Examen 1 Flashcards
2 différents sens de “fluency”
- fluent in a language
- fluent speech
3 axes de “fluency + stuttering” de Starkweather
- effort/tension (mental ou physique)
- continuité (aspects de temps)
- débit (rythme/timing)
Différence entre :
trouble de disfluidité
et
moment de disfluidité
Trouble de disfluidité = bégaiement.
- trouble à base neurologique qui affecte capacité de séquencer mouvements parole.
Moment de disfluidité =
répétitions/prolongations/blocages à fréquence/durée anormalement haute
5 éléments de définition du bégaiement selon Wingate
- Interruption de fluidité (progression / “forward flow”) de la parole
- Involontaire
- Remarquable / évident / fréquence-durée anormale
- Comportements principaux (répét., prolon., blocs)
- Comportements secondaires (réponse physiologique, émotionnelle, sociale)
Différences entre bégaiement et disfluidité normale
en lieu
Bégaiement = surtout à l’intérieur des mots (tendance à se grouper)
Disfluidité normale = entre mots
Différences entre bégaiement et disfluidité normale
en comportement
Bégaiement = répétitions (partie mots, mots), prolongations, blocs
Disfluidité normale = répétition (mots, phrases), révisions, interjection (fillers).
Différences entre bégaiement et disfluidité normale
en fréquence
Bégaiement = 2x plus fréquent que pairs; remarquable à 10% syllabes
Disfluidité normale = sous 10% syllabes
Différences entre bégaiement et disfluidité normale
en durée
Bégaiement = 3+ répétitions (rapides)
Disfluidité normale = 1-2 répétitions
Différences entre bégaiement et disfluidité normale
en réaction
Bégaiement = comportements secondaires, évitement, crainte/anxiété
Disfluidité normale = Aucune
2 types d’exemples d’évitement
Exemples linguistiques d’évitement:
révisions | interjections | substitution mots | hésitation | circonlocution
Exemples sociaux d’évitement:
éviter parler | éviter personnes | quitter salle | pas appliquer pour promotions
3 exemples de comportements secondaires
- évitement (façon de remettre à plus tard ou éviter moments de bégaiement - linguistique / sociale)
- réponses physiologiques (anxiété; tension)
- réponses émotionnelles (gêne; honte; frustration; attitudes négatives)
Quelles parties du “stuttering iceberg”?
surface = blocs, répétitions, prolongations, cmpts secondaires profondeur = peur, honte, culpabilité, anxiété, isolation, déni, désespoir
Explication de classification OSM:
trouble –> incapacité –> handicap
Trouble = cmpts du bégaiement --> Incapacités = interactions de cmn insatisfaisantes --> Handicap = peurs situationelles/évitement
“impairment is physiological difference”
“up to you OR society if it’s a handicap”
Qu’est-ce que bcp des premiers orthophonistes et chercheurs avaient en commun?
Plusieurs étaient des OQB
Historique du bégaiement:
Lee Edward Travis (3)
Lee Edward Travis (3) 1920-1960 établi programme orthophonie à Iowa théorie de manque de dominace cérébrale premier à utiliser mesures EEG
Historique du bégaiement: Bryng Bryngelson (1)
Bryng Bryngelson (1) 1920-1930 "dysphémie" à cause de manque de dominance cerveau gauche
Historique du bégaiement: Wendell Johnson (3)
Wendell Johnson
1940-1960
“I became a slp because I needed one”
théorie diadosogénétique - bégaiement causé par “helicopter parents”
Tudor/Monster study - étude dans orphelinat, ceux qui se sont fait dire “as bad as you think” réagissent plus à leurs disluidités (“self-conscious”)
Historique du bégaiement: Joseph Sheehan (1)
1970
“no win situation” qui cause anxiété - désir de parler VS. peur de bégayer
Historique du bégaiement:
Gottwald et Starkweather (1)
1980 - ajd
demandes et capacités
Historique du bégaiement:
Bloodstein (1)
1980 - ajd
bégaiement primaire et secondaire (trouble cmn + crainte anticipatoire)
Prévalence et incidence du bégaiement
Prévalence = 1% (nombre actuel)
Incidence = 4-5% (nombre personnes “ever”
Différence veut dire que plupart ont récupéré spontanément.
Ratio de garçon-fille et bégaiement
1:1 enfant
3:1 âge scolaire
5:1, 6:1 par 10 ans
(plus garçons, plus que ça vieillit)
4 facteurs qui peuvent jouer rôle dans la variabilité
- langage parlé (p.ex. francais vs anglais)
- contexte
- style d’interaction avec partenaire
- émotions
8 facteurs de trouble bégaiement qui va guérir vs persister
histoire familiale
sexe (filles jeunes = plus chance guérison)
âge au début (tard persiste)
durée (12-18 mois peut récupération spontanée)
sévérité (grave = pire outcome)
changements patron bégaiement (plus facile traiter stable)
parole (délai = pire)
langage (délai = pire)
3 grands thèmes de recherche actuelle en bégaiement
hérédité
système moteur
apprentissage
4 éléments du modèle multifactoriel du Michael Palin Centre for Stuttering Children
- facteurs physiologiques
(p. ex. historique familial, coordination motrice) - facteurs linguistiques
(p. ex. délai langage, LMÉ) - facteurs psychologiques/émotionels
(p. ex. personalité sensible) - facteurs environnementaux
(p. ex. environnement linguistique)
Diagramme de Venn avec bégaiement au milieu + autres combinaisons de facteurs (p.ex. physio + ling = débit parole)
(Michael Palin Centre for Stuttering Children:
mis moins d’emphase sur problème, plus sur les solutions.
