Exam final Flashcards

1
Q

Quels sont les éléments qui doivent être regroupés lorsque l’on souhaite formuler une problématique ?

A
Sujet de recherche
Problème et situation
Contexte théorique
Contexte empirique
Solution proposée et résultats escomptés
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Q

Quel est le cheminement logique pour formuler sa problématique ?

A
  • Prise de recul (lucidité/barrières empechant de tomber)
  • Phénomène (micro/macro + méso)
  • Champ d’étude (espace social/relationnel)
  • Angle d’attaque (type de recherche + choix discipli.)
  • Choix objectif de recherche (général/spécifique)
  • Cadre théorique/conceptuel
  • Hypothèses/moyens de recherche
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3
Q

Qu’est-ce qu’une hypothèse et quelle est son utilité ?

A
  • Réponse anticipée au questionnement de recherche
  • Affirmation d’une relation anticipée entre deux et plusieurs variables qui doit être démontrée par les résultats de notre recherche

Sert à élargir les connaissances sur notre sujet/problématique

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4
Q

Quelles sont les caractéristiques d’une « bonne hypothèse » ?

A
  • Claire
  • Plausible (en lien avec les lectures)
  • Vérifiable (pouvoir être en mesure de la vérifier)
  • Communicable (facile à comprendre par des gens pas experts dans le domaine)
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5
Q

Quelles sont les définitions d’une variable indépendante, d’une variable dépendante et d’une variable intermédiaire ?

A

Indé: Souvent la cause du phénomène étudié
Va avoir une influence sur les autres variables, mais elle ne change pas

Dé: Conséquence de la variable indépendante

Inter: -Juste présente dans certaines situations données
-Se greffe sur la variable indépendante pour faire fluctuer la variable dépendante

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6
Q

Qu’est-ce qu’un indicateur ?

A

Instrument pour préciser les variables ou les dimensions de ces variables.

1- indicateur nominal (ex: composition ethnique d’un état selon la langue parlée)
2- indicateur ordinal (ex: mesure/quantification d’une pratique religieuse forte, moyenne ou faible)
3- indicateur numérique (ex: strates d’âge, strates de revenus)

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7
Q

Quels sont les éléments centraux à mobiliser lorsque l’on débute l’écriture d’un document universitaire ?

A

Arguments
Exemples
Théories/Concepts
Références

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8
Q

Pourquoi dit-on que « l’écriture est vue comme une réflexion » ?

A
  • Le fait d’écrire clarifie et fait avancer la pensée.
  • Le fait d’écrire, ça débloque.
  • Il est (presque) toujours vrai qu’en se relisant on se rend compte que tout ce qu’on a écrit n’est pas idiot ;
  • Comprend beaucoup mieux les faiblesses de nos raisonnements et les trous documentaires ou logiques qu’il faut combler.
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9
Q

Quels sont les différents plans de travail que vous pouvez organiser pour planifier et rédiger votre travail universitaire et en quoi ceux-ci vont vous être utiles ?

A

Plan indicatif
Grandes parties du travail

Plan opérationnel
Grandes parties qui sont séparées en sous-parties et plus détaillées

Plan de rédaction

  • Grandes parties/sous-parties détaillées
  • Sous-parties: nombre de mots/pages, idées, mots/buts des phrases
  • Sert à se retrouver dans notre documentation
  • Évite de s’éparpiller ou de prendre du retard
  • On doit faire valider ce plan par le professeur
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10
Q

Comment planifier et réaliser un travail d’équipe via une « écriture à plusieurs mains » ?

A

Comment la planifier?

  • Tâches claires  échéancier
  • Participation de tout le monde
  • Capitaliser sur les forces de chacun/tâches équivalentes
  • Leader accepté
  • Échéancier collectif
  • Compte-rendu des rencontres

Comment procéder?

  • Travail d’équipe (texte, réflexion)
  • Fiches synthèses/articles
  • Prendre ou garder un temps de relecture/discussion (formuler des commentaires constructifs)
  • Programmer des rencontres plus courtes et plus répétées
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11
Q

En cas de blocage lors du processus d’écriture, comment doit-on procéder ?

A
  • Faire une autre tâche
  • Changer de lieu de travail
  • Courte pause et reprendre par la suite
  • Pratiquer une activité (physique/détente)
  • pas perdre de temps*
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12
Q

Quelles sont les différences entre le droit, la déontologie et l’éthique ?

