Examen 1 Flashcards

1
Q

Le statut de l’enfant a évolué au fil des périodes historiques. Comment il était pendant la préhistoire?

A

Durant la préhistoire, les rôles des membres du groupe sont répartis de manière à protéger les enfants qui sont très vulnérables. Plus précisément, ces derniers sont élevés par les femmes qui les allaitent, ce qui contribue à leur survie.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Durant la période préindustrielle, la famille est un lieu de ?

Certains historiens considèrent que le concept de l’enfance?

L’enfant était alors vu comme ?.

Cette thèse a été largement contestée et on considère plutôt que les enfants étaient protégés par leurs parents, mais que leurs besoins étaient perçus à la lumière ?

Selon certains, les enfants étaient maltraités (abandon, infanticide, etc.) alors que d’autres diront que les parents se faisaient du souci pour leurs enfants, mais les élevaient selon les ?

A

1) production; les enfants sont associés aux activités productives.

2) n’existait pas dans les sociétés préindustrielles.

3) petit adulte sans prise en compte de ses particularités d’enfant

4) des connaissances et conceptions de l’époque. Le traitement qui leur était réservé était associé au contexte social.

5) croyances de l’époque.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Durant la période industrielle,

__ ___ _____ et ___ ____ ___ _____ deviennent des entités distinctes.

Dans les milieux ouvriers, l’enfant est vu comme ??

contribuant à la survie économique de sa famille, alors que dans les milieux bourgeois, il est vu comme une raison de ??

Ainsi, les parents déploient l’effort nécessaire pour assurer un avenir prospère à leurs enfants, mais en contrepartie, ils ont beaucoup d’attentes envers eux.

L’évolution de l’économie exige que les jeunes deviennent plus qualifiés. Ceux-ci fréquentent alors plus longtemps ?

Cet allongement de la période précédant l’âge adulte donne lieu à l’apparition d’une nouvelle étape de vie, soit celle de l’_________.

A

1) la vie familiale et le milieu de travail

2) un pourvoyeur

3) s’enrichir

4) le milieu scolaire.

5) adolescence.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Au fil de l’histoire, le statut de l’enfant a évolué. Passant de ? dans l’Antiquité à un ? dans la société contemporaine. À certaines époques, son statut sera différent selon sa classe sociale d’appartenance.

A

1) ombre du père

2) objet d’amour

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

En Nouvelle-France, ______ et _____ ont d’abord été confondues. L’entraide vient essentiellement de la ______, et ce, sans aucune intervention de l’autorité civile, tandis que les services d’assistance relèvent de l’______ (les bureaux des pauvres et les institutions).

A

1) la protection de l’enfance et les structures d’assistance

2) famille

3) Église

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

C’est vers ______ que la protection de l’enfance et l’assistance aux enfants et aux familles indigentes sont dissociées.

À cette époque, la _____ _______ des populations vers les villes, provoquée par l’industrialisation, prive de nombreuses familles du soutien social et de la solidarité qui caractérisaient la vie en milieu rural.

La société commence à prendre conscience des différences économiques et de ses conséquences, notamment chez les enfants. Parallèlement, des connaissances scientifiques au sujet des besoins spécifiques des enfants se développent, ce qui participe au développement du concept de protection de l’enfant. Une série de législations et d’institutions sont créées au fil des ans afin de répondre aux besoins spéciaux des enfants.

A

1) 1850

2) migration massive

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Le rôle de l’État, au fil du temps, prend de plus en plus d’ampleur, il se substitue parfois _______.

Les législations actuelles tendent à rappeler le rôle_______ des parents dans la vie de leurs enfants, les responsabilités des jeunes et la spécificité des besoins des enfants et des adolescents.

A

1) au rôle des parents

2) fondamental

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

La convention des Nations-Unies sur les droits de l’enfant

Ratifiée en _______, la convention des Nations-Unies sur les droits des enfants vient réaffirmer, de façon presque universelle quoi ?

L’enfant n’est plus considéré comme un objet, mais comme un sujet de _______. La convention engage les pays qui l’ont ratifiée, dans les limites de leurs ressources, à prendre les mesures requises pour donner effet aux droits.

A

1) 1989

2) que les enfants ont des droits civils, économiques, sociaux et culturels.

3) droits

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

On constate qu’une telle convention est nécessaire, non seulement dans les pays en développement, mais aussi dans les pays riches, comme le Canada. En effet, malgré les excellentes conditions économiques, sociales et de santé qui prévalent au Québec, une bonne partie de la population n’a pas accès à ?

A

1) ce bien-être.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

La situation des enfants autochtones
La politique d’__________ des Autochtones de la part du gouvernement canadien poursuivait l’objectif ?

Le retrait des enfants de leur communauté pour les placer dans des pensionnats (de même que les très nombreux placements d’enfants par les services de protection de la jeunesse dans les années 1960) a eu des répercussions négatives majeures pour ces peuples. On qualifie aujourd’hui cet événement historique de ?

A

1) assimilation

2) d’éduquer les enfants autochtones selon les valeurs et la culture des non-autochtones pour ainsi «tuer l’indien dans l’enfant».

3) tragédie.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Ces pratiques ont créé d’importants traumas chez les enfants tout comme chez leurs parents et leurs communautés, contribuant au développement ?

Ne grandissant plus auprès de leurs parents et étant élevés souvent durement, quand ils n’ont pas été victimes d’abus, ces mêmes enfants n’ont pas appris ?

