Examen 1: Approches psychothérapeutiques Flashcards

1
Q

comment appliquer les approches de TCC

A

questionnement socratique, résumés fréquents, jeux de rôle, imagerie mentale, devoirs (lectures, journal des pensées revisées.

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Q

En quoi consiste le journal des pensées révisées ?

A
  1. nommer la situation (description objective)
  2. pensée automatique: identifier notre processus de pensées actuel et nommer et coter les émotions et nommer les comportements que cette pensée a engendré
  3. questions d’enquête (pour vérifier si ma pensée est erronée)
  4. pensée révisée: reprendre la pensée de façon plus réaliste et coter les émotions et nommer les comportements
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3
Q

est-ce que le journal des pensées révisées fonctionnent à tout coup pour tout le monde?

A

non, ce n’est pas automatique. Les pensées automatiques ont tendance à réapparaitre même si elles ont été corrigées car elles découlent de croyances bien ancrées dans le cerveau.

Il faut en aviser le patient pour ne pas le décourager si la méthode ne fonctionne pas. On doit leur expliquer que plus l’exercice sera répété, moins l’émotion négative sera vive et elle sera plus facile à faire disparaitre

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4
Q

pourquoi faire l’exercice du journal des pensées révisées par écrit?

A

car ça permet au patient d’extérioriser le discours interne et d’en prendre une distance.

plus l’exercice est répété, moins l’émotion négative sera intense et plus elle sera facile à dissiper, et à la longue c’est la pensée révisée qui prendra le dessus

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5
Q

que faire si la personne est si anxieuse qu’elle ne peut pas remplir le journal? Que peut-on lui proposer pour diminuer son anxiété

A

*ne pas débuter le journal si la personne est trop anxieuse

  • relaxation
  • respiration profonde
  • offrir de l’accompagner dans cette démarche
  • médication PRN,si autres techniques non-efficace
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6
Q

qu’est-ce que l’approche “le TCC de la TCC”

A
  • plus simple que le journal de la pensée révisée
  • convient aux personnes psychotiques
  • utiliser une situation distale pour lui expliquer le principe de l’exercice
  • les pensées sont la cible de nos interventions
  1. faire ressortir une pensée neutre
  2. faire ressortir une pensée négative, les émotions que ça engendre puis les comportements en réponse à ces émotions
  3. faire ressortir une pensée positive , les émotions que ça engendre, puis les comportements en réponse à ces émotions
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7
Q

qu’est-ce que l’approche de la dissonance cognitive

A

consiste à confronter 2 pensées opposées afin de prendre conscience qu’il y a plusieurs explications possibles pour une situation donnée et amène la personne à envisager plusieurs alternatives avant d’énoncer un fait.

  1. il s’agit d’imaginer que nous sommes sur la route, pris dans un embouteillage.
  2. qu’est-ce qui aurait pus causer cet embouteillage? Trouver au moins 2 réponses
  3. comment pourrions-nous le prouver

*toujours prendre une situation loin du patient

  1. créer la dissonance cognitive: s’il existe plusieurs explications possibles pour cette situation, il pourrait y avoir plus d’une explications à votre situation
  2. proposer de faire l’exercice avec sa propre situation, pour voir si d’autres alternatives sont possible
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8
Q

qu’est-ce que le questionnement socratique

A

il s’agit de questionner gentiment et de manière non-menaçante (colombo)

  • “c’est probablement moi qui ne comprends pas bien, pourriez-vous m’expliquer comment vous en êtes venu à penser que…”
  • “avez vous déjà eu un point de vue différent?”
  • “comment en avez-vous déduit que…”

De cette façon le patient est obligé d’expliquer plus clairement, de rechercher des preuves ou des faits, de considérer des alternatives, et ça ouvre la porte au doute dans le cas d’un délire

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9
Q

qu’est-ce que le thermomètre de la certitude

A

on inscrit des pourcentage de certitude sur le thermomètre afin que la personne situe son degré de certitude par rapport à son idée. Ne pas insister, revenir plus tard si c’est possible

Utile en présence d’idée délirante, cela permet de voir à quel point la personne croit à une idée, et si elle y voit des alternatives possible

Cela permet de voir l’évolution de la croyance d’une idée délirante. C’est intéressant d’y revenir avec la personne pour qu’elle soit témoin de son évolution

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10
Q

qu’est-ce que la restructuration cognitive

A
  1. identifier le stresseur
  2. prendre conscience des émotions engendrées
  3. reconnaitre les pensées automatiques qui surgissent
  4. remplacer ses pensées par d’autres plus appropriés
  5. évaluer l’effet de ces nouvelles pensées sur les émotions

