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SEX1152 - développement préado > EXAMEN 1 > Flashcards

EXAMEN 1 Flashcards

1
Q

Définition de la psychologie du développement humain

A

Étude des processus responsables des changements quantitatifs et qualitatifs et de la continuité qui surviennent tout au long de la vie des individus.

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2
Q

Les dimensions du développement (3)

A

Développement physique: biologique, puberté, hormones, etc.
Développement cognitif: pensée, raisonnement, mémoire, langage, intelligence, résolution de problème.
Développement affectif et social: socio-affectif, habiletés interpersonnelles, émotions, régulation des émotions, entrer en contact avec son entourage, etc.
***Les trois sont inter-reliées, rare qu’une dimension se développe individuellement.

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3
Q

Les facteurs INTERNE d’influence: l’hérédité et l’environnement.

A
  • Hérédité : Ensemble de traits, individuels et spécifiques transmis d’une génération à l’autre par les gènes.
  • Maturation : Succession de changements physiques programmés génétiquement, qui rendent l’individu apte à maîtriser certaines habiletés.
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4
Q

Les facteurs EXTERNES d’influence: l’hérédité et l’environnement.

A

Influence du milieu (famille, école, société, etc.)
Influence attribuable à la relation que l’individu entretient avec son environnement.

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5
Q

Les facteurs d’influence normatives

A

âge et génération (la majorité des gens font tel ou tel truc à cet âge là…)

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6
Q

Les facteurs d’influence non normatives

A

Liées à des évènements inhabituels qui ont une influence marquante sur la vie d’un individu.
Il existe de nombreuses différences individuelles quant au moment et à la façon dont les changements se produisent chez l’humain. Ex. quand marcher ou parler.

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7
Q

Modèle interne de l’expérience

A

Système intériorisé d’interprétations et de significations que l’individu se construit à partir de ses expériences.
Interprétation personnelle des expériences.
Intériorisation: Modèles internes qui se généralisent et colorent l’interprétation d’événements ultérieurs. Continuité.

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8
Q

Nature et culture + 2 périodes

A

Interaction gènes-environnement
Le moment de l’expérience:
- Période critique: moment particulier où un évènement donné aura plus d’incidence sur le développement qu’à tout autre moment.
- Période sensible: période de temps durant laquelle une personne est particulièrement prête à répondre à certaines stimulations ou expériences et durant laquelle un apprentissage donné présentera une efficacité maximale.

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9
Q

Modèle de la vulnérabilité et de la résilience

A

Vulnérabilité (facteurs de risque): trait qui augmente le risque de réaction inadaptée au stress. Exemple; inné et acquis, allergies, tempérament plus difficile, etc.
Résilience (facteurs de protection): trait qui augmente la possibilité de réaction adaptative au stress. Exemple; optimisme, intelligence.

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10
Q

Qu’est-ce qu’une théorie développementale?

A

Ensemble cohérent d’énoncés ou de concepts liés entre eux de façon logique qui vise à expliquer, interpréter ou prédire un phénomène.

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11
Q

3 plans fondamentaux des théories développementales

A
  1. L’hérédité et l’environnement
  2. La participation active ou non de l’individu à son propre développement
  3. La présence ou l’absence de stade
    Aucune théorie explique à elle seule les facettes du développement. Elles sont complémentaires.
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12
Q

L’approche psychodynamique stipule quoi?

A
  • Le développement est marqué par l’action de forces inconscientes qui motivent le comportement humain.
  • Les évènements qui se produisent dans l’enfance déterminent le développement de la personnalité adulte.
    Freud
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13
Q

Notions importantes de l’approche psychodynamique

A
  • Inconscient
  • Structure psychique: moi, ça, surmoi
  • Conflit intrapsychique
  • Mécanismes de défenses
  • La théorie des stades psychosexuels chez les enfants
  • La théorie du développement psychosocial
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14
Q

Stades psychosexuels selon Freud

A

Stade oral: 0-1 an allaitement miammiam
Stade anal: 1-3 ans anus propreté
Stade phallique: 3-6 ans complexe d’oedipe
Période de latence 6-12 mécanismes de défense
Stade génital 12 ans et plus: maturité de l’intimité sexuelle

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15
Q

Stades psychosociaux d’Erikson en bref

A
  • Pour chaque tranche d’âge = le milieu social a des exigences différentes envers l’individu.
  • Tout changement dans les exigences sociales entraîne une crise développementale pour l’individu.
  • Ce qui se traduit par une tâche psychologique
  • À chaque stade, la crise se joue entre 2 pôles opposés, entre lesquelles on doit trouver un équilibre qui permet d’avoir une “force adaptative”
    voir ppt C2 p.16 pour tableau
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16
Q

À retenir Approches psychodynamiques!

