Examen 1 Flashcards

1
Q

3 phases stresseurs

A

Angoisse de séparation
Perte de contrôle
Atteinte corporelle et douleur

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Q

intervention pour l’angoisse de séparation

A

Permettre un gilet avec le parfum ou une photo des parents, laisser un jouet

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3
Q

Intervention pour la perte de contrôle

A

favoriser l’autonomie, maintenir le routine et permettre des choix

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4
Q

intervention pour l’atteinte corporelle et douleur

A

Pointer l’endroit où l’enfant à mal sur un toutou et utiliser des petits pansement (gros pansement = gros bobo)

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5
Q

Effets de l’hospitalisation sur les parents

A

incompréhension, culpabilité, tristesse, anxiété

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6
Q

Conseil pour diminuer l’effet de l’hospitalisation chez les parents

A

leur dire de prendre soins de soi pour aider l’enfant et être disponible pour lui
Parler à une personne de confiance des sentiments et des inquiétudes
Demander de l’aide aux autres pour les tâches ménagères

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7
Q

Effets sur l’hospitalisation a/n de la fratrie

A

solitude, peur, inquiétude, colère, jalousie, culpabilité, confusion

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8
Q

Intervention pour diminuer les effet de l’hospi chez la fratrie.

A

Faire visiter l’hôpital, présenter aux infirmières, CONSERVER LA ROUTINE

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9
Q

Effets positifs de l’hôspitalisation

A

Renforcir le lien parent-enfant, tisser de nouveaux liens, filet de sécurité supplémentaire, augmenter la confiance des compétences parentales

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10
Q

Âge et condition du concentement libre et éclairé

A

14 ans et plus, sauf certaines conditions nécessite aussi l’accord parentale.
Si urgence: pas besoin d’accord parental

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11
Q

Préparation psychologique de l’enfant

A

Si l’enfant est jeune, dire l’intervention le plus rapprocher du moment possible, aider l’enfant à développer des reflexes (relaxation et méditation) lors de procédures douloureuse, enseignement de préadmission…

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12
Q

Préparation physique de l’enfant

A

Prévenir les délais et interruptions inutiles
Diminuer le nombre de personnes présentes dans la pièce
Impliquer l’enfant (permettre des choix, tenir le pansement → gros pansement = gros bobo ou même lui faire écouter son coeur)

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13
Q

Réactions possibles suite à l’hospitalisation chez les plus jeunes

A

troubles de sommeil, retrait social, hyperactivité, nouvelles peurs

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14
Q

Réaction possibles suite à l’hospitalisation chez les plus vieux

A

colère envers les parents, jalousie envers les autres

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15
Q

Perception et compréhension de la douleur en fonction de l’âge
0-6 mois

A

Pas de compréhension ni de contrôle de la douleur
Réponses réflexes à la douleur dominées par les perceptions
Douleur perçue comme un mal-être global

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16
Q

Perception et compréhension de la douleur en fonction de l’âge
dès 6 mois

A

Début de localisation et de verbalisation de la douleur
Craintes de situations douloureuses déjà vécues
Vers 18 mois : recherche de soulagement

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17
Q

Perception et compréhension de la douleur en fonction de l’âge
dès l’âge de 2 ans

A

usage du mot mal
Douleur = punition
disparition de la douleur est magique
Les autres sont responsable de la douleur

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18
Q

Perception et compréhension de la douleur en fonction de l’âge
dès l’âge de 3 ans

A

utilisation de jeu ou de distraction pour se sentir mieux

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19
Q

Perception et compréhension de la douleur en fonction de l’âge
dès l’âge de 4-5 ans

A

Capacité à évaluer sa douleur
Capacité à repérer des solutions pour lutter contre sa douleur

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20
Q

Perception et compréhension de la douleur en fonction de l’âge
dès l’âge de 7 ans

A

Compréhension du lien de cause à effet
Capacité à expliquer le pourquoi de la douleur
Perception exacte du siège de la douleur
Capacité de ressentir la souffrance psychologique (mort)

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21
Q

Perception et compréhension de la douleur en fonction de l’âge
dès l’âge de 8-10 ans

A

Capacité à chiffrer sa dlr

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22
Q

Particularités de la douleur chez le prématuré

A

Ils ressentent la douleur
Ils se souviennent des procédures douloureuses
Le nouveau-né est prématuré moins il bougera et moins il grimacera
La douleur chez les nouveaux-nés prématurés a des conséquences sur le développement à long terme
Le contact peau à peau avec le parent permet de soulager la douleur des nouveaux-nés
Hypersensibilité : immaturité des inhibiteurs de la douleur

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23
Q

Douleur aiguë ?

