examen 1 Flashcards

1
Q

la neuropsychologie est la discipline qui traite de quoi

A

des fonctions mentales supérieurs dans leurs rapports avec les structures cérébrales

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Q

L’approche neuropsychologique est née à partir de quoi ?

A

est née au chevet des patients souffrant d’une pathologie cérébral : il s’agissait de décrire les perturbations présentées par certains malades, de rapprocher cette sémiologie des lésions du cerveau et de formuler des inférences sur le rôle de telle ou telle structure cérébrale dans les comportement du sujet normale

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3
Q

qu’est-ce qu’un modèle cognitif

A

modèle (module) traitement de l’information, il y a plusieurs manières de traiter l’information (stimulus – boîte noire – réponse)

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4
Q

le modèle cognitif s’est intéressé à savoir quoi

A

ce qui se passait dans la boite noire
 Modèle de traitement de l’information où il y a différentes fonctions qui vont être utilisé

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5
Q

qu’est-ce qui l’un des fils conducteurs de l’histoire de la neuropsychologie

A

le concept de la localisation cérébrale (localisation des symptômes, des fonctions mentales, des processus cognitifs élémentaires)

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6
Q

la naissance de la neuropsychologie est un rôle déterminant pour quoi

A

rôle déterminant de la neurologie et sa méthode anatomo-clinique

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7
Q

L’essor de la neuropsychologie avec d’autres disciplines scientifiques permet de quoi

A

avoir une meilleure connaissance du cerveau (la neuro-anatomie, la neuro-histologie et l’expérimentation physiologique chez l’animal)

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8
Q

les grandes conceptions de la neuropsychologie sont issus de quels travaux?

A

des travaux de la psychologie scientifiques

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9
Q

la neuropsychologie est une science pluridisciplinaire qui est au carrefour de

A

des sciences neurologiques et du comportements, de la linguistique et plus récemment d’autres sciences cognitives comme l’intelligence artificielle et la modélisation informatique

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10
Q

les méthodes d’imagerie cérébrale influencent quoi

A

les pratiques cliniques ainsi que les modèles théoriques en neuropsychologie

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11
Q

qui est le père fondateur de la phrénologie et qui était dans la période préscientifique

A

Gall

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12
Q

Gall a identifié parmi les facultés mentales quoi et le situait où

A

une faculté relative à la mémoire verbale et situait son siège dans les lobes antérieurs du cerveau

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13
Q

la doctrine des localisations (ou phrénologie) a conduit Gall à quoi

A

localiser plusieurs fonctions dans le cortex à partir de l’observation de diverses déformation de la surface du crâne

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14
Q

Gall a joué un rôle dans le développement de quoi

A

dans le développement des recherches concernant les liens entre les fonctions mentales et le substrat cérébral

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15
Q

Quelle était la pensée de Gall et comment déterminait il comment une personne était bonne en quoi

A

Les fonctions dans le cerveau s’il y a des gens qui sont bons en calcul c’est que la région est plus grosse et donc ça devrait se voir au niveau du crâne et donc en évaluant la forme des crâne il déterminait dans quoi la personne était bonne. Il a donc fait une map du cerveau

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16
Q

Pourquoi dit-on que ce que Gall dit est une pseudo-science

A

puisque son postulat de base était faux, puisqu’il ne pouvait pas ouvrir les crânes sans que les gens meurent, il a décidé

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17
Q

Gall est le premier à avoir penser à quoi

A

qu’il y avait des régions des fonctions cérébrales

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18
Q

On dit que Broca a un rôle primordial dans ses travaux pourquoi

A

Parce qu’il s’est consacrés à l’aphasie (trouble du langage consécutif à une lésion cérébrale acquise) dans l’avènement de la neuropsychologie scientifique

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19
Q

Quelle était l’hypothèse de Broca

A

il y a une localisation du langage articulé dans une aire cérébrale bien délimitée et désignée comme « le centre des images motrices des mots » qui va devenir l’aire de Broca

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20
Q

Broca a travaillé avec le cas Leborgne ou Tan, quel est ce cas ?

A
  • Fait l’autopsie (l’une des 1ère autopsie autorisé) d’un de ses patients qui avait manifesté des troubles du langage articulé : le cas de Leborgne ou « tan », surnommé ainsi puisque le langage du malade était réduit à cette stéréotypie (répétition) depuis de nombreuses années.
  • L’autopsie avait révélé une atteinte du tiers antérieur de la circonvolution frontale inférieure de l’hémisphère gauche
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21
Q

Pourquoi appelons nous air de broca

A

À l’autopsie : puisque la personne a une lésion à cette endroit, il a émis l’hypothèse que cet emplacement était le centre du langage et c’est pourquoi on dit maintenant l’aire de Broca

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22
Q

Pourquoi l’Église était contente des découvertes de Broca

A

L’Église était contente puisqu’il y a preuve qu’il y avait une différence entre les singes que les humains. Le lobes frontales est plus petit que chez l’humain. Dans la différence de volume on y loge la parole. C’était donc une preuve organique qu’il y avait une différence

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23
Q

Les travaux de Broca ont une grande résonnance sur quoi ?

A

les autres travaux scientifiques

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24
Q

qu’est-ce qu’un localisationnisme et qui en fait parti

A

croit que l’organe a des localisations qui s’occupent de fonctions particulières (Broca et Wernicke)

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25
Q

qu’est-ce que le globalisme

A

besoin de l’ensemble des organes, mais il n’y a pas de spécialisation

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26
Q

L’avènement d’un modèle localisationniste du fonctionnement cérébral est dû à cause de qui

A

Carl Wernicke

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27
Q

en 1874, Wernicke postule quoi

A

un lien de cause à effet entre une lésion du tiers postérieur de la circonvolution temporale gauche et les troubles de la compréhension du langage.

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28
Q

quel est le cas que Wernicke va décrire d’un de ses patients

A

décrit le cas d’un patient présentant principalement des troubles de la compréhension du langage et porteur d’une lésion du tiers postérieur de la circonvolution temporale gauche

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29
Q

Wernicke découvre quoi grâce à ses travaux

A

Découverte de l’asymétrie hémisphérique par ces travaux sur les aphasies à l’aide de la méthode anatomo-clinique.

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30
Q

Wernicke oppose 2 types d’aphasies, quelles sont-elles

A

Il oppose l’« aphasie sensorielle » (qui deviendra l’aphasie de Wernicke) à l’« aphasie motrice » (ou aphasie de Broca).

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31
Q

pour Wernicke, plusieurs régions cérébrales sont impliqués dans le langage, quelles sont-elles et sont relié par quoi

A

L’aire de Broca (cortex frontal inférieur gauche) pour la production du langage
- L’aire de Wernicke (partie supérieure et postérieure du lobe temporal gauche) pour le traitement des paroles entendues.
- L’aire de Broca et l’aire de Wernicke sont connectées par un important faisceau de fibres nerveuses appelé faisceau arqué

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32
Q

Qu’est-ce que la spécialisations hémisphérielles (wernicke)

A

(chaque aire va faire quelque chose de différent
- Langage à gauche, visuo-spatiale à droite

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33
Q

Pour Wernicke, les 2 hémisphères ne jouent pas un rôles identiques dans la vie mentale pourquoi et quel genre de trouble on y retrouve

A
  • Les troubles du langage, du geste et du calcul sont associés à une lésion de l’hémisphère gauche
     L’hémisphère gauche est qualifié de verbal, linguistique et analytique
  • Les troubles altérant les habiletés visuospatiales, la perception des visages, ou encore les émotions sont associées à une atteinte de l’hémisphère droit
     L’hémisphère droit est qualifié de non verbal, visuospatial et holistique
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34
Q

(Jackson) Le globalisme est née de quelle théorie ?

A

la théorie de l’évolution
- Un phénomène pathologique est considéré comme la dissolution d’un comportement normal.
- Et les comportements sont le résultat de mécanismes psychophysiologiques faisant intervenir plusieurs structures anatomiques.

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35
Q

Selon Jackson toute fonction accomplie par le système nerveux central est quoi ?

A

n’est pas tributaire d’un groupe limité de cellules formant une sorte de dépôt pour cette fonction.

Elle est sous-tendue par une organisation verticale complexe représentée d’abord au niveau inférieur dans le tronc cérébral, puis au niveau moyen dans les secteurs moteurs ou sensoriels du cortex et enfin au niveau supérieur, supposé être celui des régions frontales.

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36
Q

Que pense Jackson lors d’une localisation de la lésion responsable du symptôme lors de l’atteinte d’un secteur limité du système nerveux central ?

A

ne saurait en aucun cas être assimilée à la localisation des substrats cérébraux de la fonction
 Cette dernière peut se répartir d’une manière sensiblement plus complexe et avoir une toute autre organisation cérébrale

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37
Q

Les travaux de Freud se situent dans quel courant de pensée

A

la pensée globaliste

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38
Q

Freud livre une monographie en 1891 sur quoi et il met quoi en revue

A

la monographie est consacrée à l’aphasie, où il critique les travaux sur les localisations cérébrales (surtout les thèses localisationnistes de Wernicke)

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39
Q

Dans sa monographie, Freud suggère quoi

A

 Il suggère que le substratum neuro-anatomique de la parole et du langage doit être conçu comme étant « une aire corticale continue de l’hémisphère gauche »
- La notion de centre telle que le centre de la parole n’a de sens que du point de vue pathologie et ne reflète pas le fonctionnement du cerveau normal

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40
Q

Selon Henry head, qu’est-ce que l’aphasie et touche quoi

A

une perturbation de la formulation et de l’expression symbolique
- Elle touche la compréhension et l’usage de signes propres au langage, mais aussi de signes autres que ceux du langage

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41
Q

Head refuse une théorie laquelle

A

Refuse la localisation de fonctions supérieures comme le langage ainsi que la notion de centre

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42
Q

Head admet quand même quelque chose à propos de la théorie quoi et établit un rapport entre quoi et quoi

A

Il va admettre seulement les foyers préférentiels d’intégration et établit un rapport entre des lésions circonscrites et des syndromes (associant donc à une pratique localisationniste une théorisation globaliste)

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43
Q

la neuropsychologie expérimentale implique l’étude de quoi

A

de séries de patients et/ou de sujets sains et l’utilisation de paradigmes standardisés

 Étude de groupe
 Comparé un groupe qui a une caractéristique à un groupe qui ne l’a pas
 Si on l’observe dans le groupe s’est encore plus important que si on le voit chez 1 seul patient
 La méthode expérimental permet de toujours refaire l’expérience et avoir les mêmes résultats

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44
Q

la période de la neuropsychologie expérimentale s’étend de quand à quand

A

de la fin de la Seconde Guerre mondiale aux années 1970

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45
Q

qui sont les pères fondateurs de la neuropsychologie expérimentale

A
  • Henri Hécaen (en France)
  • Alexandre Luria (Union Soviétique)
  • Hans Lukas Teuber (USA)
  • Brenda Milner (Canada) 1ère neuropsychologue femme encore vivante
  • E. De Renzi (Italie)
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46
Q

Pour Luigi Amedeo Vignolo (2011), les 4 principales caractéristiques de la neuropsychologie expérimentale sont :

A
  1. La constitution d’échantillons représentatifs de patients atteints de lésions hémisphériques unilatérales
  2. L’évaluation quantitative des performances au moyen d’épreuves standard et la définition objective du trouble sur la base des scores obtenus aux mêmes épreuves par un groupe de sujets témoins
  3. La comparaison de la fréquence et de la sévérité des troubles dans des groupes de malades, distincts selon la latéralisation lésionnelle et la présence d’autres signes d’ « organicité cérébrale ».
  4. L’utilisation de techniques statistiques pour établir avec quel risque d’erreur les conclusions peuvent être généralisées
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47
Q

à partir des années 1960, les recherches ont pour objectifs quoi ?

