DANS L’ÉLABORATION DU SYSTÈME DE CVCA (7)?

A
  1. EFFICACITÉ ET COÛT
  2. RESSOURCES ET STOCKAGE
  3. SOUPLESSE ET ADAPTABILITÉ
  4. DISTRIBUTION ET RÉDUCTION DES PERTES
  5. ENCOMBREMENT
  6. ACCÈS BRANCHEMENT ET ENTRETIEN
  7. ENVELOPPE ET ISOLATION
  8. POIDS
  9. EMPLACEMENT
71
Q

COMMENT FONCTIONNE LES SYSTÈMES DE CLIMATISATION?

A

PAR COMPRESSION OU PAR ABSORPTION
LE RÉFRIGÉRATEUR À COMPRESSION UTILISE UNE COMPRESSION MÉCANIQUE SUIVIE D’UN REFROIDISSEMENT

LE RÉFRIGÉRATEUR À ABSORPTION UTILISE UN PROCÉDÉ PLUS COMPLEXE MAIS SANS MOTEUR.

72
Q

QUEL EST L’ÉCLAIRAGE RECOMMANDÉ EN LUX POUR LES ZONES SUIVANTES:
1. FAIBLE (REPAS)
2. COURANT (LECTURE)
3. MOYEN (DESSIN)
4. PRONONCÉ (COUTURE)
5. TRÈS PRONONCÉ (CHIRURGIE)

A
  1. FAIBLE (REPAS) = 200 LUX
  2. COURANT (LECTURE) = 500 LUX
  3. MOYEN (DESSIN) = 1000 LUX
  4. PRONONCÉ (COUTURE) = 2000 LUX
  5. TRÈS PRONONCÉ (CHIRURGIE) = MIN.4000 LUX
73
Q

QUELS SONT LES (4) TYPES DE GICLEURS?

A
  1. À EAU
  2. SOUS AIR
  3. PRÉ-ACTIFS
  4. DÉLUGE

o Système sous eau : avec de l’eau dans les tuyaux
o Système sous air : qui ne contient que de l’air dans les tuyaux (si risque de gel de l’eau contenu dans les conduites) Le système est rempli d’air et lors d’une chute de pression causée par l’activation d’une tête de gicleur, l’eau est admise dans le réseau de tuyauterie.

74
Q

QUELS SONT LES (2) TYPES D’ÉNERGIE?

A
  1. ÉLECTRIQUE
  2. THERMIQUE (FACILE À SUBSTITUER PAR DES ÉNERGIES RENOUVELABLE)
75
Q

ÉNUMÉRER (5) TYPES D’ÉNERGIE DE REMPLACEMENT

A
  1. SOLAIRE
  2. ÉOLIEN
  3. BIOMASSE
  4. HYDROGÈNE
  5. HYDROÉLECTRIQUE
  6. MARINE
  7. GÉOTHERMIQUE
76
Q

L’ÉLECTRICITÉ SE DÉFINIT PAR LES ÉLÉMENTS
SUIVANTS, QUE SIGNIFIENT-ILS?
1. VOLT (V)
2. AMPÈRE (A)
3. WATT (W)
4. OHM (Ω)

A
  1. VOLT (V) : FORCE ÉLECTROMOTRICE
  2. AMPÈRE (A) : COURANT ÉLECTRIQUE
  3. WATT (W) : PUISSANCE
  4. OHM (Ω) : RÉSISTANCE ÉLECTRIQUE
77
Q

QUELS ÉLÉMENTS SONT À PRÉVOIR AVEC UNE FOSSE SEPTIQUE (3)?

