Examen 1 Flashcards
Histoire et élevage?
- Préhistoire
- 3000 à 12 siècle
- 12 à 19 siècle
- 19 siècle à today
Préhistoire
- Les animaux ont fait partie du quotidiens des ancêtres hominidés comme source
de nourriture mais aussi comme source de vêtement, de travail et de compagnie - Les plus anciennes traces de domestication remontent à -10 000 ans soit à la fin
de la dernière glaciation - Les bovins étaient untilisés comme nourriture et bête de somme, les ovins et
caprins pour les vêtement la viande et le gras etc
-3000 à 12 siècle
- Les animaux sont plus ou moins laissés à eux-mêmes pour se nourrir et se remettre
des blessures ou maladies mais ils sont protéger des prédateurs - La chasse demeure toujours le moyen pour se procurer de la viande
- On voit vrm le potentiel des animaux
12 à 19 siècle
- La société s’organise et et il en est de même de l’agriculture et de l’élevage
- Les caractères de certaines races commencent à être fixés
- Début du concept de domestication (animal qui partage la maison)
- Augmentation de la population humaine, plusieurs guerres font rage et la demande en denrés agricole et surtout en produits animaux ce qui se traduit par l’augmentation de la taille des cheptels
- Augmentation des épidémies affectant les populations animales
- Naissance des premières grandes écoles de médecines vétérinaire et d’agriculture
19 siècle à aujd
- Essor industriel (mécanisation) et urbain important en Europe et en Amérique
- La main-d’oeuvre disponible décroit et elle doit subvenir à la demande grandissante
- Établissement des bases de l’agronomie moderne
- Amélioration génétique du bétail (insémination, mathématiques), fixation de races (conformation)
- Préoccupations (environnement, bien-être animal, innocuité alimentaire, diversité, considération socio-économiques et la qualité des produits)
Domestication
- La plupart des espèces d’élevage ou leur ancêtres rapprochés existent depuis au moins 50 millions d’annés et sont domestiquées depuis environ 0,1% de leur existence
- Au début, on s’adaptait à l’animal donc on suivait les troupeaux dans les déplacements, et peu à peu l’élevage est devenu plus sédentaire et les races ont dû être choisies en conséquences
- On peut parler de domestication quand l’humain intervient sur l’animal pour le garder dans des conditions différentes que la nature mais aussi de modifier l’animal selon les besoins spécifiques de l’humain
Type animal en domestication
Commensal de l’humain
En captivité
Apprivoisé
Domestique
Commensal de l’humain
animal qui vit près de l’humain et profite des activités humaines sans nuire ou bénéficier directement à l’homme (souris, oiseaux)
En captivité
animal sauvage qui a été capturé et qui est gardé en conditon de claustration pour satisfaire les besoins de l’humain (animaux de zoo)
Apprivoisé
animal sauvage qui après une période d’adaptation tolère la présence de l’humain et accepte de vivre dans des conditions différentes (hamster, furet)
Domestique
animal utilisé par l’humain pour satisfaire des besoins spécifiques et qui provient d’une population sélectionnée spécifiquement pour la satisfaction de ces besoins
Critères de domestication
- être rustique (s’adapter au sevrage hâtif, alimentation artificielle)
- se reproduire en captivité sans aide
- accepter la vie dans des espaces confinés
- être utile à l’homme, comme nourriture, vêtement, transport, force travail, religion)
- être docile, facile à entretenir et à vivre
- être facile à rassembler en troupeaux
- être grégaire (suivre troupeau docilement)
- présenter un bon potentiel de variabillité génétique
Espèces nettement domestique
bovins, ovins, porcins, chien, chat, lapin
Espèces moins domestique
furet, vison, lama, alpaca, éléphant
Espèces non domestique mais en élevage
sanglier, renard, lynx, chameau
Caractéristique résultant de l’élevage
- grande variablilité de formes et apparence
- réduction de la sensiblité des organes
- modification du comportement (diminution du volume cérébrale)
- réactions d’alarme et fuite émoussées
- augmentation de l’activité sexuelle
Élevage intensif versus extensifs
- en général les monogastriques (intensif) et les ruminants (extensif), il faut cependant tenir compte des variation régionales et les variations durant les phases d’élevage
- les productions intensives, l’écosystème dans lequel est gardé l’animal est simplifié au minimum et tout est contrôle
- les productions extensives, l’animal fait partie intégrante d’un écosystème plus complexe qui, souvent, se suffit à lui même
intensif
- Grand nombre d’animaux