A

les recherches ont pour objectif non plus de localiser des fonctions dans le cerveau, mais d’identifier et de caractériser des modules fonctionnels et des opérations de traitement dans une architecture hypothétique de l’esprit :
 C’est la naissance de la psychologie cognitive

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48
Q

Qu’est-ce qui différencie le béhaviorisme du cognitif

A
  • À la différence du béhaviorisme (comportementalisme) dont l’objet était l’observation et la quantification des réponses comportementales face à différentes situations contrôlées, la psychologie cognitive s’intéresse au processus mentaux qui s’opèrent entre la présentation d’un stimulus et la réponse comportementale
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49
Q

la neuropsychologie cognitive trouve sa spécificité dans quoi

A

trouve sa spécificité dans l’étude de patients atteints de lésions cérébrales notamment

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50
Q

la neuropsychologie cognitive à cherché à relier quoi ensemble

A

relier les processus cognitifs aux substrats cérébraux en évaluant les prédictions de modèles cognitivistes aux perturbations présentées par des patients atteints de lésions cérébrales
 Elle utilise les données de la pathologie cérébrale comme des indicateurs de l’architecture et du fonctionnement du système cognitif chez le sujet normal

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51
Q

la neuropsychologie cognitive s’intéresse en priorité à quoi

A

aux patients présentant un syndrome cognitif (ensemble de symptômes cognitifs mis en évidence par le jeu des dissociations et des doubles dissociations (ex : aphasies Broca/Wernicke)

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52
Q

selon la neuropsychologie cognitive, les perturbations et les capacités préservées du patient sont interprétés pour être localiséees dans quel genre de modèle

A

pour être « localisées » dans un modèle représentant l’architecture fonctionnelle du système cognitif étudié

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53
Q

combien de postulats sont nécessaires pour que le profil des perturbations et des capacités préservés d’un patient puisse continuer à préciser une théorie du fonctionnement cognitif ? Nommer les et expliquer

A

il en faut 3

  1. Le principe de modularité suppose que
    - une fonction cognitive, conçue comme un système complexe de traitement de l’information, est décomposable en sous-système et en modules ayant une certaine autonomie fonctionnelle
    • ex : cas de broca et wernicke : le fait qu’il y a 2 modules dans le modèle du langage : s’il y a 2 modules l’un peu être atteinte et l’autre va être correct
  2. Le principe de transparence postule que
    - les performances observées chez un patient atteint de lésions cérébrales peuvent être interprétées comme la résultante d’un traitement normal amputé d’un ou plusieurs modules
  3. Le principe de fractionnement rejoint le concept de dissociation
    - Une lésion cérébrale peut entraîner la perturbation d’un seul module
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54
Q

qu’est-ce qui est affecté dans l’aphasie de broca (quel module)

A

c’est le module de production du langage qui est dysfonctionnelle

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55
Q

qu’est-ce qui est affecté dans l’aphasie de wernicke

A

le module de production de langage n’est pas affecté, mais le module de compréhension est affecté parce qu’il ne comprend pas la question (la réponse comportementale attendue n’est pas celle donnée)

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56
Q

Broca c’est à quel niveau dans le cerveau

A

frontal

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57
Q

qu’est-ce qu’un trouble acquis

A

une personne s’est développée avec des fonctions cognitives qui fonctionnaient bien mais suite à une ou des lésions va avoir des troubles. Les adultes ont souvent un trouble acquis causé par un accident. Lésions qui affectent les processus cognitifs

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58
Q

si on avait a résumé la démarche de la neuropsychologie cognitive ce serait quoi

A

 S’appuie toujours sur un modèle de traitement de l’information
 Recherche la lésion fonctionnelle responsable des troubles
 Nécessite l’utilisation d’une méthodologie précise pour caractériser cette localisation « sur le papier » (dans le modèle de fonctionnement cognitif choisi)
- Exemple : dans la spécification d’un trouble du langage : comparaison des performances selon différentes modalités (dénomination, répétition, lecture, écriture, etc.)

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59
Q

qu’est-ce qu’un trouble neurodéveloppemental

A

la personne nait avec un manque de quelque chose et donc ne peu ou ne va pas développer certaines fonctions. Ils n’ont jamais atteint la fonction cognitive

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60
Q

qui est jackson et il est d’accord sur quoi et n’est pas d’accord sur quoi

A

1er des globalistes. Connait les travaux de Broca et Wernicke qu’il va se positionner sur leurs travaux. D’accord que si on enlève un morceau du cerveau il va y avoir des conséquences. Mais il n’est pas d’accord que si on enlève un morceau à gauche ça va avoir un impact autre que si on enlève à droite (ex : les gauchers)

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61
Q

quelle est la différence entre la psychologie cognitive et la neuropsychologie

A

cognitif : modèle cognitif (ce qui a dans la boite noire). Les cognitifs veulent comprendre le modèle cognitif. À l’intérieur de nous même on a une mémoire sémantique (banque de mots) qui nous permet de comprendre le sens des mots donner et générer une réponse (tout ça s’est appelé le traitement cognitif).
neuropsychologie : va essayé de comprendre quels sont le ou les modules qui ne fonctionnent pas la réception, la mémoire ou le langage

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62
Q

qu’est-ce qu’une lésion cérébrale

A

structure cérébrales qui a été abimer qui ne va plus fonctionner et donc il y a une atteinte cérébrale (atrophie, déconnection) il y a quelque chose au niveau structurel qui empêche l’intégrité de

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63
Q

qu’est-ce qu’une lésion ou atteinte cognitive

A

Dysfonctionnement (ex : aphasie de broca : module. Pas obligatoirement organique, mais peut être dans une description. S’il y a une lésion cognitive ça ne veut pas dire qu’il y a une lésion cérébrale

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64
Q

la neuropsychologie cognitive fait quoi

A
  • s’applique en priorité à un patient unique, les études de groupes moyennant nécessairement des données hétérogènes, y compris chez les malades présentant a priori les mêmes symptômes « de surface »
  • ## fait évoluer la rééducation d’une pratique empirique visant à corriger des symptômes vers une démarche plus rationnelle et scientifique cherchant d’abord à comprendre sur un plan théorique les perturbations du patient
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65
Q

le diagnostic cognitif permet quoi

A

permet alors de proposer un programme précis et contrôlé de rééducation
 Pouvoir donner une prise en charge adéquate

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66
Q

la neuropsychologie cognitive est quel genre de discipline et contribue à quoi

A

c’est une discipline fondamentale qui contribue à modifier les pratiques cliniques tout en conservant sa spécificité au plan théorique et méthodologique

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67
Q

qu’est-ce que la neuropsychologie cognitive doit intégrer

A

 Les contraintes neurobiologiques
 Les techniques d’exploration du cerveau
 L’avancement des connaissances

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68
Q

quel est l’exemple de l’extension du champ de la neuropsychologie cognitives (3)

A

qui concerne les pathologies exemples d’atteintes neuronales patentes
soit
–> c’est le cas de diverses pathologies développementales (ex : des dyslexies développementales ou les troubles du TSA,) les modèles issus de la pathologie lésionnelle focale de l’adulte ont d’abord été appliqués aux perturbations observées chez l’enfant

ou

les pathologies psychiatriques
(rapprochement entre neuropsychologie et psychopathologie pour l’étude de la schizophrénie)
–> le fonctionnement cognitif d’une personne schizophrène est différent d’un individu normal
—>ça ne veut pas dire n’est pas fonctionnelle dans son fonctionnement cognitif et ça ne veut pas dire que c’est une dysfonctions

ou

avènement de la psychopathologie cognitive qui entretient des liens étroit avec la neuropsychologie

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69
Q

le courant de la neuropsychologie fonctionnelle a pour objectif quoi

A

mettre en relation un comportement (et plus précisément une activité cognitive) et une activité cérébrale
 On ne peut pas avoir de cognition s’il n’y a pas de neurones qui s’activent
 Si je pense c’est que je dois activer quelque chose dans mon cerveau (neurones) pour que je puisse penser donc toute activité cérébrale doit être supporter par des neurones

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70
Q

le fonctionnement du cerveau est mesuré au moyen de différents indices lequels

A

 Électriques
 Magnétiques
- IRM
 Physico-chimiques : propriété particulière qui permettent de voir l’activité cérébrale

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71
Q

quel axe de recherche est étroitement lié à l’évolution de diverses techniques et s’appuie sur quel modèles

A

la neuropsychologie fonctionnelle et elle va s’appuyer sur des modèles physiques et mathématiques qui permettent la fabrication d’images de l’activité fonctionnelle cérébrale

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72
Q

la neuropsychologie fonctionnelle implique l’utilisation de quoi

A

de technologies sophistiquées et contraignantes et la construction de paradigme cognitifs pertinents

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73
Q

NEUROPSYCHOLOGIE FONCTIONNELLE
Dans l’évolution des idées en neuropsychologie, cette approche fonctionnelle a permis de concilier quoi

A

une modélisation cognitive et des explorations dynamiques de plus en plus précises du cerveau humain

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74
Q

quel est l’une des originalités de la neuropsychologie fonctionnelle

A

 Les méthodes d’imagerie fonctionnelle permettent ainsi de visualiser « directement » les structures cérébrales impliquées dans différentes opérations cognitives