élaboré SFBT - solution focused based therapy)
4 éléments d’évidence génétique pour bégaiement
- historique familial
(69% des PQB ont antécédents familiaux) - études jumeaux
(identiques vs. non-identiques - jumeaux identiques on plus chances bégayer que non identiques) - études familiales agrégées (statistiques)
(femmes passent matériel génétique pour bégaiement) - preuves biologiques
(contribution de plusieurs gènes et +/- 5 chromosomes)
(p.ex. mutation de 3 gènes sur chromosomes 12 qui contrôlent cellules gliales = affectent dév cerveau et causent délai coordination/contrôle moteur + régulation émotions)
(p.ex. protéines qui affectent santé cellule)
(p.ex. biologie des cellules - lysosomes défectueux affectent développement cerveau)
Qu’est-ce qui est hérédité par rapport au bégaiement?
vulnérabilité/prédisposition (loads the gun)
recherches peuvent pas établir lien de causalité
4 faits qui appuient déficits moteurs comme cause bégaiement
- VOT plus lent
- mouvements séquentiels des doigts plus lents
- manque de tracking auditif (“covert repair hypothesis” de Kolk et Postma)
- moins activation dans HG et plus dans HD pour PQB (études de neuroimagerie)
Expliquer “covert repair hypothesis” de Kolk et Postma (correction des erreurs anticipées)
- surveillance auditive défectueuse pour sotie de la parole séquentielle
- explique pq DAF, choral speech, prolongation, …, aident la fluidité
4 buts de l’évaluation
- établir relation thérapeutique
(commencer à connaître le client, gagner sa confiance) - collecte d’informations (anamnèse)
- établir niveau de base
- décider si oui/non faire tx, et quelle approche serait pertinente
2 questions principales de début évaluation
- qu’est-ce que vous faites QUAND vous bégayez?
(manifestation motrice) - qu’est-ce que vous faites À CAUSE du bégaiement?
(évitement, effets handicapants)
éléments récoltés lors de l’anamnèse (4 catégories)
- consentement
- informations personnelles
(âge, occupation, loisirs, historique médical, langue(s) parlées, considérations culturelles) - aspects du bégaiement
(nature du trouble; croyances du bégaiement; début/évolution du bégaiement; traitements déjà essayés; variabilité) - questions entrevue vidéo - sensibilisation à l’attitude et l’évitement
(conscient de ce que fait pendant bégaiement? de quand va bégayer? évitement? émotions associées? réactions des autres?)
5 exemples de considérations culturelles à prendre en fluidité
- perception bégaiement
différentes perceptions culturelles du bégaiement (certaines cultures empêchent l’école) - contact visuel
certaines cultures le contact visuel est impoli, donc on ne travaille pas la dessus - proxémique
- small talk
- renforcement
nature du renforcement habituel dans la famille
5 éléments des “aspects du bégaiement” à explorer pendant anamnèse
nature du trouble;
croyances du bégaiement;
début/évolution du bégaiement;
traitements déjà essayés;
variabilité
5 éléments de “sensibilisation à l’attitude et l’évitement” à explorer pendant l’anamnèse
conscient de ce que fait pendant bégaiement?
sait quand va bégayer?
évitement?
émotions associées?
réactions des autres?
c’est quoi la thérapie diagnostique
des essais de techniques de fluidité.
