Examen 1 Flashcards

1
Q

V ou F

Tous les rx sont des produits chimiques ?

A

V

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Q

Qu’est-ce qui distingue un produit naturel d’un rx de synthèse ?

A

C’est le fait que les produits naturels ne sont pas brevetés et donc peu soutenus par des compagnies pharmaceutiques d’envergure

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3
Q

Compléter

En pratique, on considère que l’équilibre est atteint après X demi-vies, et se maintient par la suite.

A

entre 5-7 demi-vies

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4
Q

Quelles sont les 4 informations importantes que permet un graphique dose-effet ou dose-réponse ?

A
  1. position des courbes selon l’abscisse (axe des x) indique la puissance relative des différents rx
  2. on peut comparer l’effet maximal produit
  3. on peut comparer la dose nécessaire pour produire l’effet thérapeutique VS l’effet secondaire VS l’effet toxique
  4. la pente des graphiques nous informe sur la différence entre les doses produisant un effet faible VS un effet maximal
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5
Q

Que représente le DE50 d’un rx ?

A

c’est la puissance d’un rx : dose minimale nécessaire pour exercer 50% de l’effet maximal ou 50% de réponse positive

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6
Q

V ou F

En plus de la DE50, l’effet maximal du rx est aussi un paramètre important de la puissance ?

A

V

puissance = DE50 et Cmax

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7
Q

V ou F
La puissance relative d’un rx n’est pas toujours un facteur important en clinique. Par contre, l’efficacité maximale relative est souvent plus importante.

A

V

puissance relative pas si importante, car on a qu’à augmenter la dose du rx moins puissant pour obtenir le même effet !

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8
Q

De quel type de graphique ce sert-on, spécialement en toxicologie, pour établir la dose létale 50 (DL50) ?

A

graphique dose-réponse de type quantale (tout ou rien)

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9
Q

À quel type de graphique (réponse quantale ou réponse graduée) correspond cette définition de la DE50 (puissance d’un rx) ?

Dose efficace chez 50% des individus

A

réponse quantale

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10
Q

À quel type de graphique (réponse quantale ou réponse graduée) correspond cette définition de la DE50 (puissance d’un rx) ?

Dose qui cause 50% de l’effet maximal

A

réponse graduée

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11
Q

Quel est l’utilité de la DL50 (2) ?

A
  1. exprimer la toxicité aiguë
  2. classer et comparer la toxicité de rx

N.B. Il a une valeur limitée car il ne concerne que la mortalité,

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12
Q

Quels sont les types de graphiques possible dans l’étude des rx ?

A

graphiques. ..
- concentration (ou effet) vs temps
- dose-réponse ou dose-effet
- dose-réponse de type quantale (tout ou rien)
- concentration-réponse

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13
Q

Compléter :
Ce qui importe au pharmacien est de connaitre les médicaments qui présentent une fenêtre thérapeutique X et d’être plus prudent avec ceuxi-ci

A

étroite

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14
Q

Compléter :

L’effet synergique de 2 médicaments est généralement obtenu lorsque ceux ci on des mécanismes d’actions X.

A

distincts

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15
Q

Nommer des exemples (3) où l’effet placebo est bien connu ou a été quantifié et 1 exemple où l’effet placebo est limité ?

A

ça marche

  • tx dépression
  • tx douleur
  • maladie de Parkinson (prise d’un co peut induire une libération de dopamine)

ça marche pas : antibiothérapie

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16
Q

V ou F
L’effet placebo est un effet bénéfique réel du médicament, mais qui n’est pas relié à son mécanisme d’action, seulement aux effets psychologiuqes de la prise du co.

A

V

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17
Q

À partir de quoi découle l’effet placebo ?

A

effet placebo découle de l’espérance d’un effet bénéfique à venir et fait intervenir des mécanismes de récompenses au cerveau (rétroaction positive)

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18
Q

Qu’est-ce que l’effet nocebo ?

A

quand un patient associe un effet indésirable non-spécifique à un rx, à cause d’une appréhension négative

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19
Q

Compléter :

L’homéopathie est là pour nous rappeler l’importance de X en clinique.

A

l’effet placebo

*puisque les hypothèses sur lesquelles repose l’homéopathie sont fausses

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20
Q

À quel type de traitement correspond cette définition et donner des exemples :

L’objectif du tx est de prévenir un symptôme ou une maladie.

A

tx préventif ou prophylactique

ex:
- rx en cardio
- tx épilepsie
- antbio pré et post-op

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21
Q

À quel type de traitement correspond cette définition et donner des exemples :

Il s’agit d’un tx qui soulage les symptômes d’une maladie, mais qui n’en influence pas le cours.