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75
Q

les méthodes de neuroimagerie sont utilisés chez qui et donnent quel genre d’argument

A

Ces méthodes de neuroimagerie sont aussi utilisées chez des patients de pathologie neurologique ou psychiatrique, et fournissent dans ce cas des arguments physiopathologiques à la compréhension de ces maladies

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76
Q

dans la neuropsychologie fonctionnelle les corrélations ne sont plus uniquement anato-cliniques mais intègrent quoi

A

la dimension de l’activité fonctionnelle cérébrale

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77
Q

L’approche neuropsychologie fonctionnelle permet de mieux comprendre quoi

A

les phénomènes de compensation qui se mettent en place lors d’affections cérébrales

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78
Q

qu’est-ce qui est en passe de modifier certaines procédures de diagnostic

A

L’utilisation de l’imagerie fonctionnelle
ex : dans le domaine de la maladie neurodégénératives, notamment à leur phase précoce, où elle complète les investigations clinique

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79
Q

NEUROPSYCHOLOGIE FONCTIONNELLE
l’exploration de la pathologie constituent un outil puissant pour modéliser

A

un outil puissant pour modéliser le fonctionnement cognitif et cérébral

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80
Q

NEUROPSYCHOLOGIE FONCTIONNELLE
Les différentes techniques disponibles présentent toutefois des limites comme des avantages spécifiques comme quoi

A

 La résolution spatiale de l’électroencéphalographie (EEG) et de ses dérivés est imprécise mais son excellente résolution temporelle en fait un outil précieux : les indices correspondent à des modifications de l’activité électrique cérébrale recueillies pendant des durées très croutes et même pour certains paramètres « en temps réel »

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81
Q

NEUROPSYCHOLOGIE FONCTIONNELLE
quel est la 1ère activité qu’il y a eu pour pouvoir mesurer l’activité cérébrale et ça l’a mesuré l’activtié comment

A

c’est l’électroencéphalogramme (EEG) et ça mesure l’activité cérébrale sous l’électrode qui a été placé

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82
Q

EEG
comment le neurone communique à l’autre neurone

A

communique de 2 façons une même info
- Le neurone va aller de la tête jusqu’aux dendrites par de l’électricité
- Les dendrites sont connectées à une autre neurone et donc il y a une transformation de l’électricité

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83
Q

comment fonctionne le EEG

A

 Vont mettre du gel pour que l’information soit mieux transmise
 Mesurer l’activité de l’os
 On essaye de lier l’activité à la région cérébrale qui était activé durant l’activité

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84
Q

EEG
l’hémisphère est composé de quoi

A

matière blanche (intérieure) et grise (extérieure, neurone)

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85
Q

quels sont les points négatifs du EEG

A

 La résolution spatiale n’est pas très bonne
 Ne peut pas mesurer l’activité sous-cortical seulement celui du cortex

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86
Q

La tomographie par émission de positions (TEP) présente une bonne résolution laquelle et quelle résolution est moins bonne

A

 une bonne résolution spatiale et permet notamment de visualiser les structures sous-corticales
 La résolution temporelle, de l’ordre d’une minute (pour les paradigmes d’activation) reste très imparfaite en regard de la rapidité des opérations cognitives

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87
Q

La tomographie par émission de positions : TEP
quels sont les paradigmes d’activations

A

quand on utilise l’IRM ou TEP on a besoin de contraste (concentration) puisqu’il y a un changement magnétique, on va comparer une situation

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88
Q

La tomographie par émission de positions : TEP
repose sur quoi et va être basé sur quoi

A

 Repose sur comment les neurones fonctionnent
 Va être basé sur la consommation de glucose dans le cerveau :
- Si dans une région cérébrale il y a une consommation de glucose alors ça veut dire qu’une neurone proche a été activé

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89
Q

La tomographie par émission de positions : TEP
Comment on mesure

A
  • On va mettre un liguant radioactif (une molécule qui va émettre de la radioactivité qui n’est pas létale) et cette molécule va s’associer au sucre sur l’ensemble de l’organisme
  • On va injecter 1 heure d’avance un liquide radioactif et il va aller dans le corps de la personne. Une partie va aller dans le cerveau et quand cette molécule est utilisé à tous ces endroits on va voir de la radioactivité quand la cellule va s’activer
  • La radioactivité dure max 30 minutes
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90
Q

La tomographie par émission de positions : TEP
est-ce que c’est une mesure directe ou indirecte et pourquoi

A

 C’est une mesure indirecte puisqu’on présuppose l’activité parce qu’il y a une consommation de glucose et donc on ne mesure pas l’activité du cerveau, mais l’activité du glucose

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91
Q

La tomographie par émission de positions : TEP
Qu’est- ce qu’on regarde dans le cerveau avec le TEP

A

 On va regarder dans le cerveau où il y a eu consommation de glucose et si le cerveau a consommer du glucose, le glucose est jumelé à la radioactivité et donc ça va apparaître dans la machine

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92
Q

L’étude des modifications de l’activité cérébrale locale lors de tâches utilise préférentiellement d’autres techniques lesquelles

A
  • la magnétoencéphalographie (MEG)
  • L’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle (IRMf)
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93
Q

la magnétoencéphalographie (MEG)
Mesure quoi

A
  • Mesure le champ magnétique des neurones
  • Permet de mesurer le champ magnétique lorsqu’un neurone est activé puisqu’il ne peut pas avoir de champs magnétiques sans avoir de l’électricité
  • Peut mesurer très finement l’activité avec une précision très fine qui va être celle de la MEG, EEG
  • Capable de mesurer à 100 millisecondes
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94
Q

la magnétoencéphalographie (MEG)
est-ce que MEG est meilleur que l’IRM

A

non il est moins bon

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95
Q

L’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle (IRMf)
quels sont les types IRM

A

morphologiques ou fonctionnelle

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96
Q

L’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle (IRMf)
IRM fonctionnelle est-elle une mesure directe ou indirecte

A

une mesure indirecte

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97
Q

L’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle (IRMf)
qu’est-ce que l’IRM fonctionnelle va mesurer

A

 Ce qui va être mesurer c’est la différence entre les endroits qui ont de l’oxygène et les places qui en ont pas
 Mais parce que le cerveau va toujours donner de l’oxygène il faut donc analyser les fluctuations qu’il y a dans le cerveau
 C’est quelque chose qui permet soit de regarder les structures cérébrales ou permet de voir les différents tissus dans l’organisme et comment ils sont organisés

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98
Q

IRM fonctionnelle mesure l’activité des neurones comment

A

 On a la possibilité de quantifié toutes les hémoglobines qui n’ont plus leur oxygène et si elle ne l’a plus ça veut dire que le neurone s’est activé et qu’il y a une activité cérébrale (plus la couleur augmente ça veut dire que c’est lié à une plus grande concentration

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99
Q

comment peut-on quantifier les globules rouges lors de l’IRM fonctionnelle

A

 Les globules rouges (hémoglobines) leurs particularités c’est qu’elle a de l’oxygène sur le dos et lorsqu’une cellule a besoin d’oxygène elle va lui prendre. Il y a donc 2 configuration la globule rouge a donc soit de l’oxygène = hémoglobine ou sans oxygène – désoxyhémoglobine)

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100
Q

L’IRM fonctionnelle permet de voir quoi

A

 C’est quelque chose qui permet soit de regarder les structures cérébrales ou permet de voir les différents tissus dans l’organisme et comment ils sont organisés

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101
Q

IRM morphologique est une mesure directe ou indirecte

A

mesure indirecte

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102
Q

L’IRM morphologique rend compte de quoi

A

 Rend compte des structures
 Elle rend compte seulement de la consommation d’hydrogène dans les tissus

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103
Q

Comment on interprète l’IRM morphologique

A

 En fonction des différents tissus, il n’y a pas la même mesure puisque tout dépend de la concentration d’hydrogène donc plus il y a d’hydrogène plus c’est noir et moins il y en a plus c’est blanc.
 Le liquide céphalo-rachidien c’est de l’eau et c’est pourquoi c’est noir parce qu’il y a davantage de molécules hydrogène que dans les tissus

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104
Q

quels sont les sortes d’évaluations neuropsychologiques

A
  • les évaluations psychométriques
  • les évaluations cognitives
  • les échelles comportementales
  • les méthodes d’imagerie fonctionnelle cérébrale
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105
Q

la psychométrie se caractérise par quoi

A

l’emploi des tests mentaux, aussi appelés tests psychométriques

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106
Q

un test mental est une épreuve standardisée dans…

A

standardisée dans sa consigne, son matériel, ses conditions de passation et dans l’interprétation des résultats

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107
Q

quels sont les qualités qu’une évaluation psychométriques doit avoir

A
  • De fidélité : de reproductibilité des résultats d’un examinateur à l’autre et d’un moment à l’autre
     2 types : soit je fais le test avec une autre personne et je devrais avoir le même résultat (test-restest) soit une autre personne fait le test et obtient le même résultat
  • De validité : une mesure spécifique de ce qu’il est censé mesurer
  • De sensibilité : la capacité à détecter les individus qui s’écartent significativement de la norme
     Parmi les individus qui ont la covid plus mon test est sensible je vais être dans la situation où tous ceux qui ont la maladie vont être détecté, mais il peut y avoir des faux positifs
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108
Q

ÉVALUATIONS PSYCHOMÉTRIQUES
L’étalonnage (normes) fournit quoi

A

des données normatives qui permettent de situer un sujet dans un population de référence
- Ces étalonnages sont généralement réalisés par groupe d’âge, plus rarement en fonction du sexe et du niveau socio-culturel
- Ces différentes variables permettent de prendre en compte la variabilité de la population de référence et d’améliorer le pouvoir discriminant de l’épreuve

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109
Q

ÉVALUATIONS PSYCHOMÉTRIQUES
quels sont les 3 types de tests psychométriques

A
  • Les épreuves d’efficience intellectuelle
  • Les tests d’aptitude
  • Les tests de personnalité
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110
Q

les 1ères évaluations neuropsychologiques vont utilsier quel genre de tests

A

les tests d’efficience intellectuelle et ceux d’aptitude

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111
Q

ÉVALUATIONS PSYCHOMÉTRIQUES
les tests d’efficience intellectuelle sont censés mesurer quoi

A

mesurer les effets de l’intelligence »
- Échelle de Binet fondé sur l’idée qu’il existe un facteur psychologique commun à toutes ces épreuves. Ce facteur général (facteur G) a parfois été assimilé à l’intelligence
- Échelle d’intelligence de Wechsler pour adulte (WAIS)
- Les matrices progressives de Raven

