Exam final Flashcards

Cours 03-Cours 14 (droit notes papier)

1
Q

Vrai ou faux. Il est recommandé d’utiliser des mesures d’évaluation, des instruments et des procédures appropriées au mandat d’évaluation, aux buts des outils et à la personne évaluée.

A

VRAI.

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Q

Quelles sont les règles de base concernant la collecte de données ? (13)

A
  • criminologue fait tt en pouvoir pour établir+maintenir relation confiance avec client (savoir-être ++ car 1-2 rencontres, stress client peut créer mécanismes défense)
  • criminologue abstient exercer profession manière impersonnelle
  • criminologue respecte valeurs+convictions client dans tte interv
  • définition cadre (faire rapidement avant éval et aide créer lien)
  • consentement éval +échanges infos (dossiers à aller chercher va nommer avant 2ème rencontre,appel ressources entre 1 et 2ème rencontre et feedback rencontre 2): limites/confidentialité consentement, nommer conséq si veut pas faire éval
  • explorer 360º: capacité enquêter,voir tout autour personne
  • déployer comm adaptée à personne (adapter langage, habits, connexion personne)
  • entrevue structurée et dirigée
  • prise notes pour garder factuel+objectif
  • garder en tête questions faudra potentiellement répondre pour dév analyse (avoir portrait adéquat personne selon éléments recherchés)
  • description factuelle sphères vie: famille, école, occupations, conjugale/sexuelle, antécédents perso/familiaux…
  • délits actuels, perceptions/compréhension évalué pr ça, conséquences inhérentes (comment s’est senti moment crime, pas à nous décider;doit être concret)
  • attitude personne lors éval (observations, ex: change sujet, propos désorganisé, affecte éval, inscrire ce que ça évoque chez soi si incapable écrire rapport)
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3
Q

Vrai ou faux. Le rapport pré décisionnel utilise les outils afin d’évaluer le risque, tout comme le rapport pré sentenciel.

A

FAUX.
rdp = vrai
rps = utilise outils pour valider perceptions mais peuvent pas mettre dans rapport qu’ont utilisé et peuvent pas mettre scores

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4
Q

Quelles sont les 3 grandes familles de méthodes d’éval du risque ?

A
  • approches de jugement critique non-structuré
  • approches actuarielles
  • méthodes basées sur guides jugement professionnel structuré (JPS)
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5
Q

Qu’est-ce qu’impliquent les approches de jugement clinique non-structuré ?

A
  • effectué sans méthode formelle
  • basé sur expérience professionnelle/perso criminologue
  • facteurs risque sont non-précisés d’avance et laissés à discrétion criminologues
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6
Q

Qu’est-ce qu’impliquent les approches actuarielles ?

A
  • utiliser nbre ciblé critères (validés statistiquement) organisés selon série règle cotation définies pour générer algorithme prédiction
  • pourcentage établi risque récidive, durée déterminée, fonction taux récidive différents groupes délinquants (probabilités groupe, pas de l’individu)
  • éval actuarielle risque récidive sujet consiste déterminer quel groupe sujet appartient, résultat éval = pourcengtage de risque du groupe qui se rapproche le plus de résultat indiv.
  • supériorité validité sur jugement clinique nn structuré
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7
Q

En quoi consiste les approches de jugement professionnel structuré ?

A
  • pas cotation, quel facteur a plus poids qu’un autre(peut pas faire ça actuariel)
  • associe flexibilité approche clinique à force données issues recherche
  • centré sur indiv avec propres caractéristiques, dans environnement particulier+prend comptefait que connaissance facteurs risque évolué fil temps+oblige souplesse conceptuelle
  • implique éval différents facteurs,présentés manière aide-mémoire, où cotation à chaque facteurs =présent,partiellement,absent
  • appréciation pas math; score total jugé quali et quanti selon réalité chaque indiv
  • optique éval risque+comprendre manifestations soit risque mesuré en fonction circonstances susceptibles entraîner passage acte
  • type cpt délictueux à prévenir+caractéristiques individus déterminent partiellement instrument choisi
  • ex: HCR-20
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8
Q

En quoi consiste les critères de dangerosité ?