*permet d’apprendre à changer de perspective pour aborder une situation difficile et mieux la gérer

peut être utile en présence d’un trouble psychotique, anxieux ou dépressif

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11
Q

qu’est-ce que la pleine conscience

A

*approprié lors de ruminations lorsque dépressif, ex: regrets, culpabilité…

c’est l’action de porter intentionnellement attention aux expériences internes ou externes du moment présent, sans porter de jugement de valeur

c’est très utile pour les symptômes anxieux et dépressif afin de porter un regard différent sur soi et la vie

  1. améliorer la conscience du moment présent, des sentiments corporelles, des pensées, des émotions.
    “je me sens de telle façon”
  2. améliorer l’acceptation des émotions négatives avec une attitude d’auto-compassion
    “je suis triste, c’est normal car…”
  3. prendre conscience de la spirale de pensées et d’émotions négatives et stopper cette spirale en développement une nouvelle attitude envers ces pensées et émotions.
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12
Q

À qui s’adressent les différentes approches psychothérapeutiques?

A

Toute personne voulant améliorer son bien-être mental au quotidien;
Les personnes ayant des troubles de santé mentale se manifestant entre autres par:
- de l’anxiété
- des symptômes dépressifs
- une distorsion de la réalité
- une souffrance dans les rapports interpersonnels
Bref: la clientèle rencontrée en stage (tr. anxieux, tr. de l’humeur, tr. de la personnalité, tr. psychotiques…) et dans votre vie quotidienne.

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13
Q

Qui peut exercer la psychothérapie et utiliser le titre de psychothérapeute?

A

Médecin et psychologue
Un membre d’un ordre professionnel reconnu (dont l’OllQ) titulaire du permis de psychothérapeute émis par l’Ordre des psychologues du Québec

Formation: diplôme universitaire de maîtrise dans les domaines de la santé mentale et des relations humaines, avec une formation universitaire théorique (765 heures) et un stage supervisé (600 heures)

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14
Q

Qui peut utiliser les approches psychothérapeutiques?

A
  • On doit faire la différence entre «approche psychothérapeutique» et «psychothérapie»,
  • Nous ne pratiquons pas la psychothérapie
  • Les approches psychothérapeutiques doivent s’utiliser avec prudence et à l’intérieur du champ de compétence de l’intervenant, qui doit définir son rôle et ses limites auprès du patient.
  • Il est donc de la responsabilité des professionnels de la santé de s’assurer qu’ils ont une formation adéquate pour initier des techniques psychothérapeutiques auprès de leurs patients, et de s’en tenir à leurs compétences.
  • Ce que vous et les infirmières font déjà: écouter, soutenir, éduquer, confronter, faire verbaliser, faire prendre conscience, normaliser…
  • Les infirmières travaillant en santé mentale pourraient aller plus loin dans les interventions, utiliser des approches psychothérapeutiques adaptées à chaque patient, aller chercher de la formation dans ce domaine pour développer et maintenir leur expertise, tout en respectant leur champ d’exercice
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15
Q

Quelles sont les différentes thérapies utilisées au Québec?

A
  • Les courants les plus fréquents:
  • Thérapies d’orientation psychodynamique
  • Thérapies d’orientation comportementale et cognitive (TCC)
  • Thérapies d’orientation existentielle-humaniste
  • Thérapies de groupe
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16
Q

La TCC: principes de base

A
  • Perception + interprétation (appréciation cognitive) influencent émotions + comportement
  • Ce que la personne pense d’une situation ou d’un évènement a un impact sur ses émotions, qui influencent son comportement
17
Q

Le but de la TCC

A
  • Aider la personne à prendre conscience de ses schémas cognitifs irrationnels et à remplacer ses pensées dysfonctionnelles par des pensées plus réalistes
18
Q

Modèle cognitive-comportementale

A
19
Q

comment appliquer les approches de la
TCC?

A
  • Base: qualité de la relation infirmière-patient, empathie, chaleur, authenticité, respect, acceptation.
  • Rôle de l’infirmière: guide ou éducateur. Protéger et augmenter l’estime de soi. Le patient deviendra de plus en plus autonome dans l’application des techniques.
  • Moyens: questionnement socratique, résumés fréquents, jeux de rôles, imagerie mentale, devoirs (lectures, journal des pensées révisées…)
20
Q

comment débuter les approches TCC?

A
  • Demander au patient s’il a déjà fait du travail psychologique sur lui, s’il connaît et applique des techniques psychothérapeutiques…. Si oui, vérifier comment cela se passe (les expériences positives et négatives peuvent influencer sa collaboration).
  • Lui dire que s’il est à l’hôpital, c’est qu’il traverse un moment particulièrement difficile dans sa vie, et que vous croyez qu’il peut en tirer quelque chose de positif, et sortir avec des outils pour être mieux dans sa vie de tous les jours.
    Dire qu’on le juge pas.
  • Lui dire que les personnes qui combinent le travail sur soi avec la prise de médication s’en sortent mieux à long terme que celles qui prennent la médication seule.
  • Lui dire que vous lui proposez de l’aider à travailler sur lui avec des approches psychothérapeutiques, car vous croyez que cela lui ferait du bien.
21
Q

comment débuter les approches TCC?

