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Perspective béhaviorale et cognitive > Examen 1 > Flashcards

Examen 1 Flashcards

1
Q

Découvre les réflexes psychiques ?

A

Ivan Pavlov (respect des animaux, intérêt pour la digestion des animaux)

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Q

Vrai ou faux ? Pavlov a découvert que s’il entrait dans la pièce, après 5 coups il n’avait plus besoin de viande juste le sifflet pour que le chien bave.

A

Vrai

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3
Q

Si le chien a que le sifflet sans la viande, sa réponse conditionné diminue jusqu’à …

A

l’inhibition interne

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4
Q

Vrai ou faux ? Après l’inhibition interne, si le pairage reprend la réponse conditionnée réaparait plus rapidement.

A

Vrai

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5
Q

En quoi consiste la névrose expérimentale de Pavlov ?

A

1 Pairage, cercle avec viande.
2 Pairage d’un ovale très aplati avec rien
3 Montre une forme entre les deux.
Réaction: chien très névrosé.

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6
Q

Explication, pour Pavlov, de pourquoi les gens sont stressées et qu’ils ont des déprimes ?

A

Névrose expérimentale

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7
Q

Il es le précurseur du béhaviorisme ?

A

Pavlov

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8
Q

Il voulait savoir si les animaux étaient intelligent. De qui s’agit-il ?

A

Thorndike

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9
Q

En quoi consiste les boîtes à problèmes ?

A

Chat dans une boîte. Il doit faire une série d’étape pour sortir et manger.

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10
Q

Cpt résulte de l’effet qu’il procure, une rép. suivit de quelque chose de positif sera renforcée et un réponse suivit de quelque chose de négatif sera diminuer.

A

Loi de l’effet de Thorndike

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11
Q

En quoi consiste la loi de l’exercice ?

A

Plus souvent une association est faite, plus elle devient forte

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12
Q

Vrai ou faux ? Thorndike était plus dans réponse-conséquence contrairement à Pavlov qui mettais l’accent sur stimulus-réponse.

A

Vrai

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13
Q

Fonde le bh ?

A

Watson

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14
Q

Quel est le but de la psy. selon Watson ?

A

Prédire et contrôler l’environnement

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15
Q

Paresseux, séducteur, délinquant.

A

Watson

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16
Q

Watson répétait que c’était le ?

A

cpt qu’il fallait étudier et rien d’autre.

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17
Q

Pour Watson, un cpt est …

A

une réponse

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18
Q

Vrai ou faux ? Pour Watson, un stimulus est ce qui précède une réponse, et une réponse déclenche un nouveau stimulus.

A

Vrai

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19
Q

Qu’est le langage pour Watson et la pensée ?

A

Un cpt et un cpt (la pensée est un langage intérieur)

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20
Q

Vrai ou faux ? Pour Watson l’instinct n’existe pas.

A

Vrai (tout est acquis tout est appris)

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21
Q

Il n’y a aucune transmission génétique, la race n’existe pas. De qui s’agit-il ?

A

Watson

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22
Q

La généralisation est ?

A

que les objets qui partagent certaines caractéristiques de l’objet de conditionnement, vont créer la même réponse que celui-ci

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23
Q

Qui créa le déconditionnement (exp. contraire que celle du bébé Albert) ?

A

Mary Cover Jones

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24
Q

Elle est la “mère” du bh ?

A

Mary Cover Jones

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25
Q

Vrai ou faux ? Pour Watson, les maladies mentales sont des désordres psy. résultat du conditionnement ou d’un milieu peut adapté à la personne.

A

Vrai

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26
Q

Étudie aussi les chats sortir d’une boîte à problème (800 sortie) ?

A

Guthrie

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27
Q

Quand une première réponse accompagne un premier stimulus, elle va tendre, dans l’avenir, à accompagner le même stimulus. De qu’elle principe s’agit-il ?

A

Le principe de la contiguïté

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28
Q

Observe les habitudes chez les gens ?

A

Guthrie

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29
Q

Se dit psy. du conditionnement simultané.

A

Guthrie

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30
Q

Comment est-il possible de changer d’attitude pour Guthrie ?

A

Il faut la remplacer par une autre.

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31
Q

Il cherche à faire de la psy. une véritable théorie de la connaissance ?

A

Hull

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32
Q

Quels sont les trois principes de Hull ?

A

1 Présence de variables intermédiaires
2 Chaque variable intermédiaire non observable doit être lié à une variable observable (Organisme en plus de stimulus et réponse)
3 Les relations s’expriment sous forme de fcts. mathématiques

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33
Q

Sans l’organisme le stimulus ne mène pas à la réponse. De quel auteur s’agit-il

A

Hull

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34
Q

Reconnu comme le psy. le plus influent du 20ème siècle ?