A
  • importance des toutes premières relations entre l’enfant et ses figures d’attachement
  • importance des parents de s’adapter à un enfant en évolution
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17
Q

Approches béhaviorales en bref définition

A

Mettent l’accent sur l’étude des comportements observables, mesurables et quantifiables et elles considèrent le développement comme le résultat d’un apprentissage, donc comme un ensemble de réactions à des stimuli et à des évènements externes.

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18
Q

Approches béhaviorales: notions importantes (3) cca

A
  • Conditionnement classique: exemple avec le chien
  • Conditionnement opérant: Skinner punitions -/+ et renforcements +/-
  • Apprentissage social: apprendre en imitant les autres
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19
Q

Approches béhaviorales à retenir des petits trucs trucs

A
  • Explique autant la continuité des comportements que leur changement
  • Les enfants comme les adultes
  • Apprentissage des comportements liés au genre
  • Peut aider les interventions avec les enfants
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20
Q

Approches cognitives définition en bref

A

S’intéresse au développement de l’intelligence et des processus cognitifs tels que la perception, la mémoire ou la pensée ainsi qu’aux comportements qui en résultent.

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21
Q

Approches cognitives notions importantes

A
  • Théorie des stades du développement cognitif
  • Adaptation des informations
  • Théorie socioculturelle
  • Zone proximale de développement
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22
Q

Théorie du développement cognitif les périodes troll

A

0-2 ans: période sensorimotrice (actions motrices)
2-6 ans: période préopératoire (symboles pour penser et communiquer)
6-12 ans: période des opérations concrètres (logique et opérations mentales complexes)
12 ans et plus: période des opérations formelles (manie les idées aussi bien que les objets)

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23
Q

Approches cognitive notions importantes (3)

A
  • adaptation des informations
  • THÉORIE SOCIOCULTURELLE
  • zone proximale de développement
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24
Q

Zone proximale de développement

A

Acquis: les activités que l’enfant fait avec facilité
Zone proximale du développement: les activités que l’enfant est capable de réaliser, mais pour lesquelles il requiert plus de temps et/ou d’accompagnement
Hors de portée: les activités que l’enfant est incapable de réaliser même avec du temps ou de l’aide.

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25
Q

Approche humaniste en bref définition

A

Chaque personne a la capacité de prendre sa vie en main et d’assumer son développement de manière saine et positive grâce à sa capacité d’exercer son libre arbitre, de créer ou de tendre vers l’actualisation de soi.

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26
Q

Approche humaniste notions importantes

A
  • Actualisation de soi
  • Expérience subjective
  • Soi
  • Congruence
  • Théorie de la hiérarchie des besoins de Maslov
  • Motivation autonome ou contrôlée
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27
Q

Approche écologique bref

A

Approche qui conçoit le développement comme étant le résultat des intéractions continuelles entre l’organisme et son environnement.
Cercle macro, micro, machin machin
Notions importantes:
- Chronosystème
- Ontosystème
- Contexte environnement

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28
Q

Avant la conception

A

Le désir d’enfant:
- avant VS maintenant
- raisons multiples
- difficulté à avoir des enfants et répercussions
Devenir parent
- Perception de nos propres parents
- Identification aux parents et impacts sur sexualité
Influences biologiques sur les gamètes

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29
Q

Avant la conception - facteurs psychologiques

A
  • La parentalité et enjeux
  • La grossesse et relation entre les parents
  • le projet enfant: enfant à venir, rôle du parent imaginé, influence sur le lien avec l’enfant
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30
Q

Les stades du développement prénatal (3)

A
  1. le stade germinatif
  2. le stade embryonnaire
  3. le stade foetal
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31
Q

Agent tératogène

A

Agent venant de l’environnement tel qu’un virus, une drogue ou une radiation, qui peut interférer avec le développement prénatal et entrainer des anomalies développementales.

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32
Q

Agent tératogène exemples

A

alimentation: sous alimentation, carence en acide folique
substances chimiques: médicaments, nicotine, alcool, marijuana, cocaine, méthamphétamine
maladies ou infections: sida, rubéole, diabète, herpès génital, virus zika
santé mentale des parents: stress, dépression
autres dangers environnementaux: plomb, pesticides, pollution
l’âge des parents

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33
Q

Baby blues VS dépression post-partum

A

Baby blues: petits symptômes, disparaissent après quelques jours par eux mêmes.
Dépression post-partum: symptômes sur 2 semaines minimum. nécessite intervention professionnelle.