permettent d’explorer le bégaiement du client et tester ce qui pourrait p-e fonctionner
(p.ex. prolongation, gentle onset, AAF)
S-24 - Revised Communication Attitude Inventory
2 éléments + 1 but + 1 limite
- 24 questions vrai-faux où indique si a ces caractéristiques
- score élevé indique attitude négative envers sa communication
- pour différencier PQB des personnes normales
- seulement V/F, pas d’échelle
PSI - Perception of Stuttering Inventory
1 élément + 2 buts
- 60 questions qui mesurent 3 aspects , si présents ou non
(effort (struggle) - évitement (avoidance) - anticipation (expectation)) - utile pour comprendre à quel point client est au courant de ce qu’il fait
- permet de différencier pré/post tx
Nommer 5 questionnaires utilisés en évaluation du bégaiement
S-24 - mesure comment négatif est attitude envers communication
PSI - perception stuttering (effort/évitement/anticipation)
OESAS - Overall Assessent of Speaker’s Experience of Stuttering
SESAS - mesure confiance ct en situation communication (facteurs qui facilitent/empêchent cmn)
SSI-4 - Stuttering Severity Instrument (fréq/durée/cpmts physiques/naturalité)
SESAS - Self Efficacy Scaling by Adult Stutterers
2 buts + 1 avantage
- mesure confiance ct en situation CMN (échelle 0 à 100)
- identifie facteurs qui facilitent/empêchent CMN
- utile pour planifier généralisation (établir “triggers”)
OESAS - Overall Assessent of Speaker’s Experience of Stuttering
(2 éléments + 4 sections)
- basé sur classification OMS (plus récent)
- sections sur: connaissance bgm réactions vers bgm impact sur cmn quotidienne impact qualité vie
- différentes versions (adultes, ados, enfants)
SSI-4 - Stuttering Severity Instrument
2 buts + 4 sections
- concu pour mesurer effets tx
- instrument de recherche/données (p.ex. pour assurances)
- comprend = fréq/durée/cpmts physiques/naturalité
5 étapes d’analyse d’un échantillon de parole
1) compter # total syllabes
2) identifier disfluidités
3) décider si disfluidités bégayées ou normales (indiquer type)
4) analyse (fréquence, débit parole, durée, etc.)
5) sommaire et recommandations (présence/sévérité bég, cpmts primaires/secondaires, etc.)
SFBT - Solution Focused Brief Therapy
5 éléments
- développé au Michael Palin Centre for Stammering
- But : moins emphase sur problème et plus sur solution (préciser buts)
- le client est l’expert. il a déjà forces, ressources et connaissances nécessaires. on doit l’aider à les identifier et les réaliser.
- entrevue motivationnelle : trouver forces du client et utiliser pour réaliser “futur voulu” (miracle question - you wake up and all speech dreams are realized)
- “what number 1 to 10 is success for you?” “what is your i-could-live-with-that number?” “what would it take to move you 1 up that scale?”
Différence en intervention pour enfants VS. pour adultes
Enfants = intervention indirecte. Adultes = intervention directe (bgm établi, pas de récupération spontanée)
Compétences de l’orthophoniste en bégaiement selon CASLPO (8)
- comprendre parole fluide
- connaitre traitements (avantages/risques)
- pouvoir évaluer succès Tx + adapter Tx au client si nécessaire
- comprendre impact de parole consciente/surveillée sur sa naturalité
- pouvoir identifier facteurs internes/environnementaux qui peuvent influencer fluidité
- connaitre principes apprentissage/conditionnement
- connaitre principes généralisation/maintien
- savoir promouvoir autonomie (pour que ct puissent continuer cheminement tout seul - counseling)
Comment le conditionnement classique explique le bégaiement?
stimulus initialement neutre (bégaiement de base lent et détendu)
cause
la réponse inconditionnelle (tension musculaire et anxiété naturelle/réflexive)
anticipation du bégaiement (stimulus conditionnel)
cause
tension musculaire, anxiété, etc. (réponse inconditionnelle)
anticipation produit réponse conditionnelle, même sans menace.
tension/frustration/anxiété ensuite empire le bégaiement.
généralisation/association à autres stimuli = ‘spread of conditioning’
Qui est plus susceptible au conditionnement rapide?
personne au caractère anxieux (plus affecté par anticipation)
conditionnement classique qui associe plusieurs stimuli rapidement à une réponse émotionnelle
(donc, tx doit toucher désensibilisation pour réduire réponse émotionnelle)
Quel type de conditionnement conduit à changemetns dans comportement volontaire?
Conditionnement opérant
conditionnement classique mène plus à changements de cmpts involontaires (p.ex. tension, anxiété)
qu’est-ce que “spread of conditioning” veut dire?
généralisation/association à autres stimuli
anticipation du bégaiement élicite la réponse émotionnelle pour de plus en plus de stimuli (peur réaction des autres, etc.)
(stimulus conditionnel devient complexe de plusieurs choses reliées à réponse émtionnelle)
Différence entre renforcement positif, renforcement négatif, punition positive, punition négative
Renforcement = encourager | Punition = décourager Positif = ajouter | Négatif = enlever
Renforcement positif = ajouter qqchose désiré pour encourager cpmt
Renforcement négatif = enlever qqchose aversif pour encourager cpmt
Punition positive = ajouter conséquence aversive pour décourager cpmt
Punition négative = enlever qqchose désiré pour décourager cpmt
Quel mécanisme d’apprentissage est responsable pour comportements d’évitement (“réduction de l’appréhension”)?
Renforcement négatif (conditionnement opérant)
P.ex. pas parler (enlever situation aversive) a enlevé sentiment de honte. (“réduction de l’appréhension”)
“like dodging a bullet”
C’est le renforcement négatif qui a le plus d’impact.
Quel élément du conditionnement opérant a le plus d’impact?
renforcement négatif
Processus réduction de l’appréhension (4 étapes)
1) appréhension augmente en prévision de devoir parler
2) si décide pas parler, appréhension baisse
3) cptm/pensées avant réduction appréhension ont tendance à se répéter. devient façon gérer bégaiement.
