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Psychologie sociale 2 > Examen 1 > Flashcards

Examen 1 Flashcards

1
Q

Pourquoi créer des théories?

A

Comprendre, prédire et contrôler le monde qui nous entoure.

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2
Q

(VRAI OU FAUX)

Une théorie peut tout expliquer.

A

FAUX

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3
Q

Donner la définition de théorie par Moscovici.

A

Ensemble de propositions reliées logiquement qui classent et expliquent un ensemble de phénomènes.

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4
Q

Nommer les 6 fonctions d’une théorie.

A
  1. Moyen pratique d’organiser la connaissance sur un sujet donné.
  2. Capacité d’aller au-delà des données empiriques et de voir les implications et les relations pas toujours évidentes des données seules.
  3. Stimulant et guide d’autre recherches.
  4. Guide d’observations.
  5. Anticipation de ce qui peut arriver.
  6. Réduction des incohérences.
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5
Q

Nommer les trois types de théories (moscovi, 1884).

A
  1. Opératoires.
  2. Phénoménologiques.
  3. Paradigmatiques.
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6
Q

Décrire le type de théorie dites opératoire.

A

Dégager un mécanisme élémentaire qui explique un ensemble de faits.

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7
Q

Décrire le type de théorie dites phénoménologique.

A

Décrire et expliquer une famille de problèmes connus, elles mesurent davantage des phénomènes que des comportements.

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8
Q

Décrire le type de théorie dites paradigmatique.

A

Proposer une vision globale des relations et des comportements humains.

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9
Q

Dans les niveaux d’analyse des théories, la psychologie sociale se situe à mi-chemin entre les explications _________ et les explications _________.

A

Intégratives et réductionnistes

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10
Q

Dans les niveaux d’analyse des théories, la psychologie sociale se situe à mi-chemin entre le niveau _________ et le niveau _________.

A

Idéologique et intra-individuel.

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11
Q

Une théorie comprend également des __________ qui supposément découlent en toute logique des relations proposées par la théorie.

A

conséquences

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12
Q

Nommer les 4 niveaux d’abstraction d’un concept.

A
  1. Opérationnalisation (variable indépendant incontrôlable).
  2. Opérations observables (rattaché à l’expérimentation).
  3. Introduction d’une idée de cause à effet, en donnant un nom à un processus hypothétique potentiellement responsable de l’apparition du phénomène.
  4. Regroupe de phénomènes indépendants de niveau 2 ou 3.
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13
Q

Nommer les 4 phases d’élaboration d’une théorie.

A
  1. Convictions fondamentales (postulats).
  2. Description du modèle (structure).
  3. Déductions logiques (hypothèses).
  4. Conclusion (principes, lois).
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14
Q

Nommer les 6 caractéristiques NÉCESSAIRES d’une bonne théorie.

A
  1. consistance logique
  2. Accord avec les données existantes.
  3. Être testable
  4. Toujours au moins partiellement fausse.
  5. Se modifie pour s’accommoder aux faits nouveaux.
  6. Est condamnée dans la désuétude si autre théorie plus intéressante.
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15
Q

Nommer Les 5 caractéristiques DÉSIRABLES d’une bonne théorie.

A
  1. Simplicité.
  2. Économique.
  3. Consistante avec les autres théories.
  4. Facilement applicable/interprétable avec le vrai monde.
  5. Avoir un but utile.
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16
Q

Nommer les 9 critères d’évaluation d’une théorie.

A
  1. La théorie reflète le monde réel.
  2. Est facilement compréhensible.
  3. Explique bien le passé et prédit le futur.
  4. Utile pour l’application pratique.
  5. Consistance interne élevée.
  6. Est économique: loi de la parcimonie.
  7. Peut-être prouvée fausse.
  8. Stimule d’autres recherches.
  9. Semble satisfaisante.
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17
Q

Nommer deux théories connus et deux théories moins connus en psychologie sociale.

A 
Connus:
1. L'autodétermination
2. Comparaison sociale.
Moins connus:
1. De l'amour
2. De l'esprit
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18
Q

Quelle théorie se trouve-t-elle sous-jacente dans la théorie de la diffusion de la responsabilité?

