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Psychocrimino > Exam intra > Flashcards

Exam intra Flashcards

1
Q

Qu’est ce que la psychologie?

A

Discipline scientifique

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2
Q

Qu’est ce que la criminologie?

A

discipline qui étudie le crime, criminel, criminalité

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3
Q

Qu’est ce que la psychocriminologie?

A

Étudie les comportements et le processus mentaux qui amènent aux crimes

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4
Q

La psychologie pour aider à comprendre le criminel

A

L’Individu
- Prédisposition
- Personnalité
- Fonctionnement

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5
Q

La psychologie pour aider à comprendre le crime

A

Le délit
- Passage à l’acte
- Circonstances
- Motivations
- Environnement social

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6
Q

Qu’est ce que la criminalité?

A
  • Ensemble d’actes criminels d’une société, à une époque donnée
  • Sociologie plutôt que psychologie
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7
Q

Vision légale/sociologique de la délinquance

A
  • Comportements qui contreviennent au droit pénal et exposent les auteurs à une peine
  • Définition reposant sur la loi
  • Transgression d’une norme sociale
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8
Q

Vision psychologique de la délinquance

A
  • Symptôme reposant sur un ensemble de facteurs qui modulent l’adaptation des individus.
  • Facteurs déterminent l’intensité d’engagement dans l’activité délinquante
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9
Q

5 débats en criminologie

A
  1. Déterminisme vs Libre arbitre
  2. Nature vs culture
  3. Normal vs pathologique
  4. Motivation vs controle des impulsions
  5. Personne vs situation
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10
Q

Déterminisme vs Libre arbitre

A

Déterminisme: le comportement des personnes est déterminé par des facteurs qui sont hors de leur contrôle
Libre arbitre: Le crime est un choix fait par le criminel

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11
Q

Nature vs culture

A

Nature: Génétique/biologie
Culture: Socialisation/environnement

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12
Q

Normal vs pathologique

A

Normal: Criminels sont des personnes comme les autres
Pathologique: différent des autres/pathologie anormales

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13
Q

Motivation vs contrôle des impulsions

A

Motivation: volonté à commettre un crime que les autres n’ont pas
Contrôle des impulsions: difficulté à contrôle des impulsions que tous ont

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14
Q

Personne vs situation

A

Personne: le crime dépend de la personne/caractéristiques de la personne
Situation: le crime dépend de la situation/opportunité/pression qu’elle subit

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15
Q

Biopsychologie

A
  • Facteurs biologiques
  • Composante innée
  • Caractéristiques psychologiques déductibles à partir de caractéristiques physiques (Lombroso)
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16
Q

Concept psychanalytique de la délinquance

A
  • Expériences à l’enfance primordiales pour le développement de la personnalité
  • Solidité des instances psychiques fonction de ces expériences
  • Passage à l’acte comme résultat d’un conflit psychique
    Théories de l’attachement
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17
Q

Approche phénoménologique à la délinquance

A
  • Importance des expériences subjectives telles qu’elles ont été vécues
  • Compréhension du crime selon le point de vue du sujet
  • Importance du choix (libre arbitre)
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18
Q

Apprentissage social comme conception de la délinquance

A

Les comportements criminels sont liés à :
- L’exposition à des modèles délinquants
- Renforcement de comportements délinquants
- Apprentissage des cognitions et des comportements délinquants

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19
Q

Approche psychopathologique à la délinquance

A

Délinquance comme symptôme de troubles mentaux
- Troubles développementaux
- Troubles de la personnalité
- Troubles mentaux
Régler la délinquance implique de s’intéresser aux troubles mentaux.

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20
Q

Approche sociologique à la délinquance

A

Processus sociaux impliqués dans le développement de la délinquance :
- Pauvreté
- Conflits de culture
- Anomie
- Contrôle social
- Etc.