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112
Q

ÉVALUATIONS COGNITIVES
existe-t-il un certain décalage entre la neuropsychologie d’aujourd’hui, ses modèles, son mode de pensée et les fondements théoriques initiaux de nombreux outils psychométriques utilisés dans la pratique quotidienne

A

oui

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113
Q

ÉVALUATIONS COGNITIVES
les tests cognitifs sont construits sur la base de quoi

A

sur la base de modèles du fonctionnement cognitif
on va créer un test avec un apriori avec comment fonctionne cette fonction là

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114
Q

ÉVALUATION COGNITIVE
L’évaluation cognitive permet quoi vs la psychométrie

A

cognitives : de mesurer des fonctions spécifiques
psychométriques : plus générale va essayer de mesurer quelque chose sans qu’il y ait un fondement cognitif

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115
Q

ÉCHELLES COMPORTEMENTALES
dans certains cas le fonctionnement cognitif est normal ou subnormal et la pathologie se manifeste par quoi

A

des troubles comportementaux

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116
Q

ÉCHELLES COMPORTEMENTALES
les outils standardisés et validés sont-ils dispensables ou indispensables pour une évaluation et pourquoi

A

ils sont indispensables pour une évaluation objective des modifications du comportements et de l’humeur d’un patient
Permettent de relever la symptomalogaie mais standardisé pour tout le monde ce qui permet de faire une comparaison entre les patients et permettre de vérifier dans les symptômes s’il sont tjrs présent ou non pour aller chercher certaine maladie

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117
Q

ÉCHELLES COMPORTEMENTALES
les échelles d’hétéro-évaluation reposent sur quoi

A

évaluation reposent sur l’observation par les proches des modifications du comportement susceptibles d’être présentées par le patient
Certaines personnes perdent conscience quelle sont malade (agnosie) et donc il faut demander à ses proches pour confirmer ou infirmer le diagnostique
Ces personnes-là vont répondre quelque chose qui fait sens à eux, mais pas aux autres
Utiliser quand une personne n’a pas la capacité de répondre elle-même au questionnaire
Les échelles vont utiliser de aspects de la psychométrie
Vont rendre compte des comportements observés pour

118
Q

MÉTHODES D’IMAGERIE FONCTIONNELLE CÉRÉBRALE
quels sont les types de méthodes d’imagerie fonctionnelle

A

il y en a 2 types qui peuvent être distinguée soit :
- Les méthodes électroencéphalographiques (EEG) et magnétoencéphalographique (MEG) qui présentent une résolution temporelle précise (de l’ordre de la milliseconde) mais une résolution spatiale imprécise. Permet de voir le degré d’activité cérébrale permet de comprendre Permet de documenter ce que je vois au niveau symptomalogique
- Les méthodes isotopiques comme la tomographie par émission de positions (TEP), qui présentent les caractéristiques inverses. L’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) bénéficie aujourd’hui de méthodes dites événementielles qui permettent d’enregistrer l’activité cérébrale pendant le traitement d’un item (de l’ordre de la seconde)

119
Q

qu’est-ce que la plasticité cérébrale

A

capacité du cerveau a se réorganiser mais ce n’est pas parce qu’il se réorganise qu’il est fonctionnel

120
Q

que se passe-t-il si un enfant naît avec un manque d’oxygène vs un adulte

A
  • Si un enfant naît avec un manque d’oxygène le cerveau n’est pas encore mature et donc il va se réorganiser autour, mais un adulte qui se fait étrangler et qui manque d’oxygène le cerveau ne peut pas se réorganiser face aux lacunes et aux dommages dans les structures du cerveau
121
Q

quelle est la différence entre la dissociation et la double-dissociation

A

 Dissociation : Quand un côté je compare un individu malade à un autre qui n’est pas malade.
 Double-dissociation : idée qu’il n’y a pas seulement 1 fonction qui a 1 système et donc il peut y avoir une atteinte au niveau de Broca et un autre au niveau de Wernicke. Les lésions et modules sont bien séparés et donc on parle de double-dissociations quand on compare 2 individus où les 2 ont une atteinte mais pas dans le même module

122
Q

L’ÉVALUATION NEUROPSYCHOLOGIQUE
Dans la capacité au test de discriminer une personne qui est amnésique ou non, il y a quoi
Vrais positifs :
Faux positifs :
Faux négatifs :
Vrais négatifs

A
  • Vrais positifs : représentent le nombre d’individus amnésiques avec un test positif
  • Faux positifs : représentent le nombre d’individus non-amnésiques avec un test positif
  • Faux négatifs : représentent le nombre d’individus amnésiques avec un test négatif
  • Vrais négatifs : représentent le nombre d’individus non-amnésiques avec un test négatif
123
Q

L’ÉVALUATION NEUROPSYCHOLOGIQUE
la sensibilité est la probabilité que quoi

A

le test soit positif si l’amnésie est présente
 Elle se mesure chez les individus amnésiques seulement
 Sensibilité = vrais positifs/(vrais positifs + faux négatifs)
Quand le test est super sensible ça permet de trouver tous les cas qui ont une amnésie

124
Q

L’ÉVALUATION NEUROPSYCHOLOGIQUE
la spécificité est la probabilité que quoi

A

que le test soit négatif si l’amnésie n’est pas présente
 Elle se mesure chez les individus non-amnésiques seulement
 Spécificité = vrais négatifs / (vrais négatifs + faux positifs)
Capacité du test à discriminer tous les non-malades (comme mon test sort négatif il me dit que toutes les personnes n’ont pas la maladie au risque que dans le test négatif il y ait des personnes malades (faux négatifs)
Parmi les personnes discriminer par mon test je suis sure que toutes les personnes sont négatives (vrai négatif), mais potentiellement il y en a certains qu’ils ont la maladie (faux négatif)

125
Q

L’ÉVALUATION NEUROPSYCHOLOGIQUE
avoir un test très sensible c’est bon mais ?…

A

si notre traitement donne la mort aux faux positifs il va y avoir des morts et donc on ne veut pas ça

126
Q

les syndromes amnésiques sont la conséquences de quoi

A

de lésions cérébrales et renvoi toujours à une lésion

127
Q

les syndromes amnésiques sont caractérisé par

A

isolé le plus souvent et que le trouble de la mémoire est central dans le tableau clinique du patient

128
Q

les syndromes amnésiques se différencient d’une autre amnésie laquelle

A

elle se différencie des amnésies fonctionnelles, aussi appelées amnésie psychogène

129
Q

qu’est-ce que l’amnésie psychogène

A

la plus courant est associée à l’expérience d’un événement traumatisant (ex : une agression)
- Renvoi à des mécanisme de défenses
- L’épisode amnésique peut durer quelques heures à plusieurs jours

130
Q

les troubles de mémoire on va les retrouver dans quoi
et pour une personne qui a été à la guerre

A

AVC, maladie dégénératives, conflit intrapsychique
**Personne qui vont à la guerre : amnésie psychogène ou fonctionnelle **

131
Q

quel est la différence entre le syndrome amnésique et l’amnésie psychogène

A

syndrome amnésique (cérébrale) amnésie psychogène (événement traumatique, mais il n’y a pas de lésions cérébrales), mais dans les 2 cas il y a un trouble de la mémoire

132
Q

les syndromes amnésiques comportent tous quelque chose quoi

A

des perturbations sévères de la mémoire où sont associées une amnésie antérograde et une amnésie rétrograde

133
Q

qu’est-ce que l’amnésie antérograde

A

désigne l’impossibilité d’acquérir des informations nouvelles depuis la survenue de l’affection.
Incapacité à stocker de nouveaux souvenirs après la lésion et ne plus être capable d’apprendre de nouvelles informations

134
Q

est-ce que la personne peut fonctionner avec l’amnésie antérograde

A

La personne va être guidé va pouvoir fonctionner mais avec les directives qui date de 10-15 minutes
Les personnes ne se voient pas vieillir parce que la personne si elle a perdu 10 ans de sa vie et qu’elle a 40 ans va toujours avoir 30 ans dans sa tête
Amnésie est souvent massive et donc la personne peut être fonctionnelle entre 10-15 minutes mais si on ne rafraichit pas l’information on perd l’info

135
Q

est-ce qu’une personne qui a une amnésie antérograde a encore de la mémoire

A

Mémoire à court terme est fonctionnel, mais mémoire à long terme ne fonctionne pas
On a des mémoires qui sont conscientes et d’autres non (ex : médecin donne la main au patient et a une aiguille dans sa main et ça le pique, plus tard le médecin revient et le patient le salut, mais ne veut pas lui serrer la main. Il ne sait pas pourquoi, mais inconsciemment il se rappelle qu’il a été piquer

136
Q

qu’est-ce que l’amnésie rétrograde

A

fait référence au déficit du rappel d’informations acquises avant l’épisode pathologique (ex : accident)
C’est mon passé que j’ai oublié
Si elle a perdu 5 ans de sa vie, c’est les plus proche de sa vie elle n’a pas perdu son enfance.
Perte d’une partie de sa vie
Incapacité d’accéder aux souvenirs ou informations d’avant une blessure ou maladie

137
Q

qu’est-ce que le gradient de Ribot dans l’amnésie rétrograde

A

Ribot est un gradient temporel où les souvenirs récents (dernières années de vie récentes) sont plus sujets à l’amnésie que les souvenirs plus anciens (enfance)

138
Q

est-ce qu’une personne qui a l’Alzheimer a une amnésie rétrograde ou antérograde

A

Ex : Alzheimer : au début la personne va avoir une amnésie rétrograde légère et de plus en plus elle va perde les dernières années de sa vie. La mémoire épisodique n’est pas bonne, mais la mémoire sémantique est bonne puisque la personne raconte depuis tjrs la même histoire

139
Q

qu’est-ce qui caractérise un syndrome amnésique

A

une personne qui a syndrome amnésique a une amnésie antérograde et rétrograde. Ce syndrome entraine donc un trouble mnésique (mémoire de travail, sémantique, épisodique) à cause des troubles ça va affaiblir ses fonctions exécutives et aussi dans les domaines cognitifs et il faut ajouter comment on réintègre l’information pour s’adapter à ses capacité mnésiques et c’est pour ça qu’il faut appliquer comment on présente l’information et qu’on va réintégrer. Certains patients peuvent avoir une amnésie antérograde mais pas rétrograde, mais pour avoir un syndrome amnésique il faut avoir les 2