A

tx palliatif ou symptomatologique

ex:
- tx actuel alzheimer et parkinson
- cancer en phase terminale
- rhume ordinaire

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22
Q

À quel type de traitement correspond cette définition et donner des exemples :

Administration d’un rx pour rétablir une carence ou une déficience.

A

tx de substitution

ex:
- lévodopa dans maladie de parkinson
- hormonothérapie
- insulinothérapie
- thérapie de remplacement avec nicotine

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23
Q

À quel type de traitement correspond cette définition et donner des exemples :

Tx qui s’attaque à la pathogénèse d’une maladie. Idéalement, ce tx ralentit l’évolution pathologique d’une maladie et vise à s’approcher du tx curatif.

A

tx qui modifie le cours d’un maladie

ex:
- tx de l’arthrite rhumatoide
- ce que la recherche vise dans la maladie d’alzheimer

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24
Q

À quel type de traitement correspond cette définition et donner des exemples :

Tx qui s’attaque à la cause d’une maladie et qui conduit à la guérison du patient.

A

tx causal ou curatif

ex:
- antibio
- certains anticancéreux

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25
Q

De quoi est composé la barrière hématoencéphalique (BHE) ?

A
  • cellules endothéliales
  • péricytes
  • pieds astrocytaires
  • lame basale
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26
Q

Quelles sont les 3 caractéristiques de la BHE limitant le transport sang-cerveau, faisant en sorte que protéger le cerveau de constituants exogènes et endogènes du sang ?

A
  1. cellules endothéliales qui adhèrent étroitement entre elles par des jonctions serrées (type zonulae occludens)
  2. absence de fenestrations ou de pores
  3. faible qte de vésicules de pinocytose des cellules endothéliales
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27
Q

V ou F

Le cerveau demeure l’organe dans lequel il est le plus ardu de livrer des composés pharmacologues.

A

V

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28
Q

Quels composés traversent aisément la BHE ?

A

seuls les rx lipophiles dont le poids moléculaires est plus petit que 500 Da

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29
Q

V ou F

La majorité des rx , soit 98% des rx issus des recherches traditionnelles et 100% des rx issus des biotechnologies (anticorps monoclonaux, protéines recombinantes et longues molécules d’ADN) ne traversent pas la BHE.

A

V

aucun rx n’est développé pour les maladies du SNC.

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30
Q

Quelles sont les caractéristiques physico-chimiques des molécules qui font en sorte qu’elles traversent la BHE ?

A
  • faible poids moléculaires (< 400 g/mol)
  • forte lipophilicité (capacité à se dissoudre dans solvants non polaires)
  • faible charge électrochimique (polarité)
  • faible qte de ponts hydrogènes formés avec l’eau
  • interaction limitée avec les transporteurs d’efflux

archétype idéal : petit composé lipophile non-électrolyte (non chargé)

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31
Q

Quel est l’un des éléments les plus importants empêchant le passage à travers la BHE ?

A

la présence d’atome (oxygène ou azote) à risque de former des ponts hydrogènes avec l’eau

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32
Q

Quelles sont les 5 propriétés des mécanismes d’action non reliés à l’interaction directe avec un récepteur ?

A
  1. propriété physicochimique
  2. propriété organolytique : antiseptique et lyse des tissus
  3. propriété osmotique : laxatifs osmotiques
  4. propriété ionophorique : cages de tranpos d’ions ou canal qui forme un tunnel polaire
  5. liaisons avec de petites molécules : agents chélateurs qui forment des complexes avec toxines
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33
Q

Compléter :

Un grande nombre de X donne plus de spécificité à l’interaction médicament-récepteur.

A

faibles liens réversibles

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34
Q

V ou F
L’interaction médicament-récepteur conduit à une altération de la conformation moléculaire du récepteur, ce qui en change les propriétés.

A

V

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35
Q

Compléter :

L’interaction médicament-récepteur fait intervenir le plus souvent des X et beaucoup plus rarement des Y.

A

X : liens réversibles
(liaisons ioniques, ponts hydrogènes, liaisons hydrophile/hydrophobe, force de Van der Walls)

Y : liaisons covalentes irréversibles

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36
Q

Compléter :

Le récepteur est le plus souvent une X.

A

protéine

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37
Q

V ou F

Souvent, les rx sont des imitations synthétiques d’une molécule endogène.

A

V

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38
Q

Qu’est-ce qu’un effet antagoniste partiel ?