Ceci a aussi eu pour effet de compromettre la ? de la culture autochtone et des savoirs ancestraux.

A

1) de nombreux problèmes sociaux.

2) à exercer ensuite leur rôle parental.

3) transmission intergénérationnelle

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Plusieurs facteurs peuvent expliquer la surreprésentation des jeunes autochtones dans les services de la protection de la jeunesse et celui de la justice, notamment le ? ainsi que les ? (dont la prévalence de la négligence souvent associée à la pauvreté, la violence conjugale et familiale, la qualité des logements, etc.).

Notons que les enfants autochtones vivent dans des conditions de vie moins favorables à leur développement, car ils sont exposés à davantage de facteurs de risque que d’opportunités. Des voies d’avenir pour améliorer la situation des enfants autochtones devraient passer par la fin de pratiques ? à l’endroit des Autochtones (notamment sur le plan de la quantité et la qualité des ressources destinées aux enfants autochtones qui sont défavorisés par rapport aux enfants non autochtones), la valorisation de leur autodétermination, l’adoption d’une approche préventive axée sur le développement des liens entre les familles et les communautés ainsi que par le renforcement des ? pour favoriser le maintien de l’enfant au sein de sa famille et de sa communauté.

A

1) sous-financement des services de nature préventive

2) conditions familiales et sociales dans lesquelles vivent ces jeunes

3) discriminatoires

4) habiletés parentales

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Définition des services sociaux à l’enfance, les valeurs et les idéologies

  • Consensus dans l’action auprès des enfants et des jeunes :
    1. Agir de façon ____ avant que les problèmes surgissent ou s’amplifient;
    2. Agir sur les _______ de la santé et du bien-être;
    3. Miser sur le potentiel des_______;
    4. Convenir d’une responsabilité ________ à l’égard de la jeunesse;
    5. Mieux ajuster les réponses aux _______;
    6. Miser sur la concertation pour accroître la ______ des actions.
A

1) globale

2) déterminants

3) parents;

4) collective

5) besoins

6) convergence

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Quelles sont les quatre fonctions essentielles et complémentaires pour soutenir le développement harmonieux des jeunes ?

*Dans les dernières années, on note un recul en matière de ______ et de ________.

A
  1. La promotion
  2. La prévention
  3. Le traitement
  4. La protection

*recul en matière de promotion/prévention

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Parmi les principes qui sous-tendent les orientations du MSSS dans l’action auprès des jeunes en difficulté et leur famille, on insiste sur l’importance de répondre aux ______ _______, pour améliorer leurs conditions de vie.

  • Stratégies sur lesquelles s’appuyer:
  1. Priorité au ________ des jeunes, à leur bien-être, à leur santé;
  2. Le jeune est le ?; parents et famille les 1res sources de soutien;
  3. La famille est le 1er milieu de _________; les parents sont les 1ers ________;
  4. Les centres de la petite enfance, les écoles et le milieu communautaire
    jouent un rôle ________ dans le soutien à offrir aux jeunes;
  5. Les jeunes ont droit à un environnement ? , digne qui favorise l’apprentissage et l’autonomie;
  6. La communauté doit soutenir l’action des parents;
  7. Il importe d’améliorer la ? entre les ressources;
  8. Il faut intervenir de manière ?.
A

1) besoins globaux

2) développement

3) premier agent actif de son développement

4) développement

5) responsables

6) déterminant

7) sécuritaire

8) concertation

9) préventive

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Base de l’organisation des services sociaux:
* ?(LSSSS)
* Lois complémentaires:
? (LPJ)
? (LSJPA)

A

1) Loi sur les services de santé et les services sociaux

2) Loi sur la protection de la jeunesse

3) Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q
  • En 2015, le système de santé et de services sociaux a connu une importante restructuration, c’est-à-dire la _______ de plusieurs de ses établissements afin d’améliorer l’accessibilité et la proximité des services à ses citoyens.
    La porte d’entrée aux services, c’est le _______ via son service d’Accueil, d’Analyse, d’Orientation et de Référence (AAOR), puis depuis peu, via le ?
A

1) fusion

2) CLSC

3) 811-Info-Social.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q
  • Le déploiement des services destinés aux jeunes et à leurs parents prévoit de nombreux programmes et services relevant souvent de différents établissements ?. Certains sont ?, d’autres visent des clientèles ou des problématiques particulières (par ex., enfants négligés, prévention du placement chez des adolescents vivant des problèmes de comportement, etc.).
  • ? se déploie à l’aide de nombreux partenariats avec le milieu communautaire (qui sont des acteurs centraux dans l’intervention auprès des jeunes et des familles), des OBNL et des ententes de collaboration intersectorielle.
  • Depuis les 40 dernières années, l’organisation des services sociaux dans le domaine enfance famille jeunesse a connu de nombreuses transformations tout comme les législations et cela, particulièrement ? Les conséquences de ces transformations sont aujourd’hui jugées ? en raison des difficultés à donner des services de qualité dans un contexte organisationnel qui respecte l’? des travailleuses sociales et leur assure un environnement de travail qui favorise leur bien-être et la stabilité.
A

1) publics et communautaires.

2) généraux

3) Le programme jeune en difficulté

4) en protection de la jeunesse.

5)sévèrement

6) autonomie professionnelle

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Points saillants cours 3
1. Quelques caractéristiques sociodémographiques des familles
Globalement, le profil sociodémographique des jeunes québécois et de leur famille a subi trois modifications importantes au cours des dernières décennies. Lesquelles ?