A

Skinner

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35
Q

Vrai ou faux ? Skinner voulait devenir écrivain, mais il n’a pas eu de succès. Il n’aime pas la religion. Il avait un régime de vie très strict lorsqu’il étudiait.

A

Vrai

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36
Q

Pour Skinner les cpts répondants sont ?

A

Innées: réflex

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37
Q

Pour Skinner les cpts opérants sont ?

A

des cpts qui ont été suivit d’un renforcement, ce qui a augmenter sa fréquence d’apparition

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38
Q

Renouveau dans l’enseignement (donner plus de récompense aux étudiants qui réussissent bien à l’école pour les encourager).

A

Skinner

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39
Q

Le monde est une immense boîte qui façonne l’individu.

A

Skinner

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40
Q

Vrai ou faux ? Skinner a dit que les hommes agissent comme ils ont été conditionnés à le faire dans leur propre environnement par la famille, l’église, l’école, etc.

A

Vrai

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41
Q

Vrai ou faux ? Selon Skinner, il faut abandonner l’idée que les hommes sont dirigés par un être intérieur ou un pouvoir de décision.

A

Vrai

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42
Q

Qui parle de la théorie des construits personnels ?

A

Kelly

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43
Q

Qui est le précurseur des thérapies congnitives ?

A

Kelly

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44
Q

Quels sont les trois composantes de la théorie des construits personnels ?

A

1 Les constructions mentales
2 L’individualité
3 L’organisation

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45
Q

En quoi consiste la construction pour Kelly ?

A

C’est ce qui fait qu’on développe une vision du monde sur la base de nos expériences

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46
Q

À quoi correspond cette définition d’une des trois composantes de Kelly ? Dans une situation donnée, deux personnes voient les choses d’une manière différentes.

A

À l’individualité

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47
Q

L’organisation pour Kelly correspond à ?

A

La manière dont les construits interagissent entre eux. Organisation particulière de nos constructions mentales.

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48
Q

Selon Kelly, quand est-ce que les gens deviennent anxieux ?

A

Lorsqu’ils n’arrivent pas à bien prévoir la réalité.

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49
Q

Vrai ou faux ? Pour Kelly, lorsque nos actions ne sont pas en accords avec nos valeurs nous vivons de la culpabilité.

A

Vrai

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50
Q

Selon Kelly une personne qui ressent de la culpabilité ne va pas forcément changer de cpt, elle va essayer de ?

A

rendre leur réalité conforme à ce qu’il (nous sommes très attachés à nos construits)

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51
Q

Qui créer la thérapie rationnelle-émotive ?

A

Albert Ellis (Il avait une expertise dans la sexualité humaine, il a été écrivain et une enfance où ses parents n’étaient pas très présents. Il trouvait que l’approche psychodynamique était une approche trop lente pour lui. Il disait que ça n’avançait pas assez vite)

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52
Q

Que dit la théorie ABC d’Ellis ?

A

Un événement (A) et les croyances au sujet de cet événement (B) conduisent à des conséquences émotionnelles et comportementales (C)

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53
Q

Dans les thérapies cognitives et émotionnelles d’Ellis, les … sont très importantes.

A

Émotions

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54
Q

Ellis traite de trois sujets, quels sont-ils ?

A

1 L’interprétation (gens interprète les situations dans leur propre vision des choses)
2 L’évaluation (Ce que ça représente pour la personne)
3 Les croyances sous-jacentes (Croyances d’une personne suite à une situation)
(Exemple : Je croise une personne que je connais à l’épicerie et elle ne me salut pas. Interprétation : Elle est en froid avec moi. Évaluation : Je me sens mal face à cette situation, c’est grave que ça soit comme ça)

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55
Q

Il aimait confronté les personnes dans leurs croyances ?

A

Albert Ellis

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56
Q
  1. Je dois être aimé, approuvé et admiré par
    presque toutes les personnes importantes de ma vie
    et si je ne le suis pas, c’est terrible et inacceptable.

Il est souhaitable et plus productif de se concentrer
sur le respect de soi, sur la façon de gagner
l’approbation des autres pour des raisons pratiques et
non narcissiques et sur le fait d’aimer plutôt que
d’être aimé.

A

Croyance erronées d’Ellis

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57
Q
  1. Pour se considérer valable, un être humain doit
    être parfaitement qualifié, adéquat et accompli en
    tout temps ou du moins la plupart du temps dans au
    moins un domaine important.

Il est préférale de s’accepter comme une créature
imparfaite avec des limites et des imperfections
humaines. Il est également préférable d’agir plutôt
que de toujours vouloir agir parfaitement.