A

c’est lorsqu’un agoniste partiel entre en compétition avec un agoniste complet et en réduit partiellement la réponse biologique

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39
Q

L’aripiprazole (Abilify) se distingue des autres antipsycothiques puisqu’il n’est pas un antagoniste des récepteurs de la dopamine. À quoi correspond-t-il ?

A

agoniste partiel des récepteurs dopaminergiques D2

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40
Q

V ou F
En pharmacologie clinique, les agonistes inverses se distinguent peu en apparence des antagonistes. Par contre, ils peuvent présenter des avantages en cas d’activation constitutionnelle exagérée d’un récepteur ou pour réduire le risque de tolérance pharamcologique

A

V

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41
Q

Compléter :
L’agoniste inverse présente une activité intrinsèque X : il se lie au récepteur et Y l’activation constitutionnelle du récepteur.

A

X : négative

Y : réduit

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42
Q

V ou F
La liaison d’une molécule à un site allostérique modifie la conformation 3D du récepteur, ce qui a pour conséquence de modifier l’affinité du ligand agoniste pour son récepteur et d’altérer la réponse biologique conséquente.

A

V

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43
Q

Quel est la principale différence entre un antagoniste compétitif et un antagoniste non compétitif ?

A

antagoniste compétitif : diminue l’effet de l’agoniste, mais n’affecte pas l’effet maximal de l’agoniste

antagoniste NON compétitif :
diminue l’effet de l’agoniste en diminuant l’effet maximal de l’agoniste

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44
Q

Quels sont les 3 types d’antagonistes NON compétitifs ?

A
  1. bloque site de liaison de façon irréversible si agoniste ne peut plus entrer en compétition : liaison covalente entre antagoniste et récepteur
  2. bloque site de liaison de façon pseudo-irréversible si agoniste ne peut plus entrer en compétition pendant un certain temps : pas de liaison covalente mais antagoniste se dissocie lentement du récepteur
  3. liaison à un site allostérique sur le récepteur et change de conformation du récepteur sans entrer en compétition directement avec agoniste = antagonisme allostérique
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45
Q

Compléter :

Un rx est X lorsqu’il produit un seul effet biologique.

A

sélectif

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46
Q

Compléter :

Un rx est X lorsqu’il se lie uniquement à son récepteur.

A

spécifique

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47
Q

Compléter :

La sélectivité dépend de la X dans l’organisme.

A

distribution des cibles thérapeutiques

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48
Q

Compléter :

La spécificité dépend surtout du X.

A

mécanisme d’action du rx.

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49
Q

Compléter :

En clinique, la sélectivité et la spécificité dépendent de la X.

A

dose du rx

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50
Q

V ou F

À haute dose, un rx perd tant sa sélectivité que sa spécificité.

A

V

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51
Q

Compléter :

Un rx moins sélectif ou moins spécifique a X de chances de produire des effets secondaires indésirables.

A

plus

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52
Q

Qui suis-je ?

Le fait que la liaison d’un ligand au récepteur affecte la liaisons d’autres ligands à ce même récepteur.

A

la coopérativité

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53
Q

À quel phénomène peut-t-on associé, dans certains cas, celui de la coopérativité ?

A

à l’allostérie

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54
Q

Parmis les 4 types de coopérativité, à quoi correspond chacune des définitions suivantes ?

  1. liaison du ligand A influence la liaison d’un autre ligand A
  2. liaison du ligand A influence la liaison d’un ligand B
  3. hausse de l’affinité du second ligand pour le récepteur
  4. baisse de l’affinité du second ligand pour le récepteur
A
  1. coopérativité homotropique
  2. coopérativité hétérotropique
  3. coopérativité positif
  4. coopérativité négatif
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55
Q

Dans la théorie de l’occupation de Clark et Ariens, que représente le Kd ?

A

Kd = concentration du rx à laquelle la moitié des récepteurs sont occupés à l’équilibre

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56
Q

Quel modèle utilise la théorie de l’occupation et cette réaction obéit à quelle loi ?

A

modèle d’une réaction bimoléculaire réversible

loi d’action de masse

57
Q

Qui suis-je ?

La tendance à une molécule à se lier à son récepteur.

A

l’affinité

58
Q

Que permet la théorie de l’occupation de Clark et Ariens ?

A

permet de comparer l’affinité de divers rx pour un même récepteur en comparant leur constante d’affinité (A = 1 / Kd)

59
Q

V ou F

Selon la théorie de l’occupation de Clark et Ariens, un rx à faible affinité est aussi un rx moins puissant.