A

Croyance en un monde juste.

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19
Q

Donner la définition de la théorie de la croyance en un monde juste.

A

Croyance selon laquelle, le monde étant juste chacun est responsable de ce qui lui arrive. Tendance à croire que chacun mérite son sort, que les mauvaises personnes sont punies et que la bonté est récompensée, donc les personnes en difficulté on mérité ce qui leur arrive.

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20
Q

Nommer les 3 postulats de Miller dans la théorie de la croyance en un monde juste.

A
  1. On évite d’aider les gens dans le besoin.
  2. On aide uniquement sur une base ponctuelle et non pas à long terme.
  3. Pour les gens n’ayant pas cette conception de la justice: portés à donner à court et à long terme.
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21
Q

Nommer les deux tactiques qui sont utilisées pour éliminer les menaces dans la théorie de la croyance en un monde juste.

A
  1. Tactique rationnelle: prévention, lois polices, acceptation des limites personnelles.
  2. Tactiques non rationnelles: négation/retrait, ré interprétation de l’événement.
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22
Q

Le jugement n’est pas scientifique, il est ____.

A

social

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23
Q

Dans la théorie de la croyance en un monde juste, comment se nomme l’erreur que fait la personne lorsqu’elle blâme la victime (faire des attributions internes, elle est une personne imprudente).

A

Erreur fondamentale

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24
Q

Nommer l’application clinique qui peut être faite de la théorie de la croyance en un monde juste.

A

Recadrer les normes d’un client qui pourrait se rendre trop responsable ou qui vit de profondes déceptions auprès des gens.

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25
Q

Nommer l’application sociale qui peut être faite de la théorie de la croyance en un monde juste.

A

Impact en milieu scolaire et en milieu de travail, importance pour les groupes communautaires qui cherchent des bénévoles.

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26
Q

Initialement la théorie de l’équité était appelé comment par Adams?

A

théorie de l’iniquité

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27
Q

Nommer les 3 concepts de la vision d’Adams qui ont menés à la théorie de l’équité dans les échanges sociaux.

A
  1. Justice
  2. Privation relative.
  3. Dissonance cognitive
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28
Q

Un sentiment d’iniquité se produit quand un différence est perçue entre quoi et quoi?

A

D’une part, la proportion entre ce qui est donné à un individu et reçu par lui (résultat) et d’autre part, le rapport entre ce qui est donné à un autre individu et reçu par lui.

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29
Q

Définir c’est quoi un extrant dans la théorie de l’équité.

A

Ce que je reçois en retour (salaire, reconnaissance).

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30
Q

Définir c’est quoi un intrant dans la théorie de l’équité.

A

Ce qui est fait comme effort par soi, ce que j’offre.

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31
Q

Nommer deux intrants positifs et deux intrants négatifs.

A

Positif: Effort, temps consacré.

Négatif: Conditions de travail pénibles, tâches ingrates.

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32
Q

Dans la théorie de l’équité, quand un individu doit mettre des efforts, il peut avoir un contexte plus difficile qui rend l’effort ___ ___.

A

plus grand

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33
Q

Dans la théorie de l’équité, nommer deux extrants.

A

Rémunération

Pouvoir et prestige

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34
Q

Dans la théorie de l’équité, nommer trois éléments qui sont à considérer.

A
  1. Les autres : groupes de personnes qui occupe un emploi semblable aux leurs (élément de comparaison).
  2. Le système: la politique et les marches à suivre écrites.
  3. L’aspect personnel: intrants et extrants propres à la situation.
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35
Q

Décrire le sentiment d’injustice.

A

Provoque une tension ou un malaise psychologique que l’on désire éliminer ou réduire (dissonance cognitive).

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36
Q

(VRAI OU FAUX)

Le sentiment d’injustice est ressenti par le groupe défavorisé seulement.

A

FAUX

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37
Q

Quels sont les deux états d’âme ressentis par le groupe favorisé dans le sentiment d’injustice.