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21
Q

Modèle intégratif du comportement criminel

A

Principe : plusieurs influences peuvent mener aux comportements délinquants
- Sociologique
- Biophysiologique
- Psychanalytique
- Phénoménologique
- Apprentissage social
- Psychopathologique

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22
Q

Sigmund Freud

A

Fondateur de la psychanalyse
- Appareil psychique: L’individu et son fonctionnement interne
- Freud décrit comment les individus se développent intérieurement et leur personnalité
- s’intègre lui-même dans son développement intérieur pour ses recherches

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23
Q

Limites de la théorie de Freud

A
  • Théorie non validée et non vérifiable empiriquement
  • A refusé qu’une autre personne tente de valider ses théories
  • Changements fréquents dans sa position théorique
    Œuvre dans son ensemble difficile à suivre
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24
Q

Freud est en avance sur son temps

A
  • No considère pas que l’homosexualité est pathologique (il était dans le DSM)
  • Les limites de la religion
    a. Barri;ere à la pensé rationnelle
    b. Science plutot que religion
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25
Q

La psychanalyse de Freud inclue 3 étapes

A
  1. La théorie: Expliquer la personnalité normale et pathologique (même outil)
  2. La thérapie: la méthode thérapeutique, théorie et technique
  3. La recherche: Méthode de recherche pour mettre en évidence les expériences inconscientes (système psychique)
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26
Q

La théorie psychanalytique

A

Explication complexe de la structuration de la personne pour rendre compte de ses manifestations.
- Système de lois psychiques

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27
Q

L’objectif de freud

A

Regrouper
1. La psychopathologie clinique (symptômes cliniques, hystérie, etc.)

  1. La psychopathologie de la vie quotidienne (lapsus, oublis, actes manqués)
  2. Le fonctionnement psychique normal (rêves, pensée consciente, etc.)
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28
Q

La métapsychologie - La psyché humaine est régie par trois aspects:

A
  1. Dynamique
  2. Topique
  3. Économique
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29
Q

Qu’est ce que la Dynamique

A

Idée que la vie psychique de la personne est régie par des forces en conflits
- Il y a plusieurs forces(qui bouge constamment) comme des pulsions et des forces qui nous empêche des faires
Ses forces sont le principal moteur de la psyché
Conflit entre l’inconscient et le conscient

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30
Q

Qu’est ce que la topique

A

Dans l’appareil psychique il y a des lieux et systèmes qui ont des fonctions différentes/Il y a certaines choses qui ne bougent pas
Première topique: conscient, inconscient, préconscient
Deuxième topique: Ça, le moi, et le sur-moi

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31
Q

Qu’est ce que l’économique

A

Tous les processus psychiques qui sont en conflits et qui bougent déplacent de l’énergie
En fonction de combien d’énergie bouge, différents choses/caractéristiques ressortent de chaque personne
Ex: une personne qui fait tous ce qu’ils pensent = plus d’énergie dans le ça
Selon comment l’énergie est répartie = la manifestation de la personnalité de la personne

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32
Q

Qu’est ce qu’une pulsion

A

Charge énergétique biologique qui oriente l’organisme vers un but. Insatisfaction pulsionnelle = tension Satisfaction pulsionnelle = réduction de la tension

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33
Q

Principe de refoulement

A

Opération par laquelle une représentation (pensée, image, souvenir), liée à une pulsion est repoussée ou maintenue dans l’inconscient

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34
Q

Le retour du refoulé

A

Processus par lequel les éléments refoulés tendent à réapparaître de manière déformée
- Rêves
- Lapsus: dire une chose au lieu d’une autre
- Actes manqués: quand on se trompe lors d’une action
- Symptômes cliniques: somatisation des douleurs par le corps (ex: douleurs)

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35
Q

Première topique de Freud

A

Conscient, Inconscient, Préconscient

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36
Q

Qu’est ce que l’inconscient?

A

Contenus refoulés avec refus d’accès au système préconscient-conscient
- Contenus refoulés tentent d’accéder à la conscience
- Mais n’y arrivent que suite à des compromis

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37
Q

Qu’est ce que le préconscient?

A

Contenu n’étant pas présent dans la conscience, mais restant accessible à la conscience
- Réservoir des connaissances et souvenirs
- Le passage du préconscient au conscient déforme peu le contenu

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38
Q

Qu’est ce que le conscient?

A

En périphérie de l’appareil psychique
Reçoit à la fois les informations du monde extérieur et intérieur.
- Fait office de filtre aux stimulations externes
- Représentations inconscientes censurées
- Représentations préconscientes activées
- Associé à la fonction d’attention

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39
Q

Deuxième topique de Freud

A

Ça, surmoi, moi

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40
Q

Qu’est ce que le ça?