A

V

60
Q

Compléter :

Un X Kd signifie une grande affinité.

A

X : petit

61
Q

Compléter :

Un X Kd signifie une faible affinité.

A

X : grand

62
Q

V ou F

Les termes « affinité » et « activité intrinsèque » sont bien différents et indépendants

A

V

63
Q

Qui suis-je ?

Potentiel que détient un rx pour activer le récepteur une fois qu’il s’y est lié.

A

activité intrinsèque

64
Q

V ou F

Dans les mesures expérimentales, l’affinité en terme de Kd est moins utilisée que l’activité intrinsèques.

A

F

plus utilisée

65
Q

Quelles sont les forces (5) de la théorie de Clark et Ariens ?

A
  1. 1ère tentative pour décrire en termes quantitatifs les interactions médicament-récepteur et expliquer la relation entre l’intensité de l’effet et la dose (concentration) d’un rx
  2. elle a conduit aux concepts d’affinité et d’activité intrinsèque qui permettent de classifier les rx en 3 classes : agonistes complets, agonistes partiels et antagonistes (et agonistes inverses)
  3. Kd (affinité) des agonistes se mesure facilement à l’aide des graphies concentration-effet
  4. a servi de cadre conceptuel au développement d’une théorie de l’antagonisme compétitif
  5. sert encore couramment aujourd’hui
66
Q

Quelle est la plus grande faiblesse dans la version originale de la théorie de Clark et Ariens ?

A

elle ne peut expliquer la différence d’effets maximaux pour divers agonistes qui partagent les mêmes récepteurs. Il faut alors introduire le concept d’activité intrinsèque d’Ariens, lequel contredit les postulats 4 et 5 de la version originale de la théorie d’occupation de Clark.

67
Q

V ou F
La théorie de Clarke décrit entièrement la réalité des interactions médicament-récepteur. C’est pourquoi, on compare en général les rx selon leur constante d’affinité (Kd) tel que proposé par cette théorie.

A

F

elle ne le décrit pas entièrement !

68
Q

Quelles sont les 2 méthodes pour déterminer la constante de dissociation Kd et que permettent-t-elles d’obtenir ?

A
  1. méthodes de saturation,
    permet d’obtenir
    - Kd : constante de dissociation
    - nbr de récepteur de la préparation de membranes
  2. méthodes de déplacement,
    permet d’obtenir
    - affinité relative d’un ligand
    - Ki : correspond à la concentration qui déplace 50% du ligand de référence
69
Q

Quelles sont les faiblesses (4) de la théorie de Clark et Ariens ?

A
  1. elle ne peut expliquer les agonistes partiels, donc il faut ajouter le concept d’activité intrinsèque d’Ariens
  2. elle ne peut expliquer pourquoi certains agonistes son capables de produire leurs effets max même lorsqu’une fraction des récepteurs est préalablement inactivité par un antagoniste irréversible, donc il faut ajouter le concept de récepteurs de réserve
  3. elle ne peut expliquer que certains récepteurs sont constitutionnellement actifs
  4. elle rend peut probable le postulat fondamental de la théorie de Clark (relation linéaire entre intensité de l’effet du rx et % d’occupation des récepteurs), car elle ne prend pas en compte le caractère multifactoriel de la réponse aux médicaments tel que les systèmes d’amplification des effets des rx
70
Q

V ou F
En pratique pour comparer l’affinité des rx aux récepteurs, nous retrouvons plus souvent des analyses donnant des Ki à l’aide des méthodes de déplacement que celles donnant des Kd à l’aide des méthodes de saturation ?

A

V

71
Q

Via quel système peut-on observer un effet biologique suite à l’interaction médicament-récepteur ?

A

via un système d’amplification du signal dans la cellule grâce aux seconds messagers

72
Q

Quels sont les 5 types de récepteurs existants ?

A
  1. récepteurs couplés aux protéines G
  2. récepteurs couplés à des canaux ioniques
  3. récepteurs couplés à des canaux ioniques voltage dépendant
  4. récepteurs transmembranaires couplés à une activité enzymatique
  5. récepteurs nucléaires ou cytoplasmiques (facteurs de transcription)
73
Q

Donner 4 exemples de récepteurs couplés aux protéines G.

A
  • récepteur D1 et D2 de la dopamine
  • récepteur B-adrénergique
  • récepteur GABA b
  • récepteurs aux opioïdes, à la TSH, à l’adénosine, à l’angiotensine, etc
74
Q

Donner 7 exemples de récepteurs couplés à des canaux ioniques.

