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Psycho de la perception > examen 1 > Flashcards

examen 1 Flashcards

1
Q

Qui est Fechner?

A

Père fondateur de la science psychologique
premiers liens entre en physique et psycho

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Q

Dans quelle branche fait partie la neuropsychologie?

A

Psychophysique

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3
Q

Qu’est-ce que la psychophysique

A

C’est un champ de la psychologie qui étudie le passage des
éléments physiques (lumière, son, etc.) à une réalité
psychologique (ce qu’on perçoit).

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4
Q

À quoi est lié la perception

A

au système nerveux

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5
Q

À quoi servent neurones sur le plan physique

A

nous permettent d’interpréter les sensations physiques
de nos sens

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6
Q

Objectifs psychophysique (2)?

A

-Décrire de façon
quantitative les capacités des modalités sensorielles
-Tester des hypothèses sur les
mécanismes qui sous-tendent l’expérience sensorielle

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7
Q

Objet d’étude de la psychophysique

A

on s’intéresse à la relation entre la réalité
physique et la réalité psychologique (entre le monde
externe et le monde interne), mais plus précisément à 4
types de capacité :
1. Détection des stimuli
2. Identification des stimuli
3. Discrimination des stimuli
4. Échelonnage des stimuli

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8
Q

Quelles sont les 4 types de capacités

A

1-détection stimuli
2-identification stimuli
3-discrimination stimuli
4-échelonnage stimuli
(dans le livre=détection, discrimination, estimation)

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9
Q

C’est quoi la détection d’un stimuli

A

détecter donc minimum (seuil absolu)

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10
Q

C’est quoi la théorie de détection du signal

A

Une théorie qui se base sur deux paramètres pour décrire la
performance:
1. La sensibilité de l’individu
2. Le critère décisionnel de l’individu

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11
Q

Définition de signal

A

(stimulus) : Caractéristiques précises et
stables dans le temps

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12
Q

Définition bruit

A

Toile de fond (interne ou externe à
l’observateur). Le bruit varie de façon aléatoire,
de façon constante, selon les règles de la loi
normale-peut être dans notre tête…dans le fond tout sauf signal

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13
Q

Comment appelle-t’on lorsqu’il y a un signal et on le détecte

A

Détection correcte (grosse partie droite courbe)

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14
Q

Comment appelle-t’on lorsqu’il y a un signal, mais dit qu’il y en a pas?

A

Omission (petite partie à gauche)

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15
Q

Comment appelle-t’on lorsqu’il n’y a pas de signal et on dit qu’il n’y a pas de signal?

A

Rejet correct (grosse partie à gauche)

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16
Q

Comment appelle-t’on lorsqu’il n’y a pas de signal, mais on dit qu’il y en a un?

A

Fausse alarme (petite partie à droite)

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17
Q

Distribution objectif

A

Permet d’estimer la probabilité, mais pas toujours la réalité

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18
Q

À quoi sert axe des x dans la distribution

A

c’est la densité de distribution

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19
Q

Signal+bruit différence des courbes

A

Plus la courbe est loin, plus facile à distinguer mais quand la courbe est rapprochée, difficile à faire différence

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20
Q

Ligne qui sépare dans le milieu des deux courbes

A

Critère décisionnel

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21
Q

Audacieux critère décisionnel

A

Dit “oui je perçois” plus souvent donc la partie fausse alarme (petite à droite) va être plus grande

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22
Q

Conservateur critère décisionnel

A

Dit “oui je perçois” moins souvent donc la partie omission est plus grande (petite partie à gauche)

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23
Q

À quoi sert d’ et comment on le mesure

A

mesure la sensibilité
Z(détection correcte)-Z(fausse alarme)

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24
Q

Valeur de Z

A

Z=0 au centre de la distribution normale
tout % peut être transformé en Z
Quand plus proche de 0, tu te rapproches de la moyenne et quand éloigne, ++ ou - - sensible

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25
Q

Comment calcule critère décisionel

A

Ordonnée distribution de S+B/ ordonnée distribution de B
donc permet d’isoler signal
donc quand on prend décision?
Voit s’il est plus audacieux ou conservateur

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26
Q

Quelle est la différence avec A’

A

même chose mais sans la courbe normale, donc lorsqu’on ne peut pas postuler la normalité

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27
Q

C’est quoi le mode par défaut?