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34
Q

Importance du jeu dans le développement

A

Essentiel au développement
Stimule les sens. acquisition des habiletés physiques, cognitives, sociales et langagières
Exprime ses émotions

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35
Q

4 types de jeux liés au développement cognitif

A
  1. jeu fonctionnel
  2. jeu constructif
  3. jeu symbolique/dramatique/faire semblant
  4. jeu formel / de règles
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36
Q

Jeu fonctionnel

A

Jeu constitué d’actions répétitives avec ou sans objets (ski, badminton)

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37
Q

Jeu contructif

A

Vers 1 an
consiste à utiliser des objets pour construire ou créer autre chose (blocs, légo, dessin, peinture)

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38
Q

Jeu symbolique/dramatique/faire semblant

A

vers 2 ans
invente une situation

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39
Q

Jeu formel / de règles

A

Vers 6 ans
jeu comportant des règles, une structure et un objectif tel que la victoire

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40
Q

Concept de soi

A

Ensemble des représentations qu’une personne possède au sujet d’elle-même.
- construction descriptive et évaluative
- ce qui va être dit par l’entourage
- les soins reçus indique qu’il vaut la peine et qu’il est digne d’être aimé
concept de soi: image de soi: dimensions cognitive + estime de soi: dimension affective

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41
Q

concept de soi - image de soi

A

L’enfant va se décrire sur des aspects extérieurs, physiques, ce qu’il aime ou ce qu’il a en sa possession.
- dimension cognitive: connaissances factuelles
- image corporelle: représentation mentale qu’on se fait de notre corps

ex: vers 5 ans: je suis grand
vers 7 ans: je suis pas le plus grand, mais je suis grand (plus nuancé)

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42
Q

concept de soi - estime de soi

A

dimension affective du concept de soi qui correspond à l’évaluation subjective, positive ou négative, faite par la personne à propos des informations qu’elle détient sur elle-même
- valeur positive ou négative qu’une personne s’accorde

  • provient des interactions de l’enfant avec son entourage
  • c’est la partie évaluative du concept de soi
  • facteur de protection
    cercle Yves.
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43
Q

4 composantes de l’estime de soi et explication

A
  1. sentiment de sécurité: discipline des parents, est-ce qu’ils mettent des limites claires? adopter des règles claires et cohérentes. ne pas ignorer l’enfant, les routines et l’environnement stable,
  2. identité positive: aider à projeter l’enfant dans l’avenir lorsqu’il vit une difficulté (prochaine fois, ça va être mieux), accepter les préférences de l’enfant dans ses jouets.
  3. le sentiment d’appartenance: relations stables, significatives, faire partie d’un groupe qui aide à s’affirmer de façon constructive.
  4. le sentiment de compétence: encourager l’enfant à explorer, nouvelles activités, responsabilités, adresser les comportements plutôt que la personne. “wow tu as rempli ta bouteille d’eau seul”
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44
Q

la compréhension et la régulation des émotions

A

composante majeure de l’enfance, contribue à développer le bien s’entendre avec les autres. devient plus complexes avec l’âge.

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45
Q

les amis avant 3 ans

A

pas de véritables amitiés, mais présence des autres

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46
Q

les amis après 3 ans

A
  • les enfants sont en mesure de développer des amitiés
  • basé sur les intérêts communs et caractéristiques similaires
  • pas de bonnes habileés sociales vont être mis de côté et amplification du manque d’habiletés (Cercle Yves)
  • habiletés acquises grâce aux premières amitiés: intégration des normes et valeurs sociales, gestion de l’agressivité, aide, partage.
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47
Q

l’agressivité directe

A

forme d’agressivité directement adressé à un autre individu et qui peut impliquer des coups ou d’autres formes d’agression physique ainsi que des insultes (ex: t’es laitte)

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48
Q

agressivité indirecte

A

prend la forme de menaces ou de manipulations dans le but de blesser une autre personne.