A

Croyance erronées d’Ellis

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58
Q
  1. Lorsque des personnes se conduisent mal ou sont
    injustes, il est justifié de les considérer comme des
    personnes méchantes et mauvaises et elles doivent
    être sévèrement blâmées et punies pour leur
    méchanceté.

Certains actes sont inappropriés et ceux qui les posent
ne sont pas méchants ou mauvais, mais ils agissent de
façon stupide ou inappropriée. Ces personnes auraient
avantage à être aidées afin de changer.

A

Croyance erronées d’Ellis

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59
Q
  1. Il existe toujours une solution précise et parfaite
    aux problèmes humains et je dois avoir un complet
    contrôle sur les choses sinon c’est la catastrophe.

Notre monde en est un de probabilités et la vie peut
être appréciée malgré cela.

A

Croyance erronées d’Ellis

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60
Q
  1. Si quelque chose est ou peut devenir dangereux,
    on doit s’en préoccuper au plus haut point et se
    tracasser sans arrêt à propos de cette éventualité.

La vie comporte des dangers réels et tôt ou tard nous
finirons par mourir. Il est préférable de faire face à
ces dangers et de les rendre inoffensifs, si possible.
Sinon, acceptons l’inévitable puisque se faire du souci
n’arrange rien et provoque une souffrance
supplémentaire.

A

Croyance erronées d’Ellis

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61
Q
  1. C’est terrible et catastrophique lorsque les choses
    ne vont pas comme on le souhaiterait.

Il est souvent malheureux que les choses ne soient pas
telles que nous le souhaiterions et il est préférable
quand c’est possible de changer ou de contrôler les
circonstances afin de les rendre plus satisfaisantes.
Sinon, comme pour la croyance précédente, acceptons
l’inévitable puisque se faire du souci n’arrange rien et
provoque une souffrance supplémentaire.

A

Croyance erronées d’Ellis

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62
Q
  1. Le monde devrait être honnête et juste.

Le monde est souvent injuste. Il est préférable
d’accepter ce fait et de se concentrer sur la façon de
profiter de la vie malgré tout.

A

Croyance erronées d’Ellis

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63
Q
  1. Il est plus facile de fuir les difficultés de la vie et
    d’échapper à ses responsabilités que d’y faire
    face.

Il est presque toujours préférable de faire rapidement
face à ses difficultés ou à ses responsabilités en y
mettant le temps et l’effort nécessaires parce que la
facilité conduit très rarement à des résultats probants.

A

Croyance erronées d’Ellis

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64
Q
  1. Le bonheur humain peut être atteint par l’inertie
    et l’inaction en se laissant vivre passivement.

Les êtres humains sont généralement plus heureux
dans la vie quand ils s’engagent dans des activités
auxquelles ils consacrent une bonne partie de leur
énergie et de leur créativité.

A

Croyance erronées d’Ellis

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65
Q
  1. La détresse émotionnelle vient de pressions
    externes et j’ai peu de pouvoir pour changer mes
    émotions.

Les bouleversements émotionnels et les conséquences
néfastes qui en résultent sont causés en grande partie
par notre façon de voir les choses. Nous avons un réel
contrôle sur nos émotions et nos comportements
dysfonctionnels si nous choisissons de travailler avec
persévérance à les modifier.

A

Croyance erronées d’Ellis

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66
Q
  1. Ma biologie ou mon enfance sont la cause de mes
    problèmes. Parce que ces facteurs m’ont fortement
    influencé dans le passé, ils m’influencent toujours dans le
    présent et vont continuer de le faire dans le futur. Il est
    inutile de tant travailler à se changer.

Notre biologie, nos parents, la société ou les événements
passés sont partiellement à l’origine de nos problèmes ou
de nos croyances inadaptées. Nous avons toutefois
contribué à les maintenir et à les accentuer et c’est notre
responsabilité de les changer dans le présent.

A

Croyance erronées d’Ellis

67
Q

Quelles sont les 4 attitudes dysfonctionnels d’Ellis ?

A

1 Les exigences rigides
2 La non-acceptation
3 La dramatisation
4 Le jugement global sur la valeur personnelle

68
Q

À quoi correspond les exigences rigides d’Ellis ?

A

La notion de règle, désirs que nous considérons comme des besoins fondamentaux mais qui ne le sont pas:

a) besoins matériels (avoir quelque chose pour être heureux)
b) sphère affective (être en couple)
c) éléments de plaisir (aller en vacance, relations sexuelles)
d) évitement de l’inconfort (si je dors moins de 5 heures ce n’est pas assez)

69
Q

À quoi correspond cette définition ? Lorsque l’on n’accepte pas des choses, plus nous n’acceptons pas quelque chose plus c’est une source d’émotion difficile.

A

La non-acceptation (Ellis)

70
Q

À quelles attitudes dysfonctionnelles d’Ellis correspond cette définition ? Lorsque les gens exagèrent sur leurs situations.

