Examen 1 Flashcards

1
Q

Définition de comportement organisationnel

A

L’étude du comportement humain au sein d’une organisation.

Il s’agit d’un modèle multidisciplinaire dans lequel on cherche à mieux comprendre le comportement des individus et des groupes, les processus interpersonnels et les dynamiques organisationnelles en vue d’améliorer l’efficacité organisationnelle et la satisfaction professionnelle.

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2
Q

Modèle

A

Vision simplifiée de la réalité par laquelle le chercheur tente d’expliquer un phénomène du monde réel.

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3
Q

Variable dépendante

A

Fait ou événement auquel le chercher s’intéresse et qui, selon son hypothèse de recherche, devrait varier sous l’effet de la variable indépendante.

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4
Q

Variable indépendante

A

Fait ou événement qui, selon l’hypothèse de recherche, devrait avoir une incidence sur la variable dépendante.

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5
Q

Approche de la contingence

A

Approche qui consiste à tenter de répondre aux besoins de gestion en tenant compte des particularités du contexte.

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6
Q

Gestion fondée sur des données probantes

A

Approche de gestion qui s’appuie, en matière de prise de décision, sur des faits indéniables et des preuves empiriques.

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7
Q

Le pouvoir social diffère de la …., qui est le pouvoir opérationnel contre la volonté d’une autre personne.

A

force

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8
Q

L’idée que le pouvoir social puisse être une ressource expansible est à la base de la tendance vers:

a) la pensée hiérarchique.
b) le jeu politique.
c) le pouvoir personnel.
d) l’habilitation.

A

d) l’habilitation

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9
Q

…….. stipule que si vous n’utilisez pas le pouvoir de façon adéquate, les autres feront en sorte de vous l’enlever.

A

La loi d’airain de la responsabilité

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10
Q

Le pouvoir légitime est une forme de pouvoir:

a) lié au poste.
b) personnel.
c) des relations.
d) de l’information.

A

a) lié au poste.

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11
Q

L’éventail des demandes des supérieurs auxquelles un subordonné accepte de se conformer sans jugements ni critiques s’appelle:

a) un jeu à somme nulle.
b) l’impuissance.
c) le savoir-faire politique.
d) la zone d’indifférence.

A

d) la zone d’indifférence.

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12
Q

….. est la capacité qu’a un individu d’influer sur le comportement d’autrui en lui refusant les récompenses qu’il convoite ou en le punissant.

A

Le pouvoir de coercition

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13
Q

Dans la société interconnectée et les organisations axées sur les connaissances d’aujourd’hui, …. devient de plus en plus important.

A

le pouvoir des relations

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14
Q

Le pouvoir émanant de personnes influentes que vous connaissez s’appelle:

a) le capital humain.
b) le pouvoir d’association.
c) le pouvoir de référence.
d) le pouvoir interpersonnel.

A

b) le pouvoir d’association.

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15
Q

…… est une forme passive de résistance qui implique la non-conformité.

A

La résistance dysfonctionnelle

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16
Q

Il est question de …… lorsque les personnes ne suivent pas le système officiel pour accomplir une tâche ou atteindre un objectif.

A

contournement

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17
Q

Le jeu politique en milieu organisationnel se manifeste dans ……. d’une organisation.

A

les systèmes informels

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18
Q

Le réseautage permet le développement du ….. au sein des organisations.

A

capital social

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19
Q

Les ….. aident les personnes à avoir de l’influence dans le milieu organisationnel et offrent une protection contre les personnes puissantes.

A

aptitudes sociales

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20
Q

Les ….. aident les personnes à avoir de l’influence dans le milieu organisationnel et offrent une protection contre les personnes puissantes.

A

assises du pouvoir

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21
Q

Le leadership est un processus supposant:

a) direction et subordination.
b) report et obéissance.
c) gestion et supervision.
d) influence et résistance.

A

a) direction et subordination.

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22
Q

La soumission, l’insubordination et l’incompétence représentent …. de la subordination.

A

des contreprototypes

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23
Q

Un type de leadership dont on ne discute pas souvent est le leadership:

a) en personne.
b) descendant.
c) hiérarchique.
d) ascendant.

A

d) ascendant.

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24
Q

….. se produit par des processus de revendication et d’attribution.

A

La construction de l’identité du leadership

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25
Q

Les gens utilisent …. pour décider s’ils doivent accorder une revendication de leadership.