A
  • Inné (pulsions de vie et d’autoconservation) et acquis
  • Pôle pulsionnel
  • Réservoir de l’énergie psychique
  • Contenu inconscient
  • Fonctionne selon le principe de plaisir et le processus primaire
  • En conflit avec le Moi et le Surmoi
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41
Q

Qu’est ce que le surmoi

A

Représentent les idéaux et impératifs internalisés par une personne (exigences)
- Idéaux des parents
- Propre relation avec ses parents
- Règles et des lois parentales/sociales

Établit un modèle idéal à suivre pour le Moi
Sentiment de culpabilité si non satisfait
N’est pas toujours «bon» : peut être sévère et cruel
Action souvent inconsciente

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42
Q

Qu’est ce que le moi?

A

Structure psychopathologique de l’individu
- Médiateur des revendications du Ça et des impératifs du Surmoi
- Tente de substituer le principe de réalité au principe de plaisir
- Permet les fonctions psychologiques supérieures (voir processus secondaire)
- Met en place les mécanismes de défense contre l’angoisse
- Action souvent inconsciente

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43
Q

Example du ça, surmoi, moi

A

Le ça veut socialiser à la place d’étudier
Le surmoi veut juste étudier
Le moi: médiateur entre les deux

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44
Q

Qu’est ce qu’un mécanisme de défense?

A

Mécanismes utilisés pour réduire l’angoisse et assurer la survie psychique
- Évitent la douleur d’une instance du fait des besoins ou désirs d’une autre
- Évite la tension causé lorsqu’une pulsion n’est pas effectué = Action inconsciente
- À ne pas confondre avec le coping

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45
Q

La classification des mécanismes de défenses

A

Mature: Humour, Sublimation, Répression, Altruisme
Névrotique: refoulement, déplacement, formation réactionnelle, dissociation
Immature: déni, projection, cilvage, passage à l’acte

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46
Q

Humour

A

réponse aux conflits en faisant ressortir des aspects amusants

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47
Q

Sublimation

A

pulsions non acceptables canalisées en comportements socialement acceptables (pulsions est réalisé sans conséquences négatives)

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48
Q

Répression

A

mise à l’écart d’affects douloureux (enlève de la conscience) = dans le préconscient

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49
Q

Altruisme

A

réponse aux besoins des autres plutôt qu’à ses propres besoins

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50
Q

Refoulement

A

Passer du conscient à l’inconscient

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51
Q

Déplacement

A

Sentiment éprouvés à l’égard d’un objet sont transférés à un autre objet de substitution
Il est possible qu’il n’y aille pas de lien entre les deux

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52
Q

Formation réactionnelle

A

Remolacement de sentiments ou pensées inacceptables par d’autres qui son oppsoées
Ex: Il y a un affect (ex: pas aimer) + un objet (ex: mon père) = l’affect va être déplacer à quelque chose d’autre (ex: peur du noir) et l’objet au lieu d’être refouler, l’affect associé à celui-ci va inversé (ex: adorer son père)

53
Q

Dissociation et types

A

Modification de la mémoire, perception de soi ou de son environnement pour se détacher d’une réalité
- Absorption dans l’imaginaire (être très absorbé dans son propre imaginaire et donc pas être très présent)
- Dépersonnalisation (modification de la conscience de soi/avoir une sensation que notre corps est détaché)
- Déréalisation (La perception du monde extérieur est modifier/irréel/étranger)
- Amnésie (ne pas se souvenir d’un événement traumatique)

54
Q

Déni

A

refus de reconnaître une réalité

55
Q

Projection

A

Attribution de ses propres désirs ou pulsions aux autres
Ex: Peur que ton marie te trompe alors impression que tous le monde veulent être avec

56
Q

Clivage

A

Séparation des affects en «tout bien» ou «tout mauvais»

57
Q

Passage à l’acte

A

céder à la pulsion

58
Q

Psychodynamique

A

Application de la théorie psychanalytique
Comment des conflits internes peuvent influencer l’attitude, l’état émotif ou le comportement d’un individu ?