A
  • récepteurs GABA a : pour ions chlorure
  • récepteurs glutamatergiques NMDA : pour ions sodium (et calcium)
  • récepteurs AMPA
  • récepteurs nicotiniques : pour ions sodium (et potassium, calcium)
  • récepteurs sérotoninergiques (5-HT3)
  • récepteurs glycinergiques
  • transient receptor potential (TRP)
75
Q

Donner un exemple de récepteurs couplés à des canaux ioniques voltage dépendant.

A
  • récepteurs transmembranaires couplés à des canaux ioniques voltage dépendant pour le sodium, calcium et potassium

**ils sont très importants dans la propagation du PA et des IN a/n des neurones du cerveau

76
Q

Donner un exemple de récepteurs transmembranaires couplés à une activité enzymatique.

A
  • récepteurs couplés à des protéines kinases qui vont produire une cascade de phosphorylation de composés intracellulaires essentiels
77
Q

Donner 5 exemples de récepteurs nucléaires ou cytoplasmiques (facteurs de transcription).

A
  • récepteurs des hormones stéroïdiennes (SERM et SARM)
  • récepteurs des hormones des corticostéroïdes
  • récepteurs des hormones thyroidiennes
  • récepteurs de la vitamine D
  • agonistes des récepteurs PPARgamma
78
Q

Qu’est-ce qui différencie les canaux ioniques des transporteurs transmembranaires ?

A
  • canaux ioniques : transport passif
  • transporteurs transmembranaires : transport actif de molécules qui nécessite de l’énergie, car le mvt des molécules est unidirectionnel et se produit souvent contre le gradient de concentration
79
Q

Quelles sont les 4 grandes familles de transporteurs transmembranaires ?

A
  1. transporteurs d’ions : pompes ioniques ou ATPase
    ex : pompes à sodium (Na+/K+) et pompes à protons (H+/K+)
  2. échangeurs (**n’utilise pas d’ATP, mais gradient électrochimique)
    ex : échangeurs (Na+/H+) et échangeurs (Na+/Ca+)
  3. transporteur à « ATP binding cassette» (ABC)
    ex : P-gp et les ABC peuvent être la cible de rx
  4. transporteur de neurotransmetteurs (recapture)
    ex : ISRS
80
Q

Quelle famille de transporteurs transmembranaires joue une rôle important dans la distribution des rx dans l’organisme et le phénomène de résistance aux antibiotiques et aux anticancéreux ?

A

transporteur à « ATP binding cassette» (ABC)

N.B. P-gp est aussi impliquée dans la résistance de certains anticancéreux

81
Q

Quelle est la famille de transporteurs transmembranaires qui est la plus importante en pharmacie ?

A

transporteur de neurotransmetteurs (recapture)

82
Q

Nommer des exemples des rx qui utilisent l’inhibition enzymatique comme mécanisme d’action.

A
  • IECA
  • IPP
  • sildenafil-viagra (inhibe la phosphodiestérase-5)
  • statines (inhibe le HMG-Coa réductase)
83
Q

Qu’est ce que le Km ?

A

c’est la concentration de substrat à laquelle l’enzyme fonctionne à la moitié de sa vitesse maximale

84
Q

Concernant la cinétique enzymatique, quel graphique répond à l’équation mathématique de Michaelis-Menten ?

A

graphique de la vitesse initiale de la réaction enzymatique mesurée en fonction de diverses concentrations de substrat

85
Q

Compléter :

Plus la valeur que prend le Ki est X, plus l’affinité d’un inhibiteur pour l’enzyme cible est grande.

A

X : petite

86
Q

Compléter :

Plus la valeur que prend le Ki est X, plus l’affinité d’un inhibiteur pour l’enzyme cible est petite.

A

X : grande

87
Q

Qu’est-ce que le Ki ?

A

c’est l’affinité de l’inhibiteur pour l’enzyme ou la constante de dissociation du complexe enzyme-inhibiteur

88
Q

Qu’est-ce que le IC50 ?

A

c’est la concentration de l’inhibiteur qui conduit à une réduction de 50% de la vitesse de l’enzyme

89
Q

V ou F

En pratique, le Ki est une estimation du IC50 plus facile à mesure expérimentalement, mais en général moins exact.

A

F

C’est l’IC50 qui est plus facile à mesurer !

90
Q

Nommer des exemples d’inhibiteur compétitif.

A
  • 5-FU
  • atorvastatin (Lipitor)
  • anastrazole (Arimidex)
91
Q

Quels sont les 3 grands groupes d’inhibiteur NON compétitif ?