A

La dramatisation

71
Q

À quoi correspond la triade d’Ellis ?

A

Les trois attitudes: exigences rigides, non-acceptation et la dramatisation dans un triangle avec des flèches qui pointent dans les deux directions

72
Q

Expliquer ce que veut dire le jugement global sur la valeur personnelle d’Ellis.

A

c’est que ce que nous faisons ne nous définit pas. Les chevaux font des crottes tous les jours mais ils ne sont pas de la merde pour autant

73
Q

Les exigences rigides d’Ellis correspondent à quel notion de Beck ?

A

La notion de règle

74
Q

Il est à l’origine de la triade de Beck, triade cognitive ?

A

Beck (Personne gentille, attentionnée. Ses parents sont juifs de Russie. Mère dépressive, ça l’a très marqué. Il a travaillé en psychiatrie. Déçu de la psychodynamique)

75
Q

Pour Beck nous faisons plein d’erreur …

A

de logique

76
Q

Beck est le fondateur de la …

A

thérapie cognitive

77
Q

Pour Beck les erreurs de logique sont séparer en groupes. Quels est le nom de ces groupes ?

A

1 Les déductions sans preuve

2 Les généralisations excessives

78
Q

Quels sont les trois erreurs de logique des déductions sans preuve de Beck ?

A

1) Le raisonnement émotif (Je vis une émotion et je me base dessus pour me définir: ex. je me sens pas intéressant, donc je ne suis pas intéressant)
2) La personnalisation (surestimer notre implication dans un événement négatif: ex. j’aurais dû être plus attentif comme ça j’aurais pu sauvé la personne qui est morte)
3) La lecture des pensées d’autrui (présumé savoir ce que ce dise les autres)

79
Q

À quelle erreur de logique des généralisations excessives de Beck, correspond cette définition ? Exagérer les dangers les conséquences: ex. j’arrive en retard et j’ai manqué de la matière alors je n’aurai pas une bonne note à l’examen.

A

La dramatisation

80
Q

La disqualification du positif, qui est une erreur de logique qui fait partie des généralisations excessives de Beck, signifie quoi ?

A

Minimiser sont implication dans quelque chose de positif, on considère quelle a moins d’importance la situation.

81
Q

À quelle erreur de logique des généralisations excessives de Beck, correspond cette définition ? Tout ou rien. Ex : entrainement à tous les jours. Une journée pas aller, après trois mois consécutifs, alors j’arrête tout.

A

La pensée tout ou rien

82
Q

Le jugement global sur la valeur personnelle, qui est une erreur de logique qui fait partie des généralisations excessives de Beck, signifie quoi ?

A

Prendre un élément partiel, chez une personne, et évaluer globalement la personne (lui mettre une étiquette). Ex. Demande un service à son voisin et il refuse. Alors, après un refus, c’est un égoïste

83
Q

Quels sont les trois composantes de la triade cognitive de Beck, qui parle des personnes dépressives ?

A

1 Vision négative de soi
2 Vision négative des autres
3 Vision du monde et du futur négatif

84
Q

Que faut-il retenir de fonctionnement du modèle de Beck ci-dessous ?

  • Les schémas et les croyances fondamentales
  • Les croyances intermédiaires
    • Les présomptions
    • Les règles
    • Les attitudes
  • Les processus cognitifs
  • Les événements cognitifs
  • Les réactions
    • Les émotions
    • Les comportements
    • Les symptômes physiologiques
A

Plus c’est en haut, plus c’est inconscient et plus c’est en bas, plus c’est conscient

85
Q

Quels sont les éléments du système de valeur dans le modèle Beck ?

A

1) Les présomptions

2) Les règles (exigences rigides d’Ellis)

86
Q

Dans le modèle de Beck, où ce font les erreurs de logiques ?

A

Dans les processus cognitifs

87
Q

Vrai ou faux ? Les événements cognitifs du modèle de Beck est équivalent au discours intérieur.

A

Vrai

88
Q

Quels sont les deux types de pensées pour Beck ?

A

a) Les pensées contrôlées (ce que l’on pense)

b) Les pensées automatiques (peuvent être positives ou négatives, petite voix qui nous dit: tu es bon, beau)

89
Q

Vrai ou faux ? Beck à fait plein d’autre instrument de mesure qui sont très utilisés.

A

Vrai

90
Q 
Dans le schéma de Beck à quoi correspond: 
1 L'ampoule
2 Diapositive
3 Lentille
4 Écran
5 Spectateur qui regarde l'écran ?
A

1 Action de l’événement de vie réelle
2 Événement de vie réelle projeté
3 Sys. de valeur de la personne (lorsque la lumière traverse la lentille distorsionné de la personne que les erreurs de logiques apparaissent)
4 Discours mentale de la personne
5 Psychologue
(À force d’observer l’écran, le psy. peut commencer à voir le sys. de valeur de la personne ainsi que ses erreurs de logiques)

91
Q

Qui élabore la thérapie des schémas ?