- Forte densités animales
- Beaucoup d’intrants
- Sans terres
- Beaucoup interventions humaines
- Contrôle élevé de la production
- Hyperspécialisation
extensif
- Faibles densités animales
- Peu ou pas d’intrants
- Avec terres
- Peu d’interventions humaines
- Contrôle faible de la production
- Peu ou pas de spécialisation
degré d’intervention
- exploitation des ressources naturelles (récolte chasse)
- prod extensives (ranching, agriculture de substistance)
prod intermédiaire (intrants modérés) - prod plutot intensive (modification de l’environnement)
- prod industriel (mécanisation élevé)
satisfaction des besoins
physique
socio-économique
psycho-affectifs
besoins physiques
manger, boire, vêtir, guérir
besoins socio-économique
travail, déplacement, défense-attaque
besoin psycho-affectif
compagnie, prestique, plaisirs, connaissance
qualité nutritionnelle des animaux
- une forte valeur nutritive (les produits animaux sont une importante source de nutriments)
- digestibilité (les protéines animales se digèrent mieux que les protéines végétales)
- meilleur composition en acides aminés essentielles (que les protéines végétales)
- consommation de protéines augmentent avec le revenu familial
Consommation mondiale
- la consommation modiale de produits animaux est à la hausse sur l’ensemble du globe ayant plus que doublé depuis 30 ans malgré les mauvaises presses les gens ont remplacé des produits animals par d’autres (viande rouge –> poulet)
- cette tendance s’explique par la croissance trois fois plus rapide des pays en voie de développement
production mondiale
augmentation de la production se fait avec une ampleur moindre que la demande puisque l’efficacité de production s’accroit avec le temps (moins d’animaux pour la même productivité)
effets positifs élevage
- satisfaction des besoins de la société (produits accessibles à tous et nutritifs)
- amélioration de la fertilité des sols (déjections animales riches en éléments nutritifs)
- rôle dans l’économie locale (revenu pour les pays en voie de développement mais aussi pour l’économie mondiale)
effets négatifs élevage
- perte de diversité génétique
- impact environnemental direct (air, eau, ges) ou
indirect (compétition entre les populations animales et humaines) - bien-être animal
structure/fonction
L’anatomie présente un lien étroit avec la physiologique selon le principe de la relation structure-fonction, en effet les fonctions d’une organisme sont déterminées et accomplies grâce à des structures spécifiques à cet organisme
constitution d’une cellule
- Noyau
(membrane nucléaire, nucléoles et chromatine) - Cytoplasme
(mitochondries, réticulum endoplasmique, ribosomes, golgi, microfilaments, microtubules, lysosomes) - Membrane plasmique
(bicouche lipidique contenant des protéines de transport)
tissus
ensemble de cellules présentant une structure semblable et remplissant une fonction commun
type de tissu
épithélial
conjonctif
musculaire
nerveux
tissu épithélial
- recouvrir et protéger les surfaces et les cavités du corps, facilité les échanges, filtration et sécrétion
- épithéliums de recouvrement et les épitheliums glandulaire
- épithélium simple (une couche de cellule), épithélium stratifié (plusieurs couches)
tissu conjonctif
- unifier plusieurs tissus ou organes entre eux et à la paroi de l’organisme
- remplissage, soutien, protection, isolement, transport
- la vascularisation varie selon le type de tissu conjonctif (cartillage non et os oui)
- trois composantes (cellules, matrice de fibres et substance fondamentale)
- trois types de fibres (collagènes, réticulées et élastiques)
tissu musculaire
- tissu très vascularisée et composé de cellules allongées
- myofilaments d’actione et de myosine permettant la contraction musculaire
- trois types de tissu musculaire (squelettique, cardiaque, lisse)
tissu nerveux
- il se retrouve dans le cerveau, moelle épinière, nerfs
- recevoir et d’analyser les stimulis ainsi que contrôler les muscles et glandes
- 2 groupes de cellules nerveuses (neurones «excitable» ) et gliocytes «non-excitable» )
système squelettique
- Soutient les tissus et les organes du corps et les protège
- Site principal pour mettre en réserve certains minéraux (ostéoclastes «lysosomes» digèrent l’os pour les libérer)
- production de cellules sanguines soit l’hématopoïèse qui s’effectue dans la moelle osseuse rouge
- composé de tissus conjonctifs, tissu osseux, cartilage hyalin (réduire friction) et tissu hématopoïétique (moelle osseuse rouge des os long et os plat)