A

(1) La taille des familles a diminué ce qui modifie l’environnement dans lequel grandit l’enfant et les fondements de sa socialité.

(2) La proportion des jeunes âgés de 0 à 17 ans parmi la population totale est en diminution.

(3) La proportion des familles biparentales intactes régresse à chaque recensement bien qu’elles demeurent le modèle familial le plus répandu (60%). Ce changement est associé à une augmentation des séparations parentales qui à leur tour entraîne une augmentation des familles recomposées. Du côté des familles monoparentales, elles demeurent largement dirigées par des mères bien que les recensements récents montrent une évolution de la proportion des pères monoparentaux ayant la garde des enfants.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q
  1. Les concepts de risque, de vulnérabilité et d’opportunité
    Les notions de risque et de vulnérabilité relèvent de deux écoles de pensée. Dans les deux cas, ce sont des concepts très utilisés dans quoi ? (2 choses)

Si à la base ils ont en commun de parler d’une potentialité que quelque chose de négatif se produise, le concept de risque est souvent vu comme un ? d’un problème.

Un fort accent est mis sur la probabilité mathématique qu’une ? se produise.

Le recours au concept de risque comporte des avantages et des inconvénients. Il est utile en intervention, car il aide à l’évaluation et à la prise de décision, notamment dans des situations où la sécurité et le développement des enfants sont en péril.

A contrario, il peut participer à accroître les problèmes lorsque l’on perd de vue qu’il s’agit d’une ? , qu’il contribue à ? des populations ou qu’on le voit dans une perspective universelle.

A

1) la planification et dans l’opérationnalisation des services aux jeunes et aux familles.

2) déterminant individuel

3) conséquence négative

4) probabilité

5) stigmatiser

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Le concept de vulnérabilité quant à lui renvoie plutôt à la relation qui s’opère entre les ? particulières d’un enfant et un ? ou sociétal qui va ? à protéger cet enfant de cette menace.

Le concept de vulnérabilité accorde donc une grande importance à quoi ?

À titre d’exemple, un enfant pourrait vivre au sein d’un climat familial violent, mais tout de même bien se développer en raison de la qualité de la relation qu’il possède avec des membres de sa famille, une enseignante, la présence de pairs offrant un soutien important et le fait de bénéficier d’un programme d’aide offert par le CLSC.

A

1) caractéristiques

2) contexte situationnel

3) atténuer, compenser ou échouer

4) aux ressources de l’environnement dans lequel grandit l’enfant.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Une opportunité est une ? à l’intérieur de laquelle la personne en développement se voit offrir les ?compatibles avec ? à un moment donné.

Une opportunité peut être d’ordre biologique, psychologique ou social.

A

1) interaction personne-environnement

2) conditions matérielles, émotives et sociales

3) ses besoins et ses capacités

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q
  1. L’approche bioécologique
    À la question Comment se développent harmonieusement les enfants? Garbarino répond que «cela dépend». L’unicité de chaque enfant fait en sorte que ce qui fonctionne pour l’un peut ne pas fonctionner pour l’autre. Aussi, les autres systèmes qui l’entourent (micro, méso, exo et macro) jouent un rôle important dans son développement.

Les fondements du modèle bioécologique :
- Le développement d’un jeune est influencé par ses caractéristiques individuelles (?), par les caractéristiques des milieux qu’il fréquente et les expériences qu’il y vit, dont en 1er lieu, au sein de sa famille, mais aussi à la garderie, à l’école, dans le quartier ou sur le marché du travail (?). Son développement est aussi influencé par les décisions et les manières de fonctionner qu’adoptent les milieux que le jeune ne fréquente pas directement, mais qui ont un impact sur lui par ricochet, par exemple, le milieu du travail des parents ou le Conseil municipal (?). Enfin, son développement est influencé par les valeurs, les croyances, la culture de la société dans laquelle il grandit (?). Le développement du jeune est aussi influencé par la qualité des liens entre les différents microsystèmes qu’ils fréquentent (?), de même que par certains aspects temporels (?)

A

1) ontosystème

2) microsystème

3) exosystème

4) macrosytème

5) mésosystème

6) chronosystème

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q
  • ? est plus prédictive du développement de l’enfant que la présence ou l’absence de facteurs négatifs ou positifs;
  • ? est la pierre angulaire du modèle;
  • Le développement du jeune est vu comme le résultat des interactions continuelles et réciproques entre l’enfant et son environnement;
  • L’enfant et son environnement s’influencent ?;
  • L’équilibre entre les forces qui s’activent ou non en présence de difficultés permet de comprendre le développement des enfants.
  • Il existe de nombreuses sources de sources de vulnérabilité et d’opportunité que l’on peut associer aux différents systèmes (niches) composant le modèle bioécologique.
A

1) L’accumulation de risques ou d’opportunités

2) L’interaction personne-environnement

3)mutuellement et continuellement

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

En bref, une lecture bioécologique prend en compte le développement et le bien-être du jeune en accordant de l’importance aux ? .

C’est la prise en compte de toutes ces dimensions et des processus qui s’y activent qui en fait une approche bioécologique.

A

1) caractéristiques du jeune et aux milieux présents dans son environnement

26
Q
  • La maltraitance est une forme de ?
  • Acte omis ou commis par un parent ou un adulte responsable qui sur la base des ? et de l’expertise professionnelle est considéré comme
    non approprié et dommageable pour l’enfant.
  • La maltraitance est observée dans tous les ?. Toutefois,
    on voit de plus en plus de liens entre la maltraitance, ?
  • Dans les études sur la violence faite aux enfants, on distingue la violence physique ? ( par ex. : taper sur les fesses sans objet) de la violence
    physique ? (par ex. : secouer un enfant de moins de 2 ans).
A

1) violence sévère.