A

partie toujours active dans le cerveau donc doit soustraire cette partie là (bruit) pour obtenir la partie qu’on veut vraiment (signal)

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28
Q

Seuil absolu

A

(détection de stimuli) :
Amplitude minimale qui peut être détectée par un système sensoriel (en dB, grammes, etc.)
○ La sensation n’est pas possible en deçà de ce seuil

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29
Q

Seuil différentiel

A

(discrimination de stimuli) :
Différence minimale d’intensité nécessaire pour que l’on puisse faire la différence entre deux stimuli (aussi appelé différence juste perceptible ou DJP)
○ Feriez-vous la différence entre le poids d’un flocon de neige et celui de 2 flocons de neige?

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30
Q

Méthode des stimuli constants (seuil absolu)

A
  1. Avant de commencer l’expérimentation, il faut avoir une idée générale de ce que pourrait être le seuil. (littérature)
  2. On retient de 5 à 9 stimuli situés dans les environs de la région déterminée au point précédent.
  3. On présente tous les stimuli plusieurs fois au participant. Un stimuli à fois et de façon aléatoire.
  4. La personne doit indiquer si elle perçoit ou non le stimulus
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31
Q

Faiblesse de la méthode des stimuli constants

A

doit avoir une idée de la valeur du seuil absolu, même si c’est ce que l’on cherche

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32
Q

C’est quoi le 47 dB

A

C’est la valeur que les personnes perçoivent la moitié du temps, donc pour une même personne, elle va dire qu’elle le perçoit seulement une fois sur deux

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33
Q

Méthode des stimuli constants (seuil différentiel)

A
  1. On décide d’un standard
  2. On décide d’une série de stimuli de comparaison. On en prend 7 à 9 autour du standard
  3. On présente le standard en même temps que l’un des stimuli de comparaison (ou successivement, selon les besoins du contexte). La personne indique si le stimulus de comparaison est plus grand ou plus petit que le standard.
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34
Q

Pourquoi la courbe des pourcentages est courbés et non en paliers

A

Car il y a un critère décisionnel
Aussi, si on regarderait avec neuroimagerie, serait plus en paliers

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35
Q

doit réviser PES

A

34 diapos semaine 2

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36
Q

Erreur spatiale

A

Cette erreur peut survenir lorsque l’on présente les 2 stimuli en même temps, car il se peut que l’un des deux côtés (p. ex. gauche ou droite) soit préféré (ex. poids).
■ Pour éviter ce type d’erreur, il faut varier de manière aléatoire l’endroit de présentation des stimuli (p. ex. gauche ou droite)

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37
Q

Erreur d’ordre temporel

A

Cette erreur peut survenir si on présente les stimuli un à la fois. La trace en mémoire du premier stimulus peut s’être affaiblie ou estompée, au moment de rendre le jugement.
■ La plupart du temps, cela donne lieu à une sous-estimation du premier stimulus

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38
Q

Loi de Weber

A

Le seuil différentiel augmente en fonction de l’intensité du stimuli à l’étude (plus c’est intense (lourd) moins on va percevoir la différence)

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39
Q

Pourquoi il y a une constante dans la formule de Weber

A

Car le seuil différentiel et l’intensité du stimuli sont proportionnels

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40
Q

Est-ce que la loi de Weber correspond à la réalité?

A

Non donc va la corriger

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41
Q

Loi de weber généralisée

A

corrigé
loi+a
donc les valeurs extrêmes vont être prises en compte
a va changer selon le système sensoriel-situation

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42
Q

Méthode des limites (seuils absolus)

A

Dans cette méthode, on présente des séries ascendantes et descendantes de stimuli.
Par exemple, pour l’intensité sonore (en dB)

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43
Q

Comment on applique la méthode des limites des seuils absolus?

A

On continue à alterner entre séries ascendantes et séries descendantes, mais en changeant l’endroit où la série commence, pour ne pas qu’il y ait habituation
4. Il devrait y avoir des points de transition ou le participant passera de « oui, je perçois » à « non, je ne perçois pas » (ou l’inverse). Au final on fait la moyenne des points de transition et c’est notre seuil.