A

Young

92
Q

Avec quelles types de situations la thérapie des schémas fonctionne bien ?

A

Patient présentant des troubles de la personnalité qui ne répondent pas bien à la TCC. Ex. toujours des bad boy et n’arrive pas à changer, je refais toujours la même chose et je n’arrive pas a arrêter.

93
Q

Vrai ou faux ? La thérapie des schémas est une thérapie à long terme qui travail sur des éléments inconscients et profonds.

A

Vrai

94
Q

Elle est instigatrice de la thérapie dialectique béhaviorale ?

A

Linehan

95
Q

Pour quel type de trouble la thérapie dialectique béhaviorale est-elle très efficace ?

A

Les troubles de personnalité borderline

96
Q

Quel est la fréquence des rencontres pour thérapies cogn-bh ?

A

1 fois semaine

97
Q

Durée des rencontres ?

A

50 minutes avoir du temps noter et se détacher d’un client à un autre

98
Q

Style des rencontres ?

A

Psy. actif, directif. Diriger la discussion. Peut rire, sourire passer une certaine émotion

99
Q

Structure des première rencontres ?

A

1 Sert à savoir qui est la personne et sont prob.
2 Sert à savoir l’histoire de la pers.
3 Compréhension clinique, psy. explique ce qu’il comprend de la situation, ce qu’il croit le mieux pour essayer d’aider la personne. Travailler en partenariat

100
Q

Combien de rencontres dure l’évaluation habituellement ?

A

Trois rencontres

101
Q

Vrai ou faux ? Les outils de mesures sont toujours très transparents. Questionnaires très utilisés parce qu’ils sont très rapides pour évaluer la personne et pas coûteux.

A

Vrai

102
Q

La période d’évaluation se déroule ?

A

tout au long des rencontres

103
Q

Que faut-il avoir pour avoir un bon plan d’évaluation ?

A

Une bonne compréhension clinique

104
Q

Vrai ou faux ? Le thérapeute et le client s’entendent sur un ou deux objectifs qu’ils veulent atteindre.

A

Vrai

105
Q

Pour se fixer des bons objectifs qu’est-il nécessaire de savoir ?

A 
Beaucoup de choses
1 Habiletés intellectuelles
2 Soutien des proches ou non
3 Chicane à la maison
4 Attentes de la personne (doivent être réaliste)
5 Motivations
106
Q

Vrai ou faux ? À l’extérieur de la thérapie il y a toujours des objectifs de fixer.

A

Vrai

107
Q

Vrai ou faux ? Il est important que la personne sache qu’elle est experte d’elle-même et qu’elle est sur le même pied d’égalité que le thérapeute.

A

Vrai

108
Q

Analyse fonctionnelle et compréhension clinique porte sur 5 aspects particulièrement. Quels sont-ils ?

A 
1 Antécédants
2 Cognitions
3 Affects (émotions)
4 Actions (ce que la pers. fait)
5 Conséquences
109
Q

Les cognitions de l’analyse fonctionnelle et compréhension clinique regroupe 4 facteurs, nommez-les.

A

1 Facteurs prédisposants ou facteur lointain (réfère à des éléments de l’enfance qui constitue un plus grand risque pour la personne de dév. des prob. sur ces éléments)
2 Facteurs précipitants (moment où les difficultés ont commencé de manière marquée)
3 Facteurs déclencheurs (Ce qui déclenche le malaise dans l’immédiat)
4 Facteurs de maintiens (ce qui pousse la personne a rester dans sa situation, truc bénéfique de son prob.)

110
Q

BASIC IDEA

A

B: Behavior (description du cpt: durée, fréquence, circonstance d’apparition, depuis quand, où, comment, avec qui, augmente ou diminue)
A: Affect (Émotions, émotions plus difficiles)
S: Sensation (Sensation physique, boule dans la gorge)
I: Imagery (images que la personne vit partage, endroit sûr)
C: Cognition (idée, croyance, pensée, pense-t-elle pouvoir changer son cpt)

I: Interpersonal (vie perso, ensemble des sphères de vie)
D: Drugs (consommation de drogues ou méd.)
E: Expectation (Attentes de la pers. face au processus thérapeutique)
A: Attitude (Attitude du thérapeute)

111
Q

Dans le modèle basic idea il y a trois aspects à l’attitude qui nous intéresse, quel sont-ils ?

