Examen 1 Flashcards

1
Q

Définition psy sociale

A

Tend à comprendre et à expliquer
comment les pensées, les sentiments et les
comportements des êtres humains
sont influencés par un autrui explicite,
imaginaire ou implicite

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2
Q

Né quand à peu près psy social

A

autour des années 1900 avec
William McDougall et Edward A. Ross

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3
Q

Que faisait William McDougall

A

plus de la psychologie
=instinct humain,
tendances innées ou
héritées motivant l’action
et socialisation à la
civilisation

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4
Q

Que faisait Edward A. Ross

A

Sociologie
=processus interpersonnels
et collectifs d’imitation et
de suggestion (modes,
opinion publique,
coutumes, conventions)

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5
Q

Quelles sont les différences entre la psychologie sociale psychologique et sociologique?

A

Psycho= individu, micro et expérimentation
Socio= société, macro et observation

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6
Q

Qui a fait l’expérience sur les vélo (influence course)

A

1897-Norman Triplett

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7
Q

Qui est le père de la psychologie sociale

A

Kurt Lewin
“Si vous voulez vraiment comprendre quelque chose, essayez de le changer. »

« Il n’y a rien de plus pratique qu’une bonne
théorie”

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8
Q

C’est quoi la théorie du champ

A

B= f (P, E)
B=behaviour
P=person
E=environment
donc que oui les traits de personnalité mais environnement influence aussi

-ajuste comportement aux situations (normes)

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9
Q

Plusieurs études ont été fait sur les weird…de qui il s’agit

A

w=western (occidentaux)
e=éduqués
i=industrialisés
r=riches
d=démocratiques

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10
Q

Quelle est la méthode privilégié en psychologie sociale

A

expérimentation
car assure l’équivalence des conditions entre les groupes, peut manipuler expérimentalement la variable dépendante (cause) et tu peux faire de l’affectation aléatoire des participations aux conditions.

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11
Q

Quelles sont les limites à l’expérimentation

A

-environnement artificiel de labo
-ne vivent pas vraiment l’évènement

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12
Q

Plan de recherche expérimental

A

-Manipulation de la variable indépendante
-Contrôle des conditions
-Affectation aléatoire aux conditions

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13
Q

Plan de recherche quasi expérimental

A

 Manipulation de la variable indépendante
 Sans contrôle de conditions ni affectation aléatoire

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14
Q

Plan de recherche corrélationnel

A

Pas de manipulation, ni de contrôle, ni affectation aléatoire

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15
Q

Validité interne

A

Tirer des inférences causales (VI cause VD)

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16
Q

Validité externe

A

 Généralisabilité et robustesse des résultats à
d’autres temps, endroits, contextes, personnes
et cultures
Mais, critiqué pour être WEIRD

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17
Q

Validité du construit

A

manipulation et outils de mesures des concepts

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18
Q

Réalisme expérimental

A

Participants vivent la situation expérimentale telle
qu’elle a été prévue

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19
Q

Réalisme mondain

A

 Événements dans l’étude sont similaires à ce qui se
produit dans la « vraie vie »

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20
Q

Biais rétrospectifs

A

Tendance à avoir une certitude exagérée, à
posteriori, en notre capacité à prévoir un
événement.
« Je le savais. C’était évident. »
 Lié au biais de confirmation et à l’heuristique de disponibilité

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21
Q

C’est quoi le besoin d’accomplissement?

A

désir de bien réussir au regard d’un standard d’excellence

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22
Q

Quels sont les deux buts d’accomplissements

A

-But de maîtrise
-But de performance

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23
Q

But de maîtrise

A

cherche à développer sa
compétence, à s’améliorer (effort &
persévérance)

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24
Q

But de performance

A

cherche à montrer ses
habiletés et qu’une performance requiert un
minimum d’effort

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25
Q

Quels sont les deux types de motivation

A

-Intrinsèque (satisfaisante en elle-même et a sa propre récompense)
-Extrinsèque (satisfaire un but, autre que l’activité)

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26
Q

Quels sont les 3 besoins psychologiques fondamentaux?

A

-Autonomie
-compétence (sentiment de maîtrise)
-appartenance sociale (connexion, soutien, importance pour autrui)

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27
Q

Théorie de l’autodétermination

A

Activités et environnement social (c.-à-d., autrui, contexte) qui favorisent la satisfaction / frustration ces 3 besoins psychologiques fondamentaux favorisent aussi :
 Bien-être / mal-être de l’individu
 Motivation autonome / contrôlée ou
amotivation à s’engager dans une activité

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28
Q

Cognition sociale

A

-Traite des processus utilisés par les individus
pour sélectionner, interpréter, analyser, se
remémorer et utiliser l’information provenant de leur monde social afin de poser des jugements ou prendre une décision.
-Expliquer comment les gens se perçoivent et perçoivent le monde qui les entoure.

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29
Q

Vers quelle année a commencé les études sur le cognition sociale?

A

1950 avec le rôle des processus psychologiques dans la perception

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30
Q

À quoi correspond l’interprétation de stimuli sociaux

A

-genre
-situation $
-contexte culturel…

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31
Q

À quoi correspond la communication non verbale et son contexte culturel?

A

-apparence
-stimuli non-verbaux
-codes culturels (messages différents selon contexte)
-expériences qu’on a dépend des pensées qu’on a

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32
Q

Pensée contrefactuelle

A

 Tendance à imaginer des issues alternatives à
des événements
 Ces issues alternatives peuvent influencer
comment des événements sont vécus
(réaction émotionnelle plus intense)
(possibilité d’éviter un événement négatif? -qu’est-ce que j’aurais pu faire de différent)

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33
Q

Est-ce plus facile de mémoriser quelque chose ou de se faire une impression?