2) valeurs d’une communauté

3) milieux socioéconomiques

4) la pauvreté, la toxicomanie, la violence conjugale et les problèmes de santé mentale.

5) mineure ; majeure

27
Q

Ampleur du phénomène :

  • La maltraitance est difficile à ?

La plupart de nos estimations et de nos connaissances sur le sujet sont basées sur les enfants qui reçoivent des services de la ? . Mais beaucoup de jeunes victimes de maltraitance ne sont pas signalées.

  • Depuis 2000, les signalements traités à la DPJ ont d’abord été à la hausse sous l’effet des campagnes de prévention et d’éducation qui ont probablement permis que plus de cas soient ? . De plus, les modifications à la Loi sur la protection de la jeunesse ont reconnu l’existence ?

Depuis la crise sanitaire, on constate que les signalements baissent ? et remontent lorsque les enfants retournent à l’école ou dans les services de garde.

Les taux ? changent peu. ? des signalements provient des employés des services de santé et des services sociaux et le 1/5 provient du milieu scolaire. Avec la pandémie, les signalements en provenance du milieu scolaire ont diminué alors que ceux provenant de la communauté ont augmenté.

A

1) quantifier.

2) protection de la jeunesse

3) dépistés

4) de nouveaux critères de compromission

5) lors des périodes de confinement

6) de rétention des signalements

7) Le tiers

28
Q
  • Parmi l’ensemble des enfants pris en charge par le DPJ, la ? est le motif de maltraitance le plus fréquent. Elle représente près de ? des situations lorsque l’alinéa du « risque sérieux de négligence » est inclus. Le second motif le plus fréquent est la ?
  • Depuis 10 ans, la cooccurrence des ? est en baisse de même que les ?. Bien que la chronicité des incidents fondés ait diminué, cela demeure un problème préoccupant puisqu’on l’observe dans un peu plus de la ? des cas. Les interventions précoces et la sensibilisation des différents acteurs permettent d’éviter la détérioration des situations.
A

1) négligence

2) 50%

3) maltraitance psychologique.

4) incidents fondés

5) blessures physiques et les séquelles psychologiques.

6) moitié

29
Q
    • Le ? des enfants dont l’incident rapporté à la DPJ est fondé vivent avec un parent présentant ? , les plus prépondérantes étant le manque de ?
    • Un peu plus de la? (52,1%) des jeunes pris en charge en protection de la jeunesse vivent dans leur ? l’autre moitié vit dans un milieu de substitution. On reconnaît maintenant l’importance de protéger les jeunes des conséquences négatives associées au fait d’être placés et déplacés de milieux. Dans ce contexte, on favorise d’abord de confier l’enfant à un ? lorsque le retrait de l’enfant de son milieu d’origine est nécessaire.
A

1) 2/3

2) au moins une difficulté,

3) soutien social, l’isolement, la violence conjugale et la santé mentale.

4) moitié

5) famille d’origine,

6) tiers significatif

30
Q
    • De plus, la LPJ prévoit maintenant des ? , car les enfants ont besoin de pouvoir s’enraciner dans un milieu et d’avoir un projet de vie pour se développer de façon optimale. Ses durées sont d’autant plus courtes que ?
  • Les types de maltraitance et leurs conséquences : La négligence
  • La négligence fait référence à un processus, c’est-à-dire un ? qui se transforme en maltraitance plutôt qu’un seul évènement.
  • La négligence est un état de ? […]. Elle résulte d’une perturbation de la ? et du rapport ?
  • Est définie comme un échec à répondre aux besoins de l’enfant (santé, physique et éducatif).
  • La négligence est plus ? que l’abus et distincte de celle-ci, mais ses conséquences sont aussi sévères.
  • Elle est d’abord une problématique d’enfants, mais les adolescents peuvent aussi être négligés, même si le système de protection les considère comme moins vulnérables.
A

1) durées maximales de placement

2) l’enfant est jeune.

3) cumul de petits gestes

4) carence conséquente à l’absence de soins de base chez l’enfant

5) relation parent/enfant

6) famille/environnement.

7) fréquente

31
Q
    • On retrouve deux types de négligence : circonstancielle selon laquelle l’histoire de la famille comporte ?, mais en raison d’un ? , le parent n’est pas capable de répondre aux besoins de l’enfant et chronique : situations les plus ? .

Dans la situation, on note que le parent a souvent un ? (antécédent de maltraitance dans l’enfance, problèmes multiples, profonde carence en matière des connaissances, de capacités et de ressources, conjugalité impliquant de la violence. La négligence chronique est plus susceptible de se ?

A

1) plusieurs éléments positifs

2) évènement particulier

3) préoccupantes

4) lourd bagage à porter

5) transmettre d’une génération à l’autre.

32
Q
  • Au-delà des parents, il y a une communauté qui permet la négligence :
  1. Une relation ? : Par ex. : Un parent qui ne décode pas bien ? ;
  2. Une famille avec un trou au centre : Par ex. : Une famille intoxiquée n’incluant pas juste une mère dépassée, ? ;
  3. Une collectivité avec un trou au centre : Par ex. : Une société qui privilégie la protection, qui réduit les symptômes, mais ? et qui confie la protection à une institution.
A

1) avec un trou au centre

2) les signaux que lui envoie son enfant

3) mais aussi un père absent, peu engagé ou obstructif

4) ne s’attaque pas aux causes

33
Q

-La négligence est fortement associée ? . À titre d’exemple, la négligence est moins présente dans une communauté qui comprend des ressources, qui convient d’une responsabilité collective face aux enfants, qui mise ? .