A
  1. CHAMPS D’ÉPURATION : AIRE OUVERTE, TRANCHÉES ABSORBANTES, GRANULAT ET CONDUITE PERFORÉE OÙ L’EFFLUENT DE LA FOSSE SUINTE DANS LE SOL
  2. PUISARD D’INFILTRATION: CHEMISÉ EN MAÇONNERIE, DANS UN SOL ABSORBANT ET NAPPE PHRÉATIQUE
  3. FILTRE À SABLE : SOUS LE SOL, CONDUITES ENTOURÉES DE GRAVIER CALIBRÉ, DE SABLE PROPRE, ET DE DRAIN DE SORTIE. UTILISER EN DERNIER RECOURS
78
Q

DANS QUELLE SITUATION DOIT-ON UTILISER UN CÂBLE DANS CONDUIT ET TUBE DE PLASTIQUE ?

A

INSTALLATIONS SOUTERRAINE

79
Q

QUELLES SONT LES PRINCIPALES PROPRIÉTÉS DU SYSTÈME DE GÉNIE CIVIL (3)?

A
  1. DRAINAGE
  2. INFRASTRUCTURE
  3. ALIMENTATION EN EAU
80
Q

ÉNUMÉRER LES DIFFÉRENTS MOYENS POUR ASSURER LA COORDINATION À L’ÉTAPE DE L’ESQUISSE (4)?

A
  1. FAIRE UNE RÉUNION DE DÉMARRAGE
  2. CONFIRMER LE CALENDRIER D’EXÉCUTION
  3. VISITE DE TERRAIN
  4. DÉTERMINER LA FRÉQUENCE DES RÉUNIONS
  5. RÉUNION DE L’ÉQUIPE DE CONCEPTION, EXAMEN DES CONCEPTS PRÉLIMINAIRES, PRÉSENTATION DES RÉSULTATS AU CLIENT
81
Q

ÉNUMÉRER LES DIFFÉRENTS MOYENS POUR ASSURER LA COORDINATION À L’ÉTAPE PRÉCONCEPTUELLE (4)?

A
  1. LA DÉFINITION DES ATTENTES, DEGRÉ DE PARTICIPATION
  2. FAIRE DES ENTREVUES DES CONSULTANTS
  3. CHOIX DU CONSULTANT SELON LES COMPÉTENCES, PRÉPARER UN CALENDRIER, HONORAIRES, ETC
  4. UTILISER LE DOCUMENT 9 DE L’IRAC COMME CONTRAT
82
Q

ÉNUMÉRER LES DIFFÉRENTS MOYENS POUR ASSURER LA COORDINATION À L’ÉTAPE DU PROJET DÉFINITIF (3)?

A
  1. RÉSOUDRE LES PROBLÈMES DE COORDINATION
  2. CONFIRMER LES PROTOCOLES DE PRÉSENTATION DES DESSINS (CARTOUCHE)
  3. FAIRE UNE VALIDATION DE LA COORDINATION DES DOCUMENTS
83
Q

ÉNUMÉRER LES DIFFÉRENTS MOYENS POUR ASSURER LA COORDINATION À L’ÉTAPE DU PROJET PRÉLIMINAIRE (4)?

A
  1. ORGANISER LES RÉUNIONS ET RÉDIGER LES PV
  2. INFORMER LE CLIENT DES DÉCISIONS DE L’ÉQUIPE
  3. DEMANDER AUX DISCIPLINES DE VALIDER LA RÉGLEMENTATION, L’ESTIMATION
  4. LES INGÉNIEURS DOIVENT FAIRE LES DÉMARCHES POUR LES BRANCHEMENTS AUX SERVICES PUBLICS
84
Q

ÉNUMÉRER LES DIFFÉRENTS MOYENS POUR ASSURER LA COORDINATION À L’ÉTAPE DE L’ADMINISTRATION DU CONTRAT (6)?

A
  1. TRANSMETTRE POUR COMMENTAIRE L’ÉCHÉANCIER, LE CALENDRIER ET LA LISTE DES VALEURS DE L’ENTREPRENEUR
  2. AIDER LE CLIENT POUR LES DEMANDES DE BRANCHEMENT
  3. CLARIFIER LES PROCÉDURES DE GESTION DE CHANTIER
  4. TOUTES LES INFOS DOIVENT ÊTRE
    CONFIRMÉES PAR ÉCRIT
  5. SUIVI DE CHANTIER
  6. DESSINS TELS QUE CONSTRUITS
85
Q

ÉNUMÉRER LES DIFFÉRENTS MOYENS POUR ASSURER LA COORDINATION À L’ÉTAPE DE L’APPEL D’OFFRES (4)?