A

inhibiteur non compétitif :

  1. allostérique
  2. irréversible
  3. pseudo-irréversible
92
Q

Compléter :

Dans le cas d’un inhibiteur COMPÉTITIF, la constante de Michaelis apparente (Km) est X lorsque la concentration en inhibiteur augmente.
Il faut donc une Y grande concentration de substrat (afin de déplacer l’inhibiteur) pour obtenir la vitesse maximale.

A

X : augmentée

Y : plus

93
Q

Quelle est la différence entre un inhibiteur compétitif et un inhibiteur non compétitif ?

A

inhibiteur compétitif :

  • vitesse maximale de la réaction demeure inchangée
  • constante de Michaelis (Km) est augmentée lorsque la concentration en inhibiteur augmente

inhibiteur NON compétitif :

  • vitesse maximale de la réaction diminue en fonction de la concentration en inhibiteur
  • constante de Michaelis (Km) demeure inchangée
94
Q

Compléter :

Une inhibition X signifie une durée d’action plus longue, mais peut être associé à un risque de toxicité plus élevé.

A

irréversible

95
Q

Compléter :

La plupart des rx inhibiteurs sont des inhibiteurs X.

A

compétitifs

96
Q

Qu’est-ce qu’un cofacteur ou une coenzyme ?

A

ils maximisent les réactions enzymatiques

97
Q

V ou F

Par définition, une allergie ne dépend pas de la dose du rx.

A

V

car une petite qte suffit à déclencher une réaction

98
Q

À quelle classe de réactions immunitaires déclenchées par des rx (allergies médicamenteuses) appartient cette définition ?

Réaction allergique ou d’hypersensibilisation envers un composé impliquant des IgE.
C’est une réaction immunitaire exagérée, imprévisible et spécifique de l’organisme.

A

réaction de classe 1

99
Q

À quelle classe de réactions immunitaires déclenchées par des rx (allergies médicamenteuses) appartient cette définition ?

Réaction qui implique le développement d’anticorps monoclonaux neutralisant. Elle produit des IgG spécifiquement contre le médicament.

A

réaction de classe 2

100
Q

À quelle classe de réactions immunitaires déclenchées par des rx (allergies médicamenteuses) appartient cette définition ?

Réaction de type pseudo-allergique, dont l’expression ressemble à une allergie, qui fait suite à l’activation de la cascade du complément.

A

réaction de classe 3

101
Q

À quelle classe de réactions immunitaires déclenchées par des rx (allergies médicamenteuses) appartient cette définition ?

Réaction d’un mécanisme immun mal précisé lorsqu’une allergie à un rx se manifeste de façon plus particulière.
Peut s’agir le plus souvent d’un mécanisme immunologique idiosyncrasique ou dans certains cas, d’une génération d’autoanticorps.

A

réaction de classe 4 et 5

102
Q

Quelles sont les 4 types d’interactions médicamenteuses auxquelles le pharmacien peut faire face ?

A
  1. interactions pharmaceutiques
  2. interactions nutraceutiques
  3. interactions pharmacodynamiques
  4. interactions pharmacocinétiques
103
Q

Quelle est la différence entre une interaction de type pharmacodynamique et une interaction de type pharmacocinétique ?

A

pharmacodynamique : réduction ou potentialisation de l’effet d’un rx par un autre rx sans que la concentration dur x ne soit altérée au site d’action

pharmacocinétique : altération des concentrations d’un rx à son site d’action à cause de l’effet d’un 2e rx

104
Q

Quelle est la différence entre la tolérance pharmacologique et la tolérance à un rx ?

A

tolérance pharmacologique : diminution de la réponse à un rx suite à une administration répétée

tolérance à un rx : innocuité du rx

105
Q

Quel phénomène est une cause fréquente de tolérance ou de tachyphylaxie ?

A

la désensibilisation des récepteurs

106
Q

Quelles sont les 4 principaux mécanismes d’action à la désensibilisation des récepteurs ?

A
  1. endocytose : cellule réintègre les récepteurs
  2. diminution de la synthèse : cellule produit moins de récepteurs
  3. augmentation de la dégradation : cellule métabolise plus rapidement ses récepteurs
  4. changement a/n de la signalisation : transduction est altérée
107
Q

V ou F
Plus couramment, la sensibilisation d’un récepteur peut faire suite à son blocage prolongé par l’administration chronique d’une ANTAGONISTE ou d’un AGONISTE INVERSE. Il y aura alors un mécanisme de rétrocontrole positif via l’augmentation du nbr de récepteurs.

ex : B-bloquant et les récepteurs B-adrénergiques

A

V

108
Q

V ou F
Plus rarement, la sensibilisation fait suite à l’administration chronique d’un agoniste.

ex : récepteur de la dopamine

A

V

109
Q

V ou F
La dépendance physique est moins spectaculaire, mais plus forte que la dépendance psychologique, car elle peut ne jamais véritablement disparaitre.