(renforcement négatif de l’évitement)
(inverted U curve de temps x anxiété)
4) mais seulement satisfaction à court terme.
après évitement, on regrette, blâme, etc.
Comment utiliser principes de conditionnement opérant en traitement? (2)
- remplacer comportements indésirables par nouveaux comportements plus appropriés
- façonnement = renforcement des comportements qui se rapprochent du comportement cible
Étapes de traitement (générales en commun à la plupart des interventions) (4)
1) prise de conscience de cpmts existants (identification)
2) introduire nouveaux comportements par faconnement
3) s’entraîner. renforcer nouveaux comportements appropriés
4) transférer responsabilité de jugement au client (autonomie de l’autocorrection)
2 grandes approches principales de traitement du bégaiement
modification du bégaiement
“stutter better”
faconnement de fluidité
“speak better”
Quelle approche est plus vieille?
modification du bégaiement
ou
faconnement de fluidité
modification du bégaiement est approche plus vieille
But principal de modification du bégaiement
bégayer de façon moins anormale et moins involontaire
“stutter better”
briser associations/conditionnement (attitudes, émotions) pour retourner au bégaiement lent et détendu
Étapes de l’approche “modification du bégaiement” (4)
Identification (prise de conscience) --> Désensibilisation (jouer avec bgm) --> Modification --> Stabilisation (et généralisation)
Ordre de difficulté de l’étape d’identification de l’approche “modification du bégaiement” (3)
identifier/conscientiser…
…ce que les autres font (exploration parole normale)
… ce que ortho fait
… ce que client fait
Éléments de l’étape de désensibilisation (étape 2) de l’approche “modification du bégaiement” (4)
- se sentir confortable à rester dans moment bégaiement, à jouer avec
- parler de son bégaiement
- avouer émotions associées
- faire bégaiement dimulé
Buts de l’étape “modification” de l’approche “modification du bégaiement” (3)
- briser liens établis par conditionnement
- montrer qu’on peut changer
- continuer processus désensibilisation
3 techniques de “modification” de l’approche “modification du bégaiement”
ET
leur timing de correction par rapport au bégaiement
- cancellation (correction après moment bégaiement)
- pull-out (correction pendant moment bégaiement)
- preparatory set (correction avant moment bégaiement)
Principe de la technique de modification “cancellation” de l’approche “modification du bégaiement”
correction après moment bégaiement (punition douce, selon Van Riper)
- auto-évaluer bégaiement qu’on a fait –> planifier ce qu’on voudrait faire –> répéter même phrase mais différente façon
Étapes, selon version de Ham, de la technique de modification “cancellation” de l’approche “modification du bégaiement” (4 + 3)
1) se rendre compte d’avoir bégayé
2) arrêter et auto-évaluer bégaiement qu’on a fait
3) planifier ce qu’on voudrait faire
4) répéter même phrase mais différente façon = soit (a) autre façon mais avec même type de bégaiement (b) avec autre type de bégaiement (c) sans bégaiement
Principe de la technique de modification “pull-out” de l’approche “modification du bégaiement”
correction pendant moment bégaiement
(important de pouvoir tolérer son bégaiement pour pouvoir le modifier)
relaxer pendant bég –> sortir avec contrôle en faisant ce qu’on choisit
Principe de la technique de modification “preperatory set” de l’approche “modification du bégaiement” (1 + 4)
correction avant moment bégaiement
1) anticiper bégaiement.
2) prendre pause, ralentir, respirer, relaxer tension
3) planifier comment dire / visualiser.
4) commencer lentement
Faiblesses de l’approche “modification du bégaiement” (5)
- manque de preuve d’efficacité
(approche personaliséé/non-standardisée rend recherche difficile) - pas bcp d’info de critères de réussite
- pas bcp d’info sur hiérarchie situations/tâches
- prend bcp travail/effort
- pas consensus définitions/vocabulaire
Forces de l’approche “modification du bégaiement” (4)
- valeur intuitive
(adresse cmpts physiques + attitudes + émotions en même temps) - facilement personalisé
- désensibilisation commence dès début
(changement attitude intégré dans approche) - bégaiement résiduel pas un échec mais une cible
(perçu comme occation se pratiquer)
But (1) + méthodes (2) de l’approche de traitement “façonnement de la fluidité”
- parole sans bégaiement (élimination/réduction)
- réenseigner comment parler sans bégayer
- vise comportements moteurs (contraires des manifestations physiques du bégaiement - “inhibition réciproque”)
Étapes (4) de l’approche de traitement “façonnement de la fluidité”
1) apprendre nouveaux cmpts moteurs (ralenti)
2) augmenter vitesse jusqu’à débit normal
3) généraliser à situations réelles (“game situation”)
4) maintien (p.ex. activités groupe, pratique quotidienne, etc.)