A
  1. Culpabilité

2. Sentiment d’obtenir des bénéfices non mérités.

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38
Q

Quels sont les deux état âmes ressentis par le groupe défavorisé dans le sentiment d’injustice.

A
  1. Colère

2. Sentiment de travailler plus fort et être moins récompensé.

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39
Q

Quelle sont les deux types d’interventions qui peuvent être fait pour réduire le sentiment d’injustice?

A
  1. Intervention matérielle: équité salariale.

2. Intervention psychologique: déformations cognitive (surestimer ses efforts, sous-estimer ceux de l’autre groupe).

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40
Q

Dans le sentiment d’injustice, le groupe désavantagé est porter à faire quel type d’interventions pour réduire le sentiment d’injustice?

A

Fournir moins d’intrants, exiger des extrants plus importants, fausser les proportions par rationalisation, inciter à changer leurs intrants, etc.

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41
Q

Quels sont les 4 interventions pour favoriser l’intervention matérielle et réduire celle psychologique?

A
  1. Le groupe avantagé accepte la compensation matérielle si elle n’est pas trop excessive.
  2. Si on informe systématiquement le groupe avantagé.
  3. Transmission de l’information objective.
  4. Contact soutenu entre les groupes.
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42
Q

Définir c’est quoi le biais pro-endogroupe.

A

Surestime nos efforts et les récompenses méritées, sous-estime ceux de l’exogroupe.

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43
Q

Dans le sentiment d’injustice, le groupe avantagé préfère les compensations __________.

A

Psychologiques.

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44
Q

Dans le sentiment d’injustice, le groupe désavantagé préfère les compensations ________.

A

Matérielles

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45
Q

(VRAI OU FAUX)
Le groupe avantagé gagne souvent donc ils ont fréquemment des déformations cognitives et se convainc que la relation est équitable.

A

VRAI

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46
Q

Nommer deux utilité de la théorie de l’équité.

A
  1. Les relations de travail

2. Les relations interpersonnelles.

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47
Q

Décrire l’équité dans la théorie de l’équité.

A

Rétribution conséquente à la contribution.

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48
Q

Décrire l’égalité dans la théorie de l’équité.

A

Même rétribution sans tenir des contributions.

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49
Q

Dans la théorie de l’équité, l’équité est préféré dans les contextes de ________.

A

Productivité

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50
Q

Dans la théorie de l’équité, l’égalité est préféré dans les contextes de _________.

A

d’harmonie du groupe ou de bonnes relations sociales.

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51
Q

Dans la théorie de l’équité, c’est quoi la règle des besoins?

A

Rétribution selon les besoins.

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52
Q

Dans la théorie de l’équité, la règle des besoins elle est plus utilisé dans quel type de situation?

A

Décisions négatives (en cas de crise, baisser les salaires des gens non soutiens de famille)

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53
Q

Quel est l’application scientifique qu’on peut faire de la théorie de l’équité?

A

Types de justice.

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54
Q

Nommer les deux types de justice, dans l’application scientifique de la théorie de l’équité?

A
  1. Justice distributive: résultats: distribuer avec justice les récompenses face au montant de la rémunération.
  2. Justice procédurale: procédures pour en arriver à la distribution des récompenses.
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55
Q

Nommer l’application sociale qui peut être faite de la théorie de l’équité.

A

Justice réparatrice.

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56
Q

Dans l’application sociale de la théorie de l’équité, décrire la justice réparatrice.

A

Approche de justice axée sur la réparation des torts causés par le crime en tenant délinquant responsable de ses actes.

57
Q

Est-ce que les gens se révoltent uniquement à cause de situations difficiles?

A

Non!

58
Q

(VRAI OU FAUX)
Une hausse de prospérité, de statut ou de réussite ne pousse pas les gens à hausse les normes qui évaluent leurs propres réalisation.

A

FAUX

59
Q

En grimpant, les gens regardent vers le ___, pas le vers ___, la comparaison se fait vers le __ (on s’aperçoit des écarts avec les gens du ____).

A

haut, bas, haut, dessus

60
Q

Dans la majorité des cas (pas automatique cependant), la comparaison _______ est génératrice de privation relative.