A

moins de 3 mois (coupure, fracture)

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24
Q

Douleur chronique ?

A

douleur de plus de 3 mois (arthrite, maladie de Crohn, cancer)

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25
Q

Réactions physiologiques à la douleur

A

modifications des SV (à prendre à la légère car fluctuations)

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26
Q

Réactions comportementales à la douleur

A

pleurer, crier, expressions faciales, rigidité musculaire (varient en fonction de l’âge, type de douleur, culture)

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27
Q

Réactions en cas de douleur chronique

A

fatigue, immobilité, perte d’intérêt pour le jeu, perte d’appétit → enfant trop sage

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28
Q

Douleurs fréquentes chez les jeunes

A

ventre, oreille, tête, gorge, dents

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29
Q

Question pour chaque lettre du PQRSTU à poser à un enfant

A

P : comment ton bobo est apparu ? Qu’est-ce qui empire ton bobo ?
Q : peux-tu me dire ce que tu ressens en dedans ?
R : peux-tu me pointer où tu as bobo ?
S : as-tu d’autres bobos ?
T : depuis combien de temps as-tu bobo ?
U : pourquoi tu as ce bobo-là ?

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30
Q

Mode d’évaluation hétéroévaluation (âge, échelles, par qui)

A

Par l’infirmière.
âge (0 à 3-4 ans)
Échelle FLACC (face, leg, activity, crying, consolability)

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31
Q

Mode d’évaluation autoévaluation (âge, échelles, par qui)

A

Par l’enfant.
âge (pour 3-4 ans en haut)
Échelles: échelle des visages, EVA (échelle visuelle analogique), EN (échelle numérique)

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32
Q

traitement de la douleur: 7 bon

A

Bon client
Bon médicament
Bonne dose
Bonne voie d’administration
Bon moment
Bonne documentation
Bonne surveillance et bon suivi des effets secondaires

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33
Q

Quelle est le meilleure moment pour administrer méd d’un enfant

A

peut-importe, mais la routine doit être conservé.

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34
Q

Qu’est ce qui est important de vérifier pour la bonne dose

A

le poids

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35
Q

Combien d’identification est-il important de faire?

A

triple vérification: parent, enfant et bracelet

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36
Q

Quelle voie faut-il privilégier chez l’enfant?

A

PO, car IM est une punition

37
Q

Opioïdes ou non opioïdes pour une douleur légère à modéré?

A

non opioïdes

38
Q

Opioïdes ou non opioïdes pour une douleur modéré à intense?

A

opioïdes

39
Q

Qu’elle est l’âge pour l’utilisation des pompes ACP

A

vers 7-8 ans, mais surtout chez les adolescent

40
Q

Que peut-on utiliser avant un vaccin pour soulager l’enfant

A

crème emla

41
Q

Quoi faire et à qui appliquer la crème emla

A

À utiliser après 3 mois
Recouvrir d’un pansement occlusif
Mettre 1h avant l’intervention, engourdie jusqu’à 5 mm dans l’épiderme

42
Q

Quel est l’effet secondaire à surveiller lors de l’administration d’opioïde ?

A

Dépression respiratoire

43
Q

Quoi faire lors d’une dépression respiratoire?

A

Administrer du narcan

44
Q

Quelle est l’effet secondaire la plus fréquente lors de l’administration d’opioïde?

A

Naussée

45
Q

Quoi faire lorsque l’enfant présente des naussées suite à l’administration d’opioïdes?

A

gravol

46
Q

Quels sont les effets d’une dépendant physique à un opiacé?