A

Attitude face
1 à l’efficacité des techniques (évalue efficacité de ses techniques)
2 à l’efficacité personnel (ai-je les compétences pour aider la pers.)
3 à l’attente par rapport aux résultats (Quelles sont les attentes du thé. par rapport aux résultats)

112
Q

Quelles sont les composantes du modèle SECCA (analyse synchronique) ?

A

S: situation (stimulus) (quelle est la situation, ex. donner un cours de cognition)
E: Émotion (ex. je me sens anxieux)
C: Croyances perso. (ex. il faut que le cours soit parfait)
C: Comportement et conséquences sur env. (ex. relire ses notes, ne pas dîner et ne pas souper)
A: Anticipations (ce que la pers. craint ou imagine, ex. si mon cours pas bon ils ne l’aimeront plus et ils ne viendront plus)

113
Q

Le modèle SECCA (analyse diachronique) nous permet d’observer un problème sur une certaine période, quelles sont les composantes de ce modèle ?

A
  • Données structurales possibles. (antécédents lointains. À quoi ressemblait mon enfance, parent, mes traits de personnalités)
  • Facteurs déclencheurs initiaux (ce qui a causé mon trouble)
  • Événement ayant « précipité » le trouble (quelque chose qui à accentuer le trouble)
  • Facteurs historiques de maintien (ce qui fait que le trouble ce maintien)
  • Autres problèmes (si elle a d’autres problèmes que ceux pour lesquels elle consulte)
  • Traitements précédents (qu’est-ce qu’elle a essayé jusqu’à présent. (Yoga, musique, etc.))
  • Maladies physiques (si la personne a des maladies physiques)
114
Q

Quelles sont les composantes de la grille de Fontaine et Ylieff (AACCC) ?

A

A: Antécédents historiques, bio, socioculturels ou traumatiques (ce que la pers. a vécu, prob. du passé)
A: Antécédents immédiats (stimulus discriminatif interne et externe, qu’est-ce qui fait que je fais ce cpt, à l’intérieur de moi comme à l’extérieur)
C: Comportement prob. (inclut émotions, pensées)
C: Conséquences sur env. (conséquence sur entourage)
C: Conséquences sur le sujet (ce que la pers. retient/évite, négatif et positif)

115
Q

Quelles sont les composantes de la grille de Kanfer et Saslow (ECAAAAA) ?

A

E: Examen du prob. spécifique (émotions prob., cpts prob., description, durée)
C: Clarification de la situation prob. (quel contexte il se produit, quelle situation)
A: Analyse motivationnelle (gains pour la personne, facteurs de maintiens)
A: Analyse développementale (dév. du cpt, histoire des diffic.)
A: Analyse de l’autocontrôle (efforts de la personne pour surmonter ses diffic.)
A: Analyse des relations sociales (relations avec famille, amis, travail…)
Analyse de l’environnement socioculturel et physique (fait partie d’un groupe, son entourage, particularités reliées à la religion)

116
Q

Vrai ou faux ? Pour faire une bonne évaluation, les psy. peuvent toujours décider de se faire une grille personnalisée.

A

Vrai

117
Q

Lors de l’enregistrement des observations si un cpt se manifeste peu de fois par jour comment l’enregistrement va s’effectuer ?

A

À chaque fois que le cpt va arriver la personne va le noter (heure, journée) ainsi que ce qui précède le cpt (pensé, cpt., etc.) et ce qui suit (pensé, cpt., etc.)

118
Q

Lors de l’enregistrement des observations si un cpt se manifeste beaucoup de fois par jour comment l’enregistrement va s’effectuer ?

A

Se fixer une période particulière. Durant cette période elle note quand ça arrive, ce qui précède et ce qui suit. (Échantillonnage restreins à des moments précis)

119
Q

Vrai ou faux ? Le psy. doit toujours faire le suivit des observations, s’assurer qu’il a toujours les bons outils, s’auto-évaluer.

A

Vrai

120
Q

Sur quoi le thérapeute doit travailler en premier avec son client ?

A

Il doit commencer a voir en collaboration avec le client ce qu’il aimerait travailler. Ce peut être:

  • Urgence
  • Souffrance et répercussions
  • Demande du patient/client
  • “Coeur” du prob.
121
Q

Qu’est l’élément de base de la thérapie cognitive ?

A

Les pensées dysfonctionnelles

122
Q

Vrai ou faux ? L’objectif visé par le psy. consiste d’abord à identifier les pensées inadaptées qui déterminent les réactions émotionnelles et cptales du patient/client.

A

Vrai

123
Q

En quoi consiste les questions directes ?

A

Ce sont des questions précises qui porte sur la pensée immédiate de la personne (ex. à quoi pensez-vous à ce moment ?)