A

ascendante

61
Q

Le terme de privation relative a été inventépar les chercheurs qui étudiaient quoi?

A

La satisfaction que ressentirent les soldats américains lors de la seconde guerre mondiale.

62
Q

Selon Gurr et Crosby, la privation relative est utile pour comprendre quel genre de phénomène?

A

Ce qui pousse des groupes “défavorisés” à s’engager dans la revendication de leurs droits.

63
Q

La notion de privation relative renvoie au sentiment de frustration (composante _______) ressenti par une personne ou par un groupe de personnes, qu’engendre la perception subjective de disparités et d’inégalités (composante ______) qui découle d’une mise en comparaison.

A

Affective, cognitive

64
Q

La privation relative est la perception d’un ___ entre nos attentes et ce que l’on obtient.

A

écart

65
Q

La privation relative est un sentiment ______ et non pas une réalité ______.

A

subjectif, objective

66
Q

Quelles sont les 5 conditions préalables à la privation relative.

A
  1. Vouloir une chose
  2. Constater que d’autres la possèdent.
  3. Juger qu’on a droit de l’avoir
  4. Croire qu’il est possible de l’avoir.
  5. Sentir que l’on n’est pas responsable du fait de ne pas l’avoir.
67
Q

(VRAI OU FAUX)

Le sujet servant à la comparaison doit nous ressemble et il doit posséder ce que l’on veut.

A

VRAI

68
Q

Décrire la privation temporelle.

A

Avoir le sentiment d’être privé car dans le temps on sait que la situation va être différente.

69
Q

(VRAI OU FAUX)
La théorie de la privation relative peut être utile pour mieux comprendre les facteurs qui influencent le bien-être psychologique lors d’un changement social.

A

VRAI

70
Q

Quels sont les 2 niveaux de privation relative.

A
  1. Privation relative collective.

2. Privation relative personnelle.

71
Q

Décrire la privation relative collective.

A

Injustice intergroupe

72
Q

Décrire la privation relative personnelle.

A

Injustice interpersonnelle (beaucoup plus difficile de dépasser la frustration, a beaucoup d’impact sur la résignation acquise.

73
Q

Nommer les 3 processus de la privation relative.

A

1er processus : privation décrémentielle.
2e processus : privation des aspirations.
3e processus: privation progressive.

74
Q

Décrie le premier processus de privation décrémentielle dans la privation relative.

A

Sentiment de PERTE de ce que l’on a, référence à nos propres conditions passées.
ex: Réduction du statut, détresse économique et insécurité suite à la 2e guerre mondiale.

75
Q

Décrire le deuxième processus de privation des aspirations dans la privation relative.

A

Sentiment de COLÈRE de ne pas obtenir nos désirs:

  • Désirer des ressources avant limités.
  • Désirer de nouvelles valeurs qu’ils n’ont jamais eues avant.
  • Devenir intensément engagé dans des voies déjà existantes, mais moins intéressantes dans le passé.
76
Q

Décrire le troisième processus de privation progressive dans la privation relative.

A

DÉTÉRIORATIOND DES CONDITIONS DE VIE lorsqu’une longue période de bien-être économique et de développement social est SUIVIE PAR UNE COURTE PÉRIODE DE RENVERSEMENT TRÈS AIGUË.

77
Q

perception de l’inégalité sociale entre endrogroupe et exogroupe + degré d’identification au groupe d’appartenance = __________________

A

intensité du sentiment de privation relative (sentiment subjectif)

78
Q

Nommer deux liens dans la pratique pour la privation relative.

A
  1. Conflits sociaux (privation collective)

2. Les plus défavorisés = désespoir et résignation acquise.

79
Q

Nommer une application dans la recherche pour la privation relative.

A

Comparaison sociale avec les voisins d’un quartier.

80
Q

Définir les schémas cognitif.

A

Structures mentales mutuellement dépendantes qui nous permettent d’organiser une quantité d’information de façon efficace.

81
Q

(VRAI OU FAUX)
Un schéma cognitif est seulement une structure permettant d’emmagasiner l’information nouvelle et non pas un processus dans la mesure où ils influencent notre réception et notre traitement de l’information.