A
  1. ASSISTER À LA RÉUNION D’INFORMATION AUX SOUMISSIONNAIRES ET RÉPONDRE À LEURS QUESTIONS
  2. RESPECTÉES LES POLITIQUES DE SUBSTITUTIONS
  3. PRÉPARER LES ADDENDAS
  4. APRÈS L’OUVERTURE DES SOUMISSIONS, AIDER À VALIDER LES PRIX ET NÉGOCIER LES CONTRATS
86
Q

QUELS SONT LES FACTEURS QUI INFLUENCENT LE COÛTS D’UN PROJET DE CONSTRUCTION (6)?

A
  1. FACTEURS ÉCONOMIQUES ET POLITIQUES
  2. FACTEURS ENVIRONNEMENTAUX
  3. CONFIGURATION ET USAGE DU BÂTIMENT
  4. CLIENT
  5. MODE DE RÉALISATION DU PROJET
  6. ÉCHÉANCIER
  7. AUTRES
87
Q

À L’ÉTAPE DU PFT, QUELLE ACTION DOIT ÊTRE POSÉE POUR MINIMISER LES DÉPASSEMENTS DE COÛTS?

A

POUR RÉDUIRE AU MINIMUM LA POSSIBILITÉ DE DÉPASSEMENTS DE COÛT ATTRIBUABLES À L’APPORT DE CHANGEMENTS AU PROGRAMME,
IL Y A LIEU DE VÉRIFIER L’INTENTION FONCTIONNELLE OU LES OBJECTIFS DE CELUICI.
L’ARCHITECTE DOIT, AVANT DE COMMENCER À FOURNIR SES SERVICES, DEMANDER À SON CLIENT DE PRÉCISER TOUTES LES EXIGENCES QUI NE SERAIENT PAS CLAIRES ET COMPLÈTES.

88
Q

POUR QUELLES RAISONS LES EXIGENCES DU CLIENT INFLUENCENT LES COÛTS DU PROJET (7)?

A
  1. SUPER PERFORMANCE DES INSTALLATIONS
  2. NORMES DE QUALITÉ INUTILEMENT ÉLEVÉE
  3. PROCÉDURES D’APPEL D’OFFRES COMPLEXE
  4. EXIGENCES PARTICULIÈREMENT ÉLEVÉES EN ASSURANCE
  5. EXIGENCES CONSIDÉRABLES EN CAUTIONNEMENT
  6. CONTRATS MAL RÉDIGÉS
  7. RETARD À EFFECTUER LES CERTIFICATS DE PAIEMENTS
89
Q

QUELLE EST LA DÉFINITION D’UNE ANALYSE DE VALEUR? ET QUEL RÔLE L’ARCHITECTE A-T-IL PAR RAPPORT À CETTE ANALYSE?

A

L’ANALYSE DE LA VALEUR EST UNE PROCÉDURE SYSTÉMATIQUE VISANT À DÉTERMINER LA VALEUR OPTIMALE DES INVESTISSEMENTS
DANS UN PROJET DE CONSTRUCTION.
ÉVALUER LA MODIFICATION DE CERTAINS ÉLÉMENTS POUR RÉDUIRE LEUR COÛT, SANS MODIFIER LA QUALITÉ, L’APPARENCE, LA DURÉE ET LA PERFORMANCE FONCTIONNELLE.
L’ARCHITECTE DOIT COMMENTER, ÉMETTRE SES RECOMMANDATIONS PAR ÉCRIT SUR L’ANALYSE.

90
Q

ÉNONCER LES CARACTÉRISTIQUES D’UNE ESTIMATION DE CLASSE-D (PRÉCONCEPTUEL) (4)?