124
Q

Toutes autres formes de questions. Ne nous donnes pas directement ce que la pers. pense. Ex. comment à été votre journée de travail ? Comment cette personne s’est-elle comportée avec vous ? Comment vous êtes vous sentis à ce moment-là ?

A

Question inductives

125
Q

Vrai ou faux ? Les émotions peuvent mener le psy. aux pensées dysfonctionnelles de la pers.

A

Vrai

126
Q

Comment l’imagerie mentale peut-elle être un outil pour accédé aux pensées/émotions de la personne ?

A

Si la personne dif. à se rappeler émotions/pensées d’un événement difficile, on peut commencer par lui demandé d’aller dans un milieu relax. Ensuite, de se diriger lentement et surement vers le souvenir de l’événement traumatique. On demande à la pers. de revivre ses émotions, sensations, pensées, etc.

127
Q

Méthode qui permet d’avoir accès aux pensées/émotions d’une personne en jouant le rôle de la pers. avec laquelle elle vit certaine difficulté. Cette technique permet au thérapeute d’arrêter à tout moment pour permettre à la pers. de revivre ses émotions/pensées. De quelle technique s’agit-il ?

A

Le jeux de rôle

128
Q

Sert à identifier les croyances plus profondes et plus inconsciente de la pers. De quelle méthode s’agit-il ?

A

La flèche descendante

129
Q

En quoi consiste le tableau d’auto-observations ?

A

Tableau où la personne peut écrire les situations qui sont problématiques, les émotions négatives vécu et les pourcentages de ces émotions dans l’immédiat. De plus, permet de faire ressortir les pensées automatiques ainsi que le pourcentage de croyance de la véracité de ces pensées automatiques.

130
Q

Remplacement des pensées dysfonctionnelles par des pensées plus fonctionnelles. Comment ce nomme ce processus ?

A

Restructuration cognitive

131
Q

En quoi consiste des pensées plus fonctionnelles ?

A

Pensées plus réalistes, moins biaiser; qui tiennent d’avantages compte des faits plutôt que des interprétations. Elles sont moins propices au ressenti d’émotions négatives et plus favorables à des relations harmonieuses

132
Q

Quels sont les 6 choses que ne sont pas la restructuration cognitive ?

A

1 Thérapeute pas là pour faire la morale aux clients
2 Thérapeute pas là pour faire voire la vie en rose au client
3 Ce n’est pas d’encourager la pers. dans le déni.
4 Thérapeute pas là pour donner des conseils aux clients
5 Thérapeute pas là pour faire un discours persuasif
6 Chercher à convaincre à tout prix

133
Q

Si un thérapeute demande à son client une question comme: sur quoi t’appuies-tu pour dire que tes collègues de travail te déteste, il est en train …

A

d’examiner les preuves avec son client (on parle de ressenti et de comment la personne voit les choses)

134
Q

Trouver d’autres interprétations est une technique de restructuration cognitive, en quoi consiste-t-elle ?

A

C’est une technique qui sert à voir avec la personne si ce qu’elle a perçu de l’événement pourrait être interpréter d’une autre façon. (outil: utiliser un modèle du client pour voir comment il pense que son modèle aurait réagit dans tel situation)

135
Q

Vrai ou faux ? Recueillir des données est basé sur des faits et non sur une expérience.

A

Vrai (Suite à une mauvais journée avec le patron. Client: j’ai peur qu’il me renvoie. Thérapeute: Est-ce qu’il y a eu une plainte contre toi ?)

136
Q

Questionnement philosophique et rationnel dans le but de ressortir les contradictions du raisonnement de la personne. Le psy. joue à l’avocat du diable.

A

Questionnement socratique

137
Q

En quoi consiste le jeux de rôle dans la restructuration cognitive ?

A

Met en confrontation la partie rationnel et irrationnel de la pers. Psy. joue la voix rationnelle et client joue la voix irrationnelle. Ensuite, il échange pour que le client développe ses propres outils pour se confronter lui-même lorsqu’il a des raisonnements irrationnels

138
Q

Ressemble à recueillir des donnés, basé sur des faits et sur une expérience. Affronté la vrai vie. Ex. peur de faire de la course parce qu’elle pense que les autres vont rire d’elle. Thérapeute: voulez-vous essayer pour voir si c’est vrai.

A

Tester les hypothèses

139
Q

Lorsque le thérapeute utilise tester les hypothèses il faut …

A

qu’il soit sûr que le client ne va pas se faire rire d’elle à 99,9%

140
Q

De quel manière l’auto-observations est-il utilisé pour faire de la restructuration cognitive ?

A

Prendre les pensées automatiques et essayer de trouver des raisons pourquoi il ne peut pas faire le ménage (réponses rationnelles). Voir suite à ça si les émotions et la pensée automatique vécu ont diminuées

141
Q

Évaluer la personnes sur ses croyances centrales, ressortir les avantages et inconvénients de ces croyances-là.