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49
Q

attitudes à privilégier lors d’agressivité

A
  • rétroactions appropriés
  • renforcer les comportements prosociaux
  • environnement sécuritaire, routines
    -éduquer les moyens acceptables d’exprimer sa colère
  • patience
  • être soi-même un modèle
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50
Q

Stade phallique

A
  • 3 à 6 ans
  • parties génitales
  • complexe d’oedipe ou d’électre à résoudre
  • variété et insouciance, déviance et dysfonctionnement sexuel
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51
Q

premier stade psychosexuel selon Freud

A

stade oral: 0 à 1 an

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52
Q

deuxième stade psychosexuel selon freud

A

stade anal:1 à 3 ans

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53
Q

La théorie de Freud

A
  • le stade phallique (3e stade, de 3 à 6 ans0
  • déplacement de libido vers les organes génitaux et au cours duquel l’enfant voit la différence sexuelle selon la présence ou l’absence du pénis
  • cinokece d’oedipe: classique VS contemporain
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54
Q

stades psychosociaux d’Érikson (stade - conflit - force adaptative)

A
  • naissance à 1 an - confiance ou méfiance - espoir
  • 1 à 3 ans - autonomie ou honte et doute - volonté
  • 3 à 6 ans - initiative ou culpabilité - but
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55
Q

La théorie d’Erikson 3e crise

A
  • 3e crise: l’initiative versus la culpabilité
  • période au cours de laquelle l’enfant doit réaliser l’équilibre entre le désir d’atteindre des buts et les jugements moraux liés à ce qu’il veut faire
  • capacité de prendre des initiatives sans culpabilité et sans peur
  • sinon pas d’initiatives, ni de spontanéité et beaucoup de culpabilité OU sens des initiatives, mais sans limites
  • doit y avoir un équilibre donc encouragement des initiatives, mais dans le respect de l’autorité et des règles
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56
Q

manifestations de la sexualité chez l’enfant

A
  • l’enfant est exposé au corps des autres (garderie, bain, parents)
  • ils remarquent que certaines personnes partagent une intimité spéciale, peuvent entendre aussi des choses sur la sexualité dans un film ou par d’autres
  • commencent à se poser des questions
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57
Q

réactions du parent face à la sexualité chez l’enfant

A
  • répondre à l’enfant avec des mots et compréhension qui sont adaptés à son niveau
    (questionner l’enfant pour connaitre sa compréhension)
  • l’adulte doit enseigner de respecter les limites de son corps et l’intimité
  • la réaction doit être neutre et positive
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58
Q

réactions à éviter face à un comportement sexuel d’un enfant (6)

A
  • réagir intensément
  • ignorer l’enfant
  • punir
  • laisser l’enfant toucher les autres
  • ignorer les questions
  • questionner l’enfant sur ce qu’il fait dans sa chambre ou y entrer sans prévenir
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59
Q

réactions à privilégier face à un comportement sexuel d’un enfant (6)

A
  • modérer sa réaction, se rappeler que c’est normal
  • reconnaître et nommer le plaisir
  • indiquer l’endroit approprié
  • expliquer la notion des parties intimes
  • répondre aux questions avec un langage simple
  • respecter l’intimité et la pudeur de l’enfant
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60
Q

Sexe biologique

A

Attribut biologiques d’un individu: chromosomes, hormones, organes externes & internes

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61
Q

Genre

A

représentation sociale qui correspond à ce qu’une culture attribue comme caractéristique selon le sexe biologique

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62
Q

Identité de genre

A

sentiment d’appartenance d’un individu par rapport à un genre (interne)

63
Q

expression de genre

A

façon dont une personne agit de manière plus ou moins stéréotypée en se conformant ou non aux rôles sexuels (visible)

64
Q

les différences de genre à la période préscolaire sur le plan cognitif

A

différences faibles, peu nombreuses, fluidité verbale, résolution de problème et tâche visuospatiale)

65
Q

les différences de genre à la période préscolaire sur le plan comportemental

A

les garçons se distinguent par leur propension à recourir davantage à l’agressivité

66
Q

les différences de genre à la période préscolaire sur le plan socioaffectif

A

il y a émergence des rôle sexuels, intériorisation des traits de personnalité, des centres d’intérêts, attitudes et habiletés qu’une culture considère comme appartenant aux femmes ou aux hommes.

67
Q

Approche béhavioriste et l’apprentissage

A

apprentissage:
- modification durable du comportement résultant de l’expérience
- types d’apprentissages: conditionnement classique & conditionnement opérant

68
Q

Approche psychométrique

A
  • Tests évaluation des retards sur les plans cognitifs, verbal, moteur, émotionnel et relationnel chez les jeunes enfants
  • Grilles pour observer les comportements.
69
Q

Approche cognitiviste Piaget - 1e période - âge, période, description et principales acquisitions

A

de la naissance à environ 18 à 24 mois;
période sensorimotrice;
le bébé comprend le monde par ses sens et ses actions motrices;
permanence de l’objet.