A

Droit : Régule les comportements, obligations de chacun dans un milieu de travail.

Déontologie : bonnes manières, les bons comportements, et les normes techniques à suivre dans notre milieu de travail. Permet d’évaluer le travail qui est fait et de sanctionner le travail mal fait.

Éthique : A plus une fonction réflexive, c’est-à-dire aider l’individu à penser l’action d’une manière éthique, pour lui, et pour les autres. Peut être vu comme synonyme à la MORALE. L’éthique rejoint l’évaluation de l’individu dans un milieu donné en fonction de ses valeurs personnelles et professionnelles.

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13
Q

Comment peut-on définir l’éthique en milieu de travail ?

A

L’instauration de l’éthique au travail vise à développer des compétences de discernement et de jugement chez les professionnels. On parle donc ici d’un « pouvoir d’agir » et d’un « savoir-agir ».

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14
Q

Dans le cadre de l’éthique en milieu de travail, qu’entend-t-on par un « management d’accompagnement » ?

A

L’éthique devrait être vue à la fois comme une aide à la décision et un outil de gestion

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15
Q

Qu’est-ce qu’exige la compétence éthique en milieu de travail de la part du professionnel ?

A
  • Enjeu éthique relatif à la situation
  • Identification des risques et des conséquences potentiels
  • Identifier, comparer et pondérer les attentes et les obligations
  • Appuyer les décisions par des raisons valides et «raisonnables»
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16
Q

Dans quel contexte historique mondial, l’éthique en recherche s’est-elle développée et imposée ?

A

Après la 2e guerre mondiale à cause des atrocités commises au nom de la science sous le régime nazi. Des codes d’éthiques sont peu à peu instauré à l’échelle internationale pour réglementer la recherche conduite auprès des humaines en réponse aux violations des droits de la personne.
- Premier cas d’éthique : Nuremberg

17
Q

Quels sont les principes éthiques dans le domaine de la recherche ?

A

Respect de la dignité humaine : s’assurer que vous allez protéger leur intégrité physique, psychologique et culturel du participant. Le participant doit participer à la recherche dans le bien-être et respecter son autonomie de réponse aux différentes questions.

Consentement : Le participant doit accepter d’y participer en aillant tous les informations nécessaires pour faire un choix éclairé et libre de participer ou pas à la recherche.

Personnes vulnérables : (mineur et personne limitation fonctionnel principalement mental): toujours obtenir l’accord de leur parent/tuteur.

Respect de la vie privée : Le droit à l’intimité, l’anonymat et la confidentialité des données. Toujours bien l’indiqué aux participants

Respect de la justice/intégration : Respecter de la même façon tous les participants. Les questions doivent être poser de la même manière et dans les mêmes conditions.

Équilibre des avantages/inconvénients : Il faut toujours que les impacts positifs soient supérieurs aux impacts négatifs.

18
Q

Lorsque l’on mène une recherche à l’Université, quels sont les documents d’éthique à produire et pour quelles raisons ?

A
  • La lettre d’informations et le formulaire de consentement : entente signée par le chercheur et la participation concernant les modalités de sa participation volontaire
19
Q

Éthiquement, comment doit-on procéder lorsque l’on mène une recherche auprès de personnes vulnérables ?

A
  • Doit avoir tous les informations concernant l’étude pour être conscient du choix (avantage et inconvénients)
  • Doit avoir le consentement des proches (Signatures)
  • Être traité de façon juste et équitable
20
Q

Quelle est l’utilité d’un devis de recherche ?

A

Un devis de recherche sert à définir globalement comment nous allons nous y prendre pour faire notre recherche. Il sert à définir l’approche utilisée pour bien cerner et justifier notre recherche. Le devis de recherche a pour but de fournir une structure opérationnelle permettant d’obtenir des réponses aux questions de rechercher ou de vérifier des hypothèses.

21
Q

Que vise-t-on à cerner avec un devis de recherche descriptive ?

A

A pour but d’obtenir des informations précises sur les caractéristiques à l’intérieur d’un domaine peu connu et peu étudier. Permet de dresser un portrait de la situation.

22
Q

Qu’est-ce qu’une étude de cas ?