A

les théories implicites

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26
Q

…. représente un choix sur la façon de s’engager avec les leaders pour produire le leadership.

A

La subordination

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27
Q

Lorsque les rôles de leadership au sommet sont répartis entre plusieurs personnes, on l’appelle:

a) leadership collectif.
b) leadership distribué.
c) coleadership.
d) leadership partagé.

A

c) coleadership.

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28
Q

La soumission est un exemple de:

a) distance hiérarchique marquée.
b) prototype de subordination.
c) contreprototype de subordination.
d) orientation constructive.

A

c) contreprototype de subordination.

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29
Q

L’obligation créée lorsque quelqu’un vous rend service est:

a) une orientation de rétroaction.
b) la norme de réciprocité.
c) une théorie implicite de subordination.
d) le leadership partagé.

A

b) la norme de réciprocité.

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30
Q

….. envisage le leadership comme un phénomène social qui se construit au gré d’interactions, plutôt que comme un ensemble de caractéristiques particulières des personnes et de leurs comportements.

A

Le leadership collectif

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31
Q

Selon ……., le leader a un effet déterminant sur les résultats de son organisation.

A

les théories des traits personnels et des comportements du leader

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32
Q

Les théories des comportements du leader regroupent les comportements de leadership en deux grandes catégories:

a) l’habilitation et la motivation.
b) la direction et le contrôle.
c) ceux qui sont liés à la capacité de guider et de motiver.
d) ceux qui sont axés sur les relations et ceux qui sont axés sur les tâches.

A

d) ceux qui sont axés sur les relations et ceux qui sont axés sur les tâches.

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33
Q

D’après la grille du leadership de Blake et Mouton, les leaders les plus efficaces sont ceux qui sont:

a) fortement orientés vers la tâche et fortement orientés vers autrui.
b) fortement orientés vers la tâche et faiblement orientés vers autrui.
c) faiblement orientés vers la tâche et fortement orientés vers autrui.
d) à mi-chemin entre les deux orientations.

A

b) fortement orientés vers la tâche et fortement orientés vers autrui.

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34
Q

Selon ……., l’efficacité du comportement de leader est fonction de la situation.

A

les théories du leadership situationnel

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35
Q

Le point de vue «inné» en matière de leadership signifie que les leaders devraient être:

a) développés.
b) sélectionnés.
c) formés.
d) transformés.

A

b) sélectionnés.

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36
Q

La recherche a démontré que le charisme est ….. pour la plupart des chefs de direction.

A

non bénéfique

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37
Q

Afin d’éviter les dangers du charisme, les leaders doivent réduire:

a) les transactions.
b) les comportements axés sur les tâches.
c) la distance hiérarchique.
d) les réseaux.

A

c) la distance hiérarchique.

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38
Q

Le leadership transformateur:

a) est semblable au leadership transactionnel.
b) est particulièrement utile lorsqu’il est associé au leadership transactionnel.
c) n’est aucunement lié au leadership charismatique.
d) est étudié depuis plus d’un siècle.

A

b) est particulièrement utile lorsqu’il est associé au leadership transactionnel.

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39
Q

Bass a modifié la théorie de Burns afin de mettre l’accent sur les ….., plutôt que sur un but moral et des valeurs plus élevées.

A

intérêts organisationnels

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40
Q

Le leadership authentique:

a) est un mode de leadership facile à exercer.
b) est la forme la plus courante de leadership.
c) signifie que le leader agit selon sa vraie nature.
d) choisit comme point de mire la connaissance d’autrui.

A

c) signifie que le leader agit selon sa vraie nature.

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41
Q

Les approches du leadership de complexité sont une solution de rechange aux principes organisationnels:

a) systémiques.
b) politiques.
c) transformateurs.
d) bureaucratiques.

A

d) bureaucratiques.

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42
Q

La principale contribution que la complexité offre au leadership est la compréhension:

a) de l’émergence.
b) du leadership administratif.
c) du leadership entrepreneurial.
d) de l’habilitation.

A

a) de l’émergence.

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43
Q

La théorie du leadership éthique est une théorie ….. du leadership.

A

normative

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44
Q

Lorsque les leaders créent une sensibilisation et une préoccupation morales, rehaussent le raisonnement moral et encouragent la responsabilité morale, ils créent plus de:

a) leadership transformateur.
b) climats éthiques.
c) climats habilitants.
d) authenticité.

