Examen 1 Flashcards
3 conséquences du vieillissement normal du système pulmonaire
o Raidissement de la paroi thoracique
o Calcification du cartilage costal
o Diminution du retour élastique
o Diminution de la compliance de la paroi thoracique
o Nombre d’alvéoles fonctionnelles diminuent
o La personne âgée se fatigue plus rapidement. Ces changements dans le système respiratoire diminuent l’efficacité de la toux, augmente les sécrétions.
o Limitation du passage de l’air dans les poumons au cours de l’expiration causée par une baisse de l’élasticité des poumons
o Obstruction des voies respiratoires causée par une sécrétion excessive de mucus, un œdème de la muqueuse et un bronchospasme
Étiologie de la MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique)
Dégénérescence progressive des tissus pulmonaires et obstruction partiellement réversible des voies respiratoires.
Elle englobe la bronchite obstructive chronique et l’emphysème.
La plupart des personnes atteintes d’une MPOC présentent ces deux conditions.
Facteurs de risques de MPOC
o Tabagisme
o Pollution atmosphérique
o Produits chimiques et poussières en milieu de travail
o Pollution atmosphérique
o Infection
o Hérédité
Manifestations clinique d’une bronchite chronique
Toux récurrente et productive
Sécrétion abondante de mucus dans l’arbre bronchique
Obstruction est causée par l’inflammation, l’accumulation de sécrétions et la constriction bronchique.
La partie distale du poumon touché par l’obstruction peut s’affaisser.
Etiologie d’un emphysème
o Emphysème : trouble pulmonaire (maladie dégénérative) chronique où les alvéoles subissent une augmentation de volume alors que leur nombre diminue. Les tissus qui entourent les alvéoles perdent leur élasticité et ces sacs aériens ne peuvent donc plus se gonfler ni se dégonfler.
Les différences entre une bronchite chronique et un emphysème
o Bronchite chronique : La bronchite peut être chronique avec une toux récurrente et productive. Sécrétion abondante de mucus dans l’arbre bronchique. L’obstruction est causée par l’inflammation, l’accumulation de sécrétions et la constriction bronchique. La partie distale du poumon touché par l’obstruction peut s’affaisser.
o Emphysème : trouble pulmonaire (maladie dégénérative) chronique où les sacs d’air naturels appelés alvéoles subissent une augmentation de volume alors que leur nombre diminue. Les tissus qui entourent les alvéoles perdent leur élasticité et ces sacs aériens ne peuvent donc plus se gonfler ni se dégonfler.
Physiopathologie des crépitants rudes
Rudes
L’ai inhalé se heurte contre les sécrétions dans la trachée et les bronches principales
(Œdème pulmonaire, pneumonie, fibrose pulmonaire, ainsi que les personnes en phase terminale dont le reflexe de toux est diminué.
Physiopathologie des crépitants fins
Fins
L’air inhalé entre en collision avec les alvéoles collapsées : bruit sec d’ouverture soudaine des alvéoles, provoquant un bruit de grésillement au moment ou les gaz tentent de s’égaliser entre les deux compartiments
(En fin d’inspiration : pneumonie, insuffisance cardiaque, fibrose interstitielle)
(En début d’inspiration : bronchite chronique, asthme, emphysème)
Physiopathologie des sibilances de haute tonalité (wheezing)
L’air circule dans un passage rétréci provoqué par la présence d’un œdème ou de sécrétions. Ces sifflements diffus sont entendus s’il y a obstruction des voies respiratoires (crise d’asthme ou emphysème)
Physiopathologie des sibilances de basse tonalité
La tonalité n’est pas liée à la taille des voies respiratoires atteintes
(Bronchite, obstruction bronchique provoquée par la présence d’un corps étranger ou d’une tumeur)
BUTS de la respiration diaphragmatique
- Favoriser la relaxation et atténuer la douleur
- Améliorer l’efficacité de la respiration en diminuant la rétention d’air et en réduisant le travail respiratoire
BUTS de la respiration lèvres pincées
- Prévenir l’affaissement alvéolaire et diminuer l’effort expiratoire fourni par la personne
- Contrôler la phase d’expiration afin qu’elle dure 2x plus longtemps que la phase d’inspiration, en plus de permettre l’expiration d’une plus grande quantité d’air
Définition de délirium
Délirium : état de confusion mentale qui se manifeste de façon rapide (en quelques heures ou quelques jours)
Causes et facteurs de risque du délirium
MPOC (saturation en O2 basse), gaz sanguins artérielle anormaux
Hypoxie, pneumonie, fièvre, médicaments ou autre substances, élimination, défaillance hépatique, hépatite, cirrhose, défaillance cardiaque, infarctus du myocarde, dialyse, hypoxie, asthme, trauma, douleur, stress, déshydratation.
Manifestation du délirium (CAM/RADAR)
Le repérage actif du délirium au courant de la routine (RADAR)
1. Début soudain et fluctuation des symptômes
2. Inattention
3. Désorganisation de la pensée
4. Altération de l’état de conscience