A

tremblements, sudation, irritabilité

47
Q

Est-ce que les enfants sont plus suceptibles d’être dépendant aux opiacés?

A

peu commun chez les enfants

48
Q

Quelle sont les approches non pharmacologique à utilisé chez l’enfant?

A

distraction, musicothérapie, physiothérapie, zoothérapie

49
Q

Avantage d’utiliser des approches non pharmacologique chez l’enfant

A

diminution de la perception de la douleur, de l’anxiété, du dosage requis + augmentation de la tolérance à la douleur, de l’efficacité de l’analgésie
Autres éléments important: Faire participer toute la famille à ce type d’approche
Utiliser en complémentarité avec l’approche pharmacologique et non en remplacement
Meilleure approche : multimodale

50
Q

Conséquences d’une douleur non traité à court terme

A

Hémorragie périventriculaire-intraventriculaire
Augmentation de la libération chimique et hormonale
Rupture des réserves de graisses et de glucides
Hyperglycémie prolongée
Morbidité plus élevée
Souvenir d’événements douloureux
Hypersensibilité à la douleur
Réponse prolongée à la douleur
Réponse inappropriée à des stimuli non nocifs
Seuil de douleur inférieur

51
Q

Conséquence d’une douleur non traité à long terme

A

Plaintes somatiques supérieures d’origine inconnue
Réponses physiologiques et comportementales plus importantes à la douleur
Prévalence accrue des déficits neurologiques
Problèmes psychosociaux
Troubles neurocomportementaux
Déficits cognitifs
Troubles d’apprentissage
Mauvaises performances motrices
Problèmes de comportement
Déficits d’attention
Mauvais comportement adaptatif
Incapacité à faire face à de nouvelles situations
Problèmes d’impulsivité et de contrôle social
Déficits d’apprentissage
Changements de tempérament émotionnel dans la petite enfance ou l’enfance
Réponses hormonales accentuées au stress dans la vie adulte

52
Q

Mythe ou réalité: le nourrisson ne garde pas de souvenirs de la douleur

A

mythe

53
Q

Mythe ou réalité: L’analgésie contrôlée par le patient peut être utilisée dès 5 ans

A

mythe

54
Q

Mythe ou réalité: L’enfant est incapable de nous signifier cette douleur

A

mythe

55
Q

Mythe ou réalité: Les doses de médicaments à administrer sont déterminées principalement en fonction de l’âge de l’enfant

A

mythe, poids

56
Q

Mythe ou réalité: L’influence culturelle a peu d’incidence sur l’évaluation de la douleur

A

mythe

57
Q

Mythe ou réalité: Régression et dépression peuvent être des signes de la douleur

A

Réalité

58
Q

Mythe ou réalité: La voie IM et recommandée pour l’administration d’analgésiques chez l’enfant

A

Faux, PO

59
Q

Mythe ou réalité: Les signes vitaux sont de bons paramètres d’évaluation de la douleur

A

Mythe

60
Q

Mythe ou réalité: L’enfant calme peut être souffrant

A

Réalité

61
Q

Mythe ou réalité: L’enfant est plus à risque de dépendance psychologique aux opioïdes que l’adulte

A

Mythe

62
Q

Mythe ou réalité: L’approche non pharmacologique peut remplacer l’approche pharmacologique

A

Mythe

63
Q

Mythe ou réalité: La dépression respiratoire constitué l’effet secondaire le plus important des opioïdes

A

Réalité

64
Q

Principaux symptômes: trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH)

A

difficulté à se concentrer, hyperactivité, impulsivité (coupe la parole, achats impulsifs, consommation, conduite automobile dangereuse)

65
Q

Facteur de risque au TDAH

A

hérédité, facteurs contextuels (alcool, drogue lors de la grossesse)

66
Q

Principaux symptômes: trouble du spectre de l’autisme (TSA)

A

sphère de la communication, sphère des interactions sociales, comportements stéréotypés et répétitifs / obsession pour les textures, les étiquettes

67
Q

Principaux symptômes: troubles obsessionnels-compulsifs (TOC)