A

b) climats éthiques.

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45
Q

15.

…… sont à l’écoute des valeurs spirituelles et considèrent que leur responsabilité est d’être des intendants pour le bien de la collectivité.

A

Les leaders au service des autres

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46
Q

…… sont à l’écoute des valeurs spirituelles et considèrent que leur responsabilité est d’être des intendants pour le bien de la collectivité.

A

Les leaders au service des autres

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47
Q

Une fois qu’un plan d’action a été choisi et mis en oeuvre, l’étape suivante du processus décisionnel consiste à:

a) répéter le processus.
b) rechercher d’autres problèmes ou possibilités.
c) évaluer les résultats.
d) fournir les documents étayant la décision.

A

c) évaluer les résultats.

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48
Q

Dans quel contexte décisionnel le décideur doit-il composer avec les probabilités concernant les actions possibles et leurs conséquences?

a) Le contexte de certitude.
b) Le contexte de risque.
c) Le contexte de stabilité.
d) Le contexte d’incertitude.

A

b) Le contexte de risque.

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49
Q

Lorsqu’une équipe s’attaque à la résolution d’un problème, étape par étape, rationnellement et méthodiquement, elle recourt:

a) à la pensée analytique.
b) à la pensée intuitive.
c) à la surenchère de réflexion.
d) à la pensée associative.

A

a) à la pensée analytique.

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50
Q

Un individu ou une équipe qui dispose d’une information limitée sur un problème donné et qui agit dans un contexte relativement risqué adoptera probablement:

a) une solution optimale.
b) le modèle décisionnel classique.
c) une solution satisfaisante.
d) une solution irrationnelle.

A

c) une solution satisfaisante.

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51
Q

Le responsable du marketing qui décide de ne pas lancer un produit sur le marché parce que le précédent produit lancé a été un échec est influencé par l’heuristique:

a) des données de référence.
b) de l’accessibilité mentale.
c) de l’ajustement.
d) de la représentativité.

A

b) de l’accessibilité mentale.

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52
Q

Pour évaluer l’aspect éthique d’une décision, on doit se poser des questions sur certains critères, notamment celui concernant …. pour s’assurer du respect des intérêts de tous les intervenants.

A

l’utilitarisme

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53
Q

Selon le modèle de Vroom, Yetton et Jago, pour choisir entre une décision par voie d’autorité, par consultation ou collective, on doit se fonder, notamment, sur des critères comme l’impératif de qualité de la décision, la somme d’information que possède le leader et:

a) l’impératif d’adhésion des subordonnés.
b) la taille de l’organisation.
c) le nombre d’intervenants.
d) la position hiérarchique du leader.

A

a) l’impératif d’adhésion des subordonnés.

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54
Q

….. est un piège qui pousse certains décideurs à maintenir leur engagement dans un plan d’action, même si tout indique qu’il ne fonctionne pas.

A

La surenchère irrationnelle

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55
Q

Selon le modèle décisionnel …., les individus prennent des décisions optimales, alors que selon le modèle décisionnel …., ils prennent les décisions qui leur paraissent satisfaisantes.

A

classique

comportemental

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56
Q

Une erreur courante que les décideurs commettent en situation de crise est:

a) de chercher à obtenir un trop grand nombre de données avant de réagir.
b) de trop s’appuyer sur la décision collective.
c) de s’isoler pour prendre la décision seul.
d) d’oublier de recourir à leur plan de gestion des crises.

A

c) de s’isoler pour prendre la décision seul.

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57
Q

Quel est le désavantage d’une décision collective plutôt que par voie d’autorité?

a) Les gens sont mieux informés quant à la raison de la décision.
b) La décision est trop longue à prendre.
c) Davantage de renseignements sont utilisés pour prendre la décision.
d) La décision ne sera jamais de qualité élevée.

A

b) La décision est trop longue à prendre.

58
Q

…. est un procédé qui consiste à évaluer la probabilité d’un événement en se fondant sur les similitudes qu’il présente avec d’autres situations à propos desquelles on entretient des idées préconçues.

A

L’heuristique de la représentativité

59
Q

…. est un procédé qui consiste à évaluer un événement en se fondant sur des données provenant d’expériences passées ou d’une source extérieure et adaptées aux nouvelles circonstances.

A

L’heuristique des données de référence

60
Q

…. est la tendance poussant l’individu à rechercher l’information qui confirme ce qu’il croit être vrai et à faire fi de celle qui pourrait infirmer ses convictions ou à la négliger.