59
Q

Psychodynamique et déinquance: criminel par sentiment de culpabilité

A

Certains délinquants : aux prises avec un sentiment de culpabilité oppressant
Délit : dans le but inconscient de se faire punir
- Surmoi central
- Associé l’affect de culpabilité à un objet(le crime et la punition)

60
Q

Psychodynamique et délinquance: les lacunes parentales

A

La délinquance résulte de carences familiales et de relations parentales inadéquates
2 types:
- Névrotique
- Caractériel

61
Q

Les lacunes parentales: Névrotique

A
  • Ne comprennent pas les normes de la société à cause de régressions dans leur développement
  • Délinquance transitoire: développent normalement mais régresse à une certaine phase de développement
  • Délinquance arrête
62
Q

Les lacunes parentales: caractériels

A
  • Délinquants de carrière
  • Ne comprennent pas les normes de la société à cause d’arrêts dans leur développement
  • Personnalité narcissique
  • Similaire au psychopathe
  • Développement normal qui c’est arrêté
63
Q

Les failles du moi

A

Certains jeunes présentent des caractéristiques développementales criminogènes mais ne passeront jamais à l’acte
Délinquance latente: formé par caractère antisocial à cause d’une faille dans le développement du moi (reste fixé sur le plaisir)

64
Q

La différence entre le délinquants et non-délinquants d’après les failles du moi

A

Le charactère antisocial

65
Q

Tendance antisocial

A

Constellation de comportements chez l’enfant / adolescent particulièrement désagréables pour leur environnement
Vol, mensonge, énurésie, agressivité, etc.
- La tendance antisocial est un symptome de détresse

66
Q

3 types de délinquants

A
  1. Jeunes qui s’identifient à un code moral délinquant
  2. Jeunes qui s’identifient partiellement à un code moral délinquant
  3. Jeunes impulsifs
67
Q

Le problème du moi lors de délinquance

A

Porte pas assez attention au srumoi et trop attention au ça

68
Q

L’empreinte de Lorenz

A

Théorie reposant sur l’observation animale
L’empreinte : attachement aux premier objet mobile visible
- Irréversible
- Indépendamment du lien biologique

69
Q

L’attachement (Bowlby)

A

Attachement : lien affectif entre un individu et une personne qui en prend soin (caregiver / figure d’attachement)
- Attachement instinctif
- Favorise la survie
- Inné et adaptatif (favorise la survie)

70
Q

Qu’est ce que le caregiver?

A
  • base de sécurité pour explorer le monde
  • Soutien émotif
71
Q

Les bases de l’attachement (Bowlby)

A

Les expériences précoces avec la figure d’attachement façonnent les modèles internes opérants (guide relations inter-personnelles)
- Schème intériorisé
- Concernent le moi et les autres
Modèles inconscients auto-confirmatoires qui filtrent les perceptions
Structurés à l’enfance mais susceptibles d’être mis à jour par des événements de vie critiques (décès, rupture)

72
Q

Situation étrange

A

Procédure expérimentale pour évaluer les différences types d’attachement

73
Q

4 schèmes d’attachements

A
  1. Sécure
  2. Insécure-ambivalent/résistent
  3. Insécure-évitant
  4. Désorganisé
74
Q

4 attachement adulte

A
  1. Sécure = sécure (fonctionnelle + autonome)
  2. Préoccupé = Insécure ambivalant (dépendance + jalousie)
  3. Craintif = insécure évitant (peur du rejet)
  4. Détaché = désorganisé (fermé à intimité + relation instrumentale)
75
Q

Attachement et délinquance

A
  • Attachement sécure = facteur de protection
  • Attachements insécures et désorganisés = facteurs de risque
  • Facteurs modérateurs: joue sur la relation entre les styles d’attachements et la délinquance / le facteurs modérateur dans cette situation serait les problèmes de santé mentale
  • Plus une personne grandit = moins l’attachement a un effet sur la délinquance
76
Q

Le déclin de la psychanalyse

A
  • La psychanalyse est critiquée car elle ne respecte pas les critères scientifiques et que cette approche ne peut pas être prouvé
    Logique empirique: si on ne peut pas mesurer ou observer un phénomène, il ne nous intéresse pas
  • ce qu’on peut mesurer: ce qui se passe avant(stimulus) et après(réponse) le traitement d’information
77
Q