A
  • Lui expliquer votre rôle (guide, accompagnateur) et vos limites (pas psychologue, étudiante en soins infirmiers qui connaît les notions de base en TCC).
  • Lui expliquer vos attentes envers lui (son implication dans le processus) et lui dire que vous travaillerez aussi fort que lui.
  • Lui rappeler que vous ne le jugerez jamais, qu’il aura le droit de refuser certains exercices que vous lui proposerez et que vous ne vous attendez pas à ce qu’il soit excellent (diminuer la pression).

Déterminer les besoin dès la première rencontre, commencer en lui demandant quel est son but, ce qu’il voudrait changer dans sa vie, et travailler à partir de ça.

  • Les buts que les patients visent sont parfois différents de ce qu’on voudrait pour eux, mais il faut quand même commencer avec ce qui est important pour eux (respect, alliance thérapeutique, motivation)
  • Lors de la première rencontre, lui expliquer les principes de base et le but de la TCC, et lui donner des exemples d’exercices que cela implique, en lien avec ses difficultés.
  • Faire au besoin un contrat verbal concernant vos engagements (ex.: une rencontre de 15 min par jour de stage, préciser l’heure et la date au besoin, faire les devoirs demandés s’il y a lieu avant les rencontres, etc.)
  • Attention: attitude souple, mettre limites selon les besoins de la personne seulement… (ex. dépression vs traits limites…)
22
Q

Journal des pensée révisée explication et exemple.

A
23
Q

Caractéristiques du journal des pensées révisées

A

Le journal des pensées révisées
• Les pensées automatiques, comme leur nom l’indique, apparaissent spontanément dans le discours interne, de façon plus ou moins bouffée d’anxiété).
• Elles auront tendance à réapparaître même si elles ont été corrigées avec une technique cognitive (ex. journal), car elles découlent habituellement d’une croyance bien ancrée dans le cerveau.
• Il faut en informer le patient pour ne pas qu’il pense que la technique ne fonctionne pas…
22
Le journal des pensées révisées
• À chaque fois que les pensées automatiques réapparaissent pour une situation, la personne doit «prendre une pause» pour se détendre et se répéter la pensée corrigée, aussi souvent que nécessaire.
• Plus l’exercice mental sera répété, moins l’émotion négative sera vive et plus elle sera facile à dissiper.
• À la longue, c’est la pensée corrigée qui prendra le dessus.
• Si aucune amélioration n’est constatée, reprendre l’exercice du début et vérifier si une autre pensée automatique n’est pas présente.
23
Le journal des pensées révisées
• Pourquoi faire cet exercice par écrit?
• Parce qu’il permet au patient d’extérioriser le discours interne et d’en prendre une distance.
• Ainsi, il sera plus en mesure de prendre conscience de ses émotions et de ses cognitions, et de regarder comment il peut les corriger.
• Il peut «sortir de sa tête» et revenir à l’information réaliste qu’il a déterminée.

24
Q

Les autres approches TCC

A
  • La dissonance cognitive
  • Le TCC de la TCC
  • Le questionnement socratique
  • La restructuration cognitive
  • Le thermomètre de la certitude
    • Certaines techniques s’entrecroisent et peuvent s’utiliser une à la suite de l’autre…
25
Q
A

• Il est rare qu’une situation soit suffisante pour provoquer les conséquences émotives et comportementales
• Plusieurs personnes peuvent vivre le même événement déclenchant et vivre des conséquences totalement différentes
• Les problèmes du patient proviennent de ses pensées en lien avec la situation, de son interprétation de celle-ci

Si une personne croit qu’elle est rejetée par les autres elle pourra vivre de l’anxiété, de la dépression ou de la colère au contact des autres
• Si une personne croit qu’elle n’est pas intéressante et qu’elle n’a rien à offrir aux autres, elle pourra vivre de la honte ou de la jalousie
• Atténuer les pensées diminue les perturbations émotives et comportementales
• Les pensées deviennent les cibles d’intervention.