A

FAUX, les deux à la fois.

82
Q

Quels sont les 4 types de schémas cognitifs.

A
  1. Schéma d’autrui (de la personne).
  2. Schéma de soi.
  3. Schéma de rôle (ou groupes sociaux).
  4. Schéma d’événement (script).
83
Q

Dans les types de schéma décrire le schéma de d’autrui (de la personne).

A

Mieux comprendre les traits de personnalité et les buts d’autrui, dans la perspective de s’en faire une impression (prototype).

84
Q

Dans les types de schéma décrire le schéma de soi.

A

Informations sur notre propre personnalité, notre apparence et nos comportements.

85
Q

Dans les types de schéma, décrire le schéma de rôle (ou groupes sociaux).

A

Structure cognitive qui se compose des normes et des comportements attachés à une position et aux perceptions intergroupes.

86
Q

Dans les types de schéma, décrire le schéma d’événement (script).

A

Structure qui décrit les séquences appropriées à des événements arrivant dans des situations bien connues (peut apporter des incompréhensions culturelles).

87
Q

Décrire, dans les schémas cognitifs, c’est quoi la théorie implicite de la personnalité.

A

Un type de schéma particulièrement actif. Basé sur une seule caractéristique, permet d’inférer d’autres traits parce que nous partons du principe que certains traits sont généralement ensemble chez les gens.
ex: beauté physique et bonheur.

88
Q

Dans les schémas cognitifs, pourquoi dit-on que la théorie de la personnalité est implicite.

A

car elle pas validé

89
Q

Nommer les 5 fonctions des schémas cognitifs.

A
  1. Faciliter l’identification rapide d’un nouveau stimulus.
  2. Aider à remplir le manque d’information.
  3. Suggérer plusieurs stratégies pour accumuler de l’information.
  4. Affecte l’encodage (attention), l’emmagasinage (entreposage) et le rappel des informations.
  5. Réduire la masse des nouvelles informations.
90
Q

Bédard, Déziel et Lamarche: “ Quand nous possédons des informations, nous les traitons. Quand nous ne les possédons pas, nous les ______.”

A

inventons

91
Q

Nommer les 4 propriétés des schémas cognitifs.

A
  1. Abstraction: inconscience (ou presque) de la présence de nos schémas.
  2. Complexité: nombre de caractéristiques incluses.
  3. Organisation: schéma d’expert est plus organisé qu’un nouveau schéma.
  4. Stratégie conservatrice: assimilation d’informations exceptionnelles sans abandon du schéma initial.
92
Q

Nommer les 5 inconvénients des schémas cognitifs.

A
  1. Ne pas confondre efficacité avec exactitude.
  2. Tendance à négliger les différences individuelles.
  3. Tendance à attribuer les caractéristiques du prototype à une personne qui fait partie de la catégorie sans l’avoir observée.
  4. Tendance à ajouter les éléments du script même si ceux-ci n’ont pas été observés.
  5. Tendance à croire que nos catégories sont distinctes.
93
Q

(VRAI OU FAUX)

Un schéma est immuable.

A

FAUX

94
Q

(VRAI OU FAUX)

Le schéma se développe au fil des contacts avec la réalité sociale.

A

VRAI

95
Q

Nommer les 3 sources d’influence lors de la sélection d’un schéma.

A
  1. Les caractéristiques du contexte.
  2. Les caractéristiques de la cible.
  3. Les caractéristiques du percevant.
96
Q

Dans les sources d’influences lors de la sélection d’un schéma, décrire les caractéristiques du contexte.

A

Le contexte influence ce qui sera perçu comme étant saillant, et donne un sens à ce qui est observé en activant certains schémas plutôt que d’autres.

97
Q

Dans les sources d’influences lors de la sélection d’un schéma, nommer 2 caractéristiques de la cible.

A
  1. Apparence physique

2. Comportement

98
Q

Un schéma ____ est plus facilement accessible à la mémoire au moment crucial.

A

activé

99
Q

Que l’activation du schéma soit faite de manière naturelle ou volontaire, cela __________.