A
  1. BASÉ SUR DES DONNÉES ANTÉRIEURES PROVENANT DE CONSTRUCTION SIMILAIRES,
  2. TOUS LES FACTEURS PERTINENTS SONT PRIS EN CONSIDÉRATIONS,
  3. ESTIMATION TRÈS APPROXIMATIVE – ORDRE DE GRANDEUR.
  4. DEGRÉ D’EXACTITUDE : 20%
91
Q

QUELLES SONT LES DIFFÉRENTES CLASSES D’ESTIMATION (4)?

A
  1. CLASSE-D AVANT PROJET : DEGRÉ D’EXACTITUDE : 20%
  2. CLASSE-C ESQUISSE : DEGRÉ D’EXACTITUDE : 15%
  3. CLASSE-B PROJET PRÉLIMINAIRE 10%
  4. CLASSE-A PROJET DÉFINITIF : DEGRÉ D’EXACTITUDE : 5%
92
Q

ÉNONCER LES CARACTÉRISTIQUES D’UNE ESTIMATION DE CLASSE-C (ESQUISSE) (3)?

A
  1. BASÉ SUR LE TYPE DE CONSTRUCTION, LES QUANTITÉS DE MATÉRIAUX,
  2. COMPORTE TOUTES LES HYPOTHÈSES ET RESTRICTIONS APPROPRIÉS.
  3. DEGRÉ D’EXACTITUDE : 15%.
93
Q

QUELLES SONT LES DIFFÉRENTES MÉTHODES D’ESTIMATION (5)?

A
  1. PAR CLASSES
  2. COÛTS ÉLÉMENTAUX
  3. SURFACES
  4. VOLUMES
  5. UNITÉS D’USAGES
    OÙ SE CLASSENT L’UNIFORMAT ET LE MASTERFORMAT
94
Q

ÉNONCER LES CARACTÉRISTIQUES D’UNE ESTIMATION DE CLASSE-A (DÉFINITIF) (3)?

A
  1. MISE À JOUR CONTINUE DES DONNÉES;
  2. ESTIMATION FINALE POUR APPEL D’OFFRE.
  3. DEGRÉ D’EXACTITUDE : 5%
95
Q

ÉNONCER LES CARACTÉRISTIQUES D’UNE ESTIMATION DE CLASSE-B (PRÉLIMINAIRE) ?

A
  1. DEGRÉ D’EXACTITUDE : 10%
96
Q

QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE LES NOTIONS DE COÛT DES TRAVAUX DE CONSTRUCTION, COÛT DU PROJET ET COÛT GLOBAL?

A
  1. LE COÛT DES TRAVAUX DE CONSTRUCTION
    = MONTANT PRÉVU POUR LE PAIEMENT DES TRAVAUX INCLUANT LES IMPRÉVUS.
  2. LE COÛT DU PROJET = COÛT DES TRAVAUX, HONORAIRES DES PROFESSIONNELS, TERRAIN, TAXES, PERMIS DE CONSTRUCTION.
  3. COÛT GLOBAL = COÛT TOTAL DU BÂTIMENT PENDANT TOUTE SA DURÉE DE VIE
97
Q

QUELS ÉLÉMENTS SONT INCLUS DANS LE COÛT GLOBAL RÉEL (COÛT DU CYCLE DE VIE-3)?

A
  1. = COÛT D’IMMOBILISATION : COÛT DE CONSTRUCTION + TERRAIN + HONORAIRE + FINANCEMENT
    • COÛT D’EXPLOITATION : FRAIS LIÉ À L’UTILISATION DU BÂT (ÉCLAIRAGE, ÉNERGIE, ADMINISTRATION, ASSURANCE)
    • COÛT D’ENTRETIEN : COÛTS DE RÉPARATION ET REMPLACEMENT
98
Q

QUELS SONT LES SERVICES DES INGÉNIEURS DURANT LA PHASE DE L’ESQUISSE (6)?

