Examen 1 Flashcards
Définition de comportement organisationnel
L’étude du comportement humain au sein d’une organisation.
Il s’agit d’un modèle multidisciplinaire dans lequel on cherche à mieux comprendre le comportement des individus et des groupes, les processus interpersonnels et les dynamiques organisationnelles en vue d’améliorer l’efficacité organisationnelle et la satisfaction professionnelle.
Modèle
Vision simplifiée de la réalité par laquelle le chercheur tente d’expliquer un phénomène du monde réel.
Variable dépendante
Fait ou événement auquel le chercher s’intéresse et qui, selon son hypothèse de recherche, devrait varier sous l’effet de la variable indépendante.
Variable indépendante
Fait ou événement qui, selon l’hypothèse de recherche, devrait avoir une incidence sur la variable dépendante.
Approche de la contingence
Approche qui consiste à tenter de répondre aux besoins de gestion en tenant compte des particularités du contexte.
Gestion fondée sur des données probantes
Approche de gestion qui s’appuie, en matière de prise de décision, sur des faits indéniables et des preuves empiriques.
Le pouvoir social diffère de la …., qui est le pouvoir opérationnel contre la volonté d’une autre personne.
force
L’idée que le pouvoir social puisse être une ressource expansible est à la base de la tendance vers:
a) la pensée hiérarchique.
b) le jeu politique.
c) le pouvoir personnel.
d) l’habilitation.
d) l’habilitation
…….. stipule que si vous n’utilisez pas le pouvoir de façon adéquate, les autres feront en sorte de vous l’enlever.
La loi d’airain de la responsabilité
Le pouvoir légitime est une forme de pouvoir:
a) lié au poste.
b) personnel.
c) des relations.
d) de l’information.
a) lié au poste.
L’éventail des demandes des supérieurs auxquelles un subordonné accepte de se conformer sans jugements ni critiques s’appelle:
a) un jeu à somme nulle.
b) l’impuissance.
c) le savoir-faire politique.
d) la zone d’indifférence.
d) la zone d’indifférence.
….. est la capacité qu’a un individu d’influer sur le comportement d’autrui en lui refusant les récompenses qu’il convoite ou en le punissant.
Le pouvoir de coercition
Dans la société interconnectée et les organisations axées sur les connaissances d’aujourd’hui, …. devient de plus en plus important.
le pouvoir des relations
Le pouvoir émanant de personnes influentes que vous connaissez s’appelle:
a) le capital humain.
b) le pouvoir d’association.
c) le pouvoir de référence.
d) le pouvoir interpersonnel.
b) le pouvoir d’association.
…… est une forme passive de résistance qui implique la non-conformité.
La résistance dysfonctionnelle
Il est question de …… lorsque les personnes ne suivent pas le système officiel pour accomplir une tâche ou atteindre un objectif.
contournement
Le jeu politique en milieu organisationnel se manifeste dans ……. d’une organisation.
les systèmes informels
Le réseautage permet le développement du ….. au sein des organisations.
capital social
Les ….. aident les personnes à avoir de l’influence dans le milieu organisationnel et offrent une protection contre les personnes puissantes.
aptitudes sociales
Les ….. aident les personnes à avoir de l’influence dans le milieu organisationnel et offrent une protection contre les personnes puissantes.
assises du pouvoir
Le leadership est un processus supposant:
a) direction et subordination.
b) report et obéissance.
c) gestion et supervision.
d) influence et résistance.
a) direction et subordination.
La soumission, l’insubordination et l’incompétence représentent …. de la subordination.
des contreprototypes
Un type de leadership dont on ne discute pas souvent est le leadership:
a) en personne.
b) descendant.
c) hiérarchique.
d) ascendant.
d) ascendant.
….. se produit par des processus de revendication et d’attribution.
La construction de l’identité du leadership
Les gens utilisent …. pour décider s’ils doivent accorder une revendication de leadership.
les théories implicites
…. représente un choix sur la façon de s’engager avec les leaders pour produire le leadership.
La subordination
Lorsque les rôles de leadership au sommet sont répartis entre plusieurs personnes, on l’appelle:
a) leadership collectif.
b) leadership distribué.
c) coleadership.
d) leadership partagé.
c) coleadership.
La soumission est un exemple de:
a) distance hiérarchique marquée.
b) prototype de subordination.
c) contreprototype de subordination.
d) orientation constructive.
c) contreprototype de subordination.
L’obligation créée lorsque quelqu’un vous rend service est:
a) une orientation de rétroaction.
b) la norme de réciprocité.
c) une théorie implicite de subordination.
d) le leadership partagé.
b) la norme de réciprocité.
….. envisage le leadership comme un phénomène social qui se construit au gré d’interactions, plutôt que comme un ensemble de caractéristiques particulières des personnes et de leurs comportements.
Le leadership collectif
Selon ……., le leader a un effet déterminant sur les résultats de son organisation.
les théories des traits personnels et des comportements du leader
Les théories des comportements du leader regroupent les comportements de leadership en deux grandes catégories:
a) l’habilitation et la motivation.
b) la direction et le contrôle.
c) ceux qui sont liés à la capacité de guider et de motiver.
d) ceux qui sont axés sur les relations et ceux qui sont axés sur les tâches.
d) ceux qui sont axés sur les relations et ceux qui sont axés sur les tâches.