70
Q

Approche cognitiviste (Piaget) - schème (en bref)

A

Structure cognitive élémentaire représentant des façons d’organiser l’info pour permettre à l’individu d’agir ou de penser dans une situation donnée

71
Q

Approche cognitiviste (Piaget) - Adaptation (2)

A

Assimilation (reproduire): nouveau jouet, on le met dans la bouche, on le touche, etc
Accommodement (spécialiser): accommodation du schème selon l’action: préhension d’une cuillère pour manger, mais préhension d’un ourson en peluche, même schème de préhension, mais spécialisée

72
Q

Approche cognitiviste (Piaget) - Réaction circulaire (3)

A

Action que l’enfant répète
- Primaire (1 à 4 mois) l’action et la réaction se rapportent au corps de l’enfant. suce son pouce
- Secondaire (4 à 8 mois) l’action produit une réaction émanant d’une personne ou d’un objet: cette réaction amène l’enfant à répéter l’action original. tape dans l’eau dans un bol
- Tertiaire (12 à 18 mois) l’action produit un résultat agréable, amenant l’enfant à expérimenter d’autres actions pour obtenir des résultats semblables. (petits explorateurs) mordre le bol, lancer le bol, etc.

73
Q

Permanence de l’objet (Piaget) sensorimoteur

A
  • une personne continue d’exister
  • 4 à 8 mois: chercher un objet s’il en voie une partie
  • 8 à 12 mois: développée en partie mais cherche 1e cachette
  • 12 à 18 mois: peut suivre le déplacement, mais ne peut imaginer un déplacement qu’il ne voit pas
  • 18 à 24 mois: complètement développée
74
Q

Approche cognitiviste (Piaget) - la causalité

A

certains évènements découlent d’autres évènements
vers 4 à 6 mois: réalise pouvoir sur environnement concorde avec capacité à saisir objets

75
Q

Théorie du traitement de l’information (concept d’habituation) + 3 mémoires

A

Concept d’habituation: lorsque habitué à un stimuli, l’enfant réagit de manière moins intense

Mémoire:
- mémoire procédurale (implicite) faire du vélo
- mémoire déclarative (explicite) long terme mais tu la travaille
- mémoire de travail (plus tard)

76
Q

Approche socioculturelle Vygotsky iiiii

A

interactions entre l’enfant et les personnes de son entourage
concept de participation guidée: interactions aident l’enfant à mieux comprendre
intéractions doivent favoriser le contexte et l’adulte doit mettre à la disposition de l’enfant des jeux adaptés.

77
Q

La conscience de soi

A

Capacité de prendre conscience de nous-mêmes et de comprendre que nous sommes des êtres uniques dotés de caractéristiques spécifiques qui nous différencient des autres.

78
Q

Apparition de la conscience de soi (subjective)

A
  • conscience sensorimotrice de l’environnement
  • conscience de soi subjective (moi existentiel ou moi subjectif)
  • conscience de soi subjective (moi différentiel, moi objectif ou moi catégoriel)
  • identité de genre
79
Q

Conscience de soi subjective - moi existentiel ou moi subjectif

A

être entier, séparé qui peut agir sur son environnement.

80
Q

Conscience de soi subjective - moi différentiel, moi subjectif ou moi catégoriel

A

se représente lui-même, intégration des caractéristiques

81
Q

Changements socioaffectifs importants autour de 18 mois

A
  • moi objectif apparait (reconnaissance dans le miroir)
  • apparition des émotions autoévaluatives
  • un peu plus tard (24 mois): comprend qu’il peut faire l’objet de l’évaluation des autres
82
Q

Premières manifestations émotives

A

Les expressions faciales pour communiquer ses émotions sont universelles et innées;
Progression du simple au complexe.

83
Q

Définition de l’émotion

A

Réaction subjective associée à des changements physiologiques et comportementaux qui survient en réponse à des situations et à des expériences vécues par la personne.

84
Q

Émotions primaires

A

premiers 6 mois
- joie, surprise, dégoût, tristesse, colère, peur.

85
Q

Émotions auto évaluatives

A

De 15 à 24 mois:
- gêne, envie, empathie

Vers 3 ans:
- fierté, honte, culpabilité

86
Q

Les pleurs

A

moyen le plus puissant, et presque le seul dont le bébé dispose pour communiquer ses besoins. Les parents apprennent vite à différencier les pleurs et leurs significations.