A

1) à la santé d‘une communauté

2) sur la prévention

34
Q

Les mauvais traitements psychologiques

    • Les mauvais traitements psychologiques sont très difficiles à définir.
    • Ils ne portent pas atteinte à l’intégrité physique de l’enfant. Ces situations consistent plutôt en une atteinte à ? .
    • Les actes commis lors de la maltraitance psychologique sont de l’ordre du ? ou de la menace de rejet, du dénigrement, du ? envers les frères et sœurs, de l’intimidation, de la menace ou de gestes terrorisants. Également, il peut s’agir d’une dureté et d’une sévérité excessive, d’une entrave à la ? ou d’un contrôle abusif.
A

1) l’intégrité psychologique de l’enfant pouvant affecter son développement et toutes les sphères de son fonctionnement

2) rejet

3) favoritisme

4) réalisation de soi

35
Q
  • Pour les omissions et les manifestations indirectes, on peut parler de ? , de l’exposition à la violence conjugale et familiale, du renversement des rôles parent-enfant et de parentification, ou de l’exposition à des ? , insécurisantes ou corruptrices.
  • La mauvaise qualité ? caractérise les mauvais traitements psychologiques.

Au plan relationnel, les interactions sont négatives (ex. : présence d’hostilité). Cette situation crée des relations négatives entre le parent et son enfant, comme une relation ? . La répétition de ces relations négatives entraîne une ? , pouvant provoquer anxiété et confusion.

  • L’ampleur des conséquences dépend de leur fréquence, de leur intensité, de leur chronicité, de l’âge et du ? , de la force des mécanismes d’adaptation de l’enfant, de l’interprétation qu’en fait l’enfant et du contexte familial et environnemental.
A

1) négligence des besoins psychologiques de base

2) circonstances troublantes

3) de la relation parent-enfant

4) peu chaleureuse

5) blessure émotionnelle chez l’enfant

6) stade de développement

36
Q

L’abus physique

  • Ensemble de gestes posés volontairement ou de façon impulsive qui peuvent avoir des conséquences sérieuses sur la santé, le développement ou la vie d’un enfant. Les gestes dépassent la mesure du raisonnable soit ?
  • Pour définir l’abus physique, il faut connaître le contexte qui est défini par 4 critères: ?
  • L’abus physique engendre une blessure émotionnelle chez l’enfant et lui apprend ?
  • L’abus physique s’inscrit fréquemment dans une escalade (? ). Souvent, les parents ne connaissent pas d’autres moyens d’agir pour régler le problème.
  • La ? peut avoir une incidence sur la perception de la violence d’une
    société.
A

1) par leur force, soit par leur répétition.

2) l’intentionnalité, l’acte, l’évaluation et la norme.

3) à être violent.

4) un dérapage

5) matrice culturelle

37
Q
  • Si la punition corporelle est acceptée au Canada (dans un cadre très précis), plusieurs experts sont d’avis que ce n’est pas une bonne chose, car elle peut engendrer ?
  • Selon la nature de la maltraitance, différents objectifs d’intervention visant l’enfant, ses parents et l’environnement de la famille doivent être privilégiés. Un des principes importants de l’intervention auprès des enfants est de ? et lui faire comprendre qu’il n’est pas ?

-Pour intervenir auprès des parents, il faut ? et les aider à découvrir ce qui ? de manière à les ? et non à les excuser.

-Rien ne peut justifier un comportement violent. Il faut insister sur les éléments qui dénotent que le parent adopte une conduite responsable. Finalement, lorsque le parent prend conscience du caractère inapproprié de ses gestes et qu’il se met en action afin de modifier ses pratiques, il peut éprouver de forts ?. Il aura entre autres un grand besoin de soutien social dans ces moments afin qu’il demeure mobilisé dans le changement.

A

1) une escalade de la violence

2) prendre au sérieux toute plainte de mauvais traitements

3) responsable de cette violence.

4) explorer les contextes dans lesquels se produisent les abus

5) nuit à l’exercice de leur rôle

6) responsabiliser

7) sentiments de culpabilité et de honte

38
Q

Les facteurs de prédisposition face à la maltraitance :

  • Les facteurs prédisposition peuvent être liés aux ? , à celles des parents ou aux conditions de vie. Ce ne sont pas des causes, mais des ? .
A

1) caractéristiques de l’enfant

2) obstacles

39
Q

Les facteurs de protection face à la maltraitance :

  • Dans la communauté, on peut penser à une ? , à l’accès à des ressources, à des actions collectives visant à améliorer la qualité de vie des familles et l’accès ? pour les enfants.
  • Au sein des familles, des facteurs peuvent contribuer à protéger les enfants de la maltraitance, notamment lorsque les parents ont une ? et lorsqu’ils entretiennent eux-mêmes ? . Également, l’? , la capacité d’adaptation des familles et de bonnes ? constituent des facteurs de protection.
  • Pour un enfant, on peut notamment penser à la présence d’un adulte significatif dans sa vie, l’adoption de ? , une forte ? et la confiance en l’avenir de l’enfant comme des facteurs de protection.
A

1) faible tolérance de la violence

2) à des adultes bienveillants

3) bonne estime d’eux-mêmes

4) une bonne relation avec leurs parents

5) harmonie familiale

6) compétences parentales

7) comportements positifs

8) estime personnelle

40
Q

Les coûts sociaux reliés à la maltraitance:

  • 210 012 $ = coût moyen par victime de maltraitance non mortelle pour toute la vie
  • 1 272 900 $ = coût moyen par victime de maltraitance mortelle
  • Donc, investir dans la ? est rentable à tout point de vue.