26
Q

La dissonance cognitive: principes de base

A
  • «Les gens tolèrent difficilement 2 pensées opposées en même temps.
  • Lorsque l’on admet qu’il existe plusieurs explications possibles pour une situation donnée, pourquoi n’y aurait-il pas plus d’une explication pour ce que [la personne a] vécu?
  • Il est possible d’attribuer à chaque situation des significations différentes, tout dépend de la personne qui l’observe.
  • Permet d’amener la personne à envisager plusieurs alternatives avant d’énoncer un fait.»
27
Q

La dissonance cognitive: mise en application

A
  • On peut proposer à la personne l’exercice suivant:
  • Imaginons que nous sommes sur la route, en voiture, et que nous sommes pris dans un embouteillage.
  • Essayons de trouver au moins 2 réponses à chacune des questions suivantes:
  • 1) Qu’est-ce qui a pu provoquer l’embouteillage?
  • 2) Comment pourrions-nous le prouver?
  • Pour l’enseignement à la personne, toujours partir d’une situation loin de son vécu, non menaçante (comme pour le journal des pensées révisées)
  • Ensuite, créer la dissonance cognitive:
  • «Si vous acceptez qu’il existe plusieurs explications possibles pour une situation donnée, il pourrait y avoir plus d’une explication pour votre situation…»
  • Demander à la personne si elle veut se prêter au jeu et à faire le même exercice, avec vous, pour sa situation. Pas pour prouver qu’elle avait tort, mais juste pour voir si d’autres alternatives seraient possibles.
28
Q

Le questionnement socratique

A
  • Questionner gentiment et de manière non menaçante (comme Colombo):
  • «C’est probablement moi qui ne comprends pas bien, pourriez-vous m’expliquer comment vous en êtes venu à penser que…»
  • «Comment en avez-vous déduit que….?»
  • «Avez-vous déjà eu un point de vue différent?»
  • «Que pourriez-vous répondre à une personne qui dirait que…?»
  • De cette façon, le patient est «obligé» d’expliquer plus clairement, de rechercher des preuves ou des faits, de considérer des alternatives…

Ouvre la porte au doute dans le cas d’un délire…

29
Q

La restructuration cognitive

A
  • À partir d’une situation source de difficultés, on questionne pour amener la personne à identifier les pensées, les émotions et les comportements qui lui sont venus.
  • Puis, on l’amène à déterminer des preuves qui appuient ces pensées, la possibilité de voir les choses autrement et les conséquences anticipées.
  • Dépendamment des questions, peut être utile en présence d’un trouble psychotique, de symptômes anxieux ou dépressifs.
30
Q

Le thermomètre de la certitude

A
  • Outil qui permet de voir à quel point la personne croit à une idée (délirante ou non), et si elle y voit des alternatives possibles.
  • Permet de voir l’évolution de la croyance d’une idée délirante (on voit si le doute s’est installé avec le temps, si le délire est moins ancré, l’autocritique…)
  • Intéressant d’y revenir avec la personne pour qu’elle soit témoin de son évolution.

1) Expliquer à la personne comment fonctionne le thermomètre à partir d’un exemple fictif, loin de son vécu.

2) Examiner, avec la personne, le degré de certitude qu’elle a par rapport à une idée (délirante ou non).

3) Ne pas insister si la personne est catégorique, y revenir plus tard pour voir l’évolution.

31
Q

Qu’est-ce que la pleine conscience?

A
  • C’est l’action de «porter intentionnellement
    attention aux expériences internes ou externes du moment présent, sans porter de jugement de valeur»
    Être doux avec

Pour qui est la pleine conscience?

Plus efficace que les antidépresseurs.

  • Pour tout le monde… Il s’agit d’une forme de méditation pouvant être pratiquée au quotidien, une façon de porter un regard différent sur soi et la vie.
  • Avec vos patients: seule ou combinée avec la TCC. Très utile pour les symptômes anxieux et dépressifs.
32
Q

Intégrée à la TCC, la pleine conscience vise

A

1) «améliorer la conscience du moment des sensations corporelles, des pensées et des émotions»

  • Ex.: «Je suis dehors, j’écoute de la bonne musique et je sens le vent sur ma peau. Je me sens bien.»
  • Ex.: «Je suis de mauvaise humeur.»
  • Ex.: «Je constate que je n’arrête pas de penser que je n’arriverai pas à dormir.»

Intégrée à la TCC, la pleine conscience vise à:

2) «améliorer l’acceptation des émotions négatives avec une attitude d’auto-compassion»

  • Ex.: «Je pense à ma grand-mère qui est morte et je suis triste. C’est normal, je l’aimais beaucoup et je m’ennuie d’elle.»
  • Ex.: «J’ai un gros examen bientôt et je suis stressée.
  • Ex.: «Ça me fâche de ne pas être capable de faire ce que tu fais. J’ai le droit d’être fâchée, je ne suis pas parfaite.»

3) «atteindre des objectifs spécifiques tel que prendre conscience de la spirale de pensées et d’émotions négatives qui peut favoriser une rechute en dépression, et stopper cette spirale en développant une nouvelle attitude envers ces pensées et émotions.»

  • Ex.: «Je me rends compte que depuis que j’ai vu ce film, je me sens triste et mes pensées sont très négatives. Je dois m’assurer que mes pensées soient réalistes et essayer de remarquer le positif autour de moi.»