87
Q

Importance de la réponse des parents aux pleures

A
  • sensible à l’enfant
  • développe lien confiance et attachement
  • sinon, non-sécurisant
88
Q

Le sourire et le rire

A
  • résultat de l’activité nerveuse sous corticale (donc involontaires)
  • vrais sourires vers l’âge de 2 semaines (réactions à l’extérieur)
  • 2 mois: sourire social
  • 4 mois: éclat de rire
89
Q

Colère

A
  • les premières entre 4 et 6 mois.
  • pic vers 2 ans et concorde avec le besoins d’autonomie, de confrontation des limites, de ses capacités, et interdits
90
Q

Agressivité instrumentale

A

Forme d’agressivité utilisée pour atteindre un but, comme obtenir un jouet pour exercer un contrôle sur l’espace environnant. (autour de 3 ans et demi)

91
Q

La peur

A
  • Peurs innées
  • Peur de l’étranger: méfiance qu’éprouve un enfant à l’égard de personnes inconnues et qui apparaît entre 6 mois et 1 an.
92
Q

Anxiété de séparation

A

Sentiment de détresse quand la personne qui s’en occupe le quitte.

93
Q

Le comportement altruiste

A

Comportement visant à aider une autre personne sans attendre de récompense en retour

94
Q

L’empathie

A

Capacité de se mettre à la place d’une autre personne et à éprouver ce qu’elle ressent. Demande d’avoir des cognitions sociales.

95
Q

Théorie classique de l’identité de gene en bref

A

L’enfant ne choisit pas, mais découvre son identité de genre
L’identité de genre repose sur plusieurs facteurs, notamment physiques et psychologiques.

96
Q

Trois phases de l’identité de genre

A

1) la conscience du genre
2) stabilité du genre
3) consolidation ou constance du genre

97
Q

1) La conscience du genre

A
  • entre 2 et 3 ans
  • masculin & féminin
  • 1 des 2
  • base des attributs physiques pour juger le genre
  • ne saisit pas que c’est stable
98
Q

2) stabilité du genre

A
  • vers 4 ans
  • commence à voir que le genre est stable dans le temps
  • compréhension limitée par ses capacités cognitives
  • il peut y avoir refus de dévier des normes
    ptit gars veut pas mettre une robe pcq veut pas “devenir” une fille
99
Q

3) consolidation ou constance du genre

A
  • entre 5 et 6 ans
  • sentiment d’appartenance: identification psychologique, profonde et stable
  • pas changements d’apparences, ni son comportement qui ne peut modifier le genre
  • devient grandement motivé à adhérer aux rôles sexuels

comprend que mettre une robe ne te transforme pas en fille

100
Q

Origine de l’identité de genre et son expression (influence bio & environnement)

A

Influence biologique?
- rôles sexuels associés à la biologie
- théorie corroborre sur les plans génétique, hormonal et neurologique.

Influence environnement?
- société, normes, attentes, culturel et familial

101
Q

Identité de genre selon la théorie psychanalytique de Freud

A

résolution de conflits émotionnels inconscients
l’identité de genre apparaît lorsque l’enfant s’identifie au parent du même sexe

102
Q

Identité de genre selon la théorie développementale cognitive de Kohlberg

A

Adoption de comportements compatibles avec son sexe.
Lorsqu’il apprend qu’il est une fille ou un gars, cherche les infos en accord avec le sexe.

103
Q

Identité de genre selon la théorie sociale cognitive de Bandura

A

observations et sélection de modèle, imitation et renforcement, socialisation
les parents renforcent les comportements qui correspondent au sexe. l’enfant intériorise les standards

104
Q

Identité de genre selon la théorie du schème du genre de Bern

A

Catégorisation cognitive combinée à l’observation de modèle.
L’enfant organise les infos des comportements appropriés si gars ou si fille en se basant sur les normes culturelles. Intègre ces comportements et s’adapte.

105
Q

Stéréotypes sexuels

A
  • Généralisation portant sur la masculinité et la féminité.
  • Stéréotypes vers 2-3 ans chez les enfants
106
Q

Rôles sexuels

A
  • Dans toutes les sociétés
  • Petit assouplissement de ces rôles
  • Influencés par les stéréotypes sexuels
107
Q

Double standard

A

Attente de la société qui diffère en fonction du sexe de la personne

108
Q

Influence des parents sur l’identité de genre

A

Père souvent plus rigide envers les rôles sociaux de leurs fils, mais mère plus grande influence lorsqu’elle a des rôles sexuels rigides ou des stéréotypes.
Homoparentalité: enfants moins stéréotypés, plus grande ouverture.

109
Q

Influence des pairs sur l’identité de genre

A
  • plus grande que celle des parents
  • dès 3 ans, les pairs ont une influence et jouent dans les mêmes groupes sexes, renforcent les comportements
  • influence augmente avec l’âgeIn
110
Q

Influence des médias

A

Influence sur la famille et les pairs
Ex: films Disney, OD, etc.