A
  • capacité criminelle : noyau central personnalité criminelle composée de;
    -agressivité = réagir situation avec violence verbale,psycho ou physique, pouvant s’exercer envers autrui,objets ou soi
    -égocentrisme=ramener tout à soi
    -labilité=humeur capricieuse, instable, influençable sans crainte châtiment
    -indifférence affective= dépourvu sentiments moraux et incap considération,compassion envers autrui
  • capacité adaptation: ensemble caractéristiques personnalité pouvant être dév manière positive et conditions favorables milieu vie amène à fonctionner conforme normes sociales
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9
Q

Vrai ou faux. Si la capacité criminelle est élevée et que la capacité d’adaptation l’est aussi, la dangerosité ne sera pas grave.

A

FAUX.
- capacité crim élevée + capacité adapt élevée = dangerosité très grave

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10
Q

Vrai ou faux. Le VRAG peut être utilisé par des criminologues en tout temps.

A

FAUX.
seulement après consultation psycho/psych (PCL-R)

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11
Q

Quels sont les deux éléments compris dans le principe de l’évaluation du risque ?

A
  • importance de prédiction fiable cpt criminel + nécessité utiliser instruments éval basées sur faits
  • nécessité assortir niv services avec niv risque délinquant
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12
Q

Que faut-il tenir en compte lors du choix de la méthode et de l’outil ?

A
  • mandat expertise (but/objectif/besoin)
  • nature risque qu’on veut évaluer (récidive générale, récidive sexuelle générale, récidive sexu sur personne précise, récidive violente, récidive vc)
  • population visée (femmes,hommes, jeunes)
  • portrait clinique et judiciaire personnes
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13
Q

Vrai ou faux. L’utilisation d’outils est obligatoire à une bonne évaluation.

A

FAUX.
complémentaire; devoir criminologue dév analyse au-delà éval risque

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14
Q

Vrai ou faux. Il importe d’être formés et qualifiés pour pouvoir faire usage d’outils d’évaluation du risque et de respecter les règles de cotation aux outils actuariels.

A

VRAI.

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15
Q

Sur quoi repose l’analyse psychosociale ?

A
  • repose sur faits recueillis par métho (entrevues famille/amis, ressources…)
  • basée sur outils (donnent angle observation ex: LSJPA vs adulte)
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16
Q

À quoi sert l’analyse psychosociale ?

A
  • comprendre fonctionnement personne dans plusieurs contextes vie (portrait global; forces, difficultés= aider motivation, aider dans outils, interv., niv. sentence., besoins, facteurs criminogènes, 360º)
  • données entrevues servent analyse, mais pas que
17
Q

De quoi se compose l’analyse psychosociale ?

A
  • besoins/facteurs criminogènes (outils amènent souvent là, donc polarise un peu vision), nn-criminogènes, de protection
  • facteurs environnement
18
Q

Quels sont les 4 éléments à prendre en considération lors de l’évaluation psychosociale ?

A
  • compétences: ex communication facile pour indiv, difficulté résolution conflits
  • ressources internes/externes: ex personnalité (empathique,autonome), proches peuvent aider, ressources alimentaires, programmes aide
  • conditions vie: ex immigration, difficultés $
  • tout autre aspect général: ex loisirs, offre équilibre vie
19
Q

Qu’est-ce qu’un facteur criminogène ?

A

facteur observé chez délinquant qui entraîne variation positive ou négative risque récidive quand changent

20
Q

Quelles sont les considérations importantes des facteurs criminogènes ?