A
  1. CONCLURE UN CONTRAT ET PROUVER QU’IL POSSÈDE UNE ASSURANCE RESPONSABILITÉ CIVILE
  2. EXPRIMER LEURS BESOINS EN MATIÈRE D’ÉTUDES ET D’ESSAI POUR ACCOMPLIR LEUR TRAVAIL
    SE FAMILIARISER AVEC L’EMPLACEMENT ET LE PROGRAMME
  3. PARTICIPER AUX RÉUNIONS DE L’ESQUISSE
  4. DÉBUTER LA CONCEPTION EN CHOISISSANT DES SYSTÈMES QUI CORRESPONDENT AUX OBJECTIFS DE PROJET
  5. ANALYSER LES DIFFÉRENTS SYSTÈMES ET EN RECOMMANDER UN
  6. PRÉPARER LES ESTIMATIONS
99
Q

QUELS SONT LES SERVICES DE L’ARCHITECTE DURANT LA PHASE DE L’ESQUISSE (6)?

A
  1. ÉTUDIE LE PROGRAMME DU CLIENT ET LES CARACTÉRISTIQUES DU TERRAIN;
  2. ÉVALUE LA COMPATIBILITÉ DU BUDGET DE CONSTRUCTION ET DU PROGRAMME;
  3. ÉTUDIE AVEC LE CLIENT DIVERSES VARIANTES CONCEPTUELLES ET CONTRATS DE CONSTRUCTION;
  4. ÉTUDIE LA LÉGISLATION, LA RÉGLEMENTATION ET LES CODES APPLICABLES;
  5. PRÉPARE LES DOCUMENTS DE LA PHASE DE L’ESQUISSE, QUI ILLUSTRENT L’ÉCHELLE, LE CARACTÈRE ET LES RELATIONS FONCTIONNELLES DU PROJET POUR APPROBATION;
  6. PRÉPARE ET PRÉSENTE AU CLIENT UNE ESTIMATION
100
Q

QUELS SONT LES SERVICES DE L’ARCHITECTE À LA PHASE PRÉLIMINAIRE DU PROJET DE CONSTRUCTION?

A

PRÉPARE LES DOCUMENTS DU DOSSIER PRÉLIMINAIRE POUR APPROBATION DU CLIENT, COMPRENNENT LES DESSINS ET AUTRES DOCUMENTS APPROPRIÉS À L’ENVERGURE DU PROJET, QUI ILLUSTRENT LA TAILLE ET LE CARACTÈRE DU PROJET DANS SON ENSEMBLE, Y COMPRIS LES SYSTÈMES ARCHITECTURAUX,
STRUCTURAUX, MÉCANIQUES ET ÉLECTRIQUES, LES MATÉRIAUX,

PRÉPARE ET SOUMET POUR APPROBATION UNE ESTIMATION RÉVISÉE DU COÛT PROBABLE DES TRAVAUX POURSUIT SON ÉTUDE DE LA LÉGISLATION, DE LA RÉGLEMENTATION ET DES CODES APPLICABLES

101
Q

QUELS DOCUMENTS SONT GÉNÉRALEMENT PRÉPARÉS POUR OBTENIR L’APPROBATION DE L’ESQUISSE PAR LE CLIENT (6)?

A

DOCUMENTS DE PRÉSENTATION
1. UN PLAN D’ENSEMBLE ET DES ÉTAGES
2. COUPES ET ÉLÉVATIONS
3. CROQUIS, RENDUS EN PERSPECTIVES, MAQUETTES
UN RAPPORT
1. L’APPROCHE OU LA PHILOSOPHIE DE CONCEPTION
2. LE COÛT DE LA CONSTRUCTION PROBABLE
3. LE DEGRÉ D’AVANCEMENT DE L’ÉTUDE DE CODE ET DE
LA RÉGLEMENTATION
4. L’ÉCHÉANCIER PRÉLIMINAIRE
5. LA DESCRIPTION DES SYSTÈMES DE MÉC/STR/ELE
6. SOMMAIRE DES SURFACES
7. DONNÉES CONCERNANT L’EMPLACEMENT
8. DESCRIPTION DES PRODUITS ET DES MATÉRIAUX ET
ÉCHANTILLONS

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