A

Le piège de la confirmation

61
Q

Les catalyseurs de la créativité collective sont la présence de personnes créatives dans l’équipe, les techniques d’aide à la décision et:

a) la motivation à exécuter la tâche.
b) la maîtrise de la tâche.
c) des objectifs à long terme.
d) le soutien externe.

A

d) le soutien externe.

62
Q

Les catalyseurs de la créativité collective sont la présence de personnes créatives dans l’équipe, les techniques d’aide à la décision et:

a) la motivation à exécuter la tâche.
b) la maîtrise de la tâche.
c) des objectifs à long terme.
d) le soutien externe.

A

d) le soutien externe.

63
Q

Dans le processus de communication, …. est un facteur qui interfère dans la transmission du message.

A

le bruit parasite

64
Q

Toute rétroaction donnée à un collègue ou à un employé devrait:

a) être générale et non particulière.
b) être communiquée au moment le plus propice pour l’émetteur.
c) être positive et mettre l’accent sur l’amélioration.
d) être donnée en public.

A

c) être positive et mettre l’accent sur l’amélioration.

65
Q

Quel est le canal le plus approprié pour la transmission d’un message complexe exigeant une réponse?

a) La conversation face à face.
b) La note de service.
c) Le courriel.
d) L’appel téléphonique.

A

a) La conversation face à face.

66
Q

Si les mots que prononce une personne sont contredits par les signaux non verbaux de son langage corporel, on est en présence:

a) d’un message ethnocentrique.
b) d’un message contradictoire.
c) d’un problème sémantique.
d) de l’effet de la position hiérarchique.

A

b) d’un message contradictoire.

67
Q

Les préjugés personnels sont un exemple de ….. dans le processus de communication.

A

barrière relationnelle

68
Q

Le cloisonnement administratif …. la communication horizontale.

A

entrave

69
Q

….. est un exemple de canal informel qui fait circuler de l’information au sein d’une entreprise.

A

Le bouche-à-oreille

70
Q

Les relations évoluent selon un processus:

a) de sollicitation de rétroaction.
b) de transmission de rétroaction.
c) d’écoute active.
d) de mise à l’épreuve relationnelle.

A

d) de mise à l’épreuve relationnelle.

71
Q

…. font en sorte qu’une relation retourne aux processus actifs de tests.

A

Les principes de la communication collaborative

72
Q

L’un des problèmes de la communication électronique réside dans:

a) la difficulté à en saisir les aspects émotionnels.
b) son caractère personnel.
c) la lenteur dans le processus de transmission d’information.
d) l’accès limité à l’information transmise.

A

a) la difficulté à en saisir les aspects émotionnels.

73
Q

Un gestionnaire qui souhaite favoriser la parole dans son service doit renforcer:

a) la bureaucratie.
b) la confiance.
c) la hiérarchie.
d) le bouche-à-oreille.

A

b) la confiance.

74
Q

….. démontre pourquoi la rétroaction constructive est si importante.

A

La fenêtre de Johari

75
Q

Si une personne est déconcertée parce qu’elle ne comprend pas le mot que l’autre personne utilise, la communication souffre d’une barrière:

a) d’écoute.
b) interpersonnelle.
c) sémantique.
d) culturelle.

A

c) sémantique.

76
Q

L’écoute active repose essentiellement sur:

a) le questionnement et le conseil.
b) le reflet et le conseil.
c) le reflet et le questionnement.
d) le conseil et la déviation.

A

c) le reflet et le questionnement.

77
Q

Le principal objectif de la communication collaborative est:

a) d’éviter les attitudes défensives et le démenti.
b) de favoriser la parole.
c) de réduire le silence.
d) d’accroître la réceptivité à la rétroaction.

A

a) d’éviter les attitudes défensives et le démenti.

78
Q

Le principal objectif de la communication collaborative est:

a) d’éviter les attitudes défensives et le démenti.
b) de favoriser la parole.
c) de réduire le silence.
d) d’accroître la réceptivité à la rétroaction.

A

a) d’éviter les attitudes défensives et le démenti.

79
Q

….. se manifeste sous la forme d’un désaccord fondamental sur les objectifs à atteindre ou sur les moyens d’y parvenir.

A

Le conflit de fond

80
Q

….. se manifeste sous la forme d’un désaccord fondamental sur les objectifs à atteindre ou sur les moyens d’y parvenir.