A

fonctionne

100
Q

(VRAI OU FAUX)

Avoir déjà été exposé à un événement précédemment ne change rien à l’Action des schémas.

A

FAUX, facilite l’activation

101
Q

(VRAI OU FAUX)

Plus un schéma apparaît souvent, plus il va être activé facilement.

A

VRAI

102
Q

(VRAI OU FAUX)

L’activation des schémas n’est pas influencé par la présence d’attente a priori.

A

FAUX

103
Q

Un schéma pour être activé selon les informations en regard a des _____, des buts ou des affects de l’individu.

A

besoins

104
Q

(VRAI OU FAUX)

Quand un élément est présenté, cela peut activer d’autres caractéristiques dans une catégories voisines. (schémas)

A

VRAI

105
Q

Quel est le trait principal d’un schéma.

A

La persévérance obstinée (il est rare que l’on change du tout au tout un schéma).

106
Q

Que veut dire la malléabilité lorsqu’on parle de schémas cognitifs?

A

Les schémas sont malléables seulement pour ajouter des éléments pour complexifier le schémas présents).

107
Q

(VRAI OU FAUX)

Il est impossible de modifier un schéma de soi en changeant le contexte.

A

FAUX

108
Q

Nous percevons plus facilement ce qui _______ avec nos schémas. et dire pourquoi (2)?

A

cohérent

  1. Plus saillant et plus activé, donc plus accessible.
  2. Tendance à faire de la projection à cause de notre schéma de soi (ex: l’entrevue)
109
Q

L’information est plus facilement entreposée lorsque nous possédons un schéma ______.

A

organisé

110
Q

Dans les schémas cognitifs, décrire c’est quoi la théorie de la représentation duale.

A

Caractéristiques et impression générale de la personne forment 2 schémas distincts.

111
Q

Les schémas offrent un chemin d’accès à l’information qui favorise le ____.

A

rappel

112
Q

De l’information cohérente sera plus facilement accessible, mais une ________ élevée du percevant favorise le rappel d’information incohérente.

A

motivation

113
Q

Dans les schémas cognitifs, le jugement global d’une personne est surtout influencé par l’information initiale de la personne, c’est l’effet de ______.

A

primauté

114
Q

Dans les schémas cognitifs, décrire c’est quoi les heuristiques.

A

Processus cognitifs qui permettent de faire des estimations, des raccourcis. Traitement rapide et sans effort de l’information.

115
Q

Nommer les 5 types d’heuristiques.

A
  1. De représentativité
  2. De disponibilité
  3. Ancrage
  4. Affectives
  5. Biais cognitif en général.
116
Q

Décrire c’est quoi l’heuristique de représentativité.

A

Juger à quel point un événement est représentatif d’une catégorie.

117
Q

Décrire c’est quoi l’heuristique de disponibilité.

A

Un jugement de la fréquence relative d’objets ou de la probabilité d’événements, la facilité avec laquelle un scénario est généré amènera une plus grande probabilité subjective et a cause de la facilité avec laquelle on va générer un scénario donné, on va plus facilement un lien de cause è effet d’un événement passé.

118
Q

Dans l’heuristique de disponibilité, nommer les 3 sources de disponibilités.

A
  1. Au niveau des processus perceptuels.
  2. Mémoire
  3. Construction à partir de l’imagination.
119
Q

Dans les schémas cognitifs, en général, les gens sont plus enclins à éviter les risques et à choisir une chose sûre quand les décisions sont formulées en termes ______ (ex: des vies sauvées) et plus enclins à prendre des risques quand elle sont formulées en termes ______ (ex: des morts).

A

positifs, négatifs.

120
Q

Nommer l’application au niveau de la recherche qui peut être faite avec les schémas cognitifs.

A

Recherches de Thomassin avec les schémas des policiers avec les scénarios criminalisant ou pas.

121
Q

Nommer deux application au niveau clinique qui peut être faite avec les schémas cognitifs.

A
  1. Erreurs de jugement

2. Tendance à la catastrophisation

122
Q

Dans l’application au niveau clinique des schémas cognitifs, nommer les 3 éléments importants de la tendance à la catastrophisation.