A

Impression
-on se souvient mieux des détails lorsqu’on les organise
-encoder l’information dans une représentation intégrée qui facilite la rétention

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34
Q

En quoi la mémorisation et l’impression se distingue sur le plan physiologique?

A

-impression=cortex préfrontal
-mémoire=hippocampe droit

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35
Q

Définition schéma

A

-« Structure cognitive qui comporte un
ensemble de connaissances, croyances
et informations organisées et relatives à
un domaine particulier (…) »

-Constitue un prototype des
caractéristiques partagées par les
éléments d’une catégorie.

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36
Q

Schéma sur le soi définition

A

Moi je suis comme ça, je suis capable de ça, informations sur nous

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37
Q

Schéma sur la personne définition

A

Expériences et généralité à partir d’un prototype.
-projette sur les autres (famille, amis…)

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38
Q

Schémas sur les rôles ou les groupes sociaux définitions

A

-Politiciens c’est quoi, sont comment
-humoristiques sont comment…

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39
Q

Schémas sur les évènements définition

A

Savoir quoi faire, comment se comporter, comment agir dans telle situation

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40
Q

Stéréotype définiton

A

Croyance que tous les membres
d’un groupe social spécifique possèdent
certains traits ou caractéristiques

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41
Q

De quel schéma s’agit
-Stéréotype

A

Schéma sur les groupes sociaux qui influence fortement nos perceptions d’information sociale

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42
Q

Est-ce qu’un schéma est un préjugé?

A

Non

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43
Q

Préjugé définiton

A

Sentiments ou attitudes (surtout
négatifs) envers des individus sur la base de
leur appartenance à un groupe social
spécifique.
-affectif prend le dessus

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44
Q

À quoi servent les schéma sur les événements?

A

-Facilite interprétation et rétention information
-permet anticiper

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45
Q

Quels sont les trois utilités du schéma?

A

-catégorisation
-entreposage et récupération
-interprétation et prédiction

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46
Q

En quoi consiste la catégorisation dans les schémas?

A

-simplifier la tâche cognitive

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47
Q

En quoi consiste l’entreposage et la récupération dans les schémas?

A

-Ordonner les faits et nos appréciations
-Récupérer l’information pertinente
-Continuité dans notre expérience

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48
Q

En quoi consiste l’interprétation et prédictions dans les schémas?

A

-Résoudre l’ambiguïté
-anticiper des situations
-faciliter les jugements et la prise de décision

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49
Q

Heuristiques définition

A

« Règle ou principe permettant aux
individus de porter un jugement social
rapidement et avec un minimum
d’efforts »

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50
Q

Est-ce qu’il y a des étapes à suivre lorsqu’on utilise des heuristiques?

A

Non, il y a un effort minimum, donc nous sautons les étapes de l’attention, de l’encodage, du rappel et du jugement.

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51
Q

Est-ce que l’on peut faire des erreurs lorsqu’on utilise les heuristiques?

A

Oui plus souvent, puisqu’il n’y a pas de processus et l’on passe pas par les étapes.

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52
Q

Heuristique de disponibilité définition

A

 La tendance à porter un jugement sur la
base de l’information qui nous vient
facilement à l’esprit.

exemple avec les homicides (plus d’hommes ou de femmes). Première chose qui nous vient en tête c’est qu’il y aurait plus de femmes.

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53
Q

En quoi consiste l’effet de la manipulation de l’expérience subjective de la facilité sur le jugement?

A

-évaluation de soi dans une tâche
-si demande de dire combien de fois on fait quelque chose ou qu’on ne fait pas quelque chose, on a tendance à s’affirmer sur les données qu’on vient de donner. (ex: affirmation de soi)

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54
Q

Effet d’amorçage défimition

A

-c’est la façon qu’on interprète les choses, qui est influencé par ce que l’on vient de vivre (conscient ou inconscient)

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55
Q

L’effet d’amorçage est-il en lien avec un heuristique?

A

Oui, ce processus favorise l’utilisation de l’heuristique de disponibilité

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56
Q

Heuristique de représentativité définiton

A

 Une stratégie qui consiste à classifier
un stimuli, une personne ou une
situation selon sa ressemblance à un
cas typique de la catégorie.

Exemple avec fiches d’avocats, souvent donne plus de % si pense qu’il y a une ressemblance

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57
Q

Négligence de la ligne de base définiton

A

 Ignorer la fréquence numérique (ou ligne
de base) d’un événement dans
l’estimation de la probabilité qu’il se
produise.
(exemple qu’on a plus peur de l’avion même s’il y a plus d’accident d’auto )

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58
Q

À quel biais fait référence la négligence de la ligne de base?

A

Biais de jugement

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59
Q

Heuristique d’ancrage définiton

A

 Former un jugement en situation d’ambiguïté
ou d’incertitude en se fiant à un point de
référence ou une situation similaire.
 On peut ensuite ajuster ou corriger son
jugement en prenant en compte d’autres
facteurs.
(exemple d’estimer l’âge de Gandhi 109-54 ans?)

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60
Q

En quoi consiste les processus automatiques?

A

-implicite
-inconscient
-involontaire
-sans effort
-facilite bien les choses
-utile pour des situations usuelles du quotidien

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61
Q

En quoi consiste les processus délibéré?

A

-intentionnel
-conscient
-volontaire
-requiert temps et efforts (et c’est rare qu’on ale temps et le goût)
-processus exigeant
-permet de former ou de modifier un schéma

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62
Q

Quel processus est utilisé vers les années 80?

A

-avares cognitifs
-nous avons une capacité cognitive limitée
-dès que possible, nous prenons des raccourcis pour effectuer nos inférences ou pour prendre des décisions

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63
Q

Quel processus est plus utilisé dans les années 2000?