A

pensées récurrentes et intrusives, répéter un geste pour se rassurer

68
Q

Principaux symptômes: troubles des conduites alimentaires et de l’ingestion d’aliments (TCA)

A

anorexie mentale, boulimie, accès hyperphagique

69
Q

Vrai ou faux: Il y a beaucoup plus de TDAH en Amérique qu’ailleurs dans le monde

A

faux

70
Q

Vrai ou faux: Si un enfant est atteint du TDAH, c’est souvent la faute de ses parents

A

Vrai (hérédité)

71
Q

Vrai ou faux: La plupart des adultes atteints d’un TDAH ont eu leur diagnostic dans l’enfance

A

Faux

72
Q

Vrai ou faux: La plupart des adultes atteints d’un TDAH ont eu leur diagnostic dans l’enfance

A

Faux

73
Q

Vrai ou faux: Toutes les personnes atteintes de TDAH présentent un trouble d’apprentissage

A

Faux

74
Q

Vrai ou faux: Le TDAH à d’importantes répercussions dans la vie de tous les jours

A

Vrai

75
Q

Vrai ou faux: Il a été prouvé scientifiquement que le cerveau des personnes atteintes de TDAH fonctionne différemment

A

Vrai

76
Q

Vrai ou faux: Une évaluation à l’aide de tests neuropsychologiques dont les résultats sont dans les limites de la normale permettent d’exclure un diagnostic de TDAH

A

Faux

77
Q

Vrai ou faux: Une évaluation médicale est essentielle au diagnostic et à la prise en charge du TDAH

A

Vrai

78
Q

Impact du TDAH sur le développement en préscolaire

A

Trouble de comportement

79
Q

Impact du TDAH sur le développement au primaire

A

Trouble de comportement, difficulté scolaire, interactions sociales difficiles et problème d’estime de soi

80
Q

Impact du TDAH sur le développement en adolescence

A

difficultés scolaires, interactions sociales difficiles, problème d’estime de soi, problème avec la loi, tabagisme, drogues, blessure/accidents, comportement sexuel à risque

81
Q

Impact du TDAH sur le développement jeune adulte

A

Difficultés scolaires, problème au travail, relation interpersonnelles difficiles, problème d’estime de soi, abus de substance, comportement sexuel à risque

82
Q

Impact du TDAH sur le développement jeune adulte

A

Échecs professionnels, problème d’estime de soi, blessure/accidents, relation interpersonnelles difficiles, abus de substances, comportement sexuels à risque

83
Q

Interventions auprès de l’enfant et de sa famille en cas de TDAH

A

Meilleure approche : multimodale → bonne maitrise des symptômes + meilleur fonctionnement global (la médication à elle seule n’est pas suffisante pour traiter le TDAH)
Psychoéducation, hygiène de vie
Motivation et médication agissent ensemble comme stimulant : augmentation de l’attention et minimisation des symptômes présents

84
Q

Effet secondaire sur le système cardiovasculaire possible de la médication contre le TDAH

A

augmentation TA et FC

85
Q

Effet secondaire sur le système digestif possible de la médication contre le TDAH

A

constipation, diarrhée, sécheresse buccale, nausées, vomissements, perte d’appétit (perte de poids)

86
Q

Effet secondaire sur le système nerveux possible de la médication contre le TDAH

A

anxiété, étourdissements, maux de tête, insomnie, tics, irritabilité

87
Q

Quoi faire en cas d’effet secondaire en lien avec la médication de TDAH?

A

Changer de médicament, changer la classe de psychostimulant, offrir un autre mode de

88
Q

Nommez les 5 étapes de la conception de la maladie selon l’enfant et expliquez ces étapes

A
  1. Incompréhension
  2. Phénoménisme : pensent que la maladie est provoquée par un phénomène extérieur, non relié
  3. Contagion : pensent que la maladie provient de la conjonction de deux faits qui surviennent par magie
  4. Contamination : pense que la maladie provient d’une personne, d’un objet ou d’une action extérieure
  5. Intériorisation : pense que la cause de sa maladie se trouve à l’intérieur de son corps