140
Q

quelles sont les causes d’une amnésie hippocampique

A
  • anoxie ou ischémie
  • lobectomie temporale
  • encéphalite herpétique
  • maladie d’Alzheimer
141
Q

qu’est-ce que l’anoxie et l’ischémie

A

 Anoxie (absence d’oxygène : les situations dans le cerveau où il ne reçoit plus d’oxygène) ou

ischémie (il n’y a plus d’irrigations et donc le territoire n’est plus irriguer parce qu’il y a un bouchon, le sang devrait arriver, mais il n’arrive pas, le sang est chargé d’oxygène)
Hémorragique : tuyau d’arrosage qui ne donne plus de sang

142
Q

qu’est-ce que la lobectomie temporale si lésion à gauche et si lésion à droite uniquement

A
  • Si lésion gauche uniquement : déficit de la mémoire verbale
  • Si lésion droite uniquement : déficit de la mémoire spatiale
143
Q

qu’est-ce que l’encéphalite herpétique

A

Dans certains cas ça peut l’herpès peut aller au cerveau et il va détruire la région où il s’établit et les hippocampe il va y avoir une atrophie

144
Q

qu’est-ce que la maladie d’Alzheimer

A

Lésions cérébrales qui sont toutes petites au début (au niveau de l’hippocampe) et qui vont grandir

145
Q

Le patient H.M. avait quel sorte d’amnésie et pourquoi

A

il avait une amnésie antérograde (oublie à mesure) et une amnésie rétrograde (amnésie handicapante puisqu’elle va jusqu’à 10 ans)
- a eu une ablation du lobe temporal médian (hippocampe-cortex entorhinal) du patient épileptique H.M.

146
Q

le patient H.M. a garder quelle capacité

A

 Conservation de certaines habiletés perceptivo-motrices, du langage, des connaissances générales des faits et des concepts
 Capacité de retenir des informations durant plusieurs minutes (ex : numéro de téléphone)  peut mémoriser à court terme, mais pas à long terme et mémoire épisodique

147
Q

est-ce qu’il y a présence du gradient de ribot chez le patient H.M.

A

oui les souvenirs récents sont altérés alors que les souvenirs anciens sont conservés

148
Q

le patient H.M. a permis à la psychologue de montrer quoi

A

 Permet de comprendre comment la mémoire fonctionne
 A montre que les hippocampes sont liés à la mémoire épisodique (capacité qu’on a à voyagé dans le temps et rejoué quelque chose qu’on a déjà vécu, capacité à être conscient de retrouver des choses qu’on a déjà vu, des odeurs, qui étaient présent, l’état dans laquelle j’étais à ce moment et décrire comment j’étais. La mémoire épisodique permet tout ça

149
Q

quand on parle du syndrome de Korsakoff ça implique quelle amnésie

A

l’amnésie diencéphalique
* Le patient n’a pas de souvenir et donc il va créer des histoires pour comprendre le monde, il est agnosique (il n’est plus conscient de sa maladie)

150
Q

qu’est-ce qui amène une amnésie diencéphalique

A
  • Conséquence d’une carence vit B1 (thiamine)
     Il a pour prototype le syndrome de Korsakoff dont l’étiologie la plus fréquente est l’éthylisme chronique provoquant une carence en vitamine B1
151
Q

quel est la cause la plus fréquente pour le syndrome de Korsakoff

A
  • La cause la plus fréquente est l’alcoolisme
     Le syndrome de Korsakoff alcoolo-carentiel fait généralement suite à une encéphalopathie aiguë de Gayet-Wernicke caractérisé par un état confessionnel, des troubles oculo-mœurs et de l’équilibre
152
Q

dans le syndrome de Korsakoff on retrouve une atteinte

A
  • Atteinte bilatérale des corps mamillaire : pigmentation particulière de la matière grise autour du 3e ventricule
153
Q

quel est la différence entre le syndrome amnésique diencéphalique et le syndrome hippocampique

A

 Deux syndromes amnésiques permanents paraissent bien individualisés : le syndrome amnésique diencéphalique (les lésions atteignent les corps mamillaires et/ou les noyaux dorsomédians du thalamus) et le syndrome hippocampique (la destruction touche la région hippocampique)

154
Q

qu’est-ce qu’une diffusion isotopique et anisotropique

A

 La substance grise : les mouvements sont libres et aléatoires (diffusion isotopique)
 La substance blanche : les mouvement sont restreints (diffusion anisotropique)

155
Q

dans le cas de Korsakoff quelle mémoire est préservée et quelle mémoire a un profond déficit

A

préservée : mémoire à court terme, implicite et sémantique
déficit : mémoire épisodique

156
Q

quels sont les symptômes du cas korsakoff (5)

A

amnésie antérograde (pas beaucoup d’encodage, stockage partiellement préservée)
désorientation temporo-spatiale
–> désorientation dans le temps : ne peut plus se situer dans le temps
–> désorientation spatiale : pu capable de situer dans l’espace
amnésie rétrograde (loi de ribot) constante
anosognosie
fabulations et fausses reconnaissances

157
Q

est-ce que l’ictus amnésique ou amnésie globale transitoire peut se guérir

A

non, il n’y a aucun traitement la personne doit juste attendre que ça passe)

158
Q

l’ictus amnésique survient chez qui, se traduit pas quoi, et dure combien de temps

A
  • L’ictus amnésique survient chez la personne de plus de 50 ans en général
  • Il se traduit par un trouble soudain, massif et isolé de la mémoire
  • Sa durée est brève (en moyenne 4 à 7) et ne va pas excéder 24h
     Après le 24 heures, la personne n’a aucun souvenirs de ce qu’il s’est passée
159
Q

est-ce que l’ictus amnésique s’accompagne de lésion cérébrale définitive

A

non il y a aucune lésion définitive

160
Q

que ce passe-t-il lors d’une crise d’ictus amnésique

A
  • Pendant la crise, le patient présente une amnésie antérograde majeure (oubliant instantanément de tout ce qui vient de se passer) et une amnésie rétrograde couvrant plusieurs décennies
161
Q

est-ce qu’on connait le mécanisme physiopathologique de l’ictus amnésique

A

Le mécanisme physiopathologiques demeure inconnu même si l’hypothèse la plus probable est d’ordre vasculaire

162
Q

est-ce que l’aphasie et les trouble de la communication sont la même chose

A

Pas la même chose parce que tout dans l’ordre langagière vont être du côté de l’hémisphère gauche. Contenu verbale
Trouble de la communication : tous les aspects non langagiers, tout ce qu’on communique sans utiliser le langage (composante verbale), gestes, prosodie, débit (ce ne sont pas des éléments qui doivent avoir des mots) le ton de la voix, les mots utilisés. La communication non-verbale se situe dans l’hémisphère droite
- Ex : quelqu’un qui pleure de joie, la personne avec des lésions va associé ça à de la tristesse et ne va pas comprendre que la personne est contente

163
Q

qu’est-ce que l’aphasie

A

Trouble acquis du langage secondaire à une lésion cérébrale
ou en contexte de trouble neurocognitif

164
Q

quelles sont les causes probables de l’aphasie

A
  • accident vasculaire cérébral (AVC)
  • tumeur cérébrale
  • traumatisme crânio-cérébral(TCC)
  • épilepsie
165
Q

APHASIE
expliquer pourquoi la tumeur cérébral peut avoir des lésions importantes

A

dans le cerveau on ne sait pas pourquoi il peut y avoir certaines régions qui peuvent grossis de façon anarchiques (peut être maligne ou non), mais dans les 2 cas puisque la boite crânienne ne peut pas grossir quand la tumeur se met à grandir, elle va appuyé sur les autres régions et donc cela empêche les autres régions à fonctionner. C’est le caractère qui fait qu’elle grossit que la tumeur va avoir un impact pas parce qu’elle est maligne)

166
Q

APHASIE
comment on fait pour savoir où est la tumeur dans le cerveau

A
  • Les régions autours de la tumeur vont commencer à être dysfonctionnelle et le tableau clinique peut rendre compte d’où est la tumeur. Le symptôme nous renseigne où est la tumeur.
167
Q

APHASIE
qu’est-ce qui arrive lorsqu’une tumeur reste longtemps dans le cerveau vs pas longtemps

A

Si la tumeur n’est pas resté longtemps et qu’elle n’a pas appuyé longtemps sur les régions autour la personne en sortant de l’opération va pouvoir recommencer à parler par exemple, mais si c’est rester trop longtemps il peut y avoir de la nécrose en 1 mois les symptômes peuvent disparaitre

168
Q

APHASIE
quel genre d’infection peut causé des lésions cérébrales

A

syphilis, herpès, etc

169
Q

APHASIE
pourquoi l’épilepsie peut mener à de l’aphasie

A

une région du cerveau qui se met à décharger de manière anarchique les neurones s’hyperactive de façon non contrôlée ce qui crée l’épilepsie. Certaines formes on est pas capable de traiter par médicament et on va faire une opération dans le foyer où les neurones se mettent à décharger. Si par exemple on fait une opération dans le foyer et que c’est dans la région de Broca ça peut avoir un impact sur la parole chez le patient. certaines personnes peuvent avoir des médicament pour contrôlé cette épilepsie

170
Q

APHASIE
est-ce que les lésions faites au cerveau lors des épisodes épileptiques ont des effets temporaires

A

À la fois temporaire les lésions lors des épisodes épileptiques ou plus ou moins temporaire s’il y a des opérations

171
Q

APHASIE
pourquoi l’épilepsie peut alterner les fonctions cognitives

A

Alterne l’ensemble des fonctions à cause des crises répétées ce qui va altérer beaucoup de capacités cognitives surtout mnésiques (fatigue, troubles d’attention, etc.). il y a des troubles cognitifs qui sont associés à des crises d’épilepsie répétées.