Pour contrer la maltraitance à l’égard des enfants, il est crucial de travailler à améliorer les ? et la qualité de la communauté dans laquelle vivent les familles.

D’une part, les parents sont souvent ? que l’enfant possède et ces figures lui permettent de développer différentes compétences.

D’autre part, la communauté doit offrir les ressources pour ?

A

1) prévention

2) relations parents-enfants

3) le lien le plus proximal

4) soutenir le parent dans l’exercice de son rôle.

41
Q

 L’intervention en contexte de protection de la jeunesse
La protection d’un enfant consiste à apporter une réponse ? , dans son meilleur intérêt, et dans le respect de ses droits. La prise en charge de l’enfant cesse aussitôt que cette ? est atteinte.

A

1) minimale à ses besoins fondamentaux

2) réponse minimale

42
Q

Loi sur la protection de la jeunesse (LPJ)

La responsabilité de la protection de la jeunesse est confiée au directeur de la protection de la jeunesse. Celui-ci doit mettre en place une équipe et des services pour assurer la protection des enfants de ? . Il peut également autoriser certaines personnes à intervenir pour mettre fin à la situation de compromission ou mandater quelqu’un à appliquer des services de réadaptation.

  • La LPJ est un dispositif légal permettant d’utiliser des moyens sociojudiciaires afin d’atteindre trois objectifs

1) protéger l’enfant ?

2) mettre ? qui compromet la sécurité ou le développement de l’enfant et

3) éviter qu’elle ne se ?

A

1) moins de 18 ans

2) dont la sécurité ou le développement est ou peut être considéré comme compromis.

3) fin à la situation

4) reproduise

43
Q

Depuis ? , des modifications importantes ont été apportées à la LPJ, notamment en faveur d’une continuité et d’une stabilité pour l’enfant, d’une participation active de l’enfant et de ses parents aux décisions ainsi qu’au choix des mesures et du caractère exceptionnel de l’intervention d’autorité. À cet effet, il s’agit d’abord d’offrir de l’? (antériorité sociale) aux familles concernées avant de recourir à ?

La notion de projets de vie est un élément important dans la planification de l’intervention en protection de la jeunesse. Lors de la prise en charge d’un enfant en vertu de la LPJ, deux projets de vie sont planifiés (un privilégié et un alternatif). Le projet privilégié doit ? . En tout temps, l’ ?

A

1) 2007

2) aide spécialisée

3) des mesures légales.

4) favoriser le maintien ou le retour de l’enfant dans son milieu familial

5) Implication des parents doit être priorisée.

44
Q

Dans les situations où l’enfant a été retiré de sa famille et qu’une réunification familiale (un retour) n’est pas possible, ? sera mis en place. Dans ce cas, l’enfant pourra être maintenu dans le milieu où il a été placé temporairement, et ce jusqu’à sa majorité. Une tutelle ou une adoption sont aussi parfois envisagées. Même dans les situations où l’enfant ne retourne pas vivre auprès de ses parents, leur ?

Lorsque les enfants sont retirés de leur milieu familial, la LPJ prévoit des durées maximales d’hébergement selon l’âge des enfants.

Plus l’enfant est jeune et plus ?

Passé ce délai, si le retour de l’enfant auprès de ses parents n’est pas envisageable, le projet de vie alternatif sera mis en branle afin de stabiliser la situation de la famille.

A

1) le projet de vie alternatif

2) implication est favorisée.

3) la période d’hébergement est courte.

45
Q
  • La LPJ comporte 9 principes. Ceux-ci stipulent que l’intérêt et les ? , le respect de ses droits, la primauté de la responsabilité parentale et la ? et de ses parents doivent être priorisés.

-Également, la ? . Le maintien de l’enfant dans son milieu familial et la participation de la communauté doivent être privilégiés.

-Enfin, une intervention diligente, le respect des particularités culturelles et des interventions d’autorité respectueuses doivent être assurés.

A

1) besoins de l’enfant

2) participation active de l’enfant

3) continuité des soins et la stabilité des liens et des conditions de vie de l’enfant doivent être maintenues

46
Q

L’obligation de signaler
Tout citoyen ayant un motif raisonnable de croire qu’un enfant est victime d’? est tenu de faire un signalement. Alors que tout professionnel prodiguant des soins ou une forme d’assistance à des enfants a l’obligation, dans le cadre de ses fonctions, de signaler tous les types de motifs. Ceci inclut les stagiaires.

A

1) abus physique ou sexuel

47
Q

 L’intervention du Directeur de la protection de la jeunesse (DPJ) L’intervention du DPJ comporte 7 étapes :

1) Réception et traitement des signalements. D’abord, lorsqu’un signalement est reçu, il est aussitôt traité et analysé sommairement. S’il est retenu, il peut faire l’objet de mesures de ? , dans les ? selon le degré de menace pour la sécurité du jeune qui est suspecté.