A

Cognition situé
-automatique et délibéré, ça dépend de la situation
-dépend des objectifs et des motivations
-dépend du percevant, de la cible et de l’environnement

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64
Q

Que fait-on de l’information potentiellement
discordante ou clairement contradictoire?

A

-essaie de trouver une solution ou excuse car nos schémas sont résistants
-favorise la persistance des croyances
-vérification confirmative croyances (cherche et sollicite info qui confirment croyances)
-prophéties qui s’autoréalisent
-négociation entre cible et percevant

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65
Q

Comment fonctionne prophéties qui s’autoréalisent?

A

-attentes du percevant
-comportement du percevant envers la cible
-comportement de la cible envers percevant
(s’autocréer une situation ou éviter, cela crée contexte et environnement qui vient confirmer attentes)

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66
Q

Qu’est-ce qui accroît l’exactitude de
nos impressions?

A

 Davantage d’expérience avec la personne
 Jugements ou prédictions circonscrits plutôt
que globaux
 Connaissance des lois de la probabilité et de
la logique
 Souci d’exactitude plutôt qu’un besoin de
conclusion immédiate et de confirmation

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67
Q

Soi définition

A
  • Une entité (à l’intérieur de nous)
  • qui évalue le monde pour nous
  • qui enregistre l’information perçue
  • qui guide nos actions
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68
Q

Quels sont les déterminants du soi?

A

-contexte social et culturel
-évaluation de soi
-observation de soi-même

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69
Q

En quoi consiste l’interactionnisme symbolique?

A
  • Les autres nous offrent un reflet de nous-mêmes
  • On en vient à se connaître en observant et en imaginant comment les autres nous voient et en intériorisant ces rétroactions dans le soi.
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70
Q

Principe de distinctivité?

A
  • On veut être unique et se distinguer;
  • Les caractéristiques qui nous distinguent des autres sont donc plus caractéristiques de notre soi (genre, ethnicité,
    âge)
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71
Q

En quoi consiste culture individualiste?

A

(c.-à-d., Amérique de Nord, Europe de l’Ouest, Océanie)
- valorisent la volonté personnelle, l’indépendance, la distinctivité et
l’importance du soi personnel (identités personnelles)

INDÉPENDANT

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72
Q

Que veut dire cultures collectivistes?

A

(Le reste du monde! c.-à-d., Asie, Afrique, Amérique du sud)
- valorisent la coopération, l’interdépendance , l’harmonie et mettent
l’emphase sur le soi collectif (et les identités sociales)

INTERDÉPENDANT

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73
Q

Soi indépendant?

A

 But: démontrer et d’affirmer le soi
personnel
 Développer ses propres attributs
(unique)
 Affirmation de soi

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74
Q

Soi interdépendant?

A

 Définition de soi implique nos
connections et relations
 But : être bien intégré dans un
réseau social
 Être conscient des autres

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75
Q

En quoi consiste l’évaluation de soi et la comparaison sociale?

A

-incertitude quand à nos caractéristiques ou capacités
-donc va rechercher de l’informations dans environnement pour mieux savoir qui nous sommes

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76
Q

Comment on peut changer notre perception avec la comparaison sociale?

A

-quand comparaison vers le haut, donc avec des personnes meilleures que soi, on a tendance à se mettre des objectifs et s’améliorer
-quand comparaison latéral, personne similaire, cela crée une confirmation de soi
-comparaison vers le bas avec personnes moins bonnes=rehaussement et retrouve une image favorable de soi

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77
Q

Théorie de la perception de soi de Bem

A
  • Postule que nos attitudes, opinions, émotions ou autres états internes ne sont pas toujours clairement accessibles
  • Lorsque nous sommes incertains de nos attitudes, émotions et autres états intérieurs, nous les inférons à partir de nos comportements
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78
Q

Quelles sont les caractéristiques que nous possédons sur nous-mêmes en tant qu’individu?

A

1-matériel (apparence physique et possessions
2-social (rôle qu’on joue, image projetée)
3-spirituel (qualités personnelles, goûts internes, valeurs..)

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79
Q

Caractéristiques du concept de soi

A

-clairement défini
-cohérent
-stable à travers le temps

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80
Q

Quels sont les avantages du concept de soi?

A

-accès plus direct au soi (comment on se positionne face environnement
-meilleur ajustement psychologique (moins émotions négatives)

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81
Q

Les schémas peuvent changer avec le temps mais est-ce qu’on peut ajouter ou retirer des aspects à notre schéma?

A

yep

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82
Q

Les schémas sont à la fois contenu et processus?

A

En effet, important au niveau
-information
-amorçage grâce éléments environnaux
-guident attention et activité d’une personne

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83
Q

Nos schémas sont ils reliés?

A

oui interdépendants

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84
Q

Hybridisation (culture)

A

Synthétiser des cultures préexistantes
en une forme nouvelle qui combine activement des éléments des deux cultures en un seul produit final.
(combinent ensemble toutes cultures pour créer une identité hybride-aussi dans plusieurs pratiques genre bouff)

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85
Q

Frame-switching

A

[alterner entre différents
cadres] – Maintenir des identités culturelles multiples distinctes et basculer entre elles, selon le contexte
genre passer d’une langue à l’autre selon contexte

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86
Q

4 stades configurations identités sociales

A

-catégorisation anticipatoire
-catégorisation
-compartimentation
-intégration

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87
Q

compartimentation

A

idées multiples sont gardées séparées dans le soi et sont considérées comme divergentes ou en opposition (spécifique au contexte genre valeurs famille de ta blonde vs la tienne)

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88
Q

Intégration

A

plusieurs identités culturelles sont reconciliées et interreliées (sépare pas, trouve les aspects communs et mélange ensemble)

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89
Q

Catégorisation

A

prédominance identité sur les autres genre que tu es italienne mais tu t’en fou un peu, maintenant tu es québécoise, ça te touche moins car c’était ta grand-mère qui vivait en Italie

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90
Q

Estime de soi

A

Évaluation que nous faisons de nous même, que ce soi positif ou négatif

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91
Q

Quelles sont les dimensions de l’estime de soi?