A

Avantages et inconvénients

142
Q

Dites-moi à quoi correspond chacune de ces lettres:

S -> O -> R -> K -> C

A 
S: Stimulus
O: Organisme (comment la pers. se sent dans son corps ou comment elle vit ce genre de situation) 
R: Réponse (comportement)
K: Contingence
C: Conséquence
143
Q

À quoi correspond la contingence ?

A

La probabilité qu’une conséquence survienne (ex. courir belle journée prob. (K) que les gens me salut (C) ou prob. (K) que les gens rient de moi (C)

144
Q

Renforcement +

A

Augmentation d’un cpt par l’ajout d’une (C) +

145
Q

Renforcement -

A

Augmentation d’un cpt par le retrait de quelque chose de -

146
Q

Punition +

A

Diminution d’un cpt par l’ajout d’une (C) -

147
Q

Punition -

A

Diminution d’un cpt par le retrait d’une (C) +

148
Q

Vrai ou faux ? Il faut privilégier le renforcement parce que ça créer des relations plus harmonieuses.

A

Vrai

149
Q

En quoi consiste l’extinction ?

A

Disparition d’un cpt. (enfant qui veut une chose (S), il crie pour l’avoir (R), je ne fais rien (C). À la longue la (R) ne sera plus utilisé)

150
Q

Stimulus: moment d’attente
Réponse: ronger les ongles
Conséquences: j’ai mal, ce n’est pas beau
donc au lieu de me ronger les ongles quand le moment d’attente arrive
Réponse: lire un magasine

A

Changement de stimulus. Je vais lire un magasine au lieu de me ronger les ongles.

151
Q

Le renforcement différentiel permet de …

Quand je trouve un cpt correct dans une certaine circonstance et pas correct dans d’autre circonstance.

A

Contrôler le moment d’apparition de la réponse

152
Q

Cette technique sera utilisé lors de l’émergence d’un cpt non présent à la base.
Renforcement petit à petit de la réponse rechercher.

A

Façonnement

153
Q

Utiliser un stimulus aversif pour diminuer un cpt.

A

Aversion

154
Q

Donnez-moi des exemples de cpt aversifs ?

A
  • Respirer de l’ammoniac

- Chocs électriques

155
Q

Vrai ou faux ? Le modeling consiste a renforcer un cpt d’une pers. en étant un modèle.

A

Vrai

156
Q

Pour que le modeling soit efficace il faut être une modèle …

A

imparfaitement compétent

157
Q

Quelles sont les 8 étapes de la résolution de problèmes ?

A 
1 Définir le prob.
2 Déterminer un objectif
3 Trouver des solutions potentielles
4 Évaluer les solutions
5 Élaborer un plan d'action
6 Établir un échéancier et des critères d'évaluation
7 Passer à l'action
8 Faire le point
158
Q

Vrai ou faux ? Dans la résolution de prob. lorsque l’on définit le prob., le prob. ne peut pas être une pers.

A

Vrai

159
Q

Combien de solutions potentielles il faut trouver lors de la résolution de prob. ?

A

Au moins 10 et il faut prendre toutes les idées.

160
Q

Vrai ou faux ? Lors de l’évaluation des solutions dans la résolution de prob., il faut se demander est-ce que la solution à un potentiel de résoudre mon problème. Qu’est-ce que ça va me demander; en temps, argent, énergie. Comment je me sentirais en choisissant cette solution. Conséquences pour moi et pour les autres. Il faut le faire pour les 10 solutions. Essayer ensemble de trouver quel sera la meilleure solution pour résoudre le prob.

A

Vrai

161
Q

Combien de temps en moyenne il faut pour atteindre une détente profonde au moyen de la relaxation ?

A

3 mois

162
Q

Vrai ou faux ? La relaxation est constitué de plusieurs étapes. Lorsqu’une étape est réussi on passe à l’autre.

A

Vrai

163
Q

Quels sont les étapes de la relaxation ?

A

1 Progressive de Jacobson (contraction décontraction par une main sur les membres du corps. 2 fois par jours)
2 Passive par relâchement musculaire (détente de chacune des parties du corps une par une, 2 fois par jours)
3 Associée à la respiration (5 min 2 fois par jours, dans un lieu très calme. Respire lentement en se répétant détends-toi)
4 Différentielle (inspire expire comme respiration mais dans des milieux un peu moins calme)
5 Différentielle rapide (Inspire expire 3 fois au lieu de cycle de 5 minutes, environ 20 cycles par jours)
6 Rapide (3 inspiration expiration mais dans des moments stressant)

Perspective béhaviorale et cognitive (2 decks)

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