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44
Q

Méthode des limites mais avec le seuil différentiel

A
  1. On détermine un standard et on choisit une série de stimuli de comparaison
  2. On présente le standard avec les stimuli de comparaison (les uns à la suite des autres). On fait une série ascendante, puis une série descendante et on continue en alternant. On
    varie l’endroit de départ du premier stimulus de comparaison pour éviter l’habituation.
  3. Le participant doit dire si le comparateur est plus grand, plus petit ou égal au stimulus standard avec cette méthode, le choix n’est pas forcé, la personne peut répondre que c’est égal.
  4. On obtiendra alors, par exemple pour le poids, quelque chose qui ressemblera à ceci…
    (prochaine diapo)
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45
Q

Comment on calcule à la fin le seuil diff avec la méthode des limites

A

Intervalle d’incertitude : on l’obtient en soustrayant la moyenne des limites inférieures à la moyenne des limites supérieures
* Le seuil différentiel est obtenu en divisant l’intervalle d’incertitude par 2
* On obtient le point d’égalité subjective en additionnant la moyenne des limites inférieures à la moyenne des limites supérieures, puis en divisant le résultat par 2

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46
Q

Erreur d’habituation

A

Cette erreur survient lorsque le participant s’habitue à toujours répondre la même chose. Par exemple, répondre « non » dans une série ascendante ou « oui » dans une série descendante.
○ Répondre un « non » de trop dans une série ascendante = surestimation du seuil absolu
○ Répondre un « oui » de trop dans une série descendante = sous-estimation du seuil absolu

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47
Q

Erreur d’anticipation

A

Cette erreur apparaît lorsque le participant, sachant qu’un point de transition s’en vient, répondra passera trop rapidement à « oui, je perçois » ou à « non je ne
perçois pas » (ou l’inverse)
○ Passage de « oui » à « non » trop rapidement dans une série descendante = surestimation de la valeur du seuil absolu
○ Passage de « non » à « oui » trop rapidement dans une série ascendante = sousestimation de la valeur du seuil absolu

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48
Q

Utilisation d’un gradateur seuil absolu

A

On le met à un extrême (et à l’autre en alternance) et on
demande au participant d’ajuster jusqu’au seuil tout juste
perceptible. Calcul du seuil : moyenne des points de transition entre ce qui est perceptible et ce qui ne l’est pas

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49
Q

Point d’égalité subjective (seuil diff)

A

on l’obtient en faisant la moyenne des points de
transition Seuil différentiel : C’est l’écart-type
Plus petit est l’écart-type, plus grande est la sensibilité (puisque moins grande
variabilité)

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50
Q

Courbe ROC

A

Courbe avec la probabilité de choix selon audacieux-conservateur (x=probabilité fausse alarme y= probabilité d’une détection correcte)

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51
Q

Loi de Fechner

A

Selon la loi de Fechner, le lien entre les unités réelles et les
unités mentales serait plutôt logarithmique
1. Que la loi de Weber est valide
○ 2. Que l’impression subjective, quand on compare
2 stimuli séparés par exactement 1 unité de DJP, est exactement la même, peu importe l’intensité du stimulus

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52
Q

Ce que Fechner ne croit pas

A

on peut être tenté de croire que la relation entre les 2 est
toujours linéaire: plus le stimulus est fort, plus grande est la magnitude
perçue…mais selon lui ce n’est pas le cas

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53
Q

Loi de Fechner formule avec définition

A

S=klogI
S=sensation
K=constante de Weber
I=intensité du stimulus

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54
Q

Loi de Stevens

A

C’est encore une loi qui relie le continuum physique et le continuum psychologique
● La loi de Fechner ne s’applique pas à toutes les situations.
● Développement de méthodes directes
On se rend compte, avec cette nouvelle méthode d’estimation, que la relation entre le continuum physique et le continuum psychologique n’est pas toujours logarithmique. Cela dépend de la modalité sensorielle.

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55
Q

Fréquence

A

nombre de cycles par période de temps données
haute=aigu
basse=grave

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56
Q

Période

A

Tempos pour compléter un cycle

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57
Q

Phase

A

Position relative de 2 sons dans le temps-position du son sur un temps donné

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58
Q

Longueur d’onde

A

distance linéaire entre 2 compressions successives
-dans l’air et dans l’eau=même fréquence mais pas même longueur d’onde

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59
Q

Amplitude

A

hauteur onde à partir de la ligne du milieu (intensité du son)

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60
Q

Puissance accoustique

A

(pression acoustique) au carré

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61
Q

Décibel

A

= Mesure relative par rapport à un son de
référence (20uPa)…à peine audible

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62
Q

Sonpur

A

Son avec une seule fréquence

63
Q

soncomplexe

A

avec plusieurs fréquences (musique, parole, bruit..)