A

-individuelle ou collective
-situationnelle ou dispositionnelle
-spécifique à un domaine ou globale
-explicite ou implicite

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92
Q

Dans les sociétés individualistes l’estime de soi est perçu comment?

A

-clarté du concept de soi
-humeur positive
-résilience lors de l’échec
-attributions adaptatives et meilleure gestion stress

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93
Q

Trop d’estime de soi est associé:

A

-agressivité et narcissisme
-manque d’habiletés sociales
-arrogance

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94
Q

L’estime de soi est une cause ou une conséquence de nos interactions sociales?

A

Conséquence
-estime de soi varie selon les interactions et relations avec les autres

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95
Q

Autocompassion

A

Philosophes védiques ou bouddhistes qui mettent l’accent sur l’importance de la compassion envers soi pour sa propre croissance.

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96
Q

Quelles sont les trois composantes de l’autocompassion?

A

1-faire preuve de bienveillance et compréhension envers soi-même
2-reconnaître que difficulté ou erreur font partie de l’expérience humaine commune
3- être en pleine conscience de ses propres pensées et sentiments douloureux (moment présent)

97
Q

Quels sont les bienfaits de l’autocompassion?

A

-moins de dépression ou anxiété
-plus de satisfaction dans la vie
-plus de stabilité émotionnelle
-plus de résilience face aux changements

-moins sur la défensive
-sans rehaussement de soi

98
Q

Conscience de soi privée

A

Attention à nos caractéristiques
internes, invisibles, que les
autres ne peuvent pas voir en
nous regardant (p.ex., attitudes,
valeurs, sentiments,
motivations)

99
Q

Conscience de soi publique

A

Attention à nos caractéristiques
externes, observables, à partir
desquels les autres peuvent se
forger une opinion de nous
(p.ex., apparence,
comportements)

100
Q

Conscience de soi

A

Lorsque notre attention est orientée vers soi
-donne accès au soi comme contenu

101
Q

À quoi sert l’évaluation de soi

A

à mieux se connaître

102
Q

À quoi sert la confirmation de soi?

A

À valider se que l’on pense de soi

103
Q

À quoi sert l’amélioration de soi

A

améliorer un aspect du soi, se surpasser

104
Q

À quoi sert le rehaussement de soi

A

Restaurer ou augmenter sa perception de soi

105
Q

À quoi sert protection de soi

A

Écarter une menace à son estime de soi

106
Q

À quoi sert la présentation de soi

A

Gérer l’image de soi présentée aux autres

107
Q

Biais de faux consensus

A

Tendance à surestimer la proportion de la population qui
partage nos attitudes ou opinions

108
Q

Biais de fausse perception d’unicité

A

Tendance à sous-estimer à quel point nos habiletés ou attributs se retrouvent dans la population

109
Q

Biais meilleur que la moyenne

A

Tendance à s’évaluer meilleur (ou plus faible) que la moyenne que la population sur un aspect positif (ou
négatif)

110
Q

Biais d’effet de projection

A

Tend à projeter sur autrui ses caractéristiques personnelles
et collectives

111
Q

Biais de transfert de schémas

A

Activation hors de notre conscience de schémas relationnels avec nos proches menant à attribuer leurs caractéristiques à des inconnus qui leurs ressemblent

112
Q

Choix de situations et d’interactions sociales=Égotisme implicite

A

IInconsciemment attirés par
des personnes, des endroits ou
des choses qui se rattachent à
notre soi (p.ex. prénom,
initiales, date de fête)
=Surtout lorsque l’on s’évalue
positivement

113
Q

Choix de situations et d’interactions sociales=Vérification de soi

A

Préfère interagir avec des gens qui
nous voient comme on se voit soi-même
-Peu importe que l’on se perçoive
positivement ou négativement
-Contribue au sentiment de
cohérence et de prévisibilité

114
Q

Présentation de soi stratégique

A

Présenter l’image de soi
désirée afin de contrôler les
perceptions que les autres ont
de nous
- Stratégie autohandicapante
- « se couvrir de gloire
indirectement » en s’associant à
un autre ayant du succès

115
Q

Présentation de soi authentique

A

Se présenter aux autres sous notre
vrai jour afin qu’ils puissent mieux
nous connaître – Révélation de soi
- Approbation sociale
- Accroissement de l’intimité de la relation
- Résolution de problèmes
- Contrôle social d’autrui
- Définir son identité personnelle

116
Q

Attribution définition

A

Le pourquoi
Inférence qui a pour but d’expliquer pourquoi un événement a eu lieu ou de comprendre le comportement
d’autrui aussi bien que notre propre comportement.
(exemple du triangle fâché)

117
Q

Théorie naïve de Heider

A

-individu développe intuitivement des théories causales
-processus subjectif
-analyse des facteurs qui expliquent pourquoi un comportement ou événement s’est produit
-considère deux causes possibles (personne ou situation)

118
Q

3 attributions causales de Weiner

A

-lieu de causalité interne/externe
-stabilité (va t’il se répéter)
-contrôlabilité (certain contrôle de la situation)

119
Q

Quoi différence entre Heider et Weiner

A

Lieu de causalité
Pour Heider=personne/situation
Pour Weiner=interne/externe

120
Q

Attributions causales de Seligman

A

-lieu de causalité
-stabilité
-GLOBALITÉ (global ou spécifique)Ex

121
Q

Exemple de globalité Seligman

A

Pas capable de faire ça même si habituellement ça va bien

122
Q

Style attributionnel pessimiste

A

Lié à la résignation acquise et à la dépression (sert à rien de faire des efforts car je sais que je ne suis pas bon)

123
Q

Style attributionnel optimiste

A

Lié à la réussite subséquente

124
Q

Pourquoi faire des attributions?