A

Le conflit de fond

81
Q

En gestion de conflit, le …. est une approche indirecte qui s’appuie sur la voie hiérarchique.

A

recours aux supérieurs hiérarchiques

82
Q

En règle générale, les conflits qui s’avèrent finalement «constructifs» pour les individus et l’organisation sont:

a) d’intensité élevée.
b) d’intensité modérée.
c) de faible intensité.
d) inexistants.

A

b) d’intensité modérée.

83
Q

L’un des problèmes associés à la suppression des conflits, c’est qu’elle:

a) fait des gagnants et des perdants.
b) ne constitue qu’une solution temporaire et ouvre la voie à des conflits ultérieurs de même nature.
c) permet uniquement de régler les conflits émotionnels.
d) permet uniquement de régler les conflits de fond.

A

b) ne constitue qu’une solution temporaire et ouvre la voie à des conflits ultérieurs de même nature.

84
Q

Le gestionnaire qui recentre l’attention des parties antagonistes sur la mission et la raison d’être de l’organisation, en tentant de resituer les désaccords dans ce cadre, emploie une stratégie de gestion des conflits axée sur:

a) la diminution de l’interdépendance.
b) la constitution de stocks tampons.
c) l’accroissement des ressources.
d) l’appel aux objectifs communs.

A

d) l’appel aux objectifs communs.

85
Q

Parmi les conflits intrapersonnels, le conflit de type …… se manifeste lorsque la personne doit choisir entre deux lignes de conduite également attrayantes.

A

approche-approche

86
Q

Si deux unités d’une organisation, dont les intrants de l’une sont constitués des extrants de l’autre, sont engagées dans un conflit presque perpétuel, quelle stratégie pourrait adopter le chef de service qui décide qu’il est temps d’intervenir et d’en diminuer l’interdépendance?

a) Le compromis.
b) Le recours à des stocks tampons.
c) L’appel à des objectifs communs.
d) Le recours aux supérieurs hiérarchiques.

A

b) Le recours à des stocks tampons.

87
Q

Parmi les approches suivantes, laquelle aboutit généralement à une situation dans laquelle tout le monde est perdant?

a) La désignation d’une personne appelée à servir de courroie de transmission entre les parties antagonistes.
b) La modification des scénarios et des mythes organisationnels.
c) L’accommodation.
d) La résolution de problème.

A

c) L’accommodation.

88
Q

Selon la grille d’analyse des diverses stratégies de gestion directe des conflits, …. se caractérise par des degrés élevés d’affirmation de soi et de coopération.

A

la résolution de problème

89
Q

….. sont deux dimensions à considérer au moment d’une négociation.

A

Les questions de fond et les relations entre les personnes engagées dans la négociation

90
Q

Les deux critères d’une négociation efficace ou fructueuse sont:

a) la qualité de l’accord et l’harmonie.
b) l’efficience et le respect de l’éthique.
c) le respect de l’éthique et l’efficience.
d) la qualité de l’accord et l’aspect pratique.

A

a) la qualité de l’accord et l’harmonie.

91
Q

Lequel des énoncés suivants est vrai?

a) La négociation raisonnée débouche sur l’accommodation.
b) La négociation distributive en version dure débouche sur la résolution de problème.
c) La négociation distributive en version douce débouche sur l’accommodation ou le compromis.
d) La négociation distributive en version dure débouche sur une situation où tout le monde est gagnant.

A

c) La négociation distributive en version douce débouche sur l’accommodation ou le compromis.

92
Q

La négociation raisonnée est aussi appelée:

a) arbitrage.
b) médiation.
c) négociation à gains mutuels.
d) accommodation.

A

c) négociation à gains mutuels.

93
Q

Quel obstacle à la négociation survient quand les participants partent de l’hypothèse erronée qu’un gain ne peut s’obtenir qu’en retirant quelque chose à l’autre?

a) Le mythe du jeu à somme nulle.
b) La surenchère irrationnelle.
c) L’assurance excessive.
d) Un problème d’écoute.

A

a) Le mythe du jeu à somme nulle.

94
Q

…. est un mode de règlement des différends par lequel un tiers neutre agit comme «juge» et décide d’un règlement du différend.

A

L’arbitrage

95
Q

…. est un mode de règlement des différends par lequel un tiers neutre agit comme «juge» et décide d’un règlement du différend.