Cibles de l’approche de traitement “façonnement de la fluidité” (6)
- débit
(lent vs modéré vs léger vs contrôlé) - voie respiratoire ouverte
(conscientiser fermeture glotte) - respiration facile
(par diaphragme = moins tension, pratiquer commencer/arrêter) - amorces douces
(“easy onset” - crescendo, sans flux d’air violent) - contacts articulatoires légers
(pincer l’air au lieu de bloquer serré) - enchaînement
(continuel pour éviter trop tension - p.ex. “baadog” vs “baD. Dog.”)
Applications utiles sur téléphones pour l’approche de traitement “façonnement de la fluidité” (7)
Voice Memos (peut voir wave form donc visualiser amorce douce)
chronomètre + métronome + fluency calculator
(débit)
Fluency coach + iCanSpeak
(Altered Auditory Feedback)
Decibel Meter
(plus fluide quand moins fort pcq moins tension aux PV)
Combien syllabes par minute ET par respiration pour: débit lent? débit modéré? débit léger? débit contrôlé?
débit lent = 40-60 spm | 2-4 spr débit modéré = 60-90 spm | 4-6 spr débit léger = 90-120 spm débit contrôle = +120 spm (contrôle peut varier selon situation)
2 programmes importants de l’approche de traitement “façonnement de la fluidité”
- Ronald Webster PFSP, 1980 (Hollins Institute) - forme originale
- ISTAR à Edmonton - Boberg (canadien qui a apporté ce tx au Canada)
Faiblesses de l’approche de traitement “façonnement de la fluidité” (4)
- parole moins naturelle (monotone, rythme trop régulier, articulation imprécise, intensité trop basse) –> amènent certains à abandonner pcq réaction des autres
- risque rechute pcq bcp changements en peu de temps
- risque rechute pcq pas de changement des attitudes négatives envers CMN (peut aider à cacher bégaiement sans l’accepter)
- changements des comportements ne veut pas dire changement du problème
Forces de l’approche de traitement “façonnement de la fluidité” (3)
- 90% clients très satisfaits avec fluidité tout de suite après, 75% satisfaits après 1 an.
- systématique, donc facile à enseigner
- plus d’info sur efficacité (pcq plus structuré/moins adapté)
Scénario typique qui serait mieux de commencer avec:
“façonnement de la fluidité”?
“modification du bégaiement”?
façonnement de fluidité
- bégaie ouvertement
- pas d’évitement
- veut stratégies pour moins bégayer
- voit positivement ses capacités CMN
modification du bégaiement
- cache/modifie son bégaiement
- évitement
- attitudes très négatives.
- voit négativement ses capacités CMN
Différence entre:
attention soutenue
attention sélective
attention partagée
attention soutenue
- se concentrer sur qqchose pour longue période. se développe avec le temps.
attention sélective
- se concentrer sur qqchose en ignorant distractions externes ou internes (prend plus d’effort, pcq inhibition + activation)
attention partagée
- se concentrer sur plusieurs choses en même temps (“multitasking”)
Rôle de l’attention dans le bégaiement (3)
allocation de ressources (“capacity and demand”)
on veut que cmpts sont automatiques (par généralisation) pour que plus d’attention soit disponibles pour autres aspects OU pour diminuer distractions (moins besoin attention sélective)
on veut passer de l’attention soutenue sur parole à attention sélective en se concentrant sur respiration, contenu, etc. (de fraçon hiérarchique)
Hiérarchie de difficulté de tâches parlantes (situations de bégaiement) EN CLINIQUE dépend de quoi (2 facteurs)
facteurs linguistiques (longueur, complexité articulatoire, syntaxe, vocab)
degré de spontanéité
(répétition, lecture, réponse)
plus complexe et plus spontané = plus difficile dans hiérarchie.
Hiérarchie de difficulté de tâches parlantes (situations de bégaiement) pour généralisation HORS-CLINIQUE dépend de quoi (2 facteurs)
hiérarchie personalisée permet généralisation personalisée en situations réelles (en plus de contribuer à désensibilisation)
hiérarchie…
- …selon les personnes
(# de personnes ; proches vs étrangers ; niveau familiarité avec leur parole ; niveau autorité)
- … selon situation
(face à face vs téléphone; pression de temps)
- …selon facteurs linguistiques
(chiffres ; noms; mots difficiles)
Interaction entre hiérarchie personalisée et désensibilisation
- permet généralisation hors-clinique en exposant graduellement à situations selon l’hiérarchie pour briser liens entre anxiété et parole (théorie d’apprentissage)
- permet de bâtir une préparation progressive à situations selon hiérarchie
3 étapes du programme Fluency Plus
1) pratique intériorisée
(visualisation, self-talk efficace)
2) surveillance active des cibles
(établir but concret et viser exactement ça)
3) auto-évaluation du succès par rapport à cible
Explication de l’étape:
entretien/”maintenance”
en traitement du bégaiement
(explication + 4 éléments + 1)
entretien/”maintenance” = travailler à maintenir nouveau niveau fluidité
- pratique quotidienne des objectifs
- transferts structurés (buts à long terme)
- transferts spontanés (utiliser activités non-planifiées)
- tenir carnet/journal (faciliter suivis + garder prise conscience + célébrer succès)
devrait faire suivi avec thérapeute (à intervalles graduellement plus longs, idéalement)
Outils pour éviter rechute selon programme Fluency Plus (8)
“Mon PaPa Rit Avec Notre RocR”
- maitrise/automaticité des techniques
- préparation pour toutes situations de parole
- pratique quotidienne (surveillance à temps plein)
- réduction des craintes/évitement
- acceptation du “new normal” / prêt aux changements de son discours
- nouveaux défis/objectifs continus
- réseaux de soutien (réel et virtuel)
- résolution de problèmes/autonomie
Distinction entre “evidence-based practice” et “practice-based evidence” (3 (2+1) éléments)
- variabilité du trouble nécessite personalisation des approches –> donc difficile faire recherches (evidence-based) sur résultats traitement
(peut pas changer une variable à la fois) - 80% des patients font récupération sponanée comme enfants (difficile d’avoir N large assez pour études)
DONC, pcq bégaiement est différent, doit être practice-based evidence = tirer de différents cas et approches pour chaque client unique
Qu’est-ce que veut dire:
élevage des preuves / “evidence farming”
dans le contexte de “evidence-based practice” VS “practice-based evidence”
(4 parties)
- études de cas servent à développer des idées.