A

F

c’est la dépendance psychologique qui est la plus forte !

110
Q

Laquelle des 2 catégories de réponse immunitaire induite par un composé exogène correspond cette définition ?

A. Réponse qui implique des macromolécules (anticorps, protéines du complément et peptides antimicrobiens)

B. Réponse qui fait intervenir des cellules effectrices (mastocytes, lymphocytes T cytotoxiques macrophages et neutrophiles)

A

A. réponse immunitaire humorale

B. réponse immunitaire cellulaire

111
Q

Quelles sont les 4 avantages des anticorps monoclonaux ?

A
  • taux de succès plus élevé en étude clinique
  • fortes spécificité et affinité envers leur cible thérapeutique
  • longue demi-vie
  • profils pharmacocinétique et d’effets indésirables réservent moins de mauvaises surprises
112
Q

Quelles sont les 3 désavantages des anticorps monoclonaux ?

A
  • peut seulement se donner par voies parentérales (car inactivité par tractus-gastrointestinal si donné PO)
  • ne peuvent atteindre que des cibles thérapeutiques extracellulaires faciles d’accès (ex.: protéines circulantes, exposés au lumen des vaisseaux sanguins)
  • pratiquement inutilisables pour traiter les maladies du SNC, carne traversent pas la BHE (ce sont des grosses molécules protéiques)
113
Q

Compléter :
La liaison d’un anticorps à son antigène ressemble à l’interaction ligand-récepteur, car elle provient de la combinaison de X.

A

X : liaisons non-covalentes

114
Q

Qu’est-ce que l’humanisation d’un anticorps, comme les anticorps monoclonaux chimériques, et quel est l’objectif de cette méthode ?

A

humanisation : lorsqu’on substitue des parties des régions constantes de l’immunoglobuline animale par des segments humains. Il en résulte un anticorps chimérique, qui contient une partie variable (liant l’antigène) venant de l’animal , fusionnée avec la partie constante humaine.

objectif : réduire le potentiel immunogène des immunoglobulines, donc d’éviter des réactions immunitaires indésirables

115
Q

Quelle est la différence entre la thérapie antisens classique et l’approche RNA interférence ?

A

thérapie antisens classique : utilise des bouts d’ADN qui se fixent à l’ARN messager

approche RNA interférence : utilise des bouts d’ARN qui se fixent à l’ARN messager

116
Q

Quelles sont les 5 études possibles dans la phase PRÉCLINIQUE de la découverte et du développement d’un rx ?

A
  1. identification cible thérapeutique
  2. découverte d’un PA potentiel
  3. pharmacologie expérimentale
  4. toxicologie
  5. pharmacocinétique
117
Q

Quelles sont les études de phase possibles dans la phase CLINIQUE de la découverte et du développement d’un rx ?

A

études de phase 1 : innocuité et métabolisme

  • volontaires sains
  • évaluer profil d’innocuité
  • infos sur réactions et phénomènes
  • études pharmacocinétiques détaillées

études de phase 2 : efficacité sur des petites populations

  • quelques centaines de patients volontaires
  • évaluer effet thérapeutique et profil d’innocuité chez gens malades (balance risques/bénéfices)
  • dose optimale, étendue des doses et régime posologique

études de phase 3 : essai thérapeutique à grande échelle chez patients malades

  • étape couteuse que seule les grandes cie pharmaceutiques peuvent se permettent de faire !!
  • essais cliniques qui ressemblent de près à ce qui serait rencontré si le rx était approuvé
  • données additionnelles sur efficacité et profil d’innocuité
  • détermine les précautions d’emploi et les interactions

études de phase 4 : commercialisation et pharmacovigilance

  • détection des effets indésirables rares
  • mieux cerner le rôle du rx dans l’arsenal thérapeutique déjà disponible
  • études menées après l’approbation de vente du rx
  • études importantes pour optimiser l’utilisation du produit
118
Q

Comment fait-on pour déterminer la bioéquivalence d’un rx générique ?