A

L’arbitrage

96
Q

Les types d’objectifs les plus importants, pour la plupart des organisations, sont les objectifs:

a) sociétaux, personnels et de production.
b) sociétaux, de production et stratégiques.
c) personnels et impersonnels.
d) de rentabilité, de responsabilité organisationnelle et personnels.

A

b) sociétaux, de production et stratégiques.

97
Q

La représentation graphique de la structure formelle d’une organisation est:

a) un diagramme environnemental.
b) un organigramme.
c) un diagramme horizontal.
d) une description matricielle.

A

b) un organigramme.

98
Q

Ce qui distingue l’unité opérationnelle de l’unité fonctionnelle a trait:

a) à la quantité de ressources dont l’une et l’autre disposent.
b) aux liens entre leurs tâches et les objectifs de l’organisation.
c) à la scolarité et à la formation de leurs membres.
d) à leur utilisation des systèmes de communication informatisés.

A

b) aux liens entre leurs tâches et les objectifs de l’organisation.

99
Q

Lequel des éléments suivants ne fait pas partie des activités de contrôle?

a) L’évaluation des résultats.
b) La fixation d’objectifs.
c) L’instauration de mesures correctives.
d) La sélection de la main-d’œuvre.

A

d) La sélection de la main-d’œuvre.

100
Q

Le regroupement des individus par compétences, connaissances et activités mène à la création:

a) d’une structure divisionnaire.
b) d’une structure fonctionnelle.
c) d’une structure matricielle.
d) d’un conglomérat.

A

b) d’une structure fonctionnelle.

101
Q

Le regroupement des ressources, en fonction à la fois, des services fonctionnels et des projets spéciaux, est un exemple de la structure:

a) divisionnaire.
b) fonctionnelle.
c) verticale.
d) matricielle.

A

d) matricielle.

102
Q

La structure matricielle:

a) renforce l’unité de commandement.
b) n’est pas onéreuse.
c) est facile à expliquer aux travailleurs.
d) est telle que certains travailleurs ont deux patrons.

A

d) est telle que certains travailleurs ont deux patrons.

103
Q

…… est un ensemble de mécanismes qu’utilise l’organisation pour établir un agencement cohérent des activités de ses diverses unités.

A

La coordination

104
Q

La structure d’une organisation doit s’adapter à tous ces facteurs, sauf un. Lequel?

a) Son environnement.
b) Sa stratégie organisationnelle.
c) Son âge et sa taille.
d) Les travailleurs qu’elle embauchera.

A

d) Les travailleurs qu’elle embauchera.

105
Q

Laquelle des affirmations suivantes s’applique le mieux à l’adhocratie?

a) Cette structure facilite l’échange d’information et l’apprentissage organisationnel.
b) Elle se caractérise par un très grand nombre de directives et de politiques.
c) Elle n’a que très peu recours aux TIC.
d) Elle traite les problèmes courants avec une grande efficacité.

A

a) Cette structure facilite l’échange d’information et l’apprentissage organisationnel.

106
Q

….. est le processus qui consiste à déterminer la structure d’organisation la plus appropriée et à la mettre en œuvre.

A

La conception organisationnelle

107
Q

….. consiste(nt) en une combinaison des ressources, des connaissances et des techniques qui permettent à l’organisation de créer un bien ou un service.

A

Les technologies liées aux activités d’exploitation

108
Q

La complexité de l’environnement:

a) fait référence aux jeux d’alliances entre les cadres supérieurs.
b) fait référence à l’ampleur des problèmes et des occasions qui se présentent dans l’environnement organisationnel global et immédiat.
c) ne fait référence qu’à l’environnement général de l’organisation.
d) ne fait référence qu’aux organisations avec lesquelles une entreprise doit interagir pour obtenir des intrants et écouler ses extrants.

A

b) fait référence à l’ampleur des problèmes et des occasions qui se présentent dans l’environnement organisationnel global et immédiat.

109
Q

Le segment de l’environnement qui concerne les sociétés avec lesquelles l’organisation doit entrer en interaction à la fois pour obtenir des intrants et pour écouler ses produits s’appelle:

a) l’environnement global.
b) l’environnement stratégique.
c) le milieu d’apprentissage organisationnel.
d) l’environnement immédiat.

A

d) l’environnement immédiat.