64
Q

Bruits

A

Sons complexes mais les sons complexes ne sont pas nécessairement des bruits

65
Q

Bruits blancs

A

Sons complexes non périodique-sommation de l’ensemble des fréquences (présence de toutes les longueurs d’ondes

66
Q

Sons périodiques

A

multiple de la fréquence la plus basse (harmonique)

67
Q

Sons apériodiques

A

pas le multiple de la fréquence fondamentale

68
Q

Fréquence fondamentale

A

-note la plus basse par corps qui vibre
-sons diffèrent si pas même fréquence, pas même amplitude
-mais peut entendre 2 sons avec même fréquence, même amplitude, mais harmoniques diffèrent

69
Q

Musique

A

Quand on joue une note sur un instrument, on joue la
fondamentale plus une série d’harmoniques qui sont des
multiples de la fondamentale (1re harmonique)

70
Q

Bande passante

A

Laisse passer seulement quelques longueurs d’onde donc entend que bruit “sélectionné”

71
Q

Filtre passe-haut

A

laisse passer les fréquence en haut de telles valeurs

72
Q

Filtre passe-bas

A

Laisse passer fréquence en bas de telle valeurs

73
Q

Masquage

A

Phénomène lorsque un son qui est normalement entendu est masqué par un autre son plus fort

74
Q

Bande critique

A

sons qui sont plus susceptibles d’êtres masqués

75
Q

Binaurale

A

Qui sont présentés dans les 2 oreilles

76
Q

Monaurale

A

Qui est présenté dans une oreille

77
Q

Tonie (pitch)

A

-étroitement lié à la fréquence
-l’impression que le son est plus grave ou plus aigu
-l’intensité est susceptible e laisser une influence sur la tonie

78
Q

Sonie

A

Impression d’un son à être faible ou fort
-étroitement lié à l’amplitude
-peut aussi être lié à la fréquence et l’intensité

79
Q

Timbre

A

Différence, arrangement d’harmoniques, composition de chaque son-complexité du son

80
Q

Volume

A

Comment rempli plus ou moins l’espace si l’intensité est haute, impression que le volume augmente

81
Q

Densité

A

semble dense quand les fréquences sont hautes

82
Q

Doux-creux

A

si fondamentale et harmoniques sont intenses, le son paraît plus creux

83
Q

Oreille externe composition

A

pavillon + conduit auditif (canal)

84
Q

Pavillon rôle

A

Amplifie le son-localisation de la direction des sons

85
Q

Conduit auditif

A

Glandes qui sécrètent cire

86
Q

Cire autre nom et rôle

A

Cérusem
constitue barrière pour oreille interne contre particules étrangères

87
Q

Ou se situe le tympan

A

Entre oreille externe et moyenne

88
Q

Rôle de l’oreille moyenne

A

Assurer transmission du mouvement de l’air du tympan à l’oreille interne, grâce au marteau, enclume et étrier
-Rôle principal: augmenter la pression au moment entrée dans fenêtre ovale, car l’intérieur de l’oreille int. est rempli de liquide donc pour transmettre les vibrations, doit avoir beaucoup de pression

89
Q

Rôle fenêtre ovale

A

fenêtre d’entrée pour vibrations vers oreille interne, est attachée à l’étrier

90
Q

Fenêtre ronde fonction et emplacement

A

Au-dessus de l’ovale, membrane élastique qui permet d’absorber la pression

91
Q

Trompe d’Eustache

A

relie oreille moyenne au pharynx-nez-bouche
-Rôle= rendre pression oreille moyenne égale au conduit auditif

92
Q

Muscle de l’étrier fonction

A

Permet de dégager étrier de la fenêtre ovale

93
Q

Quels muscles assurent la protection du système si les sons deviennent trop forts?

A

Étrier et marteau et ça s’appelle le réflexe accoustique

94
Q

Qu’est-ce qu’on appelle le labyrinthe et pourquoi?