A
  • regard contemporain principalement: s’arrête à dernière année pour éval. présence facteur (analyse facteur selon dernière année ex: adapt trauma en consommant vs consom depuis 20 ans et fait 2 ans qu’arrêté, rester vigilant)
  • variabilité individuelle: regard actuel en ne négligeant pas le passé (ex:idées suicidaires tt jours depuis 2 sem vs idées suicidaires tt jours depuis 20 ans)
  • niveau gravité
  • nbre: plus y a facteur, plus y a risque
  • combinaison: facteur entraîne autre facteur (ex: conso amène impulsivité amène agressivité)
  • rôle dans émergence+maintien délinquance: lien entre facteur et délinquance
21
Q

Quels sont les 5 domaines à explorer quant aux facteurs criminogènes chez les adultes lors de l’analyse psychosociale (délinquance générale) ?

A
  • relations: conjugale+familiale, réseau social, résol. problèmes attitude face autorité
  • occupation: gestion $, emplois durant 5 dernières années, loisir, motivations plan occupationnel
  • contrôle émotions: régul émotion, impulsivité, violence, contrôlant
  • conso: alcool/subst illicites, lien entre conso et crime, suivis/traitements passés
  • allégeance criminelle: valeurs criminelles, fréquentations crim
22
Q

Quels sont les 7 domaines à explorer quant aux facteurs criminogènes chez les adolescents lors de l’analyse psychosociale (délinquance générale) ?

A
  • contexte familial/parental: qualité superv parents, capacité parents maîtriser cpt jeune, qualité discipline, cohérence rôle parental, qualité lien père et mère
  • école/emploi: cpt classe+école, rendement scolaire, qualité relations pairs+profs, école buissonnière, sans emploi/cherche pas emploi
  • relation pairs: nbre délinquants parmi amis/connaissances, nbre connaissances, nbre amis positifs
  • abus substances: fréquence consom alcool, fréquence consom drogues, incidence consom sur fonctionnement, lien entre conso et infraction
  • loisir/passe temps: présence ou pas activités structurées, façon utiliser temps, présence intérêts perso
  • perso/cpt: niv estime soi, agress physique+verbale+insolence, niv concentration, capacité gestion frustration, niv culpabilité
  • attitudes/orientation antisociale: attitudes antisociales et criminelles, capacité chercher aide, niv réceptivité aide, attitude face autorité, considération p/r autrui
23
Q

Quels sont les 3 domaines à explorer quant aux facteurs criminogènes chez les adultes lors de l’analyse psychosociale (délinquance sexuelle) ?

A
  • intimité: capacité créer liens intimes autrui, influences sociales, hostilité envers femmes, identification émotive enfants, considération autrui
  • maîtrise soi générale: gestion émotions, résol conflits, impulsivité
  • maîtrise soi plan sexuel: utilise sexu comme strat adaptation, préoccupations sexuelles, intérêts sexuels déviants
24
Q

Qu’est-ce qu’un facteur non-criminogène ?

A

facteur joue rôle dans mieux être et réinsertion sociale sans être liés empiriquement cpt criminel + augmentation récidive

25
Q

Quels sont les exemples de facteurs non-criminogènes ?

A
  • faible estime soi
  • trouble mental grave
  • dépression
  • anxiété
  • détresse perso
  • faibles habiletés sociales
  • déni, minimise délit
  • faible motivation traitement
26
Q

Qu’est-ce qu’un facteur de protection ? Quels sont les 2 types de facteurs ?

A
  • facteur pouvant prémunir dév délinquance ou réduire prob apparition

2 types:
- facteur à effet direct: positif pour tous (ex: emploi rapport $ pour tous + permet vivre)
- facteur à effet modérateur dans contexte risqué seulement: facteur protection pour indiv dans son contexte (ex: pas emploi, conso, pairs délinquants et font petite délinquance, donc avoir travail pourrait aider ici vs homme d’affaires commet inceste, emploi = pas facteur protection car a commis crime quand même)

27
Q

Quels sont les 3 domaines à explorer quant aux facteurs de protection chez les adultes ?

A
  • facteurs internes
  • facteurs liés motivation
  • facteurs externes
28
Q

Quels sont les 4 domaines à explorer quant aux facteurs de protection chez les ados ?

A
  • résilience
  • motivation
  • relations
  • conditions extérieures