110
Q

En comparaison avec la bureaucratie mécaniste, la bureaucratie professionnelle (ou structure organique):

a) est plus efficace pour les activités de routine.
b) privilégie davantage la spécialisation verticale et les mécanismes de contrôle.
c) est de plus grande taille.
d) privilégie davantage la spécialisation horizontale et la décentralisation.

A

d) privilégie davantage la spécialisation horizontale et la décentralisation.

111
Q

La culture organisationnelle concerne tous ces éléments, sauf un. Lequel?

a) Les hypothèses communes des membres de l’organisation.
b) Les capacités acquises des membres de l’organisation.
c) La personnalité du dirigeant.
d) Les croyances communes des membres de l’organisation.

A

c) La personnalité du dirigeant.

112
Q

Les trois dimensions de la culture organisationnelle décrites dans ce chapitre sont:

a) la culture apparente, les valeurs communes et les hypothèses communes.
b) les récits, les rites et les rituels.
c) les symboles, les mythes et les récits.
d) la culture manifeste, la culture latente et les objets tangibles.

A

a) la culture apparente, les valeurs communes et les hypothèses communes.

113
Q

Le terme «adaptation externe» désigne:

a) les croyances non fondées des cadres supérieurs.
b) le processus qui permet à l’organisation de composer avec les forces de l’environnement.
c) la vision du fondateur.
d) le processus de collaboration au sein de l’organisation.

A

b) le processus qui permet à l’organisation de composer avec les forces de l’environnement.

114
Q

Le terme «intégration interne» désigne:

a) le processus par lequel les membres de l’organisation se donnent une identité collective et harmonisent leurs façons de travailler ensemble.
b) un ensemble de croyances non fondées et acceptées inconditionnellement, justifiant les procédés utilisés dans l’organisation.
c) des sous-groupes qui possèdent leurs propres valeurs et rejettent celles de la collectivité.
d) le processus qui permet à l’organisation de composer avec les forces de l’environnement.

A

a) le processus par lequel les membres de l’organisation se donnent une identité collective et harmonisent leurs façons de travailler ensemble.

115
Q

La coutume voulant que les ouvriers japonais commencent leur journée en faisant de la gymnastique et en chantant en choeur l’hymne de l’organisation est un exemple:

a) de symbole.
b) de mythe organisationnel.
c) d’hypothèse commune.
d) de rituel.

A

d) de rituel.

116
Q

Le terme ….. désigne le sentiment qu’ont les travailleurs de contribuer à un objectif plus vaste, qu’ils associent à leurs activités quotidiennes et qu’ils acquièrent au fur et à mesure de leurs interactions.

A

«signification commune»

117
Q

L’histoire d’un redressement miraculeux d’entreprise attribuable aux efforts d’un gestionnaire visionnaire est un exemple:

a) d’épopée.
b) de mythe fondateur.
c) d’intégration interne.
d) de concrétisation d’une culture latente.

A

a) d’épopée.

118
Q

Le processus de génération et de mise en pratique de nouvelles idées porte le nom:

a) d’innovation.
b) de destruction créative.
c) d’innovation en matière de produits.
d) d’innovation en matière de procédés.

A

a) d’innovation.

119
Q

Un objet, une action ou un événement qui sert à perpétuer une signification culturelle porte le nom de:

a) récit.
b) symbole culturel.
c) décalage culturel.
d) mythe culturel.

A

b) symbole culturel.

120
Q

Les groupes ayant des valeurs en opposition à celles de l’organisation dans son ensemble:

a) prônent le refus de l’adaptation externe.
b) acceptent le décalage culturel.
c) forment des contre-cultures.
d) créent des mythes organisationnels.

A

c) forment des contre-cultures.

121
Q

Les groupes ayant des valeurs et une philosophie propres restant en harmonie avec la culture dominante de l’organisation:

a) forment des contre-cultures.
b) forment des sous-cultures.
c) créent les récits.
d) créent des rituels.

A

b) forment des sous-cultures.

122
Q

….. fait le lien entre les questions clés relatives aux objectifs de l’organisation et celles relatives à la collaboration entre ses membres pour déterminer les méthodes générales que l’organisation devrait adopter dans la conduite de ses affaires.

A

La philosophie de gestion

123
Q

Les relations de cause à effet qu’on accepte couramment, mais qui ne sont pas confirmées par l’expérience, forment:

a) le décalage culturel.
b) les rituels.
c) la philosophie de gestion.
d) les mythes organisationnels.