111
Q

3 influences sociales de l’identité de genre

A
  • parents et modèle familial
  • pairs et adelphes
  • médias
112
Q

Le tempérament

A

Manière spécifique et stable de réagir aux personnes et aux situations

113
Q

Influence sur le tempérament (4)

A
  • parents
  • contexte
  • expériences
  • culture
114
Q

Développement de la personnalité selon la théorie psychosociale d’Erikson - Première crise

A

Définition: Période au cours de laquelle le nourrisson investit le monde sur la base de confiance ou méfiance.
(0 à 18 mois)

115
Q

Développement de la personnalité selon la théorie psychosociale d’Erikson - Deuxième crise

A

Période au cours de laquelle l’enfant doit trouver un équilibre entre l’autonomie (indépendance, autodétermination) et la honte et le doute (18 mois à 3 ans)

116
Q

L’attachement selon Bowlby

A

L’attachement: relation affective réciproque et dynamique qui s’établit entre deux individus et qui a une fonction adaptative pour l’enfant. L’interaction entre ces deux personnes contribue à renforcer et raffermir ce lien.

117
Q

Toutes les théories sont d’accord…

A

L’enfant se réfère aux parents pour obtenir satisfaction de ses besoins physiques, affectifs et sociaux.

118
Q

La théorie de l’attachement de Bowlby - sécurité

A

Le réconfort du lien avec le parent (sentiment de sécurité) très important: animaux veulent suivre une figure parentale qui assure leur survie.

119
Q

Ce qu’on peut observer dans les comportements d’attachement

A
  • Signes émis par l’enfant (regard, sourire, contact, pleurs) visant une réponse de l’adulte.
  • Proximité (soins, réconfort)
  • Exploration (adaptation à l’environnement)
120
Q

Phases du développement de la relation d’attachement Bowlby

A

1) le préattachement: attachement innés, pleurs, agrippement, sourires, etc)
2) l’émergence de l’attachement: 8e semaine
3) l’attachement véritable: 6 et 8 mois.

121
Q

Deux conditions de l’attachement

A
  1. mérite d’être aimé
  2. sentiment que les autres sont fiables
    si les 2 conditions, libre d’explorer son environnement
122
Q

les 4 formes d’attachement

A
  1. attachement sécurisant
  2. attachement insécurisant de type évitant
  3. attachement insécurisant de type ambivalent
  4. attachement désorganisé et désorienté
123
Q

Forme d’attachement sécurisant

A

Joue et explore à volonté en présence du parent.

Cherche le contact avec le parent et rapidement apaisé par sa présence.

124
Q

Forme d’attachement insécurisant de type évitant

A

Joue et explore son environnement de moindre qualité.

Ne cherche pas le contact avec son parent et ne le regarde pas. Si le parent veut le prendre, il peut le repousser.

125
Q

Forme d’attachement insécurisant de type ambivalent

A

Explore peu et préfère rester près de son parent.

Cherche le contact avec son parent et lui manifeste sa colère et sa contrariété, parfois par des coups.

126
Q

Forme d’attachement désorganisé et désorienté

A

Comportement variable et contradictoire, l’exploration est pauvre.

Comportements inconsistants: difficile de discerner s’il veut se rapprocher ou non de son parent, et peut sembler effrayé par ce dernier.

127
Q

Les facteurs d’influence de l’attachement

A

La sensibilité des parents:
- Détecter les signaux du bébé
- Qualité de l’ajustement avec le parent

Rôle du tempérament
- dans une même famille, les enfants peuvent avoir attachement différent

Relation avec les parents
- Exploration

Figures d’attachement secondaires
- Les autres liens aident à défusionner le lien avec le donneur de soin primaire.

128
Q

Régulation mutuelle

A

Accord entre les rythmes émotionnels et réponses mutuelles de deux personnes en interaction.

129
Q

Procédure du visage impassible

A

Recherche utilisée pour mesurer la régulation mutuelle chez les bébés. Mère ne fait plus de réaction: bris, signe de stress.

130
Q

L’autorégulation

A
  • contrôle interne sur ses comportements en fonction des attentes sociales.
  • la régulation mutuelle, l’attachement sécurisant, la sensibilité parentale, etc. favorisent l’autoreg.
131
Q

La référence sociale

A

Capacité de comprendre comment se comporter dans une situation nouvelle, confuse ou ambigue en obtenant info affective d’une autre personne.
Importance de la réaction du parent face à qq1 ou un objet ou une situation.