- ensuite, on combine des petits morceaux de preuves de ce qui fonctione dans ces études de cas
- permet de prévoir tx optimisé au client particulier, et de l’ajuster à mesure pour optimiser progrès
- partager ces informations avec autres pour construire base données sur ce qui fonctionne dans certains profils
En traitement bégaiement, pq important de “prendre la pression?
“prendre la pression” à tous les jours pour s’assurer d’être sur la même page
- ça se passe bien? qu’est-ce qu’on doit changer? qu’est-ce qui vous aiderait au maximum?
Rôle de l’échec par rapport aux “minimally important gains” (montant minimum qui représente amélioration pour la personne)
profite de l’échec pour ressortir information par rapport aux buts établis par le client
- peut devoir régler buts
- peut identifier traitement inaproprié (pas assez flexible)
- peut identifier manque engagement du client (pas prêt)
- etc.
Quelle sont les 2 éléments plus importants d’une meilleure approche en thérapie pour le bégaiement?
approche intégrée et flexible
preuves de neuro-imagerie de efficacité de traitement en bégaiement (3)
plus activation aux régions associées à: - planification articulatoire - rétroaction sensorielle - timing (coordination) (à cause neuroplasticité cerveau)
Rôle de l’orthophoniste en counseling selon CASLPO (6)
- expert de communication = fournir éducation et soutien sur la détresse émotionnelle liée à un trouble
- aider à accepter trouble CMN
- aider à réduction anxiété (émotions/attitudes) reliée au bégaiement
- aider à limiter effets du trouble sur fonctionnement
- aider à faire face au changements dans CMN
- garder en tête nos limites (référer au besoin!)
Différence entre “défi technique” et “défi adaptatif” (dans contexte counseling)
Défi technique :
trouble et solution claire. requiert expertise. (professionnel en charge)
Défi adaptatif:
pas de solution claire. exige changements de cmpts/pensées.
(client en charge - pcq connaissent mieux leur vie)
Définir le “leadership adaptatif” (dans contexte counseling)
(3 éléments)
“leadership adaptatif”:
- guider qqun à travers période perturbation (changement de fluidité).
- guider la personne pendant qu’elle-même évalue ses priorités et essaie solutions (“change has to have meaning”)
- faciliter changements de pensée et comportement.
Qu’est-ce que dévoile le “common factors model” de Wampold au niveau des approches en counseling?
- le choix de l’approche est responsable pour seulement 1% de l’efficacité
(selon méta-analyse)
Selon “common factors model” de Wampold, quels sont les facteurs importants pour efficacité en counseling (4)
- relation thérapeutique ;
- attentes du client ;
- confort du client avec approche choisie ;
- niveau d’expérience du thérapeute
Différentes approches de counseling utiles avec PQB (5):
- Reconstruction narrative
- Mindfulness (sous-type de Acceptance and Commitment Therapy)
- Restructuration cognitive (Cognitive Behavior Therapy – CBT)
- Entrevue motivationnelle
- Solution-focused Brief Therapy (SFBT)
Selon l’approche de counseling “reconstruction narrative” / “Reconstructing Personal Naratives”:
4 niveaux de conseil
1) centré sur personne / “getting their story”
2) améliorer généralisation
(identifier ce qui empêche d’utiliser techniques dans vie tous les jours)
(p.ex. fille qui gardait vieille voix pour pas que papa arrête de l’appeler “his little girl”)
3) changer constructions personnelles (anticipations)
(aider personne à s’ajuster à la situation)
(p.ex. pousser mme qui mange purée de voir si idée qu’autres pensent que c’est “gross” sont réelles)
4) reconnaître nos limites : trier vers d’autres professionnels au besoin
5 étapes du cycle d’expérience (scientifique) selon “reconstruction narrative” / “Reconstructing Personal Naratives”
1) anticipation de l’évènement
2) niveau d’investissement dans le résultat
3) rencontre avec l’évènement
4) confirmation ou rejet (de l’idée anticipée)
5) révision constructive
Conclusions principales du “cycle d’expérience” de “reconstruction narrative” / “Reconstructing Personal Naratives”
- Les résultats du cycle d’expérience renforcent ou rejettent nos anticipations, comme une expérience scientifique.