Lorsqu’un signalement requiert de plus amples informations, une ? (VCT) peut être effectuée.
La rétention d’un signalement amène le DPJ à la prochaine étape :

A

1) protection immédiates

2) 24 heures ou dans les 4 prochains jours

3) vérification complémentaire terrain

48
Q

2) L’Évaluation de la situation. Le DPJ évalue la situation de l’enfant afin de déterminer si :

a) les faits rapportés sont fondés et si la sécurité de l’enfant ou son développement est compromis ou

b) si les faits rapportés sont fondés, mais la sécurité ou le développement de l’enfant n’est pas compromis ou

c) si les faits rapportés sont jugés non fondés.

Pour évaluer la ? , les facteurs suivants doivent être pris en considération :

  • La nature, la gravité, la chronicité et la fréquence ? ;
  • L’âge et les caractéristiques personnelles de l’enfant ;
  • La capacité et la ? à mettre fin à la situation qui compromettent la sécurité ou le développement de l’enfant ;
  • Les ? pour venir en aide à l’enfant et à ses parents.
A

1) compromission

2) des faits signalés

3) volonté des parents

4) ressources de milieu

49
Q

3) L’orientation.

Si la sécurité ou le développement de l’enfant est compromis, on procédera à l’orientation du dossier qui permettra d’établir les mesures à prendre pour assurer la protection de l’enfant.

Ces mesures peuvent être issues d’une ? avec les parents et l’enfant ou ordonnées par un ?

Trois critères sont à considérer pour le choix du régime :

  • La reconnaissance de l’________
  • La ? à résoudre le problème
  • Les capacités de ? des parents et de l’enfant à apporter les
    correctifs nécessaires
A

1) entente volontaire

2) tribunal.

3) existence

4) motivation

5) changement

50
Q

4) L’application des mesures. Une fois les mesures choisies, le DPJ devra voir à la mise en place des ? . Cette étape nécessite l’implication, la concertation et la collaboration de plusieurs personnes, organismes ou établissements.

5) La révision. Une révision de la situation sera faite régulièrement afin de déterminer si la sécurité ou le développement de l’enfant est encore ?. Dans l’affirmative, les mesures choisies pourront être maintenues ou modifiées au besoin.

A

1) mesures de protection

2) compromis

51
Q

6) Fin de l’intervention. L’intervention du DPJ se terminera immédiatement dans les trois cas suivants :
- Signalement non retenu
- Sécurité ou le développement de l’enfant n’est pas ou n’est plus compromis
- ? de l’enfant.

7) Une liaison avec les ressources d’aide sera assurée au besoin.
1 Mais des services peuvent continuer à leur être offerts.

A

1) Majorité

52
Q

 La violence conjugale est une ? qui s’inscrit dans des rapports historiques d’? entre les hommes et les femmes. Elle se manifeste dans un couple où les deux partenaires vivent une relation intime et affective. On y retrouve un ? dans lequel l’agresseur établit et maintient son emprise sur sa victime tout en s’assurant qu’elle ne le quitte pas. Cette violence est intentionnelle et répétitive. La violence est une prise de contrôle (?) et non une perte de contrôle.

  •  La violence conjugale se distingue d’une chicane de couple par le ? qui existe entre les deux membres du couple, majoritairement entre l’homme et la femme.
  •  Les enfants sont exposés à cette violence (ex. assistent aux épisodes de violence, entendent des cris, ressentent le climat de tension, etc.). Ils peuvent être des victimes directes (ex. blessures physiques) ou indirectes (ex. exposition à la violence).
A

1) problématique sociale

2) inégalité

3) rapport de domination

4) contrôle coercitif

5) déséquilibre du pouvoir

53
Q

 Ils existent 6 formes de violence conjugale:

-? (ex. faire des reproches injustifiés, dénigrer la mère, etc.), verbale (ex. crier, donner des ordres, etc.)

  • ? (ex. frapper, nuire au sommeil, etc.)
  • ? (ex. forcer la femme à se montrer nue, viol, etc.)

-? (ex. priver la femme d’argent, empêcher la femme d’avoir accès aux finances familiales, etc.)

-? (ex. géolocalisation, harcèlement par texto, etc.).

A

1) psychologique

2) physique

3) sexuelle

4) économique

5) cyberviolence

54
Q
  • Notons que la violence ? accompagne toutes les autres formes de violence et qu’elle peut être difficile à détecter, car elle est subtile. Qui plus est, dans un contexte de violence conjugale, c’est ? par l’agresseur auprès de son ou ses enfants. Aussi, la ? est la forme de violence dont l’enfant est généralement le plus conscient, car cette forme de violence « s’entend ».
  •  La violence physique est la forme de violence la plus ? , mais elle n’est pas la plus fréquente. Qui plus est, elle est souvent concomitante avec d’autres types de violence.
A

1) psychologique

2) la forme de violence la plus exercée

3) violence verbale

4) médiatisée

55
Q

Le cycle de la violence conjugale, chez l’adulte, comprend 4 étapes :

1) Tension : Le conjoint installe un climat de tension en faisant notamment des ? . La conjointe sent qu’elle doit « marcher sur des œufs » et qu’une ? peut éclater à tout moment.

2) Agression : Un épisode de ? survient (sous l’une ou l’autre de ses formes), ce qui génère divers sentiments (ex. colère, tristesse, humiliation, etc.) chez la victime.

3) Justification : Le conjoint tente de se ? de ses gestes/actes/mots et tente de faire porter la responsabilité de cette violence sur la victime. Au début, les justifications viennent de l’extérieur du couple. Mais, plus la relation progresse, plus les justifications mettent la faute sur ? . Les sentiments de colère et d’injustice de la femme s’estompent pour laisser place à des sentiments de ? , car elle doute de ses perceptions.