132
Q

Socialisation

A

Processus d’apprentissage des comportements considérés comme appropriés dans une société ou une culture donnée.
- le tempérament et la qualité du lien peuvent nuire à la socialisation.
- apprentissage par observation
- habiletés sociales

133
Q

Fratrie

A

Ensemble des frères et soeurs d’une famille.
- le rang peut influencer le dév et l’écart d’âge. plus écart, plus l’aîné apparaîtra compétent. le plus jeune sera perçu comme le bébé même à l’âge adulte.

134
Q

La sexualité infantile (3)

A
  • Exploration
  • Curiosité
  • Spontanée
135
Q

La stimulation des organes génitaux (3)

A
  • plaisir des sens
  • reproduire le comportement
  • socialisation pour comprendre ce qui est acceptable ou non
136
Q

L’évolution graphique (utilité des dessins en intervention)

A

Permettent de saisir une partie du développement: moteur, cognitif, représentation du monde, schéma corporel (l’image de son propre corps).

137
Q

Le stade préopératoire de Piaget - 2e stade

A

2 à 6-7 ans
l’enfant se représente mentalement des objets qui ne sont pas physiquement présents. limités par le fait que l’enfant ne pense pas logiquement.
pas encore prêt à effectuer des opérations mentales, donc comparer, mesurer, transformer, combiner des objets.

138
Q

deux sous stades du 2e stade de piaget

A

pensée préconceptuelle/symbolique (2 à 4 ans): fonction symbolique et capacité à représenter des situations mentalement.
pensée intuitive (4 à 6-7 ans): pensée à sens unique qui ne tient pas compte des liens.

139
Q

Fonction symbolique de Piaget 2e stade!!!

A

Capacité de l’enfant à utiliser certains symboles qui ont pour lui une signification.

140
Q

Les progrès cognitifs au stade préopératoire - capacité de représentation

A

Penser à une personne, un objet absent ou à un évènement qui ne se déroule pas dans le présent.

141
Q

Les progrès cognitifs au stade préopératoire - compréhension de l’identité 2 à 6 ans

A

les personnes et la plupart des objets demeurent essentiellement les mêmes, que leur forme ou leur apparence change ou pas

142
Q

Les progrès cognitifs au stade préopératoire - la compréhension des liens de causalité par la transducion

A

tendance de l’enfant à établir un lien de causalité, logique ou non, entre deux évènements, sur la seule base de leur occurence commune.

143
Q

Les limites de la pensée préopératoire - transduction

A

les enfants font des liens avec des choses pas liées ensemble, mode de raisonnement pas logique

144
Q

Les limites de la pensée préopératoire - l’égocentrisme

A

rend impossible la prise en compte du point de vue d’une autre personne

145
Q

Les limites de la pensée préopératoire - l’animisme

A

voir des objets inanimés comme possédant des caractéristiques humaines

146
Q

La théorie de l’esprit

A

Prise de conscience des processus mentaux et capacité de comprendre et de percevoir que les autres peuvent avoir des pensées, des intentions et des croyances qui leur sont propres.
Selon Piaget, avant 6 ans, les enfants n’ont pas la théorie de l’esprit.
avec des études, ils ont prouvé que oui à partir de 2 ans.

147
Q

La prise de conscience de la pensée

A

de 3 à 5 ans, commencent à comprendre que les pensées se passent dans la tête.

148
Q

Les fausses croyances

A

doit avoir conscience qu’on peut se faire une représentation mentale de la réalité et que celle-ci peut être erronée.
vers 5-6 ans, que les enfants comprennent qu’il peut y avoir des croyances erronées.

149
Q

distinction entre l’imaginaire et la réalité

A

pensée magique: façon d’interpréter la réalité selon laquelle tout est possible. ce qui n’est pas une confusion entre l’imaginaire et la réalité.

150
Q

En bref: traitement de l’information

A
  • meilleure mémoire
  • capacité d’attention augmente
  • fonction exécutive s’améliore: se retenir, attendre son tour, maitrise de ses impulsions, etc
151
Q

En bref: interactions sociales et mémoire

A

Le narratif que l’adulte fera est important sur le contexte, le sens et ce qui sera mémorisé. Important de reprendre avec les enfants les films ou autres afin de les mettre en contexte, aider à apprendre les mots

152
Q

En bref: le développement cognitif d’un enfant est influencé par de nombreux facteurs

A
  • stimulation des parents
  • l’attitude des parents (sensible, aimant, chaleureux, laisse explorer, autonomie, créativité, lecture, jeu)
  • ressources du milieu
153
Q
A

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