A

-comprendre/organiser/concevoir des croyances et schémas
-donner un sens et rendre prévisible
-protéger, maintenir ou augmenter sa perception de soi-même
-guider nos réactions affectives, comportementales et cognitives

125
Q

Quand faire des attributions?

A

-lorsque questionné (réactif)
-spontanément (particulièrement stimulé par événement ou comportement non conforme à nos attentes/ schémas ou constituant une menace pour le soi)
=situation d’incertitude
=événement inattendu
=échec
=événement d’importance personnelle duquel on souhaite faire du sens

126
Q

Qui fait des attributions

A

TOUS
-plus poussé si désir de pouvoir, de contrôle sur autres ou environnement
-désir de mieux comprendre son environnement
-niveau de complexité attributionnelle élevée

127
Q

Attributions causales définition

A

-cherche à expliquer ou comprendre la ou les causes d’un événement ou comportement

128
Q

Attributions dispositionnelle définition

A

Cherche à comprendre l’acteur (sa personnalité) grâce aux événements
-peut-on attribuer le comportement à cette personne là?

129
Q

Attribution de responsabilité définition

A

Cherche à déterminer qui porte le blâme ou est à créditer pour un événement
(genre célèbre pas une personne qui gagne la loterie dit que c’est juste de la chance)

130
Q

Le lieu de causalité est seulement la théorie d’un des 3 personnes..c’est qui

A

Heider

131
Q

Théorie des inférences correspondantes

A

-centré sur les attributions dispositionnelles
-Le comportement de la personne correspondent-ils à ses caractéristiques stables (traits, personnalité, dispositions,
c.-à-d., interne, stable et global)
-ce que je vois de la personne me dit tu quelque chose sur sa personnalité?

132
Q

Est-ce qu’il y a une attribution dispositionnelle si le cible semble avoir librement choisi?

A

OUI
pas forcé par entourage ou environnement

133
Q

Effets distinctifs est-elle une attribution dispositionnelle?

A

oui si vraiment élément distinctif genre va à la biblio un vendredi soir au lieu d’aller dans un bar

134
Q

Deux postulats de la théorie de la perception de soi de Bem

A

 Si ses indices internes sont faibles, ambigus ou ininterprétables, l’individu se positionne en observateur extérieur de son propre comportement.
 Infère ses propres attitudes, émotions et autres états internes à partir de l’observation de son propre comportement.

135
Q

Quelle est la différence entre la théorie de Bem et les inférences de Jones et Davis?

A

les attributions dispositionnelle

136
Q

Quel est la différence entre théorie de Bem et les inférences de Jones et Davis?

A

Bem est limitée aux attributions de l’individu à l’égard de son propre comportement

137
Q

Quel est l’élément novateur de la théorie de Bem

A

Ne présume pas que l’individu a accès à ses états internes pour déduire les connaissances qu’il désire avoir sur lui-même (auto-observation)
-exemple du parent qui peut donner l’impression à son enfant qu’il a eu le choix=conséquences sur l’enfant

138
Q

Principe de covariation de Kelley

A

-pour qu’un facteur soit la cause d’un comportement il doit être
=présent lorsque le comportement se produit
=absent lorsque le comportement n’est pas manifesté

139
Q

Quelles sont les trois dimensions d’information prises en compte pour analyser la covariation de Kelley?

A

-consensus
-distinction
-constance

140
Q

Consensus Kelley

A

-cible comparée à d’autres (genre d’autres personnes ont trouvé ce film génial)

141
Q

Distinction Kelley

A

-comportement à l’égard de différents stimuli (comment réagi exemple il est rare que votre coloc aime un film)

142
Q

Constance Kelley

A

stabilité dans le temps ou dans d’autres contextes et constance dans le comportement (votre coloc continue d’aimer ce film au fil du temps)

143
Q

Schémas causals Kelley

A

ON BOUCHE LES TROUS AVEC DES PRÉSOMPTIONS
Raccourcis attributionnels tirant profit de nos expériences antérieures
Si l’individu manque d’information, de temps
ou de motivation pour réaliser une analyse
attributionnelle (selon théorie de covariation), les attributions seront faites sur la base de schémas causals préexistants

144
Q

Schémas causals de Kelley peuvent mener à une attribution …(3)

A

-principe d’ignorement (on a trouvé une cause et on est correct avec ça donc on ignore les autres informations)
-principe d’augmentation (prend en compte facteur causal nécessaire pour expliquer le comportement en présence d’un obstacle)
(exemple: genre annule une date pour être avec vous=nous aime bien)
-qui ne résulte pas de la considération de chacune des causes possibles

145
Q

Quelles sont les trois phases de l’approche pragmatique de Gilbert?

A

-1e phase: perçoit le comportement d’autrui
-2e phase: attribution automatique à une disposition
-3e phase: correction situationnelle selon influences du contexte
=attribution finale

146
Q

Quelle phase de l’approche pragmatique de Gilbert est un processus délibéré?

A

3e phase qui est la correction situationnelle selon les influences du contexte

147
Q

Biais égocentrique

A

tend à attribuer cause positive à soi (interne et stable) et cause négative pas de sa faute (externe et instable)

148
Q

Comment le biais égocentrique peut changer selon culture?

A

-collectiviste=fierté de tout le monde qui l’a soutenu genre force derrière lui
-individualiste=JE me surpasse…

149
Q

Pourquoi nous faisons le biais égocentrique?