172
Q

APHASIE
qu’est-ce que l’aphasie en contexte de trouble cognitif

A
  • Affecte la compréhension et/ou l’expression du langage, à l’oral et/ou à des degrés divers
    Tant que la personne ne parle pas on ne peut pas le savoir
    Patient de Broca  il ne peut pas parler
    Patient de Wernicke  peut parler, mais parle à côté de la plaque
173
Q

Nommez les 3 types de localisations du concept

A

Localisation des symptômes
Des fonctions mentales
Des processus cognitifs élémentaires

174
Q

où se trouve l’aire de broca et l’aire de wernicke

A

 Aire de Broca : pied et cap du gyrus frontal inférieur (BA 44 et 45)
 Aire de Wernicke : tiers postérieur du gyrus temporal sup. et partie sup. du gyrus temporal moyen + gyrus supramarginal + gyrus angulaire (BA 22, 39 et 40)

175
Q

qu’est-ce que la zone centrale dans la neuroanatomie du langage (conception classique)

A

située entre les 2 autres et comprenant : le cortex insulaire; la portion operculaire des aires motrices et somesthésiques; la zone operculaire pariétale

176
Q

qu’est-ce que le modèle cérébrale du langage Wernicke-Geschwind

A

 Modèle connexionniste : chaque module prend en charge une des différentes caractéristiques du langage (ex : compréhension, production, etc.)
ça rentre par l’aire auditive va ensuite dans le centre auditif (aussi appelé centre de compréhension/Wernicke) peut aller tout de suite dans le centre moteur (Broca) et aller à l’aire motrice MAIS peut faire aussi aire auditive-Centre auditif-centre conceptuel (mémoire sémantique)-centre moteur-aire motrice

177
Q

expliquer le modèle cérébrale du langage Wernicke-Geschwind

A

le modèle fonctionne de manière autonome. ex si on fait de la répétition on n’est pas obligé de passer par le centre conceptuel. le passage (faisceau arqué) permet de passer tout de suite au centre moteur.
ex : un enfant qui dit papa au début ça ne passe pas par le centre conceptuel parce qu’il n’a pas mis de sens au mot, mais après il va faire une association.

178
Q

est-ce que la production d’une fonction aussi complexe que le langage peut reposer sur des régions circonscrites que les aires Broca et Wernicke

A

non puisqu’il y a beaucoup plus de régions qui sont intégrés ou recruté dans la production et la compréhension. les aires sont importantes, mais ce n’est pas assez

179
Q

quels sont les apport de la neuroimagerie

A

 Distribution beaucoup plus large et étendue des aires cérébrales impliquées dans les fonctions langagières que ce que suggérait la conception classique
 Lésions non circonscrites à l’aire de Broca chez les patients de Paul Broca

180
Q

les fonctions primaires auditives et primaires ne se trouvent pas dans des zones spécialisés
vrai ou faux

A

faux elles sont localisées dans des zones circonscrites.

181
Q

les fonctions cognitives sont distribuées sur des aires de quelles manières

A

 Les fonctions cognitives sont distribuées sur des aires anatomiquement distinctes qui traitent l’information en parallèle, plutôt que de façon sérielle d’une aire du langage à une autre

182
Q

quel cortex va réagir si
- on entend des mots
- si on voit des mots
- si on produit des mots
- si on génère des mots différents

A
  • cortex auditif au niveau temporal qui va s’activer
  • Quand on voit un mot, il y a une activité automatique de lecture qui se fait : compréhension visuelle des mots. Il y a l’air de Wernicke qui est sollicité mais d’autres qui sont proches aussi vont être activé.
  • répétition, les régions activées sont (répétition à voix haute) cortex moteur va s’activé (comme sur l’image). La région frontale s’active aussi (aire prémotrice) région qui envoi la planification motrice avant.
  • régions frontales qui sont beaucoup plus en avant (fonctionnement exécutif) capacité à mettre en place des actions et les appliqués (ex : donner le plus grand nombre de mots qui commencent par F), ça recrute des fonctions exécutif pour générer des mots, ne pas les dire 2x et trouver une stratégie pour trouver des nouveaux mots. Dans l’hémisphère gauche il y a beaucoup d’activités
183
Q

chez 99% des personne aphasiques droitières la lésion est située où

A

dans l’hémisphère gauche (latéralisation du langage à gauche)

184
Q

chez les personnes aphasiques gauchères la lésion est située où

A

la lésion est située dans l’hémisphère gauche dans 70% des cas (comme les droitiers) et dans l’hémisphère droit dans 30% des cas (des gauchers) (latéralisation du langage à gauche pour la majorité, mais davantage de variabilité (bilatéralité)

185
Q

vrai ou faux
la spécialisation hémisphérique n’est pas marqué sur le plan anatomique

A

faux elle est marquée (à gauche l’hémisphère est plus grosse est c’est pour que les aires sont dans cette partie (la plus part du temps)

186
Q

que fait l’hémisphère gauche au niveau du traitement de l’information

A
  • Traitement séquentiel de l’information langagière (phonologie, morphologie, syntaxe)
     Praxies
     calcul
187
Q

que fait l’hémisphère droit

A
  • Non-langagier, communication non-verbales, Peu de capacités linguistiques (prosodie émotionnelle, pragmatique)
     Habileté spatiales
     Reconnaissance des visages
     Émotions
188
Q

TABLEAUX CLASSIQUE EN APHASIE
si la personne est fluent dans la production orale, qu’elle a une bonne compréhension et qu’elle est capable de répéter ça donne une aphasie…

A

aphasie anomique

189
Q

TABLEAUX CLASSIQUE EN APHASIE
si une personne est fluent dans la production orale, qu’elle a une bonne compréhension, et qu’elle n’est pas capable de répéter ça donne une aphasie

A

anomique de conduction

190
Q

TABLEAUX CLASSIQUE EN APHASIE
si la personne est fluent dans la production, a une mauvaise compréhension et elle peut répéter ça donne une aphasie

A

transcorticale sensorielle

191
Q

TABLEAUX CLASSIQUE EN APHASIE
si la personne est fluent dans la production, ne comprend pas, ne peut pas répéter ça donne quelle aphasie

A

aphasie de Wernicke

192
Q

TABLEAUX CLASSIQUE EN APHASIE
si la personne n’est pas fluent dans la production, mais a une bonne compréhension et peut répéter c’est une aphasie

A

transcorticale motrice

193
Q

TABLEAUX CLASSIQUE EN APHASIE
si la personne n’est pas fluent dans la production, a une bonne compréhension, ne répète pas c’est une aphasie…

A

aphasie de Broca

194
Q

TABLEAUX CLASSIQUE EN APHASIE
si la personne n’est pas fluent dans le production, a une mauvaise compréhension, peut répéter c’est une aphasie

A

mixte

195
Q

TABLEAUX CLASSIQUE EN APHASIE
si la personne n’est pas fluent dans la production, n’a pas une bonne compréhension et ne peut répéter c’est une aphasie

A

globale, souvent on ne va même pas chercher à savoir s’il peut répéter puisqu’il ne répondait pas aux 2 autres critères

196
Q

aphasie de Broca
- se localise où

A
  • se trouve dans la partie inférieure postérieure frontal gauche
197
Q

aphasie de Broca
que se passe-t-il au niveau de la compréhension (phrase simple vs complexes)

A
  • Compréhension fonctionnelle d’une phrase simple est bien préservée
  • Altérée pour les structures syntaxiques complexes
198
Q

aphasie de Broca
quels sont les difficultés au niveau de la production

A
  • Discours non fluent avec présence possible d’apraxie de la parole et/ou de dysarthrie
  • anomie
  • agrammatisme
  • répétition altérée (n’est pas en mesure de répéter tout court)
199
Q

qu’est-ce que l’apraxie de la parole

A

personne oublie comment elle doit positionner sa bouche, ses lèvres sa respiration pour que le mots sorte. Difficulté de l’ordre avoir oublié comment positionner la bouche.

200
Q

qu’est-ce que l’agrammatisme

A

(absence de règles de la langue françaises : avant il était capable d’utiliser les règles de grammaires, mais plus après sa lésion) la personne va faire des fautes au niveau grammaticales : parler au je mais utiliser la fait du nous. Il n’a pas de correspondance directe avec les règles de grammaires. Pas accorder les verbes, etc. difficile à comprendre puisqu’il ne respecte pas les règles

201
Q

qu’est-ce que l’anomie

A

(verbes > noms) (manque du mots, pas capable de nommer) est toujours plus sévères pour les verbes que pour les mots, les verbes sont moins imageable que les mots (être vs tomates)
- Utilisation d’expression figées ou de stéréotypes (mots toujours utilisés (ex : tan-tan)

202
Q

quels sont les autres troubles associés à l’aphasie de Broca

A
  • hémiplégie /parésie droite
  • apraxie bucco-faciale
  • apraxie idéomotrice bilatérale
203
Q

Aphasie de Wernicke
se localise où

A

lésion du lobe temporal gauche, mais peut aussi inclure le lobe pariétal gauche

204
Q

Aphasie de Wernicke
que se passe-t-il au niveau de la compréhension (altérée ou pas altérée)

A
  • Très altérée, même au niveau du mot simple
  • Possibilité de surdité verbale (sourd au mot, c’est limité au mot parce qu’il entend très bien, mais il ne comprend pas la sémantique de ce qui a été dit)
205
Q

Aphasie de Wernicke
quels sont les difficultés au niveau de la production

A
  • discours fluent ou logorhée (débit excessif)
  • anomie
    production de jargon
  • paraphasies phonologiques
  • erreurs morphologiques et syntaxiques
  • répétition altérée (ne peut pas répéter) va dire n’importe quoi
206
Q

qu’est-ce que la paraphasies phonologiques

A

pouvant mener à la production de néologismes)  langage proche au niveau phonologiques, il va utiliser un nouveau mot, mais juste un peu différent (ex : au lieu de dire bureau on va dire) une ou 2 consonnes qui va changer mais on comprend ce que la personne veut dire mais le mot n’existe pas. La paraphasies phonologique : c’est une sorte de néologisme (nouveau mot)

207
Q

qu’est-ce qu’une erreurs morphologiques et syntaxiques

A

Difficulté de la morphologie des mots et la syntaxe que la personne va utiliser (elle n’est pas habituelle). Ex : commencer par le verbe. Peut le comprendre mais difficile

208
Q

Aphasie de Wernicke
quels sont les autres troubles qui peuvent être associé

A
  • anosognosie
  • hémianopsie
  • héminégligence droite (très présente)
209
Q

Aphasie anomique
où se localise la lésion

A

absence d’un lien clair entre le déficit et une région cérébrale (à gauche, mais pas vraiment. il peut y avoir des lésions différentes qui apporte cette aphasie)

210
Q

Aphasie anomique
1. si anomie pour les noms la lésions est ou
2. si anomie pour les verbes la lésion est ou