Béhaviorisme

A

Les comportements dépendent de stimuli disponibles dans l’environnement
- Comportement observable = mesurable
- Rôle de l’environnement(stimuli) sur compt.
- Rôle de l’apprentissage(comment stimuli sont intérgés) sur compt

78
Q

Le béhaviorisme appliqué au comportement criminel

A

Le crime est comme n’importe quel autre comportement qui est appris comme n’importe quel autre comportement

79
Q

Psychologie cognitive

A

Étude de grandes fonctions psychologiques
Exemples : langage, mémoire, langage, intelligence, raisonnement, résolution de problèmes, perception, attention

80
Q

Théorie cognitivo-comportementale

A

Mélange de béhaviorisme et psychologie cognitive

81
Q

Pavlov: conditionnement classique

A
  1. Présentation d’un stimulus neutre avec un stimulus inconditionnel qui déclenche une réponse inconditionnelle
  2. Association inconsciente entre stimulus neutre et stimulus inconditionnel
  3. Stimulus neutre devient un stimulus conditionnel qui déclenche une réponse inconditionnelle
82
Q

Conditionnement classique: extinction

A

Réponse conditionnelle s’estompe si on présente trop souvent le SC sans le SI

83
Q

Récuperation spontanée

A

réapparition soudaine de la réponse conditionnelle malgré un processus d’extinction

84
Q

Généralisation du stimulus

A

RC se généralise à d’autres stimuli similaires au stimulus conditionnel

85
Q

Discrimination du stimulus

A

Inverse de la généralisation du stimulus

86
Q

John B. Watson

A

Père du béhaviorisme américain
- Objectif de rendre la psychologie une science objective
- Expérience du petit albert: prouve conditionnement classique chez l’humain

87
Q

Conditionnement opérant (Skinner)

A

Processus par lequel un comportement devient plus ou moins probable, selon les conséquences associées
Positif: ajouter quelque chose
Négatif: enlever quelque chose
Renforcement (positif ou négatif): conséquence agréable
Punition (positive ou négative): conséquence désagréable

88
Q

Conditionnement opérant: Le façonnement

A

Phénomène par lequel on renforce un comportement se rapprochant plus ou moins du comportement souhaité jusqu’à ce que le comportement souhaité apparaisse naturellement

Continu : renforcé chaque fois que le comportement est satisfaisant

Intermittent : parfois renforcé lorsque le comportement est satisfaisant ( le comportement reste plus longtemps)

89
Q

Conditionnement classique vs opérant en criminalité

A

Conditionnement classique: Stimulis dans environnements qui crée des compt. violents.
Conditionnement opérant: lié à la récompense obtenue à travers le crime

90
Q

Thérapie aversive

A

Pairage entre un stimulus sexuel déviant et un stimulus aversif

91
Q

Thérapie olfactive

A

Pairage entre les différentes étapes du passage à l’acte et un stimulus aversif olfactif. En situation à risque, l’odeur désagréable devrait surgir pour servir de signal d’alarme

92
Q

Sensibilisation voilée

A

Pairage entre fantaisies sexuelles déviantes et conséquences négatives susceptibles d’en découler

93
Q

Renforcement différentiel : la théorie

A

Le calcul de couts-bénéfice est important
Les comportements antisociaux peuvent être :
- Renforcés par un effet positif
- Renforcés par la suppression d’un agent désagréable
- Punis par l’incarcération ou la perte de statut
- Punis par le risque de mourir, de subir des séquelles physiques

94
Q

L’apprentissage social (Bandura)

A

Les comportements complexes peuvent être appris en observant d’autres personnes

95
Q

3 Procédures d’acquisition d’apprentissage social

A
  1. Apprentissage vicariant: Imitation par observation
  2. Facilitation sociale: Amélioration de la performance en présence d’observateurs
  3. Anticipation cognitive: Intégration par raisonnement sur des situations similaires
96
Q

Trois étapes nécessaires à l’apprentissage social :

A
  1. L’observateur doit être attentif à l’acteur
  2. L’observateur doit se rappeler du comportement de l’autre
  3. La personne doit être motivée à mettre le comportement en application
97
Q