A

-motivation à protéger ou accroître estime de soi
-cohérent avec nos attentes positives
-rôle de communication sociale, présentation de soi

150
Q

Erreur attributionnelle fondamentale

A

-tend à faire des attributions dispositionnelles
-surestimer l’importance des dispositions interne
-déprécier le rôle des influences situationnelles

151
Q

Erreur fondamentale

A

-remise en question de l’universalité présumée
-seulement chez culture individualiste
-croit qu’il devrait y avoir des indices de pressions externes, si elles influencent le comportement

152
Q

Biais acteur-observateur

A

quand observateur tend à attribuer le comportement de l’autre à des causes dispositionnelles
tandis que l’acteur tend à attribuer son propre comportement à des causes situationnelles

153
Q

Biais attributionnel lié au genre

A

Cohérence avec stéréotype de genre
-gars s’il réussi en math c’est à cause de son aptitude tandis qu’une fille c’est grâce à ses efforts

154
Q

Attribution de responsabilité injustifiée

A

tendance à blâmer les victimes pour ce qu’il leur arrive parfois indirectement
1-hypothèse du monde juste
2-biais de connaissance après les faits

155
Q

Hypothèse du monde juste

A

attribution qui concorde avec
croyance que les gens méritent ce qu’il leur arrive. Plus rassurant (pour soi) que d’envisager que le monde est injuste.
 Sauf si l’observateur s’identifie à la victime

156
Q

Biais de connaissances après les faits

A

(biais rétrospectif) :
en sachant ce qui s’est produit, on tend à percevoir la situation comme étant prévisible.
exemple fille uni qui ont laissé les portes de leur chambre débarrée et c’est pour ça qu’il y a eu un viol

157
Q

Les conséquences cognitives de la motivation à l’accomplissement

A

attentes de résultats futurs (similaires, différents, incertains?)

158
Q

Les conséquences affectives de la motivation à l’accomplissement

A

Baisse ou hausse de l’estime de soi, fierté, honte, résignation, colère…

159
Q

Quelles sont les motivation résultantes de la motivation à l’accomplissement?

A

comportements: recherche d’aide, décisions subséquentes, latence, persistance, intensité

160
Q

Attitude définition

A

« Une attitude représente un état mental et
neuropsychologique de préparation à
répondre, organisé à la suite de l’expérience
et qui exerce une influence directrice ou
dynamique sur la réponse de l’individu à tous les objets et à toutes les situations qui s’y rapportent.»
COGNITION SOCIALE STRUCTURÉE

161
Q

Attitudes vs valeurs

A

A=associées à des objets ou situations
V=globales et plus abstraites
A=positives et négatives
V=surtout positives
A=intensité variable
V=ordre importance
A=durables mais plus faciles à changer
V=persistantes

162
Q

Est-ce qu’une attitude est explicite ou implicite?

A

Elle peut être les deux

163
Q

Caractéristiques d’une attitude

A

1-direction (toujours +/-)
2-intensité
3-centralité (implication du soi genre compost)
4-ambivalence (+ et -)
5-explicite (verbalement) et implicite (un peu inconsciemment)
6-accessibilité

164
Q

Caractéristiques attitudes explicite

A

-consciente
-intentionnelle
-connue
-délibérée
-contrôlée

165
Q

Caractéristiques implicite attitudes

A

-inconsciente
-involontaire
-inconnue
-automatique
-sans réflexion

166
Q

Comment n mesure les attitudes explicites

A

Verbalement

167
Q

Comment on peut mesurer les attitudes implicites

A

Associations automatiques

168
Q

Comment on peut mesurer les attitudes indirectes

A

-Comportementales
-psychophysiologique et neuro (guide sur intensité mais pas évident valence)

169
Q

Mesures explicites verbales

A

-mesures par questionnaires
-les attitudes sont des construits hypothétiques, sont inférées et non observables (exemple: les préjugés se sont des attitudes à l’égard de groupes sociaux, peut faire questions avec accord ou désaccord sur personnes noires et voit ensuite leur attitudes)

170
Q

Quelle est la dimension prépondérante, l’essentiel du sens d’une attitude?

A

L’évaluation donc par exemple: belle ou laide, gentille ou cruelle

171
Q

Biais du questionnaires pour mesurer les attitudes

A

Biais de désirabilité sociale donc
-Hétéroduperie: Peut répondre par ce que les autres veulent entendre
-Autoduperie: pas admettre à soi-même qu’on a des préjugés

172
Q

Quelle est une autre limite des mesures explicites verbales

A

Capacité d’introspection
-connaissance consciente de ses propres états mentaux limitée (genre rend pas compte et pas capable de décrire pensées et émotions

173
Q

Quels sont les deux stratégies en mesures implicites?

A

-amorçage évaluatif séquentiel
-tâche d’association implicite

174
Q

Comment on peut voir avec une tâche d’association si tu es plus familier avec quelque chose

A

Nous traitons plus rapidement les choses familières et accessibles

175
Q

Amorçage évaluatif séquentiel, comment détermine ce qui est perçu comme bon ou mauvais

A

La rapidité de la réponse: plus rapide quand l’image concorde avec nos schémas
donc plus c’est rapide, plus nos attitudes sont favorables

176
Q

Quels sont les sources et formation des attitudes

A

-affective
-comportementale
-cognitive
-culturelle
(donc pas mal toutes à partir d’expériences)
-génétique (mais voit moins)

177
Q

Formation des attitudes (affectives)

A

 Basée principalement sur sentiments
et valeurs associées à l’objet, la
personne, la situation ou l’idée
 Évaluation sans considération
rationnelle, pas guidée par logique
 Associations peuvent être faites hors de
conscience

178
Q

Comment se développe les attitudes affectives?

A

-évaluation conditionnée (conditionnement classique)
-effet de simple exposition
-infusion de l’affect (émotion du moment)

179
Q

Formation des attitudes (comportementale)

A

 Basées principalement sur son
comportement à l’égard de l’objet, la
personne ou la situation (ou des
conséquences du comportement)

180
Q

Comment se développe les attitudes comportementales?