A

Examen détaillé et approfondie d’un phénomène lié à une entité sociale : une personne, une famille, une communauté, une organisation. Ce type d’étude permet de comprendre un problème en utilisant un cas comme exemple. Approprié quand on dispose de peu de données.

23
Q

Qu’est-ce qu’un échantillon probabiliste et parallèlement qu’est-ce qu’un échantillon non probabiliste ?

A

Échantillon probabiliste (représentatif)
*aléatoire

Échantillon non probabiliste (non-représentatif)
*déterminé

24
Q

Quelles sont les principales méthodes d’entrevues dans une perspective qualitative et quelles sont leurs différences ?

A

Semi-dirigée:

  • Davantage utilisée en LCT
  • Moins long (entre 35 et 90 min)
  • Plus dirigée
  • Thèmes et questions plus précises
  • Questions ouvertes en majorité
  • Peut se faire au téléphone
  • Guide d’entrevue (thèmes/questions)
  • Va évoluer au cours de l’entrevue

Non-dirigée:

  • Assez long (entre 2 et 3 heures)
  • Récit de vie
  • Échange peu structuré
  • Travail préparatoire important
  • S’assurer de la disponibilité de l’interviewé
  • 2-3 questions ouvertes dans toute la durée de l’entrevue
  • On veut le maximum d’infos sur le vécu et sur le perçu de l’interviewé
  • Physique (dans un local)
25
Q

Pour quelles finalités de recherche utilise-t-on le groupe de discussion ?

A
  • Mieux comprendre comment les participants percoivent un problème, l’analysent et en discutent
  • Fournit une compréhension collective des points de vue des participants
26
Q

Que sont des données secondaires ?

A

 Éléments rassemblés pour des fins autres que celles pour lesquelles les données avaient été collectées

 Élément central : L’accessibilité aux données

  • On analyse des données que quelqu’un d’autre a collectées
  • Ne pas sous-estimer ces données, elles sont très utiles pour faire le portrait de notre échantillon.
27
Q

Quels sont les principaux types de sondage par questionnaires ?

A

— Oralement : face à face, plus haut taux de réponse 50 à 70%.
— Téléphonique : le défi est de convaincre les gens de participer, doit être persuasif et avoir une bonne diction, taux de réponse d’environ 50%.
— Auto-administré : seul face au questionnaire, taux de réponse le plus faible, dois l’envoyer à un grand bassin de population (exemple : sondage en ligne ou par la poste).

28
Q

Qu’entend-t-on par le terme « mobilisation des connaissances » ?

A

 Diffusion des résultats : Faire connaître ses résultats en faisant ressortir les éléments les plus importants de la recherche (Rapport final + affiche)
 Transfert des résultats : Discuter en profondeur des résultats avec d’autres chercheurs et professionnels (Voir comment appliquer dans la pratique, présentation dans un milieu)
 Mobilisation des résultats : Pouvons-nous aller plus loin afin de répondre à un besoin précis du milieu.

29
Q

Quelles sont les principales différences que vous dénotez entre la méthodologie enseignée en loisir et celles suivies et appliquées en histoire et en philosophie ?

A

Histoire

  • Comprendre ce qui s’est passé avant
  • Processus de recherche complexe
  • Comprendre les infos dans le contexte quelles ont été produites dans le passé
  • Il faut être capable de décoder les infos
  • Méthodes hypothéticodéductive et inductive
  • Part de hypothèses pour analyser ce qui s’est passé à l’époque
  • Observation de faits/données particuliers sans faire d’hypothèse et d’en arriver à une sorte de théorie, loi générale

Philo

  • Pas d’échanges humains, plutôt analyse de textes.
  • Capacité à se positionner (positionnement réflexif)
  • Caractère rigoureux similaire au loisir
30
Q

Quelles sont les principales différences que vous dénotez entre la méthodologie enseignée en loisir et celle présentée par le professeur David Crête ?

A

Méthodologie de David Crête :

  • Inspiré des méthodes de sciences humaines et sociales
  • Beaucoup plus habitué d’utiliser une approche quantitative
  • L’éthique utilisée en marketing est plus questionnable que celle en loisir
  • Ils ont plus de moyens financiers que le domaine du loisir
  • Ils utilisent plusieurs avancés technologiques afin de mener à terme leurs recherches

Méthodologie en loisir :
- Plus axé sur l’approche qualitative
Au final, dans les 2 domaines, l’humain est toujours au centre des recherches.