A
  1. lésion au lobe temporal gauche
  2. lésion au lobe frontal gauche
211
Q

Aphasie anomique
comment est la compréhension

A

elle est préservée
capacité à répété

212
Q

quels sont les critiques de la sémiologie classique

A
  1. Critères généraux qui ne tient pas compte des niveaux multiples de la structure linguistique (phonologie, morphologie, syntaxe, sémantique, pragmatique)
    Ne permet pas de comprendre quel est le module qui est dysfonctionnel
  2. Classification basée sur l’absence ou la présence de symptômes, alors que ces derniers se situent davantage sur un continuum
    Le côté noir ou blanc de la classification qui ne permet pas de voir le continuum de la classification des troubles
  3. Classification basée sur la co-occurrence de symptômes, alors qu’un symptôme n’est pas nécessairement obligatoire pour que le diagnostic soit posé
  4. Classification basée sur le lien entre un ensemble de symptômes et une lésion dans une région ou un réseau cérébral en particulier alors que ces relations ne sont pas directes
213
Q

Aphasie anomique
quels sont les impacts sur la production

A

discours fluent
anomie
répétition préservée
souvent caractérisé par un manque de mots (difficulté à retrouver le mots associé à l’idée ou le concept rechercher)

214
Q

Aphasie anomique
quels sont les autres troubles associés

A
  • apraxie idéomotrice et idéatoire
  • agnosie visuelle
215
Q

L’approche cognitive est une grande utilité en clinique pourquoi

A

 Évaluation et intervention théoriquement appuyées
 Facilite l’identification des composantes déficitaires
 Fournit des pistes intéressantes pour la rééducation orthophonique

216
Q

DYSLEXIES CENTRALES
expliquer la voie lexicale sémantique (mots familiers)

A

entrée écrite – analyse visuelle – représentation orthographique
dans lexique orthographique d’entrée – activation du concept dans système sémantique – activation d’une représentation dans lexique phonologique sortie – maintien dans la mémoire tampon – planification des gestes articulatoires – lecture à voix haute effective

217
Q

DYSLEXIES CENTRALES
expliquer la correspondance grapho-phonémique (mots non familiers)

A

entrée écrite – analyse visuelle – correspondance grapho-phonémique – mémoire tampon – planification gestes articulatoires
*******
étape 1 : segmentation graphémique
étape 2 : conversion des graphèmes en phonèmes
étape 3 assemblages phonémiques

218
Q

quels sont les types de mots qu’on peut retrouver

A
  • mots réguliers : correspondances graphème-phonème sont typiques dans la langue (table-chocolat)
  • mots irréguliers : au moins une correspondance graphème-phonème dévie des règle dans la norme (ch-orale, f-e-mme)
  • non-mots : mots qui n’existent pas dans une langue donnée (pritou, fanton)
219
Q

Les mots connus, fréquents, familiers sont principalement lus par quelle voie

A

la voie lexicale-sémantique

220
Q

Les mots nouveaux ou non-mots (pas de représentations lexicales stockées) sont uniquement lus par quelle voie

A

la voie non-lexicale

221
Q

Les mots réguliers peuvent être lus correctement par quelle voie

A

l’une ou l’autre des 2 voies

222
Q

Les mots irréguliers ne peuvent être lus correctement que par quelle voie

A

par la voie lexicale-sémantique

223
Q

que se passe-t-il dans la dyslexie de surface
quel est l’atteinte

A

 Atteinte de la voie lexicale-sémantique (passe pas la correspondance grapho-phonémique)

224
Q

que se passe-t-il dans la dyslexie de surface
quels sont les déficits et les types d’erreurs

A

 Déficit dans la lecture des mots irréguliers
- Ex : orchidée, chorale, paon
 Type d’erreur : régularisation (mots irréguliers lus comme des mots réguliers) va dire ch au lieu de k dans choral

225
Q

que se passe-t-il dans la dyslexie phonologique
quel est l’atteinte

A

 Atteinte de la voie non lexicale (ne passe pas par la correspondance grapho-phonémique lors de la lecture de nouveaux mots)

226
Q

que se passe-t-il dans la dyslexie profonde
quel est l’atteinte

A

 Atteinte des voies lexicales ET non lexicale (ne passe ni par le système sémantique, ni par la corespondance grapho-phonémique)

227
Q

que se passe-t-il dans la dyslexie phonologique
quel est le déficit et les types d’erreurs

A

Déficit dans la lecture des non-mots ou des mots non familiers
- Ex : pratra
 Types d’erreur : lexicalisations (non-mots lus comme des vrais mots) ou erreurs de conversion
- Ex : fratra  fracas

228
Q

que se passe-t-il dans la dyslexie profonde
quel est le déficit et quels sont les types d’erreurs

A

 Déficit dans la lecture de tous les types de mots
 Types d’erreur :
- Paralexies verbales sémantiques (ex : femme  homme), visuelles (crayon  carton) et morphologiques (ex : conduite  conducteur)

229
Q

les troubles de la communication chez les CLD (cérébraux lésées droit)
que se passe-t-il au niveau de l’hémisphère droit

A

 Traitement séquentiel de l’information langagière (phonologie, morphologie, syntaxe) verbal
- Praxies
- Calcul

230
Q

les troubles de la communication chez les CLD (cérébraux lésées droit)
que se passe-t-il au niveau de l’hémisphère gauche

A

 Peu de capacités linguistiques (prosodie émotionnelle (mélodie du langage), pragmatique)
- Habiletés spatiales
- Reconnaissance des visages

231
Q

Quel est l’impact sur la communication chez les personnes CLD

A

 Les troubles observés chez les Cérébraux Lésées Droit touchent principalement 4 composantes de la communication
Capable de lire, comprendre ce qu’on dit, mais la difficulté c’est de décodé les émotions etc
- Prosodie (7 à 29%)
- Discours (12-25%)
- Sémantique lexicale (16-37%)
- Pragmatique (14-25%)

232
Q

La prosodie chez les personnes CLD
quels sont les types de prosodie présente

A

 Prosodie émotionnelle  la façon que je vais dire l’info (ex : colère, joie) plus touchée que prosodie linguistique (ex : accentuation d’un mot-clé, phrase interrogative vs exclamative)  Difficulté à comprendre quand on véhicule des émotions dans le ton de la voix
 Elle n’est plus capable de décrypter dans le non-verbal de notre phrase. Elle prend la phrase et les mots au pied de la lettre.

233
Q

La prosodie chez les personnes CLD
au niveau de l’expression comment les personnes sont

A
  • Aplanissement de la courbe prosodique
  • C’est quelqu’un qui a un Discours décrit comme « monotone »
234
Q

La prosodie chez les personnes CLD
au niveau réceptif comment les personnes sont

A
  • Difficulté à identifier la modalité ou l’émotion/l’intention exprimée
235
Q

Les troubles lexico-sémantique chez les personnes CLD
est-ce que le déficit est plus ou moins important que s’il avait été à gauche

A

le déficit est beaucoup moins important que si c’était à gauche

236
Q

vrai ou faux
les connaissances c’est juste une partie de nos connaissances et quand on a un souvenir imagé c’est à gauche

A

faux  Les connaissances sémantiques c’est toutes nos connaissances (visuelles, spatiales..) ça va être dans des régions à droit et les récits c’est à gauche)
 Quand on a un souvenir imagé c’est plus à droite, c’est des connaissances sémantiques qui sont de natures non-verbales

237
Q

Les troubles lexico-sémantique chez les personnes CLD
au niveau expressif comment les personnes sont

A
  • Recherche de mots
  • Lexique imprécis
  • Paraphasies sémantiques
  • Lenteur d’évocation
238
Q

Les troubles lexico-sémantique chez les personnes CLD
au niveau réceptif comment les personnes sont

A
  • Difficulté à comprendre le sens des mots peu fréquents, peu imageables ou abstraits
  • Difficulté à faire des liens entre les mots
239
Q

Le discours chez les personnes CLD
au niveau expressif comment les personnes sont

A
  • Non-respect de la cohérence
  • Diminution du contenu informatif
  • Vocabulaire et référents imprécis
  • Discours tangentiel –> le langage est décousu, il manque des transitions pour comprendre ce qu’il est en train de dire. Le passage d’une phrase à une autre n’a pas de sens
240
Q

Le discours chez les personnes CLD
au niveau réceptif comment les personnes sont

A
  • De la rétention et de l’intégration des infos entendues
  • Difficulté à faire des liens de sens, des inférences, des déductions –> ** il faut utiliser des phrases simples puisque si c’est des phrases trop complexes il va avoir de la difficulté à comprendre **
241
Q

Quest-ce que la pragmatique

A

savoir-faire en lien avec la communication et c’est l’atteinte la plus frappantes chez les CLD et qui a un impact significatif sur les relations interpersonnelles

242
Q

La pragmatique chez les personnes CLD
quels sont les bris des règles de conversations qu’on peut retrouver chez ces personnes

A

 Non-respect des tours de parole
 Non-respect du savoir partagé
 Non-respect du thème (discours tangentiel)
 Contact visuel

243
Q

La pragmatique chez les personnes CLD
quel est le traitement de langage chez ces personnes

A
  1. Traitement du langage non littéral
     Compréhension : actes de langage indirects, ironie, sarcasme, humour, métaphore
244
Q

Quels sont les autres troubles que les personnes CLD peuvent avoir

A

 Anosognosie  souvent présent chez les CLD
 Troubles attentionnels
 Troubles visuoperceptuels
 Troubles des fonctions exécutives

245
Q

Qu’est-ce qu’une agnosie

A
  • L’agnosie est la perte de la capacité à identifier les stimuli de l’environnement à travers une modalité perceptive donnée.
246
Q

l’agnosie est dû à quoi

A

 Elle est la conséquence d’une atteinte cérébrale
 Elle n’est pas due par un trouble sensoriel ou par une détérioration intellectuelle

247
Q

vrai ou faux
les agnosies sont unisensorielles

A

faux, elles peuvent être multisensorielles (agnosie visuelle, auditive, etc.)

248
Q

Qu’est-ce qu’une agnosie aperceptive

A

 déficit des processus perceptifs, empêchant de construire une représentation interne d’un objet.

249
Q

Vrai ou faux
dans l’agnosie aperceptive la personne est capable de dessiner l’image qui est devant elle, mais pas de la nommé

A

faux, elle n’est pas capable de dessiner, mais si on lui demande c’est quoi elle va pouvoir répondre (ex : dire que c’est un cercle, mais son dessin va être un gribouillis). si on lui dit que c’est un cercle il va pouvoir le dessiner puisqu’il va aller le chercher dans sa mémoire sémantique, mais quand c’est au niveau de la modalité visuelle il ne peut pas relier les traits

250
Q

les patients qui ont une agnosie aperceptive ont des difficultés a reconnaître des objets familier sous quel angle

A

sous des angles inhabituels, ou sous la forme de silhouette ou d’ombres projetées, alors que leurs performances sont normales lorsqu’il s’agit d’identifier les mêmes objets représentés dans des orientations conventionnelles (vue canonique).