- ostéoblastes forment la matrice osseuse en sécrétant la substance fondamentale et lorsqu’ils sont isolé ils deviennent des ostéocytes soit des cellules matures
moelle osseuse rouge adulte
grands os plats/irréguliers et dans la tête des grands os long
moelle osseuse rouge enfant
occupe tout l’os spongieux ainsi que les os long
calcémie
- concentration sanguine de calcium
- elle est sous le controle de la parathormone (stimule la libération) et la calcitonine (stimule la minéralisation)
système nerveux
coordination fonctionnelle des diverses composantes de l’animal et assure une meilleure capacité
d’adaptation aux diverses conditions du milieu, agit rapidement mais effet courte durée
anatomie du neurone
- Neuronnes ont une durée de vie très longue, ils sont amitotiques (divisent pas) et leur métabolisme a
des beoins importants en o2 et en glucose - Dendrite (partie réceptrice), corps cellulaire, axone, corpuscule nerveux terminal
neurophysiologie
- les courants électriques résultent de la circulation des ions +/- à travers la membrane plasmique (cette différence entre les charges s’apelle le potentiel de repos)
- potentiel d’action correspond à l’influx nerveux suite à une brève inversion du potentiel ou une dépolarisation
snc
- encéphale et la moelle épinière
- grand centre de contrôle
snp
- tous les tissus nerveux à part le SNC
- essentiel à la communication
gout et odorat
(chimiorécepteurs) des substances chimiques en solution acqueuse (papilles gustatives) et l’épithélium de la région olfactive de la cavité nasal agis avec stimulus volatif hydrosoluble dans le liquide nasal
oeil
Rétine, bâtonnets (noir et blanc) et cônes (couleur, 3 pour les mamifères bleu, vert, rouge)
cellules photoréceptrices
ouie
- Oreille externe (pavillon, conduit auditif)
- Oreille moyenne (marteau, enclume et étrier «osselets»)
- Oreille interne (cochlée et cellules cilliées sensorielle)
mécanisme audition
- son fait vibrer air
- vibration frappent le tympan qui ébranle osselets
- osselets poussent le liquide de l’oreille interne contre membrane
- les oscillation excercent une traction sur les cellules ciliées
- les cellules ciliées stimulent à leur tour les neurones
- ces neurones SNP génere et envoie impulsions à SNC et ce dernier interprête
le sang
maintenir homéostatie (température, ph, volume de liquide,), prévenir hémoragie et infection
composé de cellules et plasma (liquide)
les cellules sanguines
globules rouges
globules blanc
plaquette
le coeur
- péricarde (paroi du coeur)
- myocarte (sac membranaire)
- endocarde (couche qui se contracte)
- oreillette (recueille le sang)
- ventricule (propulse)
- circulation pulmonaire (vers poumons)
- circulation systèmique (vers les organes du corps)
les vaisseaux sanguins
- artères, capilaire (place ou les échanges se font), veine
- le sang quitte le coeur par des artères et revient par des veines
système circulatoire et liquide
Role majeur dans le transport (leucocytes et hormones), apporte o2 et les nutriments aux cellules et élimine les déchêts
globule blanc
nuclées, moins nombreux que érythrocytes, protége contre agents pathogènes
globule rouge
- disque biconcave, anuclées chez les mamifères mais nuclées chez l’oiseau et les jeunes foetus des mamifères
plaquette
formation du caillot
fonction et anatomie du système endocrinien
- maintenir l’homéostatie
- il agit lentement mais il a des effets longue durée
hormones
- modifie la perméabilité ou le potentiel de repos membranaire
- synthèse de protéines ou de molécules régulatrices
- déclenchement de l’activité sécrétrice
- initiation de la division cellulaire
- effets amplificateur ou rétrocontrole
- autorégulation (rétrocontrole positif augmenter synthèse hormone ou rétrocontrole négatif inhiber la synthèse)
glandes endocrines
hypothalamus hypophyse thyroide surrénales gonades
hypothalamus
influence la synthèse et le relâchement d’hormones
hypophyse
- 2 parties : adénohypophyse et neurophypophyse
- GHRH/GHIH (somatotrophine)
utiliser pour la croissance des veaux et la production laitière (naturellement)
utiliser pour accroitre la production de lait et le pic de lactaction (synthètiquement) - TSH (hormones thyroidiennes)
- ACTH (corticostéroides, stress prolongé)
- FSH (reproduction/femme : maturation follicule ovarien / homme : spermatogenese)
- LH (reproduction/femme : progesterone et estrogène / homme : testostéronne)
- PRL (lactation et comportement maternel)
- Ocytocine (contraction des muscles lisses de l’utérus)
thyroide
T3/T4 avec iode
surrénales
stress chronique, stress aigue
gonades
ovaires et testicules et hormones sexuelles