A

d) les mythes organisationnels.

124
Q

Les quatre grandes étapes du processus d’innovation sont:

a) l’imagination, l’expérimentation, l’étude de faisabilité et l’application.
b) l’imagination, l’expérimentation, l’évaluation et le renforcement.
c) la collecte des données, le diagnostic, l’application et le suivi.
d) la collecte des données, le diagnostic, l’étude de faisabilité et l’application.

A

a) l’imagination, l’expérimentation, l’étude de faisabilité et l’application.

125
Q

On parle de …. lorsque les schémas de la culture dominante ne s’accordent pas avec les innovations émergentes.

A

décalage culturel

126
Q

Quel type de changement modifie en profondeur les caractéristiques fondamentales de l’organisation?

a) Le changement transformateur.
b) Le changement graduel.
c) Le changement transactionnel.
d) Le changement hiérarchique.

A

a) Le changement transformateur.

127
Q

La forme la plus courante de changement est le changement:

a) transformateur.
b) graduel.
c) transactionnel.
d) hiérarchique.

A

b) graduel.

128
Q

….. est une stratégie de changement planifié où l’agent de changement a recours à l’autorité, aux récompenses et aux punitions pour amener les personnes à se soumettre à sa proposition de changement.

A

La stratégie de coercition

129
Q

….. est une méthode pour faire face à la résistance au changement par laquelle l’agent de changement peut menacer de diverses sanctions les personnes qui résistent ou pourraient résister au changement.

A

La coercition explicite ou implicite

130
Q

Dans un processus de changement planifié, la prise de conscience de la nécessité d’un changement se fait à l’étape:

a) du diagnostic.
b) de l’évaluation.
c) de la décristallisation.
d) de l’instauration du changement.

A

c) de la décristallisation.

131
Q

….. est une stratégie de changement planifié par laquelle l’agent de changement s’appuie essentiellement sur son pouvoir d’expertise.

A

La stratégie de persuasion rationnelle

132
Q

La stratégie de ….. débouche souvent sur une soumission temporaire au changement planifié.

A

coercition

133
Q

L’une des conditions d’un changement planifié réussi suppose la perception d’une amélioration par rapport à ce qui se faisait auparavant. De quelle condition s’agit-il?

a) Le changement doit être bénéfique.
b) Le changement doit s’accompagner d’une période d’essai.
c) Le changement doit être relativement simple.
d) Le changement doit être conciliable avec les caractéristiques des individus concernés.

A

a) Le changement doit être bénéfique.

134
Q

La stratégie de …. est une stratégie de changement planifié par laquelle l’agent de changement s’appuie essentiellement sur son pouvoir de référence.

A

partage du pouvoir

135
Q

La surcharge qualitative et quantitative de travail ainsi que le manque de participation aux décisions sont des facteurs de stress ….; en revanche, les difficultés financières et le divorce sont des facteurs de stress liés à …..

A

liés à la vie professionnelle

la vie personnelle

136
Q

Le stress éprouvé par une personne qui ne sait pas ou qui ne comprend pas ce qu’on attend d’elle est attribuable à:

a) un conflit de rôles.
b) une surcharge quantitative de travail.
c) des problèmes de relations interpersonnelles.
d) une ambiguïté de rôle.

A

d) une ambiguïté de rôle.

137
Q

…. est un exemple typique de facteur de stress lié à la vie personnelle.

A

Un problème matrimonial ou amoureux

138
Q

Phénomènes associés à un stress excessif, la perte d’intérêt pour le travail, le cynisme et le faible sentiment d’accomplissement personnel peuvent être des signes que la personne:

a) fait face à un dilemme éthique.
b) souffre d’épuisement professionnel.
c) possède une personnalité de type A.
d) possède une personnalité de type B.

A

b) souffre d’épuisement professionnel.

139
Q

Le terme ….. désigne le facteur de stress auquel fait face une personne qui doit accomplir des tâches qu’elle estime monotones et répétitives.

A

sous-charge qualitative de travail

140
Q

Lequel des éléments suivants ne constitue pas une stratégie de gestion du stress du premier groupe, visant à réduire ou à éliminer un agent de stress?

a) La clarification de rôle.
b) L’augmentation de l’autonomie.
c) La pratique régulière d’exercices physiques.
d) La mise en place d’horaires de travail flexibles.

A

c) La pratique régulière d’exercices physiques.