A

L’oreille interne car retrouve une structure osseuse à l’intérieur qui s’appelle le labyrinthe osseux, et dedans celui-ci se retrouve le labyrinthe membraneux

95
Q

Ou se trouve le labyrinthe membraneux

A

Dans labyrinthe osseux

96
Q

Ou se trouve le périlymphe

A

Dans le labyrinthe osseux

97
Q

Quelles sont les 3 couches de l’oreille interne

A

cochlée, vestibule, canaux-semi-circulaires

98
Q

Qu’est-ce qui s’occupe de l’équilibre?

A

Le vestibule et les canaux semi-circulaires

99
Q

Est-ce qu’on peut entendre sans les oreilles?

A

Oui avec vibration du crâne donc conduction osseuse

100
Q

Cochlée composition

A

Long tube (canal/conduit cochléaire) dans lequel circule un liquide: endolymphe

101
Q

La cochlée est séparée en 3 parties

A

Rampe vestibulaire-rampe tympanique-canal/conduit cochléaire

102
Q

2 membranes cochlée

A

Membrane vestibulaire et membrane basilaire

103
Q

Quel liquide circule dans la rampe tympanique et vestibulaire

A

Périlymphe

104
Q

Qu’est-ce que l’hélicotrème

A

Étroit canal qui relie les deux rampes

105
Q

À quel endroit la membrane basilaire est-elle plus étroite et rigide?

A

À la base et non l’apex

106
Q

Comment les vibrations se rendent à la membrane basilaire pour la déformer?

A

Lors de vibrations, qui sont transmis dans le périlymphe, cela crée un mouvement liquidien qui remonte le long de la rampe vestibulaire et revient à la rampe tympanique. C’est ce dernier mouvement qui va faire oscillé membr. basil.

107
Q

À quel endroit arrive le signal sonore?

A

c’est à la base de la cochlée, près de la fenêtre ovale,

108
Q

À quel endroit se trouve l’organe de Corti

A

Dans la membrane basilaire, elle porte un organe en spiral qui est Corti

109
Q

À quel endroit se trouvent les cellules ciliées

A

Elles composent les cellules réceptrices, qui sont dans l’organe de Corti

110
Q

À quoi servent les cellules réceptrices

A

elles transforment les ondes sonores en potentiel d’action

111
Q

À quel endroit les cellules ciliées reposent elle?

A

sur cellules de soutien (Deiters)

112
Q

À quel endroit est la membrane tectoriale?

A

Au-dessus des cellules sensorielles ciliés

113
Q

Combien de cellules internes vs externes

A

3500 internes/10000 externes

114
Q

À quel endroit se trouvent les fibres des nerfs auditifs?

A

90% se trouvent sur cell. ciliées internes, reste sur externes

115
Q

À quoi servent stéréocils?

A

Longs cils qui sont en contact avec la membrane tectoriale et ils réagissent en fonction de l’oscillation de la membrane basilaire

116
Q

Étapes de l’audition (4)

A

1-Mécanisme vibratoire dans l’air
2-vibrations dans le liquide
3-cela crée des influx nerveux
4-cerveau reconnaît

117
Q

À quel endroit l’info auditive rentre-t’elle dans le cerveau?

A

Par le bulbe

118
Q

Après l’entrée dans le cerveau, à quel endroit passe l’influx nerveux et comment elle voyage?

A

Ganglions cérébraux jusqu’aux structures cérébrales, par les nerfs vestibulo-cochléaires, puis vont vers noyau cochléaire et l’olive supérieure (juste partie ventrale)

119
Q

À quel endroit les infos se croisent ?

A

À l’olive supérieure, donc oreille gauche-cerveau côté droit et inverse

120
Q

Ou vont les axones de la partie dorsale du noyau cochléaire?

A

Vont tous au colliculus

121
Q

À quel endroit l’influx nerveux termine sa trajectoire?

A

Va au niveau du thalamus, puis corps genouillé médian pour être reçu au cortex auditif primaire, dans le lobe temporal (A1)

122
Q

Organisation tonotopique définition powerpoint

A

La tonotopie correspond à l’organisation de la perception des sons au niveau de la membrane basilaire de la cochlée, incluant une représentation du spectre auditif tout au long du conduit cochléaire selon la fréquence d’une onde sonore

123
Q

Quel est le max que l’oreille peut entendre?

A

20kHz

124
Q

C’est quoi le mouvement hydrodynamique

A

Lorsque l’étrier transmet les vibrations intérieurs de l’oreille interne

125
Q

C’est quoi l’onde itinérante?