A
  1. Rumination = rester centré sur les événements négatifs.
  2. Surestimer le danger (hypervigilance).
  3. Sous-estimer nos capacités personnelles de s’en sortir, de solutionner, de résoudre le problème.
123
Q

Nommer la différence entre le jugement et l’inférence.

A

Jugement: évaluation de l’information.

Inférence: aller au-delà de l’information.

124
Q

Dans les erreurs de jugement, décrire les prophéties auto-réalisantes (effet de pygmalion).

A

Nos schémas influencent nos comportements, de par ces comportements, nous créons un contexte susceptible de confirmer nos schémas.

  • Nous exprimons nos attentes de façon implicite.
  • Nous agissons différemment selon nos attentes.
125
Q

Dans les erreurs de jugement, décrire c’est quoi les corrélations illusoires.

A

Tendance à surestimer l’association entre deux variables que l’on croit corrélées (que ce que la vérité nous démontre).

126
Q

(VRAI OU FAUX)

Dans les corrélations illusoires, il y a une tendance à surestimer l’association entre deux aspects minoritaires.

A

VRAI

127
Q

Dans les erreurs de jugement, nommer les 4 type de biais perceptuels.

A
  1. Biais de confirmation d’hypothèse: chercher à confirmer notre opinion.
  2. Biais de faux consensus: qu’il y a plus de gens qui pensent comme nous.
  3. Biais de primauté: ce qui est présenté en premier (très important dans la formation d’impressions).
  4. Biais de persévérance (cohérence obstiné): si j’ai commencé à avoir une idée dans un sens, il est assez difficile de revenir en arrière.
128
Q

Dans les erreurs de jugement, définir l’erreur fondamentale.

A

On néglige l’Effet des facteurs situationnels sur la conduit d’autrui et on surestime les variables personnelles.

129
Q

Dans les erreurs de jugement, dans l’erreur fondamentale, nommer quelle est la tendance.

A

Voir soi comme si mes actions dépendaient de la situation, mais voir les autres comme si leurs actions dépendaient des caractéristiques de leur personnalité.

130
Q

Dans les erreurs de jugement, l’erreur fondamentale est courant chez quelle profession particulièrement?

A

Les psychologues

131
Q

Nommer deux conséquences de l’erreur fondamentale chez les psychologues.

A
  1. Diagnostic plus lourd.

2. Pronostic plus lourd

132
Q

(VRAI OU FAUX)

L’erreur fondamentale chez les psychologues, le danger augmente avec les années de pratiques.

A

VRAI

133
Q

Quelle est une des solutions qui peut être mise en œuvre pour contré l’erreur fondamentale chez les psychologues.

A

Développer l’empathie

134
Q

Les croyances à propos de soi-même sont composées de ?(5)

A
  1. La conscience réflexive (me découvrir).
  2. Le moi en miroir (la réaction des autres est la 1ere source des croyances sur soi-même).
  3. La perception que j’en ai (je suis ce que je crois qu’on pense de moi)
  4. La théorie de la perception de soi.
  5. La comparaison.
135
Q

Donner la définition du schéma de soi.

A

Une généralisation cognitive du soi qui est dérivée de l’expérience passée, et qui organise et oriente le traitement de l’information reliée au soi et contenue dans les expériences sociales de l’individu.

136
Q

Dans la composition des schémas de soi, les dimensions qui seront dominantes dépendent de quoi? (3)

A
  1. La situation qui prévaut au moment où je me définis.
  2. Les dispositions personnelles.
  3. La situation
137
Q

Le schéma de soi est un concept dynamique, qui nous aide à ? (2)

A
  1. Intégrer de nouvelles informations, se positionner sur des nouvelles demandes ou sollicitations et ensuite modifier e concept de soi en conséquence.
  2. Interpréter les propos des autres ou notre perception de leurs propos.
138
Q

Décrire c’est quoi l’effet d’autoréférence.

A

Biais amenant l’individu à remarquer et à retenir particulièrement l’information qui se rapport à lui-même.

Psychologie sociale 2 (2 decks)

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