Principe du déterminisme réciproque

A

environement, personne et comportement intéragissent tous

98
Q

Apprentissage social de la conduite antisocial

A

Probabilité de conduite antisociale élevée lorsque :
- Association à des pairs délinquants
- Les comportements antisociaux sont plus renforcés que les prosociaux
- Exposition principalement à des modèles antisociaux
- Croyances de l’individu favorables à l’antisocialité

99
Q

Grandes fonction psychologiques

A
  • Language
  • Mémoire
  • Intelligence
  • Raisonnement
  • Attention
  • Perception
100
Q

Psychologie cognitive cherche à déterminer

A
  • Acquisition des connairssances
  • Représentation et transformation des connaissances: comment on prend l’environnement
  • Utilisation des connaissances
101
Q

Théories socio-cognitives

A

Idée d’un conditionnement opérant avec ajout de processus cognitifs entre le stimulus et la réponse.
- Le comportement a lieu en fonction de l’interprétation de l’environnement

102
Q

Qu’est ce qu’une attribution causales

A

Processus par lequel les personnes expliquent et jugent autrui et l’environnement dans lequel elles évoluent en inférant les causes des comportements et des événements
- Soumis à des biais interne et exterme

103
Q

Les attributions causales

A
  • Erreur fondamentale d’attribution: Plus d’importance accordée aux caractéristiques internes qu’aux facteurs externes
  • Effet acteur-observateur: Causes externes à son propre comportement, causes internes au comportement d’autrui
  • Biais d’autocomplaisance: Causes internes aux réussites, causes externes aux échecs
  • Erruer ultime d’attribution: Favoriser son groupe d’appartenance dans l’attribution causale
104
Q

Biais d’attribution hostile

A
  • Tendance à percevoir des intentions hostiles de la part des autres
  • Sensible à l’ambiguïté
  • Position de victime
  • Barrière à l’introspection
  • Distorsion cognitive qui contribue le plus aux comportements violents
105
Q

L’auto-efficacité

A

Fait référence à la croyance d’un individu par rapport à ses capacités de réaliser une tâche donnée
A un impact sur
- Les objectifs qu’on se fix
- L’effort
- La performance

106
Q

Schémas cognitifs

A

Représentations mentales abstraites
- Structurent et résument l’environnement
- Stockés dans la mémoire à long terme

Influencent la perception et l’interprétation de l’information
- Attention portée sur ce qui correspond aux schémas
- Les contradictions sont interprétées comme des exceptions

Stables même en présence d’informations contradictoires

107
Q

Les schémas cognitifs de la population générale

A
  • Connaissances académiques
  • Sociaux
  • Stéréotypes
  • Scripts
  • Visions du monde
  • Archétypes
108
Q

Le sschémas cognitids de la population contrevenante

A
  • Beat or be beaten
  • I am the law
  • Violence is norma;
  • I get out of control
109
Q

Un script

A

Type de schéma particulier relié à des événements
- Contient une séquence de comportements
- Script du restaurant
Automatique, inconscient et routinier

110
Q

Thérapie cognitivo-comportementale

A

les cognitions déterminent l’interprétation qu’un individu fait d’une situation et cette interprétation a un impact sur leurs comportements
Environnement = cognitions = émotions = sensations = comportement

111
Q

TCC

A

Type d’intervention thérapeutique construite autour de l’idée que les souffrances psychologiques sont soutenues par des facteurs cognitifs
- Distorsions cognitives
Changer les cognitions permet d’agir sur le comportement
- Utilisé pour le traitement de nombreux trouble

112
Q

Thérapie cognitivo-comportementale dans le cas du comportement criminel

A

Des attitudes antisociales mènent à un plus haut niveau de comportements antisociaux
1. Identification des situations, pensées, émotions à risque
2. Remplacement des pensées criminogènes par des pensées non criminogènes (restructuration cognitive)
3. Réduire les déficits cognitifs liés à l’agression

113
Q

Psychologie évolutionniste : objectifs

A
  • Mettre de côté des explications à partir du vécu individuel
  • Comment des mécanismes/comportements apparaissent, se maintiennent, se modifient ou disparaissent
  • les comportement de l’espèce humaine pas individuel
114
Q