4) Réconciliation: Cette phase se caractérise par le fait que l’agresseur tente de se racheter pour susciter l’? chez la victime. Celle-ci croit que le conjoint changera et elle lui donne une chance. Peut aussi être une phase de calme où rien ne se passe. Au fil du temps, l’enchaînement de ces différentes phases s’?

A

1) menaces et de l’intimidation

2) crise

3) violence conjugale

4) déresponsabiliser

5) la femme

6) culpabilité

7) espoir

8) ’accélère.

56
Q
  • Plusieurs facteurs peuvent faire en sorte que la femme souhaite demeurer avec son conjoint ayant des comportements violents, notamment la peur de ? et des représailles, l’espoir d’un changement, etc. Les femmes victimes de violence conjugale ont généralement un seuil de tolérance élevé.
  • À l’opposé, la prise de conscience des conséquences de la violence conjugale sur les? et la perte d’espoir en la capacité de changement du conjoint sont des exemples de facteurs pouvant encourager la femme à quitter le conjoint.
  • Les conséquences de la violence conjugale chez la femme sont autant d’ordre
  • ? (ex. peur, méfiance, honte, perte d’estime de soi, colère, dépression, etc.)
  • ? (ex. troubles du sommeil, nausée, tensions, etc.)
  • que ? (isolement, difficultés financières, etc.).

La violence conjugale (sous toutes ses formes) peut se poursuivre même très longtemps après la séparation. Il s’agit alors de ?

A

1) briser la famille

2) enfants

3) psychologique

4) physique

5) social

6) violence postséparation.

57
Q

Chez les enfants :
 On illustre le cycle de la violence conjugale chez les enfants à l’aide de 4 phases, soit

un climat de tension, une ? , la ? et la lune de miel.

A

1) crise

2) déresponsabilisation

58
Q
  • Chez l’enfant, l’exposition à la violence conjugale génère plusieurs ? : ex. énurésie, difficultés scolaires, délinquance, anxiété, idéation suicidaire, difficultés dans ses relations sociales, etc.
  • Tous les enfants ne vivent pas les mêmes conséquences en lien avec la violence conjugale. Elles varieront selon les ? (personnalité, tempérament, âge, stade développemental, etc.), les caractéristiques des épisodes de violence (fréquence, durée, intensité, etc.) ou bien d’autres facteurs (ex.soutien social de la famille, nature des justifications, etc.). L’exposition des enfants à la violence conjugale augmente le risque ?
A

1) conséquences

2) caractéristiques personnelles de l’enfant

3) d’apparition de difficultés d’adaptation.

59
Q
  • L’exposition à la violence conjugale peut avoir un impact sur la ? (ex. dévalorisation de l’image maternelle) alors que cette relation constitue un des facteurs de ? les plus importants pour l’enfant. Dans certaines situations, il est aussi possible d’observer un ? des rôles parent-enfant (l’enfant prend soin du parent) et de la ? (l’enfant joue un rôle de parent auprès de sa fratrie).
A

1) relation mère-enfant

2) protection

3) renversement

4) parentification

60
Q

Les enfants peuvent en venir à adopter des rôles autres que ceux réservés aux enfants (ex. bouc émissaire, arbitre, confident, etc.). Ils peuvent aussi vivre des conflits de loyauté envers leurs parents. Le conflit de loyauté se caractérise par un ? où les enfants se sentent coincés entre leurs parents et vivent de ?

  • Les enfants ont besoin de se sentir en sécurité, de parler de la situation, d’être soutenus par leur mère, d’être rassurés par rapport aux solutions envisagées et de comprendre qu’ils ne sont pas ? . Ils ont besoin de vivre dans un climat familial exempt de violence.
A

1) grand dilemme affectif

2) l’ambivalence et de la confusion

3) responsables de cette violence

61
Q

 Intervention : Différents principes incontournables guident les interventions réalisées dans un contexte d’exposition à la violence conjugale.

La violence est ?, peu importe la forme ;

la violence conjugale est un ? ;

les femmes ne sont pas responsables de la violence qu’elles et leurs enfants ont subie, l’? est le seul responsable de ses gestes de violence ;

les enfants ne sont pas responsables de la violence à laquelle ils sont exposés ; sauf exception, ?

Différents objectifs d’intervention peuvent être utilisés pour mettre de l’avant le rôle actif de la mère en plus de la sensibiliser aux différentes conséquences et caractéristiques de la violence conjugale.

A

1) inacceptable

2) problème social

3) agresseur

4) les femmes victimes de violence conjugale tentent de protéger ou de préserver leurs enfants de la violence à l’aide de différentes stratégies.

62
Q

 Soutenir la mère, c’est soutenir ? en lui permettant de jouer pleinement son rôle auprès de lui.

Même si on intervient aussi directement auprès des enfants, on focalise particulièrement sur le soutien de la mère afin qu’elle puisse elle-même ? .

On vise à ce que la femme reprenne ? pour augmenter son sentiment de compétence et son estime de soi. Il faut considérer les répercussions sur l’? et de femme qu’entraîne la violence conjugale. Il importe d’accompagner ces femmes dans ce processus pour briser le cycle de la violence conjugale en respectant notamment leur rythme tout en prenant le temps de les écouter et de les croire.

A

1) la relation qu’elle entretient avec son enfant

2) répondre aux besoins de son enfant

3) le pouvoir sur sa vie

4) image de mère