D’après la grille du leadership de Blake et Mouton, les leaders les plus efficaces sont ceux qui sont:
a) fortement orientés vers la tâche et fortement orientés vers autrui.
b) fortement orientés vers la tâche et faiblement orientés vers autrui.
c) faiblement orientés vers la tâche et fortement orientés vers autrui.
d) à mi-chemin entre les deux orientations.
b) fortement orientés vers la tâche et fortement orientés vers autrui.
Selon ……., l’efficacité du comportement de leader est fonction de la situation.
les théories du leadership situationnel
Le point de vue «inné» en matière de leadership signifie que les leaders devraient être:
a) développés.
b) sélectionnés.
c) formés.
d) transformés.
b) sélectionnés.
La recherche a démontré que le charisme est ….. pour la plupart des chefs de direction.
non bénéfique
Afin d’éviter les dangers du charisme, les leaders doivent réduire:
a) les transactions.
b) les comportements axés sur les tâches.
c) la distance hiérarchique.
d) les réseaux.
c) la distance hiérarchique.
Le leadership transformateur:
a) est semblable au leadership transactionnel.
b) est particulièrement utile lorsqu’il est associé au leadership transactionnel.
c) n’est aucunement lié au leadership charismatique.
d) est étudié depuis plus d’un siècle.
b) est particulièrement utile lorsqu’il est associé au leadership transactionnel.
Bass a modifié la théorie de Burns afin de mettre l’accent sur les ….., plutôt que sur un but moral et des valeurs plus élevées.
intérêts organisationnels
Le leadership authentique:
a) est un mode de leadership facile à exercer.
b) est la forme la plus courante de leadership.
c) signifie que le leader agit selon sa vraie nature.
d) choisit comme point de mire la connaissance d’autrui.
c) signifie que le leader agit selon sa vraie nature.
Les approches du leadership de complexité sont une solution de rechange aux principes organisationnels:
a) systémiques.
b) politiques.
c) transformateurs.
d) bureaucratiques.
d) bureaucratiques.
La principale contribution que la complexité offre au leadership est la compréhension:
a) de l’émergence.
b) du leadership administratif.
c) du leadership entrepreneurial.
d) de l’habilitation.
a) de l’émergence.
La théorie du leadership éthique est une théorie ….. du leadership.
normative
Lorsque les leaders créent une sensibilisation et une préoccupation morales, rehaussent le raisonnement moral et encouragent la responsabilité morale, ils créent plus de:
a) leadership transformateur.
b) climats éthiques.
c) climats habilitants.
d) authenticité.
b) climats éthiques.
15.
…… sont à l’écoute des valeurs spirituelles et considèrent que leur responsabilité est d’être des intendants pour le bien de la collectivité.
Les leaders au service des autres
…… sont à l’écoute des valeurs spirituelles et considèrent que leur responsabilité est d’être des intendants pour le bien de la collectivité.
Les leaders au service des autres
Une fois qu’un plan d’action a été choisi et mis en oeuvre, l’étape suivante du processus décisionnel consiste à:
a) répéter le processus.
b) rechercher d’autres problèmes ou possibilités.
c) évaluer les résultats.
d) fournir les documents étayant la décision.
c) évaluer les résultats.
Dans quel contexte décisionnel le décideur doit-il composer avec les probabilités concernant les actions possibles et leurs conséquences?
a) Le contexte de certitude.
b) Le contexte de risque.
c) Le contexte de stabilité.
d) Le contexte d’incertitude.
b) Le contexte de risque.
Lorsqu’une équipe s’attaque à la résolution d’un problème, étape par étape, rationnellement et méthodiquement, elle recourt:
a) à la pensée analytique.
b) à la pensée intuitive.
c) à la surenchère de réflexion.
d) à la pensée associative.
a) à la pensée analytique.
Un individu ou une équipe qui dispose d’une information limitée sur un problème donné et qui agit dans un contexte relativement risqué adoptera probablement:
a) une solution optimale.
b) le modèle décisionnel classique.
c) une solution satisfaisante.
d) une solution irrationnelle.
c) une solution satisfaisante.
Le responsable du marketing qui décide de ne pas lancer un produit sur le marché parce que le précédent produit lancé a été un échec est influencé par l’heuristique:
a) des données de référence.
b) de l’accessibilité mentale.
c) de l’ajustement.
d) de la représentativité.
b) de l’accessibilité mentale.
Pour évaluer l’aspect éthique d’une décision, on doit se poser des questions sur certains critères, notamment celui concernant …. pour s’assurer du respect des intérêts de tous les intervenants.
l’utilitarisme
Selon le modèle de Vroom, Yetton et Jago, pour choisir entre une décision par voie d’autorité, par consultation ou collective, on doit se fonder, notamment, sur des critères comme l’impératif de qualité de la décision, la somme d’information que possède le leader et:
a) l’impératif d’adhésion des subordonnés.
b) la taille de l’organisation.
c) le nombre d’intervenants.
d) la position hiérarchique du leader.
a) l’impératif d’adhésion des subordonnés.
….. est un piège qui pousse certains décideurs à maintenir leur engagement dans un plan d’action, même si tout indique qu’il ne fonctionne pas.
La surenchère irrationnelle
Selon le modèle décisionnel …., les individus prennent des décisions optimales, alors que selon le modèle décisionnel …., ils prennent les décisions qui leur paraissent satisfaisantes.
classique
comportemental
Une erreur courante que les décideurs commettent en situation de crise est:
a) de chercher à obtenir un trop grand nombre de données avant de réagir.
b) de trop s’appuyer sur la décision collective.
c) de s’isoler pour prendre la décision seul.
d) d’oublier de recourir à leur plan de gestion des crises.
c) de s’isoler pour prendre la décision seul.