A

Lorsque l’onde propagée d’une extrémité à l’autre sur la membrane basilaire

126
Q

Partie max. sur membrane basilaire selon fréquence

A

Fréquence élevée=max près de la base (atteint le max puis disparaît rapidement)
Fréquence basse=point max arrive plus loin, vers l’apex

127
Q

Que fait la partie bombée-point max de la membrane?

A

C’est dans cette partie que les cellules ciliées vont êtres le plus déplacées, donc il va y avoir une plus forte stimulation, ce qui génèrent de plus gros influx nerveux

128
Q

Plus grande sont les intensités sonores….

A

plus amples sont les mouvements de la membrane basilaire (car plus grande inclinaison= + grande activité neurale)

129
Q

Quel sont les 4 ligaments de l’oreille moyenne?

A

antérieur, postérieur, supérieur et latéral

130
Q

Théorie basée sur la fréquence

A

Théorie du téléphone: la membrane basilaire ne fait que
reproduire la vibration des sons
● La fréquence du son est transmise au nerf auditif (qui sert
de câble de transmission) et c’est le cerveau qui sert
d’instrument d’analyse (pour la perception de la tonie)

131
Q

Principe de la volée

A

stipule que chaque fibre
nerveuse ne répond pas au même moment
● Distribution de l’activité neurale sur une série de fibres
nerveuses auditives (coopération entre fibres) et
l’activité globale (patrons nerveux donnés) détermine
la fréquence

132
Q

Théorie basée sur l’emplacement-lieu de résonnance

A

membrane basilaire + ou - large

133
Q

La tonie dépend-t’elle de la longueur des fibres sur la membrane?

A

Faux trop simpliste

134
Q

Théorie de l’onde itinéranted définition du power point

A

Organe de Corti est effectivement organisé de façon
tonotopique, i.e. qu’il y a une représentation spatiale de
la fréquence sur la membrane basilaire

135
Q

Qu’est-ce qui détermine l’intensité (théorie basée sur l’emplacement)

A

Magnitude de l’onde détermine l’intensité

136
Q

Organisation tonotopique

A

Dans cortex auditif primaire et tranche de sensibilité selon les Hz

137
Q

Que fait la pression en général

A

Ondes

138
Q

Que font les osselets en général

A

Contrôle musculaire

139
Q

Résumé du chemin de l’audition (8)

A

1-pressions/ondes
2-osselets
3-cochlée (mvmt hydrodynamique)
4-membrane basilaire oscille
5-mvmt des cellules ciliées de l’organe de Corti
6-ganglion spiral
7-neurones bipolaires
8-nerf cochléaire auditif

140
Q

Ségrégation

A

composante son qui permet de distinguer des objets distincts (fréquences tellement collés qu’elles font 2)

141
Q

Fusion

A

Fusion de composantes liées à un même objet

142
Q

Effet McGurk

A

influence visuelle sur le langage (habituellement compatible) pas strictement auditif parfois

143
Q

Qu’est-ce que la spectographie

A

Ensemble des techniques utilisées pour former et enregistrer les images des spectres.
Spectrogramme=permet de faire analyse des fréquences des sons du langage

144
Q

Problèmes de transmission

A

problème conduction
détérioration de la cochlée ou du nerf auditif (problèmes métaboliques, médicaments avec propriétés toxiques ou traumatisme)

145
Q

Surdité neurosensorielles

A

Peut survenir à la suite d’une détérioration des cellules ciliées qui se trouvent dans organe de Corti dans cochlée
-détérioration irréversible et cause =exposition sons de fortes intensités

146
Q

Fatigue auditive

A

cause un déplacement du seuil de détection du son sur une période +/- longue
-peut être déplacé permanent

147
Q

Adaptation auditive

A

son fort paraît + faible après quelques minutes

148
Q

Presbyacousie

A

diminution de l’audition avec l’âge

149
Q

Acouphènes

A

impression de bruits-son, lors d’une absence de stimulation auditive externe
-continue ou intermittent
-plutôt aigu
-cochlée endommagée

150
Q

Propriété subjective de la fréquence

A

tonie=hauteur tonale=pitch

151
Q

Propriété subjective de l’amplitude

A

Sonie=intensité=loudness

152
Q

Propriété subjective de la complexité

A

timbre

153
Q

Loi de Weber formule

A

seuil différentiel=constantex intensité du stimuli

Psycho de la perception (2 decks)

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