A

-perception de soi (Bem)
-implication corporelle
-conditionnement opérant

181
Q

Formation des attitudes cognitives

A

 Basées principalement sur les croyances
de la personne au sujet d’un objet, une
situation ou une personne.
 Interprétation, réflexion
 Processus qui se produit dans le
champ de conscience de la personne

182
Q

Comment se développe les attitudes cognitives?

A

-apprentissage social/par observation
-modèle de croyance/évaluation (évalue ne fonction de ce que l’on croit de vrai)

183
Q

Formation des attitudes culturelles

A

-amorce croyances et met en avant certaines valeurs
-force plus macro
-centré sur individu ou collectif (norme)

184
Q

Comment se développe les attitudes culturelles?

A

-Par des processus déjà abordés: affectifs, comportemental, cognitif

185
Q

Quels sont les liens entre attitudes et comportement?

A

1-comportement (favorable ou pas)
2-personne (lien avec le soi)
3-situation (temps et norme)
4-nature de l’attitude

186
Q

Comment un monitorage faible peut influencer nos comportements?

A

car peu influencé par attentes sociales et du contexte, suit ses attitudes

187
Q

En quoi une conscience de soi privée élevée peut influencer nos comportement?

A

personne est plus attentive à ses états internes (miroir, prend conscience de qui on est, attentif à ses valeurs..)

188
Q

Est-ce que l’expérience change la façon qu’on se comporte?

A

Oui, les attitudes prédisent mieux le comportement lorsque cela vient d’expérience directe et vécues et non apprentissage d’un livre

189
Q

Les attitudes prédisent mieux le comportement lorsque: (5)

A

-viennent d’expérience directe
-intenses
-centrales (fortes et touchent valeurs centrales)
-peu ambivalentes (unidirectionnelles)
-accessibles

190
Q

Modèle du processus attitude-comportement pour comportements spontanés (automatique)

A
  1. Activation d’une attitude qui influence notre perception de l’individu ou de la situation
  2. Activation de connaissances des normes
    sociales (ce qui est approprié)
  3. Attitude & normes sociales influencent notre comportement
191
Q

Modèle mode

A

-motivation, opportunité, déterminant
(processus délibéré et automatique)

192
Q

Dissonance cognitive

A

Petit malaise sur le fait que nos attitudes et comportements ne sont pas toujours cohérents

193
Q

Comment réduire dissonance cognitive? (5)

A

1-modifier son comportement
2-détourner son attention de la situation créant de la dissonance
3-amoindrir importance (genre on va tous mourir de toute façon si par exemple la personne fume)
4-soutenir cohérence avec d’autres cognitions
5-modifier cognition dissonante (revisite attitude)

194
Q

4 situation d’auto persuasion pouvant mener au changement des attitudes

A

-soumission induite
-justification des efforts
-justification des décisions
-perception sélective de l’information?
-paradigme de l’hypocrisie?

195
Q

Soumission induite

A

- Adopte un comportement contraire à nos
attitudes, en ayant l’impression de l’avoir
librement choisi.
 Modifie notre attitude pour qu’elle soit
cohérente avec le comportement qu’on
vient d’avoir.

196
Q

Soumission induite justification/puniiton

A

 Justification insuffisante pour expliquer
adoption d’un comportement initialement
jugé peu attrayant/désirable.
 Punition insuffisante pour ne pas avoir
fait un comportement initialement jugé
attrayant/désirable
=si punition ou justification n’est pas suffisante, change attitudes

197
Q

Justification de l’effort

A

 Beaucoup d’efforts investis pour atteindre un objectif
 Mais, l’objectif atteint n’est pas aussi
bénéfique que prévu
 Modifie l’attitude pour justifier les efforts
investis
 L’objet est réévalué plus positivement

198
Q

Dissonance post-décisionnelle

A

 Doit choisir entre deux options intéressantes
 Implique de rejeter une option intéressante
 Dissonance possible
 Modifie nos attitudes concernant les deux
options :
Après décision, l’option choisie est réévaluée
plus positivement que celle rejetée

199
Q

Perception sélective de l’information

A

 Évite informations contraire (dissonante) à nos attitudes
 Plus attentif à l’information cohérente
(consonante) avec nos attitudes

200
Q

Paradigme de l’hypocrisie

A

 Dissonance cognitive surtout pour éléments liés au soi
 Induire un changement de comportement en faisant prendre conscience qu’un
comportement antérieur personnel ne
correspond pas à ses attitudes
 Se sent hypocrite et modifie son
comportement

201
Q

Qui peut nous faire faire changer d’attitude?

A

-genre crédible et digne de confiance genre des experts
-des gens attirants
-sympathique

202
Q

Comment on peut convaincre quelqu’un de changer ses attitudes?

A

-puissance arguments (oui mais personne doit les comprendre et vouloir y réfléchir)
-présenté les deux côtés médaille
-message évoquant des valeurs (si sont cohérentes avec celles des personnes à persuader)

203
Q

Modèle de la vraisemblance d’élaboration cognitive deux routes

A

Route centrale
 Traitement délibéré (systématique, contrôlé) du message : contenu et idées.
Route périphérique
 Traitement automatique (heuristique) du
message : crédibilité de la personne qui
l’émet; nombre d’arguments.

204
Q

La route de la persuasion empruntée dépend de ..

A

 Capacités du percevant (à comprendre)
 Motivation du percevant (pas le goût de se poser plein questions)
 Humeur du percevant (bonne humeur=veut pas trop réfléchir)
 Humeur plus négative =route centrale
(traitement délibéré) donc publicité vire ça à la joke souvent pour pas que les gens réfléchissent

205
Q

relations intimes besoins (5)

A

-interdépendance
-intimité, compréhension, validation
-engagement
-volonté d’accommodement, sacrifier, pardonner
-veut protéger bien-être de l’autre

206
Q

Solitude existentielle

A
  • Anxiété ressentie face au constat de la mort
  • En dépit de la satisfaction face à nos relations interpersonnelles (quantité et qualité)
207
Q

Comment faire face à la solitude existentielle?