251
Q

L’agnosie aperceptive
la personne doit passer par quel chemin pour être en mesure de reconnaitre l’objet

A

il faut qu’il passe par la sémantique pour voir ce qu’il est en train d’observer puisque tout est lié. l’info visuel n’est pas en mesure d’arriver (ex : le téléphone sur le bureau fait parti du bureau les objets sont liés)

252
Q

L’agnosie associative
quels sont les processus préservés

A

 les processus perceptifs sont préservés mais la représentation de l’objet correctement construit n’est pas « associée » aux propriétés fonctionnelles et sémantiques de l’objet d’où l’échec à comprendre sa signification.

253
Q

L’agnosie associative
est-ce que la personne peut dessiner l’objet ou la nommer ?

A

il peut la dessiner, mais pas la nommer puisqu’il a de la difficulté à associé l’objet à sa connaissance sémantique

254
Q

à quel moment la personne avec une agnosie associative peut savoir c’est quoi l’objet

A

 Quand la personne copie le dessin elle sait c’est quoi parce qu’elle a reproduit et par la modalité tactile (dessiner avec son doigt ou autre) elle est en mesure de savoir c’est quoi

255
Q

L’agnosie visuelle se limite à quoi

A
  • L’agnosie visuelle se limite à une seule modalité sensorielle donc lorsque le patient touche ou entend les clés, il les reconnait
    (Ex : bruit de clé)
256
Q

l’agnosie visuelle des objets
est-ce que les personnes sont en mesure de reconnaitre visuellement les objets

A

non Les patients sont incapables de reconnaître visuellement les objets mêmes les plus usuels.

257
Q

comment l’agnosie visuelle est mis en évidence

A

d’un test où sont présentés des objets réels ou des représentations de ces objets (dessins, images, photos..).

258
Q

quels sont les tâches spécifiques qui permettent d’évaluer la reconnaissance chez l’agnosie visuelle des objets

A

 l’analyse perceptive élémentaire (forme, taille, descriptif structurel)
 le traitement sémantique (catégorie sémantique)
 l’accès au nom (reconnaître le nom au milieu distracteurs phonétique, morphologique, sémantique, …)

259
Q

vrai ou faux
aucune agnosies visuelles d’objets est spécifiques à une catégorie sémantique

A

Faux ça peut être les animaux, les outils, etc.

260
Q

qu’est-ce que la prosopagnosie

A

C’est une agnosie visuelle affectant sélectivement la capacité d’identifier les visages antérieurement familiers, en l’absence de tout autre altération des fonctions perceptives élémentaires ou cognitives.
agnosie visuelle spécifique au visage

261
Q

est-ce que la prosopagnosie est un trouble de la mémoire

A

non

262
Q

la prosopagnosie
est-ce que c’est automatiquement lié à une agnosie visuelle des objets

A

non je peux l’avoir indépendamment ou avec mais ce n’est pas forcément lié

263
Q

est- ce que les personnes qui ont la prosopagnosie peuvent reconnaitre leurs proches

A

non, parfois il ne se reconnaisse pas eux même. pour reconnaitre les gens ils vont aller vers d’autres reconnaissances (voix, physiques (cheveux vert, gros nez, etc.)

264
Q

est-ce que les personnes qui ont une prosopagnosie ont une déficience de langage de la mémoire ou de la reconnaissance

A

non. C’est l’accès aux informations relatives au visage qui est perturbé.

265
Q

est-ce que les personnes qui ont une prosopagnosie sont en mesure de déterminer le genre à partir des informations faciales

A

non, Ils ne sont pas capables de déterminé le genre à partir des informations faciales (analyse structurale), incapacité à extraire les invariants, ou une configuration, absence du sentiment de familiarité, pas de lien avec les informations biographiques.

266
Q

L’anosognosie désigne quoi

A

la méconnaissance par l’individu de sa maladie, de son état, de la perte de capacité fonctionnelle dont il est atteint, particulièrement, dans le cas d’affections comme la cécité, l’hémiplégie, ou le membre fantôme.

267
Q

le terme d’anosognosie est issu de quoi

A

du grec nosos signifiant maladie et gnosis qui porte la signification de connaissance.

268
Q

L’anosognosie se rencontre souvent après quoi

A

suite à un accident vasculaire cérébral et est souvent immédiate et brutale en ce cas.

269
Q

on donne un exemple avec l’anosognosie avec une autre condition laquelle

A

L’exemple de l’héminégligence gauche est caractéristique : un patient héminégligent ne fera plus attention aux parties gauches des objets de son environnement ou de lui-même.

270
Q

L’héminégligence est aussi appelé quoi

A

la négligence spatiale unilatérale

271
Q

vrai ou faux l’héminégligence est une agnosie

A
  • Ce n’est pas une agnosie c’est juste qu’elle n’y fait pas attention c’est comme si son champ visuel était rétréci. C’est dans son traitement de l’information qu’elle va réduire mais ses yeux fonctionnent bien
272
Q

qu’est-ce que l’héminégligence

A

le champ se réduit (elle existe, mais néglige une partie du champ visuel) Néglige une partie du champ visuel : ex : dessiner juste un côté de l’horloge, juste un côté du dessin (il ne va pas s’en rendre compte à par si on tasse le dessin dans le côté du champ visuel qui n’est pas négligé)

273
Q

est-ce que le champ de vision réduit est le même pour toutes personnes qui ont une héminégligence

A

non En fonction des lésions il va y avoir une partie plus ou moins grande du champ négligé

274
Q

L’héminégligence se définit comme l’incapacité à

A

à prendre en compte des stimuli venant de l’hémi-espace opposé à la lésion cérébrale

275
Q

Est-ce que les personnes qui ont une heminegligence sont en mesure d’identifier ou de s’orienter vers des stimuli

A

Non ils ont des difficultés à identifier, ou à s’orienter vers des stimuli situés dans la moitié de l’espace controlatérale à l’hémisphère cérébral lésé.  rentre dans un meuble qu’ils ne voient pas

276
Q

quelle est la cause la plus fréquente d’une héminégligence et les lésions se trouvent où

A

une AVC au niveau du lobe pariétal (le plus souvent à droite) et la lésion se trouve au niveau pariétal

277
Q

Est-ce que c’est à cause de leur yeux que les personnes ont une heminegligence

A

Non La vision des patients négligents est parfaite puisqu’ils ne présentent ni de troubles ophtalmiques, ni de troubles du traitement visuel.

278
Q

Le syndrome d’héminégligence peut se manifester dans quelles modalités

A

visuelle, auditive ou tactile d’appréhension de l’espace, et survenir en l’absence de déficit sensoriel.  ex : écouter seulement le son à droite

279
Q

les manifestations du syndrome d’héminégligence peut être détecté comment

A

par la simple observation du patient dans son environnement :
 Par exemple, les patients avec une héminégligence heurtent fréquemment des obstacles qui se présentent du côté opposé à l’hémisphère lésé, mangent seulement la moitié du contenu de leur assiette, ou bien encore peuvent ne raser, ou ne maquiller qu’une moitié de leur visage.

280
Q

On parle d’une héminégligence gauche, mais la lésion est à gauche ou à droite ?

A

parce que la lésion est à droite

281
Q

L’héminégligence est un trouble au niveau

A

spatial

282
Q

Pourquoi l’héminégligence est un trouble attentionnel

A

parce que les patients n’ont pas de conscience qu’ils négligent leur hémi-espace, le plus souvent gauche

283
Q

vrai ou faux
les personnes héminégligentes sont conscientes de leur trouble

A

non ils n’ont pas conscience puisqu’ils sont anosognosiques

284
Q

est-ce que les personnes qui ont une héminégligence peuvent être rééduquer

A
  • La rééducation mise en place passe par la levée de l’anosognosie afin de les inciter à corriger eux-mêmes l’orientation de leur attention dans l’espace  tourner leur assiette
     Dans les stratégies : bouger la tête pour qu’elle voit
285
Q

l’héminégligence est plus fréquente, sévère et persistante de quel côté de l’hémisphère

A

L’héminégligence est plus fréquente, sévère et persistante en cas de lésion de l’hémisphère cérébral droit qu’en cas de lésion gauche
 C’est tjrs au niveau d’une héminégligence à gauche parce que l’hémisphère droite va être plus spécialisée dans le traitement de l’information du champ visuel à gauche et à droite

286
Q

dans l’héminégligence que se passe-t-il lorsqu’il y a une lésion à gauche

A

pas de conséquence et n’affecte pas le champ visuel
le gauche est plus un backup alors ça change pas grand chose

287
Q

dans l’héminégligence que se passe-t-il lorsqu’il y a une lésion à droite

A

Quand j’ai une lésion à droite : il me reste plus que le système de secours (hémisphère gauche) qui va devoir prendre en charge tout le système visuel, mais il c’est juste spécialisé dans la partie droite.

288
Q

est-ce que l’héminégligence est juste une négligence spatiale externe

A

Ce n’est pas juste une négligence spatiale externe, mais aussi au niveau de l’objet. (ex : certaines personnes vont manger juste la partie droite de leur assiette  il ne traite pas l’information qui est pourtant disponible

289
Q

que se passe-t-il quand la personne héminégliente va copier un dessin

A
  • Quand c’est juste 1 objet (même si c’est un pot de fleur qui a 2 fleur son attention va être au centre) il va manquer la partie gauche, mais quand il a 2 objets distincts la personne va se concentrer sur chacun des objets, et donc il va avoir chaque objet mais il va tjrs manqué la partie gauche  dépende de où il met son focus attentionnel, la fleur qui se situe à droite dans le dessin peut être plus défini que celle de gauche, mais il va quand même manqué le côté gauche
290
Q

quels sont les tests pour savoir s’il y a une héménigligence

A

 Barrage de traits (albert) : Faire des traits sur les barres qu’il y a (la personne va barré les traits juste du côté droite
 Barrage de lettres : entourer les lettres A, seulement la partie droite va être encerclé et si c’est sévère ça va être sur le côté de l’image
 Tests des cloches : même principes que les lettres (entourer les cloches)
 Bissection de lignes : placer un trait au milieu, la personne va mettre le trait au milieu du côté droit si c’est présenté dans son champ visuel gauche vs si c’est présenté sur la droite il va le mettre dans le milieu comme il faut ou effet de longueur : si la ligne est longue c’est moins dans le milieu que si la ligne est plus petite le trait qui est fait va être plus près du miliee