- Cette approche cherche à explorer les anticipations du client et tester la réalité contre ces idées.
Étape importante en “reconstruction narrative” / “Reconstructing Personal Naratives”
+
exemple relié
Étape importance en reconstruction narrative = externaliser le problème
- trouble est le problème, pas la personne
P.ex. reconstruction narrative avec camp de bégaiement pour enfants 5e-8e - “Bubilly”
Définition de:
Mindfulness VS
Aceptance and Commitment Therapy
Mindfulness :
accorder attention au moment présent, sans jugement
Acceptance and Commitment Therapy:
essayer d’accepter sans essayer de changer.
pas besoin de tout réparer avant de commencer à vivre comment tu veux vivre.
sensibilisation/acceptation/compréhension de nos pensées sans les contester
Pourquoi l’approche de mindfulness et bénéfique pour les PQB? (3)
- prise de conscience de fréquence des pensées négatives + comment elles sont distrayantes
- être présent permet de vraiment observer ce qui se passe
- améliorer résilience aux situations pénibles
Éléments (3) de la portion “committment” (engagement au changement) de l’approche “Acceptance and Committment Therapy”
- identifier nos valeurs/objectifs (S-M-A-R-T)
- prendre action (à petits pas) vers nos valeurs/objectifs
- pas nécessaire de résoudre problème avant de commencer à vivre
6 principes pour aider client à développer souplesse psychologique selon ACT de Harris
- séparation de nos pensées
- acceptation du désagréable
- contact avec moment présent
- observation de soi
- valeurs (déterminer choses importantes)
- action engagée (établir buts)
qu’est-ce que blocs + prolongation ensemble fait?
bloc + prolongation = prolongations dysrythmiques
Échelle sévérité de TOH du bégaiement (4 éléments)
- fréquence du bégaiement
- évaluation descriptive
- conscience de soi
- effet bégaiement sur participation (sociale/émotionnelle/vocationel)
début du bégaiement apparait souvent à quel âge?
entre 2 et 4 ans
à quelle durée depuis début du trouble de bégaiement on voit parfois récupération sponatnée
12-18 mois
Différence entre “efficacy” et “effectiveness (contexte de RCT - randomized clinical trial - VS practice based evidence)
evidence based = efficacy (mesure ce qui est attendu en circonstances idéales)
practice based = effectiveness (mesure résultat bénéfique dans réalité)
2 éléments de la souffrance psychologique (selon ACT - mindfulness)
Souffrance psychologique =
- fusion cognitive
tendance à être pris avec sentiments négatifs dans notre fonctionnement (fusion des pensées et réalité - “thoughts are just thoughts”) - évitement de l’expérience
en essayant de contrôler (faire évitement), on augmente troubles
Différence entre douleur et souffrance
douleur =
expérience désagréable physique ou émotionnelle
souffrance =
expérience plus large. “all encompasing”.
doit amener à voir que douleurs existent mais sont pas TOUTE la réalité (différenciation) et augmenter tolérance pour ces douleurs
4 sphères de valeurs dans la vie (“giant dart board”)
santé physique
relations sociales
activités avec but spécifique
activités récréatives
Qu’est-ce qui prédomine l’approche de restructuration cognitive (Cognitive Behavior Therapy - CBT)?
Les pensées.
Interprétation des évènements affectent réponses.
(les pensées affectent: émotions + réactions physiques + comportements )
Cherche à restructurer la façon de regarder les choses, comment réagir (pensées ou comportements)
Quel est le cycle du modèle cognitif générique (de l’approche de restructuration cognitive (Cognitive Behavior Therapy - CBT))
et
à quels 2 endroits on peut briser ce cycle?
penséées –> émotions –> réponses physiologiques –> comportements –>
peut briser après réponses physiologiques avant comportements
- pcq tu peux choisir comment tu réagis
peut briser après comportements mais plus près de pensées
- pcq tu peux choisir de changer tes pensées
Quelle approche de counseling vise les croyances irrationnelles/Negative Automatic Thoughts (NATS)?
Restructuration cognitive (CBT - Cognitive Behavior Therapy)
Nommer exemples de croyances irrationnelles (Negative Automatic Thoughts - NATS) (6)
- Étiquetage (“i’m a loser”)
- Sur-généralisation (“nothing good ever happens”)
- Magnification du négatif (catastrophe - amener choses hors proportion) et minimer positif
- Tout ou rien (“if i’m not perfect i failed”)
- Magnifier le négatif et manquer le positif
- Sauter aux conclusions (lire pensées ; prédire futur)
7 étapes de l’approche en counseling de restructuration cognitive (Cognitive Behavior Therapy - CBT))
1) Comprendre nos peurs
2) Identifier les NATS
3) Questionner les NATS
(voir si valide, voir si autre manière d’interpréter, voir si certaines autres seraient plus efficace)
4) Porter attention à l’extérieur
(observer; écouter; engager)
5) Expérimenter
6) Changer nos biais
(se donner la permission d’échouer parfois ; quel succès est assez bien sans être parfait)
7) Développer/identifier des forces et résiliences
De quelle approche de counseling on parle quand on dit “cycle cognitif pour familles”?