A

par des études pharmacocinétiques sur des jeunes sujets sains pour s’assurer que l’aire sous la courbe soit identique au rx original

119
Q

V ou F
Les médicaments biologiques issus des biotechnologies sont plus difficiles à copier avec exactitude, que les autres rx synthétiques, à cause de leur complexité.

A

V

120
Q

Qu’est-ce qui dicte l’utilisation d’un rx, donc qui détermine le potentiel réel d’un rx ?

A

Les essais cliniques !

C’est la médecine basée sur les données probantes !

121
Q

Par quel(s) paramètre(s) exprime-t-on essentiellement la puissance relative d’un rx ?

A

DE50 ou CE50

122
Q

Par quel(s) paramètre(s) exprime-t-on essentiellement l’efficacité d’un rx ?

A

Emax

123
Q

Nommer les 2 types de réponses non-spécifiques ?

A
  1. l’évolution naturelle

2. effet placebo/nocebo

124
Q

V ou F

Par définition, la pharmacologie est une science qui réfute les postulats de l’homéopathie.

A

V

125
Q

Y-a-t-il des médicament biopharmaceutiques (rx biologiques) pour les maladies du SNC ?

A

AUCUN, malgré le fait que les maladies du SNC sont les 1ères causes d’incapacité chez l’humain et qui touchent > 8millions de canadiens

126
Q

V ou F

Un rx est également une drogue d’abus.

A

V

127
Q

V ou F

Les intoxications intentionnelles sont plus fréquentes que les intoxications non intentionnelles.

A

F

intoxications intentionnelles sont moins fréquentes

128
Q

V ou F
Le mésusage peut conduire à une intoxication non intentionnelle bien que par définition, le mésusage est une utilisation intentionnelle inappropriée ou incorrect d’un rx pour ses effets thérapeuthiques (excluant ce qui correspond à e l’abus).

A

V

129
Q

Donnez un exemple d’agent hétérotrope positif (coopérativité).

A

benzodiazépines : se lient à un site allostérique sur le complexe GABAa et augmentent la réponse du récepteur à la stimulation par le GABA endogène

130
Q

Donnez un exemple d’agent hétérotrope négatif (coopérativité).

A

picrotoxine : se lie à un site allostérique sur le récepteur GABAa et diminue la transmission du message GABAergique

131
Q

Donnez un exemple d’agent homotropique positif (coopérativité).

A

affinité O2 pour Hb : O2 se lie à une sous-unité Hb et modifie la forme de cete sous-unités et des 3 autres sous-unité formant un complexe d’Hb liant 4 molécules d’O2 avec une plus grande affinité

132
Q

V ou F

Les concepts d’affinité (Kd) et de puissance (EC50) sont donc en pratique interchangeables.

A

V
car Kd = EC50
(graphique concentration-effet)

133
Q

Qui suis-je ?
Propriété d’une molécule qui définit sa ténacité à se lier à un récepteur ; elle quantifie la probabilité que la molécule occupe le récepteur à un moment donné.

A

l’affinité

134
Q

Quels sont les 2 objectifs principaux des études de relations ligand-récepteur ?

A
  1. quantification de l’affinité du ligand pour son récepteur
  2. nbr de récepteurs présents dans une préparation de membranes d’un tissu
135
Q

Compléter :

Lors de la signalisation cellulaire, les mécanismes d’amplification du signal font intervenir des X.

A

seconds messagers

ex : AMPcyclique (AMPc), phosphatidyl-inositols et ions calcium

136
Q

Quel phénomène risque le plus d’arriver en stimulant chroniquement un récepteur avec un agoniste ?

A

plus souvent, il risque d’avoir une désensibilisation des récepteurs ! ex : récepteurs B-adrénergiques dans tissu cardiaque

plus rarement, il peut y avoir une sensibilisation, ex : stimulation du récepteur de la dopamine

137
Q

Quels sont les 2 objectifs du tx actuel de la maladie de Parkinson ?

A
  1. remplacer l’activité dopaminergique manquante : levodopa (stimule les récepteurs D1 et D2) ou agoniste dopaminergique (stimule les récepteurs D2)
  2. rétablir l’équilibre d’un autre neurotransmetteurs : anticholinergiques ou antagoniste glutamatergique NMDA (amantadine, un antiviral à activité antiglutamatergique)
138
Q

V ou F
Les monotrérapies avec la cabergoline ou le ropinirole peuvent être maintenues plusieurs années avant d’avoir à ajouter la lévodopa. Donc, Il est approprié aujourd’hui de suggérer un agoniste dopaminergique comme tx inital de la maladie de Parkinson idiopathique chez un jeune patient.

A

V