4 Postulats de la psychologie évolutionniste

A
  1. Comportements en réponse à des stimuli internes et externes
  2. Capacités du cerveau modulées par la sélection naturelle et sexuelle
  3. Mécanismes neuronaux de résolution de problèmes (développer par le cerveau au fu et à mesure de l’évolution de l’espèce humaine)
  4. Processus cérébraux inconscients
115
Q

Père de la psychologie évolutionniste

A

Darwin

116
Q

Thèse de Darwin

A
  • Toutes les espèces découlent d’ancêtres communs
  • L’évolution est due à la sélection naturelle
117
Q

La sélection naturelle

A

Mécanisme par lequel les individus les moins bien adaptés aux conditions du milieu, à cause de leur hérédité, sont éliminés en nombre proportionnellement plus grand que ceux qui sont mieux adaptés
Porteurs de traits(mutations aléatoires) = survie = transmission des traits

118
Q

Lombroso

A

Homo delinquens : n’ont pas évolué en homo sapiens
- Sous-espèce d’humains
- Comportement primitif
- Physique primitif
Volonté scientifique de mesurer précisément le crâne des criminels et de les comparer avec des non-criminels.

119
Q

Théorie du gène égoiste

A
  • Tous les gènes ont en commun l’impératif de se reproduire
  • L’évolution doit se comprendre selon ce qui est «bien» pour les gènes
  • Les gènes qui survivent sont ceux qui rendent l’organisme efficace et qui maximisent les chances de survie de l’organisme
    «Égoïstes» parce qu’ils veillent à leur propre intérêt
120
Q

Gène

A

Unité héréditaire qui contient de l’information sur un organisme et sur sa construction
- Responsable de la transmission de caractéristiques
- Se répliquent

121
Q

Crime et psychologie évolutionniste

A

Le comportement criminel a été une réponse adaptative
Même si ces réponses ne le sont plus dans notre société moderne

122
Q

Les deux approches du crime et psychologie évolutionniste

A
  1. Approche centrée sur le crime
  2. Approche centrée sur le criminel
123
Q

L’approche centré sur le crime de la psychologie évolutionniste - crime violent

A

La violence fait partie de la nature humaine
- Sélection sexuelle des femmes rend les hommes des rivaux pour la reproduction
- Violence et intimidation pour donner un avantage compétitif : territoire, nourriture, défense.
- Évolution en faveur de la propriété sexuelles
- Sentiment de jalousie pour assurer la reproduction des gènes
- Contreproductif de tuer des personnes génétiquement proches

124
Q

L’approche centré sur le crime de la psychologie évolutionniste - crime contre la propritété

A
  • Vol = stratégie pour accumuler des ressources
  • Vols commis par les femmes :
    En cas de besoin (biens matériels pour le foyer)
    Lié aux foyers monoparentaux
125
Q

L’approche centré sur le crime de la psychologie évolutionniste - violences sexuelles

A

Viol :
Lié à l’investissement dans la progéniture (maximiser les chances de propagation du code génétique)
Agressions sexuelles d’enfants :
Lié à l’attachement à une autre personne (romantique)

126
Q

L’approche centré sur le criminel de la psychologie évolutionniste

A

La criminalité n’est pas uniformément distribuée dans la population
2 façons d’expliquer les différences individuelles dans la violence :
1. Selon les caractéristiques démographiques et l’environnement
2. La criminalité comme stratégie alternative

127
Q

Variations démographiques dans l’approche centré sur le criminel et pourquoi

A
  • Les hommes commettent plus de crimes que les femmes
    (chasseurs-cueilleur)
  • Pic de criminalité entre l’adolescence et le début de l’âge adulte
    (compétition pour reprduction)
  • Lien entre la criminalité et le statut socio-économique
    (pour attirer des partenaires)
128
Q

Intéret de la criminologie traditionnelle vs évolutionniste

A

Criminologie traditionnelle : facteurs sociaux, culturels et environnementaux
Psychologie évolutionniste : adaptation en fonction de rôle dans la société

129
Q

Le crime comme une startégie de survie vs altruisme

A
  • les différences individuelles dans la criminalité peuvent s’expliquer par des variations génétiques
  • Crime comme stratégie alternative à l’altruisme (altruisme fonctionne seulement si tout le monde le fait)
  • criminels ne sont pas pathologique c’est de la survie

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