A

-conception d’un monde cohérent avec ses valeurs
-améliorer estime de soi
-former et maintenir lien intimes proches et durables

208
Q

solitude personnelle

A

lorsqu’on vit des relations interpersonnelles insatisfaisantes

209
Q

Solitude sociale

A
  • Manque de connexions sociales ou absence de groupe d’appartenance
  • Sentiment d’exclusion
  • En lien avec la quantité de relations interpersonnelles
210
Q

Solitude émotionnelle

A

Absence de liens affectifs et intimes provenant d’une relation
* En lien avec la qualité de relations intime

211
Q

Quels sont les 7 principes de l’attraction?

A

1-proximité
2-familiarité
3-qui se ressemble s’assemble ou les contraires s’attirent
4-réciprocité
5-transfert d’excitation physique
6-attraction physique
7-théorie de la complémentarité des besoins

212
Q

Pourquoi on pencherait plus du côté de la similarité?

A
  • Valeurs, attitudes
  • Intérêts, activités en communs
  • Caractéristiques démographiques
  • Égotisme implicite (attiré vers des objets qui rappellent le soi)
213
Q

Théorie du maintien de l’autoévaluation

A
  • Réflexion : expansion de soi dans les réussites de l’autre
  • Comparaison : éviter les situations menaçantes 2 stratégies:
    1. Réduire la proximité avec l’autre
    2. Modifier la pertinence du domaine
214
Q

Principe de privilège de la beauté chez les femmes

A
  • Stéréotype favorable chez les hommes comme les femmes
  • Plus de réussite professionnelle
  • Plus de compétences sociales
  • Davantage de qualités positives
  • Affecte les jugements des jurys
215
Q

lookism

A
  • Discrimination basée sur l’apparence physique (F > H)
  • Femmes qui correspondent aux normes de beauté qui occupent des postes élevées, de leadership
  • Femmes belles réussissent grâce à leur apparence physique plutôt que leurs compétences
216
Q

Théorie de la complémentarité des besoins

A

femme=statut $
homme=attirance physique/fertilité

217
Q

comment s’influence similarité et complémentarité

A

si faible estime de soi va plus choisir complément car veut pas quelqu’un qui nous ressemble car se trouve pas bon

218
Q

amour vs amitié

A

1-attachement (pas difficile d’être séparé)
2-souci de l’autre (pas une priorité ami)
3-sentiment exclusivité

219
Q

Théorie triangulaire amour Sternberg

A

-Intimité (lié, connecté, soutien mutuel)
-engagement (décision réfléchie, effort pour maintien)
-passion

220
Q

4 types amour

A

-amour passion (intimité + passion)
-amour tendresse (intimité + engagement)
-amour hollywoodien (passion + engagement)

221
Q

Passion harmonieuse

A

-fait car ça nous tente
-sans retour
-équilibré, harmonieux
-plus de satisfaction, d’intimité…

222
Q

Passion obsessive

A

-devoir, obligation genre à 30 ans tu veux des enfants
-paraître mieux
-prend toute la place
-moins de confiance et de désir

223
Q

Anxiété d’abandon

A

-inquiétudes/peur du rejet, de ne pas être aimé
-quitte pour éviter que l’autre nous quitte

224
Q

Évitement de l’intimité

A

personne va m’étouffer, je n’aurai plus d’identité, peur interdépendance

225
Q

4 approches catégorielles

A

-sécure
-préoccupé ou anxieux
-détaché/évitant
-craintif/désorganisé

226
Q

2 approches dimensionnelles

A

-anxiété d’abandon
-évitement de l’intimité

227
Q

Évitant

A
  • plus chez les hommes
    -moi je me fais confiance mais peut pas avoir confiance en les autres donc quitte pour éviter qu’ils me brisent
228
Q

Désorganisé/craintif

A

-image de soi et des autres négative
-stratégies de désactivation de l’attachement
-distance avec les autres pour éviter intimité et abandon
-les autres vont m’abandonner, tu me fais peur donc rejettes

229
Q

Sécure

A

-positif de soi et des autres
-croyance d’être digne d’aimer et être aimé

230
Q

anxieux

A

-image négative de soi et positive des autres
-stratégie d’hyperactivation
-+ femmes
-attentes élevées qu’on entretient malgré déceptions

231
Q

Quel est le schéma relationnel selon Freud

A

transfert relationnel et personnification à partir des donneurs de soin à l’enfance

232
Q

Quel est le schéma relationnel selon Baldwin et la perspective béhavioriste

A

Schéma=représentation/perception (de soi, des autres et des relations
Fonction=organiser et interpréter les informations (on se fie dessus pour comment on agis)

233
Q

Schémas peuvent t’ils changer?

A

Oui ils sont flexibles et évoluent au fil des expériences, contrairement au style d’attachement

234
Q

À quel style d’attachement est relié au schéma de soi, en relation avec autre

A

-lié à l’anxiété d’abandon

235
Q

Quel style d’attachement est relié au schéma du partenaire, en relation avec soi

A

-lié à l’évitement de l’intimité

236
Q

Comment les style d’attachement peuvent t’ils changer?

A

Si les schémas changent, les styles d’attachement peuvent se moduler un peu aussi par rapport à ça

237
Q

Quelles sont les qualités associées aux schémas relationnelles sécures?

A

-Satisfaction, engagement et confiance en la relation amoureuse
-perception de soutien de la part du partenaire
-stratégies d’adaptation utilisées pour faire face à des situations difficiles
-longévité des relations amoureuses

238
Q
A