L’approche en counseling de restructuration cognitive (Cognitive Behavior Therapy - CBT))
“noeud papillon” - 2 cycles côte-à-côte qui s’affectent l’un l’autre
utile pour aider à comprendre comment entre individus les pensées interagissent et se renforcent
But/idée principale de l’approche en counseling de “entrevue motivationnelle” (1 but + 3 éléments de base)
- Cible la motivation pour le changement du comportement.
- Motivation vient de l’écart entre où ils sont et où ils veulent être
- le changement est difficile –>
donc l’ambivalence est naturelle - le changement prend du temps –>
donc la rechute fait partie du cycle
5 stades du changement de l’approche en counseling de “entrevue motivationnelle”
1) précontemplation –>
2) contemplation –>
3) préparation –>
4) action –>
5) maintien –>
(cycle)
pré-contemplation =
avant même de penser au problème.
p-e pas motivation ; p-e considère par avoir problème ; p-e suggestions des autres
contemplation =
conscient du problème mais ambivalent.
commence à considérer pros/cons de mettre l’effort pour faire changement
préparation =
commence à s’informer.
développe plan mais pas d’action
action =
actif. peut avoir besoin d’aide.
maintien =
a fait changement (depuis au moins 6 mois), doit continuer à le gérer
Expliquer/donner un exemple
de l’exercice d’équilibre décisionnel
à la phase de contemplation
dans le cadre de l’approche de counseling “entrevue motivationelle”
Pros/cons pour trouver raisons que l’effort vaut la peine.
p.ex. dire lors d’une entrevue pour un emploi qu’on est une PQB.
Que serait bon/mauvais de ne pas se dévoiler comme PQB (pros/cons)?
VS.
Que serait bon/mauvais de se dévoiler comme PQB (pros/cons)?
5 éléments du plan de changement dans le cadre de l’approche de counseling “entrevue motivationelle”
- identifier impacts qu’aura le changement
- identifier les changements d’habitudes/environnement requis
- impliquer les amis/famille/collègues
- affirmations positives
- anticiper et planifier pour rechute
4 compétences particulières en counseling
- écoute réflexive (plus d’écoute, moins de parler)
- encouragement minimal (oui, uh-huh) ou encouragement direct (continue, quoi d’autre)
- reflet et récapitulation
- questions ouvertes
Modèle de counseling utilisé dans programme intensif de professeure Caroline Bredeson (méthode + 4 sujets)
Discussion en groupe, de quatre sujets
- Auto-déclaration comme PQB et réduction de la tension
- Évitement
(commençant avec des petit pas; mettre fin à l’autolimitation) - Discours intérieur effectif
(au lieu des NATS)
discute comment nos pensées peuvent affecter - Efficacité communicative.
Fluidité en être qu’un aspect; être bon auditeur (mindful!); identifier des forces déjà existantes
3 points en commun entre toutes les approches en counseling
- focus points forts/positifs
- changer façon de percevoir
- comprendre motivation du client/l’impact de son trouble
8 ingrédients du “Magic Sauce” de Phil Schneider
- chaque personne, bégaye ou pas, a une valeur et mérite le respect
- PQB peut communiquer efficacement même avec bégayement
- chaque personne a le potentiel de changer par eux-mêmes (SLP peut aider à guider)
- bégayer est un défi, mais un défi n’est pas nécessairement une mauvaise chose (être fier de réussir malgré défi)
- écouter - pour bâtir relation thérapeutique + amener conscientisation chez la personne (chercher à comprendre histoire de la personne - pensées, émotions, etc.)
- relation thérapeutique collaborative, avec PQB comme leader (aider PQB à réaliser ses opportunités pour changement, encourager auto-évaluation/autonomie/etc)
- ressortir forces de la personne (apprendre à connaître qui elle est, pas connaître son bégaiement)
- penser et parler positivement. (p.ex. pas “i’m stuttering badly” mais “that was a bit difficult)focus sur potentiel.
- réfère pas comme “patients” mais “people we work with”
- réfère pas “speech pathologist” qui implique problème mais “speech therapist” ou focus est sur aider.
3 éléments de la définition de ce qu’est le bégaiement selon la “Magic Sauce” de Phil Schneider
- bégaiement = condition reliée à la communication (non pas seulement parole), donc très sensible à la situation.
- l’impact du bégaiement est déterminé par comment il diminue notre estime de soi et inhibe notre liberte de parole
- magic sauce vise à cultiver l’estime re soi et liberté de parole. croyance que ce que tu as a dire est important, peu importe le bégaiement.